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immigration - Page 1121

  • Jubilation pour « la fin de l’homme blanc »

    Il en est qui le nient, crient au fantasme, traînent en justice ceux qui osent dire qu’il est en cours et que c’est le plus grand phénomène de l’histoire – je veux parler, bien sûr, du Grand Remplacement ou, de manière moins littéraire, du génocide en cours des peuples de souche européenne. Il en est qui s’en réjouissent ouvertement. Sous le titre « La fin d’une époque… pour les mâles blancs », David Rothkopf, rédacteur en chef du magazine américain Foreign Policy, y a récemment décrit en propres termes, avec précision et jubilation, tous les aspects du processus.

    « Les hommes blancs, relève d’abord Rothkopf, ont eu un grand succès. De l’essor des Grecs à la naissance des grands empires occidentaux, ils ont contrôlé une grande partie du monde ou cherché à le faire. L’histoire est très largement le résultat des décisions prises par les hommes blancs qui étaient au pouvoir ». Heureusement, tout cela est en train de s’achever. Rothkopf énumère les facteurs de ce « grand tournant de l’histoire mondiale ». C’est, d’abord, l’essor « des grandes civilisations non-blanches », en Asie et en Afrique, tandis que « les sociétés qui avaient donné à l’homme blanc sa plus grande influence dans le monde – celles de l’Europe et des États-Unis – ont du mal à maintenir leur influence dans le monde ». Dans ces mêmes sociétés occidentales, les droits des femmes s’imposent, après « des millénaires de répression ». Surtout, « les flots de réfugiés et de migrants ont transformé la démographie des sociétés ».
    « Il en résulte que le statu quo qui datait de plusieurs millénaires va connaître un bouleversement. Rien qu’en Europe, l’afflux des migrants et des réfugiés est déjà en train de produire des changements démographiques irréversibles – un grand mélange des cultures. Aux États-Unis, d’ici le milieu de ce siècle, l’ancienne population majoritaire sera une minorité. La majorité, selon les démographes, sera non-blanche. À cette date, l’Europe comprendra des masses de populations d’Afrique, du Moyen-Orient et d’Asie.
    C’est-à-dire que, en 2050, ce seront les hommes blancs qui cocheront la case “autre” sur les formulaires de recensement ». Les peuples concernés, du reste, le sentent bien. Les hommes et les femmes politiques, en Amérique et en Europe, qui s’opposent à l’immigration de masse, doivent tout leur succès « à une reconnaissance culturelle croissante, quoiqu’inconsciente, que ce qui a été la classe ethnique la plus privilégiée du monde n’a plus longtemps à vivre ».

    Rothkopf se fait lyrique pour célébrer « les merveilleux avantages » de ce qu’il appelle « la diversité » – « chaque vague de sang neuf et d’idées nouvelles ». « Certainement, conclut-il, nous ne devons pas, ne serait-ce qu’un seul instant, déplorer la fin de l’âge de l’homme blanc, car il y a du moins une lueur d’espérance qu’arrivera bientôt l’âge de “tous” » – de tous sans les Blancs.

    Faut-il voir là une aberration individuelle de l’idéologie « progressiste », poussée jusqu’à ses plus folles conséquences ? Faut-il y reconnaître plutôt, selon la thèse, célèbre et très discutée aux États-Unis, de Kevin MacDonald, une stratégie de groupe parfaitement rationnelle, par rapport aux intérêts de ceux qui la conduisent ?Rothkopf, ancien secrétaire d’État au commerce de Bill Clinton, membre de quantité de think tanks, n’est pas un antifa boutonneux. Il s’agit bien, en tout cas, de notre sort à nous – de notre extermination, de notre disparition de la face de la terre.
    Rothkopf, dans son exultation, n’a pu se retenir de nous jeter à la face le destin que le Système nous prépare.

    Flavien Blanchon

    http://fr.novopress.info/197747/jubilation-fin-lhomme-blanc/#more-197747

  • Entretien avec Renaud Camus : « Le réensauvagement de l’espèce est en marche »

    L’ONU vient de publier un rapport sur les « migrations de remplacement ». Selon l’Organisation, « le concept de migration de remplacement correspond à la migration internationale dont un pays aurait besoin pour éviter le déclin et le vieillissement de la population qui résultent des taux bas de fécondité et de mortalité ». Cela rejoint votre idée de « Grand Remplacement » ?

    Ce rapport n’est pas le premier. Il y a très longtemps que l’ONU et ses commissions tournent autour du concept de remplacement, ce qui évidemment me fait bien rire, mais jaune, alors que je me fais traiter, y compris par certains de nos amis, de complotiste et d’illuminé. Le point de vue de l’ONU empile deux aberrations, dont la première est au moins une grave erreur d’appréciation et la seconde une monstruosité morale.

    La première est la conviction qu’il faut enrayer le déclin démographique des populations et le vieillissement qui l’accompagne nécessairement. Or, l’un et l’autre, surtout le premier, sont la sagesse même. Toutes les politiques écologiques qui prétendent sauver la Terre sans tenir compte de la désastreuse explosion démographique sont un vain et ruineux bavardage. Les peuples les plus développés, dans leur tréfonds, sont bien conscients de cette donnée-là et évolueraient naturellement, si l’immigration d’abord, l’invasion migratoire ensuite, n’intervenaient pas, vers une décroissance démographique naturelle et modérée, parfaitement raisonnable, et qui ne menacerait en rien leur existence, d’autant qu’eux-mêmes n’ont jamais été si nombreux. Cette légère décroissance entraînerait, c’est vrai, un inévitable vieillissement de la population, auquel on a parfaitement les moyens de faire face, qui n’implique en rien le moindre empêchement de faire des enfants ou la disparition de la jeunesse mais qui pourrait, n’était la Grande Déculturation, être l’occasion d’un progrès de la vie de l’esprit.

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  • Après le chômage, la délinquance et la démographie, voici les mauvais chiffres de l’immigration

    A la surprise de tous les observateurs, la France expulse de moins en moins de clandestins !

    Janvier est le mois des bilans de l’année écoulée et, après les mauvais chiffres du chômage, de la délinquance et de la démographie, ceux de l’immigration viennent de tomber. Mauvais, eux aussi. Certes, il n’y a rien d’étonnant, vu la crise migratoire que l’Union européenne, Mme Merkel et M. Hollande ont, par leur imprévoyance et leur inconséquence, amplifiée, créant les situations de chaos multiformes dont les symboles, désormais historiques, ont pour nom Calais et Cologne.

    On aurait pu espérer que notre gouvernement, contraint d’ouvrir les yeux sur l’ampleur du désastre et d’abandonner la politique des « frontières ouvertes », ait enfin pris le taureau par les cornes. Le grand aggiornamento idéologique des socialistes au pouvoir, qui piochent désormais sans retenue dans le langage et les préconisations de la droite ou du Front national, pouvait le laisser croire. Et M. Cazeneuve, nous dit la presse, comptait hier, lors d’une réunion à Amsterdam avec ses homologues, « taper du poing sur la table » pour exiger que l’Union en finisse avec l’Europe passoire de Schengen.

    Sauf que la fermeté médiatique et européenne de M. Cazeneuve sur la question des migrants a été contredite hier par les chiffres qui concernent, précisément, le domaine dont il est directement responsable : à la surprise de tous les observateurs, la France expulse de moins en moins de clandestins ! Sur 100.000 clandestins appréhendés, moins de 20.000 ont été reconduits aux frontières, soit 7 % de moins qu’en 2014 !

    Plusieurs parlementaires de droite pointent le double langage du gouvernement : alors que M. Valls a assuré que les 50.000 déboutés du droit d’asile devaient être renvoyés dans leurs pays, la France ne renvoie que 20.000 clandestins au total !

    Pire : la majorité de gauche légifère dans le sens du laxisme, défaisant à l’Assemblée ce que les sénateurs avaient durci dans le projet du gouvernement sur le « droit des étrangers ». Il s’agissait de faciliter les éloignements en plaçant les clandestins en rétention et en diminuant les délais de recours.

    Si MM. Hollande, Valls et Cazeneuve veulent vraiment nous convaincre de la sincérité de leur conversion, il faudra qu’ils puissent nous fournir des preuves, des lois et des chiffres. Or, pour le moment, on est très loin du compte !

    Mais le peuvent-ils seulement ? Comme pour l’affaire de la déchéance de nationalité, leur virage droitier ne fait qu’exacerber les contradictions de la gauche, qui se révéleront explosives. D’ailleurs, ces jours-ci, l’hypothèse que M. Hollande ne soit même pas en situation de se représenter refaisait surface chez plusieurs membres du premier cercle…

    Pascal Célérier, 26/01/2016

    Source : Boulevard Voltaire.fr

    http://www.polemia.com/apres-le-chomage-la-delinquance-et-la-demographie-voici-les-mauvais-chiffres-de-limmigration/

  • Le préfet de Saint-Brieuc interdit la manifestation contre l’islamisation et l’immigration

    « L’Europe n’est pas menacée par une islamisation rampante », écrit le préfet Lambert pour interdire la manifestation du 6 février à Saint-Brieuc…
    Dans notre belle République française sous gouvernement socialiste, l’arbitraire semble être en vogue chez les représentants de l’État que sont les préfets. On se souvient du préfet de police de Paris qui a lancé ses policiers contre les paisibles manifestants LMPT. Un peu plus tard, c’est le préfet de l’époque, Pierre de Bousquet, qui tentait d’arracher son discours des mains du maire de Beaucaire, Julien Sanchez, pour l’empêcher de parler. On a aujourd’hui Pierre Lambert, préfet des Côtes-d’Armor, qui vient d’interdire la manifestation que PEGIDA avait souhaité organiser contre l’islamisation et l’immigration.


    Il aurait pu l’interdire en vertu de l’état d’urgence. Pas du tout. Il a motivé sa décision parce que cette manifestation allait contre sa conscience : « L’Europe n’est pas menacée par une islamisation rampante. Je ne suis pas en phase avec ces thèses racistes, provocatrices et xénophobes. » Une opinion personnelle qu’un représentant de la République ne devrait pas avoir à exprimer pour prendre une décision d’intérêt général.

 Mais il n’en est pas à son coup d’essai puisque, lors de ses vœux, il a annoncé la création de ce qui semble être son obsession : un comité départemental de lutte contre le racisme !

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  • Allemagne : les immigrés pourraient coûter 50 milliards aux contribuables


    A noter : l’argument de la sauvegarde des régimes de retraite par l’immigration massive n’est pas recevable.
    Si les cotisations des réfugiés qui travaillent allègent provisoirement le déficit, c’est oublier que les immigrés restent et touchent eux-même une pension retraite. Ça ne fait que déplacer et amplifier le problème. C’est la raison pour laquelle le C.O.R (Conseil d’orientation des retraites) prend en compte le paramètre de l’immigration pour faire des hypothèses sur la baisse des pensions de retraite.

    Combien va coûter aux contribuables allemands l’accueil massif de migrants qui depuis 2015 cherchent refuge dans la première économie d’Europe? C’est la question à laquelle un think tank proche du patronat a tenté de répondre dans une étude qui fait grand bruit outre-Rhin.

    Révélées par le quotidien Rheinisches Post, les conclusions des experts de l’Institut estiment en effet ce coût à 50 milliards d’euros ainsi répartis: 17 milliards d’euros en 2016, puis 22,6 milliards d’euros en 2017 pour l’hébergement et les repas servis dans les centres d’accueil, auxquels s’ajoutent les cours de langue et d’intégration évalués pour les deux années à 10 milliards d’euros.

    http://www.contre-info.com/allemagne-les-immigres-pourraient-couter-50-milliards-aux-contribuables

  • Le grand remplacement : un concept défendu par l'ONU

    Ce n'est pas une théorie issue d'un cerveau complotiste, mais une notion développée dans un rapport de l'ONU sur les migrations de remplacement, publié par la Division de la population des Nations Unies :

    "La Division de la population du Département des affaires économiques et sociales a publié un nouveau rapport intitulé « Migration de remplacement: est-ce une solution pour les populations en déclin et vieillissantes ? ». Le concept de migration de remplacement correspond à la migration internationale dont un pays aurait besoin pour éviter le déclin et le vieillissement de la population qui résultent des taux bas de fécondité et de mortalité.

    Les projections des Nations Unies indiquent que, entre 1995 et 2050, la population du Japon ainsi que celles de pratiquement tous les pays d’Europe va probablement diminuer. Dans de nombreux cas, comprenant l’Estonie, la Bulgarie et l’Italie, des pays vont perdre entre un quart et un tiers de leur population. Le vieillissement de la population sera généralisé, élevant l’age médian de la population à des hauts niveaux sans précédents historiques. Par exemple, en Italie, l’age médian augmentera de 41 ans en 2000 à 53 ans en 2050. Le rapport de support potentiel, c’est-à-dire le nombre de personnes en age de travailler (15-64 ans) par personne de plus de 65 ans, diminuera souvent de moitié, de 4 ou 5 à 2.

    Le rapport se concentre sur ces deux tendances remarquables et cruciales, et examine en détail le cas de huit pays à basse fécondité (Allemagne, Etats-Unis, Fédération de Russie, France, Italie, Japon, République de Corée et Royaume-Uni) et deux régions (Europe et Union Européenne). Dans chaque cas on considère différents scénarios pour la période 1995-2050, en mettant en relief l’impact que différents niveaux d’immigration auraient sur la taille et le vieillissement de la population.

    Les principaux résultats de ce rapport comprennent: 

    • Les projections indiquent que, dans les prochaines 50 années, les populations de presque tous les pays développés deviendront plus petites et plus vieilles, en conséquence de la faible fécondité et de l’accroissement de la longévité. Par contre, la population des Etats-Unis augmentera de presque un quart. La variante moyenne des projections des Nations-Unies indique que, parmi les pays étudiés dans ce rapport, c’est l’Italie qui subira la plus grande perte relative de population, moins 28 pour cent entre 1995 et 2050. La population de l’Union Européenne surpassait celle des Etats-Unis de 105 millions en 1995, mais sera inférieure de 18 millions en 2050. 
    • Le déclin de la population est inévitable, en l’absence de migration de remplacement. La fécondité peut rebondir dans les décades à venir, mais peu de spécialistes croient qu’elle pourra remonter suffisamment dans la plupart des pays pour atteindre le niveau de remplacement dans un futur prévisible.
    • Tous les pays et régions étudiés dans ce rapport auront besoin d’immigration pour éviter que leur population ne diminue. Cependant le niveau d’immigration, relatif à l’expérience passée, varie beaucoup. Pour l’Union Européenne, une continuation des niveaux d’immigration observés dans les années 1990s suffirait à peu près à éviter une diminution de la population totale, tandis que pour l’Europe dans son ensemble, il faudrait deux fois le niveau d’immigration observé dans les années 1990s. La République de Corée n’aurait besoin que d’un niveau modeste d’immigration, mais c’est cependant un changement majeur pour un pays qui jusqu’ici était un pays d’émigration. L’Italie et le Japon auraient besoin d’une forte augmentation de leur nombre d’immigrants. Par contre, la France, le Royaume-Uni et les Etats-Unis pourraient conserver leur nombre d’habitants avec moins d’immigrants que ce qu’ils ont reçu dans le passé récent. 
    • Les nombres d’immigrants nécessaires pour éviter un déclin de la population totale sont beaucoup plus grands que ceux qui ont été envisagés dans les projections des Nations-Unies. La seule exception concerne les Etats-Unis.
    • Les nombres d’immigrants nécessaires pour éviter les déclins de la population en âge de travailler sont plus grands que ceux nécessaires pour éviter les déclins de la population totale. Dans quelques cas, comme ceux de la République de Corée, de la France, du Royaume-Uni ou des Etats-Unis, ils sont de deux à quatre fois plus grands. Si de tels flux d’immigrants se produisaient, les immigrants d’après 1995 et leurs descendants constitueraient une fraction impressionnante de la population totale en 2050 – entre 30 et 39 pour cent dans le cas du Japon, de l’Allemagne et de l’Italie.
    • Relativement à la taille de leur population, l’Italie et l’Allemagne auraient besoin du plus grand nombre d’immigrants pour conserver la taille de leurs populations d’âge actif. L’Italie aurait besoin en moyenne chaque année de 6.500 immigrants par million d’habitants et l’Allemagne de 6.000. Les Etats-Unis auraient besoin du plus petit nombre – 1.300 immigrants annuellement par million d’habitants. 
    • Les niveaux d’immigration nécessaires pour éviter le vieillissement de la population sont beaucoup de fois plus élevés que ceux qui sont nécessaires pour éviter le déclin de la population. Maintenir à leurs niveaux les rapports de support potentiel demanderait dans tous les cas des volumes d’immigration sans aucune commune mesure avec l’expérience passée et avec ce que l’on peut raisonnablement attendre.
    • En l’absence d’immigration, on pourrait maintenir à leurs niveaux actuels les rapports de support potentiel en augmentant la limite supérieure de l’âge actif à environ 75 ans.
    • Les nouveaux défis posés par des populations en déclin et vieillissantes exigeront le réexamen fondamental de beaucoup de politiques et de programmes établis, avec une perspective à long terme. Les questions cruciales qu’il faut examiner comprennent: (a) les âges appropriés pour la retraite; (b) les niveaux, types et natures des prestations de retraite et de soins de santé pour les personnes âgées; (c) la participation à l’activité économique; (d) les montants des contributions des travailleurs et des employeurs pour financer les retraites et soins de santé des retraités; et (d) les politiques et programmes ayant trait aux migrations internationales, en particulier aux migrations de remplacement et à l’intégration de grands nombres d’immigrants récents et de leurs descendants.

    Ce rapport, en anglais, date de 2001.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Italie : un curé dénonce « la discrimination raciale » pro-immigrés

    En Italie, un curé a dénoncé le racisme dont sont victimes… les Italiens, défavorisés par rapport aux clandestins.

    Un curé qui s’indigne de la préférence étrangère et a le courage de protester publiquement, voilà qui n’est pas courant. L’altercation, devant les caméras de la chaîne régionale Telenorba, entre le maire de Tarente, dans les Pouilles, Ippazio Stefano, et le curé de la paroisse du Sacré Cœur, l’abbé Luigi Larizza, a donc fait sensation en Italie.

    Il faut dire que le maire, qui appartient au petit parti ultra-immigrationniste SEL (Gauche, écologie et liberté), a hautement affiché ses prédilections. D’un côté, il est allé en grande pompe apporter des croissants chauds aux immigrés clandestins dans leur centre d’accueil. De l’autre, il n’a toujours rien fait pour douze familles italiennes de la ville (environ quarante personnes), devenues SDF depuis l’effondrement de leur immeuble, il y a quinze jours, et réduites à dormir sous un porche, dans l’attente d’un relogement.

    Le curé, qui avait passé la nuit sur le parvis de l’église avec les SDF italiens, est donc allé voir le maire dans son luxueux bureau de l’Hôtel de Ville et l’a vivement apostrophé, après lui avoir rappelé ses croissants aux clandestins : « C’est de la discrimination raciale au détriment des citoyens italiens ». Le maire tente de le culpabiliser : « Vous parlez un langage qui vraiment me bouleverse, par rapport à votre mission ». Et il a recours à l’habituel canard immigrationniste : les clandestins sont « des enfants qui fuient la guerre et la torture ». Mais le curé ne se laisse pas intimider : « Je parle l’italien et je dis la vérité. Démissionnez de votre mandat de maire ! »

    Comme on pouvait s’y attendre, l’archevêque de Tarente a immédiatement désavoué le courageux curé dans un communiqué : « Il n’y a aucun doute que ce qui est arrivé déforme l’attitude de charité du diocèse qui ne voit devant lui que les pauvres, sans distinctions éthiques [sic, pour ethniques ?] et religieuses. Cela se vérifie aisément dans l’activité quotidienne des sections paroissiales de la Caritas [le Secours catholique italien] et des associations. Tarente est une cité accueillante et généreuse. Nous continuerons dans l’assistance aux pauvres et dans l’accueil de ces frères [immigrés clandestins] qui fuient la guerre et la famine ».
    Une illustration de plus de l’opposition fondamentale, dans toute l’Europe, entre le catholicisme des gens et celui des prélats, fauteurs de l’invasion.


  • Calais, la France et ses territoires perdus : esquisse d’une doctrine de résistance

    Quelle méthode de résistance serait à la fois plus efficace, plus légale et plus systématique ?
    L’homme au fusil de Calais pourrait être poursuivi par la justice et a d’ores et déjà son avocat : Maître Collard. Courageuse, son attitude l’est sûrement. Mais quelle méthode de résistance serait à la fois plus efficace, plus légale et plus systématique ?
    Il ne s’agit pas de déployer des bannières lors d’une énième manifestation. Il ne s’agit pas plus d’espérer d’un chef charismatique qu’il organise la lutte : l’attente de l’homme providentiel légitime l’inaction. En outre, l’organisation ne saurait être apparente et hiérarchique : elle serait aisément dissoute et réprimée car illégale, en plus d’être pesante et peu réactive. La solution passe à la fois par le haut – le vote souverainiste – et par le bas – la résistance au quotidien.
    Il nous faut mener des actions limitées et réalistes, défensives et légitimes. À mi-chemin entre l’héroïsme romantique et la capitulation honteuse. Ce qu’il faut, c’est un état d’esprit défensif et solidaire. Un réflexe de groupe. Une structure horizontale, réticulaire et pragmatique. Pour reprendre une expression états-unienne : une « coalition des volontaires », qui entraînerait les plus frileux. Nous devons nous organiser à l’échelle de l’immeuble, de la rue, du quartier. Non pas chercher à frapper un grand coup, mais à nous défendre contre les multiples nuisances et agressions du quotidien : des racailles qui squattent une cage d’escalier, qui dépouillent des collégiens ou qui harcèlent nos filles. Des résidents qui descendent pour chasser des individus du hall d’entrée n’est pas un effort surhumain. Mais il est libérateur : l’individu isolé et apeuré réintègre le groupe pour défendre son territoire.

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  • 10 000 enfants immigrés ont disparu

    Voilà une information qui nous montre encore combien nos dirigeants immigrationnistes sont totalement dépassés par les évènements. Plus de 10 000 enfants migrants non accompagnés ont disparu en Europe sur les 18 à 24 derniers mois, estime l'agence policière Europol, craignant que nombre d'entre eux soient exploités, notamment sexuellement, par le crime organisé. Ce chiffre concerne les enfants dont toute trace a été perdue après leur enregistrement auprès des autorités européennes. Environ la moitié d'entre eux ont disparu en Italie.

    Sur le un million d'immigrants arrivés en Europe en 2015, environ 27% sont des enfants. Une "infrastructure criminelle" paneuropéenne sophistiquée vise les migrants à diverses fins. Des groupes criminels actifs dans la traite d'êtres humains sont actifs dans les filières d'immigration illégale afin d'exploiter des migrants.

    Michel Janva

  • Barakacity : Najat Belkacem a-t-elle menti ?

    Marianne revient sur cette affaire pitoyable et sur la défense adoptée par le ministre :

    "La ministre de l’Education a-t-elle été prise au piège d’une “mise en scène” sur le plateau du “Supplément” la semaine dernière ? C’est la défense adoptée par Najat Vallaud-Belkacem, après que le minimalisme de sa réaction face aux propos inacceptables tenus devant elle par le dirigeant d’une association islamiste, Idriss Sihamedi, a été pointé, notamment par Marianne.

    Alors qu’Idriss Sihamedi, tout en se revendiquant comme un “musulman normal”, avait affirmé “Je ne serre pas la main aux femmes" et s'était montré bien en peine de condamner les exactions de l’Etat islamique en Syrie (où son association Barakacity intervient), la ministre avait été invitée à réagir. Après avoir décliné dans un premier temps, elle avait simplement déclaré : “Je crois que c'est une association qui porte une façon de voir les choses qui n'est pas la mienne, à laquelle je ne souscris pas et qui me met aussi mal à l'aise, honnêtement, sur votre plateau, et donc je n'ajouterai rien.

    Devant la polémique, , avant de se défendre à nouveau mardi à l’Assemblée, en ces termes : “Ma règle est simple : on ne débat pas contre les ennemis de la République, on les combat (...) Mon combat est total, il exclut tout dialogue artificiel et toute mise en scène, je regrette qu’on lui ait offert une tribune. “Mise en scène” : l’accusation à l’endroit de l’émission est directe.

    Une semaine après la fameuse séquence, “Le Supplément” de ce dimanche 31 janvier a donc souhaité répondre à la ministre, en réfutant toute mise en scène :

    “Pour la ministre nous avons voulu faire du buzz et la piéger avec une mise en scène en invitant un homme dont elle ignorait tout. Pourtant, 24 heures avant l’enregistrement, nous avons averti Najat-Vallaud-Belkacem par écrit du contenu de l’émission. D'ailleurs, selon nos informations, un conseiller de son cabinet a été chargé de faire des recherches sur cette association… Elle sait donc qu’Idriss Sihamedi sera présent et qu’un reportage sera consacré au jeune humanitaire Moussa et à l’ONG qui l’emploie, Barakacity”.

    Contrairement à ce qu'elle a pu laisser entendre, Najat Vallaud-Belkacem n'a donc pas été prise de court… [...]"

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2016/01/barakacity-najat-belkacem-a-t-elle-menti-.html