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immigration - Page 1342

  • La préférence nationale se confond avec la République

    Rien ne justifie, dans la déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789, que des étrangers puissent bénéficier du minimum vieillesse, après 10 ans sur le territoire, de la même façon que des Français.

    Trop souvent, les mots sont malmenés, falsifiés, truqués par la novlangue. Il en va ainsi du terme « République » ; ce mot issu du latin « res publica », soit la « chose publique », désigne un régime politique où les fonctions du chef de l’État ne sont pas héréditaires mais découlent d’une élection. En outre, un tel régime a pour objectifs l’intérêt général et le « bien commun » des citoyens de la nation dont les institutions sont républicaines.

    Les nationaux bénéficient des droits attachés à la citoyenneté et doivent se soumettre aux lois de l’État. Par essence, une nation républicaine pratique donc la « préférence nationale ». C’est d’ailleurs bien de la sorte que la déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 fut rédigée, contrairement aux abusives interprétations récentes du Conseil constitutionnel. L’esprit du texte consiste en l’affirmation de l’État de droit et de la souveraineté de la nation. Des droits universels sont attribués aux hommes, mais ils ne sauraient être confondus avec les avantages spécifiques que peut procurer la nationalité.

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  • Qu’est-ce qu’une infraction à la laïcité : une crèche de Noël dans un lieu public ou une subvention à une mosquée ?

     

    Interviewée sur BFMTV, au sujet de l’installation d’une modeste crèche dans le hall de la mairie de Béziers, Martine Cerf, secrétaire générale de l’association Egale-Egalité Laïcité Europe, a déclaré : “Ce n’est pas une tradition. Ce n’est absolument pas conforme à la loi. C’est en infraction avec l’article 28 de la loi de 1905. Sur les édifices publics, on n’a pas à afficher des symboles religieux”.

    Les journalistes lui demandent alors si c’est grave une crèche (qui plus est pour 3 semaines) quand on voit que des villes subventionnent des mosquées en opposition à la loi de 1905. Mme Cerf répond : “Je m’élèverai contre toute mesure qui tend à contourner les principes de 1905.” Que ne l’a-t-elle fait avant pour les subventions aux mosquées alors que cela fait des années que des municipalités subventionnent des mosquées ? Et tiendra-t-elle sa promesse ?

    http://fr.novopress.info/179488/quest-ce-quune-infraction-a-la-laicite-une-creche-de-noel-dans-un-lieu-public-ou-une-subvention-a-une-mosquee/

  • Philippe de Villiers : “On est en train de vivre un changement de peuplement”

     

    Philippe de Villiers est intervenu hier 4 novembre sur RMC dans l’émission d’Eric Brunet, face à David Gozlan, secrétaire général de la Fédération Nationale de la Libre Pensée. A la suite d’un recours de La Libre Pensée, le tribunal administratif de Nantes, a fait démonter la traditionnelle Crèche de Noël installée tous les ans dans le hall d’accueil du Conseil général de Vendée. Le Conseil général a démonté mais a indiqué qu’il ferait appel.

    Quelques extraits en texte des paroles de Philippe de Villiers (audio complet en bas de cet article) :

    “Personne ne le dit à votre antenne, moi je vais le dire. Je n’ai pas peur des francs-mac’, moi. Ca ne m’a jamais fait peur. Et d’ailleurs l’œuvre du Puy du Fou est une œuvre de Chrétienté qui fait rayonner l’âme de la France.

    Ce qui est en train de se passer, là, c’est l’islamisation progressive de la France. Partout. Partout les digues lâchent. La vague continue. On est en train de vivre un changement de peuplement. Je pèse mes mots. On est en train d’accepter en France pour l’islam ce que l’on se met à refuser à la chrétienté. (…) Nous allons devenir une république islamique, dans 30 ans, ce sont les démographes qui parlent.

    Il y a des millions de Français qui en ont ras le bol que l’on détruise l’identité de la France. Et bien moi, je suis le porte-parole de cette France-là. (…) Puisque c’est le moment des vérités (…) On est en train de vivre un chassé-croisé extraordinaire en Europe. D’un côté l’avortement de race et de l’autre côté l’immigration de masse avec la complicité de beaucoup de politiciens. (…) Quand on se réveillera, il sera peut-être trop tard. Il faut se réveiller, et je suis là pour ça.”


    http://fr.novopress.info/179409/philippe-villiers-chasse-croise-en-europe-dun-cote-lavortement-race-lautre-cote-limmigration-masse/

  • Nicolas Bay : « On est chez nous, cri du cœur du peuple français » (Maj : Nicolas Bay répond à Désintox – Libération)

    Nicolas Bay répond aux « facts checkers » - 05/12/2014

    Allocation aux personnes âgées : une préférence étrangère bien réelle Invité de Léa Salamé sur France Inter lundi, j’ai été amené à évoquer l’ASPA (allocation de solidarité aux personnes âgées, ex-minimum vieillesse) et la manière dont en bénéficient des milliers d’étrangers sans jamais avoir cotisé. Quiconque a dans son entourage l’un de ces retraités pauvres, souvent anciens agriculteurs ou commerçants, qui vit avec quelques centaines d’euros par mois comprendra immédiatement le caractère scandaleux du sujet. Comme la fameuse aide médicale d’État, ce gouffre financier sans fond – 744 millions d’euros en 2013 – qui permet aux clandestins d’être soignés gratuitement dans notre pays, il s’agit d’une forme de « discrimination positive » (positive pour les immigrés, et donc négative pour les nationaux) ou de préférence étrangère. Cela m’a valu les honneurs de la rubrique « Désintox » de Libération. Ces journalistes appartiennent à cette nouvelle caste dans la caste qui se piquent de – pardonnez l’anglicisme – « fact checking » et s’en vont ainsi vérifier les affirmations de tel ou tel. Tel ou tel étant, étrangement, souvent un patriote, et le sujet sur lequel ils s’efforcent de démontrer « l’intox » étant, bizarrement, souvent l’immigration. Ainsi, pour rester avec la « Désintox » de Libération (mais les « Décodeurs » du Monde sont dans la même veine), je note avec intérêt qu’entre 2011 et aujourd’hui, ce ne sont pas moins de quatre articles qui ont été consacrés au sujet des étrangers bénéficiaires de l’ASPA (toujours pour expliquer que ceux qui le dénoncent se trompent évidemment), ou encore que, sur leurs quatre dernières chroniques en partenariat avec la chaîne Arte, deux ont été consacrées à contrer des propos de Marine Le Pen.

     Ce sont ainsi 30 % des bénéficiaires du seuil maximal de l’ASPA (800 euros par mois) qui ne sont pas français. Après être devenu un hôpital pour les clandestins via l’AME, la France peut ainsi devenir aussi une généreuse maison de retraite.

    Mais puisque je suis donc attaqué et que manifestement Libération n’a pas jugé utile de revenir vers moi, voici ma réponse, très factuelle elle aussi. L’ASPA est, un peu à la manière du RSA, un complément de revenus dont peuvent bénéficier les personnes âgées de plus de 65 ans (ou moins dans le cas d’une incapacité de travail ou d’un handicap). Dans un rapport à l’Assemblée nationale d’avril 2013, la députée Isabelle Le Callennec faisait remarquer que de très nombreux agriculteurs, particulièrement concernés par les petites retraites et donc ce dispositif, renonçaient à l’ASPA. Il en va de même pour beaucoup d’autres retraités pauvres, ayant pourtant cotisé. Dans le même temps, les étrangers résidant en France depuis plus de dix ans peuvent y prétendre par une simple déclaration sur l’honneur, sans jamais avoir travaillé ni cotisé dans notre pays ! Ce sont ainsi 30 % des bénéficiaires du seuil maximal de l’ASPA (800 euros par mois) qui ne sont pas français. Après être devenu un hôpital pour les clandestins via l’AME, la France peut ainsi devenir aussi une généreuse maison de retraite.

    Boulevard Voltaire

    Suite de l'article de FdeSouche

  • Le ramadan, oui, la crèche de Noël, non !

    Plusieurs religions mais plusieurs façons de les traiter ; autant dire que le combat est inégal et perdu d’avance pour les chrétiens.

    Les élites françaises sont amoureuses de la loi de 1905 sur la séparation de l’Église et de l’État. Le mot « laïcité » est de ceux qui reviennent le plus souvent dans les litanies de la mythologie républicaine. Et ce mot, comme tant d’autres, a le mérite d’avoir tous les sens qu’on veut bien lui prêter ; c’est-à-dire de n’en avoir finalement aucun. Une expression fourre-tout que l’on invoque quoi que nous ayons à dire. Au nom de la laïcité, on peut par exemple fustiger que la République transmette ses condoléances suite à la mort du pape Jean-Paul II tout en acceptant, le plus naturellement du monde, que l’on donne aux imans la possibilité d’être formés et d’exercer dans un cadre prévu par une République plus allergique à la soutane qu’à la djellaba.

    La réalité est que la laïcité est l’armature idéologique qui permet de lutter contre le christianisme tandis que les minorités religieuses, islamique ou juive surtout, sont à la fois soutenues et promues par une autre armature idéologique : l’antiracisme. Plusieurs religions mais plusieurs façons de les traiter ; autant dire que le combat est inégal et perdu d’avance pour les chrétiens.

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  • Chaos ethnique et religieux en Allemagne : quand la Guerre Sainte éclate à Hambourg

     Certains quartiers du centre-ville de Hambourg, la seconde plus grande ville d’Allemagne, ont pris l’aspect de zones de guerre après que des centaines de partisans du groupe djihadiste État Islamique [ISIS] ont déclenché des combats de rue contre des Kurdes en octobre dernier.

    La violence, décrite par la police comme d’une férocité rarement vue en Allemagne de mémoire récente, donne une idée des retombées qu’entraînent ailleurs les combats en Syrie et en Irak.

    Certains analystes croient que des groupes musulmans rivaux exploitent délibérément les tensions ethniques et religieuses au Moyen Orient afin de semer le trouble dans les rues européennes.

    Ces troubles ont commencé le soir du 7 octobre, lorsqu’environ 400 Kurdes se sont rassemblés à l’extérieur de la mosquée Al-Nour près de la gare centrale située dans le quartier hambourgeois de St. George pour protester contre les attaques menés par ISIS contre la ville kurde syrienne de Kobani.

    Selon la police, cette protestation initialement pacifique est devenue violente lorsque les Kurdes se sont trouvés confrontés à un groupe rival de quelques 400 salafistes armés de battes de baseball, de coups de poing américains, de couteaux, de machettes et de broches métalliques utilisées pour empaler la viande dans les restaurants kebab.

     

    Dans la mêlée qui a suivi, plus d’une douzaine de personnes ont été blessées, y compris une personne dont la jambe a presque été coupée par une machette, et une autre personne qui a été poignardée à l’estomac par une broche à kebab.

    Quelques 1 300 fonctionnaires de police brandissant des bâtons et accompagnés de canons à eau ont été déployés pour mettre fin aux échauffourées, qui se sont prolongées jusqu’à l’aube du 8 octobre. Au final, des centaines d’armes ont été saisies et 22 personnes ont été arrêtées.

    « J’avais l’impression que nous vivions en Hamburgistan », a dit l’imam de la mosquée Al-Nour, Daniel Abdin, au magazine allemand Der Spiegel. « L’atmosphère était très, très explosive. »

    La police a déclaré être choquée par ce qu’elle a décrit comme un niveau de violence inédit.

    Dans une interview accordée au journal Passau Neue Presse, le président du syndicat de la police allemande, Rainer Wendt, a rapporté que la police à Hambourg a fait l’expérience d’une « force brutale menaçant la vie » par des auteurs qui étaient « armés jusqu’aux dents ». Wendt a prévenu que le conflit entre les Kurdes et ISIS menace de « déclencher une guerre de proximité sur le sol allemand ».

    Un porte-parole de la police à Hambourg, Gerhard Kirsch, a déclaré que le niveau de violence a atteint une nouvelle « dimension dangereuse », que nous n’avons jamais vue à l’occasion d’autres manifestations. »

    Le président du syndicat de la police allemande à Hambourg, Joachim Lenders, a décrit une brutalité sans précédent. « La violence observée tôt le jeudi a été d’une cruauté et d’une inhumanité que j’ai rarement eu l’occasion d’observer, » a-t-il dit, en ajoutant qu’il y aurait certainement eu des morts si la police ne s’était pas déployée à temps. Lenders a ajouté :

    « Si 800 personnes hostiles se combattent les unes les autres en plein Hambourg avec des machettes, des couteaux et des broches en fer, il doit y avoir des conséquences pour les auteurs. Des extrémistes ayant des motivations politiques et des fanatiques religieux ont amené à Hambourg un conflit qui ne peut pas être résolu ici. »

    Le jour même où se déroulaient les affrontements à Hambourg, des dizaines d’immigrés musulmans pour la plupart tchétchènes affrontaient des Yézidis kurdes, une minorité non-arabe et non-musulmane qui a été persécutée par ISIS, à Celle, une ville de Basse-Saxe dans laquelle vivent plus de 7 000 Yézidis. La police a déclaré que les violences, au cours desquelles neuf personnes ont été blessées, avaient été attisées via les médias sociaux par des prédicateurs musulmans radicaux qui ont incité les Islamistes à attaquer les Yézidis.

    Le conflit à Celle a représenté une réminiscence, mais en bien plus violent, desaffrontements entre Musulmans et Yézidis qui s’étaient produits dans la ville de la Westphalie orientale d’Herford en août.

    Des manifestations « Solidarité avec Kobani » ont également eu lieu à Munich, où des manifestants brandissant de grands drapeaux kurdes ont occupé les bureau de l’Union Chrétienne-Sociale [CSU], le pari frère bavarois de l’Union Chrétienne-Démocrate [CDU] actuellement au pouvoir en Allemagne ainsi que dans les villes allemandes de Berlin, Brême, Göttingen, Hamm, Hanovre, Kiel, Oldenburg et Stuttgart.

    Environ 4,3 millions de Musulmans, un million de Kurdes et 60 000 Yézidis vivent en Allemagne. Le rapport annuel 2013 (publié en juin 2014) de l’agence de renseignement intérieur allemande, le Bundesamt für Verfassungsschutz [BfV], l’Allemagne abrite également 30 groupes islamistes actifs et 43 000 Islamistes, dont 950 membres de l’organisation terroriste libanaise Hezbollah, 1 300 membres des frères musulmans et 5 500 Salafistes.

    Le salafisme est une idéologie anti-occidentale qui cherche ouvertement à remplacer la démocratie en Allemagne (et dans d’autres pays occidentaux) par un gouvernement islamique basé sur la charia.

    Bien que les Salafistes ne constituent qu’une fraction des musulmans en Allemagne, les autorités sont de plus en plus préoccupées par le fait que beaucoup de ceux qui sont attirés par l’idéologie salafiste sont des jeunes musulmans impressionnables qui sont susceptibles de perpétuer des actes terroristes au nom de l’Islam.

    Les autorités allemandes ont dû faire face à des critiques pour s’être montrées bien trop complaisantes vis-à-vis de la montée du salafisme dans le pays. Le 2 octobre par exemple, la télévision publique allemande ARD a révélé que les responsables politiques allemands ont poursuivi pendant de nombreuses années une politique secrète consistant à encourager les Islamistes allemands à voyager à l’étranger plutôt que d’investir dans des efforts visant à contrer la radicalisation. Selon l’ARD, l’idée générale était que si les Djihadistes allemands avaient l’intention de commettre des actes terroristes, le mieux serait qu’ils le fassent ailleurs que sur le sol allemand.

    L’objectif visé était de « protéger notre population » en exportant le problème, a déclaré à l’ARD le chef de l’anti-terrorisme de la police bavaroise, Ludwig Schierghofer. Le raisonnement consistait à « amener les personnes présentant un risque à commettre des attaques terroristes en-dehors du pays ». « Si quelqu’un s’était radicalisé et souhaitait partir, la politique consistait à permettre à cette personne de partir et même à accélérer son départ par divers moyens. »

    On estime que 450 Musulmans allemands se sont rendus en Syrie et en Irak, et on pense qu’au moins 100 d’entre eux sont maintenant rentrés en Allemagne.

    Un nombre croissant de politiciens allemands reçoivent entre-temps des menaces de mort de Salafistes présents en Allemagne.

    Un de ces politiciens, Tobias Huch du Parti Libéral-Démocrate (libéral classique) [FDP], a été menacé à plusieurs reprises de décapitation en rétorsion du fait d’avoir mené une campagne de levée de fonds destinés à fournir de la nourriture et de l’eau pour les Kurdes du Nord de l’Irak.

    « Je n’ai pas peur, mais je suis devenu plus prudent, » a déclaré Huch, qui bénéficie désormais d’une protection policière. Il dit qu’il a changé ses allers et venues quotidiens afin d’être moins prévisible. Il a, entre autres changements d’habitudes de vie, renoncé à fréquenter régulièrement les restaurants, les bistrots et autres lieux publics.

    Un autre politicien, Ismail Tipi, membre de la CDU (Union Chrétienne-Démocrate) au pouvoir, paye cher le prix de sa critique de la montée du Salafisme en Allemagne. « Je reçois des menaces quasiment tous les jours, » dit Tipi. « Les menaces de mort à mon encontre ne connaissent pas de limites. Les Salafistes veulent me décapiter, m’abattre, me lapider, m’exécuter et ont imaginé de nombreux autres manières de me tuer. »

    Wolfgang Bosbach, membre éminent de la CDU, pense que les politiciens qui reçoivent des menaces de mort ne doivent pas céder aux intimidations. « Ils ne doivent en aucun cas céder et changer de position politique, faute de quoi les extrémistes auraient atteint leurs objectifs. »

    Le chef du FDP, Christian Lindner, partage cet avis. « Il est inacceptable pour les libéraux d’accepter que des extrémistes religieux portent atteinte aux valeurs centrales de notre constitution. Nous ne cèderons pas aux menaces et aux intimidations. Nous exigerons bien plutôt une réaction déterminée de la loi. »

    Par contraste, la vice-présidente du parlement allemand, Claudia Roth du parti des Verts, croit que la radicalisation croissante des musulmans en Allemagne souligne les problèmes de la société allemande. Celle-ci a en effet déclaré dans le cadre d’un entretien accordé au journal Die Welt : « Les violents affrontements entre les groupes kurdes et les groupes islamistes dans les villes allemandes et dans les rues allemandes trouvent davantage leur origine dans des problèmes internes à l’Allemagne que dans la situation dans le Nord de la Syrie et dans le Nord de l’Irak. »

    « Nous devons nous demander en tant que société : comment se fait-il que des gens qui vivent en Allemagne, sont en grande partie nés et ont grandi ici, soutiennent un groupe terroriste fondamentaliste brutal et inhumain tel que l’IS et se mettent à attaquer des manifestants avec des couteaux, des broches et des machettes. Ici en Allemagne, l’IS menace de devenir un refuge pour des jeunes gens frustrés qui manquent de perspectives d’avenir. »

    Pendant que les politiciens débattent des causes et des solutions du problème de l’Islam radical, la police reste dans toute l’Allemagne en alerte, à l’affût des violences.

    Source : gatestoneinstitute.org – auteur : Soeren Kern – date de publication : 15 octobre 2014

    http://fr.novopress.info/179346/allemagne-guerre-sainte-eclate-hambourg/#more-179346

  • Suisse : la mairie expulse une famille suisse pour loger des clandestins

    Elle est pas belle la vie ? Dans notre Europe contemporaine il vaut mieux être clandestin que citoyen d’un pays ! Cette affaire est incroyable :  à diffuser un maximum !

    Karin Ottiger est factrice mais elle n’en a pas cru ses yeux à la lecture de la lettre des autorités de la commune de Moosleerau dans le canton d’Argovie. Sa famille doit quitter son logement pour faire place à des requérants d’asile, comme le raconte le Blick dans son édition du 3 décembre

    La commune de 1000 habitants doit accueillir une famille de réfugiés, ce qui constitue une première pour elle, mais elle ne dispose pas des infrastructures.

    Les autorités payaient jusqu’à présent une taxe d’exemption de 10’000 francs par an mais le canton a menacé d’augmenter ce montant si la commune ne faisait pas un effort. Ce que Moosleerau ne peut pas se permettre.

    «Pas eu le choix»

    Comme l’appartement loué par les Ottiger appartient à la commune, celle-ci a donc choisi d’expulser la famille. Elle n’aura ainsi pas à payer la taxe. Les Ottiger ont jusqu’à fin mars pour trouver un nouveau logement. Ils ne sont pas sûrs d’en retrouver un mais veulent rester dans la commune où le fils est scolarisé.

    Le conseiller communal Daniel Dätwyler se dit désolé. «Nous avons bien entendu exploré d’autres solutions mais nous n’avons rien trouvé. Comme cet appartement est le seul que la commune possède, nous n’avons malheureusement pas eu le choix.»

    Source :Lematin

    http://www.contre-info.com/suisse-la-mairie-expulse-une-famille-suisse-pour-loger-des-clandestins

  • Entretiens sur la remigration. Philippe Vardon : « La politique laxiste constitue un appel d’air » (Présent 8243)

    Diplômé en sciences politiques, marié et père de deux enfants, Philippe Vardon est un responsable politique devenu incontournable pour ceux qui refusent « le suicide français ».

    — Le terme de remigration a été lancé il y a moins d’un an. Désormais repris (en France, en Italie mais aussi aux Etats-Unis) par de nombreux cadres du camp patriotique, il en train de s’imposer. Quel bilan d’étape faites-vous ?

    Entretiens sur la remigration. Philippe Vardon : « La politique laxiste constitue un appel d’air »— En réalité, le terme a été utilisé – en France, car il s’agit d’un terme courant dans d’autres pays (des programmes de remigration existent même en Finlande ou en Hollande) et dans le monde anglo-saxon – pour la première fois par le spécialiste de l’immigration Jean-Paul Gourévitch, dans un livre de 2007. Les identitaires l’ont introduit dans le champ politique depuis 2011, mais vous avez raison : les derniers mois ont démontré une véritable explosion de l’utilisation du vocable. Un exemple frappant à travers le réseau social internet Twitter : sur celui-ci, en mai, « remigration » n’avait encore été utilisé qu’à sept reprises, pour ce mois de novembre nous sommes déjà à 3 000 ! La sémantique étant aussi une traduction du champ politique, on peut considérer que cette recrudescence de l’utilisation du mot « remigration » correspond à la montée de l’idée, de la nécessité même, du projet.

     

    — Vous déclarez que la remigration est, face aux problèmes actuels, la solution la plus humaine. Pourquoi ? Toute société multi-culturelle et multi-ethnique est-elle condamnée à l’explosion ?

    — Oui. Il ne s’agit pas d’une prédiction, mais simplement de l’observation de l’histoire, ancienne comme récente. Les sociétés multiculturelles deviennent multiconflictuelles, les sociétés multiraciales deviennent multiracistes. L’homogénéité et la cohésion sont des facteurs de paix, une trop grande hétérogénéité est un facteur de troubles.

    Etant entendu que l’assimilation massive – qui n’est pas l’assimilation individuelle de quelques individus – ne saurait être la réponse à l’immigration massive et que nous sommes déjà entrés dans une phase de conflictualité importante (à travers le développement de territoires échappant à nos lois, où s’épousent criminalité et communautarisme, un patriotisme étranger s’affichant sans vergogne comme lors des matchs de football de l’Algérie, et la poussée islamiste), il faut alors envisager des solutions politiques pour empêcher que le pays ne sombre dans le chaos. La remigration, c’est-à-dire le retour dans leur patrie (la terre de leurs pères) de nombreux immigrés et descendants d’immigrés présents sur notre sol, de manière pacifique et concertée, s’imposera sans doute dans les années à venir comme une solution non seulement crédible et réaliste, mais nécessaire.

    — Nicolas Bay a – dans nos colonnes – assumé le concept de remigration. Marine Le Pen a encore récemment rappelé la nécessité de l’ « inversion des flux migratoires ». Au-delà des différences sémantiques, pensez-vous que ces thématiques sont encore solidement portées par les cadres du FN ?

    — Vous le rappelez avec justesse : des personnalités de premier plan telles que Nicolas Bay, Louis Aliot, Aymeric Chauprade, ou encore Marie-Christine Arnautu, ont récemment insisté sur la nécessité d’une « inversion des flux migratoires », terme un peu barbare recouvrant peu ou prou la notion de remigration. Marine Le Pen elle-même en a parlé dans une conférence de presse. Il s’agit d’une position ancienne du FN et l’on peut trouver logique que, face à la situation explosive que nous connaissons – l’immigration légale (200 000 entrées par an) venant maintenant se doubler d’une immigration clandestine très importante –, les cadres du parti s’y réfèrent à nouveau. J’ajouterai que tout projet de remigration doit débuter par un arrêt de l’immigration, et cela le Front national est aujourd’hui le seul parti à le proposer clairement dans son programme politique.

    — L’Australie a lancé un programme très dur contre l’arrivée par mer de clandestins. Pouvez-vous nous en dire plus ? Quels sont les résultats obtenus ?

    — Là où avec les opérations « Mare Nostrum » et « Triton », l’Union européenne aide et accueille les bateaux de clandestins, avec son opération « Frontières souveraines », l’Australie les refoule, avec un slogan très clair : « Vous ne ferez pas de l’Australie votre pays ! » La politique laxiste européenne constitue un appel d’air, entraînant de plus en plus de clandestins à tenter la périlleuse traversée de la Méditerranée, alors qu’au contraire la politique de fermeté australienne (aucun clandestin n’est plus « régularisé ») est éminemment dissuasive. Le résultat est sans appel : alors que 3 000 clandestins sont tragiquement décédés en Méditerranée en 2014, dans le même temps il n’y a eu aucun clandestin mort en mer en essayant de rejoindre l’Australie (contre plusieurs centaines les années précédentes, avant la mise en place de cette politique).

    — Ce que certains nomment – peut-être maladroitement – la zemmourisation des esprits, à savoir la diffusion croissante des opinions identitaires, est incontestable, les sondages les plus récents le prouvent. Faire que cette opinion se meuve en action est plus délicat. A la grande interrogation de Lénine« Que faire ? », que répondez- vous ?

    — Je crois qu’Eric Zemmour, tout comme le mouvement identitaire, ne « contaminent » pas les esprits – même si nous contribuons à la diffusion de messages, de concepts et d’idées – mais expriment surtout le réveil populaire en cours. Et c’est bien ce qui effraie nos adversaires réciproques, qui sont souvent les mêmes d’ailleurs… Mais que faire, donc ? Tout ! Aucun champ de bataille (social, culturel, associatif, idéologique, et politique bien sûr) ne devant être déserté, nous devons agir, chacun à notre échelle et là où nous pouvons être utiles, pour que la France reste française et que l’Europe reste européenne. A travers nos campagnes, propositions et travaux sur la remigration, nous tentons d’élaborer aujourd’hui les outils politiques pour ceux qui auront à gouverner demain. Car je suis pour ma part persuadé qu’après les tentations suicidaires décrites par Zemmour, c’est le réveil français que nous sommes en train de vivre.

    Propos recueillis par Pierre Saint-Servant

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  • Immigration : la fermeté sauve des vies, la preuve en Australie

    australia

    Le nombre de réfugiés ayant trouvé la mort en essayant d’atteindre l’Australie a considérablement baissé, tandis que le monde est confronté à une forte augmentation des décès liés aux migrations. La  Méditerranée apparaît comme la région la plus mortelle pour les réfugiés.

    Un rapport de l’Organisation Internationale de la Migration (OIM) montre le net déclin des décès en Australie depuis le changement de gouvernement et le durcissement de la politique d’immigration l’année dernière.

    Le rapport de 212 pages (Fatal Journeys, Tracking Lives Lost during Migration) fait état d’un seul réfugié ayant trouvé la mort en 2014, celui de Reza Berati, un Iranien de 23 ans qui a été tué lors des émeutes de Manus en février.

    Ce seul décès enregistré est à mettre en parallèle avec les 212 morts en 2013 et les 356 morts en 2012 lors de l’arrivée massive d’embarcations de réfugiés sous le gouvernement travailliste, avant que Kevin Rudd réinstaure les contrôles en mer quand il est revenu au pouvoir l’an passé.

    L’OIM s’est servi des données fournies par l’Université Monash de Melbourne, et prend en compte les réfugiés disparus, ceux qui ont péri pendant leur voyage vers l’Australie et ceux qui ont perdu la vie dans les centres de détention sur terre ou au large.

    Malgré l’énorme diminution des décès en Australie, les chercheurs refusent de reconnaître l’incidence du durcissement des politiques gouvernementales qui comprennent l’interception des embarcations en mer, leur reconduction vers le large ainsi que les dispositions prises pour assurer le retour de ces populations.

    « A quel degré ces variations sont explicables par des facteurs globaux de situations qui génèrent des réfugiés ou bien par les changements des politiques d’immigration aux frontières de l’Australie, reste un sujet de controverse », précise le rapport.

    L’OIM dénonce également le fait que « le nombre des décès puisse être considéré comme un comptage de points » c’est à dire exploité par les média en quête de sensationnalisme ou par les politiques qui « défendent des contrôles encore plus renforcés aux frontières pour empêcher les traversées dangereuses sans remettre en cause d’autres mesures qui mettent en danger les réfugiés en les privant de pouvoir voyager de façon sécurisée et légale. »

    Un porte-parole du Ministère de l’Immigration, Scott Morrison, déclara : « La politique de protection des frontières du gouvernement a toujours eu pour objectif de sauver des vies. Nous avons tous pu constater les conséquences dramatiques qu’ont eu les mesures de faiblesse appliquées par le gouvernement précédent.

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