Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

immigration - Page 1122

  • Clandestins : l’Allemagne durcit le ton… trop tard ?

    L’Allemagne va durcir les conditions de regroupement familial et d’entrée sur le territoire pour certaines catégories de « migrants ». Trop tard pour l’opinion publique, alors que 40 % des Allemands veulent la démission d’Angela Merkel.

    L’Allemagne veut limiter l’afflux de clandestins en durcissant les conditions du regroupement familial et en plaçant l’Algérie, le Maroc et la Tunisie sur la liste des pays d’origine « sûrs », ce qui limitera de façon drastique les cas dans lesquels les ressortissants de ce pays pourront obtenir l’asile.

    Les clandestins qui bénéficieront de la « protection subsidiaire » n’auront ainsi plus le droit « pendant deux ans » de faire venir leur famille, a indiqué M. Gabriel, ministre de l’Économie. Cette mesure concernera aussi les Syriens, qui ont longtemps bénéficié d’un droit d’asile quasi-automatique. Mais depuis le 1er janvier, Berlin a réintroduit l’examen individuel des demandes, y compris pour les Syriens.
    La « protection subsidiaire » est un cran en dessous du statut de réfugiés : elle est octroyée à certains déboutés du droit d’asile ou du statut de réfugiés qu’on ne peut toutefois pas expulser, car ils risquent torture ou peine de mort dans leur pays. Renouvelable, elle limite le premier droit de séjour à un an, contre trois ans pour le statut de réfugié.

    Ces demi-mesures ont fait l’objet d’âpres négociations entre les principaux partis politiques allemands : CDU et CSU voulaient réduire drastiquement le regroupement familial, ce que refusait le SPD.

    « Je crois qu’aujourd’hui était un bon jour, puisque nous avons mis en route » ces mesures, a déclaré Mme Merkel après une réunion avec les patrons des Länder, les États régionaux allemands.
    Un optimisme de façade que dément un sondage paru récemment, selon lequel 40 % des Allemands souhaitent la démission d’Angela Merkel en raison de sa politique en matière d’accueil des réfugiés, contre 45 % à estimer le contraire et 15 % de sans opinion sur cette question.

    http://fr.novopress.info/

  • Un haut responsable de l’UE admet que la plupart des envahisseurs n’ont rien de « réfugiés »

    Traduction de l’article de New Observer.

    Le commissaire européen des Pays-Bas – et membre du parti travailliste néerlandais – Frans Timmermans, a admis qu’au moins 60 pourcents des envahisseurs non-blancs n’ont eu à fuir aucune guerre.

    Parlant dans un entretien avec la radio néerlandaie NOS, Timmermans, qui est aussi le premier vice-président de la Commission Européenne, a dit que « Plus de la moitié des gens venant en Europe actuellement viennent de pays où l’on peut supposer qu’ils n’ont absolument aucune raison pour demander le statut de réfugiés. Plus de la moitié, 60 pourcents« .

    Un grand nombre des « migrants » viennent du Maroc et de Tunisie arrivant en Europe via la Turquie, a dit Timmermans, faisant référence à des chiffres de l’agence européenne Frontex, qui, a-t-il dit, n’ont pas encore été publiés officiellement mais auxquels il a eu accès.

    Timmermans – qui est très pro-invasion – a dit qu’il était important de renvoyer ces « réfugiés économiques » chez eux aussi vite que possible « afin de s’assurer que le soutien [public] pour les gens fuyant la guerre » ne soit pas heurté.

    « S’ils pouvaient être renvoyés, cela ferait une énorme différence« , a dit Timmermans, indiquant que même l’extrême-gauche est consciente que la flambée de crimes et d’attaques sexuelles par les essaims d’envahisseurs non-blancs érode le soutien dont elle dispose.

    Les commentaires de Timmermans ont été immédiatement attaqué par des « experts » sur la chaîne d’information NRC, qui ont dit qu’une analyse des chiffres de Frontex montrait que 64 pourcents des « réfugiés » venaient de « zones de guerre comme la Syrie et l’Irak ».

    Interrogé sur les chiffres contradictoires, un porte-parole de Timmermans a déclaré à NRC qu’il faisait référence à tout les points d’entrée vers l’Europe, pas aux seules îles grecques;

    Plus tôt cette semaine, un certain nombre d’Etat membres de l’UE se sont adressé à la Commission Européenne pour étendre leur « contrôle frontaliers » pour jusqu’à deux ans. Le ministre de l’immigration néerlandais Klaas Dijkhoff a été cité déclarant que « les délais actuels, existants, ne sont pas assez longs pour résoudre la crise et que les pays annulent ces mesures« .

    Les « contrôles frontaliers » sont, comme presque tout le reste de ce que font les gouvernements d’Europe de l’Ouest, une arnaque. Tout ce qu’ils font est de gêner les européens qui doivent à nouveau montrer leurs passeports pour passer d’un pays à l’autre, mais les « réfugiés » qui demandent l’asile peuvent en général passer malgré tout, au moins jusqu’à ce que leurs demandes soient traitées – ce qui peut prendre deux années, ou plus.

    On ajoutera en conclusion que la Turquie étant en paix, tout syrien ou irakien qui va plus loin devient de facto un migrant économique, quoi qu’il ait pu vivre dans son pays d’origine.

    https://blancheurope.wordpress.com/2016/01/30/un-haut-responsable-de-lue-admet-que-la-plupart-des-envahisseurs-nont-rien-de-refugies/#more-4544

  • Grand Remplacement : vers une prise de conscience européenne

    (NOVOpress avec le bulletin de réinformation)

    L’arrivée massive depuis plus d’un an de clandestins originaires pour la plupart de pays majoritairement musulmans vire à la submersion migratoire
    Une submersion organisée par Bruxelles avec la complicité des chefs d’État et de gouvernement du Vieux Continent. Visitant ce mercredi le centre Jules-Ferry, qui jouxte la « jungle » de Calais, Alain Juppé, déclarait « Je ne m’attendais pas à voir cela. C’est vrai que je connaissais la situation via des reportages, des images, mais rien ne remplace la venue sur place. » Bel exemple de déconnexion des « élites » par rapport aux réalités que vivent les Français. L’ex-Premier ministre en a remis une couche dans le politiquement correct, en ajoutant que les conditions d’accueil des migrants « Ne sont pas dignes de ce que la France doit faire », alors même que les Calaisiens vivent un enfer, et que forces de l’ordre et transporteurs routiers subissent quotidiennement des agressions de plus en plus violentes.

    Un début de prise de conscience, tout de même, de la part de politiciens du système…
    Alors que le nombre de déclarations d’agressions et de viols perpétrés la nuit du Nouvel An dans de nombreuses villes d’Allemagne vient de dépasser le millier, le député Les Républicains Jean-Frédéric Poisson avertit « Ce qui s’est passé en Allemagne peut arriver à tout moment en France ». Son collègue Philippe Gosselin le rejoint « Il n’y a pas de raison objective pour que des viols de masse ne se produisent pas aussi à Calais (…) Le gouvernement gère la situation à la petite semaine !».

    Organisés à l’appel de PEGIDA Allemagne et de Tommy Robinson, le fondateur de l’English Defence League, plusieurs rassemblements sont prévus le 6 et le 7 février prochain dans 14 pays européens sur le thème : « Sauvons notre pays, sauvons notre culture, sauvons notre futur »
    Riposte laïque et Résistance républicaine, co-organisatrices pour la France de ces deux journées, dénoncent l’existence : « D’une cinquième colonne islamiste qui a décidé, par la violence et, la terreur, d’imposer ses pratiques à l’ensemble des Européens. L’accélération de l’invasion migratoire ne peut que renforcer ces desseins, l’État islamique se vantant d’avoir infiltré les flots de migrants qui arrivent dans nos pays ». Pour tous renseignements sur le déroulement de ces manifestations, rendez-vous sur les sites de ces deux associations.

    http://fr.novopress.info/197619/grand-remplacement-vers-prise-conscience-europeenne/

  • La guerre civile inconcevable

    Pendant que l’on amuse le peuple de débats oiseux, l’Etat recule. De renoncement en renoncement, la libanisation de notre pays semble inexorable.

    Le psychodrame national actuel au sujet de la déchéance de nationalité constitue une synthèse pratiquement parfaite des faiblesses de nos institutions et de notre vie politique. Confronté à l’imprévu, le président réagit précipitamment par une combinaison d’astuce tacticienne, d’effets de communication et de récupération politique. Ses frondeurs en profitent pour le mettre dans l’embarras en affichant leurs « valeurs » et leur « conscience de gauche », devant des médias friands de scandales artificiels.

    Les Français cèdent à leur penchant habituel pour les débats idéologiques, tandis que l’opposition cherche à utiliser la dernière polémique pour faciliter son retour au pouvoir.

    Rien donc de nouveau dans l’affaire, et le second élément ne l’est pas davantage ; c’est la peur, celle-là même qui est responsable de la confusion actuelle : peur d’appliquer les lois, peur de nommer les choses, peur d’être accusé de racisme ou d’islamophobie, peur de sanctionner, peur de perdre les élections, peur de la condamnation des instances supranationales, et surtout peur de s’attaquer aux véritables problèmes qui minent le pays.

    L’engrenage

    C’est précisément cette crainte de sévir, de trancher et d’affirmer l’autorité de l’Etat qui explique la pérennité et la multiplication des zones de non-droit, le développement des trafics d’armes, de drogue et d’êtres humains, le délitement du système scolaire, l’envolée des « incivilités » et de la délinquance, l’anarchie du système carcéral, l’immigration incontrôlée, la naturalisation bradée, le communautarisme rampant, les prêches de haine dans les mosquées intégristes et la quasi-absence d’expulsions de déboutés du droit d’asile – ou même de terroristes.

    Il suffit de suivre l’enchaînement et l’imbrication de tous ces facteurs pour comprendre l’impasse actuelle : l’immigration incontrôlée a provoqué entassement, chômage, déracinement, déscolarisation, haine de la France, phénomènes de bandes et petite délinquance. D’abord non sanctionnée, celle-ci a prospéré dans les zones de non-droit, puis elle a abouti à une criminalité plus dure, débouchant souvent sur la case prison ; que ce soit durant une incarcération mal contrôlée, dans les mosquées ou sur Internet, les délinquants sont tombés sous l’influence des intégristes prêcheurs de haine, qui leur ont donné une raison de vivre – et même de mourir. Ce n’est là que le schéma « standard », auquel s’ajoutent les « copy cat killings », crimes d’imitation commis par des esprits faibles ou perturbés. Les autorités étant incapables d’intervenir efficacement à l’une quelconque des étapes de ce processus infernal, il ne pourra que s’amplifier à l’avenir – d’autant que les enfants de ces intégristes, élevés dans une ambiance de haine, risquent d’être encore plus féroces et meurtriers que leurs parents…

    Peur de la peur

    Ce sombre tableau sera rejeté par bien des lecteurs, non parce qu’il ne correspond pas à la réalité, mais parce que l’admettre obligerait à avoir peur. Or, non seulement nous craignons la peur, mais encore nous craignons d’admettre que nous avons peur. Dès lors, la suite prévisible des événements se verra opposer un déni encore plus catégorique ; cette suite, c’est la conséquence logique de la faiblesse des autorités et de l’expansion du communautarisme dans les zones de non-droit. « La charia s’applique là où nous sommes majoritaires ! » a-t-on entendu en Allemagne et aux Pays-Bas. « Les agents de l’Etat français ne peuvent pas entrer chez nous ! » entend-on de plus en plus fréquemment dans certaines banlieues françaises. Quel que soit l’avenir de Daech – qui finira par disparaître, victime à la fois de ses ennemis et de ses dissensions internes –, la France connaîtra inévitablement l’accentuation d’un processus de communautarisme et de libanisation.

    Des scénarios « inconcevables »

    Bien entendu, ce processus ne mènera pas à la guerre civile, car ce serait inacceptable et, dans la pensée magique, l’inacceptable ne saurait se produire. D’autant que la perspective d’une telle guerre alarmerait le peuple, et rien n’est plus dangereux qu’un peuple alarmé – sinon un terroriste fanatisé. C’est d’ailleurs dans l’espoir de « rassurer les populations » que les autorités envoient des militaires en uniforme patrouiller et servir de gardes statiques – tout en sachant parfaitement qu’ils ne peuvent rien prévenir et constituent des cibles idéales pour un tueur bénéficiant de l’effet de surprise.

    Bref, cette guerre civile impossible, impensable et inacceptable peut se déclencher de l’une des quatre manières suivantes :

    • le premier scénario, un affrontement entre l’extrême droite et les salafistes, est aussi le moins vraisemblable ; en France, comme partout en Europe, les extrémistes s’en prennent rarement aux extrémistes, préférant les affrontements à moindre risque contre les modérés et l’Etat désarmé – même si l’on peut craindre des actions de représailles pour remédier à une démission trop ostensible des autorités.

    • dans le deuxième cas, certaines banlieues, villes ou conurbations du pays entreront en dissidence, hissant le drapeau noir de Daech, le drapeau blanc et noir d’Al-Qaïda, le drapeau jaune du Hezbollah ou le drapeau vert des nouveaux islamistes qui auront émergé dans l’intervalle ; même un gouvernement faible ne pourra le tolérer, et les opérations de reconquête par l’armée, la gendarmerie et les groupes d’intervention seront longues et sanglantes.

    • le troisième scénario est celui d’un effondrement de l’économie française, consécutif aux multiples errements que nous connaissons déjà ; dans un tel cas, les innombrables allocations assurant la paix sociale devront être réduites ou supprimées, ce qui provoquera des émeutes difficilement contrôlables, eu égard à la masse des bénéficiaires de l’assistanat, à l’échauffement des esprits, à l’effervescence religieuse et à la libre circulation des armes de guerre…

    Les conflits importés

    Le dernier cas est celui d’une dérive fatale des affrontements intercommunautaires, précipitée ou non par des événements extérieurs ; les hostilités déjà familières – et minimisées – entre Roms et Beurs, musulmans et juifs, Corses et Marocains, Kurdes et Turcs, Tamouls et Sri-Lankais, mafias italiennes et tchétchènes peuvent se doubler à l’avenir de conflits ouverts entre chiites et sunnites, Serbes et Kosovars, Erythréens et Somaliens, Indiens et Pakistanais, ajoutés à de possibles règlements de comptes d’ampleur entre Nigérians partisans ou non de Boko Haram, Syriens alaouites et opposants à Assad, Iraniens proches des ayatollahs et activistes des Moujaheddines du Peuple, Libyens affidés à Tripoli ou à Tobrouk, Afghans pro- et anti-talibans, Pakistanais de diverses confessions, voire Hutus et Tutsis rwandais si les guerres tribales devaient reprendre en Afrique de l’Est.

    A tout cela s’ajoute que les nouvelles vagues d’immigration massives vont sans doute charrier quelques courants de haines mortelles encore inconnues sous nos latitudes. Bien sûr, beaucoup de ces affrontements importés ne se produiront pas, mais qui osera affirmer qu’aucun n’éclatera ? Et que pourra faire dans cette éventualité une armée française épuisée par les gardes statiques, peu sûre de ses effectifs et moins encore de ses matériels ? (Ce qui ne signifie pas qu’elle ignore le danger : dès 2006, elle a ouvert dans l’Aisne le CENZUB, Centre d’entraînement aux actions en zone urbaine).

    Les naïfs diront que ces déchaînements de violence se produisent certes en Afrique, au Proche- et au Moyen-Orient, mais qu’ils ne peuvent s’exporter en France, pays du vivre-ensemble et des droits de l’Homme ; les craintifs trembleront et se réfugieront dans un silence assourdissant ; les attardés et les indignés hurleront au contraire que le seul fait d’évoquer de telles possibilités pourrait les amener à se produire – tout comme au Moyen Age on s’interdisait de prononcer le mot de peste par crainte de la convoquer… Et comme nous sommes en France, tout cela se terminera par des procès futiles et des joutes verbales stériles à visées électoralistes.

    Le salut dans l’improbable

    Pourtant, il faut bien ménager une place au hasard, car dans les destinées humaines, c’est souvent le plus imprévu qui est le plus certain. Dans ce cas, les scénarios probables nous seront épargnés, et la France trouvera finalement son salut dans la survenue de l’improbable…

    François Kersaudy, 13/01/2016

    Source : Le Point.fr (13/01/2016)

    http://www.polemia.com/la-guerre-civile-inconcevable/

  • La Russie accuse l’Allemagne de cacher le viol d’une enfant de 13 ans par des clandestins

    Sources:TV 1 / BBC

    Le viol présumé d’une jeune fille russe de 13 ans à Berlin, par des demandeurs d’asile, a provoqué de fortes réactions de l’importante communauté russe d’Allemagne.
    Mais le scandale a été déclenché par la machine de propagande médiatique russe avec l’appui du Kremlin. Des milliers de russophones sont descendus dans les rues dans toute l’Allemagne ce week-end pour protester contre ce qu’ils pensent être une dissimulation de la police. « Nos enfants sont en danger, » peut-on lire sur une pancarte, « Touche pas à mon enfant, » sur une autre.

    700 manifestants se sont rassemblés devant la chancellerie samedi dernier et d’autres manifestations ont eu lieu devant des foyers de demandeurs d’asile à Berlin et dans le sud de l’Allemagne.
    Les manifestants étaient en colère après que la télévision russe Channel One ait signalé qu’une enfant russe de 13 ans avait été enlevée sur le chemin de l’école et violée par les demandeurs d’asile « d’origine arabe ».
    Mais la police allemande a indiqué qu’après un interrogatoire et des examens, il était clair que Lisa F. n’avait pas été enlevée et violée. Les rapports sexuels n’avaient pas été forcés a expliqué la police.
    Cependant vu l’âge de la jeune fille, seulement 13 ans, le procureur va poursuivre deux hommes pour maltraitance sur enfant. L’âge du consentement sexuel en Allemagne est de 14 ans et des relations sexuelles avec un enfant mineur sont considérées techniquement comme un viol, mais si la force n’est pas utilisée cela sera généralement classé comme de la simple maltraitance.

    Le 11 janvier, Lisa F. a été portée disparue par sa famille auprès de la police. Elle est réapparue le lendemain. Mais une interview télévisée donnée par la tante supposée de la jeune fille a laissé entendre que la jeune fille avait été violée par plusieurs hommes pendant les 30 heures de sa disparition. Cette intervention s’est répandue sur les réseaux sociaux et a été vue plus d’un million de fois sur Facebook.
    L’Avocat allemand Martin Luithle a déposé plainte à la police pour incitation à la haine raciale contre le journaliste russe qui a lancé cette histoire, Ivan Blagoy.
    L’affaire a été reprise avec enthousiasme par les extrémistes de droite pour discriminer encore plus les migrants qui est récemment devenu un sujet explosif en Allemagne.
    L’extrême-droite du NPD et la branche berlinoise du mouvement anti-Islam PEGIDA ont aidé à organiser des manifestations. Les liens entre la Russie et des groupes d’extrême-droite en Allemagne ne sont pas inhabituels. Les drapeaux russes sont souvent brandis aux manifestations de PEGIDA. Le quartier de Marzahn, où vit la famille de Lisa F., peuplée de russophones, est connu pour ses tendances xénophobes et extrémistes de droite.
    Mais maintenant, l’affaire pourrait se transformer en un contentieux diplomatique entre l’Allemagne et la Russie. « Il est clair que la jeune fille n’a pas disparu volontairement pendant 30 heures, » a lancé le ministre russe des Affaires étrangères Sergei Lavrov au cours d’une conférence de presse mardi à Moscou, accusant les responsables allemands de couvrir cette agression.
    « J’espère que ces crimes ne sont pas cachés sous le tapis et qu’il n’y a pas d’autres cas comme celui de notre Lisa. »

    Mais en parlant aussi crûment sur qui est connu comme l’« affaire Lisa », M. Lavrov souligne la faillite des autorités allemandes sur le problème de la délinquance immigrée. Ces allégations sont particulièrement solides depuis la débâcle de Cologne, lorsque la police a été incapable de protéger des centaines de femmes contre les agressions sexuelles du réveillon du Nouvel An.
    Le ministre de l’Intérieur de Berlin, Frank Henke, a répondu en disant qu’il était surpris par l’intervention de Moscou sur une enquête de police en cours, et que la police allemande se conformait à la loi en vigueur.
    « L’accusation selon laquelle les enquêteurs dissimulent quelque chose n’est pas vraie même si on le répète sans cesse », a-t-il déclaré. D’autres politiciens allemands ont exprimé leur indignation, accusant Moscou d’alimenter les théories du complot de l’extrême-droite en Allemagne.
    Le ministre des Affaires étrangères Frank-Walter Steinmeier est catégorique, il n’y a aucune justification à utiliser cette affaire « pour la propagande politique et pour enflammer et influencer ce qui est déjà un débat difficile sur l’immigration en Allemagne ».
    Le porte-parole de la chancelière Angela Merkel, Steffen Seibert, demande à ce que les autorités puissent enquêter sans pression extérieure. « Il n’y a aucune raison, et c’est même inadmissible, de faire un usage politique de cette affaire, » dit-il de son côté.
    Le Président de la Commission des affaires étrangères du gouvernement allemand, Norbert Roettgen, s’est plaint que « manipulations et mensonges sont des méthodes courantes dans la propagande utilisée par les dirigeants russes. Le cas montre que les questions nationales en Russie semblent être plus importantes que les relations avec les autres pays. »

    Mais certains commentateurs allemands ont critiqué la police de Berlin pour son manque de communication. Bien que les enquêteurs gardent les accusations de violence contre un enfant, les critiques disent que ce n’était ne pas clairement indiqué dans la déclaration initiale de la police.
    Cette imprécision a été reprise par les militants anti-immigrations dans l’espoir d’attiser les tensions.
    Les médias soutenus par le Kremlin ont souvent été accusés de propagande pour semer le trouble chez les russophones vivant dans les pays baltes. Mais maintenant, certains craignent que la même tactique puisse être utilisée en Allemagne, peut-être pour déstabiliser la chancelière Angela Merkel à propos des sanctions européennes imposées à la Russie en raison du conflit dans l’est de l’Ukraine.

    http://fr.novopress.info/197623/russie-accuse-lallemagne-cacher-viol-dune-enfant-13-ans-immigrants-illegaux/

  • Jamais le vivre ensemble n’a été inscrit au rang des valeurs

    De Robert Redeker :

    "Un nouveau leitmotiv est repris depuis quelques mois par les politiciens, certaines associations, et une partie des médias : le vivre ensemble. L’objet de la politique serait d’organiser le vivre ensemble. L’École n’aurait d’autre mission que de l’enseigner. Les valeurs elles-mêmes se récapituleraient dans ce vivre ensemble. Cette expression est dans toutes les têtes et dans toutes les bouches. Mais cette mode sémantique signifie-t-elle quelque chose ?

    En relisant les philosophes, les moralistes, les écrivains des temps passés, la vérité se fait jour : jamais le vivre ensemble n’a été inscrit au rang des valeurs, jamais même il n’a été énoncé sous cette forme. S’il a le sens de l’ironie, tout un chacun fera observer que le vivre ensemble a fait une entrée récente dans le monde des valeurs.  Le vivre ensemble parvient à se faire passer pour un impératif universel, incontestable et même indiscutable, tout le temps que l’on ne prend pas conscience qu’il est né de la dernière pluie.

    Affirmer qu’il faut vivre ensemble est aussi plat qu’affirmer qu’il faut respirer. C’est affirmer que l’homme est un être social et rien d’autre. Ce truisme ne peut constituer ni un programme politique ni un fil conducteur pour l’éducation. Si le vivre ensemble s’impose comme valeur, c’est que l’espace politique a été détruit. Plus : c’est que toute perspective collective a été détruite. On brandit le vivre ensemble quand on n’a rien à dire, ou plus rien à dire, sur la société ou la politique, sur les instituions ou l’École.  Ce pseudo concept n’est pas un étouffe-pensée, mais plutôt un vain mot qui ne germe et ne fleurit qu’au jour où toute pensée s’est évanouie. Le vivre ensemble ne peut croître ailleurs que dans le désert de l’intelligence.

    Notre époque discourt sur le vivre ensemble pour ne pas parler de la cité.Elle fait du vivre ensemble un projet politique alors que c’est la cité qui devrait en être un. Le vivre ensemble est tout le contraire de la cité : c’est la cité éclatée en une nébuleuse de communautés et d’individus isolés dont il s’agit d’empêcher qu’ils empiètent les uns sur les autres. C’est la juxtaposition pacifique proposée comme idéal collectif. Bref, le vivre ensemble est l’exact opposé de la politique qui exige non pas une juxtaposition, mais une fusion.  De ce fait, il est impossible de voir dans ce vivre ensemble un autre nom de la fraternité, ou une modernisation de celle-ci.

    Le vivre ensemble est une illusion verbale, un vain mot agité pour masquer le néant intellectuel et politique d’une époque à la dérive."

    Michel Janva

  • Autriche : des officiers entrent publiquement en dissidence

    Coup de théâtre dans les débats sur la sécurité ! Des officiers de haut rang lancent un avertissement : « La sécurité de notre pays et de sa population est gravement menacée »

    Personne ne s’y attendait pas. Pourtant, aujourd’hui, ils se font entendre. Les officiers de l’Armée autrichienne ont décidé de ne plus se taire ! Sur une plate-forme nouvellement créée, « L’Autriche défendue », ils alertent sur les dangers d’une politique de sécurité qui a complètement failli. En résumé : la sécurité serait « gravement » menacée, les milieux politiques fermeraient les yeux et l’armée seraient instrumentalisée politiquement, condamnée à l’inactivité et brisée économiquement.

    Dans un spot publicitaire publié le 20 janvier 2016, les officiers parlent clairement. Aux côtés du colonel Siegfried Abel et du chef de la Société des officiers autrichienne, le colonel Erich Cibulka, s’exprime également le général Günther Greindl. Ce dernier a participé activement à l’évolution de l’armée fédérale, a été représentant de l’Armée autrichienne auprès d’institutions internationales, est le fondateur et le président de l’Association des Peacekeepers [Casques bleus] autrichiens et chevalier de l’Ordre du Mérite pour les services rendus à la République autrichienne. Les activités des officiers devraient soumettre à une certaine pression le ministère de la Défense et le gouvernement fédéral.

    Dans leur vidéo, les officiers justifient leur action de façon exhaustive. « En tant que soldats de l’armée autrichienne, nous servons notre pays. Nous accomplissons notre devoir depuis des décennies avec fierté et conviction. » Pourtant, les dangers croissent de jour en jour. Le conflit Est-Ouest entre la Russie et l’Otan, le terrorisme en Europe pratiqué par « l’Etat islamique » et une immigration massive incontrôlée de millions d’êtres humains sur le sol européen caractérisent la situation actuelle. Il semblerait qu’une grande partie de la sphère politique ne prenne pas ces menaces en considération par ignorance ou clientélisme. Non seulement la destruction de l’armée a été planifiée, mais la « volonté de défense de la population » serait aussi systématiquement détruite et ridiculisée. En conséquence, les soldats auraient aujourd’hui l’obligation de parler et d’agir. En raison « d’une capacité de défense dégénérée » (textuellement), la « sécurité de notre pays et de sa population est gravement menacée ».

    Outre un renforcement de l’armée fédérale et de sa capacité de défense, ils demandent une sécurisation des frontières efficace. Les soldats ne se tairont plus longtemps. Et ils sont tous d’accord : « Nous voulons une Autriche souveraine et ayant les moyens d’agir. Nous voulons assurer l’avenir de nos enfants et de nos petits-enfants. »

    Source : Médias-Presse-Info

    http://la-dissidence.org/2016/01/24/autriche-des-officiers-entrent-publiquement-en-dissidence/

  • Remigration !

    Chard.jpg

    La Suède, l’un des pays à la politique migratoire la plus attractive d’Europe, est soumise à une telle submersion qu’elle est en train de revoir précipitamment ses positions. Question de survie. Le gouvernement parle aujourd’hui d’affréter des charters pour renvoyer 80 000 migrants !
    La pompe aspirante a fonctionné à fond dans la Suède multiculturaliste où une politique radicale de remplacement de la population est mise en œuvre depuis des années. (Le pays verse 2 300 euros à chaque demandeur d’asile, et procure des cours intensifs de suédois aux nouveaux arrivants). Selon l’OCDE, la Suède a le nombre de demandeurs d’asile par habitant le plus élevé du monde.

    Lire la suite

     

  • Pourquoi risquons-nous de perdre la guerre de races et de religions ?

    Dr Bernard Plouvier

    Il est évident que l’Europe occidentale, riche et de haute technicité, devrait pouvoir briller dans la guerre, encore larvée pour l’instant, lancée par les peuples du Sud et du Sud-Est contre elle. La supériorité en armes et en télécommunications n’est que trop évidente.

    Mais, ce n’est nullement ce qui permet à coup sûr de gagner une guerre. Après tout, en 1940, l’armée française avait davantage de chars et de meilleure qualité que ceux de la Wehrmacht. Il lui manquait autre chose. Certes, il lui manquait de bons avions de combat en quantité suffisante. Certes, l’état-major français, majoritairement peuplé de généraux trop vieux ou nommés par l’effet du favoritisme politique, avait oublié la méthode Pétain sur l’emploi combiné du char d’assaut et de l’avion de combat, exposée dans la Directive N°5 du 12 juillet 1918.

    Mais, il manquait par-dessus tout l’ardeur combative de la majorité des soldats français, qui n’avaient pas de défaite à venger (contrairement aux hommes de 1914), qui voulaient jouir des congés payés et d’un confort de vie qu’ignoraient leurs pères, qui considéraient enfin (et ils n’avaient pas tort) qu’aucune motivation d’ordre national n’avait commandé l’entrée en guerre.

    De nos jours, nos armes ultra-modernes doivent être approvisionnées en munitions coûteuses et l’on s’est aperçu à la fin de l’année 2015, au bout d’un mois d’utilisation d’une quarantaine d’avions ayant lancé moins de 700 bombes, que les arsenaux étaient presque vides, car d’autres dépenses avaient paru plus urgentes que l’accumulation de munitions, puisque les stratèges répétaient aux politiciens qu’il n’y avait plus de « péril aux frontières ». Ces choix, grotesques dans le contexte des années 1980 à nos jours qui était et demeure celui d’une immigration-invasion musulmane, furent politiques et les « maîtres » furent à l’image de leurs électeurs.

    Quand bien même nous disposons d’armes extraordinairement puissantes - l’arme atomique et son avatar, la bombe à neutrons -, quel homme politique oserait les utiliser en cas d’extrême besoin ? C’est une question de volonté politique, qu’aucun de nos « chefs » ne semble avoir.

    Nous risquons de perdre la guerre qui s’annonce, parce que la majorité de la population est aveulie, affaiblie physiquement et moralement. À quoi peuvent servir les beaux raisonnements sur l’effective grande qualité raciale des Barbares qui détruisirent la Rome corrompue au Ve siècle, quand l’on s’aperçoit que la propagande tiers-mondiste, l’hédonisme, la déspiritualisation, les sophismes distinguant l’islam de l’islamisme (en contradiction totale de la lecture du Coran), exercent leurs ravages sur les Nations d’Europe occidentale et scandinave ? En outre, la régénération physique et morale des Européens de l’Ouest, qui fut effectivement constatée grâce à l’apport génétique des Germano-Scandinaves, ne peut en aucun cas être comparée aux effets prévisibles de l’immigration actuelle.

    De bonnes armes bien approvisionnées en munitions, une logistique et des transmissions impeccables, des renseignements de qualité et rapidement utilisables, notamment ceux qui sont fournis par les satellites et les moyens de géolocalisation, tout cela est très utile… mais pas suffisant pour « gagner » une guerre. Pour vaincre, il faut une mentalité de combattant, rude, discipliné, frugal et impitoyable. Où voit-on de telles qualités en notre Europe occidentale et scandinave, dans laquelle des cuistres parlent de guerre à pertes humaines nulles : le « risque zéro », une curiosité guerrière inédite, made in USA ? Face à des capons et à des femelles, des hommes sous-doués, mais assurés de mener « le bon combat » et de gagner ainsi leur place « au paradis d’Allah », ne peuvent que l’emporter. À la force matérielle, il faut obligatoirement ajouter la force morale et l’esprit de sacrifice. 

    Il semble que les qualités morales qui définissent le véritable combattant existent en Europe de l’Est. Après les Germains, régénérateurs d’une Europe romanisée amollie, on pourrait espérer que des Slaves bien dirigés viennent régénérer la jeunesse autochtone d’une Europe occidentale qui ne demanderait que cela. Mais ceci est une histoire qui ne s’écrit pour l’instant qu’au futur et au conditionnel.  

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2016/01/23/pourquoi-risquons-nous-de-perdre-la-guerre-de-races-et-de-re-5749006.html