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immigration - Page 1095

  • SI VIS PACEM, PARA BELLUM *

    Pieter Kerstens Notre correspondant à Bruxelles

    Ce 22 mars 2016 restera un cas d’école pour la plupart des responsables de la Police, des Services de Renseignements, de l’Armée et de la Justice. Leurs carences se paient dans le sang.

    Preuve a été faite (malheureusement) que malgré les mises en garde, les niveaux de sécurité maximum, les plans « Vigipirate » ou « Sentinelle » et malgré les chamailleries autour de la déchéance de nationalité, le terrorisme frappe où il veut, quand il veut et comme il veut.

    RESTEZ CHEZ VOUS !

    Ce fut la consigne donnée le matin du 22 mars à l’ensemble de la population belge par le gouvernement, en charge de la sécurité première de nos libertés. Et l’on est maintenant en droit de se demander si réellement les Ministres, les responsables de l’Administration, les Chefs des Services de Renseignements, de la Sécurité, de la Justice et l’ensemble de la classe politico-médiatique sont compétents, expérimentés et efficaces. Comment l’ennemi n°1 en Europe, Salah ABDESLAM a-t-il pu échapper aux recherches durant plus de 4 mois ? Comme Superman ?

    A croire le criminologue Xavier RAUFER qui s’exprimait ce 22 mars sur Boulevard Voltaire : « Les services en charge du terrorisme sont une véritable usine à gaz, en France, comme en Belgique ». Et selon Johan LEMAN (ex-président du Centre pour l’Egalité des Chances) « c’est vrai qu’il existe depuis longtemps une nébuleuse terroriste à Molenbeek » (Le Figaro du 23 mars).

    Depuis de nombreuses années et très certainement depuis le début de 2015, le coût de la peur, entretenue par des dirigeants belges incapables, s’élève à des centaines de millions, sans pour autant garantir, on l’a vu, la sécurité dans les lieux publics, protégés par la Police et par l’Armée, avec même des déploiements de blindés. On est dans la posture, dans l’ubuesque théâtral.

    Pour un doigt, tout le bras. Pour un œil, toute la gueule !

    La Belgique aussi a connu de grandes catastrophes et le peuple a su faire front, comme lors de l’incendie du grand magasin Innovation le 22 mai 1967 avec 323 morts et 150 blessés, puis le 29/5/1985 avec le drame du Heysel avec 39 morts et 454 blessés. Mais il apparait que les leçons du passé ne servent à rien et que nos ministres sont atteints d’amnésie pour ce qui est des attentats, de leurs origines, de leur préparation et de la recherche des renseignements.

    A Paris, le 27/5/1995, c’est le GIA qui est responsable de 8 morts et de 117 blessés.

    A Paris, le 3/12/1996 c’est un nouvel attentat (GIA ?) qui cause 4 morts et 91 blessés.

    A Madrid, le 11/03/2004 c’est Al-Qaïda qui revendique 191 morts et 1.900 blessés.

    Puis à Londres, le 7/7/2005, 4 musulmans britanniques tuent 56 personnes et en blessent 700.

    A Paris encore, le 13/11/2015, des attentats de DAESH causent 130 morts et 413 blessés.

    A Bruxelles, le 22 mars 2016, DAESH revendique 31 morts et 306 blessés.

    Au grand désarroi des pourriticards à la tête de nos gouvernements, les assassins sont issus de l’immigration arabo-musulmane de la 2ou 3e génération. STUPEUR : alors l’intégration ne fonctionne pas ? L’assimilation est en panne ? L’ascenseur social est bloqué ? N.T.M ?

    OUI, Messieurs les Gouvernants, vous avez du sang sur la conscience ; vos tergiversations et votre société « citoyenne » ne servent plus à masquer vos veuleries, vos hypocrisies et vos lâchetés, destinées à nous imposer vos utopies de l’immigration-invasion qui nous conduisent à un choc sanglant de civilisations. Et si l’on essayait le contre-terrorisme ? Par anticipation….

    * "Pour éviter d’être attaqué, le meilleur moyen est de se mettre en état de se défendre". Végèse (IVe siècle)

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2016/03/24/si-vis-pacem-para-bellum-5779289.html

  • Christopher Caldwell : «Les intuitions de Houellebecq sur la France sont justes»

    2997283469.jpgDans son livre, une Révolution sous nos yeux, le journaliste américain Christopher Caldwell annonçait que l'islam allait transformer la France et l'Europe. En exclusivité pour FigaroVox, il réagit aux attentats de bruxelles.
    Après Paris, Bruxelles est frappée par le terrorisme islamiste. A chaque fois la majeure partie des djihadistes sont nés dans le pays qu'ils attaquent. Cela révèle-t-il l'échec du multiculturalisme?
    Peut-être, mais je ne suis pas sûr que le mot «multiculturalisme» signifie encore quelque chose. Il ne faut pas être surpris qu'un homme né européen commette des actes de terrorisme européen. C'est pour l'essentiel une question pratique. Le terrorisme requiert de la familiarité avec le terrain d'opération, le “champ de bataille”. C'est une chose très difficile que de constituer une équipe de terroristes en passant plusieurs frontières pour mener à bien une opération dans un pays étranger - même si cela peut être réalisé, comme les attentats du 11 Septembre l'ont montré.
    Au surplus, l'ensemble des droits et libertés constitutionnels de l'Union européenne, en commençant par Schengen, donne un éventail particulièrement large de possibilités à tout jeune Européen en rupture. Regardez ces terroristes belges. L'artificier Najim Laachraoui est allé en Syrie pour se battre aux côtés de Daech, mais personne n'a su comment il était revenu à Bruxelles. Ibrahim el-Bakraoui a été condamné à 9 ans de prison pour avoir tiré sur un policier en 2010. Mais il a également été arrêté plus récemment par la Turquie à Gaziantep, à la frontière syrienne, et identifié comme un combatant de Daech. Et tout cela est resté sans conséquences.
    Diriez- vous que derrière l'islamisme guerrier de Daesh, l'Europe est-elle également confrontée à une islamisation douce un peu comme dans le dernier livre de Houellebecq, Soumission ?
    Quand j'ai lu le livre de Houellebecq, quelques jours après les assassinats à Charlie Hebdo, il m'a semblé que ses intuitions sur la vie politique française étaient tout à fait correctes. Les élites françaises donnent souvent l'impression qu'elles seraient moins perturbées par un parti islamiste au pouvoir que par le Front national.
    La lecture du travail de Christophe Guilluy sur ces questions a aiguisé ma réflexion sur la politique européenne. Guilluy se demande pourquoi la classe moyenne est en déclin à Paris comme dans la plupart des grandes villes européennes et il répond: parce que les villes européennes n'ont pas vraiment besoin d'une classe moyenne. Les emplois occupés auparavant par les classes moyennes et populaires, principalement dans le secteur manufacturier, sont maintenant plus rentablement pourvus en Chine. Ce dont les grandes villes européennes ont besoin, c'est d'équipements et de services pour les categories aisées qui y vivent. Ces services sont aujourd'hui fournis par des immigrés. Les classes supérieures et les nouveaux arrivants s'accomodent plutôt bien de la mondialisation. Ils ont donc une certaine affinité, ils sont complices d'une certaine manière. Voilà ce que Houellebecq a vu.
    Les populistes européens ne parviennent pas toujours à développer une explication logique à leur perception de l'immigration comme origine principale de leurs maux, mais leurs points de vues ne sont pas non plus totalement absurdes.
    Dans votre livre Un révolution sous nos yeux, vous montriez comment l'islam va transformer la France et l'Europe. Sommes-nous en train de vivre cette transformation ?

    Très clairement.
    Celle-ci passe-t-elle forcément par un choc des cultures ?
    C'est difficile à prévoir, mais ce qui se passe est un phénomène profond, anthropologique. Une culture - l'islam - qui apparaît, quels que soient ses défauts, comme jeune, dynamique, optimiste et surtout centrée sur la famille entre en conflit avec la culture que l'Europe a adoptée depuis la seconde guerre mondiale, celle de la «société ouverte» comme Charles Michel et Angela Merkel se sont empressés de la qualifier après les attentats du 22 Mars. En raison même de son postulat individualiste, cette culture est timide, confuse, et, surtout, hostile aux familles. Tel est le problème fondamental: l'Islam est plus jeune, plus fort et fait preuve d'une vitalité évidente.
    Certains intellectuels comme Pierre Manent propose de négocier avec l'islam. Est-ce crédible? Les «accommodements raisonnables» peuvent-ils fonctionner?

    Situation de la France de Pierre Manent est un livre brillant à plusieurs niveaux. Il a raison de dire que, comme pure question sociologique, l'Islam est désormais un fait en France. Manent est aussi extrêmement fin sur les failles de la laïcité comme moyen d'assimiler les musulmans, laïcité qui fut construite autour d'un problème très spécifique et bâtie comme un ensemble de dispositions destinées à démanteler les institutions par lesquelles l'Église catholique influençait la politique française il y a un siècle. Au fil du temps les arguments d'origine se sont transformés en simples slogans. La France invoque aujourd'hui, pour faire entrer les musulmans dans la communauté nationale, des règles destinées à expulser les catholiques de la vie politique.
    Il faut aussi se rappeler que Manent a fait sa proposition avant les attentats de novembre dernier. De plus, sa volonté d'offrir des accomodements à la religion musulmane était assortie d'une insistance à ce que l'Islam rejette les influences étrangères, ce qui à mon sens ne se fera pas. D'abord parce que ces attentats ayant eu lieu, la France paraîtrait faible et non pas généreuse, en proposant un tel accord. Et aussi parce que tant que l'immigration se poursuivra, favorisant un établissement inéluctable de l'islam en France, les instances musulmanes peuvent estimer qu'elles n'ont aucun intérêt à transiger.
    «Entre une culture qui doute d'elle-même et une culture forte, c'est la culture forte qui va l'emporter...» écrivez-vous en conclusion de votre livre. L'Europe des Lumières héritière de la civilisation judéo-chrétienne et gréco-romaine est-elle appelée à disparaître?
    L'Europe ne va pas disparaître. Il y a quelque chose d'immortel en elle. Mais elle sera diminuée. Je ne pense pas que l'on puisse en accuser l'Europe des Lumières, qui n' a jamais été une menace fondamentale pour la continuité de l'Europe. La menace tient pour l'essentiel à cet objectif plus récent de «société ouverte» dont le principe moteur est de vider la société de toute métaphysique, héritée ou antérieure (ce qui soulève la question, très complexe, de de la tendance du capitalisme à s'ériger lui-même en métaphysique). A certains égards, on comprend pourquoi des gens préfèrent cette société ouverte au christianisme culturel qu'elle remplace. Mais dans l'optique de la survie, elle se montre cependant nettement inférieure.
    Christopher Caldwell est un journaliste américain. Il est l'auteur de Une Révolution sous nos yeux, comment l'islam va transformer la France et l'Europe paru aux éditions du Toucan en 2011.

    Le Figaro :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/di_varia/EuVlAVuAVymdOxBZvd.shtml

  • ANTI RACISME : DES SPOTS « PUBLICITAIRES », VRAIMENT ?

    2689171778.jpgLe bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

    Depuis lundi une campagne « contre le racisme et l’antisémitisme » envahit nos petits écrans avec des spots d’un goût douteux et, surtout, d’un scandaleux parti pris. On ne visionne que des agressions de personnes de confession juive, des africains ou des maghrébins, avec en fond sonore des commentaires haineux ou sarcastiques dignes des « brèves de comptoirs » du café du commerce…

    Vous pensiez que le Service d’Information du Gouvernement (SIG) serait objectif et qu’il n’oublierait pas les nombreux actes anti-chrétiens ou anti-Français qui, de jour en jour, émaillent le quotidien de vos… quotidiens ? Que nenni. Rien sur les insultes du type « sale Français » ou « têtes de fromage », rien sur les aimables slogans « Français dehors » qui fleurissent sur les murs antillais ou corses – j’ai des photos à la disposition de ce « SIG » - rien sur les agressions des forces de l’ordre, pompiers et autres praticiens de SOS médecins qui sont, forcément, Français… Pas un mot pour les « petits blancs » qui survivent dans les « cités de non droit » et autres « quartiers difficiles » en rasant les murs ou pour les commerçants qui désertent ces mêmes quartiers pour cause d’insécurité, une insécurité due, essentiellement, à leurs origines autochtones. Et que dire des aimables paroles qui fleurissent dans les litanies des rappeurs ? Le « cassage de gueule » du « de souche » ou la profanation du cimetière chrétien, cela ne semble pas intéresser, pas vraiment, les ligues de vertu comme SOS RACISME, la LICRA, le MRAP ou la LDH. Pourquoi ?

    Les victimes, pour ces associations-là dont certaines vivent grâce aux subventions, ce sont forcément les immigrés ou les descendants de migrants pour utiliser un mot à la mode. Mais les faits sont têtus et des slogans comme « Tous unis contre la haine » sont cruellement démentis par une brûlante actualité. Car tous ne sont pas « unis contre la haine », tant s’en faut. Après les massacres de Charlie Hebdo  et du supermarché kasher, après les exactions commises par des gens « dérangés » contre un commissariat ou une rame Thalys, après les mitraillages des terrasses de restaurants et de la salle du Bataclan ou encore le froid assassinat d’une jeune femme à Villejuif - j’en oublie - on peut effectivement dire que « Le racisme commence par des mots, ça finit par des crachats, des coups, du sang » et on pourrait même ajouter, « par des bombes », comme à Bruxelles ! Depuis des années, des torrents de haine se déversent sur nos vieux pays d’Europe, des torrents alimentés par une pensée religieuse pervertie sans aucun doute, poussée au paroxysme, chauffée jusqu’à l’incandescence.

    Une bande de saltimbanques du PAF, de Claire Chazal, vous savez la smicarde du petit écran, à Sébastien Folin en passant par le précieux Stéphane Bern, parrainent cette initiative à sens unique. Cela ne fait pas honneur à leur sens de l’équité, mais que pouvons-nous attendre de ces gens-là qui vivent dans leurs ghettos de riches ?

    UNE PROPAGANDE DIGNE D’UN ETAT TOTALITAIRE

    L’INED, l’Institut National des Etudes Démographiques qui ne saurait être soupçonné de sympathie pour « l’extrême droite », avait reconnu et identifié dans une étude rendue publique en 2008, les termes de « majoritaires » pour désigner les « blancs » et « minoritaires » pour les autres ethnies. On pouvait lire, sans rire, que « le racisme des minoritaires à l’encontre des majoritaires peut blesser verbalement, voire être agressif physiquement ». Mais c’était aussitôt un rétropédalage pour minorer ce constat et pratiquer la politique de l’excuse : « 15% seulement des majoritaires en ont été victimes » et cela n’était « qu’une réaction face à des personnes qui, par leur origine, leur apparence, leur couleur, leur position sociale ou leur comportement peuvent incarner la classe ou la “ race ” - le vilain mot ! – des dominants et des racistes ». Fermez le ban ! Et si ces gens là, les « riches », forcément « blancs », avaient utilisé la cinglante répartie de Jean Gabin, « salauds de pauvres » dans le merveilleux film La traversée de Paris ? Le clivage social recoupant le clivage « racial » ? La vérité est toute autre. Alors que cette campagne « publicitaire » - « propagandastaffel », vous avez dit « propagandastaffel » ? – va s’étaler sur nos petits écrans pendant une bonne semaine, les fous furieux se réclamant d’une religion de « paix et d’amour » fourbissent leurs armes. Hier Londres, Madrid, Paris et Copenhague, aujourd’hui Bruxelles, à qui le tour demain ? Nous, en bons citoyens, nous ne pratiquons pas l’amalgame, nous sommes cohérents avec nous-mêmes… Nous savons que si tous les musulmans dans leur immense majorité ne sont pas, Dieu merci, des « terroristes », tous les terroristes islamistes se réclament du Prophète. Alors, dans cette ambiance nauséabonde, à qui sert cette campagne qui stigmatise, qu’on le veuille ou non, les « majoritaires » pour emprunter le vocable de l’INED en 2008 ? Elle ne rend pas service au pays et, au pire, risque d’aboutir à l’opposé de ce que recherchent leurs initiateurs.

    Nous savons que « Jupiter rend fous ceux qu’il veut perdre ». Alors nous, les Français nationalistes, identitaires et nationaux, gardons la tête froide et ne tombons pas dans le piège tendu par nos adversaires. Mais disons tout haut et bien fort que nous ne sommes pas dupes…

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • De la délinquance au terrorisme

    L’expérience acquise par les forces de police françaises, britanniques et belges, ces dernières années, démontre à l’évidence que la très grande majorité des kamikazes djihadistes et des candidats terroristes arrêtés avant d’avoir pu nuire n’étaient pas des prix de vertu avant leur passage au crime aveugle et de masse, ce qui définit le terrorisme spectaculaire de ces dernières années, alors qu’autrefois, le terrorisme était davantage ciblé.
    La filiation entre délinquance, criminalité de droit commun et criminalité djihadiste est très logique. Dès l’adolescence, les jeunes transplantés et les fils d’immigrants africains ou proche-orientaux nés en Europe, lorsqu’ils ne sont ni doués pour les études ni motivés par le monde du travail et la création d’une famille honorable, se lancent dans le racket, le vol à l’arrachée, puis le trafic de haschich.
    Le viol des « petits culs blancs » revêt pour eux une double signification : raciste et pseudo-scientifique, enseignée par certains imams et ulémas. À la joie maligne de déshonorer une « meuf à cul blanc » – c’est la motivation raciste -, se surajoute la mission d’ensemencer à vie une Blanche qui donnera naissance à des métis de musulman : c’est la très stupide théorie de la télégonie, selon laquelle le premier mâle à féconder une femme lui imprime sa marque à jamais, pour toute sa descendance, même issue de pères différents.
    Le banditisme – attaques à main armée ; meurtres couplés au vol ; pillages de stocks d’armes et de munitions ; trafic d’armes et de stupéfiants à grande échelle – traduit le passage à un niveau de nuisance supérieur. Dans les civilisations où l’on privilégie la palabre au travail, il est important pour le malfrat de trouver une justification de noble apparence à ses actes crapuleux : rien de tel que de se parer du titre de djihadiste, même quand les actes ont pour seule motivation l’enrichissement personnel illicite.
    Que reste-t-il comme solution à un psychopathe – soit : un glorieux incapable – ou à un sociopathe – dévoré par la seule joie de nuire au plus grand nombre possible d’honnêtes citoyens – lorsqu’on est nul en tout et bon à rien d’utile ? Le sacrifice de sa vie au service d’une très curieuse conception de la divinité : un dieu assoiffé du sang d’infidèles et d’apostats, exigeant des carnages et des conversions forcées.
    À bout de souffle, la terreur de banlieue, le repris de justice voulant « laisser sa marque » dans sa communauté, en est réduit au pari ordalique : il accepte de mourir au service d’Allah, à la triple condition de se faire accompagner d’un maximum d’innocents dans son trépas de glorieux fanatique, de produire un maximum de mousse journalistique pour édifier d’autres crétins de banlieues et de se retrouver au paradis de son dieu bizarre, un paradis peuplé de houris et où coule le vin en abondance.
    Vider nos prisons des racailles issues de l’immigration-invasion n’est une bonne chose qu’à l’unique condition de les dénaturaliser et de les expulser avec l’assurance d’une mort discrète en cas de retour en Occident. On ne combat pas le terrorisme avec de pseudo-mesures de démocrate timoré. On n’entre pas dans une guerre de races et de religions encombré d’une 5e Colonne, parasitant les forces de police et de gendarmerie, l’armée et le gardiennage de prison.
    La Nation est en droit d’exiger de ses gouvernants les mesures les plus rudes et de pur bon sens, puisque l’État a pour seule justification de protéger les honnêtes citoyens des canailles et des crapules.

    Docteur Bernard Plouvier

    http://www.voxnr.com/cc/di_varia/EuVlAAkuZySMcGymKU.shtml

  • Génération identitaire appelle à manifester le 2 avril à Molenbeek : « Expulsons les islamistes ! »

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    BRUXELLES (NOVOpress) : Le mouvement Génération identitaire, qui se définit comme « la barricade sur laquelle se dresse la jeunesse en lutte pour son identité », appelle à une « grande manifestation européenne le 2 avril à Molenbeek ». Le mot d’ordre : « Expulsons les islamistes ! »

    Dans un communiqué, Génération identitaire explique : « En seulement un an, des attentats islamistes ont déjà tué près de 200 personnes sur le sol européen. Il est grand temps d’en finir avec les “je suis“, les bougies et les marches blanches pour enfin sonner le signal de la Reconquête.

    Le quartier de Molenbeek, à Bruxelles, apparaît comme un véritable vivier islamiste et la base logistique de nombreux terroristes. Si ce quartier n’est malheureusement pas le seul dans cette situation en Europe, il est un symbole de la guerre qui se joue non pas à Palmyre ou Mossoul, mais en nos murs.

    Génération Identitaire appelle donc la jeunesse européenne à se rassembler sur la place communale de Molenbeek le samedi 2 avril à 15 h avec un message simple et clair : à Molenbeek comme ailleurs, “Islamistes hors d’Europe !“. »

    http://fr.novopress.info/

  • Tous unis contre le racisme anti-blanc : la vidéo de Génération identitaire

    (NOVOpress) : Un petit clip a été oublié par le gouvernement français dans sa campagne antiraciste #TousUnisContreLaHaine. Génération Identitaire s’est occupé d’y remédier.

    http://fr.novopress.info/

  • Quand Houellebecq décrivait Bruxelles comme un « sanctuaire terroriste »

    Lanzarote est un récit de Michel Houellebecq paru en 2000 chez Flammarion. Ce « récit sur photographie », tenu pour mineur, s’inscrit dans son œuvre après Les Particules élémentaires (1998) et avantPlateforme (2001). Dans l’île de Lanzarote, aux Canaries, le narrateur – un double de l’auteur – rencontre deux lesbiennes allemandes et Rudi : « Il s’avéra que Rudi était inspecteur de police, et qu’il vivait à Bruxelles. Au cours du repas, il me parla de la ville avec amertume. La délinquance y était envahissante : de plus en plus souvent les groupes de jeunes attaquaient les passants en pleine journée, au milieu des centres commerciaux. Quant à la nuit, il ne fallait pas y songer : cela faisait bien longtemps que les femmes seules n’osaient plus sortir après le coucher du soleil.L’intégrisme islamique avait pris des proportions alarmantes ; après Londres, Bruxelles était maintenant devenue un sanstuaire terroriste. »

    Plus tard, Rudi écrit dans un message :

    « Vous ignorez probablement ce que c’est qu’être flic ; vous ne réalisez  pas à quel point nous formons une société à part, repliée sur ses propres rites, tenue dans la suspicion et le mépris par le reste de la population. Vous ignorez sans doute encore davantage ce que c’est qu’être belge. Vous ne mesurez pas la violence – latente ou réelle –, la méfiance ou la crainte auxquelles nous sommes confrontés dans nos rapports quotidiens les plus élémentaires. Essayez, à titre d’exemple, de demander votre chemin à un passant dans les rues de Bruxelles : le résultat vous surprendra. Nous ne formons pus, en Belgique, ce qu’il est convenu d’appeler une “société” ; nous n’avons plus rien en commun que l’humiliation et la peur. C’est une tendance, je le sais, commune à l’ensemble des nations européennes ; mais, pour différentes raisons (qu’un historien serait sans doute à même d’élucider), le processus de dégradation a atteint une gravité particulière en Belgique. »

    http://fr.novopress.info/

  • Face au fondamentalisme islamiste, l’hésitation est fatale

    Une réflexion de Mathieu Bock-Côté - comme toujours pertinente et profonde . Rappelant des principe de sagesse politique perdue. Et venue de Montréal.  

    Les attentats qui ont frappé la Belgique provoquent chez certains d’étranges sentiments : ils se disent las, ils voudraient que cela cesse par enchantement et ils en appellent surtout à la venue sur terre de la Paix, à la manière d’un principe rédempteur venant civiliser les hommes et les empêchant de s’entretuer. Ils voudraient qu’on déclare la Paix à l’humanité, et que chacun, inspiré par ce grand élan du cœur, range ses fusils et ses bombes. Quand une bombe saute dans un métro, ils publient sur les réseaux sociaux des symboles de paix et chantent Imagine ou Give Peace a Chance. Il y a peut-être quelque chose de beau dans cette conviction sincère que l’amour nous sauvera. Il y a aussi peut-être une forme de naïveté aussi exaspérante que paralysante.

    La paix n’aura pas lieu

    Car en attendant la parousie, en attendant cette sublime délivrance, ce ne sont pas les déclarations de paix qui sauveront les peuples et les protégeront mais la résolution à faire la guerre à un ennemi intérieur et extérieur, l’islam radical, qui s’est décidé quant à lui à humilier et soumettre la civilisation européenne. Devant le fondamentalisme islamiste, ses militants résolus et ses convertis qui sont manifestement attirés par sa fureur guerrière et sa cruauté revendiquée, il faut d’abord compter sur de bons services de renseignement, sur des policiers aguerris, sur des soldats d’expérience, sur des frontières efficaces et sur une ferme volonté de le combattre. En un mot, il faut avoir les moyens de se défendre, de le combattre et de le vaincre.

    La guerre. Pour bien des Occidentaux, c’est un gros mot. Et répondre par la guerre à la guerre, ce serait apparemment une réponse simpliste. Nos bons esprits progressistes qui n’en finissent plus d’admirer leur propre grandeur d’âme voudraient qu’on se penche plutôt vers les racines profondes de l’hostilité entre les hommes et refusent de comprendre, parce que cela offusquerait leurs principes, que la violence est constitutive de l’histoire humaine. On peut la réguler, la contenir, la civiliser même : on ne pourra jamais l’éradiquer et en venir à bout une fois pour toutes.

    Nos bons esprits, en un mot, s’imaginent toujours que la réponse militaire à une agression terroriste est une dérive populiste faite pour alimenter les simples d’esprit. Ils souhaiteraient qu’on parle d’exploitation sociale, de lutte à la pauvreté, de dialogue entre les civilisations. Ils s’imaginent que si chacun s’ouvrait à l’Autre, l’humanité se délivrerait des conflits (sans s’imaginer qu’en connaissant mieux l’autre, il se peut qu’on s’en méfie davantage). Ils veulent se réfugier dans la stratosphère des discours généreux et pacifistes pour éviter d’avoir à sortir leurs canons, leurs fusils et leurs blindés. Ils veulent s’extraire du conflit au nom de la conscience universelle  et surplomber les camps en présence. En d’autres mots, ils veulent fuir le réel qui égratigne leurs principes splendides.

    La violence, en quelque sorte, est un fait anthropologique irréductible, et il est sot de croire qu’un jour, les hommes vivront à ce point d’amour qu’il n’y aura plus entre les groupes humains des conflits à ce point profonds qu’ils puissent dégénérer en conflits armés. La guerre est l’expression politique de la violence. Évidemment, d’une époque à l’autre, la guerre change de visage. Aujourd’hui, elle ne se fait plus vraiment en uniforme. Elle prend la forme d’une guérilla s’appuyant sur une cinquième colonne installée dans des forteresses islamistes comme Molenbeek. On a tort de parler du terrorisme en soi. Le terrorisme n’est que le moyen avec lequel les islamistes nous font la guerre.

    La guerre de religion est la plus sauvage d’entre toutes

    On ajoutera qu’il ne s’agit pas d’une guerre classique mais d’une guerre d’éradication qui nous a été déclarée par des fondamentalistes musulmans qui sont prêts à l’ultime sacrifice pour nous rayer de la carte ou nous soumettre à leur Dieu. La guerre de religion est la plus sauvage d’entre toutes parce qu’elle déshumanise radicalement l’ennemi – il est transformé en représentant du diable qui ne mérite pas sa place sur terre. Au vingtième siècle, elle s’est maquillée en guerre idéologique mais il s’agissait encore une fois de rayer de la surface de la planète ceux qui ne communiaient pas à la bonne foi ou de les y convertir de force.

    Entre le fanatisme des enragés d’Allah et le laxisme mollasson des sociétés occidentales, il y a un contraste fascinant et on ne peut que souhaiter que ces agressions à répétition contre des villes et des pays au cœur de la civilisation européenne réveillent leur instinct civique pour l’instant endormi. L’histoire est une source infinie de méditation et de méditations. Ce n’est pas un drapeau blanc qui a stoppé Hitler mais la ferme résolution des alliés à lui faire la guerre pour le vaincre et éradiquer le nazisme. Ce ne sont pas de belles âmes dissertant sur la paix universelle qui ont empêché l’armée rouge d’occuper l’Europe occidentale mais l’armée américaine qui y avait installé ses bases.

    De même, devant l’islamisme, qui bénéficie à la fois de l’appui d’États étrangers et de réseaux bien implantés dans les grandes villes européennes, et qui peut manifestement frapper n’importe quelle cible, qu’elle soit aussi banale qu’une terrasse de café ou stratégique qu’un aéroport, il faudra apprendre à faire la guerre de notre temps. Devant l’ennemi, il faudra moins pleurer et larmoyer qu’être révolté et en colère. Et d’abord et avant tout, il faudra nommer l’ennemi. Non pas « la religion ». Non pas « le fanatisme ». Mais l’islamisme, qui s’est aujourd’hui juré de casser le monde occidental. 

    Le Journal de Montréal

    Mathieu Bock-Côté est docteur en sociologie et chargé de cours aux HEC à Montréal. Ses travaux portent principalement sur le multiculturalisme, les mutations de la démocratie contemporaine et la question nationale québécoise. Il est l'auteur d'Exercices politiques (VLB éditeur, 2013), de Fin de cycle: aux origines du malaise politique québécois (Boréal, 2012) et de La dénationalisation tranquille: mémoire, identité et multiculturalisme dans le Québec post-référendaire (Boréal, 2007). Mathieu Bock-Côté est aussi chroniqueur au Journal de Montréal et à Radio-Canada.

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Journal du Vendredi 25 Mars 2016 : Terrorisme / Un nouvel attentat déjoué ?