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immigration - Page 1346

  • Le communautarisme exacerbé des élites

    Ces catégories d’individus qui ont par fonction ou par délégation le pouvoir de “dire” et de “faire” au nom et pour les autres – politiques, journalistes, experts, hauts fonctionnaires etc… – sont elles aussi frappées par ce phénomène de repli sur son groupe d’appartenance.

    La garden party de l’Elysée

    Le communautarisme, cette forme dégradée du vivre-ensemble souvent dénoncée comme facteur de division de la société, ne touche pas uniquement les grands ensembles de la population. Les élites, ces catégories d’individus qui ont par fonction ou par délégation le pouvoir de “dire” et de “faire” au nom et pour les autres – politiques, journalistes, experts, hauts fonctionnaires etc. -, sont elles aussi frappées par ce phénomène de repli sur son groupe d’appartenance.

    Alors qu’on attend de ces catégories supérieures, esprit d’ouverture, vision originale, capacité de se remettre en cause – autant de qualités mises au service de l’intérêt général, ce dangereux entre-soi produit à l’inverse du conformisme, la peur de la nouveauté et plus gravement encore la déconnexion d’avec la société. Une césure explosive à l’heure des slogans simplistes du style “tous pourris” ou “tous vendus” qu’il est grand temps de combler.

    C’est une scène classique des soirées électorales qui vient illustrer la permanence du célèbre écart jadis pointé par Auguste Comte entre le “pays légal”, celui d’une part des institutions et de leurs représentants, et d’autre part le “pays réel”, celui de “la France d’en bas”. A chaque fois que les extrêmes gagnent des voix supplémentaires, politiques et journalistes manifestent leur surprise comme si de telles poussées populistes ne pouvaient pas être prévisibles dans un pays pourtant en crise depuis trente ans.

    Une telle erreur d’appréciation est sûrement en grande partie à mettre sur le compte d’une vision tronquée d’un “petit monde” coupé des réalités et d’individus qui à force de vivre dans leur microcosme – celui d’une classe politique endogamique, de médias tournés sur eux-mêmes, ou d’experts vivant en circuits fermés – n’arrivent plus à concevoir le monde qu’à leur image. C’est-à-dire policé, politiquement correct, à l’abri de la crise.

    Prenons garde toutefois, le procès des élites est à manier avec prudence. Il a par le passé, faut-il le rappeler, ouvert la voie aux régimes totalitaires. Pour autant les attaques virulentes à l’encontre des élites émanant de populistes de tous poils, si mal intentionnés qu’ils soient, ne doivent pas occulter la réalité du divorce entre la population et ses élites.

    Jamais l’entre-soi des élites n’a paru aussi grand qu’aujourd’hui. “Des talkshows télévisuels aux dîners en ville, de cocktails en expositions, les nouveaux bien-pensants communient aux mêmes valeurs à l’écart de la société”, stigmatise le sociologue Michel Maffesoli, co-auteur, avec Hélène Strohl, d’un virulent essai sur Les Nouveaux Bien-pensants (éditions du Moment). Une forme d’autisme aux antipodes du comportement que l’on attend de ces catégories supérieures : esprit d’ouverture, vision originale, capacité de se remettre en cause, autant de qualités à mettre au service de l’intérêt général et qui manquent cruellement aujourd’hui.

    Une forme dégradée du vivre-ensemble

    Le regroupement d’individus par affinités, ressemblances ou manières communes d’être est un phénomène humain assez naturel qui n’est pas critiquable en soi. C’est sur ce ressort d’empathie que les associations et autres amicales se développent particulièrement en France, ces dernières venant fortifier positivement le lien social. Mais cette sociabilité se dévoie lorsque les groupes vivant dans leur microcosme en arrivent à rejeter les contacts avec ceux qui n’en font pas partie. Autrement dit lorsque “l’entre-soi” prime sur toute relation avec l’extérieur. On verse alors dans le communautarisme. Or cette forme dégradée du “vivre-ensemble” ne touche pas uniquement les populations des grands ensembles des banlieues, elle touche aussi, de manière tout aussi virulente, les quartiers chics des villes, ceux où résident en général politiques, journalistes, experts et hauts fonctionnaires.

    Le ressort de ce séparatisme social n’est pas ici la religion comme on le voit dans les cités mais la place que confère aux individus le statut social et professionnel. Ce critère prédominant n’étonne pas vraiment dans une France où les traces de l’Ancien Régime et de la société d’ordres demeurent toujours très présentes. “Le problème est qu’en France, l’entre-soi va de pair avec l’idée de rang et de hiérarchie. Ceux qui sont mis à l’écart du groupe sont traités avec condescendance, voire mépris tant il est vrai que la société française est construite sur le clivage entre ce qui est noble ou pas”, analyse le sociologue Philippe d’Iribarne.

    Le repli frileux sur le pré carré de l’ancien monde

    Une telle ligne de démarcation n’est pas nouvelle – cela fait plusieurs décennies que Pierre Bourdieu a mis en évidence les phénomènes de reproduction des élites via la maîtrise des codes sociaux par l’éducation, la concentration géographique des habitats et le rôle considérable de l’acquisition des diplômes dans le destinée des individus – mais sur cette toile de fond bien connue les phénomènes d’entre-soi n’ont eu de cesse ces dernières années de s’accentuer.

    “Derrière ce que nous appelons la crise, nous vivons en réalité un changement d’époque. Et les élites traditionnelles, plutôt que d’affronter le monde réel, s’accrochent à l’ancien monde et cultivent leur entre-soi pour se sécuriser”, analyse Michel Maffesoli.

    Le défi que les élites ont à relever est d’ordre existentiel puisque c’est la nature même de leur pouvoir qui se trouve mis en cause. Mondialisation, révolution numérique, crise de l’Etat providence, etc. : les politiques ont perdu les manettes, les médias la maîtrise de l’ordre du jour de l’actualité, les hauts fonctionnaires leur raison d’être interventionniste. Mais plutôt que de chercher à se réinventer et à redéfinir une raison d’être adaptée à cette nouvelle donne, les élites ont tendance à opérer un repli frileux sur leur pré carré.

    L’homogénéité du groupe plutôt que sa diversité

    Ce repli s’accompagne de la volonté de préserver à tout prix l’intégrité du groupe en opérant consciemment ou pas une sélection drastique des nouveaux venus sur le modèle du “qui se ressemble s’assemble”. C’est particulièrement net dans la sphère politique où la professionnalisation accrue des fonctions s’accompagne d’une uniformisation des profils. “Au Parti socialiste, les élus commencent de plus en plus jeunes leur carrière, souvent dans les mouvements lycéens ou étudiants où l’appareil les repère – l’Unef est ainsi un vivier important de nouvelles recrues”, observe Luc Rouban, directeur de recherches au CNRS, expert au Cevipof.

    Cette sélection qui confine à la cooptation a un inconvénient, celui de multiplier les clones. On retrouve cette même quête d’homogénéité chez les intellectuels. Une illustration parmi d’autres : le combat des élèves de l’Ecole normale supérieure, crème de l’enseignement hexagonal, pour que les étudiants entrés par équivalence dans l’école ne puissent pas se prévaloir du titre de normalien !

    Et les médias ? Selon l’avis très autorisé de Jean-François Kahn, auteur de L’Horreur médiatique, “l’unicité du corps médiatique appréhendé comme une caste autoverouillée et déconnectée du vrai monde s’apparente partiellement seulement à un mythe”. Partiellement ?

    C’est déjà reconnaître à demi-mots l’endogamie intellectuelle de médias qui perçoivent le réel “tous de la même façon et tous en même temps”. Les ressorts de l’horreur médiatique sont multiples : à l’homogénéité sociologique et culturelle s’ajoutent, circonstances aggravantes, l’absence d’autocritique et un manichéisme uniformisateur.

    Pensée unique et conformisme généralisé

    Comme pour tous les communautarismes, les effets dissolvants de l’entre-soi des élites sont loin d’être anodins. Le repli des catégories les plus élevées mine à bas bruit le pacte de coexistence démocratique qui lie les groupes sociaux dans les sociétés évoluées. Raisonnant dans un circuit fermé, où tout le monde est du même avis, la pensée du groupe n’est soumise à aucune contradiction constructive, ce qui génère un conformisme général et son corollaire, l’absence de prise de risques. Les voix discordantes sont rejetées en dehors du “cercle de la raison”. Dans l’entre- soi, on préfère raisonner en théorie plutôt que par l’épreuve de l’expérience, cela conduit inéluctablement à de graves erreurs de jugement collectives. D’où, par exemple récemment, l’incroyable emballement politico-médiatique lors de l’affaire Léonarda. De tels écarts soulignent le déphasage actuel de ceux qui ont le pouvoir, celui de “dire” et de “faire” au nom des autres. Pour y remédier, l’élite politique croit avoir trouvé la solution, en se réfugiant derrière les fameux “éléments de langage” chers aux communicants.

    Un remède pire que le mal car il vient assécher tout apport d’intelligence personnelle au nom d’une vaine quête d’efficacité à un moment où l’on a plus que jamais besoin d’idées neuves. “Les bienpensants sont dans l’incantation. Mais comme ils ne sont pas convaincus eux-mêmes par ce qu’ils racontent, ils n’arrivent naturellement pas à convaincre”, décrit Michel Maffesoli.

    Une raison de la perte de crédibilité des élites. Crise de représentativité, d’efficacité, et de confiance : l’entre-soi des élites aggrave tous les maux de la société française. Et nourrit tous les populismes, car comme l’explique Philippe d’Iribarne, “à l’arrogance des élites répond le ressentiment de la population”.

    Le nouvel Economiste

    http://fortune.fdesouche.com/335823-le-communautarisme-exacerbe-des-elites#more-335823

  • Procès politiques : la police associative fait condamner Renaud Camus

    La police associative, en l’occurrence le MRAP, manifestement aussi efficace en France que l’est la police religieuse en Arabie Séoudite — elles sont du reste l’une comme l’autre grassement subventionnées par leur Etat respectif — a fait condamner ce 10 avril 2014 le grand écrivain Renaud Camus pour "provocation à la haine contre les musulmans". 

    Un professeur de philosophie a également été condamné pour les mêmes chefs.

    L’Action française, tout en refusant de se prononcer sur le fond des propos tenus, affirme et continuera d’affirmer sa solidarité pleine et entière avec toutes les victimes d’une censure visant à interdire les débats de société ou toute contestation des bienfaits de la politique immigrationniste imposée par Bruxelles.

    LA LIBERTÉ D’EXPRESSION NE PEUT SOUFFRIR AUCUNE ATTEINTE ! SEULS LES PAYS TOTALITAIRES DÉFINISSENT DES OPINIONS COMME DÉLITS ! EXIGEONS L’ABROGATION DES LOIS SCÉLÉRATES !

    LIRE le compte rendu paru dans Le Monde, ainsi que l’entretien paru sur Boulevard Voltaire avec Renaud Camus la veille du procès

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Proces-politiques-la-police

  • Evry (chez Manuel Valls) : 4 jeunes immigrés récidivistes violent collectivement une jeune fille car elle est française

    Des actes ignobles mais désormais fréquents dans la « France d’après », envahie.

    Ils ont été scolarisés, nourris, financés par les Français.
    Ils sont mineurs mais déjà délinquants récidivistes, en liberté et sur le sol français bien sûr.
    Ils trouvent le moyen de violer collectivement une jeune Française, se justifiant ensuite auprès de la police :« les Français sont tous des fils de pute ».

    Vu dans Valeurs actuelles :

    « Il est des faits divers de portée générale. Celui-là en est un ; non par son atrocité car notre vie quotidienne en est hélas nourrie, mais par sa signification. Il s’est déroulé le 30 mars, peu après minuit, dans un parc d’Évry, le chef-lieu de la circonscription du premier ministre Manuel Valls. Comme cela s’est passé durant la nuit qui précédait le second tour des élections municipales, cette affaire n’a pas eu le retentissement mérité. Elle le devrait pourtant.

    Ce soir-là, une jeune fille de 18 ans descend du RER en gare d’Évry. À sa sortie, elle donne un appel de son téléphone portable. Quatre individus se jettent sur elle et l’emmènent dans un parc voisin. Ils la dépouillent de tout ce qu’elle possède, puis la déshabillent et la violent à tour de rôle. Un viol indescriptible de cruauté barbare. Les quatre vont la martyriser pendant plus de deux heures avant de l’abandonner, blessée jusqu’au sang. Un automobiliste la prend en charge, appelle les secours. Elle aura l’énergie de témoigner en portant plainte. Les policiers l’accompagnent aux urgences. On lui donnera trois mois d’arrêt de travail. La voilà choquée pour la vie.
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  • La France de François Hollande et de Manuel Valls...

    Barbès, c’est un quartier d’Alger ?

    Double nationalité oblige, la campagne présidentielle algérienne s’invite à Paris. Tracts sur les voitures et affiches géantes en arabe, du candidat Ali Benflis, dans le quartier de Barbès :

    Merci au Salon Beige

    Avec Valls, le problème de l’immigration est résolu !

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Dans-la-France-de-Francois

  • Le roman noir des demandeurs d’asile

     L’immigration humanitaire,

    Némésis d’une Europe compatissante

     Colloque organisé par L’Institut géopolitique des populations

    Mesdames, Messieurs, Chers Amis,

    Tout d’abord, une petite question pour introduire mon propos… D’après vous, qui a bien pu déclarer : « Toutes les demandes (d’asile) ne se valent pas et il faut pouvoir les hiérarchiser. Il faut être lucide et avoir bien conscience des pays d’où viennent les abus, sans stigmatiser les populations. Une part non négligeable de la demande d’asile correspond en réalité à de la migration économique » ?

    Qui, parmi vous, a pensé Marine Le Pen ? ou Nicolas Sarkozy ? ou une autre personnalité très à droite ? Non, mesdames, messieurs, ne cherchez pas dans ce qui vous vient naturellement à l’esprit…

    Ne cherchez pas, sauf à donner votre langue au chat ou à répondre par ce que vous penseriez être une plaisanterie ; il s’agit, figurez-vous, de notre actuel premier ministre Manuel Valls… alors qu’il n’était encore QUE ministre de l’Intérieur. Cette LUCIDITÉ, pour employer son propre terme, c’est celle qu’il a avouée lors d’un entretien au quotidien vespéral Le Monde, le 4 mai 2013 ; c’était l’année dernière… à un mois près… il y a tout juste un an !

    Précisons que je ne vais évidemment pas être exhaustif dans mon intervention sur tous les aspects du droit d’asile. Il serait passionnant d’en traiter l’historique, l’évolution à travers les siècles et les pays, mais le temps nous manque… Je ne vais pas non plus développer trop précisément chacun des aspects actuels du droit d’asile, notamment ses aspects nécessaires et les cas, tout de même nombreux, où il a été accordé à juste titre… et ceux où il a été refusé, on se demande bien pourquoi !

    Comme l’indique l’intitulé de mon intervention, je ne vais préciser devant vous que quelques aspects honteux, scandaleux, les dérives inadmissibles et les conséquences fâcheuses, voire dramatiques, d’un système désormais aux mains de véritables maffias associatives, généralement politisées à outrance, mais bien plus souvent encore motivées par la simple cupidité. J’ai donc choisi de traiter, dans le temps qui m’est imparti pour illustrer le « roman noir des demandeurs d’asile » qu’Yves-Marie Laulan m’a demandé d’aborder devant vous, dix aspects « noirs » de ce sujet : réforme en cours, Garantie universelle des loyers, expression prima facie, l’exemple des migrants du pont Kitchener à Lyon, les inévitables sas communicants entre demande d’asile et criminalité, le rappel de la CNDA à plus de solennité par le Sénat, la découverte du « cartable documentaire électronique », les faux documents en circulation, les groupes sociaux et, enfin, le juteux business de certains cabinets d’avocats spécialisés…

    J’ajoute que j’ai arrondi les chiffres cités pour une meilleure compréhension.

    Philippe Randa

    Ecrivain, éditeur et fondateur du site de diffusion Francephi, 3/04/2014

     

    http://www.polemia.com/le-roman-noir-des-demandeurs-dasile/

  • L'emploi du terme «islamophobie» est une arme qui vise la liberté d'expression

    Michèle Tribalat, qui a mené des recherches sur les questions de l'immigration en France et aux problèmes liés à l'intégration et à l'assimilation des immigrés et de leurs enfants, répond au Figarovox :

    "Clairement, l'emploi du terme «islamophobie» est une arme qui vise très directement la liberté d'expression et la réintroduction de la condamnation du blasphème, à défaut d'avoir réussi à en faire un délit. L'OCI ( Organisation de la coopération islamique) milite activement auprès des Nations unies pour que la blasphème soit reconnu et vienne limiter la liberté d'expression. L'OCI déclare que l'islamophobie est une nouvelle forme de racisme caractérisée par la xénophobie, une description négative et des stéréotypes sur les musulmans qui se comparent à l'apartheid, apartheid qu'il faut incessamment démanteler. L'OCI se vante d'ailleurs des bons résultats qu'elle commence à obtenir auprès des dirigeants occidentaux auprès desquels elle fait miroiter les avantages en termes de paix civile qu'il y aurait à limiter la liberté d'expression lorsqu'elle offense les musulmans. [...]

    La grande habileté des militants musulmans engagés dans la lutte contre l'islamophobie (CCIF) a été d'étendre l'empire de ce terme aux crimes et délits commis contre des musulmans parce que musulmans. Actes évidemment odieux et condamnables. Ils ont établi un continuum entre la critique de l'islam et le fait de s'en prendre à des personnes de confession musulmane, ce qui permet de criminaliser tout ce qui se trouve sur ce continuum. Pour l'OCI, l'islamophobie c'est surtout les productions artistiques, littéraires ou autres et les décisions occidentales posant des limites à l'affirmation de l'islam en Occident (Minarets suisses, loi sur le voile en France…) qui, on se le rappelle valent à certains de vivre sous protection policière. C'est ce que vise l'OCI lorsqu'elle parle d'intolérance et non les bouffées de violence et de dévastation qui embrasent différents points de la planète à chaque fois que la liberté d'expression lui semble avoir dépassé les bornes du supportable. Malheureusement, le mal est fait. Pour la CNCDH, comme pour le CCIF et l'OCI, l'islamophobie est un racisme déguisé qui abuse de la liberté d'expression."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2014/04/lemploi-du-terme-islamophobie-est-une-arme-qui-vise-la-libert%C3%A9-dexpression.html

  • Municipalités FN : Marine Le Pen annonce la fin des menus de substitution au porc dans les écoles

    Addendum

    [...] Aussitôt prononcés, les propos de Marine Le Pen ont été vivement critiqués, notamment sur les réseaux sociaux.

    «Marine Le Pen fait de la laïcité à l’envers», a pour sa part réagi le PCF dans un communiqué, dénonçant «une offensive anti-musulmans à peine masquée». «Edicter cette règle, c’est priver des enfants de repas pour faire exercer un odieux chantage contre leurs parents», a dénoncé le responsable communiste en charge de la laïcité, Pierre Dharréville.

    La polémique enfle donc, certains voyant dans l’annonce de Marine Le Pen la fin pur et simple des menus de substitution sans porc proposés dans certaines écoles… ce que la présidente a réfuté sur Twitter : «Polémique artificielle: il s’agit d’interdire l’interdiction du porc dans les cantines, et polémique inutile car il y a toujours 2 menus !» [...]

    Une position martelée par Florian Philippot, le vice-président du FN: «nous somme pour l’interdiction des interdictions» mais «il y a aura toujours le choix comme aujourd’hui» dans les menus, a-t-il précisé sur BFMTV, estimant que les propos de Marine Le Pen avaient été mal interprétés. [...]

    Le Figaro

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    Marine Le Pen a annoncé ce vendredi 4 avril sur RTL que la laïcité serait une priorité dans les municipalités FN. 

    Hebergeur d'image

    « Nous n’accepterons aucune exigence religieuse dans les menus des écoles », a-t-elle précisé.

    Pour la présidente du FN : « il n’y a aucune raison pour que le religieux entre dans la sphère publique. » Marine Le Pen a donc annoncé la fin des menus de substitution au porc dans les écoles. [...]

    RTL

    http://www.fdesouche.com/441297-municipalites-fn-marine-le-pen-annonce-la-fin-des-menus-de-substitution-au-porc-dans-les-ecoles

  • La tête de liste UMP aux Européennes Alain Lamassoure refuse les contrôles aux frontières nationales.

    Lu dans L'Express : Résultat, même Henri Guaino refuse de voter Lamassoure aux européennes ! Tête de liste UMP pour l' Ile-de-France, quand même !... Lire la suite »