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immigration - Page 1196

  • Le chef de la diplomatie UE : « Parler de réfugiés et non plus d’immigrés, a contribué à faire évoluer l’opinion »

    Haute représentante de l’Union européenne pour les Affaires étrangères et la Politique de sécurité et vice-présidente de la Commission, Federica Mogherini ancienne ministre des Affaires étrangères italiennes, en poste à Bruxelles depuis moins d’un an, livre àLibération son analyse de la plus grave crise humanitaire subie par l’Europe depuis 1945.

    Libération : Depuis quelques mois, certains pays européens se montrent plus ouverts à l’accueil des réfugiés…

    Federica Mogherini : Lorsque certains responsables politiques ont commencé à parler de réfugiés et non plus d’immigrés, cela a contribué à faire évoluer l’opinion. S’il s’agit de réfugiés, il y a un devoir d’accueil, de protection. Les mots sont importants, comme on le voit.

    http://www.contre-info.com/

  • Contre les immigrationnistes, Génération Identitaire affirme « Clandestin, l’Europe n’est pas ton destin ! »

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    « Clandestin, l’Europe n’est pas ton destin ! » Le slogan brandi par Génération identitaire Metz à la face d’une manifestation immigrationniste a fait mouche. L’énervement des intéressés et des médias en atteste. Par Jordan Lauer

    Avenir Ensemble avait réuni 300 personnes pour son « rassemblement humaniste » en faveur des « réfugiés », samedi dernier à Metz. Ce petit monde pensait ronronner tranquillement dans les bons sentiments et l’entre-soi. C’était sans compter sans une vingtaine de militants de Génération Identitaire Lorraine, accompagnés d’élus FN messins, parmi lesquels Françoise Grolet et Thierry Gourlot, venus réclamer un référendum local sur la question de l’accueil.

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    Notre message était pour sa part plus simple : Génération Identitaire Lorraine réclame l’expulsion de tous ces immigrés entrés illégalement sur notre territoire ! C’est derrière une banderole sur laquelle on pouvait lire : « Clandestin, l’Europe n’est pas ton destin » que la petite troupe a investi pacifiquement le village associatif sur le parvis des droits de l’Homme, pour passer le message d’une majorité de la population aux immigrationnistes militants présents et aux élus : les aides envisagées pour les clandestins devraient être mises en place pour nos SDF avant tout !

    En effet, le maire socialiste de la ville, Dominique Gros revenait tout juste de Paris où il a rencontré le premier ministre en compagnie de 600 autres élus venus recevoir la bonne parole… leur quota de « réfugiés » et les crédits qui vont avec. M. Gros a confirmé pour sa part sa volonté d’accueillir 250 Syriens à Metz, estimant qu’il s’agit pour lui d’un devoir.

    Il y a des appartements vides et par-dessus tout j’en appelle à la population

    déclare-t-il. Appel non entendu, puisque seuls 25 Messins sont portés volontaires pour ouvrir leur porte.
    Peut-être aurait gagné à consulter la population au nom de laquelle il s’engage avant de lancer ses hasardeuses initiatives, cela lui aurait rappelé que les Français sont majoritairement opposés à l’accueil de davantage de clandestins. Sans doute va-t-il pallier au manque de civisme de ses administrés en logeant les 225 « réfugiés » restants dans son appartement ?

    Soulignons enfin que, contrairement aux élucubrations des journalistes du Républicain Lorrain, nous n’avons bien évidemment pas menacé la sécurité des manifestants pro-immigration avec des « pétards ». Cette mise en scène de la presse locale est comme d’habitude grotesque… Les Messins ne sont plus dupes.

    Jordan Lauer – Responsable Génération Identitaire Lorraine

    http://fr.novopress.info/

  • Mais qu’est-ce qui fait reculer Angela Merkel ?

     Nous l’avions souligné dans les premiers, la CSU bavaroise, aile droite de la coalition d’Angela Merkel, aux cotés de la CDU ne pouvait accepter la submersion de Munich par  une migration incontrôlée. Débordée par l’afflux record de réfugiés à ses frontières, l’Allemagne a fait volte-face, dimanche.

    Alors que 63.000 migrants sont arrivés à Munich, dans le sud du pays, en l’espace de 15 jours, et 13.000 au cours de la seule journée de samedi, le pays a décidé de rétablir les contrôles à ses frontières, notamment avec l’Autriche, dimanche, suspendant ainsi les modalités de l’accord de Schengen sur la libre circulation.

    Erreurs et conséquences peuvent lui coûter cher

    Les images de la Bavière envahie ont traumatisé les autres landers allemands. Des sondages non publiés ont manifesté un retournement de l’opinion publique. L’émotion solidaire a laissé place à l’inquiétude humaine ethnique et religieuse comme dans les pays de l’est.

    Les manifestations d’opposition à la politique de la porte ouverte se multiplient, même non médiatisées, et une vague de xénophobie proportionnelle à celle de l’arrivée des étrangers enfle.

    Enfin la possibilité de la pénétration terroriste, alors qu’il n’y avait plus aucun contrôle, est devenue une réalité indiscutable avec, de plus, le recrutement salafiste des migrants. Les services de sécurité ont averti la chancelière qu’elle pourrait être responsable de l’impossibilité de contrôler les nouveaux djihadistes. En fait Merkel, la généreuse, est devenue pour beaucoup, Merkel l’irresponsable.

    Elle tente donc une marche arrière à toute vitesse pour influencer les autres pays européens et arrêter de présenter l’Allemagne comme la mère nourricière de tous les réfugiés et clandestins. À Berlin on entend les ricanements hongrois et polonais et la mauvaise humeur autrichienne. Un nouveau tournant pour l’Europe puisque le fameux Schengen., vache sacrée de la libre circulation à l intérieur de l’Europe qu’il serait impossible de toucher, est suspendue par Angela Merkel sans doute jusqu’à ce que mort s’ensuive.

    Signé en juin 1985, entré en application le 26 mars 1995, l’accord de Schengen prévoit la libre circulation des biens et des personnes, ce qui implique l’élimination des contrôles frontaliers entre les pays signataires, chargés par ailleurs de renforcer la surveillance des frontières extérieures à l’espace Schengen, qui compte actuellement 26 Etats membres.

    Mais les textes autorisent effectivement la suspension exceptionnelle de ces règles. L’article 2 de la Convention d’application de l’accord de Schengen prévoit ainsi dans son deuxième paragraphe le rétablissement des contrôles aux frontières internes, en cas de nécessité. « Lorsque l’ordre public ou la sécurité nationale l’exigent…..»

    Ainsi la chancelière des migrants reconnait que sa politique trouble l’ordre public et met en danger la sécurité nationale. Si c’est elle qui le dit…

    Jean Bonnevey., 14/09/2015

    SourceMetamag.fr

    http://www.polemia.com/mais-quest-ce-qui-fait-reculer-angela-merkel/

  • Syrie, crise des migrants, Angela Merkel, "Art" contemporain…

  • Zoom : Général Didier Tauzin - La France est bonne pour la sauvagerie

  • Immigration: Sarkozy veut créer l'unité mais derrière lui

    Ce mercredi matin, le parti Les Républicains organise une demi-journée de travail sur l'immigration. Nicolas Sarkozy en profitera pour répéter ses propositions sur le sujet et en faire celles de toute sa famille politique.

    L'unité. Nicolas Sarkozy n'a que ce mot à la bouche. Pour l'emporter aux régionales, il faudra l'unité. En tant que président du parti Les Républicains, il est garant de l'unité. Enfin, pour que les Français retrouvent confiance dans le premier parti d'opposition, il faut donner une image d'unité. Mais dans son esprit, ce devoir de rassemblement s'accompagne d'une note de bas de page: sur la photo de famille, c'est lui devant, les autres derrière. 

    La matinée de travail sur l'immigration organisée ce mercredi est là pour le rappeler. A l'issue des quatre heures de travaux, Nicolas Sarkozy consultera les adhérents sur quelques propositions phares, ensuite soumises au bureau politique du parti, qui aura la charge de les graver dans le marbre. Elles s'imposeront alors aux candidats à la primaire de 2016. C'est le fameux socle commun d'idées, censé constituer la base du programme du représentant de la droite à l'élection présidentielle. Alain Juppé, François Fillon et Bruno Le Maire n'en ont que faire. Ils suivent leur propre agenda. Aucun des trois ne sera d'ailleurs présent ce mercredi matin. 

    Un tronc commun d'idées sur l'immigration

    Tout l'enjeu est donc pour Nicolas Sarkozy de les vêtir de l'habit des diviseurs. Plus ses propositions sont formulées dans un cadre d'unité et plus celles de ses adversaires apparaîtront comme des démarches individuelles. Ce mercredi, il a donc convié l'ensemble des élus à participer à cette séance de travail avant d'associer les adhérents du parti 

    Les Républicains à l'élaboration du programme. 

    Le contexte lui facilite les choses. L'urgence de la situation avec l'arrivée de dizaines de milliers de réfugiés place la question de l'immigration sur le devant de la scène et balaie les réserves des modérés de la droite quant au poids de ce sujet dans le débat public. La décision d'Angela Merkel -référence pour de nombreux cadres des Républicains- de rétablir des contrôles aux frontières avec l'Autriche favorise également la défense d'un discours ferme au sein de la droite française. 

    Les prétendants à la présidentielle partagent ainsi un tronc commun. Tous pointent les failles du système Schengen et la nécessité de limiter l'immigration économique par opposition à l'accueil de réfugiés.

    La partition solo du candidat Sarkozy

    Quelques mesures made in Sarkozy échappent au consensus. Aucun ténor n'a repris son idée d'un statut de réfugié de guerre, qui offrirait un asile temporaire en France. Celle-ci a surgi dans le débat jeudi 10 septembre à la faveur d'un entretien accordé au Figaro. Nicolas Sarkozy s'était ainsi octroyé le droit de présenter ses propres mesures quand il l'interdit aux autres. Comme il l'avait déjà fait sur l'interdiction des menus de substitution dans les cantines scolaires et du voile islamique dans les universités. 

    Le président du parti gèle la campagne pour la primaire jusqu'aux régionales pendant que le candidat Sarkozy formule ses propositions chocs. C'est le privilège du roi des Républicains.

    Matthieu Deprieck

    source : L'Express :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EuukupkkVyArxVSOyk.shtml

  • "Migrants" : Les enjeux géopolitiques que cache le torrent de propagande "humanitaire"

  • Balayons d'abord devant notre porte

    Au soir de la réunion du 14 septembre, il était évident que la réunion des ministres de l’intérieur de l’Union européenne avait échoué. Elle était consacrée en fait à l’immigration illégale, et pas seulement aux cas minoritaires des vrais réfugiés. Ces derniers, rappelons-le, sont estimés officiellement à 120 000 sur un total prévisionnel provisoire de 800 000.

    La politique des États l'avait emporté sur la manipulation des émotions. Or, on s'achemine de toute évidence vers de nouvelles négociations, tergiversations, temporisations, au niveau des chefs d'États un jour, des technocrates le lendemain, des ministres un autre jour. Elles se dérouleront dans l'opacité. Mais leur résultat se concrétisera dans la clarté, celle de problèmes qui s'aggraveront alors qu'on se propose de les résoudre.

    L'éditorial du "Monde" daté du 16 septembre dénonce en l'occurrence ce que son rédacteur appelle "l'Europe des égoïsmes nationaux".

    Voilà qui semble, une fois de plus, bien mal poser le problème. "L'égoïsme national" bien compris, en effet, cela supposerait une considération prioritaire, par les gouvernants, de l'intérêt "national". Or, celui-ci, en France, par exemple, ne doit pas conduire à l'affrontement systématiques avec 27 partenaires, peuples frères et amis. Il commande toujours, au contraire, un rapprochement avec les quelques pays constructeurs de l'Europe dite du traité de Rome de 1956. Toute manipulation des opinions à l'encontre, notamment, de l'entente franco-allemande, mais aussi franco-italienne, etc. piétine cette réalité essentielle qui avait conduit, les pires adversaires des deux guerres à la signature salutaire du traité de l'Élysée.

    De ce point de vue, il convient de se souvenir qu'en 2012 la présidence Hollande avait très mal commencé.

    La première préoccupation de l'ancien président du conseil général de Corrèze et sa campagne électorale l'avaient conduit à exacerber artificiellement en antagonismes les divergences de vues avec Berlin.

    Sa gestion même de la crise grecque, en particulier, avait été clairement inspirée par une crainte de plus en plus notoire de nos dirigeants : celle de voir l'État central parisien rappelé à l'ordre pour son propre surendettement et pour sa propre incapacité à maintenir le cap des réformes timidement et tardivement entreprises les années précédentes.

    On doit prendre acte en ce moment que la logique même des dossiers l'amènent à chercher à réparer, hélas bien tardivement, cette mésentente qu'il avait ainsi provoquée. L'urgence, le bon sens et, pour rester dans le vocabulaire du "Monde", "l'égoïsme national" strictement franco-français le commanderaient.

    L'éditorial du "Monde" en effet "regrette de se trouver en présence d'une association d’États liés par un accord de marché unique et pas grand-chose d’autre. C’est, poursuit ce texte, une régression par rapport à ses ambitions originelles. C’est aussi un aveu d’impotence collective dangereuse."

    Voilà qui est faire, en partie à juste titre, le procès de l'Europe des États, de l'Europe toujours intergouvernementale, telle que conçue par MM. Delors et Lamy dans leurs bureaux de Bruxelles et négociée à Maastricht en 1992. Le passage à l'idée d'une véritable Confédération, – idée que semblèrent partager un temps Helmut Kohl et François Mitterrand, – dépassait le petit entendement et les petits moyens des producteurs parisiens de jus de crânes de technocrates.

    Car toutes les erreurs commises depuis 20 ans ont été conçues par les rejetons cette caste hexagonale. Et l'on peut nommer parmi les responsables aussi bien un Giscard, promoteur du traité rejeté par la majorité des Français en 2005, Juppé et Toubon inspirateurs du désastreux accord de Nice de l'an 2000, mais aussi un Barrot, paradigme de l'ectoplasme propulsé à Bruxelles en récompense de sa docilité ministérielle de signataire des ordonnances du plan Juppé, et de tous ceux dont Chirac s'est débarrassé par la même procédure, utilisant les institutions européennes comme dépotoir, sorte de voiture-balai de notre classe politique. Cette procédure a été continuée sous Hollande avec la nomination de l'aimable mollasson Moscovici pour succéder à son confrère Barnier.

    En observant par exemple le travail que produisent la plupart des eurodéputés français, on peut en mesurer les dégâts. À quelques exceptions louables ils siègent à ce parlement, élu à la proportionnelle depuis 1979, c'est-à-dire nommés sur les listes confectionées par les états-majors parisiens, en se désintéressant totalement de l'Europe : poubelle des uns, tiroir-caisse des autres.

    La classe politique hexagonale, et notre système de partis subventionnaires, portent une responsabilité écrasante dans tous ces reculs, aussi bien ceux de la France en Europe, que ceux de l'Europe face au monde.

    C'est là qu'il faut porter le coup de balai. 

    JG Malliarakis

    http://www.insolent.fr/

  • Regard sur l'actu #18: Crise migratoire. Partie 1: Européens contre "réfugiés"

    L’arrivée des « migrants » ne nous laisse aucun répit et on sait que les mois qui arrivent seront encore plus durs. Le flot ne fait que commencer et des centaines de milliers d’entre eux n’attendent que l’occasion de débarquer en Europe. D’après les chiffres de Frontex, 500.000 chances pour l’Europe seraient arrivées depuis janvier 2015. On multipliera par x pour avoir une idée réelle… De plus,d’après le renseignement militaire français, un million de pseudo-réfugiés sont prêts à faire la grande traversée pour l’Eldorado européen.

    Le nombre d’informations concernant le problème est absolument énorme et en faire une synthèse est relativement peu aisé. Le lecteur m’excusera donc des inévitables oublis qu’il trouvera dans ce regard sur l’actu qui, comme tous les précédents, ne prétend pas à l’exhaustivité sur la question. Exceptionnellement, cet article sera divisé en deux parties pour davantage de clarté. La première concernera les faits les plus visibles et le trouble immense que cause l'arrivée de ces hordes de "migrants" en Europe. La seconde traitera de l'occasion qu'y trouve le Système pour trahir, une fois encore, les populations européennes, des tensions politiques en hausse dans notre continent et enfin de la résistance qui commence à sérieusement se développer, en France comme dans d'autres pays.

    Comme toujours, il convient de commencer par une question de vocabulaire. J’emploie évidemment dans l’article qui suit les termes « migrants » ou « réfugiés » par facilité. On entend chez les mauvaises langues d’autres mots tels que : clandestins, parasites, envahisseurs... C’est bien loin de la vulgate actuelle prônant l’ouverture à sens unique envers des populations à l’exacte opposé de nous (tant racialement que culturellement) déferlant sur l’Europe à l’aide de faux prétextes, prêtes à tout prendre et surtout à s’imposer avec l’aide de tous les rouages du Système. La prophétie de Khadafi se réalise mais elle pourrait annoncer, à terme, l’unique occasion pour les peuples européens d’enfin sortir de leur dormition.

     

    Partie 1: Européens contre "réfugiés"

    Les Européens devant le fait accompli

    Comme pour tout ce qui les concerne réellement, on n’a pas demandé l’avis des Européens au sujet de ces arrivées massives de « migrants »… Subissons, subissez ! Le peuple, la démocratie, tout ça, tout ça… Bidonvilles, violences, trafics, passeurs, c’est le tiers-monde chez nous. Et un tiers-monde qui importe sur notre sol ses rivalités. On a l’habitude, je sais… Les « migrants » sont certes tous unis dans le parasitisme mais entre eux, c’est une autre histoire. Voyez la situation à Calais où nombre de rixes éclatent entre les différentes nationalités à l’image de la dernière en date qui a impliqué « 200 ressortissants afghans et soudanais » et qui a fait 9 blessés qui ont été ont été « transportés au centre hospitalier de Calais ». Ils y seront soignés avec vos impôts.

    Ils arrivent partout ! De la Macédoine à l’Allemagne en passant par l'Italie et les îles grecques, personne n’est épargné ! Le flot est intarissable. Ils franchissent par milliers les frontières et s’infiltrent dans chaque pays, dans chaque grande ville. Les chiffres parlent par eux-mêmes: dimanche dernier, près de 6.000 nouveaux arrivés en Hongrie en une seule journée! A Lille aussi, nous en avons ! D’autant que Martine Aubry fait tout pour en accueillir ! Un site internet « pour recevoir des dons et propositions d’hébergements de Lillois pour l’accueil des réfugiés et migrants » vient justement de voir le jour ! Les médias ne parlent que de ça en habituant peu à peu les Européens à considérer cette invasion comme inéluctable. Et souhaitable ! La rapidité avec laquelle les évènements se déroulent a comme conséquence principale de déboussoler l’opinion et de l’empêcher de réagir plus promptement. Pendant ce temps, médias et politiques martèlent leur discours larmoyant en en appelant à la « morale ». Cette « morale » culpabilisatrice où l’on vous parle comme si vous étiez des gosses à qui la leçon devait être faite. L’inénarrable Jean-Claude Juncker, président de la Commission européenne, n’invite-t-il pas les Européens à «accueillir dans leurs bras» tous les gentils bisounours qui arrivent en masse ? Bisounours que vous verrez en action dans cette vidéo qui dit quasiment tout.

    Des manipulations médiatiques qui réussissent de moins en moins…

    Les Européens étant de plus en plus hostiles (c’est le moins qu’ils puissent faire, hein ?) à l’immigration, le « quatrième pouvoir », celui des médias, n’a pas cherché loin pour tenter d’inverser la vapeur : l’émotionnel. Ça marche encore un peu même si les grandes heures de ce type de manipulation semblent passées (la « Shoah » fonctionne moins qu’avant par exemple). On a donc décidé de frapper fort avec du haut de gamme : la mort d’un gosse, Aylan. Et une photo, une mise en scène plutôt, pour faire pleurer dans les chaumières. Il ne fallut qu’attendre un peu, quelques jours, pour apprendre à quel point la supercherie était grossière. Sur le sujet, je vous invite à lire le très bon article de Camille Galic, ancienne directrice de Rivarol.

    Ne vous inquiétez pas, les rédactions aux ordres ne font que travailler et pondre les mensonges les plus gros pour continuellement occuper votre temps de cerveau disponible par les ficelles les plus usées. Revoici donc -dans Le Monde- le mythe des réfugiés climatiques (qui va de pair avec la religion du réchauffement climatique). Ils vont bien sûr devoir trouver accueil en Europe! La persécution envers ces populations est donc totale : religieuse, politique et maintenant climatique ! Pauvres gens !

    Malheureusement pour eux, les Français sont de moins en moins dupes des tromperies médiatiques et une majorité de nos concitoyens se déclare hostile à l’accueil des « migrants ». Libération regrette d'ailleurs que la mort d'Aylan n'ait rien changé... Snif! Entre 56 et 64% des Français sont contre l'invasion selon les sondages. Les médias-menteurs sont bien obligés de s’en rendre compte car même « la poursuite des drames tout le long de l'été n'a pas changé l'opinion des Français quant à l'accueil des migrants sur leur territoire. » Et quelles sont les catégories les plus opposées à l'arrivée des persécutés imaginaires ? On le lit dans le même article : « l'opposition à l'accueil des migrants atteint son maximum chez les 35-49 ans(63 %) et les 50-64 ans (61 %). Seules les personnes âgées de 65 ans et plus se disent majoritairement favorables (à 62 %) à l'accueil de migrants et réfugiés. » Si les ouvriers sont les plus défavorables (à 71%) à cet accueil, «les cadres et professions intellectuelles supérieures, tout comme les retraités, sont à 57 % (pour)»… Etonnés par l'opinion des vieux cons?

    Le vrai visage des « migrants »

    Loin d’être les pauvres hères que les médias du Système décrivent, les migrants sont avant tout des profiteurs estimant que tout leur est dû. Des réfugiés économiques qui ne font, pour la plupart, qu’affabuler sur de prétendues persécutions politiques ou religieuses afin de se faire accepter dans le continent de la mollesse ! Revendicatifs comme jamais, ils réclament avec fougue que tout leur soit donné sans aucune contrepartie, un peu à l’image de leurs cousins qui sont chez eux chez nous avec des nationalités de papier depuis des décennies. L’habitude. La réputation européenne ! Celle de peuples sans couilles qui filent tout avec le sourire ! La bouffe distribuée doit être meilleure ou on la balance ! Et la connexion wifi aussi ! Pour les vêtements, seulement des marques ou alors on les brûle (comme dans la jungle de Calais dont traite un récent reportage de nos amis de TV Libertés). Sans oublier les logements mis à disposition (auxquels nos SDF n’auront jamais droit) où l’électricité a intérêt à fonctionner ! Comment recharger ces iphones qu’ils possèdent tous sinon? Et qui sont, il faut le dire, un premier pas pour s’intégrer dans notre continent (ils aiment les selfies en plus, comme vous !). Comment les ont-ils achetés ces iphones ? Comment ont-ils fait le voyage ? Qui coûte une fortune… Où ont-ils trouvé l’argent ? Ou alors qui le leur a donné ? De nombreuses questions sont encore à élucider. En voici une dernière et pas des moindres : pourquoi voit-on si peu de femmes et d’enfants parmi eux ? Même Marine le Pen le dit : c’est « une immigration économique et non pas […] une immigration de réfugiés politiques, car si c'était des réfugiés politiques nous aurions 75 % de femmes et d'enfants et 25 % d'hommes, et pas l'inverse ». Ne sont-ils pas censés fuir la guerre, les persécutions, la peste et le choléra, Satan et ses démons, Dracula et Freddy Krueger, l’enfer sur terre ? Si, si… Mais ils laissent femmes et enfants sur place. Logique.

    Au moins, les envahisseurs ne se cachent pas sous de beaux masques : ils salissent et pètent tout, ne respectent rien et ne craignent absolument pas les autorités (complices de toute façon) des pays où ils arrivent. C’est zéro risque, man ! Voyez l’exemple boulonnais qui démontre bien qu’ils ont fort peu à craindre d’Etats dépassés et désarmés moralement ! Dégradations, pillages et vols au mieux ; viols et meurtres au pire. Les exemples fourmillent de partout et les plus marquants de ces derniers temps sont réellement ignobles. Cette pauvre enfant violée à Chemnitz par un individu « de type nord africain » déjà. Et ces deux retraités siciliens massacrés par le charmant Mamadou Kamara qui s’est même payé le luxe de violer la vieille dame ! Ils arrivent chez vous.

    Chez vous, oui. Le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker invite d’ailleurs les Européens à «accueillir dans leurs bras» et, dès cette semaine, 160 000 réfugiés ayant fui la guerre et venant d'Irak ou de Syrie. Il souligne que la peur n'est pas bonne conseillère. «Il est temps de faire preuve d'humanité et de dignité.» Quand même ! Surtout pour les 4000 djihadistes liés à l’Etat Islamique qui en auraient profité pour débarquer chez nous où ils sauront apprécier le sens de jolis concepts tels que l’humanité et la dignité ! Des milliers d’autres seraient en attente en Libye, l’EI ayant renouvelé des menaces en ce sens depuis des mois.

    A suivre dès lundi prochain. Nous parlerons de tous ceux (politiques français ou étrangers, grandes entreprises etc) qui encouragent et/ou aident et/ou profitent de ces arrivés de "migrants". La situation et les tensions causées dans la politique européenne seront également au programme, de même que les différentes formes de résistance à cet afflux de non-Européens, en France et ailleurs. 

    Rüdiger/C.N.C.

    http://cerclenonconforme.hautetfort.com/

  • [Éditorial de L’Action Française 2916] Les migrants ressuscitent les frontières

    La gestion par l’Allemagne des flux migratoires en provenance de Syrie, lesquels ne font que s’ajouter à ceux de la Libye, qui ne se tarissent pas, témoigne, s’il en était besoin, du fait que, contrairement à ce qu’on entend ici ou là, loin de penser « européen »,...

     

    …chaque Etat membre de l’Union conduit en temps de crise la politique qui lui semble, à tort ou à raison, c’est une autre affaire, la plus conforme à son intérêt — du moins lorsque cet Etat est gouverné par des dirigeants dignes de ce nom, ce qui n’est plus, depuis bien longtemps, le cas de la France. Les media de l’oligarchie ne cessent de déplorer l’attitude des pays qui refusent d’accueillir ces « migrants », dont ils doutent à bon droit, du reste, de la qualité de réfugiés, et déplorent leur prétendu égoïsme, avec ce moralisme propre au projet européen — ainsi Juncker, le président de la Commission européenne, a déclaré dans son discours « sur l’état de l’Union », le 9 septembre, qu’ « il est temps de faire preuve d’humanité et de dignité », en accueillant tous les réfugiés qui se présentent.

    Accuser d’égoïsme les gouvernants qui pensent en premier lieu au bien de leur peuple, comme c’est leur devoir, et le proclament ouvertement, c’est oublier un peu vite que c’est l’Allemagne, qui, la première, a donné le signal d’une attitude strictement nationale en décidant unilatéralement d’un accueil massif dont elle savait fort bien que ses partenaires auraient ensuite à supporter les conséquences en termes d’appel d’air et de masse. Oui, Merkel a cherché et cherche toujours à imposer sa politique aux Vingt-Huit, pensant, à tort manifestement, que parce qu’elle a à sa botte le dirigeant de la première puissance militaire et de la deuxième puissance économique de l’Union — en l’occurrence Hollande —, elle ne ferait qu’une bouchée d’Etats plus petits. Que Merkel ait été la plus nationaliste dans l’affaire, il ne viendrait à l’idée ni de nos journalistes béats devant la nouvelle icône des droits de l’homme, ni évidemment à des hommes politiques complices de sa politique, de le dénoncer. Merkel accueille : tous les Etats européens doivent accueillir ; Merkel ne peut ou ne veut plus accueillir et suspend Schengen en rétablissant des contrôles à ses frontières : c’est la faute de ses partenaires qui ne l’ont pas suivie et refusent la politique des quotas, c’est-à-dire de répartition obligatoire des clandestins, politique qu’Hollande avait dans un premier temps lui-même refusée, avant de se coucher, comme d’habitude. Et dès lors de brandir des menaces, avec une suffisance qu’on n’aurait plus cru possible — ou du moins que n’imaginaient plus possible les naïfs qui croient encore à un quelconque progrès moral de l’humanité, y compris dans les relations entre Etats, un progrès moral qu’incarnerait justement l’Europe institutionnelle. N’a-t-elle pas osé répondre, le 31 août, avec un humour typiquement germanique, semble-t-il, lors d’une conférence de presse, à une question sur d’éventuelles sanctions contre les pays réticents à une répartition : « Je ne veux pas sortir maintenant tous les instruments de torture » ? Or ces pays, situés essentiellement en Europe centrale et orientale, sont ceux qui ont toujours le plus souffert de l’expansionnisme allemand et dont un des prédécesseurs de Merkel avait fait, en quelques années, des protectorats avec la même passive complicité d’une république française, incapable à l’époque comme aujourd’hui, de concevoir les rapports internationaux comme des rapports de forces — ce que, pourtant, ils n’ont jamais cessé et ne cesseront jamais d’être —, rapports dans lesquels l’idéologie, hier le pacifisme bêlant du briandisme, aujourd’hui le droit-de-l’hommisme mercantile de l’oligarchie européiste, jouent le rôle d’anesthésiants.

    Certes, l’échec, ce lundi 14 septembre, de la réunion des ministres européens de l’intérieur sur les quotas, montre que Merkel a sous-estimé la résistance de nations qui ne s’en laissent pas compter, au regard tant de leur histoire que de leur capacité d’absorption : une capacité d’absorption non seulement économique, mais également culturelle et religieuse, de flux d’allogènes disposés à tout, sauf à s’intégrer à des pays qui, en les accueillant avec une générosité confinant à la niaiserie, ne pourraient susciter que leur mépris. Toutefois, Merkel n’a rien lâché : Thomas de Maizière, son ministre de l’intérieur, a déclaré à la chaîne publique allemande ZDF, mardi 15 septembre, que les pays qui refusent les quotas, « souvent [...] reçoivent beaucoup de fonds structurels » européens. « Je trouve aussi juste (...) qu’ils reçoivent moins de moyens », a-t-il poursuivi en approuvant la proposition formulée en ce sens par Juncker.

    De fait, si Juncker et Merkel sont la main dans la main, Hollande jouant les utilités, c’est que l’idéologie de l’accueil leur sert à tous deux d’anesthésiant pour contraindre les peuples à accepter une politique d’immigration qu’ils jugent conforme, la seconde à l’intérêt d’une Allemagne vieillissante mais encore forte de plus de 80 millions d’autochtones et qui, pense-t-elle, saura sans trop de préjudice, absorber cette main-d’œuvre étrangère, le premier à celui d’une Union européenne sans autre identité que le consumérisme. En bon négrier mondialiste, Juncker, toujours dans son discours sur l’état de l’Union, n’a pas omis de préciser : « La migration doit cesser d’être un problème pour devenir une ressource bien gérée ».

    L’Europe n’existe pas. Elle est et demeure un mythe. La Pologne, la Hongrie, la Tchéquie ou la Slovaquie — le groupe de Visegrad — mais aussi le Danemark, la Lettonie ou la Roumanie, ne doivent pas être montrés du doigt : leur refus ou leur manque d’empressement est le témoignage d’une identité forte, qu’ils doivent à une histoire riche, souvent dramatique. Leur nationalisme défensif face à l’invasion n’est que l’expression de leur bonne santé morale. Persévérer dans l’être, tel est aussi l’objectif de Merkel, mais avec ce nationalisme agressif propre à la culture allemande qui, le plus souvent, fut aveugle sur ses propres intérêts. Bruxelles, qu’elle co-dirige avec la Commission européenne, tout à son universalisme matérialiste hors-sol, sert pour l’instant sa politique. La Grèce et l’Italie, quant à elles subissent, avec pour seul objectif de s’en sortir le plus rapidement possible. Seule la France, asthénique, joue un jeu « européen », l’Europe ayant toujours été, pour ses élites, l’autre nom du renoncement.

    François Marcilhac - L’ Action Française 2916

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Editorial-de-L-Action-Francaise,9392