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immigration - Page 1346

  • Deux nouveaux terroristes sur le sol français

    Hassan Diab Le principal suspect dans l’attentat contre la synagogue de la rue Copernic qui avait fait quatre morts en 1980 est arrivé en France samedi matin. L’ancien terroriste du FNL, assassin du peuple algérien et de nombreux français, Abdelaziz Boutéflika, ,est en France lui aussi,, hospitalisé à Grenoble depuis la semaine dernière.

    La simultanéité des deux événements est elle fortuite ou bien témoigne-t’elle d’un zèle nouveau de nos services de sécurité ? Car , sans être rabat joie, si aujourd’hui la culpabilité d’Hassan Diab n’est pas encore juridiquement établie, on ne peut oublier les bombes dans les bars et devant les écoles même, qui explosèrent à l’instigation du FNL, dans les rues d’Alger d’Oran ou de Constantine il ya à peine plus de cinquante ans. On ne peut oublier non plus la disparition de milliers d’Européens après la signature des accords d’Evian sensés assurer leur sécurité, pour ne parler que de cela sans s’attarder sur les plus atroces barbaries qui émaillèrent ce qu’on a fini par appeler la guerre d’Algérie. D’autant moins que le personnage, devenu président, ne cesse de réclamer réparation à la France à chacun de ses déplacements. Depuis la grave maladie qui l’affecte, ce boucher recyclé semble toutefois avoir baissé, ces derniers temps, d’un ton, comme si soumettre son corps à des scalpels français l’invitait à une attitude moins polémique. On sait cependant que le vieillard n’est plus aujourd’hui qu’une marionnette exténuée de l’armée algérienne, laquelle fait de son mieux pour maintenir un semblant de cohésion dans ce pays en proie aux appétits multiples des capitalistes d’outre atlantique et des islamistes les plus radicaux qu’elle contient au sud , se positionnant ainsi comme un rempart de l’Occident. Garder le vieux en couveuse le plus longtemps possible, permet de gagner du temps pour préparer l’après Boutéflika qui entame à l’article de la mort son quatrième mandat. « La vacance du pouvoir – énergiquement niée par l’entourage du chef de l’Etat – exaspère et inquiète. L’élite se dit humiliée, » nous rapporte Florence Baugé envoyée spéciale du monde à Alger (15/11). Il manquerait plus qu’avec son brio habituel, et sa connaissance fine de la politique étrangère en Méditerranée, dans ce contexte algérien fragile, la CIA nous concocte, avec l’appuie de la France, un « printemps arabe » dont elle a le secret, histoire de rejouer à nos portes la calamiteuse affaire lybienne.. Je doute que l’armée algérienne gouterait ce genre de plaisanterie. Elle n’aurait, en outre, aucun complexe à écraser dans le sang toute velléité de révolte. Mais il faut toujours se méfier des docteurs Folamour téléguidés par Washington, on n’imagine pas le plaisir qu’ils ont à jouer aux allumettes sur les poudrières. Compte tenu par ailleurs, de la nullité actuelle du locataire de l’Elysée et de celui du quai d’Orsay, j’ai du mal à croire que ces messieurs mesurent l’importance capitale que revêt aujourd’hui encore la question algérienne. Du reste, il semble bien que rien n’ait plus beaucoup d’importance, puisque depuis Sarkozy, les ordres viennent d’outre atlantique. Ainsi, la politique globalement et plus particulièrement la diplomatie ne consistent t’elles pas à toutes fins à régler nos comptes avec l’Histoire, aussi légitimes soient-ils, encore moins, dans la tradition française, de se mettre au service d’un empire, mais d’assurer le bien commun général et plus précisément celui de notre patrie en tenant compte des données objectives et actualisées. Une France forte avec à sa tête un état indépendant et durable, n’aurait aucun mal à mener une politique méditerranéenne cohérente et féconde.

    Olivier Perceval

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Deux-nouveaux-terroristes-sur-le

  • Cités françaises : le retour de la féodalité et du règne des seigneurs dealers ! - Par Adrien Abauzit

    Une énième fois une cité de la banlieue française s’est embrasée. Il était évident que ce type d’évènement se reproduise, de même qu’il est tout aussi évident qu’il se reproduira encore.

    Même une amélioration de la situation économique de la France n’y changerait rien.

    Pour en être convaincu, il suffit de comprendre le processus auquel nous assistons dans les cités, de banlieues et de certaines grandes villes, depuis plusieurs décennies.

    De nombreuses cités françaises sont des bastions d’économies parallèles. C’est un fait. Parler de la question de la délinquance, comme le font les tartufes qui nous gouvernent, sans évoquer l’économie parallèle, c’est volontairement passer à côté du problème.

    Les émeutes de Trappes, comme celle d’Amiens en 2012, celles de Villiers le Bel en 2007 et celles de 2005, n’avaient qu’un seul but. Un but identique à celui des caillassage de pompiers, d’ambulanciers, de médecins et de policiers.

    Ces émeutes ont pour but de faire reculer la frontière de l’autorité publique. De redélimiter les frontières à partir desquelles les dealers font la loi, à proprement parler, à la place de l’Etat français.

    Ces émeutes ne sont pas le fruit du hasard ou de la spontanéité. Le moindre prétexte est utilisé par les dealers pour embraser leur ville, car c’est à ce prix qu’ils annexent des territoires.

    Médusé, le peuple français assiste à la privatisation de l’espace public par des seigneurs de guerre. Ceci est l’exact reflet d’un processus que la France a déjà connu : l’émergence et le triomphe de la féodalité. En effet, entre le milieu du IXème siècle et le XIIème siècle, la France a vu son territoire s’atomiser au profit de seigneurs de guerres qui chassaient de leur futur fief toute autorité royale, afin d’imposer leur autorité.

    En clair, la féodalité est en train de faire son grand retour dans les cités françaises. L’analogie n’est pas trop forte. On retrouve des grandes familles régnantes. Du guetteur au dealer, qui est en relation avec le grand banditisme, on retrouve également différents statuts, différents grades.

    Si le gouvernement français le voulait, ce phénomène serait enraillé dans les vingt-quatre heures. L’Etat dispose de tous les moyens logistiques et techniques pour une telle opération. Alors pourquoi ne fait-on rien ?

    Diverses raisons l’expliquent selon l’auteur : crainte d’une explosion qui se terminerait en guerre civile, lâcheté et peut-être aussi corruption. Mais il se peut qu’il y ait un motif encore plus pervers : on laisse se développer cette néo-féodalité, car grâce à elle, naît une délinquance qui permet d’exercer une véritable stratégie de la tension sur le peuple. En effet, le peuple français baisse les yeux de nos jours devant les petites têtes blondes de nos racailles d’origines scandinaves et non devant une quelconque Tcheka.

    Un vieil adage dit que les rois ont fait la France. Il paraît incontestable que la République soit décidée à favoriser sa décomposition.

    Adrien Abauzit, 14.11.2014
    Billet initialement publié sur La Gauche m'a tuer

    http://www.scriptoblog.com/index.php/blog/societe/1588-cites-francaises-le-retour-de-la-feodalite-et-du-regne-des-seigneurs-dealers-par-adrien-abauzit

  • Immigration : Besancenot-Laurence Parisot, même combat !

    Entretien avec Alain de Benoist

    Autrefois, il y avait l’infernal tandem libéral-libertaire incarné par Daniel Cohn-Bendit et Alain Madelin. Il y a aujourd’hui celui formé par Najat Vallaud-Belkacem et Emmanuel Macron, avec cette particularité qu’ils appartiennent l’un et l’autre au même gouvernement. Alliance contre-nature ?

    Alliance parfaitement naturelle, au contraire, puisque le libéralisme économique et le libéralisme sociétal dérivent tous deux de la même conception d’un « homme économique » fondamentalement égoïste ayant pour seul but de maximiser rationnellement son utilité, c’est-à-dire son meilleur intérêt. Ce qu’on appelle l’axiomatique de l’intérêt n’est rien d’autre que la traduction en termes philosophiques de cette disposition naturelle de l’être humain à l’égoïsme. Le libéralisme pose l’individu et sa liberté supposée « naturelle » comme les seules instances normatives de la vie en société, ce qui revient à dire qu’il fait de l’individu la seule et unique source des valeurs et des finalités qu’il se choisit. La liberté libérale suppose ainsi que les individus puissent faire abstraction de leurs origines, de leur environnement, du contexte dans lequel ils vivent et où s’exercent leurs choix, c’est-à-dire de tout ce qui fait qu’ils sont tels qu’ils sont, et non pas autrement. La vie sociale, dès lors, n’est plus affaire que de décisions individuelles, de négociations procédurales et de choix intéressés.

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  • La remigration pour éviter l’islamisation, par Pierre Cassen

    via Boulevard Voltaire

    Le 18 décembre 2010, le Bloc identitaire organisait, espace Charenton, les Assises internationales sur l’islamisation de nos pays, en compagnie de Riposte laïque et de Résistance républicaine. Quatre ans plus tard, cette fois seule, l’organisation présidée par Fabrice Robert nous propose, ce samedi 15 novembre, à Paris, les Assises de la remigration, où interviendra, entre autres, René Marchand, auteur de « Reconquista ou mort de l’Europe ».

    Que s’est-il passé depuis quatre années ? Si on en croit les chiffres du démographe Yves-Marie Laulan, lors d’un exposé sur le thème « La France en danger », en mars 2012, il y aurait en France un solde positif de 250.000 immigrés chaque année, soit 1 million depuis les Assises de Charenton. Et il ne tenait pas compte à l’époque des conséquences de Lampedusa… À juste titre, après les crimes de Toulouse et de Montauban, la présidente du FN s’interrogeait, se demandant, parmi tous les nouveaux venus qui arrivent sur notre territoire, combien il y avait de Mohammed Merah en puissance ?

    Nous avons constaté, d’autre part – fait unique dans l’histoire de notre pays –, qu’un président de la République a été élu grâce au survote musulman, estimé à 93 % par l’institut OpinionWay.

     

    Il pousse, en France, une mosquée tous les cinq jours et demi, soit donc, depuis quatre ans, plus de deux cents, sans oublier des centaines de projets dans les cartons. Nous avons eu droit aux émeutes anti-juives de Barbès et de Sarcelles. Signe terrible de la pression musulmane, le ministre de l’Éducation nationale, la Franco-Marocaine Najat Vallaud-Belkacem, vient d’autoriser, lors des sorties scolaires, les accompagnatrices voilées, remettant gravement en cause l’esprit de la loi de 1905. N’oublions pas que plus d’un millier de djihadistes de nationalité française (Samuel Laurent, auteur de Al-Qada en France, pense qu’il y en a davantage) sont partis apprendre à faire la guerre sainte en Irak et en Syrie. Bref, la situation est bien plus grave qu’il y a quatre ans.

    Le 15 novembre 2013, sur un plateau de télévision, le philosophe Michel Onfray expliquait, devant des interlocuteurs éberlués, qu’il voyait, d’ici cinquante années, la France et l’Europe sous domination musulmane, à cause de l’immigration et de la démographie. Personne n’a contesté ce pronostic, que la caste politico-médiatique a préféré ne pas commenter.

    Dans le même temps, au Front national, un virage spectaculaire paraît s’effectuer, sur l’islam et le Grand Remplacement. Alors que Marine Le Pen, seule contre toute la classe politique, avait eu le courage de dénoncer les prières musulmanes illégales de la rue Myrha, de demander l’interdiction du voile islamique dans les lieux publics, et de protester contre le fait qu’une majorité de nos compatriotes mange halal sans le savoir, on assiste à une volte-face inquiétante. Outre la réintégration du pathétique converti Maxence Buttey, nous avons eu droit à des déclarations opportunistes de la direction vis-à-vis de l’islam, oubliant que 74 % de nos compatriotes jugent ce dogme incompatible avec nos valeurs. Nous avons entendu, d’autre part, le nouveau dirigeant du FNJ, Gaëtan Dussausaye, qualifier le concept de Grand Remplacement de racialiste, ce qu’Éric Zemmour, Renaud Camus, les Identitaires et nombre de patriotes apprécieront.

    De nombreux Français ont mis leurs derniers espoirs dans le FN, pour échapper au funeste pronostic de Michel Onfray. Mais dans ce parti, à ce jour, seul Aymeric Chauprade a osé parler de remigration, et écrire qu’une grande partie des musulmans présents sur notre sol n’avait pas vocation à y rester. C’est bien peu.

    En organisant, quatre ans après les Assises sur l’islamisation, ces nouvelles Assises sur la remigration, le Bloc identitaire est dans la continuité. Il met la direction du Front national devant une question incontournable…

    En organisant, quatre ans après les Assises sur l’islamisation, ces nouvelles Assises sur la remigration, le Bloc identitaire est dans la continuité. Il met la direction du Front national devant une question incontournable : peut-on prétendre sauver la France, sa culture, son identité et sa civilisation sans procéder à une remigration massive des adeptes de la charia (entre autres), seule solution pour sauver notre pays d’une islamisation inéluctable ?

    Pierre Cassen

    http://fr.novopress.info/178367/remigration-eviter-lislamisation-pierre-cassen/#more-178367

  • « Alliance » et programme commun contre le FN

    « CGT FN même discours ! » titrait un article mise en ligne sur le site du Point le 12 novembre qui débute ainsi : «Quand on l’interroge sur la progression de Marine Le Pen dans les sondages, François Hollande raconte volontiers à ses visiteurs une anecdote que lui a livrée le secrétaire général de la CGT, Thierry Lepaon, lors d’un récent entretien. La scène en dit plus long que bien des analyses politiques. À l’occasion d’une visite de terrain, Lepaon tombe par hasard sur un tract du FN, qu’il conserve précieusement. Quelques jours plus tard, il se rend au bureau confédéral de la CGT et lit à haute voix le texte du tract sans en révéler l’origine. Stupeur : tous les membres présents en ont immédiatement»…approuvé le contenu ! Horresco referens ! En vérité si l’on donnait à lire aujourd’hui à des électeurs frontistes la lettre du Secrétaire général du PC Georges Marchais, reproduite dans L’Humanité du 6 janvier 1981, elle serait plébiscitée  pareillement par la totalité de ceux-ci.

    Dans ce texte du dirigeant communiste, point de propos, comme dans le tract du Front évoqué dans cet article du Point, concernant un nécessaire protectionnisme, la défense de nos services publics par un Etat stratège recouvrant sa souveraineté bradée à Bruxelles. Georges Marchais y défendait tout simplement le principe d’un arrêt de l’immigration.

    Il écrivait alors: «la présence en France de près de quatre millions et demi de travailleurs immigrés et de membres de leur familles, la poursuite de l’immigration pose aujourd’hui de graves problèmes (…)  La cote d’alerte est atteinte. (…) C’est pourquoi nous disons : il faut arrêter l’immigration, sous peine de jeter de nouveaux travailleurs au chômage (…).  Il faut résoudre l’important problème posé dans la vie locale française par l’immigration. (…).  Cela rend difficiles leurs relations avec les Français (…) ».

    Aujourd’hui une telle profession de foi vaudrait à feu le camarade Marchais son exclusion manu militari de la CGT , du PC et d’un Front de Gauche qui plus généralement lui aurait fait dresser les cheveux sur la tête…

    De la même façon, ce même tract du FN  et cette même lettre de Marchais seraient approuvés par un large panel des électeurs du PS ou de l’UMP. Ce dernier parti est certes une véritable auberge espagnole idéologique, où se côtoie un personnel politique aux vues diamétralement opposées –par conviction ou opportunisme peu importe ici- que sont par exemple un Jacques Myard et un Pierre Lellouche, une NKM et un Lionel Lucas, un Laurent Wauquiez et un Alain Lamassoure…

    Une preuve supplémentaire en a été apportée par le sénateur UMP du Nord Jean-René Lecerf , chef de l’opposition UMP-UDI au Conseil municipal de Lille qui, cette semaine dans le quotidien La Voix du Nord, affirme avoir évoqué  avec Martine Aubry une alliance avec le Parti Socialiste aux élections régionales pour faire barrage au FN et à Marine Le Pen.

    « De fait, est-il rapporté, une partie de la classe politique nordiste s’inquiète de l’éventualité d’une victoire de Marine Le Pen aux élections régionales prévues fin 2015. C’est même, dit-on, l’une des principales raisons de l’opposition de Martine Aubry à la création d’une grande région Nord-Pas-de-Calais-Picardie, deux territoires où le score du FN risque d’être particulièrement élevé ».

    « Jean-René Lecerf préfère donc dire tout haut ce que certains pragmatiques pensent déjà tout bas. Il assure d’ailleurs en avoir parlé avec ses collègues de l’UMP Marc-Philippe Daubresse et Gérald Darmanin (membre de la garde rapprochée de Nicolas Sarkozy dont il est le porte-parole, NDLR): Je n’ai pas trouvé chez les uns et les autres d’antagonisme frontal» (sic).

    M.  Lecerf rejette «le risque d’une confusion entre UMP et PS»: «je n’en ai rien à faire! Appréhender entre républicains des problèmes d’intérêt général de la même manière, c’est plutôt rassurant. Ça permettrait peut-être, si d’aventure le risque Front National était avéré à l’issue du premier tour, de trouver une alliance autour d’un programme».

    Ce programme commun existe déjà dans les faits.  Mais cette alliance  permettrait surtout affirme Bruno Gollnisch,  de donner corps, de rendre immédiatement perceptible cette vérité frontiste selon laquelle le vrai clivage n’est plus entre l’aile droite et l’aile gauche du Système, mais entre les défenseurs des souverainetés et des identités nationales d’un côté, et de l’autre les libéraux-libertaires euromondialistes.

    Alain Juppé, alias « le meilleur d’entre nous » ( !), dixit le calamiteux président Chirac, donne du crédit également au constat du FN  dans l’entretien qu’il a accordé aux Inrocks et qui a été publié mercredi.

    Ce dernier ne s’embarrasse pas de subtilité ni d’inventivité pour ressortir poussivement un  vieux slogan RPR qui a fait long  feu, celui d’une « complicité objective » entre le FN et le PS.  Rappelant que sa famille politique «a toujours combattu le FN avec la plus grande fermeté»,  «moi ce qui m’inquiète» indique-t-il,  c’est le FN-PS. Il y a une vraie complicité entre le FN et le PS depuis longtemps. Elle a été inventée par François Mitterrand et a été attisée au fil des ans ».

    Mais M. Juppé est-il encore audible ? Ne lui en déplaise, les Français qui s’intéressent peu ou prou à la conduite des affaires du pays constatent que ladite complicité objective est bien entre les partis dits de gouvernements qui mènent de concert, à quelques nuances près, la même politique dogmatique d’ouverture des frontières, de submersion migratoire, d’assujettissement à Bruxelles, à l’Otan, au Nouvel ordre mondial .  Soit exactement une politique correspondant à la définition  du « parti de l’étranger »,  fustigé en son temps par le ventriloque Chirac dans son  Appel de Cochin (1976) concocté par Pierre Juillet et Marie- France Garaud.

    Pour faire bonne mesure, Alain Juppé se fend ensuite d’une analyse typiquement gauchiste de l’insécurité : s’«il y a une surreprésentation des populations d’origine étrangère dans les individus délinquants, ce n’est pas du fait de leurs origines mais parce qu’elles sont dans des conditions sociales et économiques difficiles »! Il serait bien inspiré de lire Xavier Raufer.

    Il sort ensuite la machine a phrases creuses sur l’intégration :  «Je pense que l’on peut gérer de manière heureuse notre diversité en respectant les différences de la société française tout en nourrissant un fort sentiment d‘unité nationale ». Aussi en appelle-t-il à « progresser dans les politiques d’intégration pour éviter cette confusion » (sic) entre «immigration» et «délinquance». Soit la politique menée depuis trente ans avec l’insuccès que l’on sait.

    Last but not least, le maire de Bordeaux se dit « favorable à l’adoption pour les couples homosexuels» .  Avec un art de  la  circonvolution qui laisse pantois et  en dit long au final sur le personnage.

    Il souhaite ainsi que la procréation médicalement assistée (PMA) soit  «réservée aux couples hétérosexuels qui ont des problèmes de stérilité et non être mise à la disposition de deux femmes ». «Pour moi, fondamentalement, l’acte de naissance d’un enfant c’est un homme et une femme. Ensuite, il y a l’acte d’élever un enfant ».  Quant à la gestation pour autrui (GPA), il souhaite « donner un statut » aux enfants nés de GPA, aujourd’hui privés de la nationalité française. Mais redoute « un trafic » car  la GPA elle pourrait conduire à « l’eugénisme ». « L’étape suivante sera de commander un bébé blond aux yeux bleus », craint-il. Si le bambin  est brun, frisé et  aux yeux noirs ce  serait évidemment moins grave M. Juppé? La lutte contre la bête immonde est vraiment un combat de tous les instants…

    http://gollnisch.com/2014/11/14/alliance-et-programme-commun-contre-le-fn/

  • Témoignage : vol et agression sexuelle en réunion par des migrants à Calais…

    Alice* était « la première à les défendre, à dire que leur vie n’est pas facile ». « Les », ce sont les migrants de Calais.

    « Je les vois encore… Je crois que je suis encore sous le choc, je n’ai pas encore réalisé que j’ai eu de la chance. On se dit toujours que ça n’arrive qu’aux autres… » raconte cette jeune fille de 20 ans, qui a déposé plainte pour vol et agression sexuelle en réunion lundi matin.

    Elle vient de rater le train qu’elle prend pour rejoindre l’Université, décide d’attendre le prochain en allant fumer une cigarette. « Il y avait des migrants en retrait, sur un carré d’herbe. Je ne faisais pas attention à eux. Ensuite, j’ai senti qu’on m’attrapait le bras, ils m’ont collée contre le mur. L’un a fouillé mon sac, il l’a vidé à terre. Un autre m’a attrapée à la gorge pour que je ne bouge pas et m’a touché le haut du corps. »

     

    Avec pudeur, elle décrit des caresses au-dessus de ses vêtements, « des gestes brusques » puis ajoute que le troisième l’aurait touchée « à l’entrejambe. J’étais tétanisée, je ne savais pas quoi faire. Il a déboutonné mon jean et ensuite ils sont partis quand l’autre avait fini de fouiller mon sac. Ils m’ont volé l’argent liquide que j’avais et un paquet de cigarettes. Ils sont sortis du côté de l’hôtel Métropole… »

    Elle appelle immédiatement sa mère, puis sa grand mère, prévient la SNCF mais aucune caméra n’est postée ailleurs que sur les voies… Elle est ensuite partie déposer plainte : « Je sais qu’ils ne sont pas allés très loin… Tout le monde me dit pourquoi tu n’as pas crié ? Mais je ne faisais que pleurer, j’avais tellement peur que ça dégénère. Il n’y avait personne sur les quais, les trains venaient de partir. Je ne sais plus quoi penser… »

    Elle ne sait plus quoi penser, parce qu’elle croyait sans doute, elle aussi, au « vivre-ensemble »…

    Source

    http://www.contre-info.com/temoignage-vol-et-agression-sexuelle-en-reunion-par-des-migrants-a-calais#more-35446

     

     

  • La remigration pour éviter l’islamisation

    En organisant, quatre ans après les Assises sur l’islamisation, ces nouvelles Assises sur la remigration, le Bloc identitaire est dans la continuité.   

    Le 18 décembre 2010, le Bloc identaire organisait, espace Charenton, les Assises internationales sur l’islamisation de nos pays, en compagnie de Riposte laïque et de Résistance républicaine. Quatre ans plus tard, cette fois seule, l’organisation présidée par Fabrice Robert nous propose, ce samedi 15 novembre, à Paris, les Assises de la remigration, où interviendra, entre autres, René Marchand, auteur de « Reconquista ou mort de l’Europe ».

    Que s’est-il passé depuis quatre années ? Si on en croit les chiffres du démographe Yves-Marie Laulan, lors d’un exposé sur le thème « La France en danger », en mars 2012, il y aurait en France un solde positif de 250.000 immigrés chaque année, soit 1 million depuis les Assises de Charenton. Et il ne tenait pas compte à l’époque des conséquences de Lampedusa…

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  • A Rome, le ras-le-bol de l’immigration clandestine se fait entendre

    Rome – Voilà plusieurs jours que les habitants de quartiers livrés à l’insécurité (liée à une forte présence d’immigrés clandestins) sortent de leurs maisons pour faire entendre leur ras-le-bol !

    « Vendredi 14 novembre, je serai à Rome pour montrer ma proximité directe avec les citoyens italiens qui se sentent assiégés dans leurs quartiers, harcelés par la dégradation, l’immigration illégale, la saleté et le manque total de sécurité », a communiqué Mario Borghezio, député européen de la Ligue du Nord.

    « Je vais visiter deux quartiers pauvres de la capitale placés sous le feu des projecteurs ces jours-ci. Le matin, je vais aller à Tor Sapienza, où je vais rencontrer les résidents locaux qui défendent leur droit sacré à vivre dans la sécurité et la paix. Dans l’après-midi, j’assisterai à une veillée dans la région de Fidene Serpentara où les citoyens se plaignent de la négligence totale et de l’abandon par les institutions. »

    Un déplacement à suivre !

    http://www.medias-presse.info/a-rome-le-ras-le-bol-de-limmigration-clandestine-se-fait-entendre/18098

  • Guillaume Faye participera aux Assises de la Remigration le 15 novembre 2014 à Paris

    Après Jean-Yves Le Gallou, Renaud Camus, Damien Rieu, Philippe Conrad et Jacques Bompard, la liste des intervenants aux Assises de la Remigration, organisées par le Bloc identitaire, s’allonge avec la présence annoncée de Guillaume Faye.

    Guillaume Faye est journaliste et écrivain. Il a notamment travaillé au « Figaro Magazine », à « VSD », « Paris-Match », « l’Écho des Savanes » ou encore sur la radio « Skyrock ». Dans les années 70 et 80 il a été l’une des principales figures intellectuelles de la Nouvelle-Droite avant de s’éloigner pour un temps de la politique. Revenant à la fin des années 90, il a depuis publié plusieurs essais ayant fait date.

    Dénonçant sans relâche la colonisation de l’Europe pour réveiller ses compatriotes, Guillaume Faye interviendra le 15 novembre 2014 à Paris dans le cadre des Assises de la Remigration.

    Guillaume Faye participera aux Assises de la Remigration le 15 novembre 2014 à Paris

  • Halte au « tourisme social » !

    Contre toute attente, la Cour européenne a statué que les États membres n’étaient pas « tenus d’octroyer des prestations sociales » à des citoyens « d’autres États membres » se rendant sur le territoire dans le seul but de les obtenir.   

    « Le tourisme social est un mythe ! » affirmait, il y a quelques mois, László Andor, commissaire chargé des Affaires sociales auprès de Barroso. Las, il en va des « mythes » comme des « rumeurs », il y a toujours des benêts, n’est-ce pas, pour les croire. Et s’inquiéter inutilement. Et voter de travers. Et faire trembler d’un coup, malgré la moquette épaisse et la semelle confortable des souliers Berluti, le sol sous les pieds des hauts fonctionnaires et des gouvernants. C’est contrariant.

    C’est donc de mythologie que la Cour de justice européenne s’est occupée, mardi dernier, statuant sur le cas d’une jeune mère roumaine venue, avec sa fille, chez sa sœur à Leipzig (Allemagne) dans le seul but d’y bénéficier d’aides sociales, qui lui ont été refusées par l’agence pour l’emploi locale.

    Les dernières élections européennes l’ont peut-être rendue toute chose. Légèrement flagada. Car contre toute attente, la Cour européenne a statué que les États membres n’étaient pas « tenus d’octroyer des prestations sociales » à des citoyens « d’autres États membres » se rendant sur le territoire dans le seul but de les obtenir.

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