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immigration - Page 1118

  • La France s’enfonce dans la barbarie

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    Dr Bernard Plouvier 

    La nuit de la Saint-Sylvestre 2015, tandis que des hordes d’immigrés presque tous musulmans s’attaquaient à des centaines d’Allemandes et en violaient des dizaines à Cologne, Hambourg et autres lieux, une crapule sabotait l’installation électrique de l’hôpital de Millau (dans l’Aveyron), risquant de bouter le feu à un centre de soins hébergeant une quarantaine de personnes.

    Au mois de juin 2016, d’autres crapules, des gauchistes ameutés par des slogans de syndicalistes, ont brisé les fenêtres de l’hôpital Necker à Paris. Appelons les êtres et les choses correctement : une crapule est un être pervers – soit un individu qui est dangereux pour la santé d’autrui, éventuellement pour la sienne. S’attaquer à un centre de soins ou à un soignant, c’est volontairement ôter une chance d’être secouru à qui est malade, blessé ou en détresse.

    On ne cesse de nous tympaniser lorsqu’une synagogue ou une mosquée sont vandalisées (en se moquant des dizaines d’églises et de cimetières chrétiens profanés chaque année depuis plus de dix ans). Il est infiniment plus grave de s’en prendre à l’organisation des soins. Tout le monde ne croit pas en une quelconque divinité… et les musulmans font tout pour que l’on haïsse le nom d’allah. Mais tout le monde a, un jour ou l’autre, besoin de se faire soigner.

    En 1914-15 – ça n’a plus été le cas ensuite -, les médecins et brancardiers capturés par une armée ennemie lors d’opérations militaires étaient renvoyés dans leur pays d’origine, via la Suisse. Durant la guerre suivante où un degré de plus dans l’horreur fut escaladé, l’on filma des aviateurs alliés qui tiraient sur des ambulances, notamment lors du bombardement de terreur de Dresde, en février 1945… mais les esprits étaient chamboulés par l’état de guerre.

    De nos jours, on n’hésite plus à s’attaquer aux vieillards et aux enfants, on saccage et on incendie par simple ivresse de puissance (toute temporaire soit-elle) et l’on s’en prend aux soignants ou aux malades.

    Certes, depuis les années 1980, de nombreuses cités sont périodiquement mises à feu et à sang par les fruits pourris de l’immigration exotique. Certes, les crapules djihadistes assassinent à tout-va et d’autres crapules violent de façon pluriquotidienne en France.

    Mais faut-il que des Blancs se jettent eux aussi dans la plus immonde barbarie ? Si des syndicalistes, des activistes trotskistes, des crétins désœuvrés ont un surcroît d’énergie à dépenser, qu’ils le fassent en organisant des milices d’autoprotection contre les trafiquants d’armes et de drogue, contre les racketteurs, contre les centres de prêche du Djihâd.

    Si les Français de souche européenne se jettent aussi dans la bagarre, qu’au moins ils le fassent dans l’intérêt de la Nation et non pour le plus éculé des slogans, celui qui a provoqué directement 100 à 120 millions de morts au XXIe siècle : la sordide lutte des classes.

    La France est en péril de destruction par l’islam djihadiste et par l’effet d’une immigration-invasion. C’est infiniment plus grave qu’un texte de loi mal torché, issu d’un pseudo-pouvoir qui a peu de chances d’être reconduit, l’an prochain, dans son exceptionnelle faculté de nuisance.

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  • L'intégration ? C'est possible ! Tant qu'il y aura des Hmongs...

    Mi-juin, à l'occasion de la Journée des morts pour la France en Indochine, un monument à la mémoire des victimes lao-hmongs a été inauguré à Aubigny-sur-Nère (Cher). En présence d'un millier de personnes, du 1er RPC et de nombreux Hmongs en tenue traditionnelle. C'est la première fois qu'un tel monument est érigé en France métropolitaine (sachant qu'il en existe un à Cacao, en Guyane). Tant qu'il y aura des Hmongs... Une de nos lectrices, présente à la cérémonie, témoigne de leur insertion motivée par un indéfectible attachement à la France :

    — Quand ils sont arrivés, en 1975, après avoir surmonté tous les périls, ils ont compris trois choses : 1. Qu'il était urgent d'apprendre le français ; 2. Que l'école était une chance pour leurs enfants : ils en ont beaucoup, dans leur culture c'est un honneur d'avoir une famille nombreuse. Il est arrivé qu'un jeune Hmong ne donne pas satisfaction : quand l'enseignant convoquait les parents, ils venaient immédiatement et tout rentrait dans l'ordre. Je ne connais pas de jeunes Hmongs chômeurs : ils ont presque tous un diplôme, du CAP au diplôme d'ingénieur ; 3. Ils ont eu à cœur de respecter les lois françaises. Quand ils ont compris que le retour dans leur pays serait impossible, ils ont demandé la nationalité française et choisi de porter des prénoms français (ou, parfois, inspirés par les feuilletons de la télé, anglo-saxons).

    Quand on leur proposera des cours de langue et de culture d'origine, ils refuseront : « On parle hmong à la maison. Nous préférons que nos enfants fassent plus de français à l'école. En plus, les professeurs de langue hmong auraient été nommés par l'ambassade laotienne et on ne veut pas que nos enfants soient soumis à la propagande communiste. »

    A méditer à l'heure où Najat Valaud-Belkacem veut programmer des cours de langue arabe dans les écoles primaires où la priorité serait plutôt de renforcer l'apprentissage du français pour des élèves qui le balbutient plus qu'ils ne le parlent.

    Mais Najat n'est pas dérangée, elle, par le fait que les enfants puissent être soumis à la propagande musulmane. ..

    A Aubigny-sur-Nère, il y a un conseiller municipal hmong qui organise un festival rassemblant les Hmongs (qu'on appelle aussi Méos) de la diaspora. Ils étaient plus de 2 000 l'an dernier. Il n'y a eu ni youyous, ni bavures, ni agressions, ni dégradations, ni bouzin après 22 heures. L'édition 2016 se tiendra le 29 juillet prochain.

    En 1977, j'ai assisté à Cacao, en Guyane, à l'arrivée de quelques centaines de Hmongs rescapés de l'horreur communiste (depuis, ils ont créé d'autres villages, notamment à Irabouco). On leur donna un coin de jungle pourrie. Sans se plaindre, ils la défrichèrent. En quelques mois, ils assuraient leur auto-suffisance. Puis ils fournirent du riz à toute la Guyane. Aujourd'hui, ils en exportent en métropole et leurs productions maraîchères fournissent largement les marchés de Cayenne.

    Inutile de dire que ces hommes et ces femmes, devenus français et fiers de l'être, ne sont pas bien vus d'une partie de la population taubiresque dans un département où l'assistanat est très répandu. Avec, à la clef, de véritables campagnes racistes à leur encontre. Au point que le gouvernement français, malgré des promesses réitérées, a décidé de ne plus accueillir de Hmongs en Guyane.

    Lors de l'inauguration du monument d'Aubigny-sur-Nère, Richard Thor, conseiller municipal et président de l'association des Lao-Hmongs de la ville, a déclaré : « La communauté hmong est très fière. Ce monument fait honneur à nos arrière-grands-parents, grands-parents et parents qui ont servi la France. C'est la reconnaissance de leur sacrifice. Les Hmongs ont toujours été fidèles à leurs engagements aux côtés de l'armée française. » L'intégration ? C'est possible ! La preuve.

    Alain Sanders

    alain.sanders@present.fr

    Lire Laos, la guerre oubliée (Robert Laffont) de Cyril Payen.

    PRESENT Mercredi 15 juin 2016

  • Après la sortie cette semaine de son nouveau livre "LE GRAND REMBARQUEMENT", Emmanuel Albach s'explique :

    Le titre de votre livre, Le Grand rembarquement, semble faire écho au Grand Remplacement de Renaud Camus. Est-ce par hasard ?

    Non bien sûr. J’avoue humblement que Renaud Camus m’a inspiré. Mais mon titre ne fait pas seulement écho : il parle aussi d’une fin heureuse, alors que le principe du grand remplacement, et tout ce que l’on entend un peu partout sur le caractère inéluctable de notre fin proche en tant que nation, nous décrit un avenir noir. Or rien n’est inéluctable. Rien n’est irréversible, c’est ce que nous apprend l’histoire : le destin d’une nation dépend de la volonté de ses membres. Ils peuvent se laisser mourir, ou se dresser. "Aux armes, citoyens !", dit notre hymne, non ?

    Hola ! Votre roman appelle les Français aux armes ? Vous allez tomber dans l’incitation à la sédition !

    On ne peut plus citer notre hymne national ? Et puis c’est un roman. Et l’on n’y trouvera rien qui tombe sous le coup de la loi. Mais voyez dans quelle situation nous nous trouvons : on nous oblige à accepter des trucs dégueulasses qui deviennent des normes, et l’on nous interdit d’en parler. Ce carcan que personne n’aurait pu imaginer il y a encore trente ans, emprisonne notre nation autant que la loi martiale d’un occupant : on en est réduit à chuchoter dans son coin, entre gens proches. Même au travail – je dirai même surtout au travail - on ne peut plus rien dire : il y a toujours des mouchards prêts à vous dénoncer à "la kommandantur". On se tait, on attend le moment où l’on pourra parler à nouveau. Et l’on entend que les collabos… ou les soit-disants « grands cerveaux », les stratèges qui nous expliquent où l’Histoire nous guide. Mais l’Histoire n’existe pas : cette idée d’une direction qui s’imposerait à nous, est un concept de ce phraseur de Marx.

    L’Histoire n’existe pas ? Pourtant la France a une histoire, non ?

    Cela, c’est celle qu’on voit dans le rétroviseur, celle qui est passée. L’histoire pour Marx, c’est un futur tout écrit : celui de la disparition inéluctable de notre monde occidental. Il devait nous détester énormément ! Or la vérité c’est plutôt « Fortuna imperatrix mundi » : la (bonne ou mauvaise) fortune, impératrice du monde. Qu’est-ce que cela veut dire ? Sinon que le hasard, la bonne fortune – ou la volonté de Dieu, diront les chrétiens - est plus puissante que les rois, et que des renversements « de fortune » sont toujours possibles. Des « fortunes », des opportunités se présentent, et c’est alors le moment de les saisir pour renverser une situation qui semblait perdue. Le destin des hommes reste toujours entre leurs mains. Au fond, nous sommes libres. C’est la peur qui nous rend impuissants, la crainte qui habite chacun d’être repéré par le Système qui nous oppresse, et qu’il lui pourrisse la vie… Pourtant qu’est-ce qui pourrait nous arriver de pire que de laisser un occupant voler leur avenir à nos enfants ? A quoi aurait servi notre vie si nous trahissions notre patrie ? Pour elle, pour cette terre où reposent nos ancêtres, pour nos enfants, nous n’avons pas le droit d’avoir peur. Pour eux, il faut savoir répondre à l’appel de notre hymne.

    Rien n’est irréversible ? Quand même, arrivé à un certain stade, souvent on ne peut plus changer grand-chose.

    Si vous aviez demandé en 1950 aux Français s’ils croyaient qu’un jour un million de leurs compatriotes d’Algérie devraient quitter les lieux en quelques mois, en laissant tout derrière eux, et abandonnés par l’Etat, personne n’y aurait cru. Personne. Cela semblait impossible. Les Français d’Algérie, qui y avaient construit un pays moderne, pensaient que leur œuvre les rendait définitivement légitimes sur cette terre. Ils étaient sûrs que les musulmans étaient conscients de ce qui avait été accompli et dont ils profitaient : l’eau courante, l’électricité, les hôpitaux, l’instruction, une alimentation saine… Cet acquis semblait donner un droit irréversible aux Français d’Algérie. Un « droit acquis ». Et pourtant, ils sont tous repartis en quelques mois… Un million de personnes, à une époque où le transport aérien était embryonnaire et le transport maritime minuscule au regarde de ce qu’il est devenu aujourd’hui… Alors, l’irréversibilité, moi je n’y crois pas. Il suffit de circonstances, et l’impossible devient d’un seul coup la seule solution possible…

    C’est cela le Grand Rembarquement ? Un exode massif ? Une re-migration ? Le drame des pieds noirs inversé ?

    Je ne peux pas vous raconter toute l’histoire. Il s’agit d’un roman, d’un « thriller », avec des rebondissements et une fin inattendue. Je ne peux pas trop déflorer l’intrigue… Cela raconte surtout comment des politiciens, qui n’entendent rien – c’est normal les Français en sont réduits à chuchoter, ils deviennent inaudibles ! - sinon les « communautés » qui obtiennent tous d’eux et qui ne savent donc plus rien de la France réelle, mais qui se prennent néanmoins pour de grands stratèges historiques, peuvent se croire tout permis avec notre nation, au point de la cabrer et qu’elle rejette toute autorité étatique ! Une erreur de trop, celle que l’on ne peut pardonner, c’est la fameuse « fortuna » que j’évoquais au début de cet entretien. Celle qui permet un renversement de fortune, et à un peuple de reprendre son destin en mains.

    C’est donc l’histoire d’une révolution ?

    Je suis convaincu que quelque chose va se passer et que la France, révulsée par ce qu’on lui fait avaler, va se mettre à vomir et que partout des gens vont entrer sans retenue en colère contre l’ennemi qui veut l’asservir. Il suffira d’abord qu’ici et là, la colère surpasse la peur. Et que quelques-uns osent… Et alors s’enclenchera quelque chose que plus rien n’arrêtera.

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    Emmanuel Albach à Beyrouth en 1976

    Ce qui est étonnant dans votre histoire c’est que cette révolte n’est pas organisée, elle est spontanée. N’est-ce pas un peu illusoire ?

    N’allez pas chercher les guides qui démarreraient une libération dans la classe politicienne. Cette dernière n’a trop souvent dans la tête qu’orgueil ou cupidité. Mais certains ont senti depuis longtemps ce qui se préparait alors que d’autres ne verront jamais rien. Alors je vois bien ceux qui ont pressenti les événements encadrer tout cela à un moment donné, ou se servir de ce qui se passe. Mais ils ne lanceront jamais cette révolte qui seule peut renverser la situation, et ils n’auront jamais l’audace de faire ce que la situation impose. C’est Du Guesclin qui a libéré la France de Charles V, un bouseux de Breton, un petit noble guère plus riche qu’un fermier de l’époque, entré en guerre avec une cinquantaine de copains et dont l’exemple a galvanisé les soldats de France. Pourtant, en son temps, la victoire anglaise semblait irréversible, tout comme au temps de jeanne d’Arc. Un bouseux illettré (il savait juste signer) et une gamine un peu folle, ont décidé que rien n’était irréversible. Pas des stratèges, je vous dis ; pas des gens comme il faut ; pas de grands bourgeois érudits. Une fille et un gars au grand cœur, qui n’avaient peur de rien, et qui n’avaient rien à perdre, sauf l’honneur de leur patrie !

    Votre précédent ouvrage relatait votre engagement au Liban, en 1976, aux côtés des phalangistes libanais. Quel rapport avec ce roman ?

    Le carcan du Liban s’appelait la Ligue Arabe, l’ONU, la diplomatie américaine, etc… Il était interdit aux Libanais de se rebeller, et de toutes les façons le destin inéluctable, irréversible, des chrétiens d’Orient c’était « naturellement » d’être chassés du Moyen Orient, « terre d’islam ». Mais contre tous, contre toute attente, et contre toute « raison » ils ont décidé de se battre. Ils se sont battus avec un tel courage, avec une telle colère qu’ils ont fini par convaincre le monde entier que les choses n’allaient pas se passer comme « l’histoire » était censée l’écrire. Et finalement, après quelques péripéties, ceux qui se sont embarqués, ce ne sont pas eux… J’ai appris une grande leçon d’histoire auprès de mes camarades libanais : il n’y a pas de liberté pour celui qui refuse de combattre.

    Le Grand rembarquement, Emmanuel Albach, Editions Dualphacliquez là, 332 pages, 26 €, diffusé par Synthèse éditions cliquez ici

    En savoir plus cliquez là

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    BQ SN 2015 Liban.jpgLe précédent livre d'Emmanuel Albach Beyrouth 1976 des Français aux côtés des Phalangistes, édité par les Bouquins de Synthèse nationalecliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

     
  • Brexit : l’affiche anti-migrants de Nigel Farage fait scandale

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    A une semaine du référendum sur la sortie de l’Union européenne – Brexit or not Brexit –, Nigel Farage a sorti une affiche-choc sur l’invasion de l’UE par les migrants. « Point de rupture – l’UE a tout raté », clame l’affiche de l’Ukip (Parti pour l’indépendance du Royaume-Uni), ajoutant : « Nous devons quitter l’UE et reprendre le contrôle de nos frontières. » Au Royaume-Uni, explique l’Ukip, le solde migratoire net est de plus de 330 000 personnes par an, ce que le pays n’a pas connu depuis un siècle.

    Cette affiche a fait scandale dans le camp des pro-UE (et pro-migrants), au point d’accuser Nigel Farage de procéder à une campagne « de style nazi » ! Le principal reproche : la photo utilisée montre une colonne de migrants à la frontière de la Slovénie, et le Royaume-Uni, n’étant pas membre de l’espace Schengen, n’est pas concerné.

    L’affiche a été publiée dans les grands journaux nationaux, comme The Telegraph,The Daily Star et The Daily Express, et arborée par des camionnettes sillonnant Londres.

  • Le Grand Remplacement, une arme politique de la gauche libérale-libertaire

    L’élection, sous l’étiquette travailliste, du nouveau maire de Londres, Sadiq Kahn, un musulman d’origine pakistanaise, illustre un autre aspect du Grand Remplacement des Européens : sa dimension politique.
    La gauche, c’est-à-dire l’oligarchie libérale/libertaire qui a pris le pouvoir à la fin des années 1980, a en effet misé partout sur l’immigration et les « minorités » pour assurer son emprise politique sur la société – et réduire au silence les autochtones.
    Elle a organisé le Grand Remplacement et elle compte désormais en tirer un avantage politique décisif.
    La gauche a misé partout sur l’immigration de peuplement
    Aux Etats-Unis c’est la ligne adoptée par le Parti démocrate qui a assuré l’élection de Barak Obama, alors que la majorité des électeurs d’origine WASP avait apporté ses suffrages au candidat républicain.
    La candidate démocrate probable aux futures élections présidentielles américaines, Hillary Clinton, mise de même sur le vote des « minorités » afro-américaines et hispaniques, qui deviennent d’ailleurs majoritaires dans certains états : elle ne rate donc jamais une occasion de se faire filmer bien entourée de personnes de couleur ou d’origine mexicaine.
    En Grande-Bretagne le Parti travailliste a repris des forces en misant sur le vote des personnes d’origine immigrée. A Londres, Sadiq Kahn a ainsi mobilisé 56,8% des électeurs, soit le meilleur score travailliste depuis des années.
    En France le Parti socialiste a fait de même depuis le lancement de l’opération « SOS Racisme » en 1984. Différentes analyses montrent que François Hollande lors des présidentielles de 2012 a massivement bénéficié du vote des électeurs musulmans.
    Si les partis de droite courent aussi après cet électorat, la gauche rafle partout la mise. Car une étroite symbiose s’est établie entre la gauche et le Grand Remplacement.
    Le Grand Remplacement au service de la Grande Trahison libérale/libertaire
    Par un heureux hasard, en effet, la gauche a choisi de défendre l’immigration au moment même où elle se ralliait au néo-libéralisme mondialiste.
    L’immigré a alors remplacé le prolétaire dans la symbolique doloriste et le discours de gauche. Avec cette différence notable que l’immigration est au service du capitalisme mondialisé, alors que le prolétariat devait annoncer la fin du capitalisme national.
    La promotion de Big Other, pour reprendre l’expression de Jean Raspail, a masqué la grande trahison de la gauche qui s’est opérée à la fin du XXe siècle, quand la gauche a renoncé à toute volonté de remettre en cause le système capitaliste, à la suite de l’effondrement de l’URSS et du communisme européen.
    La promotion bruyante des « droits » et des prétendus malheurs des potes/immigrés « victimes-du-racisme-et-des-discriminations » a servi à masquer la déconstruction méthodique des droits sociaux des travailleurs européens, opérée au nom d’un néo-libéralisme auquel la gauche européenne s’est ralliée, comme le montre en France la « gauche Macron ».
    Et la lutte contre le « racisme » a servi à mettre en accusation ceux que l’on trahissait : les peuples autochtones. Du grand art…
    Un changement de sens significatif
    La promotion du Grand Remplacement a servi à détourner l’attention de la Grande Trahison des élites de gauche, qui ont abandonné les peuples autochtones à la dure loi du marché mondialisé.
    De fait dans le vocabulaire de la gauche les mots « populaire » ou « social » ont changé de sens.
    Un « quartier populaire » ne désigne plus une zone de résidence où vivent des gens issus de notre peuple mais, au contraire, une zone peuplée de personnes issues de l’immigration. Et la « mixité sociale » n’a plus rien à voir avec les classes sociales : elle n’est en réalité qu’une cohabitation ethnique ou religieuse que l’on veut imposer.
    Ce changement sémantique traduit le changement de perspective politique de la nouvelle gauche libérale/libertaire.
    Un réservoir électoral convoité
    L’immigration constitue en outre un réservoir électoral d’autant plus convoité à gauche que celle-ci est sur le déclin puisqu’elle a perdu sa raison d’être révolutionnaire et populaire et qu’elle a abandonné les classes moyennes.
    C’est, en France, la stratégie préconisée par la Fondation Terra Nova : alors que les classes populaires se tournent vers le Front national, la gauche doit miser électoralement sur les « minorités », qu’elles soient immigrées, ethniques, religieuses ou sexuelles.
    Cette stratégie de niches électorales ne manque pas de cohérence ni d’efficacité compte tenu du vieillissement de la population, du déclin de la classe ouvrière du fait de la désindustrialisation, et du dynamisme démographique des électeurs issus de l’immigration et/ou de religion musulmane.
    La gauche instrumente le Grand Remplacement à des fins politiciennes
    D’où l’attitude systématiquement bienveillante de la gauche vis-à-vis du communautarisme, notamment musulman, qui serait « tout-à-fait-compatible-avec-les-valeurs-de-la-République ». D’où aussi une politique de naturalisation plus que généreuse, car la fabrique de Français de papier permettra de bourrer les urnes demain. D’où aussi la « politique de la ville » destinée à acheter à la fois la paix sociale mais aussi les futurs électeurs. D’où aussi la menace, sans cesse évoquée à gauche, d’une ouverture du droit de vote aux résidents et non pas aux seuls citoyens.
    D’où aussi enfin la volonté de diaboliser tout débat sur l’immigration ou l’islamisation, afin d’empêcher de remettre en cause ce fonds de commerce électoral de l’oligarchie libérale/libertaire – et les intérêts économiques qu’il recouvre.
    L’immigration compte aussi sur la gauche

    En contrepartie, les électeurs d’origine immigrée ont tendance à apporter leurs suffrages aux partis de gauche car ceux-ci sont à la fois les plus laxistes en matière de régulation de l’immigration et les plus redistribuants en matière de prestations sociales.
    En votant pour les partis de gauche ils votent donc en réalité pour plus d’immigration, c’est-à-dire pour peser encore plus dans la société.
    Ceux qui, à droite, pensent que les « réformes sociétales » ont compromis l’image de la gauche auprès de cet électorat s’illusionnent. Car la population d’origine immigrée reste pour l’essentiel étrangère au déclin des mœurs qu’elles induisent : elle continue de croire à l’autorité paternelle, à l’inégalité homme/femme, à se marier et faire des enfants, à la différence des bobos décadents.
    Plus prolifique et dotée de parentèles et de croyances solides, la population d’origine immigrée profite en réalité du déclin sociétal des autochtones pour imposer ses préférences.
    L’oligarchie : le parti de l’étranger
    En d’autres termes, l’alliance entre la gauche et l’immigration se situe pour le moment dans une logique gagnant/gagnant pour chacune des parties : la gauche engrange des suffrages et l’immigration prospère. Cette alliance a donc toutes les chances d’être durable à moyen terme, car la France d’en bas, seule, subit la catastrophe migratoire.
    L’oligarchie est donc bien devenue, dans tous les sens du terme, le parti de l’étranger : le parti de ceux qui misent sur les étrangers pour asseoir leur pouvoir et qui servent des intérêts de plus en plus étrangers à ceux de leur peuple.
    L’oligarchie escompte bien aussi que l’évolution démographique permettra de marginaliser la révolte identitaire et populaire qui s’annonce partout en Europe : car du fait du Grand Remplacement, le temps politique dépend désormais du temps démographique. Et celui-ci est de plus en plus compté aux Européens.
    A un an des échéances présidentielles de 2017, il serait temps d’en prendre conscience en France aussi.

    Source initiale : Polémia : http://www.polemia.com/le-grand-remplacement-est-aussi-une-arme-politique-au-service-de-la-gauche-liberalelibertaire/

    La dissidence française :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/di_varia/EuyykkZplAyRJDhdDU.shtml

  • Déréliction occidentale versus islam conquérant

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    Dr Bernard Plouvier

    Certains commentateurs semblent percevoir de-ci de-là un frémissement d’auto-défense des Blancs dans leurs territoires envahis d’allogènes violents, frustes et fanatiques. Ni la situation des USA, ni celle de l’Europe occidentale et scandinave ne paraissent entrer dans ce schéma, qui s’avère exact en Europe danubienne et orientale.

    Ne serait-ce pas du côté de l’intolérance qu’il faudrait chercher la cause de cette différence de comportement ? Une foi - politique ou religieuse, c’est tout un – procure l’impression forte de mener le bon combat, avec son corolaire : une tolérance très faible, voire nulle, pour le déviant social ou l’ennemi idéologique.

    L’angoisse existentielle pousse la plupart des humains à se croire, sinon indispensables, du moins utiles à la marche de l’Univers, à se représenter comme étant un chaînon, minuscule mais nécessaire, entre l’Alpha (l’origine de l’Univers) et l’Oméga (le glorieux finale où triomphe le Bien, ou quelque autre grand principe analogue). C’est la raison d’être de toute religion ; c’est ce qui assure la pitance et l’importance sociale des clergés.

    Mais la grande aventure politique procure exactement la même sensation, amputée de la notion d’éternité, puisque l’espérance de vie de chaque grande civilisation dépasse rarement quelques siècles. À l’échelle humaine, c’est déjà beaucoup, suffisamment pour y engager son existence. Après tout, il est assez peu de grandes causes qui procurent un sens à la vie.

    Beaucoup d’humains revendiquent une récompense surnaturelle, puisqu’il n’y a pas grand-chose à espérer de la reconnaissance de ses congénères et fort peu de la justice immanente. Les religions apportant une espérance eschatologique (un Paradis après la mort du corps) seront toujours achalandées : le triomphe actuel de l’islam, religion médiévale et à très faible valeur intellectuelle ajoutée, prouve à quel point l’obscurantisme n’effraie pas le chaland, si on lui offre en contrepartie la carotte paradisiaque.

    D’autres humains se satisfont de la notion du devoir bien accompli, la difficulté ayant toujours résidé dans l’objet de ce devoir. Le XXe siècle, qui fut celui des grandes expériences politiques, s’est achevé par la ruine des populismes impérialistes, fondés sur la lutte des races et la lutte des classes. On peut biffer ces expériences, sans refuser d’en tenter d’autres : aucun savant digne de ce nom n’a jamais renoncé à poursuivre sa quête parce qu’une hypothèse s’était avérée fausse.

    Le manichéisme des totalitarismes (religieux ou politique, on le répète : le phénomène est de même essence) enchante les esprits primaires : l’antithèse entre les « bons » et les « méchants » a toujours fait recette. C’est comme cela que les Alliés ont axé leur propagande débile durant les deux guerres mondiales du XXe siècle ; ce fut également le credo de la « guerre froide ». C’est comme cela que fonctionne l’actuelle religion de conquête, l’islam. Ce système ami-ennemi, simpliste et rudimentaire puisque faisant appel à l’archéo-cortex, sera toujours d’un excellent rapport sociologique, alimentant la cohésion du groupe et stimulant son ardeur combative.

    Toute civilisation décline quand elle baisse sa garde, tolérant la pensée d’allogènes. Tout ce qui est à la fois mal défendu et raffiné cède devant la force brutale du barbare agressif et avide. Le retour en force de la grande politique doit s’accompagner d’une vigoureuse intolérance envers l’ennemi. Sans objectif et sans ennemi, aucune collectivité n’est dynamique… on n’a pas attendu les théoriciens du XXe siècle pour s’en rendre compte.

    Depuis la plus haute Antiquité, l’alternative est inchangée, parce qu’il s’agit de l’unique vérité historique, universelle et diachronique : ou l’on accroît sa puissance ou l’on périt, la stagnation n’est que le début de la chute.  

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  • Un policier et sa femme assassinés chez eux par un jeune Maghrébin islamiste

    Un commandant de police et sa compagne ont été tués lundi soir à leur domicile à Magnanville, dans les Yvelines, devant leur enfant de 3 ans.

    L’assaillant, Larossi Abballa, connu de la justice française, a été abattu lors de l’assaut du Raid.

    Ce djihadiste était un jeune maghrébin de 25 ans. Il était connu des services de police et résidait à Mantes-La-Jolie, a précisé BFM TV.

    Larossi Abballa avait notamment été condamné en 2013 pour “association de malfaiteurs en vue de préparer des actes terroristes”. La filière jugée s’était donner pour but de favoriser le recrutement en France, la formation physique et idéologique et l’envoi au Pakistan de jeunes volontaires pour le jihad armé.

    Larossi Abballa avait alors écopé de 3 ans de prison, dont 6 mois avec sursis, et mise à l’épreuve pendant deux ans, précise BFM TV. Il avait alors été jugé avec sept autres prévenus. Dans la nuit, l’État islamique a revendiqué le double meurtre des policiers des Yvelines et affirmé que l’auteur des assassinats était un de ses combattants.

     
  • L’Etat Islamique revendique l’attaque d’Orlando

    Alors que le bilan de la tuerie de la boîte de nuit sodomite d’Orlando est porté à 50 morts, l’agence de communication « Amaq » revendique l’attentat.

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