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immigration - Page 1119

  • Prison ferme pour un couple qui avait fait une fausse déclaration de paternité

    Un Tunisien, qui a déclaré la paternité d'un enfant qui n'était pas le sien afin d'obtenir un titre de séjour, a été condamné à six mois de prison ce mardi. La mère, qui n'en était pas à son coup d'essai, a écopé de huit mois ferme. 
    C'est un délit, qui serait "en augmentation notable", à en croire la procureure de Marseille, Véronique Fabron. Ce mardi, au tribunal correctionnel, la magistrate devait faire ses réquisitions dans une affaire de "reconnaissance d'enfant pour l'obtention d'un titre de séjour ou d'une protection contre l'éloignement". 
    Le faux géniteur, un Tunisien de 43 ans qui avait reconnu frauduleusement un bébé pour obtenir des papiers, a été condamné à douze mois de prison dont six avec sursis et une interdiction du territoire français durant deux ans. Il espérait avec cette reconnaissance falsifiée obtenir une carte de séjour provisoire au titre de "parent d'enfant français". La mère d'Adelaïde, trois ans, une Française âgée de 27 ans qui avait été payée contre l'établissement de cette fausse déclaration,a, elle, écopé de huit mois de prison ferme en son absence. "A une époque où les flux migratoires sont extrêmement nombreux et confus", a commenté la procureure, "les réseaux criminels ont trouvé là encore un créneau d'activité illégale qui trouble l'ordre public"
    Trois fausses déclarations de paternité 
    Afin de se présenter avec la jeune femme, le 8 août 2013, dans une mairie d'arrondissement de Marseille, de reconnaître la petite Adelaïde née six jours plus tôt et d'obtenir un livret de famille, l'homme a reconnu avoir déboursé 4000 euros, avant de revenir sur ses déclarations. "Un dimanche matin, au marché aux puces, un homme surnommé 'Couscous' m'a demandé si j'étais gitane et si je voulais faire de fausses reconnaissances pour des Maghrébins, moyennant finances", avait relaté la mère devant les enquêteurs. 
    "Comme j'étais en difficulté financière, j'ai accepté pour élever mes enfants", s'était-elle justifiée. Elle aurait également monnayé des reconnaissances de paternité pour deux autres de ses enfants, pourtant tous nés de son mari comme l'ont démontré ensuite des tests génétiques. 
    "Victime d'une forme d'exploitation de la misère" 
    Les falsifications ont été repérées par la préfecture, qui s'était étonnée de la différence d'adresse entre les deux "parents", d'une différence d'âge de 17 ans et d'une reconnaissance tardive, six jours après la naissance. Lorsqu'il a été placé en garde à vue, le Tunisien a expliqué avoir adressé des mandats chaque mois dans le but de démontrer aux autorités préfectorales sa contribution à l'entretien de l'enfant. 
    Pour le président du tribunal, Fabrice Castoldi, ce Tunisien a été "victime d'une forme d'exploitation de la misère. Il a besoin d'une carte de séjour et quelqu'un lui laisse à penser que c'est facile de trouver une mère". La Police aux Frontières a été saisie d'une enquête sur le dénommé "Couscous", membre présumé d'un réseau.

  • L’actuelle diversion des socialistes aux abois : l’affaire du burkini...

    Bernard Plouvier

    En quatre années et demie de pseudo-exercice du Pouvoir par l’équipe de notre vénéré Président, les Français ont entendu énormément de sottises, énoncées sur un ton doctoral ou démagogique, mais - en cet été de l’An 2016, où un assassin issu de l’islam djihadiste a tué plus de 80 personnes et ruiné la vie de plus de cent blessés, sans compter celle des proches des victimes – le ténébreux Cazeneuve vient de dépasser ce que, dans le Canard enchaîné, l’on nomme le « mur du son de la connerie ».

    Selon notre distingué ministre de l’Intérieur et des Cultes (médaille d’or de l’inefficacité face au terrorisme islamique : respect !), une « loi sur l’interdiction du burkini serait illégale, parce qu’anticonstitutionnelle ». Elle serait surtout ridicule, traitant l’énorme problème de l’islam en France par le tout petit bout de la lorgnette… d’autant qu’ôter de la vue des Européens les bourrelets adipeux de certaines musulmanes est plutôt une mesure esthétique qu’une manifestation d’ostentation cultuelle.

    Reportons-nous donc à ce texte que devrait connaître parfaitement tout ministre de la Ve République française : la Constitution du 4 octobre 1958.

    Dans l’article 2 du Titre premier, il est écrit : « La France est une République indivisible, laïque et démocratique »… ça commence mal pour les agités de la propagande islamique. La République « respecte toutes les croyances », mais « dans la stricte égalité de tous, sans distinction devant la loi ». Autrement dit : pas de particularisme religieux ou sectaire (qu’il soit islamique ou maçonnique), d’autant que la Loi de 1905, séparant l’État de tous les cultes et qui est toujours en vigueur, exige une stricte neutralité publique en matière religieuse, sans ostentation provocatrice (qu’elle soit chrétienne, juive, musulmane, maçonnique, etc.).

    Il est évident que nos très honorables compatriotes appartenant à la communauté juive (dont certains membres ont tant fait pour favoriser, puis accroître l’immigration africaine) feraient bien de réfléchir longuement avant d’arborer une kippa dans certains quartiers ou dans certaines rues de ce qui n’est plus une terre de liberté et tranquillité : la France. Il est des erreurs stratégiques, voire des vengeances qui se paient très cher.

    L’article 3 de ce même Titre premier spécifie : « Aucune section du peuple ne peut s’attribuer l’exercice de la souveraineté »… autrement dit, pas de Diktat (comme l’on dit en allemand) d’origine communautaire ou sectaire. L’islamo-pétrodollar est extrêmement puissant, mais la Constitution de 1958 se moque éperdument de son pouvoir corrupteur.

    Ce n’est pas tout, loin de là ! Dans son Préambule, la Constitution de 1958 se recommande des célébrissimes Droits de l’homme, « tels qu’ils ont été définis par la Déclaration de 1789,… confirmée et complétée par le Préambule de la Constitution de 1946 ».

    Or ce texte du 27 octobre 1946 est dépourvu de la moindre ambiguïté, même pour les amateurs de finasseries juridiques : « La loi garantit à la femme, dans tous les domaines, des droits égaux à ceux de l’homme ».

    Enfin, il est bon de rappeler qu’à partir de la IIe République (soit depuis l’An 1848), l’esclavage est interdit sur l’ensemble des territoires administrés par l’État français.

    La conclusion s’impose d’elle-même. On se moque du burkini, incident mineur et grotesque de cette année pré-électorale, diversion pitoyable des politiciens qui font semblant de nous gouverner et des meneurs, plus ou moins légitimes, de la multitude des mahométans installés sur le sol français. Le problème de fond est infiniment plus grave.

    Prônant ouvertement l’inégalité des droits entre les sexes et la pratique de l’esclavage, le coran et ses commentaires (les hadîths) sont anticonstitutionnels.   

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  • Au lendemain du carnage à Nice et de l'égorgement d'un prêtre, l'affichage identitaire musulman est indécente

    Jean-Louis Harouel, professeur émérite d'Histoire du Droit à l'Université Paris Panthéon-Assas, qui vient de publier Les Droits de l'homme contre le peuple, déclare au Figarovox :

    "[...] Le Conseil d'État s'est abstenu de prendre en compte le fait quela population était choquée de voir s'exhiber les burkinis sur les plages alors que de terribles massacres venaient d'être commis en France par des musulmans au nom de leur Dieu. Au lendemain du carnage de la promenade de Nice et de l'égorgement d'un prêtre dans l'exercice de son ministère, toute montée en puissance de l'affichage identitaire musulman en France est proprement indécente.

    Le Conseil d'État s'est abstenu de prendre en compte le fait qu'est actuellement en cours une conquête silencieuse de l'Europe occidentale. Cette conquête est inscrite dans le Coran où l'on peut lire qu'Allah a promis aux musulmans de leur donner en butin la terre des infidèles. Cette conquête est parfois avouée par certains dignitaires musulmans. C'est ainsi que le cheikh Yousouf al Quaradawi, l'un des dirigeants de l'UOIE (Union des organisations islamiques européennes) — dont la branche française est l'UOIF (Union des organisations islamiques françaises) — avait déclaré: «Avec vos lois démocratiques, nous vous coloniserons. Avec nos lois coraniques, nous vous dominerons».

    Le Conseil d'État s'est abstenu de voir que la conquête de nos plages par les burkinis n'est qu'une étape de l'appropriation de la France par l'islam politique. Le Conseil d'État s'est gardé de voir que les porteuses de burkini — de même que les porteuses de toute autre forme de voile islamique — sont les militantes convaincues ou dociles d'un djihadisme civilisationnel en train d'opérer la conquête feutrée de notre pays. [...]"

    Michel Janva

  • Calais: le seuil des 10.000 migrants franchi

    Alors que les rixes se succèdent, la situation dans les camps de la région devient intenable, selon la police. 
    L'ambiance était tendue à Calais, elle devient explosive. Selon une note remise jeudi dernier au syndicat de police Alliance (majoritaire chez les gardés et gardiens), le nombre de migrants au camp de la Lande, baptisée la «jungle», «devrait atteindre les 10000 d'ici à début septembre». Les chiffres des associations humanitaires, qui évoquaient 9000 personnes (4500 en juin), sont maintenant dépassés par les propres estimations des forces de l'ordre. 
    Et encore ne s'agit-il que des migrants de Calais, car si l'on compte le camp de Grande-Synthe, près de Dunkerque, et les multiples implantations sauvages dans plusieurs agglomérations côtières, ce sont au moins 12000 déracinés qui se concentrent dans la région, dans l'espoir de rejoindre la Grande-Bretagne.
    Pour le secrétaire général d'Alliance, Jean-Claude Delage, «il y aura bientôt tellement de gens dans la “jungle” que chaque jour qui passe rend plus périlleuse une évacuation en masse.» D'autant qu'il faudra reloger la plupart de ces personnes. Le gouvernement a annoncé cet été vouloir faire passer le nombre de places dans des «centres d'orientation» ailleurs en province de 2000 à 5000. Mais les 3000 places supplémentaires promises n'existent, pour l'heure, que sur le papier. 
    Expulser les indésirables? Ceux qui ne répondent pas aux critères de l'asile, les migrants économiques donc, sont une majorité dans les camps concernés. Ils ont, en principe, vocation à partir. Mais voilà: dans le Pas-de-Calais, alors que les arrivées n'ont jamais été aussi importantes, les éloignements exécutés par les services de la Police aux frontières (PAF) ont diminué. Entre le 1er janvier et le début du mois d'août, à peine plus de 1100 illégaux ont été expulsés, soit une baisse de 4% par rapport à la même période de l'année précédente. Dans le même temps, dans le Nord, pour un total de 450 expulsions environ, il n'y a que sept éloignements de plus… en sept mois. 
    Xavier Bertrand, le président les Républicains du conseil régional des Hauts-de-France, le regrette: «Le gouvernement n'a que trop tardé.» Lui assure ne «plus rien attendre» du trio exécutif Hollande-Valls-Cazeneuve. Car au-delà même de l'évacuation éventuelle du camp de la Lande et de ses ersatz, il convient, selon lui, de renégocier les accords du Touquet qui obligent la France à jouer les gardes-frontières pour le compte des Britanniques, moyennant quelques compensations financières. «Un marché de dupes !», proteste-t-il. 
    Selon la note du syndicat de police Alliance, dans l'urgence, pour faire face aux assauts répétés des migrants qui tentent de monter dans les camions sur les axes routiers comme l'A16, la Place Beauvau a fait passer à Calais le nombre de compagnies de CRS de 8,5 à 10,5, soit environ 150 hommes de plus. «La Sécurité publique est très souvent employée sur la problématique migrant et non pas sur son cœur de métier et cela se ressent sur le quotidien», estiment les auteurs de la synthèse d'Alliance qui affirment que «les chiffres de la délinquance sur Calais explosent.» 
    «Une zone de non-droit» 
    À les lire, «le camp n'est absolument pas contrôlé». Il «est devenu une zone de non-droit, aucun collègue ne peut y pénétrer la nuit. Seule une entrée est contrôlée par lecteur optique et identification, là où des mobil-homes sont implantés.» Une sécurité minimale pour «1500 migrants seulement», constatent-ils. L'idée d'un «couvre-feu» réclamé par Xavier Bertrand semble leur convenir. «Pourquoi pas?», écrivent-ils. Et d'ajouter: «Il est de notoriété publique que les migrants sont instrumentalisés par des activistes, tels les Black Blocs ou les No Borders, connus et identifiés par les collègues». La plupart, selon eux, sont «membres d'associations d'origine anglaise».
    Depuis fin juillet, deux migrants sont morts lors de rixes. Les délégués d'Alliance le redoutent: «Il va y avoir d'autres morts.» Ainsi, «dans la nuit du 22 au 23 août, une rixe a éclaté entre 400 Afghans et 400 Soudanais, faisant un mort et six blessés graves.» Conclusion: «Le ras-le-bol des Calaisiens et des commerçants est palpable. L'économie, le tourisme s'en ressentent, les policiers ont l'impression de ne servir à rien.» 
    Cette inquiétude est partagée par tous les syndicats de policiers. L'Unsa-police, bien implantée chez les CRS, confirme qu'«en quelques semaines, le nombre de repas servis au camp de la Lande a augmenté de 30%». Or tous les migrants ne se signalent pas aux autorités. 
    Denis Hurt, le délégué zonal de cette organisation syndicale, révèle qu'«une vingtaine de migrants parvient à passer chaque jour en Angleterre». Et pourtant, selon lui, «ce n'est visiblement pas l'eldorado tant espéré, puisque certains reviennent.» 
    À Calais, la police se prend à rêver qu'une solution se dessine avant l'automne. Car c'est la nuit que les migrants les plus décidés passent à l'action. «Quelques usagers de la route ont déjà été pris à partie», confie Denis Hurt. Or, dans quelques semaines, la nuit sur le Calaisis tombera beaucoup plus tôt, aux heures de sortie de travail. Des confrontations plus fréquentes sont à craindre. 

  • Le choix de l’ennemi ne doit pas forcément être le nôtre

    Bernard Plouvier

    Dans une Guerre, il est fort dangereux de ne pas fixer son but essentiel. De 1914 à 1918, les Européens ont avancé à l’aveuglette, changeant constamment de « buts de guerre », et ce des deux côtés. Au combat, il est nécessaire de ne pas se tromper de cible.

    Depuis la fin des années 1980 (où ils n’avaient que l’expression « putain de ta race » à la bouche), nos envahisseurs ont déclenché une guérilla, en France et dans de nombreux pays européens où l’opinion publique était aveulie par la propagande tiers-mondiste au point d’importer en masse ces « travailleurs » exotiques qui devaient « payer les retraites des Européens » vieillissants, alors qu’il aurait été plus intelligent d’assurer le renouvellement autochtone de la population du continent.

    Le combat de l’immigration-invasion était alors mené pour assurer le triomphe de la race africaine, dans toutes ses variantes. Et l’on pariait sur la différence des courbes de natalité entre Européennes de souche et Africaines, noires et maghrébines, pour obtenir la domination politique et sociale au bout de deux générations.

    Or, Noirs et Maghrébins ne s’entendaient guère et, assez vite, la fraction la plus évoluée des immigrées a modifié son comportement matrimonial. Avec ou sans l’accord du seigneur et maître, nombre d’Africaines ont adopté la contraception hormonale (qui n’est pas sans risques, lorsqu’il existe une obésité ou un tabagisme).

    En outre, les sauvageons de l’immigration étaient pressés : ils ne voulaient pas attendre la substitution de population majoritaire pour s’assurer la domination dans les grandes cités où leur médiocrité les faisait végéter. Il existait toutefois une faille dans cette pratique : les actes criminels n’étaient pas réellement punis (du moins en France), mais la violence stupide écartait une majorité d’immigrés de la guérilla. Il fallait trouver autre chose - un mythe fondateur - pour justifier le passage à la guerre ouverte.

    Les théoriciens tentèrent de changer de registre, pour souder ces innombrables Noirs, Maghrébins et Proche-Orientaux que l’État français, par bêtise, veulerie ou corruption de ses « chefs », accueillait en énorme quantité (idem en Belgique, Pays-Bas, Allemagne, Grande-Bretagne etc.). Depuis les années 2010, grâce en partie aux stupidités made in USA et à la rouerie du crypto-islamiste Barack-Hussein Obama, c’est désormais pour le triomphe de l’islam que s’agitent les immigrés.

    C’est une motivation parfaitement adaptée au fanatisme de sujets primaires. Elle peut, en outre, être présentée comme un noble objectif aux sujets moralement exigeants. Elle sert surtout de reconversion aux voyous de banlieue sans perspective d’avenir et d’agent fédérateur de communautés qui, jusqu’alors, se haïssaient autant que les peuples européens se sont haïs jusqu’au début des années 1950.

    Il serait stupide de ne pas comprendre le jeu de nos ennemis, qui sont des roublards d’exception, et de les suivre dans leur apparent délire religieux. La guerre déclenchée en Europe occidentale et scandinave est une guerre de races, une guerre traditionnelle pour la domination de terres d’expansion démographique et de conquêtes des richesses d’autrui. Les peuples danubiens, longtemps soumis à l’immonde tyrannie turque, l’ont parfaitement compris, contrairement aux Occidentaux et aux Scandinaves moralement avachis.

    Les Européens doivent défendre leur continent, leur civilisation, leur race face aux envahisseurs. C’est une évidence. Mais la notion de foi ne doit intervenir que de façon individuelle ; non comme motivation, mais comme aide spirituelle pour celles et ceux qui ne peuvent se passer de téléfinalité et d’assurance-vie éternelle.

    Il ne doit en aucun cas s’agir d’une croisade des chrétiens contre les mahométans… pour un athée, il n’existe pas plus d’allah que toute autre essence supérieure : appelons les fous furieux d’entre nos ennemis de façon juste, soit des fanatiques, intoxiqués par les textes du sieur Mahomet.

    Il ne peut s’agir d’un retour à une religiosité de type médiéval, où tous les États d’Europe étaient officiellement « chrétiens », ce qui permettait aux souverains de se réclamer d’un droit divin. L’histoire réelle de cet « Âge des Ténèbres » (l’expression « Dark ages » est classique dans la littérature britannique) prouve que les maîtres des sociétés utilisaient la religion pour asservir ou justifier des mesures fort peu « chrétiennes ». Seuls des saints se mettaient au service de la foi – et de façon rarement raisonnable. Or, le saint, à toute époque et en tout continent, a toujours été l’exception.

    Combattons pour notre civilisation européenne et notre race. C’est un assez bel objectif en soi.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2016/08/29/le-choix-de-l-ennemi-ne-doit-pas-forcement-etre-le-notre-5841200.html

  • Bernard Antony : "C'est l’islamisation totalitaire de nos sociétés qui est le danger"

    Extrait de la réaction de Bernard Antony à propos du burkini :

    "(...) L’affaire du burkini islamique, ignominieusement donc réservé aux seules femmes, aura en fait déplacé la question fondamentale qui est celle de l’expansion de l’islam en France et dans toute l’Europe occidentale et hélas encore dans bien d’autres pays. Avec Mohamed-Christophe et autres convertis au Christ venus de l’islam, nous n’avons cessé de le rappeler, c’est l’islamisation totalitaire de nos sociétés qui est le danger.

    Elle ne cesse de progresser avec la mortelle dialectique de « l’islam mains rouges » et de « l’islam patte blanche », ce dernier se présentant comme la pacifique alternative à l’abomination de l’islam jihâdiste. Et elle avance avec le piège pour les gogos ignorants du « pas d’amalgame » massivement matraqué par les médias, les politiciens et tant de religieux, diversement à la fois trompeurs et trompés, tous aux cerveaux plus ou moins lessivés par la constante instillation de l’idéologie de l’antiracisme. 

    Le burkini est au moins un révélateur. Les analphabètes politico-médiatiques de la réalité de l’islam, le présentent comme un signe religieux. Combien de fois faudra-t-il redire et répéter que l’islam n’est pas principalement une religion mais un totalitarisme politico-religieux culturel et moral ? Sa visibilité n’est pas pour l’heure le pire danger mais au contraire un avertisseur de sa rapide avancée qu’il faudrait coûte que coûte conjurer. 

    Car dès que l’islam, sans attendre d’être majoritaire, devient une forte minorité alors l’histoire enseigne que très vite, il impose sa domination, l‘avancée de la charia et la soumission à la dhimmitude pour « les gens du livre ».Or justement, tout le problème de l’islam réside dans ses livres, le Coran et les hadîths, qui ne sont ni des livres de paix ni de tolérance mais la source de l’exemplarité cruelle du prophète. Nous aurons hélas l’occasion d’en reparler."

    Philippe Carhon

  • Le parti de Geert Wilders veut désislamiser les Pays-Bas

    Geert Wilders, le président du Parti de la Liberté, n'est visiblement pas un adepte du vivre-ensemble et encore moins du politiquement correct. Il ne considère pas l'islam comme une simple religion mais comme "un totalitarisme politique"  :

    "Le parti néerlandais d'extrême droite PVV, en tête des sondages pour les législatives de mars 2017, veut "fermer toutes les mosquées" et "interdire le Coran", selon son programme électoral publié jeudi par son président, le député Geert Wilders.

    "Toutes les mosquées et écoles musulmanes fermées, interdiction du Coran", indique, sans plus de détails, le document d'une page intitulé "Projet - Programme électoral PVV 2017-2021" publié sur le compte Twitter du député qui écrit: "les Pays-Bas à nouveau à nous".

    Le parti pour la liberté (PVV) souhaite "désislamiser" le pays, annonce-t-il, notamment en fermant les frontières et centres de demandeurs d'asile ainsi qu'en interdisant l'arrivée de migrants originaires de pays musulmans, le port du foulard dans la fonction publique et le retour aux Pays-Bas de personnes parties en Syrie (...)

    Les sondages prédisaient l'année dernière au PVV jusqu'à 38 sièges sur les 150 que compte la chambre basse du Parlement (...)"

    Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Les Corses ne veulent pas de leçons de morale antiraciste

    Par Alexandre Devecchio            

    « Les Corses ne veulent pas de leçons de morale antiraciste » : C'est ce qu'expose Paul-François Paoli dans cet entretien donné à Figarovox[25.08] après la rixe de Sisco en Corse. Entretien où il revient sur le climat très dégradé qui règne sur l'Île de Beauté entre Corses et Maghrébins. Nous trouvons son analyse intéressante et juste, sans que pour autant nous entrions par là dans quelque autre aspect que ce soit de la question corse.   LFAR

    Cinq personnes ont été placées en garde à vue la semaine dernière à la suite de la rixe survenue à Sisco. Parmi les gardés à vue, « trois frères d'une même famille maghrébine et deux villageois de Sisco», a indiqué le procureur de Bastia. La garde à vue porte sur « des violences avec armes » pour les premiers, et « violences en réunion » pour les seconds. « A l'origine des incidents se trouvent les membres de la famille maghrébine qui ont souhaité privatiser la plage », a également déclaré le procureur de Bastia, selon France 3 Corse. Avant d'ajouter : «On a d'une part une logique d'appropriation de la plage qui relève du caïdat, et de l'autre une réaction inadaptée des villageois de Sisco ». Que cette décision vous inspire-t-elle ? Peut-renvoyer dos à dos des « voyous » apparemment munis d'armes et des villageois qui semblent en légitime défense ?

    Connaissant cette petite plage de Sisco dans le cap corse et qui est très exiguë, je me doutais un peu que c'était une affaire de territoire plutôt qu'un incident dû à une manière de s'habiller. Les jeunes corses ont sans doute eu l'impression d'être de trop. Ce que nous acceptons depuis très longtemps sur le continent, l'incivilité, l'arrogance ou la violence de certains jeunes maghrébins qui ne sont pas forcément religieux, les Corses ne sont pas près de l'accepter et ils ont raison. On ne peut évidemment pas mettre sur le même plan les agresseurs et les agressés, puisque en l'occurrence ce sont les jeunes Corses qui l'ont été.

    Les médias ont parlé d' « affrontement communautaire » entre Corses et Maghrébins. Où est passée la France ?

    J'étais en Corse durant le mois de juillet, notamment dans la banlieue de Bastia et j'ai ressenti la tension monter après la catastrophe de Nice. J'ai entendu des propos incendiaires venant de jeunes corses au sujet des « Arabes ». Nul n'ignore qu'entre Corses et Maghrébins, ce n'est pas le grand amour. Les communautés ont plutôt tendance à vivre séparées et l'idée diffusée par certains nationalistes selon laquelle la Corse serait une nation en train de se construire avec tous les habitants de l'île relève du mythe. La société corse est tolérante mais elle n'est guère assimilationniste. Pour qu'assimilation il y ait, il faut des mariages mixtes entre Magrébins et femmes corses et je n'en ai pas rencontré beaucoup en cinquante ans de fréquentation. Par ailleurs, depuis quelques années, la pression musulmane s'accentue. Il y a désormais beaucoup de femmes voilées dans la banlieue de Bastia. On ne peut pas dire que ce soit le signe d'une assimilation en cours.

    Dans votre livre, vous faites le parallèle entre certains jeunes corses et certains jeunes « franco-algériens » qui sont français juridiquement parlant, mais n'attribuent plus à la nationalité française de valeur affective. Pouvez-vous développer ?

    Dans mon dernier livre, j'ai mis l'accent en effet sur un phénomène de dissociation entre la nationalité administrative et le sentiment d'identité. Que moult jeunes maghrébins, notamment pourvus de la double nationalité, ne se sentent pas français est une réalité patente ; les drapeaux algériens brandis durant les manifestations sportives en témoignent. Pour ce qui est des Corses, c'est différent. Le nationalisme a en effet accentué la dissociation entre la nationalité française officielle des Corses et leur sentiment d'être exclusivement corses. Pour autant lors de l'affaire de Sisco on a pu constater que l'Etat de droit avait bien fonctionné. Si les Corses, même nationalistes, acceptent que la justice soit rendue dans cette affaire, c'est qu'ils acceptent la légitimité de l'Etat et c'est une très bonne chose.

    Peut-on les mettre sur le même plan ? Pour les jeunes corses, le sentiment d'appartenance est souvent réel. Pour les jeunes Franco-Algériens qui n'ont parfois jamais mis les pieds dans leur pays d'origine, cela ne traduit-il pas surtout un sentiment de défiance à l'égard de la France ?

    Cette affaire de Sisco est en effet assez emblématique des fractures ethniques qui travaillent la société française depuis longtemps. En Corse, ces fractures sont à vif parce que les Corses ont un lien quasi-organique avec leur terre et ils sont réactifs quand ils ont l'impression que des étrangers se comportent comme sur un territoire conquis. Le slogan « On est chez nous » scandé par les manifestants qui sont allés dans le quartier de Lupino pour en découdre avec les agresseurs marocains n'est nullement raciste en lui-même. Il signifie qu'en Corse, ce sont les Corses qui décident de ce qui se fait ou ne se fait pas. Dans les années 70 et 80, il y avait souvent des bagarres entre jeunes corses et jeunes allemands qui, l'été, défrayaient la chronique. Personne ne parlait de racisme. Simplement les jeunes locaux avaient l'impression que les Allemands, nombreux sur les plages à l'époque, se comportaient de manière arrogante. En Corse, le meilleur moyen d'être accepté est d'être discret et de se conformer aux us et coutumes locales. L'arrogance et l'exhibitionnisme, d'où qu'ils viennent, sont mal perçus.

    Beaucoup de jeunes musulmans se reconnaissent de plus en plus dans la Oumma … Bien au-delà du cas corse, l'affaire de Sisco est-elle le miroir des fractures françaises ? Peut-on aller jusqu'à parler de « balkanisation de la France » ? Que peut-on faire face à ces phénomènes de sécession culturelle et territoriale ?

    Il pourrait y a avoir un risque de balkanisation si l'Etat républicain qui est sensé détenir le « monopole de la violence légitime » pour reprendre la formule de Max Weber n'assume plus ses fonctions répressives. A quoi bon être strict sur cette question du burkini si des femmes en burka peuvent faire leurs courses sur les Champs Elysées alors que la loi l'interdit ? Le port de la burka est beaucoup plus agressif symboliquement que celui du burkini. Il signifie ni plus ni moins ceci : je vis chez vous, parmi vous, mais vous n'avez pas le droit de me regarder alors que j'ai moi-même ce droit. La vraie raison de la non-intervention de l'Etat hollandais est la peur. L'Etat hollandais a peur des troubles qui pourraient s'ensuivre si les fonctionnaires de police faisaient respecter la loi à Marseille, à Roubaix ou en Seine-Saint-Denis. En Corse, cette faiblesse de l'Etat est très mal perçue. Les Corses n'ont pas envie de recevoir des leçons de morale antiraciste et des cours de valeurs républicaines venant de gens qui ferment les yeux depuis si longtemps sur ce qui se passe dans ces quartiers où les salafistes sont comme des poissons dans l'eau. Et l'on comprend, du coup, pourquoi le récent communiqué du FLNC contre les islamistes n'a guère soulevé de protestation en Corse. Si L'Etat est défaillant dans la lutte contre l'islamisme, d'autres s'en chargeront. 

    Paul-François Paoli est chroniqueur littéraire au Figaro et essayiste. Il a publié dernièrement Quand la gauche agonise (éd. du Rocher, janvier 2016). 

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Journal du Lundi 29 août 2016 - Immigration / Calais : le point de non retour ?