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immigration - Page 1398

  • Le Conseil français du culte musulman : une influence grandissante sur les autorités françaises

    Mohammed Moussaoui, président du CFCM, a présidé mardi 7 septembre 2010 un prestigieux dîner de clôture du jeûne du ramadan au Pavillon Dauphine : l’occasion d’un dialogue public avec le ministre de l’Intérieur ; un événement révélateur de la place grandissante des autorités musulmanes dans le paysage politique français.
    Explications.
    Ministres et « autorités morales » : un prestigieux dîner
    Les ministres Brice Hortefeux, Eric Besson, Fadela Amara et Nadine Morano étaient là. Tout comme Jean-Paul Huchon, président du Conseil régional d’Ile-de-France, et Claude Bartolone, président du Conseil général de Seine-Saint-Denis. Plusieurs préfets étaient aussi de la partie, dont le préfet de police de Paris, Michel Gaudin. Le vice-président du Conseil d’Etat, gardien des lois, avait aussi fait le déplacement.
    Et aux premiers rangs des ecclésiastiques figuraient le cardinal Vingt-Trois, archevêque de Paris, président de la Conférence épiscopale, ainsi que le pasteur Claude Baty, président de la Fédération protestante de France.
    Tous les plus éminents représentants de la communauté juive étaient aussi présents : les Grands Rabbins de France et de Paris, les présidents des Consistoires central et de Paris, le président du Fonds social juif unifié et le président du Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF) – le CRIF dont, il est vrai, l’organisation et les méthodes servent de référence et de modèle pour le Conseil français du culte musulman (CFCM).
    Le président du CFCM a déroulé les revendications de la communauté musulmane : cimetières musulmans et mosquées
    Adoptant une posture victimaire – tout en s’en défendant – Mohammed Moussaoui a dénoncé « l’emballement médiatique et politique autour de la place de l’islam et de sa capacité à s’intégrer dans la société, les dérapages qui ont émaillé les débats sur l’identité nationale, le voile intégral, la votation suisse sur l’interdiction des minarets, le halal, etc., ont nourri une forme de crispation et menacé le vivre-ensemble ».
    Mohammed Moussaoui a déploré que « des sondages réalisés au cours de ces débats annonçaient, entre autres, que 40% des Français jugeraient la pratique musulmane incompatible avec la vie en société. Ce résultat est le plus mauvais depuis vingt ans ». Il n’en a pas moins réclamé la multiplication des carrés musulmans dans les cimetières et le doublement de la superficie des mosquées. Il a remercié François Fillon pour sa présence à l’inauguration de la grande mosquée d’Argenteuil et Brice Hortefeux pour sa présence à Clermont-Ferrand dans des circonstances comparables.
    Mohammed Moussaoui a aussi remercié Brice Hortefeux de la signature, le 17 juin dernier, d’une Convention-cadre entre le ministère de l’Intérieur et le CFCM, convention qui porte sur la mise en œuvre d’un suivi opérationnel et statistique des « actes antimusulmans » à l’instar de ce qui existe déjà pour les « actes antisémites ».
    Pour l’alimentation halal, Mohammed Moussaoui a tenu à réaffirmer que « le soutien des pouvoirs publics et l’action concertée avec le Consistoire central (juif) nous ont permis, après de longues batailles, de défendre au niveau européen l’abattage rituel ».
    Le ministre de l’Intérieur a montré tout son souci de satisfaire les revendications du CFCM et de défendre l’abattage halal
    Tout en se démarquant de tout « communautarisme », Brice Hortefeux a tenu à affirmer : « Comme ministre de la République, je ne nie pas que les communautés existent. Bien au contraire, chacun d’entre nous a son histoire propre, honore ses ancêtres, se souvient de ses racines, se sent plus ou moins proche de telle ou telle communauté, se réjouit de la retrouver lors des fêtes, se réconforte à ses côtés dans les épreuves que réserve la vie. C’est normal et c’est très bien ainsi. » On imagine que le propos vaut aussi pour… la communauté catholique, la communauté bretonne, la communauté gauloise ou la communauté des Français de souche.
    Brice Hortefeux a aussi félicité le CFCM pour son travail et a plaidé pour que l’islam prenne toute sa place en France « dans le cadre des lois républicaines ». Le ministre de l’Intérieur « a entendu le message (de son interlocuteur) relatif à la question des funérailles » et promis de faire avancer le dossier des carrés musulmans dans les cimetières.
    Brice Hortefeux a été encore plus positif sur les repas halal en déclarant : « Nous avons également avancé ensemble sur la question de l’abattage rituel dont les conditions ont été consolidées en 2009 par un nouveau règlement communautaire de l’Union européenne. Je ne peux que me féliciter de la coopération établie en la matière entre les cultes israélite et musulman. En outre, je puis vous affirmer que nous restons vigilants, en particulier en ce moment où le sujet fait l’objet de nouvelles discussions devant le Parlement européen. » En fait, le gouvernement français s’est opposé à la norme halal autrichienne qui prévoit l’étourdissement de l’animal avant égorgement. On comprend la colère de Brigitte Bardot qui avait reçu des promesses de Nicolas Sarkozy sur la protection des bêtes d’abattoirs alors que l’égorgement sans étourdissement fait subir à l’animal une longue et douloureuse agonie ; et que « le référentiel halal français » en cours de préparation va interdire toute forme possible d’atténuation de la douleur animale.
    Comme le CFCM, le ministre de l’Intérieur a aussi rejeté l’expression « islamisme radical » pour préconiser le terme « extrémisme ». « Cachez ce sein que je ne saurais voir ! » Tartuffe, pas mort !
    Novlangue et dissimulation
    Une fois de plus le mot de « République » a été largement utilisé et le « communautarisme » condamné ; et la « laïcité » a été invoquée dans le message de Nicolas Sarkozy. Mais qu’est-ce donc que des « carrés confessionnels » sinon une discrimination après la mort ? Qu’est-ce donc qu’une réglementation intégriste sur l’abattage rituel sinon l’incorporation dans le droit positif d’une norme religieuse ? Et que penser de l’inauguration répétée de bâtiments du culte par les plus hautes autorités de l’État ?
    Pour pousser leurs avantages les autorités musulmanes habillent habilement leurs revendications avec la novlangue officielle. Et les ministres s’en servent pour se cacher les réalités et agir dans le sens contraire des principes qu’ils affichent !
    Ne sommes-nous pas en plein « temps de confusion » ?
    Guillaume Bénec’h
    Polémia, 09/09/2010

  • Le voile islamique à l'université cache bien davantage que les cheveux !

    COMMUNIQUÉ de presse de Jacques MYARD, Député UMP, Président du Cercle Nation et République
    En demandant l'interdiction des signes religieux à l’université, le Haut Conseil à l'intégration a la lucidité et le courage de dénoncer des dérives qui menacent la cohésion et la paix universitaire fondements mêmes de l'excellence des études supérieures.
    Il est en effet évident que le port du voile islamique suivi du refus de la mixité, justement pointés par les présidents d’université, constituent une démarche communautaire qui ne s'arrêtera pas à ces signes visibles et se poursuivra pour imposer des règles religieuses dans l'espace public contraires à la laïcité et à l'unité de la République.
    De deux choses l'une :
    soit on met fermement un terme à ces dérives communautaristes, véritable poison de la société,
    soit par laxisme et lâcheté on joue un prétendu apaisement et demain on fera face à des actions de prosélytisme bien plus conséquentes qui conduiront à de sérieux affrontements voire à la guerre civile !
    L'heure n'est pas à rendre «  la laïcité aimable » comme l'affirment certains députés du PS en affirmant que la loi sur l'interdiction du voile intégral est inapplicable, SIC ! Elle n'est inapplicable que pour ceux qui ne veulent pas voir la réalité en face et fuient leurs responsabilités tel Ponce Pilate !
    À ce titre, les premières réactions de l'Observatoire sur la laïcité laissent perplexes et la politique du « pas de vagues » que certains de ses membres semblent vouloir adopter n'est pas de nature à conforter la nécessaire fermeté pour maintenir la cohésion nationale et le vouloir vivre ensemble !¢
    Jacques MYARD
    Député UMP
    Président du Cercle Nation et République
    Le 6 août 2013 http://www.francepresseinfos.com/

  • À Trappes, chronique ordinaire de la violence... policière, bien sûr

    Un banal contrôle de police à Trappes, dans les Yvelines, qui dégénère, sur plusieurs jours, en émeute. Banal, puisque conforme à la loi : les policiers ont voulu contrôler une femme entièrement voilée d'un niqab noir ne laissant voir que ses yeux. Qui dégénère, parce qu'il s'agit d'un quartier à très forte concentration immigrée, notamment islamique, où, c'est Le Monde qui l'affirme en citant un « penseur de Trappes » : « On en a marre que les politiques ici veuillent "blanchiser" la ville. »
    La femme interrogée se refuse, en termes rien moins qu'aimables - « Allah est grand, il va te réduire en poussière, fils de pute » - au contrôle des représentants de la loi. Son compagnon, un converti à l'islam, ne s'arrête pas en si bon chemin. Selon le rapport de police, il saute au cou d'un des policiers, et tente de « l'étrangler par l'arrière ».
    Placé en garde à vue au commissariat de Trappes, Michael K a au moins la satisfaction de voir sa compagne, qui doit s'occuper d'un jeune bébé, relâchée. Et celle, plus violente, de voir presque immédiatement quelques 300 « jeunes » marcher sur le commissariat pour exiger sa libération.
    Jusqu'à 4 heures du matin, la cité des Merisiers où se trouve le commissariat va être saccagée. Feu de poubelles, d'abribus, de voitures, tirs de mortiers, cocktail-molotov envoyés sur les forces de l'ordre, qui interpelleront... six casseurs, dont cinq seront écroués.
    Emmené au commissariat de Versailles, Michael K est en définitive relâché le samedi. Placé sous contrôle judiciaire - il lui est interdit de se rendre à Trappes -, il sera jugé en septembre.
    Pour autant, le calme ne va pas revenir, malgré cette libération et le dispositif policier mis en place. Les nuits suivantes, les violences se poursuivent. Nouveaux incendies de voitures, nouvelles agressions des représentants des forces de l'ordre.
    Le ministre de l'Intérieur a, bien sûr, appelé au calme. C'est tout... Manuel Valls, si prompt à faire condamner des jeunes gens pacifiques qui défilent sans violence pour dénoncer, dans le pseudo mariage pour tous, une « réforme de civilisation », n'a pas un mot contre l'extrémisme islamique qui s'exprime à Trappes. Et ailleurs...
    La faute à la Manif pour tous ?
    Trois raisons pour que rien ne change. La première, c'est que les policiers eux-mêmes tempèrent, en un tendancieux amalgame, l'agression dont ont été victimes les leurs. Le principal syndicat des gardiens de la paix, Unité SGP Police FO, prend ainsi des gants : « Contestation de la loi sur le voile, contestation de la loi sur le mariage pour tous. Autant d'actions plus ou moins violentes auxquelles nos collègues doivent faire face depuis plusieurs mois, avec à chaque fois des volontés de s'opposer à la loi au nom de convictions religieuses. Notre organisation syndicale ne peut tolérer que les policiers soient les boucs émissaires et les victimes d'activistes religieux de tous bord. » On ne saurait faire plus « couché » que cette honteuse comparaison entre des manifestants pacifiques et des voyous violents et haineux !
    Pourquoi, dès lors, se gêneraient-ils ? D'autant que le collectif contre l'islamophobie en France, celui-là même qui poursuit Marine Le Pen dans l'affaire des prières de rue islamiques, dénonce des « provocations policières ». Constituées non pas tant par le contrôle des policiers, que par leur simple présence dans un quartier qu'ils considèrent comme leur. Et qui, de fait, l'est !
    Seconde raison, pour les voyous, de continuer : le Défenseur des droits Dominique Baudis a annoncé qu' « il allait enquêter sur le déroulement des opérations de maintien de l'ordre à Trappes ». Pas sur l'agression subie par les policiers. Non ! Sur la façon dont ils font leur travail !
    Enfin, troisième raison, les cinq voyous (sur plusieurs centaines) interpellés et écroués, jugés en comparution immédiate devant le tribunal correctionnel de Versailles pour « rébellion et jets de projectiles sur des policiers », ont dénoncé, pour trois d'entre eux, « une erreur sur la personne ». Ils étaient simples spectateurs, voire simples passants... Deux ont été purement et simplement relaxés. Un a été condamné avec sursis. Deux, tout de même, ont été condamnés à des peines de quelques mois de prison ferme. Moins, bien moins que ce que demandait le Ministère public, qui a décidé de faire appel.
    Trois jours plus tard, les violences ayant continué, Manuel Valls a fini par venir voir ce qui se passait. Pour s'assurer que le calme était revenu. À une jeune musulmane qui dénonçait l'appareil policier, le ministre a rétorqué : « Il n'y a aucune excuse aux fauteurs de troubles. » Pas démontée pour si peu, elle a rétorqué : « Il n'y a aucune excuse quand les forces de l'ordre interpellent les gens sans raison. »
    La violence est nationaliste
    Et, en définitive, Manuel Valls lui aura donné raison. En Conseil des ministres, c'est à la dissolution de deux « mouvement d'extrême droite » : l'Œuvre française et les Jeunesses nationalistes, qu'il procédera au lendemain des événements de Trappes.
    « Il n'y a pas de place dans notre pays pour la haine, la xénophobie, l'antisémitisme ou des actes antimusulmans », a-t-il déclaré, fier de son action. Les rodomontades du coq contre des groupes qui ne représentent aucun danger, comme le gazage de militants pacifiques, Manuel Valls connaît.
    Mais poursuivre les voyous de Trappes ou les hooligans du Trocadéro, là, c'est autre chose. Pour quoi faire d'ailleurs ? Tout est rentré dans l'ordre... Puisqu'on vous le dit !
    Olivier Figueras monde & vie 30 juillet 2013

  • « Affaire Cypel »: en attendant la mise au point de Bruno Gollnisch…

    « La mesure est excellence » : cet adage de la pensée grecque antique reste décidément bien étranger aux différentes tribus qui composent le PS et le lobby cosmopolite politico-médiatique. En témoignent les réactions délirantes au commentaire de Bruno Gollnisch faisant état des propos déplacés du député de Seine-et-Marne et porte-parole du PS Eduardo Rihan Cypel. « Non, M. Eduardo Rihan Cypel, la France n’est pas un pays raciste » relevait le député européen sur son blog. « La preuve elle vous a accueilli, elle a accueilli votre famille, elle a financé des cours pour que vous puissiez apprendre le français. » « Ne vous croyez pas autorisés à stigmatiser ceux qui trouvent quand même qu’il y a un peu trop de nomades qui viennent en France ».

    N’ayant pas peur du ridicule, Eduardo Rihan Cypel a annoncé hier sa décision « d’engager des poursuites judiciaires contre M. Gollnisch » au motif que « lorsqu’on est victime de propos à caractère raciste et xénophobe (?!), on ne doit jamais laisser passer ni sur le plan politique, ni sur le plan judiciaire ».

    Notons, et le site du Figaro évoquant cette « affaire » en est un exemple probant parmi d’autres, que les commentaires des internautes soulignent le décalage existant entre un pays réel apportant son soutien au dirigeant frontiste et les indignations de la Caste représentant le pays légal ou à tout le moins défendant ses intérêts et sa position dominante.

    Dans un entretien accordé le 5 août au site de L’Express, Eduardo Rihan Cypel expliquait gravement que « Le racisme et la lutte contre l’extrême-droite est au fondement de (son) engagement politique. Je suis rentré au PS après le 21 avril 2002 (jour de l’accession au second tour de la présidentielle de Jean-Marie Le Pen, NDLR) ». Comme c’est original…

    Il expliquait aussi la vraie raison de cette montée au créneau du parti de l’étranger , à savoir la peur d’une réaction du peuple français bien décidé à reprendre en main son destin en votant massivement pour l’opposition nationale l’année prochaine : « Je ne pressens rien de bon pour les municipales » confiait-il. « Il faut qui il y ait un réveil pour ne pas laisser un millimètre d’espace à ce genre d’injures à la république et à ses valeurs ». Il y a beaucoup de culot dans cette dernière affirmation tant il est vrai que c’est bien la politique euromondialiste menée par le PS qui est à contrario et à proprement parler une injure permanente aux valeurs de notre pays.

    Avec leurs gros sabots, les garde-chiourmes du Système ont logiquement multiplié les déclarations pour se solidariser avec M. Cypel en feignant de ne pas comprendre (?) la nature des propos de Bruno Gollnisch et se sont bousculés pour conspuer à travers celui-ci tous les Français qui entendent le rester.

    Les éléphants ont multiplié les tweets indignés, notamment le président de l’Assemblée nationale, Claude Bartolone qui a conspué « les propos abjects de B. Gollnisch », ou encore l’obscur ministre Guillaume Garot qui a évoqué des « propos misérables aux relents d’avant-guerre ».

    Pour sa part, le sénateur PS David Assouline a inspiré (à moins que cela ne soit l’inverse) le premier secrétaire du PS Harlem Désir qui avec la finesse qui le caractérise a pondu un communiqué pour dénoncer les « propos insupportables » de Bruno Gollnisch qui « s’inscrivent dans la plus ignoble tradition de l’extrême droite française ». Le brave Harlem et ses acolytes ont décidément du mal à se renouveler et font entendre le même disque rayé dans toutes les circonstances.

    Pierre Kanuty, conseiller régional PS d’Ile-de-France, puise-lui aussi dans la boîte à fantasmes pour expliquer qu’« en quelques jours, Frédéric Haziza puis Eduardo Rihan Cypel sont les cibles de l’extrême droite. Ceux qui ont cru qu’elle avait tourné la page de l’antisémitisme en sont aussi pour leurs frais. »

    Exploitant jusqu’à la corde le même nauséabond filon, M. Kanuty s’est essayé à la métaphore en notant que « sous le vernis bleu marine demeure, intacte, la réalité brune ou vert de gris d’une extrême droite passionnément raciste », avant d’expliquer que M Cypel a fui la dictature au Brésil pour laquelle le FN aurait eu comme de bien entendu les yeux de Chimène. Pathétiquement con… venu.

    « La gauche ferait bien de faire front face à cet ennemi qui veut disloquer la société » avance-t-il encore, même si les Français constatent plutôt que c’est la gauche immigrationniste (et une droite du même tonneau) qui est la première responsable de la désagrégation de notre pays.

    Il est ainsi dans l’ordre des choses que le délicat Conseiller régional Geoffroy Didier, alter ego de Guillaume Peltier, cofondateur du courant de la Droite forte (sic) au sein de l’UMP et proche Jean-François Copé, se soit fendu d’un tweet de soutien à M Cypel, à l’instar de la « conseillère politique » de l’UMP Aurore Bergé…

    Tout aussi peu surprenant, l’inénarrable journaliste Claude Askolovitch a « remercié » Bruno Gollnisch de « nous restituer le frisson salvateur de l’antifascisme », son confrère Frédéric Haziza a évoqué « la peste brune en action », une « France rance et pétainiste » tandis que le plagiaire de la loge Cambacérès, Joseph-Macé Scaron, dénonçait « un nouveau dérapage » du député frontiste…

    Dans un entretien qui sera enregistré aujourd’hui et mis en ligne demain sur ce blog, Bruno Gollnisch fera le point sur cette affaire…

    http://www.gollnisch.com

  • L’inquiétante islamisation des facs françaises

    PARIS (NOVOpress) – Le Haut Conseil à l’intégration (HCI) vient de transmettre un rapport à l’Observatoire de la laïcité. Il note que les directeurs de l’enseignement supérieur sont confrontés à de « nombreux contentieux (liés aux religions) intervenus dans tous les secteurs de la vie universitaire ». Le cœur du problème : l’islamisation des facs devient alarmante. De plus en plus d’universités « font face à des demandes de dérogation pour justifier une absence, au port de signes d’appartenance religieuse, à des actes de prosélytisme, à la récusation de la mixité tant au niveau des étudiants que des enseignants, à la contestation du contenu des enseignements, à l’exigence de respect des interdits alimentaires, à l’octroi de lieux de culte ou de locaux de réunion à usage communautaire… », peut-on lire.

     

    « Les problèmes n’ont pas disparu, ne se sont pas raréfiés mais se sont banalisés ». Des « actions souterraines (associations cultuelles masquées, conférences à contenu politico-religieux, etc.) », sont révélées dans le rapport et des professeurs se plaignent de « la difficulté qu’ils éprouvent parfois à organiser des binômes d’étudiants des deux sexes ». Le Haut Conseil à l’intégration milite pour l’adoption d’une loi interdisant « dans les salles de cours, lieux et situations d’enseignement et de recherche des établissements publics d’enseignement supérieur, les signes et tenues manifestant ostensiblement une appartenance religieuse ». Cette mesure vise directement le port du voile islamique. Mais elle semble dérisoire tant cette revendication musulmane a colonisé le quotidien des Français, grâce au laxisme des gouvernants. En revanche, stopper l’immigration de masse permettrait de lutter efficacement contre la propagation islamique en France.

    http://fr.novopress.info

  • Tout pour les « quartiers », rien pour la France pauvre

    La France va concentrer ses efforts sur 1.200 quartiers défavorisés au lieu de 2.400 actuellement, a déclaré vendredi la porte-parole du gouvernement. L’État va y investir 5 milliards d’euros.

    « Il s’agit de mettre fin à un certain saupoudrage et de se concentrer sur les territoires qui en ont le plus besoin », a déclaré Najat Vallaud-Belkacem, précisant : « Ces nouveaux quartiers prioritaires seront définis sur la base d’un critère unique et global de revenu des habitants – pour le dire autrement : de la pauvreté des habitants. »

    Question : pourquoi les quartiers et pas les départements les plus défavorisés ?

    On nous dit que seul le revenu des habitants doit être pris en compte, mais alors il faut privilégier le Cantal, l’Ariège et l’Aude, les trois départements les plus pauvres. D’après une étude du Secours catholique, corroborée par les autres associations caritatives, dans ces départements 80 % des personnes aidées par ces organisations sont de nationalité française. Est-ce pour cela que l’on n’en parle jamais ?

    86,1 % des demandes exprimées portent essentiellement sur l’alimentation, mais le plus bouleversant est le besoin d’écoute des gens faisant l’objet d’une séparation, d’un divorce, d’un abandon ou encore souffrant d’isolement. Ils sont ainsi 67,4 % à attendre un peu de chaleur humaine. Ils sont loin d’être retraités : 41,5 % des personnes les plus touchées sont âgées de 25 à 40 ans ; leur dénuement est souvent la conséquence du chômage, lui-même essentiellement provoqué par une maladie de longue durée ou un accident. Il faut savoir que dans ces coins de l’Hexagone, 30 % des habitants ne touchent aucun revenu, et même lorsqu’ils bénéficient du RSA (50 % d’entre eux), leurs problèmes sont souvent insurmontables.

    Cette situation est elle tolérable ? Est il tolérable, par exemple, que Lyliane, retraitée de 62 ans, sans argent et sans domicile, ait dormi en juin dans un cimetière de Vineuil-Saint-Firmin, dans l’Oise, après avoir erré dans la région ? Est il tolérable qu’elle ne vive plus chez elle depuis 2006, victime de fraudes bancaires l’ayant laissée sans ressources ?

    Abandon ou désintérêt, cela fait longtemps que nos gouvernements successifs ont laissé tomber les Français de régions perdues. Comment tolérer de voir une partie de la France au bord de la mendicité alors que des sommes considérables sont déversées dans les cités de la petite couronne, et de Seine-Saint-Denis notamment ? Comment tolérer que les voitures brûlées, les trafics de drogues ou d’armes prospèrent dans ces mêmes quartiers « défavorisés » quand les ruraux des villages, malgré leur misère, paient leurs impôts et leur loyer ? Comment tolérer que le Qatar aide en priorité, dans notre pays, ces mêmes zones souvent de « non-droit » au détriment de départements totalement sinistrés ?

    Madame Vallaud-Belkacem, on attend avec intérêt la rentrée pour connaître le nom de vos quartiers et combien se situeront dans les départements les plus pauvres. Hélas, on se fait peu d’illusions !

    J.-P. Fabre Bernadac dans Boulevard-voltaire

    http://fr.altermedia.info/

  • Les charognards, par NB

     

    L’Univers est quelque chose qui dépasse l’entendement. Ses dimensions sont hors de portée de notre esprit. Le seul fait même d’essayer d’en prendre conscience peut faire perdre la raison. On ne peut que le « conceptiser », l’évaluer mathématiquement.

     

     

    L'Univers est infini. S'il était fini, il serait dans quelque chose, et ce quelque chose dans quelque chose, et ainsi de suite... comment prendre conscience de l'infini… c’est impossible !

     

    Que la vie existe ailleurs, sur d’autres planètes… c’est évident.
    Il serait terriblement prétentieux de croire que nous sommes les seuls dans l’Univers, follement prétentieux, stupide même. La vie fait partie intégrante de l’Univers.
    Elle en est sa propre conscience. Sans conscience des choses… rien n’existe… RIEN ! C’est le non-sens total, l’absurdité absolue.¢

     

     
    LA VIE EST LA CONSCIENCE DE L’UNIVERS. 

     

     

    Elle est sûrement un peu partout. Quelquefois très loin sans doute, mais elle est un peu partout… c’est évident. Qu’il existe sur d’autres planètes des êtres plus civilisés, moins sauvages, moins préhistoriques, moins égoïstes… plus fins,  plus moraux, plus civiques, plus savants… c’est évident aussi.

     

     

    Face à l’univers et à la vie, que savent nos savants… peu de choses ou pas grand-chose. Bref, les savants savent, mais pas tout, et heureusement mon Dieu, heureusement ! En fait, ils ne sont rien d’autres que des gens qui en savent plus que ceux qui en savent moins.

     

     

    Quant à Dieu, oui, il existe, c'est sûr, car LA PERFECTION existe. Cette perfection, physique, intellectuelle, morale que chaque être pressent et cherche à atteindre tout au long de son existence, en vain… en fait c’est Dieu.

     

     

    Quels sont les desseins de Dieu ?... c’est un pur mystère… comme d’ailleurs est un pur mystère sa création la plus extraordinaire : LA VIE !

     

     

    Que dire devant une chenille qui se transforme en papillon, une graine en fleur, un bourgeon en fruit, que dire quand les feuilles renaissent sur l’arbre, quand un nuage voile un instant le soleil, quand un arc-en-ciel clignote dans le vent, quand le givre éclaire de mille feux un buisson décharné, quand une jeune fille rosit sous le regard d’un jeune homme ou quand un enfant vient au monde et tant d’autres choses encore… que dire ?… Rien. Il suffit de regarder et de voir.

     

     

    Le fonctionnement de la vie est tout à fait mystérieux et pourtant, il est d’une logique absolue, une logique qui nous dépasse totalement mais qui est là, toujours là, incontournable, phénoménale, implacable.

     

     

    La vie est belle, très belle, merveilleusement belle, mais à la fois dure, très dure, cruelle, impitoyable. La vie n’est faite que de proies, de prédateurs et de charognards, et son fonctionnement est incroyablement sain, logique et équilibré. Un maître-mot régit tout, de la naissance à la mort : l’HARMONIE.

     

     

    Proie, prédateurs, charognards se côtoient, s’interpénètrent, se combattent ou se fuient, dans un perpétuel ballet où le nombre des uns et des autres ne cessent de se contrebalancer, de s’équilibrer et de s’harmoniser...

     

     

    Les plantes sont la proie des herbivores, les herbivores des carnivores, carnivores qui eux-mêmes retournent un jour à la terre pour contribuer à la fertiliser. Quant aux charognards, ils ont un rôle beaucoup plus important qu’on ne le croit. Un rôle de nettoyeur. Ils existent pratiquement dans toutes les espèces.

     

     

    C’est une race à part, très semblable, mais qui, trop faible pour capturer elle-même ses proies, se contente des restes des grands prédateurs. Elle évolue donc en permanence soit à la périphérie du territoire des prédateurs, soit carrément à l’intérieur, à l’affût de carcasses encore fraîches ou de tout animal faible ou affaibli : nouveau-nés, vieillards, femelles en couche, etc...

     

     

    Ils sont d’une grande agressivité, se mettant sans arrêt à plusieurs pour blesser tout animal qui passe, puis après l’avoir harcelé et suivi partout à la trace  ils l’achèvent dans un chaos indescriptible en s’entredéchirant.

     

     

    Quand proies, prédateurs ou charognards deviennent trop nombreux, Dame Nature ou le bon Dieu, comme on veut, n’y va pas par 4 chemins : elle rétablit systématiquement le juste équilibre en éliminant les individus indésirables.

     

     

    L’histoire des koudous, une variété d’antilope d’Afrique du sud est symptomatique.
    Ces antilopes, protégées, n’ayant plus de prédateurs, se sont mises à proliférer tant et plus… jusqu’au jour où elles commencèrent à mourir comme des mouches.

     

     

    Le professeur Van Hoven de l’université de Pretoria fut envoyé sur place. Après avoir autopsié plusieurs koudous, il découvrit une chose toute simple et tout à fait étonnante : les koudous morts, avaient été empoisonnés par des morceaux d’écorce d’acacia dont ils raffolent. Ces écorces contenaient 3 à 4 fois la quantité de tanin normale, c'est-à-dire une dose mortelle.

     

     

    En fait, les acacias, sur-agressés, victimes d’une surpopulation de koudous, s’étaient mis à produire suffisamment de tanin pour les éliminer.

     

     

    Fabuleux, non !

     

     

    De même quand les grands fauves se trouvent être trop nombreux et qu’il n’y a plus alors assez de proies, ils finissent par s’entretuer ou mourir de faim, et l’équilibre naturel se rétablit tout doucement.

     

     

    Idem pour les charognards.

     

     

    Quand les hyènes deviennent trop nombreuses, elles finissent par investir le territoire des lions et par les en chasser… au bout d’un certain temps, elles crèvent inéluctablement de faim.

     

     

    Chapeau Dame Nature ! Quelle classe ! Impitoyable mais juste.

     

     

    Une chose aussi est particulièrement remarquable… c’est cette incroyable aptitude de chaque être à préjuger d’un danger ou d’un non-danger.

     

     

    Souriez à un bébé, il va vous sourire, froncez les sourcils, il va pleurer… c’est comme ça, c’est spontané, instinctif, ça ne s’explique pas… c’est un mystère !

     

     

    Pourquoi a-t-on envie de caresser une biche ou de prendre un moineau dans sa main ou de la tendre pour que s’y pose un papillon ? Pourquoi ? Mystère ! Pourquoi n’a-t-on pas du tout envie de caresser une araignée, un serpent ou un crocodile ? Mystère ! Pourquoi un lion ou un aigle nous impressionne fortement alors qu’une hyène ou un vautour ne fait que nous répugner ? Sans même le savoir, à leur seule apparence, on comprend aussitôt que ces derniers sont des charognards.

     

     

    Tout est simple, très simple, si simple…

     

     

    Pour en prendre conscience il suffit de ne pas raisonner… il suffit de regarder et de… VOIR ! Quand vous vous trouvez devant le plus beau coucher de soleil du monde, si vous raisonnez… vous ne le voyez pas. Quand vous vous trouvez devant la plus belle femme du monde, si vous raisonnez… vous ne la voyez pas. Quand vous vous trouvez devant le plus grand danger du monde, si vous raisonnez… vous ne le voyez pas.

     

     

    Je ne remercierai jamais assez Dame Nature, ou Dieu, je ne sais pas trop, de m’avoir doté de cette précieuse faculté de m’abstenir de temps à autres de tout raisonnement et de… simplement regarder et VOIR.

     

     

    J’ai pu ainsi voir que le Maghreb est le Maghreb parce qu’au Maghreb il y a des maghrébins, l’Afrique parce qu’en Afrique il y a des Africains, l’Europe parce qu’en Europe il y a des Européens.

     

     

    J’ai aussi vu qu’une biche a une tête de biche parce que c’est une biche, qu’un lion a une tête de lion parce que c’est un lion, un singe une tête de singe parce que c’est un singe, un noir une tête de noir parce que c’est un noir, un vautour une tête de vautour parce que c’est un vautour, un arabe une tête d’arabe parce que c’est un arabe.

     

     

    Et surtout, surtout, ce qui ne m’a pas échappé, ce qui est d’une simplicité époustouflante, d’une évidence monumentale, d’une flagrance basique, c’est que chaque espèce a sa race de charognards… même l’espèce humaine.

     

     

    Bien sûr, il y a toujours ici ou là quelques prédateurs qui peuvent se comporter en charognards et quelques charognards en prédateurs… cela arrive… mais ce sont des exceptions, et l’exception n’est pas la règle.

     

     

    Actuellement nous sommes infestés de charognards.

     

     

    Ils arrivent même avec leur religion et tentent de nous pousser hors de notre territoire.
    Dame Nature réduira-t-elle leur nombre en nous laissant mourir, ce qui entrainerait inévitablement leur disparition, mais aussi la disparition de toute l’espèce ou évitera-t-elle ce cataclysme en nous faisant réagir sainement ?
  • Le déraillement du RER de Brétigny expliqué par Michel Chevalet : le sabotage est une évidence

  • L’Autriche s’islamise

    [article du journaliste Laurent Glauzy]

    D’après une étude réalisée conjointement par l’Institut démographique de Vienne et l’Académie autrichienne des Sciences, le visage ethnoreligieux de l’Autriche va se modifier de manière radicale d’ici les cinquante prochaines années.

    Au terme de cette échéance, la population catholique évaluée à 75 % en 2001, devrait plonger au-dessous des 50 %. Les protestants constitueraient de 3 à 5 % et les musulmans de 20 à 26 % de la population. Par ailleurs, cette évolution laisse présager que, dans les zones urbaines, l’islam sera d’ici cinquante ans la religion la plus représentée. Selon les auteurs de cette étude, la cause principale de la diminution de la population catholique est la transformation de la société durant ces trois dernières décennies due à l’augmentation des comportements hédonistes et à l’explosion de l’immigration extra-européenne.
    En 1971, on recensait en Autriche 93 % de chrétiens, alors que trente ans après la part des habitants « sans confession » a triplé. Elle est passée de 4 à 12 %. Pour cette même période, la population musulmane s’est accrue de 0 à 4 %. Dans vingt ans, la barre des 10 % devrait être franchie. Elle devrait passer à 26 % en 2051.
    Cette forte progression s’explique évidemment par le taux de fécondité qui en 2001 était de 1,32 enfants pour une Autrichienne contre 2,34 enfants pour une Musulmane. Aujourd’hui, 8,1 % des enfants ayant moins de 10 ans sont issus de foyers mahométans. « Si les taux de natalité actuels continuent, en 2051, l’Islam pourrait constituer la majorité chez les moins de 15 ans », estime ainsi l’Académie autrichienne des Sciences qui note que 83,6 % des musulmans épousent un partenaire de même confession.

    Laurent Glauzy http://www.contre-info.com

    Laurent Glauzy est l’auteur de :
    Témoins de Jéhovah, les missionnaires de Satan
    Illuminati. « De l’industrie du Rock à Walt Disney : les arcanes du satanisme ».
    Karl Lueger, le maire rebelle de la Vienne impériale
    Atlas de géopolitique révisée, tome II
    Atlas de Géopolitique révisée (Tome I)
    Chine, l’empire de la barbarie
    Extra-terrestres, les messagers du New-Age
    Le mystère de la race des géants

  • Ecoeurant : une immigrée explique qu’elle n’a pas besoin de payer son appartement