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immigration - Page 1150

  • Action française : A Calais, soutien aux patriotes français

    L’Action française défend en toute circonstance l’intérêt national. Nous nous positionnons toujours au delà des partis qui gangrènent notre pays. Mais, lorsqu’un mouvement, de droite ou de gauche, œuvre pour une action de salubrité publique, l’Action française est présente pour souligner que le compromis nationaliste n’est pas un vain mot.

    Samedi 12 mars, des militants identitaires ont manifesté à Calais contre l’incurie de nos politique et la déferlante migratoire. Nous apportons notre soutien à cette action patriotique et courageuse qui se solde, une nouvelle fois, par la violence des forces de répression et de la prison ferme pour trois militants... Nous condamnons fermement les débordements des CRS dans une volonté de faire passer la violence d’état pour un acte légitime , au nom d’un gouvernement aux abois. Hannah Arendt l’évoquait déjà : "Un fonctionnaire, lorsqu’il n’est rien d’autre qu’un fonctionnaire, est vraiment un homme très dangereux."

    En dehors de toute préoccupation politicienne, à l’Action française, nous souhaitons traiter de l’immigration non en fonction des idéologies, des modes ou des préjugés, mais au regard du seul critère de l’intérêt national, dans un double souci de paix et de justice sociale. C’est sur la prescription « A Rome, fais comme les Romains » que reposent les fondements de notre civilisation. La frontière, le chemin de ronde, chez les Romains, est la condition de la loi. Dans la cité moderne, les frontières sont protectrices. La xénophilie ne vaut pas davantage que la xénophobie, la haine de soi n’est pas plus morale à la haine des autres.

    Si l’Action française dénonce une nouvelle fois l’immigration massive, c’est que cette dernière est le fruit d’une politique de déshumanisation. Le bien commun, qui est recherche d’harmonie, nécessite impérativement la réconciliation de l’homme et de la société dans laquelle il vit. Les solutions au problème de l’immigration sont à rechercher autour de cinq axes : une politique de retour ; une politique d’assimilation ; une politique d’intégration ; une politique familiale ; une politique de coopération.

    L’immigration est la conséquence du délitement complet de nos institutions : la crise politique majeure que nous traversons requiert d’urgence la restauration du politique. Nous disons NON à l’immigration massive !

    L’ACTION FRANÇAISE

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?COMMUNIQUE-A-Calais-soutien-aux

  • Immigration-invasion encouragée, patriotisme réprimé: ne nous voilons pas la face

    Nommer correctement les choses, oser décrire la réalité sans fard, est un préalable indispensable pour prétendre apporter des solutions aux maux qui assaillent notre pays. Ancien de la DGSE, Pierre Martinet était invité il y a deux jours du plateau de BFM.TV,  quelques heures après l’attentat revendiqué par Aqmi en Côte d’Ivoire qui a coûté la vie à quatre de nos compatriotes. « J’ai croisé le maire de Sevran sur un autre plateau de télévision disait-il, il ne voulait pas qu’on parle d’islamistes car il ne voulait pas d’amalgame avec l’islam. Nos politiques n’osent pas nommer le mal. Le terrorisme, c’est un moyen. L’idéologie est le moteur. C’est l’islamisme, l’islam radical, on peut l’appeler comme on le veut, qui est la menace. » Une menace qui est d’autant plus grande quand de nombreuses portions de territoire de nos nations européennes, occupées par des populations étrangères, sont en en voie de libanisation  accélérée. Invité le 3 mars dernier de l’émission Carrément Brunet sur RMC, Malika Sorel-Sutter (ancien membre du collège du Haut Conseil à l’Intégration et de sa mission Laïcité) évoquait  les conséquences à l’école de cette babélisation. Elle affirmait qu’un rapport sur le niveau des élèves en France, répondant au vœu du gouvernement d’expliquer la dégringolade enregistrée par les classements PISA, avait été tronqué. En l’espèce la mention sur le très faible niveau des élèves issus de l’immigration avait été effacée…

    Pour tromper les Français? Peut être. Mais aussi certainement pour ne pas stigmatiser… les gouvernements de gauche comme de droite co-responsables de l’immigration de peuplement. L’idéologie immigrationniste, imposée désormais au nom de l’impératif catégorique du« vivre-ensemble »,  tiers-mondise pourtant notre pays, paupérise sa population, marginalise lesFrançais de souche.

    En février 2014, Mme Sorel-Sutter, réagissant au rapport abracadabrantesque de Thierry Tuot portant notamment sur la lutte contre les discriminations, avait dénoncé un lobby immigrationniste dont le discours « consiste à attribuer la responsabilité de l’échec de l’intégration aux Français ». Ce sont ceux « qui entraveraient la réussite des immigrés et de leurs descendants et c’est à ce titre qu’il convient de lutter contre les discriminations. Des Français de souche européenne seront mis de côté uniquement parce qu’ils ne sont pas de la bonne ascendance biologique. C’est du racisme anti-Français. Oui, le pouvoir bascule vers la préférence étrangère. »

    Préférence étrangère et laxisme criminel dans la gestion des flux migratoires vont généralement de pair. Alexis Théas, juriste et universitaire, dénonçait la semaine dernière dans Le Figaro, « la loi n°2016-274 publiée le 8 mars 2016 au journal officiel », « texte fondamental (qui) bouleverse le droit des étrangers dans le sens de l’ouverture et de l’accueil. »

    Ainsi, « son article 59, élargit l’accès à la nationalité française par le droit du sol« , « modifie sensiblement le droit français de la nationalité ». « Il ouvre la nationalité française à leur majorité, aux personnes vivant sur le territoire français depuis l’âge de six ans et ayant suivi leur scolarité obligatoire en France (…) lorsqu’elles ont un frère ou une sœur ayant acquis la nationalité française (par le droit du sol)» Cette loi crée ainsi une nouvelle forme d’acquisition de la nationalité française, un droit du sol dérivé, indirect, transmis par le lien de fratrie, qui ne nécessite pas d’être né sur le territoire français, mais d’avoir un frère ou sœur devenu lui-même français par le droit du sol. »

    « Son article 13 concerne les personnes en situation irrégulière, malades sur le territoire français. Il prévoit en faveur de tout étranger malade et en situation illégale, un droit à la régularisationsi eu égard à l’offre de soins et aux caractéristiques du système de santé dans le pays dont il est originaire, il ne pourrait pas y bénéficier effectivement d’un traitement approprié» (…). L’intention est certes généreuse mais une telle mesure risque d’entraîner un appel d’air d’une ampleur inconnue. »

    « L’article 17 de la loi crée une carte de séjour pluriannuelle de quatre (ou deux ans) qui sera délivrée «au terme d’une première année de séjour régulier» (…). L’article 33 chamboule le dispositif de lutte contre l’immigration irrégulière » poursuit M. Théas. « Il supprime la rétention administrative de cinq jours pendant laquelle le préfet peut décider de garder un étranger en situation irrégulière en rétention, le temps d’organiser son départ. Celle-ci passe à 48 heures, une durée bien entendu insuffisante pour organiser le retour d’une personne dans son pays » sachant qu’ « aujourd’hui, seule une décision de reconduite à la frontière sur quatre prises par les préfets est appliquée (environ 15000 par an). »

    A contrario la sévérité la plus totale est de mise contre ceux qui s’élèvent contre cette folle politique migratoire. Lundi trois jeunes courageux militants de Génération identitaire ont été condamnés pour rébellion contre des CRS par le tribunal de Boulogne-sur-Mer (Pas-de-Calais). Ils avaient osé clamer leur ras-le-bol de l’invasion, en marge d’une manifestation interdite par la préfecture, qui s’est déroulée samedi 12 mars à Calais.

    Bruno Gollnisch s’est élevé dernièrement contre l‘interdiction par le pouvoir, désormais quasi systématique, des manifestations patriotiques, notamment à Calais. Il constate aussi que ce ne sont pas les militants de GI qui constituent une menace pour la sécurité des CRS et de nos compatriotes, mais bien certains immigrés particulièrement agressifs et vindicatifs                                                                                           (https://www.facebook.com/1527169097567078/videos/1687143768236276/), encadrés par les habituels idiots utiles d’extrême gauche. N’en déplaisent à Xavier Bertrand, ce gouvernement, Angela Merkel, Nicolas Sarkozy ou Martin Schultz.

    http://gollnisch.com/2016/03/15/immigration-invasion-encouragee-patriotisme-reprime-ne-voilons-face/

  • Franxit ? OUI !

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    FRANCE (Présent 8566)

    8566P1.jpgLa possibilité accordée aux Britanniques de se prononcer pour ou contre l’appartenance de leur pays à l’Union européenne fait des envieux. Ceux qui voudraient en bénéficier en Europe, ce sont d’abord les Français. C’est ce qui résulte d’une enquête de l’université d’Édimbourg effectuée le mois dernier auprès de 8 000 électeurs dans six pays : Allemagne, France, Pologne, Irlande, Espagne et Suède.
    53 % de nos compatriotes souhaitent qu’on leur demande s’ils veulent continuer la folle course vers « une union toujours plus étroite », selon la formule des traités européens. Les Français sont les seuls à être majoritairement partisans d’une telle consultation pour leur pays (45 % en Allemagne, 47 % en Espagne, 49 % en Suède, 39 % en Pologne…) Cette étude, publiée le 10 mars, est la première à interroger les opinions publiques européennes à l’occasion de la consultation au Royaume-Uni.

    Si les Français sont majoritairement en faveur d’un référendum au sujet du Franxit, ils sont aussi les plus favorables à la sortie de la Grande-Bretagne de l’UE. Comme si, faute de bénéficier du même droit, ils se réjouissaient de celui de leur voisin. Fort logiquement, c’est en France que l’on souhaite le plus mettre fin à la liberté de circulation en Europe.
    C’est aussi chez nous que 53 % de nos concitoyens veulent réduire l’accès aux aides sociales des étrangers. Au moins que l’on obtienne le peu que les Britanniques ont arraché au Conseil européen, à savoir un délai de quatre ans avant que ces étrangers aient les mêmes prestations que les nationaux !

    La classe politique française ne s’émeut guère du vœu des Français. Quoique les dirigeants des partis n’aient que les mots « démocratie », « concertation », « respect » à la bouche, aucun ne songe à interroger les électeurs pour savoir ce qu’ils veulent, sauf le Front national qui annonce un référendum sur l’euro, lié à l’UE. Ces mêmes partis s’étonnent ensuite de la montée en puissance des souverainistes, des nationalistes, qu’ils appellent « populistes » de façon péjorative. En l’absence de consultation directe, ceux qui veulent exprimer leur refus de cette Europe-là votent pour les formations qui la récusent.

    Mais il est vrai que cette même enquête révèle aussi qu’en cas de référendum, 45 % des Français voteraient pour rester dans l’UE, 33 % pour quitter (22 % sans opinion). Que les eurocrates ne s’en réjouissent pas trop vite ! Ils ont la mémoire courte. Rappelons que, lors du référendum sur la Constitution européenne, selon les sondages le oui l’emportait massivement en octobre 2004, à 69 % contre 31 % pour le non.
    Six mois plus tard, en avril 2005, c’est le non qui faisait la course en tête 54 % contre 46 % pour le oui, ce qui correspondra au verdict final le mois suivant. Pour ce qui est du traité de Maastricht, le oui ne l’emporta que sur le fil, alors qu’au début de la campagne il était massivement plébiscité.
    Il est sûr que l’annonce officielle d’un référendum sur l’appartenance à l’Union européenne, en faisant renaître l’espoir, susciterait un élan vers l’émancipation de la tutelle bruxelloise. À ceux qui en doutent, socialistes, centristes, républicains, nous disons « chiche ! ». Hélas, ils ne se risqueront pas à proposer un référendum…

    Guy Rouvrais

    http://fr.novopress.info/

  • Immigration : l’Europe est à elle-même son pire danger

    Extrait d'une tribune de Thibaud Collin dans l'Homme Nouveau sur la crise migratoire :

    6a00d83451619c69e201b8d1aeb265970c-200wi.jpg"[...] le phénomène actuel est effectivement révélateur de la crise de la civilisation européenne atteinte d’angélisme nihiliste. Car peut-on penser qu’il est anodin que des millions de musulmans arrivent en Europe alors même que l’Europe refuse de se dire à elle-même son identité ? Nous voyons ces derniers jours que l’Union européenne se fracasse sur ce sujet car certains pays, eux conscients de leur identité, refusent la solution procédurale et purement économiste que l’Europe de Bruxelles voudrait leur imposer. Comme le dit magnifiquement Rémi Brague dans Europe, la voie romaine il est urgent que l’Europe assume sa romanité, terme par lequel est désignée la manière dont l’Europe se reçoit de sources qui lui sont antérieures et supérieures, symbolisées par les noms d’Athènes et de Jérusalem. Ce n’est qu’en se plongeant dans sa matrice chrétienne que l’Europe pourra relever le défi de ces grandes migrations afin de transmettre à ceux qu’elle aura choisi d’accueillir la vérité sur l’homme qu’elle a elle-même reçue. « Ce qui serait grave ce serait que l’Europe considère l’universel dont elle est porteuse comme une particularité locale ne valant que pour elle, et qui n’a pas à s’étendre à d’autres cultures. » Dans cette affaire, l’Europe est à elle-même son pire danger."

    Michel Janva

  • Élections en Allemagne : chute pour Merkel, succès pour les patriotes

    C’est un camouflet pour la chancelière allemande, Angela Merkel, qui paye de façon évidente sa délirante politique d’invasion migratoire (1,1 million de « migrants » pour la seule Allemagne en 2015).
    Son parti, l’Union chrétienne[sic]-démocrate (CDU), a en effet enregistré dimanche des cinglantes défaites dans deux des trois Länder où se tenaient des scrutins régionaux.

    Dans l’opulent Etat-région du Bade-Wurtemberg (Ouest), l’un de ses anciens bastions, la CDU n’a recueilli que 27 % des suffrages, un niveau historiquement bas pour elle, battue par les écologistes (30,3 %). En Rhénanie-Palatinat (ouest), elle n’a pas connu meilleure fortune, échouant à ravir le pouvoir aux sociaux-démocrates du SPD, qui ont glané 36,2 % des voix (contre 31,8 % à la CDU).

    Ceux qui peuvent sabler le champagne sont les patriotes de l’AFD (Alternative pour l’Allemagne, créée il y a 3 ans seulement).

    Avec environ 10,9 % des voix en Rhénanie-Palatinat, 15 % dans le Bade-Wurtemberg et surtout 23 % des voix en Saxe-Anhalt, où elle arrive au deuxième rang des élections régionales, l’AFD et sa présidente, Frauke Petry ont incontestablement réussi leur pari.

    Il y a désormais de fortes chances que son parti euro-sceptique et anti-invasion entre par la grande porte au Bundestag lors des prochaines élections, à l’automne 2017.

    C’est la fin de l’« exception allemande », où il n’y a jamais eu jusqu’à présent d’important succès électoral pour des nationaux ou même les « populistes de droite ». Ceci étant dû à la formidable culpabilisation dont ont été abreuvés les Allemands depuis la 2e Guerre.

    Par ailleurs, aux élections municipales de la semaine précédente, dans la ville de Leun (6000 âmes) au nord de Frankfort, les nationalistes radicaux du NDP (Parti national-démocrate, menacé de dissolution par le gouvernement) ont obtenu 17% des voix, devenant le 3e parti localement.

    A Büdingen (20 000 habitants) qui accueille le plus grand centre de réfugiés de Hesse, le NPD passait à 14% des votes (contre 2% en 2011).

    Même dans la cosmopolite Francfort, capitale financière, l’AFD et le NPD obtenaient un total de 10,3 % : une nouveauté totale.

    http://www.contre-info.com/elections-en-allemagne-chute-pour-merkel-succes-pour-les-patriotes

  • La Chancelière fait la loi

    Angela Merkel ne laisse d'étonner la classe politique européenne dans sa gestion germano-allemande de la crise migratoire du Proche et Moyen Orient. Ledeal conclu avec le Premier ministre turc Davutoglu a été mis au point la veille du sommet européen lors d'un dîner de travail à l'ambassade de Turquie à Bruxelles auquel participaient le Premier ministre néerlandais Mark Rutte, au titre de la présidence semestrielle du Conseil de l'Union, la chancelière allemande et c'est tout ! Ni Donald Tusk, président du Conseil européen, ni Jean-Claude Juncker, président de la Commission, ni Federica Mogherini, chargée des affaires extérieures de l'Union, n'étaient convoqués. Le paquet est arrivé tout ficelé sur le tapis vert de la conférence le lendemain 7 mars. A prendre ou à prendre ! Son contenu n'est pas le sujet du jour (1 asile accordé en Europe pour chaque migrant expulsé en Turquie, 6 milliards d'euros de concours européens à Ankara en plusieurs tranches) mais le diktat prussien, si !
    Coup d'Etat, coup fumant ? Un coup pour sûr ! Le deal est dans la droite ligne du pacte d'Ankara négocié un mois avant sur place et personnellement par la chancelière avec le Sultan Erdogan. Sans voiles vaporeux qui masqueraient la diplomatie de Berlin, l'Allemagne a pris la crise migratoire à bras le corps, laissant glapir autour d'elle qui veut glapir. Elle n'en a cure, elle l'a dit, elle n'a pas de plan B ou C, elle gouverne ! Sans attendre l'exégèse des droits de l'homme et du réfugié, les je-veux-tu-veux-pas de son partenaire historique (c'est nous), la peur panique de ses clients orientaux devant les hordes basanées, elle renforce le pan low-cost de son économie, dut-il en cuire d'ailleurs aux Tchèques rétifs qui hébergent encore de l'industrie teutonne.

    (Aparté : la France est complètement gommée de l'épure. Est-ce une réplique aux déclarations avantageuses de notre Premier ministre qui, menton haut, débinait la politique immigrationniste à Munich ? Peut-être bien, quoique M. Valls compte pour du beurre à la Chancellerie, ce qui reste de l'attelage franco-allemand étant géré à l'Elysée, ils le savent.)
    On feint d'oublier que la relation germano-turque est ancienne et plus solide qu'on ne veut l'accepter ici. C'est le 24 mai 1902 que le Grand Vizir ottoman, Mehmed Said Pascha, reçut l'ordre du Mérite de la Couronne de Prusse. Cette décoration consacrait les efforts de Guillaume II à attirer dans son camp l'Empire ottoman promis au dépeçage par les hyènes anglo-françaises. Ce sera le Bagdadbahn Berlin-Byzance-Bagdad, l'alliance militaire qui sera actionnée lors de la guerre pour les détroits dans la Bataille des Dardannelles (1915), une coopération intense etc... jusqu'à aujourd'hui. Plus de cinq mille entreprises allemandes prospèrent en Turquie et la République fédérale "détient" quatre millions de citoyens turcs sur son sol. De quoi discuter concrètement !


    Pourquoi dès lors engager des négociations visqueuses avec vingt-sept partenaires de l'Union puisque le programme allemand est déjà affiché : on prend tout ce qu'il y a de bon dans les colonnes de réfugiés et migrants, on expulse les indésirables quand on a un motif même mince¹, mais il fallait pour cela disposer d'une poubelle : la Turquie veut bien gagner quelques sous. On décourage les autres, les pas qualifiés mais en règle, en les poussant chez les voisins qui ont des systèmes sociaux en capilotade et n'y verront que du feu. Le Pacte deVarsovie Visegrad ayant bloqué ses frontières, on déversera les migrants à recycler sur les plaines du Bénélux et de France ! Le Danemark qui a vu venir le coup a bouclé ses accès, comme ses voisins scandinaves. L'Autriche est du même avis comme sa colonie slovène. De fait l'Allemagne va inonder la rive gauche du Rhin !
    Que conclure ?
    Que l'Allemagne est gérée.
    On peut critiquer la Chancelière de Prusse sur la pertinence de ses décisions solitaires (elle consulte peu en fait au sein de son cabinet) mais nous, Français, ne pouvons qu'être étonnés de voir un chef de gouvernement gouverner. Ici, tout est com, tables rondes ou carrées, bavardages, procès d'intention, hystérie pour des choses minuscules, voyages de la Cour au soleil, célébration des pizzaioli au Palais Bourbon (mdr).
    Entre-temps notre cousin germain a terminé l'exercice 2015 sur "une croissance à 1,7%, un chômage au plus bas depuis 24 ans à moins de 5%, une dette publique en chute libre à 71,4% du PIB, un excédent budgétaire de 0,9% du PIB, un excédent commercial record de 248 milliards d'euros, et un record d'exportations à 1196 milliards d'euros" (source Marc Fiorentino).
    Alors dites-vous bien qu'en dépit des sourires et des politesses diplomatiques, la Chancellerie du Reich nous conchie !
    Et il ne nous reste qu'à la boucler, hélas. Serons-nous critiques qu'au prochain conseil européen ils étaleront à plaisir notre gouvernance gélatineuse, notre incurable gabegie, notre impuissance à la tarir, le risque que nous représentons pour l'Europe sérieuse !
    Trois quart de siècle plus tard, nous sommes toujours des Französisch Schweinen ! Rien compris, rien appris !
    (1) D'après l'ambassadeur d'Allemagne à Paris ce matin sur Europe 1, le taux de rebut est actuellement de 50%.
  • Immigration : 3 militants de Génération Identitaire condamnés à de la prison ferme

    6a00d83451619c69e201b8d1aeb2a3970c.pngSamedi dernier, 80 militants de Génération identitaire bloquaient des ponts à Calais. Lors de l'intervention des forces de l'ordre, ils se sont allongés sur les ponts en attendant d'être délogés. Ce qui a été fait, mais la police de Bernard Cazeneuve a voulu réprimer ces militants. Génération Identitaire dénonce le 2 poids 2 mesures du régime socialiste : "Suite à l’action de Calais où Génération Identitaire a occupé trois ponts afin d’en bloquer l’accès aux immigrés clandestins,trois de nos militants ont été condamnés à trois mois de prison ferme et à des amendes pour « faits de rébellion ». Heureusement, le juge n’a ordonné aucun mandat de dépôt, les militants identitaires dormiront donc auprès des leurs ce soir.

    Cette action symbolique a duré deux heures, avant que les forces de l’ordre ne délogent violemment nos militants. Au sol et non-violents, ces derniers ont été durement matraqués et gazés comme le prouvent les vidéos que nous avons publiées. Un policier a même avoué devant le tribunal avoir mis deux coups au visage d’un militant pendant son transport vers le commissariat.

    La sévérité de la justice socialiste contraste fortement avec sa clémence pour les casseurs d’extrême-gauche et les immigrés clandestins qui font tant souffrir Calais depuis des années."

    Michel Janva

  • Régionales en Allemagne : la CDU de Merkel chute, percée de la droite populiste

    Un tabou est en passe de tomber dans l’Allemagne d’après-guerre à la suite du succès dimanche, lors de trois élections régionales, du mouvement AfD (Alternative für Deutschland, Alternative pour l’Allemagne), qui confirme l’enracinement de la droite populiste dans un pays faisant jusqu’ici exception en Europe. 

    Stuttgart (Allemagne), le 13 mars. Joerg Meuthen, co-président de l’AfD, le parti populiste antimigrants et eurosceptique, se réjouit en apprenant les premières estimations des scores de son parti.

    AFP / FELIX KASTLE

    Selon les premiers sondages réalisés à la sortie des bureaux de vote ou les projections des chaînes de télévision publique, au soir du scrutin dans les trois länders de Bade Wutemberg, Rhénanie Palatinat et Saxe Anhalt, l’AfD, le parti populiste antimigrants et eurosceptique créé il y a à peine trois ans, a effectué une percée lors des trois scrutins destinés à élire les trois parlements, obtenant de 10% à 23% des voix tandis que le parti d’Angela Merkel, la CDU, est battu dans deux régions.

    Après avoir fait florès sur la dénonciation de l’aide des contribuables allemands aux pays les plus endettés de la zone euro, l’AfD prospère désormais comme parti anti-immigrés en jouant sur les craintes alimentées par la crise des réfugiés.

    Un vote sur fond de crise migratoire

    Quelque 13 millions d’électeurs étaient, en effet, appelés aux urnes dans un pays en proie aux doutes depuis qu’Angela Merkel a ouvert les portes de l’Allemagne à plus d’un million de réfugiés en 2015. A la faveur de la crise migratoire, « nous assistons à une certaine forme de normalisation par rapport aux mouvements populistes de droite ailleurs en Europe, même si, dans le cas de l’Allemagne, où on ne peut pas faire abstraction du passé, cela prend un caractère forcément particulier », explique Andreas Rödder, professeur d’histoire contemporaine à l’université de Mayence. Le passé nazi du pays et le sentiment de culpabilité encore très répandu avaient agi comme un frein jusqu’ici en comparaison de l’Autriche, de la Suisse ou de la France. [....]

    La suite sur Le Parisien.fr

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Regionales-en-Allemagne-la-CDU-de

  • La pénétration de l’islamisme n’épargne ni la police ni l’armée

    (NOVOpress via FigaroVox)
    Une note confidentielle de la préfecture de police a récemment révèlé une progression préoccupante du fondamentalisme religieux dans les commissariats tandis qu’un ancien militaire radicalisé a été arrêté au Maroc.

    Pour Thibault de Montbrial, avocat au barreau de Paris et spécialiste des questions de terrorisme, cette tendance est inquiétante.

    Concernant l’ancien militaire, Thibault de Montbrial est loin d’être étonné :

    le recrutement de l’armée est le reflet de la population française. La communauté musulmane y est très présente. La DPSD (Direction de la Protection et de la Sécurité de la Défense), dont la mission est d’anticiper les comportements à risque, est aux aguets.

    Va-t-on vers des cas de «Green on green» ?

    L’un des scénarii d’attentats que l’on a vu en Afghanistan est ce que les Américains appellent le «Green on green» (armée) ou le «Blue on blue» (police): des représentants des forces de l’ordre s’en prennent à leurs collègues. Quelqu’un qui porte l’uniforme s’en prend à quelqu’un d’autre, qui porte le même uniforme. Un tel scénario n’est pas impossible en France. Les forces de sécurité doivent avoir ce risque présent à l’esprit.

    http://fr.novopress.info/199344/penetration-lislamisme-nepargne-police-larmee/