Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

immigration - Page 1341

  • 1 420 euros à payer pour s’être moqué gentiment de deux immigrées !

    Deux jeunes femmes voilées qui se promenaient à Reims ont été les cibles d’un propos taquin de la part d’un automobiliste âgé de 28 ans, le 2 juillet 2013.
    Elles ont porté plainte, mais elles ont été déboutées par le tribunal correctionnel de Reims, dans un jugement rendu le 13 décembre 2013.

    Les deux femmes, soutenues par des associations, ont interjeté appel.

    Le prévenu a été condamné, mercredi 7 mai, à un mois de prison avec sursis, 400€ en réparation du préjudice moral chacune et 500€ en application de l’article 475-1 du code de la procédure pénale. Décision assujettie par le paiement, par le prévenu de 120€, au titre de droit fixe de la procédure. Soit 1420 euros de sanction !

    La cour d’appel n’a pas retenu le fait que le jeune homme, comme il l’a affirmé, ignorait la portée de la terrible parole qu’il a proférée à l’adresse des jeunes femmes.

    Quels propos ignobles, quel déversement de haine et de racisme ont pu motiver ainsi traumatiser les deux femmes et justifier une telle condamnation ?

    « Vite, vite, il y a un cochon qui arrive ».

    Voilà qui méritait de verser l’équivalent d’un mois de salaire pour beaucoup de Français !
    Le Système a décidé de réprimer plus durement, afin d’essayer d’endiguer le ras-le-bol croissant et légitime des Français vis-à-vis d’une colonisation étrangère imposée et douloureuse…

    http://www.contre-info.com/1-420-euros-a-payer-pour-setre-moque-gentiment-de-deux-immigrees

  • Deux « Français », membres d’Al Quaïda, ont été arrêtés au Yémen

    Il semblerait qu’il n’y ait pas que des djihadistes français en Syrie. On a appris hier que deux djihadistes français ont été arrêtés au Yémen. Tous les deux âgés de 32 ans et d’origine tunisienne, Taha al-Issawi et Mourad Abdallah faisaient partie d’un réseau situé dans la province du Hadramout, dans le sud-est du Yémen. Les autorités yéménites ont lancé une opération d’envergure pour déloger Al-Qaïda de ses bastions des provinces de Chabwa et d’Abyane.

    En général, la France lutte pour empêcher des attentats terroristes sur son territoire, en cherchant à repérer les terroristes avant leur arrivée dans le pays.  Il semblerait désormais qu’elle soit aussi un pays recruteur. Il n’y a pas de quoi se rassurer.

    http://medias-presse.info/deux-francaismembres-dal-quaidaont-ete-arretes-au-yemen/9731

  • Incident christianophobe à Anvers

    Traduction de cet article néerlandais :

    "À Essen [banlieue d'Anvers], des musulmans se sont rendus coupables de violences ce dimanche à la terrasse d’un café. Ils ne toléraient pas de voir la croix que portait un diacre sur ses vêtements et l’ont agressé verbalement. La situation s’est compliquée quand le patron du café s’est interposé. Cinq blessés.

    Le diacre permanent Léo Van Gink était assis à la terrasse du café « ‘t Gildenhuys », lorsqu’éclata un incident. Des musulmans qui avaient remarqué la croix sur son costume l’ont traité de pédophile. « Je ne pouvais tolérer cet écart de langage, je leur ai donc demandé de s’en aller » déclare Richard Arnouts, le patron du café, sur son lit d’hôpital. Les musulmans n’ont pas obtempéré et se sont mis à le frapper. L’homme est en ce moment à l’hôpital avec une vertèbre cassée. Ils ont également blessé quatre autres personnes. “Ma femme a le petit doigt cassé, mon beau-frère a le tympan déchiré et la cheville foulée” explique Arnouts. Le diacre, lui aussi, en état de choc, a été conduit à l’hôpital. L’incident s’est terminé à l’arrivée de la police. Les coupables ont été arrêtes, mais la police se refuse à tout commentaire."

    Michel Janva

  • Sicile : le Camp des saints, c’est maintenant !

    Les centres d’accueil et d'hébergement des réfugiés sont au bord de l'explosion.   

    « Nous alimentons un débat extrêmement nocif pour la démocratie et pour les partis démocratiques. Ce sont des fantasmes. La réalité des choses, c’est qu’il n’y a pas d’Europe passoire. »

    Ainsi s’exprimait Vincent Peillon il y a quelques jours sur LCI.

    Presque au même moment avait lieu à Rome une réunion entre le chef du gouvernement Matteo Renzi (Parti démocrate, gauche), le ministre de l’Intérieur Angelino Alfano (NCD, nouveau centre droit), les autorités militaires et les services de police, sur le sujet fantasmatique des débarquements d’immigrés africains en Sicile. Le directeur central de la police des frontières Giovanni Pinto a brossé un tableau extrêmement sombre de la situation.

    L’opération « Mare Nostrum », financée sur le budget de la Défense italienne – malgré les promesses faites par l’agence européenne FRONTEX –, mise sur pied par les autorités italiennes peu après le naufrage de 366 immigrés clandestins au large de Lampedusa le 3 octobre 2013, doit cesser, dit-il. Cette opération a, certes, permis de sauver des vies (près de 30.000 depuis mi-octobre) et de parer à l’urgence sanitaire de ces immigrés qui proviennent à 90 % de la Libye, mais elle a constitué un formidable appel d’air pour la population libyenne dont le pays est toujours incontrôlable.

    Lire la suite

  • L’immigration responsable de la pénurie de profs selon un rapport officiel

    « Comme aucun professeur ne veut être muté dans les banlieues de l’immigration… »

    L’Education nationale a de plus en plus de mal à recruter des professeurs de collège. Au dernier concours du CAPES (printemps 2014), 1592 postes étaient à pourvoir en mathématiques, 793 ont pu être pourvus ; en lettres classiques, il y a eu 156 admissibles pour 300 postes à pourvoir. Les causes réelles de cette désaffection sont simples : comme aucun professeur ne veut être muté dans les banlieues de l’immigration, on y affecte les nouveaux enseignants. D’où la crise des vocations. Bien sûr, c’est souvent du non-dit mais curieusement les difficultés se cristallisent sur le refus d’être affecté à… l’Académie de Créteil qui dessert la Seine-Saint-Denis, le Val-de-Marne et la Seine-et-Marne. Intitulé pudiquement « Les difficultés de recrutement d’enseignants dans certaines disciplines », un rapport de 9 inspecteurs généraux de l’Education nationale et de l’administration de l’Education nationale fait le point. Un document explosif pour qui sait le lire.

    Polémia en livre ici les bonnes feuilles. Il s’agit de la version intégrale du point 2-2 du rapport publié en juillet 2013 (pages 16 à 18). Il faut, bien sûr, décrypter les euphémismes d’un rapport administratif nécessairement soumis aux contraintes du politiquement correct. Tel qu’il est, il n’en est pas moins très révélateur d’une situation profondément dégradée et qui montre à quel point l’immigration est une catastrophe pour l’éducation nationale. Pour aider au décryptage les commentaires de Polémia figurent entre crochets [].

    Polémia.

    L’appréhension de la mobilité géographique à l’issue du concours

    Témoignages entendus lors des visites de la mission dans les universités :

    IUFM X [NDLR : On notera l’anonymisation non justifiée du lieu]. Dans les parcours préprofessionnels en licence, les étudiants mettent la localisation (affectation dans l’académie) en tête de leurs critères pour s’orienter vers le professorat des écoles ; d’autres font le choix de l’enseignement privé pour cette même raison.

    [NDLR : = plutôt le privé ou le primaire pour éviter le 9-3.]

    Université D : Parmi les préoccupations fortes pour les étudiants susceptibles de les détourner du concours, la question de la première nomination semble jouer un rôle extrêmement dissuasif.

    [NDLR : = la première nomination, c’est forcément dans une banlieue de l’immigration.]

    Université B : Parmi les raisons invoquées par les étudiants pour ne pas préparer les concours du second degré (ou qui y renoncent), le fait de ne pas choisir son lieu de vie est évoqué prioritairement. Ce refus de la mobilité est une évolution sociologique frappante et s’exprime avec force ; il explique la préférence pour le CRPE [NDLR : concours de recrutement de professeur des écoles = primaire] qui garantit une affectation dans l’académie ; ce n’est pas tant la perspective d’être affecté dans un établissement difficile qui est redoutée que celle de perdre ses repères et ses liens affectifs ; avec l’entrée plus tardive dans le métier, les projets personnels sont aussi plus avancés (mariage, enfants, …). [NDLR : une petite louche de sociologiquement correct…]

    Les mêmes arguments ont été entendus dans toutes les universités visitées par la mission. La mobilité imposée par le mouvement national d’affectation est souvent très clairement jugée dissuasive, les étudiants l’ont partout souligné lors des entretiens avec la mission d’inspection générale. Elle est même présentée quelquefois comme un élément dirimant pour se présenter aux concours. La mission a le sentiment que le rejet de la mobilité n’était pas exprimé de façon aussi explicite et vigoureuse il y a encore quelques années. [NDLR = la situation s’aggrave.]

    L’âge plus élevé des candidats, parfois en couple, inscrits dans un réseau de relations, engagés dans des projets personnels, enracinés dans une région, rend la mobilité plus difficile. Cet argument est parfois avancé pour expliquer le choix préférentiel des concours du premier degré, de l’enseignement privé (CAFEP), voire le maintien prolongé dans un statut d’enseignant contractuel qui entraîne une moindre mobilité, au prix, il est vrai, d’une forte mobilité interne. Le même argument motiverait aussi les refus, encore marginaux mais en forte progression dans certaines académies, de rejoindre le poste de première affectation ou les démissions quelques jours après le début d’année scolaire qui deviendraient moins rares. [NDLR = le phénomène de fuite s’accentue.]

    Si la mobilité géographique est forte en début de carrière, elle l’est beaucoup moins après les quelques mutations qui permettent à l’enseignant de rejoindre, plus ou moins facilement, l’académie de son choix et souvent de ses études. Les enseignants du premier degré sont recrutés dans le département où ils ont réussi leur concours ; mais la rotation commence à être importante dans certaines académies comme Créteil et Versailles, et il faut parfois attendre longtemps des possibilités de mutation hors du département de première nomination. [NDLR : même dans le primaire, il y a fuite des Académies de Créteil et Versailles.]

    Cette crainte de la mobilité géographique, inégalement exprimée, peut aussi être analysée parfois non pas comme un refus de l’éloignement mais comme une volonté d’éviter une première affectation « dans un collège difficile de l’Académie de Créteil» ainsi que l’ont spontanément exprimé plusieurs étudiants rencontrés lors des entretiens. [NDLR : cette fois c’est dit !]

    De fait, près de 46% des néo-titulaires du second degré sont affectés dans les Académies de Créteil et de Versailles.

    Cette crainte reflète l’image surmédiatisée de la violence en collège. Mais elle renvoie aussi à la vision d’un métier qui serait exercé en solitaire, sous la pression d’une hiérarchie qui ne soutiendrait pas son personnel. Elle reflète la conception d’un métier principalement axé sur la seule maîtrise d’une discipline, magnifiée par la préparation du concours, et qui serait dégradée par son impossible transmission à des élèves rétifs : « Je ne suis pas venu là pour ça », selon un témoignage recueilli auprès d’un jeune enseignant ; ou encore : « Je laisse cela à d’autres, qui ont grandi aux côtés de ces élèves et parviennent à les comprendre », a expliqué un étudiant.

    Or, ces expériences peuvent être valorisées, non seulement en termes d’avancement, mais d’expérience professionnelle comme le soulignait le rapport Pochard :

    « Une partie des jeunes enseignants affichent cependant de plus en plus leur conviction que, sous certaines conditions, les étalissements dits “difficiles” peuvent constituer des laboratoires permettant d’apprendre à maîtriser toutes les dimensions de leur métier. Ils sont, d’autre part, de plus en plus nombreux à penser que l’on peut se construire une “carrière horizontale” en variant les profils d’établissements pour acquérir de nouvelles compétences. »

    A condition cependant qu’une solide formation professionnelle ait permis à l’enseignant de connaître la diversité des situations d’enseignement et des publics, de réfléchir aux enjeux de la didactique, d’expérimenter la gestion de classe et le travail en équipe. A condition que le concours évalue aussi des compétences permettant d’enseigner à des publics variés. A condition que l’établissement d’arrivée et l’académie d’entrée aient une véritable politique d’accueil et d’accompagnement des néo-titulaires et des nouveaux arrivants, sur le plan pédagogique et matériel. A condition aussi qu’une solide formation disciplinaire ait été dispensée, qui donne au professeur la maîtrise de ce qu’il enseigne : un professeur tient d’abord sa classe par l’intérêt pédagogique de ce qu’il fait. Pour citer un exemple, c’est ce que l’Académie de Créteil a commencé de mettre en place. La DRH travaille à la fois sur l’image de l’académie et sur l’amélioration des conditions d’accueil, notamment le logement. Dans cette logique, deux initiatives ont été prises pour tenter de fidéliser les jeunes enseignants :

    – une convention pour ouvrir seize logements en Seine-Saint-Denis a été passée entre l’Etat, la préfecture, le ministère et un organisme HLM, dans une zone attractive [NDLR : notons le mot « zone attractive »] ;

    – une incitation financière existe depuis 2010 : pour remédier à la forte rotation dans certains établissements du nord de la Seine-Saint-Denis, une action a été lancée en faveur du logement : une prime d’attractivité de trois fois 2.000€ est versée sur trois ans, prise sur le budget de l’action sociale, sous condition de résidence dans la commune ; elle concerne une vingtaine de néo-titulaires. [NDLR : manifestement l’incitation financière n’a pas suffi.]

    La mobilité géographique sera en tout état de cause indispensable tant que le déséquilibre persistera entre les académies les plus demandées et celles qui ont le plus de besoins. C’est là la garantie d’une éducation nationale veillant au maintien d’une certaine équité entre les territoires de même qu’entre les personnels. Cette mobilité peut toutefois être mieux préparée, accompagnée et valorisée dans la carrière des personnels. [NDLR : vous reprendrez bien un peu de politiquement correct.]

    Polémia, 2/05/214

    Note de la rédaction :  instituts universitaires de formation des maîtres(IUFM) ont été remplacés par les écoles supérieures du professorat et de l’éducation (ESPE). Créées par la loi du  8 juillet 2013 d’orientation et de programmation pour la refondation de l’école de la République et formellement mis en place le 1er septembre 2013,  elles permettent la formation des enseignants du primaire et du secondaire.

    http://www.polemia.com/limmigration-responsable-de-la-penurie-de-profs-selon-un-rapport-officiel/

  • Djihadistes “français” en Syrie : combien sont-ils ?

    08/05/2014 – PARIS (NOVOpress) - Selon les informations qui ont été communiquées à Novopress, confirmées par plusieurs sources, près de 300 “français” se battent ou se sont battus au sein des groupes de djihadistes en Syrie, contre Bachar-El-Assad. Seulement 25 d’entre eux sont morts dans les combats. Une centaine d’entre eux sont malheureusement revenus du voyage et leur présence est confirmée dans l’hexagone : cela fait autant de Mohamed Merah potentiels. Menace terroriste oblige, une initiative, menée par le Bloc identitaire, et relayée à l’Assemblée nationale par le député Jacques Bompard, vise à interdire de séjour les djihadistes de retour de Syrie.

    http://fr.novopress.info/165737/djihadistes-francais-en-syrie-combien/

  • « ..comment tout cela peut se terminer »

    Le site du Monde a consacré en fin de semaine dernière un article à une nouvelle étude de l’institut Ifop sur le FN, basée sur les travaux préparatoires de Céline Colange, «chercheuse rattachée à l’université de Rouen». A dire vrai, celle-ci ne nous apprend pas grand-chose, relatant qu ‘«il ya survote FN dans les quartiers populaires (des) grandes agglomérations, qui se situent à la périphérie des centres-Villes». Jérôme Fourquet, directeur du département Opinion de l’IFOP, constate l’évidence quand il dit  que «ce sont des quartiers qui concentrent trois types d’insécurité. Economique, avec les fermetures d’entreprises et le chômage; physique, avec la délinquance; et culturelle, avec le problème du communautarisme»… mot valise pour évoquer les conséquences de l’immigration de peuplement… Trois « Insécurités » qui sont au cœur des préoccupations du FN , au cœur de son programme national, alternatif aux politiques menées depuis des décennies par l’UMPS. Une alternative incarnée par Marine et le Mouvement national , qui, de mieux en mieux comprise et acceptée, explique une dynamique de plus en plus favorable au camp patriotique.

     Celle-ci est le sujet de toutes les inquiétudes du nouveau premier secrétaire du PS , Jean-Christophe Cambadélis  qui l’a redit dimanche dernier, invité du Grand Rendez-vous Europe 1, i-TELE, Le Monde. «Mon idée, a-t-il affirmé, c’est que le FN, aujourd’hui, est en dynamique et on ne sait pas comment tout cela peut se terminer ». «Cela peut se terminer avec uneMarine Le Pen au deuxième tour. Et dans le degré d’animosité de la droite vis-à-vis du Parti socialiste et le refus du désistement républicainon ne sait pas comment tout cela peut se terminer ».

     Au sujet des élections européennes, M. Cambadélis a donné sa conviction selon laquelle  le PS doit expliquer aux Français qu’«il ne faut pas se tromper de colère. Ce qui est en jeu, ce n’est pas Paris, c’est Bruxelles». Or , le problème qui se pose justement pour les bruxelloisdu PS comme pour ceux de l’UMP, c’est qu’un nombre croissant de Français comprend  que «Paris» et «Bruxelles» c’est essentiellement devenu la même chose!

     Nos compatriotes perçoivent de plus en plus clairement affirme Bruno Gollnisch que  nos gouvernements successifs, ravalés dans des domaines pourtant essentiels  au rang d’une grosse administration régionale, et notre assemblée, réduite au rôle de simple chambre d’enregistrement, ont abandonné notre souveraineté à la technostructure euromondialiste, à la Commission  européenne.

     C’est pourquoi l’on ne peut que déplorer l’abstention massive qui s’annonce (selon les sondages) en ce qu’elle consiste à valider le  système bruxellois…« qui ne dit mot consent » !

      Il y a cependant une logique à ce que, selon l’Ifop, 59% de ceux qui ont l’intention de voter affirment que les enjeux français détermineront leur vote, tandis que plus d’un sur trois dit vouloir sanctionner la politique (répondant  aux diktats européistes)  de François Hollande.  Aussi est-il faux de dire, à l’instar de beaucoup de doctes commentateurs et anlaystes,  que les électeurs « détournent l’enjeu » du scrutin, en  donnant la priorité aux préoccupations nationales…L’enjeu central  est bien celui-là !

     Les Français sont aussi clairvoyants quand 40% d’entre eux (selon une enquête CSA pourNice-Matin et BFM TV ) pensent que la politique européenne ne changerait « probablement pas » si l’actuelle  majorité de droite européiste au parlement européen  était battue le 25 mai par la gauche européiste. Seuls 29% jugent qu’elle changerait « probablement ». Une clairvoyance dont sait aussi faire preuve le député Henri Guaino lorsqu’il  affirme  qu’il ne votera pas pour l ’ultra fédéraliste européen et  tête de liste UMP francilienne Alain Lamassoure, parce qu’il   qu’il « incarne l’Europe dont plus personne ne veut… »

      Notons enfin que le dernier sondage Harris interactive pour LCP et Le Parisien, indique que les listes Front National arriveraient en tête le 25 mai avec une moyenne de 22% des suffrages, devant celles de l‘UMP (21%), du PS (17%), de l‘Alternative MoDem/UDI (9%), d’EELV (9%) et d’un Front de Gauche (8%) qui à l’évidence, d’élections en élections, ne parvient absolument pas à recueillir les suffrages des catégories populaires, à cristalliser la révolte de la France d’en bas.  

    http://gollnisch.com/2014/05/07/comment-cela-se-terminer/

  • Sur-délinquance ? C’est la sur-immigration qui l’explique !

    Depuis 40 ans, les violences contre les personnes ne cessent d’augmenter, passant de 100.000 à 500.000 par an.   

    Au premier trimestre 2014, les faits de violence ont augmenté de 6 % par rapport au premier trimestre 2013. 8 %, même, pour les actes de violence « gratuits ».

    Il n’y a pas lieu d’être surpris. Depuis 40 ans, les violences contre les personnes ne cessent d’augmenter, passant de 100.000 à 500.000 par an.

    Tous les plans annoncés, toutes les lois votées ont échoué à enrayer ce phénomène. Pour une raison simple : personne ne veut en analyser l’origine. Les vraies causes, les voici : il y a de plus en plus de délinquants, de moins en moins de policiers opérationnels, et le nombre de places de prison n’a pas évolué.

    Lire la suite 

  • Le pacte de la double peine

    « Les 20 milliards d’euros des 35 heures ou le milliard de l’AME ne sont que des exemples. Mais cumulés année après année, cela représente des sommes considérables qui ne vont pas au redressement de la compétitivité du pays. »

    Polémia reproduit ci-après l’éditorial de François d’Orcival publié dans le dernier n° 4040 de « Valeurs actuelles » et daté du 1er au 7 mai 2014. Si Polémia se livre à cet exercice, c’est tout simplement parce que l’auteur de cet éditorial est un des rares journalistes à avoir osé signaler que les colossales dépenses publiques engrangées par la République étaient dues en partie à l’immigration clandestine et que, dans le « pacte de stabilité » de Manuel Valls, cette responsabilité n’était pas citée parmi les postes qui devraient faire l’objet de restrictions draconiennes.

    Polémia

    Le «pacte Valls» ne touche pas au nombre de fonctionnaires, ni aux 35 heures, ni à l’aide médicale aux clandestins… Il rationne ceux qui paient le plus d’impôts.

    Après les levées massives d’impôts, le rationnement. Ce sont toujours les mêmes qui paient, ceux qui travaillent et supportent l’impôt ou ceux qui, par leur travail, ont constitué leurs retraites et continuent de payer leurs impôts tout en voyant les prestations des uns ou les pensions des autres rabotées. Double peine. Et pour le bénéfice de qui ? Le «pacte» que Manuel Valls soumettait, ce mardi, à l’Assemblée n’est le sien que par un artifice de présentation. Il a été préparé par ceux qui l’ont précédé à Matignon comme à Bercy, avec les consignes de l’Élysée. Après 55 milliards d’impôts supplémentaires en trois lois de finances, il fallait annoncer 50 milliards d’économies. Les impôts, c’était Ayrault, les économies, c’est Valls.

    Dès lors que l’on dit économies, on entend que c’est la «bonne direction», le «bon sens même», une «première» depuis quarante ans, le «tournant» du quinquennat, la «révélation» de la social-démocratie et même un «virage social-libéral»… Mais la part des prélèvements obligatoires dans notre PIB va-t-elle baisser ? Non. Exception faite de l’hypothétique réforme territoriale, le plan Valls ne comprend aucune refonte structurelle. Tout est soigneusement maintenu en l’état, en réduisant seulement crédits et dotations.

    Le pacte, d’abord de confiance, puis de responsabilité, maintenant de stabilité, respecte tous les interdits. Il ne réduit pas le nombre de fonctionnaires, et s’il les maltraite en gelant le point d’indice, sans pouvoir toucher ni à l’ancienneté ni à l’avancement, il aurait pu ne pas remplacer les agents qui partent en retraite, ce qui permettrait de rémunérer la performance et le mérite des autres. Il se défend de le faire. De même qu’il ne tranche pas dans les aberrations du code des impôts ni dans celles du code du travail, mais accroît en revanche le nombre des inspecteurs du travail et leur champ de compétence, c’est-à-dire celui de leurs interventions.

    Héritage direct du gouvernement de Lionel Jospin et de Martine Aubry, la contrainte des 35 heures subventionnées n’est même plus citée nulle part, comme si elle ne coûtait plus 20 à 23 milliards d’euros par an en aides directes ou indirectes, comme si elle n’avait pas détruit quelque 500 000 emplois industriels en dix ans et ramené la part de l’industrie manufacturière dans notre PIB à moins de 10 % (9,3 % exactement, soit la moitié de ce qu’elle représente en Allemagne, 18,7 %, selon les chiffres cités par Jacques de Larosière, ancien directeur général du FMI, dans notre précédent numéro). On ne peut pas vouloir stimuler le travail tout en perpétuant le tabou des 35 heures. La droite avait tenté de contourner l’obstacle en libérant les heures supplémentaires par leur défiscalisation. La gauche s’est empressée de supprimer ce dispositif pour revenir aux 35 heures pures et dures. L’emploi en paie le prix.

    Autre tabou légué par les années Jospin, l’aide médicale de l’État (AME) — qui fait notamment l’objet du dossier de ce numéro : destinée aux immigrés sans papiers, c’est-à-dire illégalement présents sur notre territoire et normalement poursuivis à ce titre, cette allocation aura eu deux effets directs depuis son instauration, en 2000 : elle a fait passer le nombre de ses bénéficiaires de moins de 100 000 par an au début à près de 300 000 maintenant, pour une dépense qui approchera le milliard d’euros cette année, selon l’enquête de Claude Goasguen, député UMP de Paris. À cette charge publique s’est ajouté l’engorgement des établissements hospitaliers, notamment parisiens, par une population à 95 % étrangère à l’espace européen, laquelle considère que le moindre soin dans les services d’urgence est un dû, plus encore qu’un droit.

    La droite avait cherché à endiguer le phénomène en instaurant un droit, minime, d’entrée, ce qui avait stabilisé le nombre de bénéficiaires. La gauche a supprimé ce droit dans le mois de son arrivée — elle n’avait rien de plus pressé — et le plan Valls maintient ce dispositif intact, ce qui continue de gonfler les dépenses médicales et sociales (à travers l’afflux des clandestins) que ce même gouvernement entend d’autre part rationner…

    Les 20 milliards d’euros des 35 heures ou le milliard de l’AME ne sont que des exemples. Mais cumulés année après année, cela représente des sommes considérables qui ne vont pas au redressement de la compétitivité du pays, encore moins au renforcement de ses moyens. Un pays qui doit emprunter quelque 200 milliards par an pour ses dépenses de fonctionnement et qui doit en débourser 50 pour payer les intérêts de sa dette n’a évidemment pas les ressources indispensables ni les ressorts politiques pour empêcher un leader mondial français comme Alstom d’être racheté par un groupe étranger.

     François d’Orcival, 1/05/2014

    Source : Valeurs actuelles

    http://www.polemia.com/le-pacte-de-la-double-peine/