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immigration - Page 1343

  • 600 millions d’euros déversés sur les banlieues ethniques

    Quelque 600 millions d’euros du programme d’investissement d’avenir (PIA) seront accordés aux « zones sensibles », a annoncé lundi le ministre de la Ville Najat Vallaud-Belkacem qui souhaite « mettre le paquet sur l’emploi » dans les « quartiers populaires » (c’est-à-dire immigrés).

    Préférence étrangère ? Maintien de la « paix sociale » par l’argent ?
    Il s’agit quoiqu’il en soit de créer encore une quantité d’emplois bidons pour contenter les déracinés venus en France pour des raisons économiques…

    http://www.contre-info.com/600-millions-deuros-deverses-sur-les-banlieues-ethniques

  • Gollnisch dans Présent : « l’appel au brassage universel est le véritable dogme religieux de l’Union Européenne »

     

    A moins d’un mois du premier tour des élections européennes,  Bruno Gollnisch a accordé un entretien au quotidien Présent .  Le député frontiste répondait aux questions  d’Yves Chiron sur   laBabel bruxelloise et ses menées contre-nature.  Les appels au sursaut se multiplient, la  Résistance nationale, populaire et sociale s’organise…

    Présent : Un mot, d’abord, de votre présence au Parlement européen. Vous y avez été élu pour la première fois en 1989, puis réélu sans discontinuité en 1994, 1999, 2004, 2009. Vous allez donc, si les électeurs le veulent, obtenir votre 6e mandat.En un quart de siècle de présence au Parlement européen, avez-vous vu une évolution des esprits parmi les députés ?

     Bruno Gollnisch : Oui, hélas, et pas dans le bon sens ! Il règne dans cette institution un étrange état d’esprit, fait de messianisme euro-mondialiste, de bonne conscience, et de satisfaction de soi, qui laisse peu de place à la discussion. C’est d’autant plus choquant qu’en présence d’un échec aussi manifeste, dans toute autre entreprise humaine on serait conduit à se remettre en question. Ici, non ! On accumule d’une part les normes et les charges de toutes sortes pesant sur nos sociétés, cependant qu’on ouvre nos économies à la concurrence de pays qui, eux, n’ont presque aucune contrainte de salaires minimum, de protection sociale, d’hygiène, de sécurité, de représentation syndicale, etc. Et quand le résultat désastreux ne peut plus être nié, on explique que c’est parce qu’il n’y a pas encore assez d’Europe ! Tout se passe comme si on était à bord d’un train fou, qui roule vers le précipice, dans l’allégresse de ses passagers. Il faut d’urgence arrêter ce train.Heureusement, on constate dans plusieurs pays l’émergence de mouvements qui vont dans ce sens, et dont plusieurs s’inspirent de notre exemple.

    Présent : Pour coordonner l’action des députés européens qui partagent le patriotisme du Front National, vous avez créé le groupe Identité, Tradition, Souveraineté (ITS) puis l’Alliance Européenne des Mouvements nationaux (AEMN). Quels sont les valeurs communes et les objectifs communs à ces députés venus de différents pays ?

     Bruno Gollnisch : C’est évidemment la défense des identités et des libertés nationales face aux empiètements incessants de l’Euro-mondialisme, aveuglément soutenu par la majorité de ce Parlement, qu’il s’agisse du groupe  PPE  (Parti Populaire Européen), abusivement dénommés démocrates-chrétiens, dont font partie les députés français UMP,  socialistes et libéraux. Je dois vous dire que Marine Le Pen a souhaité préparer le prochain groupe parlementaire avec les membres de l’Alliance Européenne des Libertés, autre regroupement  souverainiste , et non avec l’Alliance Européenne des Mouvements nationaux (AEMN). Elle est la présidente du Front National, et je m’incline devant ce choix. En tout état de cause, il est certain que l’on a assisté, depuis plusieurs années, à un rejet de l’Euro-mondialisme, de la destruction des libertés et identités nationales, de la négation des véritables valeurs de la Civilisation européenne, etc. Je suis sûr que ce phénomène va s’amplifier considérablement lors des prochaines élections.

    Présent :  Le 10 avril dernier, vous avez pu prendre la parole au cours d’une audition solennelle concernant l’Initiative citoyenne européenne « Un de nous/One of us », qui demande l’introduction dans le droit européen du principe suivant : « Aucun fonds de l’Union européenne ne doit être attribué à des activités qui détruisent des embryons humains ou qui présupposent leur destruction ».La pétition permettant cette Initiative avait recueilli plus de 2 millions de signatures en Europe. Pouvez-nous nous en dire un peu plus sur cette Initiative citoyenne européenne et ses enjeux ?

     Bruno Gollnisch : Cette pétition utilise un dispositif qui introduit, à dose tout-à-fait homéopathique, un peu de démocratie directe dans le fonctionnement de l’Union Européenne. Ne nous faisons aucune illusion quant au résultat final. Mais la pétition a eu le très grand mérite de réveiller quelques consciences, y compris au sein du Parlement, et d’obliger règlementairement les commissions parlementaires compétentes à en débattre publiquement. C’est dans ce cadre que, modestement, je suis intervenu.

    Présent :  Au Parlement européen, vous défendez aussi l’agriculture française contre les trusts multinationaux et l’industrie européenne contre la concurrence déloyale. Mais n’est-ce pas d’abord le fonctionnement des institutions européennes, et d’abord le pouvoir de la Commission européenne, qu’il faut contester ?

     Bruno Gollnisch : C’est naturellement l’ensemble du système, et nous ne nous en privons pas. Mais je voudrais mettre en garde contre une légende, qui voudrait attribuer tous les maux de l’Union Européenne à la seule Commission. Échappatoire bien facile, surtout en période électorale. La Commission est bien sûr co-responsable des dérives de l’institution, mais elle n’est pas la seule !

    L’idée selon laquelle il suffirait de donner plus de pouvoirs au Parlement pour lui permettre de faire entendre à la Commission la voix de la sagesse ne serait vraie que si la majorité des Parlementaires étaient eux-mêmes des sages. Or c’est très loin d’être le cas. Il est très fréquent que cette majorité parlementaire aggrave encore les aspects bureaucratiques, confus, verbeux, des propositions de la Commission…Ce qu’il faut, c’est arrêter net ce délire normatif, et en revenir à des coopérations concrètes, sur des sujets précis, chiffrés, quantifiables. Si c’est encore possible…

    Présent :  Au Parlement européen, certains refusent d’admettre que l’Europe a un héritage chrétien. Benoît XVI soulignait que c’est « un signe d’immaturité, voire de faiblesse » que de s’y opposer ou de l’ignorer. Il mettait en cause « une certaine intransigeance séculière ». Observez-vous une aggravation de cette tendance ?

     Bruno Gollnisch : Oui, malheureusement, du moins de la part du courant actuellement dominant. Il faut bien comprendre que le fait religieux est toléré, mais comme une espèce de  pré-humanisme , appelé seulement à coopérer au triomphe mondial du libéralisme économique et philosophique. Il n’a d’autre légitimité que de se fondre dans l’appel au brassage universel qui résultera de la libre circulation des marchandises, des capitaux et des personnes. C’est là que se trouve en fait le véritable dogme  religieux  de l’actuelle Union Européenne. Il y a bien sûr un habillage idéologique à tout cela : les  droits de l’homme , en réalité ce que le regretté Jean Madiran appelait très justement les  DHSD , c’est-à-dire les  Droits de l’Homme sans Dieu . Et le sacré, c’est  l’indifférenciation  dans tous les domaines. Il est littéralement blasphématoire de faire des distinctions entre les peuples, les cultures, les sexes, etc. Malheur par exemple à qui s’opposera à la promotion méthodique du  LGBTI , c’est-à-dire :  Lesbienne/Gay/Bi/Trans/Inter-sexuel . Ce serait  discriminatoire .

    Comme est cataloguée  discriminatoire  toute tentative de s’opposer à l’immigration massive, ou de protéger nos marchés, etc. Dans ce contexte, il est consternant de lire les communiqués lénifiants de la  Conférence des Evêques d’Europe , qui ne formule aucune objection aux déviances de l’Union Européenne, et ne s’inquiète que du rejet que l’on sent monter chez les peuples ! Heureusement, cela ne suffira pas à étouffer les légitimes réactions.

    http://gollnisch.com/2014/04/28/gollnisch-present-lappel-au-brassage-universel-veritable-dogme-religieux-lunion-europeenne/

     

  • Délinquance : « d’abord, écartons les faits ! »

    Les Jeunes socialistes ont beau jeu aujourd'hui de « s'étouffer devant ce journalisme de caniveau ».   

    La milice nationale antiraciste la plus connue, SOS Racisme, vient d’assigner en justice le journal Le Progrès de Lyon au motif de « fichage ethno-racial, diffamation raciale ou provocation à la haine raciale et à la discrimination ». Visé particulièrement, un chapitre intitulé « Délinquance, à chacun sa spécialité », liant à des délits donnés des catégories de population ou des nationalités. Par exemple, cambriolages : « Albanais, Géorgiens, Roms », etc.

    Me revient en premier une boutade de Lénine, citée dans un éditorial de cette semaine dans Valeurs actuelles : « Écartons d’abord les faits. »

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  • Évacuation du camp de Roms à Lezennes : 3 jours de travaux pour sortir 400 tonnes de déchets

    Lu dans La Voix du nord :

    « Vingt-quatre heures après l’évacuation du camp de Roms du boulevard de Tournai, les entreprises mandatées pour assainir le site poursuivaient leur tâche ce mercredi.

    Près de 400 tonnes de détritus devraient être mises en décharge et le site sécurisé. De l’autre côté de la route, les riverains ne cachent pas leur soulagement.

    De la ferraille, du bois, du carton, de vieux appareils électroménagers, des câbles mais aussi des vêtements [sortis d'où ?! - NDCI]. Après une première journée de nettoyage mardi, les entreprises chargées par LMCU et le conseil général de faire place nette boulevard de Tournai étaient à pied d’œuvre ce mercredi encore pour remplir plusieurs dizaines de bennes. »

    Des riverains qui évoquent en vrac :
    « Des rats de belle taille dans le jardin »
    « Des nuits très agitées »
    « Nos maisons étaient invendables tout ce temps »
    « On a subi un tas de nuisances »

    Source et détails

    http://www.contre-info.com/

  • La dérive sociétale sanctionnée par le vote musulman

    Les immigrés contre la gauche

    Le grand « remplacement électoral » n’aura pas lieu. C’était l’une des grandes espérances de la gauche. Garder la majorité notamment dans les grandes villes grâce au vote immigré. L’analyse des dernières municipales le prouve, les immigrés, notamment musulmans, de loin les plus nombreux, ne votent plus en majorité à gauche. La stratégie consistant à palier le vote populaire et ouvrier de souche par un apport de suffrages communautaristes a fait long feu.

    Comme annoncé ici, avant tout le monde, il y a bien eu dans les banlieues, vis-à-vis du pouvoir Ps, une «  quenelle municipale ». Cela est dû à l’échec des politiques de la ville mais surtout aux évolutions sociétales du Ps et de la gauche autour du sexe et des sexes. Les musulmans de France, comme les juifs d’ailleurs, rejoignent les catholiques et une partie de l’électorat attaché aux valeurs traditionnelles sur ces sujets. Les musulmans sont plus proches aujourd’hui de la droite et du Fn, que du Ps. Il faut bien sur être prudent. Ce renforcement des mobilisations pour les valeurs traditionnelles est initié tout de même par un rassemblement islamiste proche des frères musulmans. Le Fn le sait bien qui tente de ne pas tout mélanger.

    Le thème du 31ème rassemblement des musulmans de France est d’ailleurs  « L’Homme, la famille et le vivre-ensemble ». « Les thèmes collent toujours à l’actualité », explique Amar Lasfar, président de l’Union des organisations islamiques de France, à l’initiative de l’événement. « Le mariage pour tous, les ABCD de l’égalité…. Cela heurte notre religion et ça nous inquiète“, poursuit-il , en référence à la légalisation du mariage homosexuel et à la  polémique autour de la « théorie du genre » à l’école qui avait nourri des appels au boycott des classes en janvier.

    « Aux municipales, le Parti socialiste a été lâché par les musulmans justement à cause de ces questions relatives à la famille », complète le secrétaire général de l’UAM93 (Union des Associations musulmanes 93). « Si certains ont vu dans le mariage gay une sorte de permission, comme c’est le cas pour l’alcool ou le porc, d’autres ont été profondément choqués par ce débat. Ils se sont sentis menacés. Quant au plus grand traumatisme, il provient du débat autour de la théorie du genre qui a parfois été interprété comme une incitation à devenir homosexuel. »

    La nomination de Laurence Rossignol au poste de secrétaire d’Etat à la Famille n’a pas été vue d’un bon œil par ces musulmans, faute à sa phrase « les enfants n’appartiennent pas à leurs parents », petite phrase digne d’ailleurs des régimes totalitaires. La gauche s’est donc tiré une balle dans le pied et a réduit son électorat aux bobos citadins et aux «  gay friendly ». Elle avait perdu le vrai vote populaire, elle perd le vote  immigré avant celui des fonctionnaires.

    Comment garder le pouvoir électoralement quand on n’a plus d’électeurs

    Raoul Fougax, 20/04/2014

    Source : Metamag.fr

    http://www.polemia.com/la-derive-societale-sanctionnee-par-le-vote-musulman/

  • Agression du métro de Lille : l’abjection

    « J’avais peur. Il m’a dit que j’étais une pute, qu’il allait appeler son cousin, qu’ils allaient me violer à plusieurs. »   

    « J’avais peur. Il m’a dit que j’étais une pute, qu’il allait appeler son cousin, qu’ils allaient me violer à plusieurs. » C’est ainsi que s’exprimait, sur RTL et sous le choc, la jeune femme victime d’une agression dans le métro de Lille. Le mercredi 23 avril 2014, à 22 h 30, l’innommable se produit. Plus de 30 minutes d’agression, sans aucune aide extérieure : un film d’horreur.

    Cette femme, mère de quatre enfants, est entrée dans une station de métro, située au sud de Lille, afin de rentrer à son domicile de Tourcoing. Les menaces ont immédiatement commencé. Monsieur Abdelnour B., Marocain de 19 ans, est saoul, lubrique, bien décidé à faire vivre un enfer à sa victime. Dans son esprit – désinhibé par l’alcool et probablement un mode de vie dans lequel les mâles sont tout puissants –, les femmes n’appartiennent même plus au genre humain, elles sont destinées à satisfaire les envies sexuelles les plus basses et les plus immédiates, ni plus ni moins que des bouts de viande. Il se sent fort, il est un dominant, personne n’osera s’opposer à lui ; d’ailleurs, les autres passagers empruntent volontairement l’autre rame, laissant la jeune femme à son sort. Son témoignage est édifiant et révélateur : « Les gens sont partis dans l’autre rame tout au fond. Ils m’ont laissée toute seule et ils me regardaient me faire agresser ! »

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  • Préférence pour les juges immigrationnistes, défiance pour les juges légalistes.

    Depuis trente ans, ce ne sont plus les parlementaires qui font les lois sur l’immigration, ce sont les juges qui imposent leur jurisprudence en interprétant les textes internationaux. Or les hommes qui ont imposé cette évolution – les Belorgey, les Genevois, les Tuot – ne sont pas neutres, ce sont des militants immigrationnistes. C’est cette même dictature militante qui a obtenu qu’un magistrat administratif de Lyon, François Lagarde, se voie dessaisi de tout dossier sur le contentieux des étrangers. Son crime ? Avoir reçu comme élu UMP à Orléans une délégation à la lutte contre l’immigration clandestine : une responsabilité légale considérée comme une faute. En clair, un magistrat qui veut simplement appliquer la loi là où il est élu ne peut la dire là où il juge. En revanche, un militant qui combat les lois limitant l’immigration se voit chargé, lui, de les interpréter ! Ainsi fonctionnent le Conseil d’Etat et les tribunaux administratifs. C’est deux poids, deux mesures : les immigrationnistes peuvent juger, les légalistes sont interdits de jugement. En 1789, les Français ont abattu les parlements d’Ancien Régime pour moins que cela.

    Polémia.

    Réélu au premier tour des élections municipales, le maire UMP d’Orléans, Serge Grouard, a annoncé la nomination d’un conseiller municipal en charge de « la lutte contre l’immigration clandestine ». Ce conseiller municipal est par ailleurs magistrat au tribunal administratif de Lyon qui a pour principale activité de juger les étrangers qui contestent leur expulsion et il avait demandé sa mise en disponibilité à partir de janvier 2014 pour faire campagne. Il s’apprête à revenir siéger au tribunal administratif au début du mois de mai.

    Cette annonce n’est pas passée inaperçue. L’opposition de gauche comme les militants des droits de l’homme ont lancé une dénonciation citoyenne d’une « idéologie qui n’est même pas celle du FN ». L’info est devenue un feuilleton de la presse locale et a été reprise par les radios nationales, notamment par RMC, et par Rue 89-Lyon. Elle a commencé à circuler mercredi 16 avril dans le petit milieu des avocats qui assurent la défense des étrangers en situation irrégulière.

    Ce jeudi, la commission du barreau de Lyon s’est saisie de la question pour envisager des suites à donner. Du côté du Syndicat des avocats de France (SAF, classé à gauche), le président de la section de Lyon explique que « d’autres juges peuvent avoir le même type d’opinion. La différence c’est qu’il sort du bois ». Il ajoute surtout que le SAF regardera de près le retour du juge en mai prochain : « Quand il reviendra en mai prochain au tribunal de Lyon, ce magistrat ne doit plus juger de contentieux sur les étrangers pour qu’il n’y ait pas de suspicion sur les décisions qui vont être rendues ».

    Ainsi il reviendrait à des avocats dévoués à la cause des étrangers en situation irrégulière, en d’autres termes les clandestins, d’imposer des magistrats de leur bord et de récuser ceux qui ne leur plaisent pas au nom de la lutte contre le racisme et le populisme.

    Il serait effectivement plus simple et plus commode pour l’exercice de leur activité d’avoir affaire à des juges acquis à la cause immigrationniste qu’à un magistrat déterminé à faire appliquer les lois sur les étrangers et l’immigration.

    Ce sont ces mêmes avocats auxquels fait très nettement allusion le rapport d’octobre 2013 sur « l’évolution et la maîtrise des dépenses de contentieux à la charge du ministère de l’Intérieur » réalisé par l’Inspection générale de l’Administration à la demande du ministère de l’Intérieur, du ministère des Finances et du ministre délégué chargé du Budget sur le contentieux des étrangers. Ce rapport déplore la juridictionnalisation du droit des étrangers qui entraîne un coût insupportable et émet un avis fortement réprobateur sur le rôle des avocats spécialisés :

        « Certains avocats se sont spécialisés dans ce contentieux avec des motivations politiques ou humanistes, en lien avec le monde associatif qui soutient les étrangers. Par contre, il semblerait que d’autres avocats voient dans le contentieux des étrangers, contentieux plutôt simple techniquement et répétitif, une source lucrative de revenus. Plusieurs interlocuteurs de la mission, y compris des magistrats administratifs, lui ont ainsi indiqué avoir régulièrement constaté que des requérants ignoraient être conseillés par un avocat.

        « La mission a en outre constaté qu’en matière de contentieux des étrangers, le juge d’appel annulait fréquemment la décision de première instance. Si celle-ci a donné lieu au versement par l’Etat de frais irrépétibles, ils devraient être reversés au comptable public par le bénéficiaire. Certains avocats refusent, sans qu’aucune suite ne soit donnée, au motif que ce ne sont pas eux qui étaient destinataires des frais irrépétibles mais leur client alors que ce dernier leur versait cette somme. »

    La lutte pour l’immigration humanitaire a bon dos.

    Le président du tribunal administratif de Lyon a saisi le « collège de déontologie » qui siège auprès du Conseil d’Etat. On peut le comprendre. Il est cependant dommage que sa démarche apparaisse isolée car il existe beaucoup d’autres cas où un « collège de déontologie » aurait pu ou pourrait être saisi. Donnons quelques exemples.

    Le GISTI, association particulièrement active d’information et de soutien des immigrés, a été fondé au début des années 1970 par quatre jeunes énarques, pourtant astreints à un devoir de réserve. Des magistrats participent à la rédaction de documents du GISTI. C’est le cas de Patrick Henriot, magistrat et membre du Syndicat de la magistrature qui a rédigé les articles suivants :

        -« Cette gauche qui a horreur du vide » pour le n° 97 de la revue Plein Droit de juin 2013 dont le thème était : « Les étrangers attendent la gauche », sujet politique s’il en est ;

        -« Les Sages capitulent » pour le n° 90 de la même revue dédié aux « réfugiés clandestins ».

    Certains de ces magistrats participent à des colloques comme celui de novembre 2008 consacré à « la défense de la cause des étrangers en justice » :

        -Bruno Genevois, président de section au Conseil d’Etat, sur l’histoire du GISTI ; -Jean-Michel Belorgey, président de la section des rapports et des études du Conseil d’Etat, sur l’insuffisance des moyens d’exécution ;

        -Ronny Abraham, conseiller d’Etat, et Olivier Jaulin, vice-président du Syndicat de la magistrature, sur les retombées collatérales du contentieux des étrangers.

    Prenons le cas de France Terre d’Asile dont l’objet est « la promotion du droit d’asile et des droits des migrants en France et en Europe ». Le président est Jacques Ribs, conseiller d’Etat honoraire. Frédéric Tiberghien, maître des requêtes au Conseil d’Etat et membre du Conseil supérieur de la magistrature est membre du bureau.

    Jean-Michel Belorgey, déjà cité, est membre du Conseil d’Etat dont il présida la Section du rapport et des études jusqu’au 3 novembre 2009. Il a été président du conseil d’administration du Fonds d’aide et de soutien pour l’intégration et la lutte contre les discriminations (FASILD).

    Membre de la Cour nationale de droit d’asile (CNDA) il a, selon le Figaro, beaucoup heurté ses pairs en déclarant dans Télérama que ses collègues étaient « des chasseurs, des exterminateurs d’hommes » au prétexte qu’ils y regardaient à deux fois avant d’accorder le statut de réfugié et qu’ils faisaient tout simplement leur travail.

    Manifestons une pensée émue pour Bernard Stirn, président de la section du contentieux du Conseil d’Etat qui prit si vite une décision le 9 janvier 2014 dans l’affaire Dieudonné, et pour Thierry Tuot, auteur du rapport La Grande Nation, pour une société inclusive sur l’intégration des immigrés.

    Enfin, concernant la déontologie, comment ne pas évoquer la mise en examen de Madame Martres, présidente du Syndicat de la magistrature, dans l’affaire de l’infâme et terrifiant « Mur des cons » ?

    Eh bien oui, que toutes les « commissions de déontologie » soient saisies.

    Que tout le système soit revu et tous les cas étudiés.

    Que toutes les structures associatives et publiques soient auditées.

    Que tous les conflits d’intérêt moral et déontologique soient résolus.

    Que l’on aille jusqu’au bout et à fond.

    Qu’il n’y ait pas deux poids deux mesures.

    Que les Français soient assurés que de hauts fonctionnaires et de hauts magistrats, qui ont pour devoir d’appliquer les lois et qui sont payés (bien) pour cela, se comportent en serviteurs loyaux de l’Etat et du peuple français et ne jouent pas un double et confortable jeu de révolutionnaires de dossiers en interprétant les textes sur les étrangers et l’immigration avec laxisme et complaisance.

    On en est loin.

    Dès le 22 avril 2014 la commission de déontologie a confirmé qu’il fallait dessaisir le juge Lagarde compte tenu de l’émoi médiatique. Les juges immigrationnistes, eux, pourront continuer à rendre des jugements.

     André Posokhow, 22/04/2014

    http://www.polemia.com/contentieux-des-etrangers-deux-pois-deux-mesures/

  • La France violée dans l’ombre

    Journaux, télévisions,  radios, sites internet : le  happening grotesquement hideux  organisé hier par les extrémistes du groupuscule Femen devant la Maison des centraliens,  où Marine Le Pen présentait les listes FN aux élections européennes,  a été abondamment relayé . « Hommage du vice à la  vertu », ses harpies n’ont certainement pas compris qu’apparaître dépoitraillées,  peinturlurées avec  croix gammée et moustache hitlérienne tout en beuglant  « Marine fasciste » n’enlève pas une seule voix au FN, bien au contraire. Mais  le petit monde médiatique est ainsi fait qu’il établit une hiérarchie dans le traitement de l’information qui répond souvent à des considérations plus idéologiques que déontologiques. Ainsi, à contrario, le viol particulièrement  monstrueux  d’une jeune fille de 18 ans  à Evry la semaine précédente,  par des mineurs âgés de 11 à 17 ans,  n’a pas  suscité l’intérêt des « grands » médias. Benoit Rayski l’écrivait sur le site Atlantico  le 17 avril, à la sortie du RER  «  sous la menace d’un couteau , elle est entraînée dans un terrain vague »,  « pendant deux heures »  notre compatriote  a été «  violée et re-violée ». « Torturée. Battue jusqu’au sang » par les racailles. « Un juge les a mis en examen pour viol avec actes de barbarie. Interrogé par lui ils ont invoqué une circonstance atténuante :toutes les Françaises sont des putes. Ce qui leur a valu une inculpation supplémentaire pour racisme».

     Mais ce racisme là n’intéresse  pas les fabricants de l’information, ni  les autorités morales,   ni Manuel Valls, ni  son successeur à l’Intérieur Bernard Cazeneuve qui se  serait  déplacé à Evry  si la victime était issue de la « diversité » et les agresseurs  « de souche ». Certes ce cas de figure est rarissime…

     Hier, lors de la conférence de presse tenue par Marine, Bruno Gollnisch expliquait  à l’issue de celle-ci aux journalistes qui l’interrogeait,  les modalités de la  campagne européenne du FN, qui   entend déboucher sur un succès dans les urnes le 25 mai,  nécessaire pour  «enrayer le train fou de l’Union européenne».

     Le député européen FN assure aussi que si l’opposition nationale arrive demain au pouvoir, elle enrayera le train fou de la  délinquance,  matera sans faiblesse  les voyous, rétablira une échelle des peines cohérente et dissuasive, l’effectivité des  incarcérations. Bref,  que  la  peur et la crainte   passera  dans le camp de la racaille et quittera celui des honnêtes gens.  

     Cette omerta, devant la montée de  la barbarie,  relève de la tentative désespérée  de  retarder la prise de conscience de nos compatriotes  qui débouchera inévitablement  sur uneréaction politique. Cette loi du silence  s’applique dans d’autres  domaines, notamment celui des  négociations autour du Grand marché transatlantique, qui sont entrées dans une nouvelle phase  depuis juillet dernier.   La genèse en  remonte pourtant à  la Déclaration transatlantique du 22 novembre 1990, deux ans avant Maastricht….

     Le Front National  dénonce depuis l’origine la volonté de parfaire à travers ce Grand marché   une zone de libre-échange intégral,  aboutissement d’un projet de nature typiquement mondialiste qui s’est accompli subrepticement, à pas feutré, selon la technique bien connue du voleur chinois.

      Nous refusons  de voir la France  violée, violentée,  forcée au nom des grands principes planétariens,  ultra libre échangistes. Bruno Gollnisch le rappelait  dans l’hémicycle du Parlement européen en juin 2006, il n’y aurait « pas d’objection à renforcer la coopération économique entre les États-Unis et les pays d’Europe, si était cela mutuellement profitable à toutes les parties. En revanche, il n’y a aucune utilité, pour ce faire, à créer un marché transatlantique sans entraves, un véritable marché intérieur sur le modèle européen, avec son lot d’harmonisations législatives et réglementaires, et qui a vocation à s’étendre à l’ensemble du continent américain. Nous ne parlons plus de zone de libre-échange, mais bel et bien d’une intégration économique totale. Avant l’intégration politique ? »

     Un phénomène d’assujettissement encouragé par l’Europe bruxelloise,   dont les Français n’ont pas toujours conscience. Peu d’entre eux  par exemple, savent que la liberté de circulation des capitaux, imposée par des traités européens, voulus et soutenus par la quasi-totalité des partis du Système, a eu comme résultat l’acquisition de plus de la moitié du CAC 40 par les fonds de pension (hedge funds) anglo-saxons.  

     Bruno Gollnisch le notait  encore  il y a quelques mois, « les citoyens européens doivent s’emparer de cette question du Grand marché transatlantique  et nous les y aiderons. Si négociations il y a, cet accord doit devenir un accord  Dracula . Un accord qui, comme lui, meurt d’être exposé à la lumière. Il mourra de l’indignation des peuples et de leur révolte contre la dictature des prétendues élites. »

     Cette création d’une vaste zone de libre-échange et de concurrence libre et non faussée aura de nombreux effets pervers. Le   démantèlement de toutes les protections douanières agricoles ( levée des restrictions européennes sur l’importation d’OGM, des volailles traitées avec du chlore,  du bétail nourri aux hormones de croissance..) ;  une remise en cause desappellations d’origine ;  de nouvelles attaques contre le principe même  de la  souveraineté populaire puisque  les  droits exclusifs des multinationales au sein de juridictions privées pourront s’imposer au droit public, attaquer des Etats devant la justice ; la  colonisation numérique  de la France et des pays européens par  Google, Amazon,  Netflix;   denouvelles menaces sur les services publics, le droit du travail, la protection sociale, la pérennité de nos dernières industries …

    Cet accord sur le Grand  marché transatlantique, affirme Bruno Gollnisch aboutissement  d’une philosophie  dérégulatrice, du laisser-faire laisser-passer sans mesure,  est aussi une preuve supplémentaire de veulerie des bruxellois de leur mentalité de dhimmis Ils se soumettent à une puissance qui espionne à grand échelle les données personnelles des Européens, et manifestent une  incapacité à défendre  les intérêts même  de  l’Europe, qu’ils prétendent  défendre,  qui suffit à les disqualifier définitivement.  

    http://gollnisch.com/2014/04/23/france-violee-lombre/

  • Prison « française » : une mutinerie pour exiger… des repas halal

    Une soixantaine de détenus de la maison d’arrêt de Sequedin (Nord), près de Lille, ont refusé ce lundi de réintégrer leur cellule après la promenade, selon La Voix du Nord.

    Les équipes régionales d’intervention et de sécurité (Eris), « le GIGN des prisons », ont du intervenir aux alentours de 21h pour y contraindre les détenus.

    D’après Cédric Deprez, délégué régional FO-Pénitentiaire, les détenus demandaient «la baisse du prix des cantines et, apparemment, un menu halal».

    Fabuleux culot !

    http://www.contre-info.com/

  • La France prend conscience du phénomène des djihadistes français en Syrie

    Alors que le problème est depuis longtemps évoqué ouvertement en Belgique, la France semble avoir pris, ces jours-ci, un peu plus conscience de la menace que sont les djihadistes français partis en Syrie. Leur nombre serait de 700 et ce serait une estimation approximative qu’il faudrait plutôt voir à la hausse. Selon une vidéo, il y aurait même un ancien militaire mais à ce stade il est difficile de dire si c’est vrai et de vérifier les dires de ce djihadiste. Une mère témoignait sur RTL, disant que son adolescente catholique était en train de basculer et qu’elle craignait qu’elle ne parte en Syrie. Ce n’est pas la première à appeler à l’aide l’État. Des parents se sentent impuissants. D’autres ont appris le départ de leurs enfants, une fois que ces derniers furent arrivés en Syrie. Il est alors trop tard.

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