Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

immigration - Page 1151

  • L'Etat aidera seulement les communes qui acceuillent des immigrés

    Lu dans Minute :

    6a00d83451619c69e201b7c8192894970b-250wi.jpg"Le 15 janvier [...], Manuel Valls a écrit aux préfets pour annoncer une rallonge de 800 millions d’euros à destination des communes. L’objectif est de « conforter les initiatives des collectivités qui, en assurant une part prépondérante de l’investissement public, contribuent à doter la France d’équipements structurants nécessaires à son attractivité et à son développement ». [...]

    Mais ce fonds de soutien à l’investissement public local est également destiné à des projets « de développement d’infrastructures en faveur de la mobilité ou de l’accueil de populations nouvelles, notamment en matière de construction de logements et d’équipements publics rendus nécessaires par l’accroissement du nombre d’habitants ». Les villes dont la population augmente vont donc pouvoir faire face aux nouveaux besoins, croit-on. Grossière erreur!

    L’annexe qui accompagne le courrier du premier ministre est précise et restrictive. Tout le monde n’y a pas droit! « Dans le cadre de l’accueil de 24000 migrants annoncé par le président de la République le 7 septembre 2015, le fonds a vocation à être mobilisé afin d’accompagner les collectivités locales sur le territoire desquelles seront accueillis ces nouveaux réfugiés »! En bref, si tu veux une subvention pour agrandir ta maison de retraite ou agrandir ta crèche parce que de nouvelles familles se sont installées dans un lotissement de ton village, tu peux toujours aller chercher ailleurs. En revanche, si tu agrandis ton école pour accueillir des immigrés, l’Etat te signe un chèque! [...]"

    Michel Janva

  • L’enseignement de l’arabe en primaire fait polémique à Perpignan

    Depuis le mois de septembre, Jean-Marc Pujol, maire UMP de Perpignan, s’oppose à la tenue de cours spécifiques de langue arabe dans les écoles primaires publiques de la ville.
    Il vise le dispositif du ministère de l’Éducation ELCO datant de 1977 qui permet aux enfants d’immigrés de garder un lien linguistique avec leur pays d’origine. Ces enfants ont donc des cours dans leur langue maternelle, dispensés par des enseignants rémunérés par les pays d’origine des familles.
    Selon le gouvernement, ce programme rentre dans le cadre d’une directive européenne demandant aux États membres de coordonner, avec l’enseignement normal, un enseignement de la langue maternelle des enfants.

    Si la directive d’origine est européenne, les pays concernés ne font pas tous membres de l’Union européenne. En effet, en profite l’Algérie, la Tunisie ou la Turquie. Pour le maire de Perpignan, «

    C’est le contraire qu’il faut faire en renforçant les enseignements du français. Car on constate dans les quartiers difficiles, après le retour de vacances, que les élèves régressent en français. Dans le même temps, un article du Monde critique cette mesure en évoquant une atteinte à la laïcité ».

    http://fr.novopress.info/198581/lenseignement-larabe-en-primaire-fait-polemique-perpignan/

  • Et pendant ce temps… une loi immigrationniste plus permissive que jamais

    Que penser de ces quelques députés présents, cette semaine, qui ont voté en catimini la nouvelle loi sur les droits des étrangers ?
    La lecture des nouvelles est atterrante. Et toutes celles concernant l’immigration ou l’islamisme procèdent du même effet : le laissez-faire ou, pire encore, la répression dès lors qu’une critique vient s’opposer à ce qui est devenu les plaies de notre quotidien.
    Chaque semaine, ce sont des pages que l’on pourrait remplir avec ces plaies. Thomas Joly, secrétaire général du Parti de la France, a été arrêté avec six heures de garde à vue pour avoir, dit-il, « utilisé deux photos pour illustrer des articles de mon blog consacrés aux atrocités commises par Daech et au meurtre par décapitation commis par l’islamiste Yassin Salhi en juin 2015, sur le territoire français ». Ce jeune homme a ainsi découvert l’existence de ce mystérieux office gouvernemental au nom barbare de OCLCTIC (Office central de lutte contre la criminalité liée aux technologies de l’information et de la communication), cet office caché chargé de surveiller tous nos écrits numériques. Et de conclure, avec raison : « Pendant que le terrorisme islamique prospère en France et en Europe, la police politique de Manuel Valls veille à traquer ceux qui entendent alerter les Français et résister à ce fléau. Le gouvernement socialiste et la justice française semblent avoir leurs priorités… ».

    Lire la suite

  • « les reporters étrangers payent des « réfugiés » pour jouer les victimes de noyade » selon le métropolite orthodoxe de l’île de Kos

    Mgr Nathanael, métropolite de Kos et Nisyros, a déclaré dans un entretien à la radio Alpha 98.9 mercredi, en parlant des « réfugiés » : « J’ai vu de mes propres yeux des reporters de télévisions étrangères donner 20 euros à des gens pour qu’ils jouent les victimes de noyade ».

    Kos est une de ces îles grecques envahies par les immigrants clandestins depuis l’année dernière.
    Elle a été le théâtre ces derniers jours de manifestations des habitants qui refusaient qu’on y ouvre un des 5 nouveaux centres de tris (hotspots) grecs.

    Source GreekReporter

  • CRS et gendarmes mobiles débordés ! Cazeneuve tente de limiter les dégâts

    Les unités des Forces Mobiles (CRS et gendarmes mobiles) sont tellement débordées que Cazeneuve est obligé de centraliser leur gestion pour sacrifier certaines de leurs missions.

    C’est une information passée totalement inaperçue dans la presse généraliste , mais qui est pourtant d’une importance capitale : les unités de Forces Mobiles (Compagnies républicaines de sécurité et escadrons de gendarmerie mobile) cessent d’être gérées au niveau zonal et passent directement « sous l’autorité du ministre de l’Intérieur », via une unité de coordination au sein du cabinet du Directeur général de la Police nationale.
    Cette évolution fait suite à une étude soulignant que « l’augmentation croissante des missions de maintien de l’ordre » ne permettait plus de répondre aux besoins.

    Concrètement, cela veut dire que les forces mobiles de police et de gendarmerie, saignées à blanc par la sécurisation de Calais, par les missions Vigipirate et par les innombrables troubles à l’ordre public, ne sont pas assez nombreuses pour répondre aux besoins. Le ministère de l’Intérieur se trouve donc contraint de rationaliser au maximum leur emploi, sacrifiant certaines missions.
    Dorénavant, les directives sont claires : dans une note adressée aux préfets, Bernard Cazeneuve demande « d’appliquer le principe de stricte suffisance des moyens engagés, de prioriser objectivement les demandes de renforts et d’évaluer […] la pertinence des dispositifs mis en œuvre ».

    Débordé par la masse de désordres touchant la France, le ministère de l’Intérieur n’est plus capable de maintenir l’ordre et doit choisir quelles missions sont sacrifiables sans que ça ne se voie trop.
    Ce qui appelle, au vu de l’augmentation des tensions, à une interrogation primordiale : quand est-ce que les tensions seront telles que l’État ne pourra plus répondre, même aux missions prioritaires ?

    http://fr.novopress.info/

     

  • Dresde : le futur foyer de pseudo-réfugiés brûle, les riverains applaudissent

    Un incendie s’est déclaré dans la nuit de samedi à dimanche dans un bâtiment destiné à accueillir un foyer de réfugiés près de Dresde en Allemagne, provoquant une « joie non dissimulée » de badauds présents sur les lieux.

    http://www.contre-info.com/

  • Le site "Les villes contre l'islamisation" à nouveau opérationnel !

    http://lvci.hautetfort.com/

    1273427276.jpg

  • La France de Valls et du désordre

    Les vidéos postées par les internautes sur la “toile” permettent de prendre le pouls ou la température du pays. Deux d’entre elles, filmées à quelques jours de distance, indiquent le mauvais climat politique qui s’installe en France. La première montre l’arrestation, à Calais, du général Piquemal, ancien commandant de la Légion étrangère.

    Parce qu’il proteste publiquement contre la « jungle » et la présence de milliers de migrants en situation illégale, devant une petite foule refusant d’obéir aux ordres de dispersion lancés par les policiers, il est empoigné par un groupe de pandores qui l’entraînent vers leur fourgon, tandis que le directeur de cabinet du préfet lui court aux basques comme un cabot. Les images montrent que plusieurs autres personnes sont gazées, matraquées, brutalisées, embarquées.La deuxième vidéo ressemble à la première. Katia Lipovoï, une dangereuse terroriste de 72 ans, membre d’une redoutable ligue de protection des oiseaux et manifestant contre l’abattage de platanes dans le quartier de Beaulieu, à Poitiers, est attrapée par plusieurs policiers qui la traînent par terre, l’écrasent de leur genou et lui passent les menottes avant de l’emmener. Son crime ? Elle a renversé une barrière ! Un petit blondinet d’une dizaine d’années, qui assiste à la scène, pleure et demande s’ils vont la mettre en prison.J’ignore si Mme Lipovoï a raison ou tort de s’opposer à la coupe des arbres, le problème n’est pas là. Voilà le spectacle que donne la police de la République, qui, quelques jours plus tôt, n’a pas sévi contre les casseurs « antifascistes » qui ont mis à sac le centre-ville de Rennes. Faut-il parler de forces de l’ordre ou du désordre, lorsqu’elles obéissent à des gouvernants indignes, avec le zèle que l’on a pu constater à l’époque où la Manif pour tous lançait un million de Français dans la rue pour protester contre une loi inique ? Le fossé se creuse de plus en plus entre le peuple français et ces flics dont la tenue de combat évoque celle des troupes de Dark Vador, le cyborg commandant les forces de l’Empire dans la Guerre des étoiles. De plus en plus, à force de loi sur le renseignement, de prolongation de l’état d’urgence, et sous couvert d’assurer leur sécurité, les Français sont placés sous surveillance. On parle de contrôler internet, de déployer de nouveaux radars sur les routes, de mettre en vol des drones équipés de caméras.On m’objectera qu’au lendemain des attentats de novembre, les précautions se justifiaient.[....]

    Eric Letty

    La suite sur Monde & Vie

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?La-France-de-Valls-et-du-desordre

  • Une tragédie au bout de la bêtise

    «Il y a toujours une tragédie au bout de la bêtise humaine» constatait Benoist-Méchin. Il était écrit que l’ahurissante politique allemande de ces derniers mois  d’ouverture sans frein des vannes migratoires ne serait pas sans conséquences dramatiques. Outre l’explosion  de la criminalité, des violences, des agressions sexuelles contre les populations autochtones, les immigrés eux-mêmes deviennent parfois la cible du ras-le-bol des Allemands. Certes,  les sondages  enregistrent une montée sans précédent des intentions de vote pour un mouvement  anti immigration et anti bruxellois comme Alternative für Deutschland  (AFD), et  les manifestations de Pegida («Patriotes européens contre l’islamisation de l’Occident») font le plein.  Mais il est à craindre que cela ne suffise plus à canaliser la colère populaire, notamment dans les länder  de l’Est, structurellement  moins perméables  à la propagande progressiste, immigrationniste des  élites politico-médiatiques.

    Ainsi, créant  l’émoi que l’on imagine,   jeudi dans le village de Clausnitz, au sud de Dresde (Saxe),  des manifestants anti-migrants ont stoppé un bus de réfugiés pour les empêcher de s’installer et samedi, toujours en Saxe,   dans la ville  Bautzen (41 000 habitants),  le  futur centre pour réfugiés a été incendié  sous les bravos des riverains.

    «Quelque chose ne va pas en Saxe», a déclaré Aydan Özoguz, ministre fédérale chargée de l’intégration. Ce qui ne va pas en Saxe, c’est surtout la conséquence de ce qui ne va pas chezAngela Merkel, ses conseillers ou des mentors.  C’est-à-dire de croire que l’on peut tranquillement, comme le souhaite notamment un Jacques Attali ou un Daniel Cohn-Bendit, suppléer au terrible déficit démographique allemand, non pas en lançant de vigoureuses mesures en faveur d’une politique nataliste autochtone, condition de l’avenir de l’Allemagne,   mais en ayant recours  à une  immigration de peuplement extra-européenne.

    Auteur  en 2010 de Deutschland schäft  sich ab  (L’Allemagne court à sa perte)  l’un des plus grands succès de librairie de ces vingt dernières années en Allemagne,   Thilo Sarrazin  continue de sonner le tocsin. Il  affirmait encore, en août dernier dans Valeurs Actuelles, que  l’immigration «détruit» son pays. Une prise de conscience qui devient majoritaire Outre-Rhin et salutaire chez cet  «ancien membre de plusieurs cabinets ministériels de gauche et sénateur aux Finances du Land de Berlin (de 2002 à 2009), membre du SPD (Parti social-démocrate), démissionnaire du directoire de laBundesbank et menacé de mort par les islamistes.»

    Dans cet hebdomadaire français, M. Sarrazin déplorait l’absence dans son pays «de politique d’immigration, car nous ne pouvons pas contrôler les migrations en raison des frontières ouvertes de l’espace Schengen. Celui qui arrive en Allemagne, légalement ou pas, asile ou pas, peut rester dans 90 % des cas. »

    Un problème que connait bien la France, dont le gouvernement  étale en outre sa faiblesse criminelle, qui encourage d’autant les réseaux mafieux  de passeurs et  les candidats au départ vers l’Europe. Le Monde relatait notamment que «la perspective d’une évacuation imminente et par la force des migrants de la moitié sud de la  jungle  à Calais s’est estompée lundi, à la veille de l’expiration de l’ultimatum préfectoral, le gouvernement promettant d’agir  par la persuasion.»

    Ce gouvernement  a donc plié devant les officines  immigrationnistes:  «les associations expliquent qu’elles ne défendent pas le bidonville, mais que l’expulsion brutale des migrants (qui seront relogés dans des conteneurs  chauffés, NDLR)  constitue une violation des droits fondamentaux, qui fragilisera davantage les plus vulnérables, grossira les camps voisins et fera disparaître dans la nature des dizaines de mineurs isolés. »

    « Sentant poindre l’affrontement (…) Dans un entretien paru lundi dans La Voix du Nord, Bernard Cazeneuve a réexposé sa politique, présentant l’évacuation comme une opération humanitaire où nous proposons une solution à tous, mais aussi comme une nouvelle étape dans allègement de la pression migratoire sur la ville de Calais. Dans l’après-midi, le ministre de l’intérieur a visité le centre d’accueil pour migrants du Mans, où il a tenu un discours d’apaisement. L’évacuation de la zone sud se fera  de manière progressive, par la persuasion et dans le respect de la dignité des personnes, a-t-il promis, se disant prêt à  prendre le temps qu’il faut ».

    Bref, constate Bruno Gollnisch,  le  ministre de l’Intérieur, dont l’inertie et la mollesse sont proverbiales  au sein des forces  de l’ordre, choisi une nouvelle fois de répondre à la pression migratoire par la dispersion des camps de réfugiés sur l’ensemble du territoire. Quel triste spectacle donne la France, quel  aveu d’impuissance, quel mépris des Français !

     Et pendant ce temps Florence Jardin, maire PS de Migné-Auxances (Vienne)  vient de porter plainte contre le FN, au nom de sa commune  pour  incitation à la haine raciale.  « Il ne  faut surtout pas s’habituer à ce type de discours. Une limite a été franchie ». « Ce discours de haine renvoyant les uns contre les autres n’a aucun sens et ne fait qu’engendrer d’autres haines (…). Face à l’abject, je n’aurai aucun seuil de tolérance  » a-t-elle déclaré. L’objet de son émoi ? Une  pétition du FN «contre l’accueil des immigrés clandestins à Migné-Auxances », qui bien évidemment comme le souligne Alain Verdin, Secrétaire départemental FN de la Vienne, ne comporte « aucune incitation à la haine raciale. »

    Jugez-en plutôt, dans celle-ci il est écrit : «A Migné-Auxances, Florence Jardin et sa majorité socialiste, communiste, écologiste inscrivent la ville dans le dispositif d’accueil des réfugiés syriens, irakiens, érythréens, sans même consulter la population locale (…). Qui en subira les conséquences ? C’est vous. La criminalité explosera, l’éducation de vos enfants en souffrira, la valeur de vos biens s’effondrera. Face à un chômage à plus de 9 % à Migné-Auxances, il y a autre chose à faire pour notre ville. On constate, une fois de plus, que le système aux affaires pratique délibérément la préférence étrangère. »

    Voilà ce que Mme Jardin, à son petit niveau, et plus largement, ses amis politiques  du gouvernement et de la gauche immigrationniste appellent un discours de haine!  C’est-à-dire  un souhait de priorité nationale dans une France frappée par la crise,  qui compte six millions  de chômeurs,  huit millions de pauvres  et autres mal-logés.  Définitivement oui, «il y a toujours une tragédie au bout de la bêtise humaine.»

    http://gollnisch.com/2016/02/23/une-tragedie-au-bout-de-la-betise/

  • Immigration illégale : le gouvernement ouvre grand les vannes

    L’État, toujours moins exigeant avec les nouveaux arrivés, illégaux et toujours plus nombreux, s'acheminerait vers la dissolution du peuple français qu'il ne s'y prendrait pas autrement.

    « Nous ne pouvons pas accueillir plus de réfugiés », affirmait, martial, Manuel Valls, en Allemagne, le 13 février 2016. Cinq jours plus tard, l’Assemblée nationale votait une loi qui rend définitivement illusoire la maîtrise de l’immigration… illégale.

    Ainsi, pendant que les médias bramaient à l’unisson, nous intoxiquant avec la déchéance de la nationalité, et que Manuel Valls faisait diversion devant Angela Merkel, son gouvernement, en cachette, s’appliquait à transformer l’actuel système de l’immigration, déjà guère dissuasif pour les immigrés entrés illégalement sur notre territoire, en un système toujours plus laxiste renforçant leurs droits.

    Adoptée, la carte de séjour pluriannuelle de quatre ans, obtenue au bout d’un an de présence, à la place de celle d’un an renouvelable cinq ans, jugée trop contraignante. Obliger les étrangers à montrer leur volonté d’intégration, quel vilain message enverrait donc la France, n’est-ce pas ?