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Guerre, immigration et terrorisme (Alain Escada)
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Berlin propose des "emplois à 1 euro" de l’heure aux réfugiés
La mairie de Berlin propose aux réfugiés de se faire de l’argent de poche en plus de l’aide qu’ils perçoivent en travaillant dans les centres qui les hébergent.
L’Allemagne a vu arriver plus d’un million de réfugiés sur son territoire en 2015. Et rien que dans sa capitale, 43.000 d’entre eux ont élu domicile le temps que soit validé ou non leur demande d'asile. Organiser la mise à disposition de leur logement et leur apporter de quoi se nourrir nécessite une logistique bien huilée mais aussi des... bras. La mairie de Berlin a donc décidé de demander de l’aide à certains d’entre eux. Elle a ouvert 4.000 mini-postes d’intérêt général, rapporte Le Monde.
Sur la base du volontariat, des milliers de nouveaux arrivants travaillent donc dans les centres qui les hébergent. Ils aident à faire la cuisine, le ménage ou procèdent à de petits travaux d’entretien. En échange, ils reçoivent une rémunération de 1,05 euro de l’heure, en plus des 143 euros perçus d’office comme argent de poche à partir du moment où ils sont enregistrés auprès des services de l’Etat. S’ils font le choix de ce petit boulot, ils doivent travailler au minimum 20 heures par mois et au maximum 80 heures.Favoriser l'insertion professionnelle
Bien entendu, cette rémunération est très inférieure au salaire minimum légal de 8,5 euros de l’heure en vigueur outre-Rhin depuis un peu plus d’un an. Ce ne sont pas des emplois permettant de trouver une indépendance financière immédiate. L’objectif n’est pas là. Il s’agit plutôt d'une compensation financière offerte à des personnes prêtes à s'engager personnellement pour faire face aux besoins massifs de leurs pairs, tout en permettant à ces migrants d’acquérir une première expérience qui facilitera leur insertion professionnelle ultérieure. C’est aussi un moyen de combattre l’ennui dont se plaignent certains, rapporte Le Monde. Ces emplois doivent être temporaires et les réfugiés formés si besoin.
Comment ces petits emplois peuvent-ils être néanmoins autorisés dans un pays ayant institué un salaire minimum? Tout simplement parce que le dispositif existe déjà et s’applique aux Allemands eux-mêmes. La mairie berlinoise s’appuie sur la loi Hartz IV adoptée en janvier 2005 quand le social-démocrate Gerhard Schröder était aux commandes du pays. Depuis cette date, les chômeurs de plus d’un an bénéficiaire d'une aide sociale sont obligés d’accepter des "minis-jobs" et des "emplois à 1 euro" dans des communes ou associations, au service de l’intérêt général. Ils travaillent donc, dans la limite de 15 à 30 heures par semaine, leur rémunération étant exonérée de cotisations sociales.Objectif: 100.000 emplois d'intérêt général
Le dispositif a donc été étendu aux migrants qui le souhaitent. Cette première expérience va permettre de tester le dispositif. A terme, la ministre allemande du Travail et des Affaires sociales Andrea Nahles espère créer, dans tous le pays, 100.000 emplois d’intérêt général réservés aux réfugiés. Un objectif qui semble très réaliste. A ce jour à Berlin, "il y a souvent plus de volontaires que de postes proposés", assure le quotidien du soir.
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Face au Grand Remplacement, les politiques natalistes polonaise et hongroise
VARSOVIE (NOVOpress avec Présent) : A compter du 1er avril, les familles polonaises vont percevoir une allocation de 500 zlotys (environ 120 euros) par enfant, à partir du deuxième enfant, sans condition de revenu. Depuis la chute du communisme en 1989-1990, c’est la première fois que la Pologne met en place des allocations familiales. Le but déclaré est d’encourager les Polonais à faire plus d’enfants. Cette allocation sera également versée à partir du premier enfant aux familles dans lesquelles le revenu par tête est inférieur à 800 zlotys (ou à 1200 zlotys en cas d’enfant handicapé). Il s’agissait d’une mesure phare du programme électoral du PiS, qui a gagné les élections législatives le 25 octobre dernier. Car les Polonaises ont un taux de fécondité de 1,3 enfant par femme et différentes études ont montré que les contraintes financières sont un obstacle majeur à partir du deuxième enfant.
En Pologne, le salaire moyen net de charges et d’impôt sur le revenu est de seulement 2800 zlotys (environ 670 euros), et un quart des familles avec quatre enfants ou plus vivent dans une extrême pauvreté. Du coup, certains juges retiraient la garde d’enfants à leurs parents pour cause de conditions de vie jugées insuffisantes. Grâce à une nouvelle loi votée en mars, ils ne pourront plus le faire.
La Pologne suit ainsi la voie prise par la Hongrie en 2010 avec l’arrivée du Fidesz au pouvoir. Viktor Orban avait alors fait adopter plusieurs mesures de soutien aux familles, avec des allègements fiscaux dont l’importance s’accroît en proportion du nombre d’enfants, indépendamment du niveau de revenus. La Hongrie a aussi mis en place de nombreuses aides financières et matérielles, ainsi que des prêts préférentiels pour l’accès au logement des familles avec trois enfants ou plus. Les premiers effets se font déjà sentir : le taux de fécondité est remonté de 1,23 enfant par femme en 2011 à 1,44 en 2014 (chiffres Eurostat).
« Une communauté qui ne peut se maintenir biologiquement est vouée à la disparition. L’immigration n’est pas une réponse. C’est un piège, un bluff. Nous devons reconnaître les politiques familiales motivées par la démographie comme essentielles et légitimes », expliquait Viktor Orban en octobre 2013 dans un discours prononcé à Londres devant le think-tank de politique étrangère Chatham House.
Olivier Bault
Texte paru dans Présent n° 8579 daté du 2 avril 2016
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Trois mosquées de Béziers sur cinq refusent de signer la charte de bonne conduite
Lu sur l'Observatoire de l'islamisation :
"La Charte proposée de bonne conduite signée par deux mosquées de Béziers, a été refusée par trois, dont la plus grande, c’est inquiétant. Les imams et les représentants des mosquées de Béziers doivent à ses yeux s’engager :
« à ne prêcher qu’en français et en toutes circonstances » ;
« à ne faire aucun appel public à la prière, notamment dans la rue, sous quelque forme que ce soit » ;
« à ne pas poursuivre d’activités et à entretenir des liens avec des associations ou des mosquées, en France ou à l’étranger,appartenant aux courants les plus extrêmistes salafiste et Frères musulmans » ;
« à ne pas diffuser les discours ou faire la promotion des cheikhs ou «savants» saoudiens wahhabites, des cheikhs des Frères musulmans de tous les pays » ;
« à ne pas promouvoir les textes et livres qui prescrivent le jihad ou la peine de mort pour, entre autres, les apostats, les athées ou les homosexuels » ;
« à ne recevoir aucun financement d’un Etat étranger, d’une collectivité d’un Etat étranger ou d’une association étrangère »." -
Tous unis contre la haine ! par À MOY QUE CHAULT !
J’ai été ému par la nouvelle campagne télévisuelle d’information contre le racisme, montrant des membres de minorités – dans les épisodes que j’ai eu la chance de voir : des Arabes et des Noirs – se faire passer à tabac par des hordes identitaro-skinoïdes après que les propos stéréotypés et stigmatisants de souchiens imbéciles ont entamé le terrible processus. Le message est clair, rappelé toutefois par l’ultime slogan : « Le racisme, ça commence avec des mots, ça finit par des crachats, des coups et du sang. »
Ému donc, bouleversé même, par tant de réalisme, par le talent de réalisateurs ayant réussis à retranscrire à l’écran avec une si parfaite honnêteté, justesse et fidélité le quotidien de la France et des Français de 2016. Bravo à eux. Il était tant d’avoir le courage de dénoncer les véritables maux qui rongent notre société.
Habitant à Paris et y circulant, notamment en métro, je n’en pouvais plus de voir, dans les rames nocturnes notamment, ces jeunes Arabes en survêtements baisser les yeux et se tasser sur leurs fauteuils, apeurés, à chaque entrée d’une bande de petits Blancs arrogants et agressifs. Et quelle n’étaient pas ma honte et mon courroux quand, dans la rue, j’apercevais ces groupes de Noirs rasant les murs, tremblants, abandonnant le haut du pavé à des blondinets vociférants et gesticulants. Et je ne parle même pas de la petite mama noire bousculée à la sortie de la poste par Jean-Baptiste et François voulant lui arracher son sac à main. Quant à la petite Fatima, pensant avoir le droit de sortir en jupe et se faisant insulter et cracher dessus par des catholiques intégristes, je préfère ne pas en parler tant l’émotion et la tristesse m’envahissent.
Il était, nous l’avons dit, vraiment plus qu’urgent que tous ces phénomènes odieux soient dénoncés avec force, avec une véhémence en rapport avec leur ampleur, et, en tant que contribuable français, je suis fier d’avoir apporté mon écot aux centaines de milliers d’euros dépensés pour traiter cette urgence politique et sociale.
À moy que chault !
• D’abord mis en ligne sur A moy que chault !, le 21 mars 2016.
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I-Média S03E09 Commémoration des attentats : monopole des bisounours
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Jean-Marie Le Pen : La race comme le climat, ça n’existe pas.
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6 730 SDF sont morts dans la rue ces trois dernières années en France
6.730 morts dans la rue en trois ans en France. S’ils avaient été clandestins, paradoxalement, ils auraient bénéficié des aides destinées aux prétendus réfugiés. Mais dans leur grande majorité il s’agit de simples français, souvent de souche, écorchés par la vie. De ceux qu’on abandonne au profit des étrangers, surtout lorsqu’ils sont clandestins, vers qui se portent tous les fonds de solidarité publics, anciens et nouveaux. C’est le Quotidien du Médecin, peu suspect d’inventer des histoires, qui donne ce chiffre.
Près de 7.000 « sans domicile fixe » seraient morts dans la rue entre janvier 2008 et décembre 2010 explique-t-il : « Rien que pour l’Ile-de-France nous recevons des signalements de décès tous les jours, un peu par hasard. (…). Là, c’est énorme »
Et encore, ce chiffre n’est-il pas exhaustif !
Être sans domicile fixe induit un risque très élevé de mortalité, rappellent les auteurs. Les études menées à l’étranger, notamment aux États-Unis et au Canada, rapportaient un taux de mortalité entre 3 et 13 fois supérieur à celui de la population générale. Et ce sont surtout les hommes jeunes qui meurent dans la rue. « Les causes de décès ne sont pas très différentes de celles de la population générale », explique Lise Grout. « Il s’agit pour les hommes de cause cardiaque, ou externe, agressions, suicides, qui sont celles que l’on retrouve dans la population masculine au même âge. Sauf que l’âge moyen de décès dans la rue est de 45 ans contre 77 ans dans la population générale ».L’INSEE reportait une augmentation de 50 % des SDF au cours de la dernière décennie et estimait à 144.000 le nombre de personnes vivant dans la rue en 2012.
Quand le nombre de Sans-domicile-fixe atteint de tels chiffres, il ne s’agit plus de marginaux, mais d’un phénomène de société. Une société qui ouvre ses portes et le fruit de ses impôts aux jeunes étrangers d’autres continents, en quête de conditions économiques meilleures, mais qui les ferme à ses propres ressortissants.
Source : MPI
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"Il existe des camps d'entraînement dans les quartiers"
C'est ce que déclare Samia Ghali, sénatrice PS des Bouches-du-Rhône et maire des 15e et 16e arrondissements de Marseille :
« Tout le monde a laissé tomber ces quartiers partout en France. On les a abandonnés, on les a laissés en se disant qu'ils se débrouilleraient entre eux, que l'on n'a pas besoin d'eux. On n'aime pas, en France, les gens de ces quartiers, et ils le savent. »
«[Il y a] des camps d'entraînement dans les quartiers où les gens s'entraînent à tirer ». « On est quand même en France, au XXIe siècle, et j'en suis à demander à ce qu'on monte un mur dans une école pour que les balles des kalachnikovs ou des fusils ne se retrouvent pas dans la cour de récréation ».
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La bourgmestre de Molenbeek préfère-t-elle les islamistes aux identitaires ?