Lu dans Les 4 Vérités :
"En 2012, 193 655 personnes ont immigré légalement en France : 86777 au titre du regroupement familial, 59152 pour étudier, 18842 pour raisons humanitaires, 16921 seulement pour travailler et 11 963 pour d’autres motifs."
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Lu dans Les 4 Vérités :
"En 2012, 193 655 personnes ont immigré légalement en France : 86777 au titre du regroupement familial, 59152 pour étudier, 18842 pour raisons humanitaires, 16921 seulement pour travailler et 11 963 pour d’autres motifs."
Ernst Marx, « responsable du groupe de travail publicité » de la police de Rhénanie-Palatinat, appelle cela « poser des jalons pour l’évolution démographique ». Dans cette région aussi, le grand remplacement de population va bon train du fait de l’immigration et de la dénatalité des Allemands.
La solution ? Augmenter la proportion des immigrés parmi les policiers, et d’autant plus que « les connaissances linguistiques et culturelles des candidats avec des racines étrangères constituent un enrichissement pour la police »
« Dans la police aussi, souligne Herr Marx (par ailleurs professeur à l’école régionale d’administration), nous devons avoir la même composition que la société ».
En Rhénanie-Palatinat, la part des policiers de nationalité étrangère ou issus de l’immigration est actuellement évaluée à entre 9 et 12%. « Nous voulons arriver le plus vite possible à 20% », explique Marx.
Des contacts ont donc été pris avec toutes les organisations immigrées afin de faire de la publicité pour une carrière dans la police. Des réunions d’information sont prévues dans les nombreuses mosquées de la région, en commençant par les villes de Bad Kreuznach (trois mosquées selon le site « Trouver une mosquée en Allemagne ») et de Wittlich.
http://fr.novopress.info/141039/allemagne-la-police-recrute-dans-les-mosquees/#more-141039
Figure majeure de la dissidence enracinée, Jean-Yves Le Gallou a participé depuis plus de 40 ans à de nombreuses initiatives tant sur le terrain électoral que sur celui du combat culturel. Il se consacre désormais à ce dernier, dans une perspective gramsciste assumée. La fondation Polémia, dont il est le président en est une belle illustration.
Jean-Yves Le Gallou, bonjour. Avant de recueillir votre point de vue sur quelques thèmes essentiels d’actualité, pouvez-vous revenir brièvement sur votre parcours de militant enraciné et d’intellectuel organique ?
Je distinguerai trois grandes étapes dans mon parcours d’identitaire engagé :
- De 1968 à 1985 d’abord dans le combat des idées au sein du GRECE (cercle Pareto à Sciences-Po) puis du Club de l’Horloge. Avec deux publications principales : Les Racines du futur(1) qui analyse des seuils de rupture (délinquance, dénatalité, immigration), dénonce la société marchande (qui n’avait pas encore atteint son apothéose !) et prône le ré-enracinement dans les valeurs européennes. C’était un livre à contretemps qui aujourd’hui pourrait être dans l’actualité. Et La préférence nationale : réponse à l’immigration(2), un sujet – l’immigration/ catastrophe – sur lequel je reviendrai en 2014, chez Via Romana, dans un livre sans concessions ni compromis.
- De 1985 à 2002/2004, j’ai accordé la priorité au combat politique au Front National d’abord puis après la scission de 1999 au MNR. Je m’y suis occupé de l’implantation militante en Île-de France, des études et des idées et du travail dans les municipalités. J’ai pas mal participé à la revue Identité. Au Parlement européen, je me suis battu (contre l’actuel président du Parlement, le socialiste Schulz) pour la défense des libertés publiques. A la région Île-de-France (ou j’ai présidé un groupe qui a toujours pesé grâce à la proportionnelle), j’ai empêché ou réduit les subventions à des associations nocives : la LGBT par exemple. Hélas, le chapitre subventions a quadruplé depuis 2004 !
- Depuis 2002, je me suis réinvesti à fond dans le combat culturel et le combat d’idées en créant la fondation Polémia le 2 décembre 2012.
Le “combat culturel” et ce que l’on peut également la “métapolitique” ont en effet été très tôt, au cœur de vos préoccupations, pouvez-vous revenir sur ces notions et leur importance dans votre démarche ?
Je crois que les idées mènent le monde : pour les idées des hommes sacrifient leur carrière, leurs biens, leur liberté et parfois leur vie. C’était vrai hier. C’est encore vrai aujourd’hui comme Dominique Venner vient de le rappeler dans son geste sacrificiel. Bien sûr les intérêts comptent aussi (et pour beaucoup !), mais pour s’imposer ils doivent aussi prendre le détour des idées : c’est pour cela que la finance mondiale et les grandes multinationales ont envahi le champ culturel.
Polémia a été le fer de lance de ce combat culturel, 10 ans après sa création, quel bilan tirez-vous ?
Ce qui compte c’est durer. On ne bâtit rien sur l’éphémère.
En dix ans Polémia a mis en ligne sur son site plusieurs milliers de contributions parfois reprises sur d’autres sites, le plus souvent originales. C’est une véritable encyclopédie politiquement incorrecte. Un outil à disposition de tous : réinformateurs, étudiants, élus ou militants.
Nous avons aussi accompli un gros travail sur le vocabulaire en publiant deux dictionnaires : un Dictionnaire de Novlangue(3) (pour dénoncer les manipulations du vocabulaire par les dominants), un Dictionnaire de la Réinformation(4) (pour doter notre camp de ses propres outils d’analyse).
On en vient naturellement à ce que vous avez si bien nommé “la tyrannie médiatique”. Vous semblez face à cette dernière user de deux stratégies : la riposte avec l’OJIM ou encore la cérémonie annuelle des Bobards d’Or (photo ci-dessus) ; et le contournement avec Radio Courtoisie, qui conquiert chaque jour de nouveaux auditeurs, grâce notamment à la diffusion sur internet. Est-on en passe de fissurer le blockhaus médiatique ?
La tyrannie médiatique(5) définit le régime que nous subissons : la classe financière et la classe journalistique imposent leur vue du monde à travers le contrôle des médias : mondialisme, libre-échangisme financier et commercial, sans-frontiérisme et immigrationnisme, rupture des traditions et culpabilisation. La tyrannie médiatique s’impose aux esprits par un matraquage permanent et l’arme suprême de la diabolisation. Elle tétanise les hommes politiques : il n’y a plus ni hommes d’Etat, ni démagogues il ne reste plus que des médiagogues : des hommes et des femmes qui déclarent ce que les médias veulent entendre…simplement pour s’y faire inviter. Le Maire, NKM, Pécresse et quelques autres ont découvert le zéro absolu en politique.
Alors depuis 10 ans Polémia s’est attaché à analyser la tyrannie médiatique, parce que décrire une tyrannie, c’est déjà l’affaiblir. Notre travail alterne samedis austères, les journées d’études de la réinformation (la prochaine aura lieu le 26 octobre et sera consacré à la publicité) et soirées de détente comme la cérémonie des Bobards d’Or. Au demeurant très sérieuse, au-delà de son côté ludique….
D’autres prennent le relais et je m’en réjouis. Créé par Claude Chollet, l’Observatoire des journalistes et de l’information médiatique (OJIM) fait effectivement un travail remarquable.
D’un mouvement marginal limité aux militants traditionnels “pro-vie”, la contestation contre la dénaturation du mariage et la loi dite Taubira, a embrasé l’opinion publique et fait converger à plusieurs reprises plus d’un million de manifestants sur Paris. La pétition devant le CESE, en rassemblant 700 000 signatures en quelques jours, est probablement la plus forte tentative de démocratie directe de cette décennie. Que retenir de cette vague ? Que peut-on espérer pour l’avenir ?
Il y a deux lectures possibles des événements.
Selon la lecture pessimiste, c’est un échec : la loi est voté et pour le gouvernement c’est « circuler, il n’y a plus rien à débattre, c’est une loi de la République ». Reste qu’en passant en force le régime a montré son vrai visage, celui d’une dictature de minorités : minorités sexuelles, sectaires et médiatiques. Une dictature pépère, pépère peut-être mais dictature quand même qui veut façonner l’opinion des enfants dès la maternelle !
Je préfère la lecture optimiste ! Selon cette lecture, pour la première fois depuis 1968 les défenseurs de la tradition se sont réveillés pour refuser une dérive libérale-libertaire qui n’en finit plus et un constructivisme sociétal aberrant. Et pour réaffirmer l’évidence des identités primordiales : les différences sexuelles aujourd’hui, les différences raciales demain. Mai 2013 est le pendant de mai 1968. Une nouvelle génération politique y est née. Et la volonté de continuer à combattre sur le terrain (dans les villes, dans les écoles) est intacte.
Le terme de “populisme chrétien” évoqué par Patrick Buisson vous semble-t-il signifiant ?
Cela me paraît plus large que cela. C’est la France réelle qui s’est levée : blanche toujours, chrétienne de croyance ou d’origine, européenne de civilisation. C’est une France bien élevé qui élève des enfants et paie des impôts. Ses adversaires auraient tort de ricaner sur son côté « classes moyennes ». Ce sont toujours les classes moyennes qui font les révolutions. Même si nous n’y sommes pas encore.
Au cœur d’une crise économique dont nous ne pouvons réaliser l’importance réelle, notre famille politique semble enfin prendre conscience que l’enracinement et la défense de notre identité n’est pas conciliable avec un capitalisme sans frontières, un libéralisme sans limites dont l’intérêt réside justement dans la disparition des identités. Dans quelle mesure souscrivez-vous à la formule d’un “socialisme identitaire”, telle qu’elle est défendue – entre autres – par Alain de Benoist ?
Alain de Benoist est un grand anticipateur. Il a toujours eu plusieurs coups d’avance notamment pour dénoncer l’empire mondial et la société marchande, ce qu’il appelle la « forme capital ». Pour le socialisme identitaire je suis un peu dubitatif : le concept de socialisme me paraît daté et l’Etat –providence et l’assistanat ont beaucoup d’effets pervers.
Le système UMPS semble à bout de souffle, chaque nouveau sondage confirme la montée des convictions populistes dans l’opinion. Malheureusement, nous connaissons la relative inconstance de cette dernière et la puissance des médias pour la retourner au moment opportun. Une réussite durable ne passe-t-elle pas par un patient et profond travail de terrain, qui puisse durablement marquer les esprits des Français en les libérant du maelström politiquement correct ? Marine Le Pen semble consciente de ce nécessaire ancrage local, est-on sur la bonne voie ?
Parlons des municipales si vous voulez bien.
Il n’y a pas beaucoup de suspense ! Sauf dans les grandes villes, le PS va prendre une raclée. Sans beaucoup d’efforts ni de mérite, l’UMP va gagner des communes. Et le FN remportera quelques victoires : à Carpentras ? À Hénin-Beaumont, A Forbach ? A Béziers avec Ménard ? Sans doute dans des endroits auxquels nous ne pensons pas !
Mais au-delà de la géographie électorale, la question qui se pose à ceux qui vont se faire élire – en particulier sur des listes « modérés » ou « divers droite » ou « intérêt local » est la suivante : pour quoi faire ? Pour l’écharpe ou le grigri ou pour agir ?
Entrer dans une municipalité n’a de sens que si on y va dans un esprit de résistance ou de reconquête. Quitte à choisir un secteur de combat et s’y consacrer et à celui-là seul ! Les écoles, la culture, le patrimoine, les cantines, les subventions, les locaux municipaux, les terrains d’exercice sont nombreux !
Mais encore ?
Sur les écoles, il ne faut pas s’intéresser seulement à l’intendance mais au fond. Comment ? En fédérant les parents d’élèves qui en ont marre des dérives politiquement correctes dès le primaire. Ou en boycottant l’achat d’ouvrages malsains : histoire-propagande ou théorie du genre. Et puis en aidant des écoles indépendantes à trouver des locaux.
Sur les cantines, il faut refuser tout achat de viande halal et revenir à des menus plus traditionnels tout en privilégiant le localisme.
Sur le patrimoine, il faut veiller sur l’entretien des bâtiments historiques et des églises, cesser de sacrifier les musées et remplacer les minables logos commerciaux par les blasons : le temps des armes de la ville doit revenir !
Sur la culture ?
Vaste chantier ! Y rétablir la pluralité et la diversité à la bibliothèque municipale, au cinéma, au théâtre. Sans sectarisme bien sûr mais aussi sans accepter le sectarisme des autres. Et cesser de céder aux sirènes du non-art contemporain. Retrouver l’art caché selon la jolie expression d’Aude de Kerros.
Sur les subventions ?
Il faut taper dans la butte et cesser de subventionner les nuisibles : les syndicats politiquement corrects, les lobbys gays, antiracistes, et immigrationnistes, les associations étrangères, les communautaristes musulmans et autres, tout ce petit monde doit être mis à la diète.
Sur les locaux ?
Là aussi un mot d’ordre : pluralisme pour permettre aux nôtres de s’exprimer
Quant à “l’union des droites”, où en est-on ? Est-ce même un concept réaliste ?
L’union des droites me paraît un concept un peu politicien. Je suis plus proche des gens de Riposte laïque venus de la gauche que des UMP mous, pardon du pléonasme, dont la devise des dirigeants est « grandes gueules, petits bras » !
Ce dont il faut se méfier par-dessus tout ce sont les médiagogues : ces hommes et ces femmes qui calquent leur attitude sur celle que les médias de l’oligarchie attendent. Les « quadras » de l’UMP se croient « avancés », ils ne sont qu’avariés. Leur modèle est périmé.
Bref à une illusoire union des droites je préfère pour ma part une autre démarche « politiquement incorrects de toutes origines, entendez-vous, unissez-vous ».
Quels sont les conditions d’une telle entente ?
D’abord le respect de la diversité des uns et des autres ; tout le monde n’est pas obligé de partager les combats d’autrui. Ainsi, il est permis d’attacher plus d’importance à la lutte contre la dénaturation du mariage qu’à la lutte contre l’immigration ou l’inverse bien entendu. Il est loisible d’accorder plus d’importance à la sortie de l’euro qu’à la dénonciation du non art contemporain ou l’inverse évidemment. C’est affaire de gout, de conviction, de capacités aussi.
Mais attention à ne pas dénigrer l’action du voisin. L’arme du système, c’est la division de ses adversaires ; et l’instrument de la division c’est la diabolisation. Evitons de tomber dans ce piège !
Pour moi, la faute politique absolue, c’est de croire qu’on peut se dé-diaboliser en participant à la diabolisation de ses voisins. Une erreur que beaucoup commettent (pensez aux tentations de certains dirigeants de la Manif pour tous). Cela s’appelle « hurler avec les loups » : c’est moralement minable et parfaitement inefficace pour deux raisons : cela renforce le processus global de diabolisation et par contagion cela contribue à diaboliser le gros malin qui croit se dé-diaboliser !
Pour cela il faut refuser d’entrer dans le jeu des médias dominants : ce n’est pas à eux de délivrer les certificats de fréquentabilité ! Avec l’émergence des médias alternatifs, il n’est plus nécessaire de payer son droit de péage aux autoroutes du politiquement corrects.
Le mot de la fin ?
Le mur de Berlin est tombé, le mur médiatique tombera !
Propos recueillis par Pierre Saint-Servant
http://fr.novopress.info/141014/les-grands-entretiens-de-novopress-jean-yves-le-gallou-13/
Notes :
1) Les racines du futur, Masson, 1977.
2) La Préférence nationale : réponse à l’immigration, Albin Michel, 1985, réédition 1988.
3) http://archives.polemia.com/article.php?id=5443
4) http://www.polemia.com/pdf/DicoTotal.K.pdf
5) http://www.polemia.com/la-tyrannie-mediatique-de-jean-yves-le-gallou-2/
L’un des principaux stratèges militaires britanniques, Le contre amiral Parry vient de lancer un avertissement solennel : la civilisation occidentale est confrontée à une menace du même degré que les invasions barbares qui ont détruit l’Empire Romain.
Dans une vision apocalyptique des menaces, Chris Parry déclare que les migrations à venir seraient comparables aux Goths et aux Vandales tandis que des pirates "barbaresques" nord-africains attaqueraient des yachts et des plages dans la Méditerranée d’ici 10 ans.
L’Europe, y compris la Grande-Bretagne, pourrait être sapée par des groupes importants d’immigrés avec peu d’allégeance envers leur pays hôte - une "colonisation à l’envers", selon les termes de Parry. Ces groupes resteraient liés à leur pays d’origine par l’Internet et les vols à bas coût. Selon l’expert en stratégie, le concept d’ "assimilation" est en train de devenir périmé.
"Un de mes principaux soucis actuels est la question des diasporas", a révélé Parry qui estime à plus de soixante dix le nombre des diasporas en Grande-Bretagne.
Le contre-amiral pense qu’à l’avenir, des groupes importants qui s’établiront en Grande-Bretagne et en Europe après des migrations de masse causées par l’instabilité politique, les déséquilibres démographiques, voire le dérèglement climatique pourraient développer des communautés d’intérêt avec les régions instables ou anti-occidentales.
Le département que dirige le contre-amiral Parry compte cinquante personnes.
Jean Raspail, lui, avait abouti aux mêmes conclusions tout seul, et trente-cinq ans plus tôt dans son célèbre roman d’anticipation : "le Camp des saints".
Les images, d’une extrême violence, parlent d’elles-mêmes : les caméras de la gare de Cesson ont tout filmé de l’agression gratuite dont a été victime un couple de 23 ans, le 17 août, sur le quai de la station du RER D.
Les images montrent deux étrangers s’en prendre violemment à 2 Blancs, Léa (en short) et à David en le frappant à coups de pied et de poing, l’étranglant et lui fracturant les deux mâchoires. Sur le quai, presqu’aucun voyageur ne s’est interposé.
Le Parisien décide, comme c’est de coutume chez les journaleux, de nommer les agresseurs « Sébastien » et « Joseph ».
« Le gouvernement va continuer à se battre, […] secouer le cocotier, […] s’attaquer aux racines du mal, aux portefeuilles des trafiquants » a proclamé le Premier ministre à Marseille.
Quel sens accorder à cette descente de ministres décidée à chaud hier matin en ouvrant le journal après le 13e assassinat de l’année dans la nuit sur la voie publique à Marseille ?
Serait-ce l’occasion d’afficher la belle cohésion gouvernementale autour du chef Ayrault dans une ville qui ne s’étonne plus de rien, entre un président du Conseil général renvoyé en correctionnelle, une députée condamnée pour détournement de fonds, des policiers ripous pris la main dans le sac, le tout en quelques mois et sur fond de gangstérisme généralisé ?
Faut-il plutôt y voir le souci de contrôler le turbulent ministre de l’Intérieur parti pour une échappée solitaire avant que la brigade ministérielle ne le remette dans le rang. L’activisme et le « parler- vrai » de Manuel Valls en agacent beaucoup à gauche et au gouvernement, son chef n’aura pas manqué l’occasion de le remettre à sa place, tout près de lui. A sa gauche Valls, à sa droite Taubira et Touraine.
Jean-Marc Ayrault s’est donc appliqué à montrer qu’il ne suffisait pas de mettre des uniformes à toutes les entrées d’immeubles pour faire la paix à Marseille. Chacun sait que les quartiers nord de la ville sont ravagés par la pauvreté et le chômage et qu’ils fournissent la main-d’oeuvre de tous les trafics possibles.
Marseille connaît le plus fort taux de récidive en France, des cités à l’abandon et le poids de l’immigration s’y fait sentir plus qu’ailleurs. Ça vaut largement un déplacement ministériel. Là où la droite ne montrait que bâton et coups de menton, la gauche a encore la faiblesse de croire qu’elle peut rompre la fatalité dans cette ville unique et fascinante. À suivre.
Il n’échappera pourtant à personne que c’est à Manuel Valls que revient en premier la besogne du champion de l’ordre qu’il veut devenir. Autant la liste des crimes s’allongera à Marseille, autant Valls portera après Sarkozy, Hortefeux et Guéant, le chapeau de l’impuissance publique. La gauche aurait tort de se pincer le nez, l’enjeu est de taille.
Les politiques marseillais des deux bords trop occupés à leur clientélisme et à leurs rivalités internes voient, élections après élections, une troisième force monter. Aux prochaines municipales marseillaises, c’est le FN qui leur tend une embuscade.
Jean-Louis Hervois, Edito Charente Libre, 21/08/2013
http://www.polemia.com/tir-groupe-sur-marseille/
Valls hésite à Sion
Selon Libération, l’Ibère à Sion aurait tenu des propos de table pas du tout casher !
Titre : « Valls jette un froid à la table du séminaire. »
« Une sortie du ministre de l’Intérieur sur la politique migratoire et l’islam a choqué certains ministres. »
Le Catalan aurait osé susurrer que : « La question du regroupement familial pourrait être revue. »
Rien ne permet d’affirmer que ce fut à la baisse.
Quand même !
Cependant pour la canaille verte, c’est le simple fait de s’autoriser à oser murmurer la question qui est un crime de lèse-diversité.
La ministre Pussy Riot couleur gazon du gouvernement a affirmé, péremptoire, que la question du regroupement familial, dont Manuel Valls a jugé qu’elle "peut être posée", "ne se pose même pas : le droit à vivre en famille ne souffre pas d’exception. Il est garanti par l’article 8 de la Convention européenne des droits de l’homme" !
Quant à madame Taubira des goûts et des gens de couleurs, qui tient d’une main de velours le gynécée de l’Injustice, elle a renchéri contre le Premier Flic éternellement menotté de fer.
Le Camp des Saints du Regroupement Africain fait de l’Ex-France le Port, l’Asile, le Havre des coups de couteaux dans le cœur, des égorgements plus ou moins rituels, des marches blanches et des identités maquillés, il ne doit en aucun cas être traité comme une Auberge espagnole où l’on vient simplement bouffer, niquer, déféquer !
Il est l’Arche sainte, le Sanctuaire ! Dedans doit régner la liberté sans frein, et la certitude de l’impunité ! Sinon c’est le fascisme.
Si « l’Ex-France est un Hôtel », on ne va pas non plus dire c’est complet !
Quand même !
Valls avec Bachir ואלס עם באשיר
Quand à se demander si « l’islam est compatible avec la démocratie », n’est ce pas précisément ce que le gouvernement auquel Monsieur Valls appartient démontre inlassablement en Syrie, en armant jusqu’aux crocs les plus fanatiques, les plus irascibles djihadistes, afin de reverser une odieuse tyrannie ?
N’ayons garde d’oublier, quand même, que ce gouvernement ne dégoutte pas seulement d’arguments de Pissotière, il ruisselle aussi de sang, du sang du peuple Syrien martyrisé par ses soins.
Et puis quelle injustice d’instiller une suspicion de droite, d’extrême droiture envers un ministre qui poursuit avec bonheur l’édification de la station d’épuration des eaux minérales Celtic qui prennent leur source à Vichy.
Récemment encore L’Ibère à Sion fit Œuvre de dissolution, Française, à l’encontre du fascisme bodybuildé, anglophone et libanais, qui fait encore, par excès d’optimisme, le salut de la quenelle vers le haut !
Quelle erreur d’orientation, quand même !
Quand on est fourré à l’Intérieur d’un pouvoir de l’Extérieur qui ronge le dernier mince vernis de civilisation, il est tout à fait naturel d’être soi-même décapant.
Mais les qualités dissolvantes de ce corrosif gouvernement n’auront pas réussi à dissoudre dans sa graisse le plus dissolu des hommes, ni à corrompre le printemps d’un vieux peuple frondeur.
Valls noble & sentimental
Se souvient-on des sanglots longs de celui n’était pas encore le Premier policier devant la mise en scène policière, d’une « cruauté insoutenable » [sic et sniff], de M. Strauss chargé de fers, et marchant vers le violon ?
Tendre poulet quand même !
Spectacle insoutenable et pas longtemps soutenu, étant donnée que la négresse de maison-close, repue des millions de dollars de la Truie, palpés après les gonades du Goret, fit son deuil de la domesticité orale, libérant la Bête lubrique.
Les yeux noirs de l’Ibère à Sion resteront ils humides quand même le prévenu Gaston Laquereau de Mille, alias Dominique Souteneur du Karlton ne serait pas parfaitement lavé de tout soupçon de « proxénétisme en bande organisée », bien que demeurant, chaque priapique matin au sortir de la douche, éternellement lié à sa libido sui generis ?
Nous prend-on à ce point pour des avaleurs de sabres, en nous faisant gober que cette vie de Porc était ignorée de toute la Porcherie, et spécialement de la clique strictement strauss-kantique qui se prélasse actuellement sous les portraits de Richelieu et de Bonaparte ?
Strauss-cancan
Avoir échappé à DSK en chair et en testostérone pour en arriver à un strict gouvernement de ses épigones, c’est à dire un despotisme S-K au carré, c’est farce quand même !
Et pire ! On imagine mal l’affidé des Chandelles, le Gengis-Khan du Cul, le Pacha de la Chatte, le Maquereau présumé mais néanmoins aggravé de Lille, en père la pudeur féministe en train de durcir la législation délirante en matière de mœurs.
Ainsi ce seront les affidés, les disciples, les héritiers politiques d’un des plus grand Putassier que la terre ait connu qui offriront ce maroquin à une Belkacem afin de criminaliser le fait d’aller aux putes !
Une fois n’est pas coutume, je suis d’accord avec son avocat qui a dénoncé un "détournement" de l’infraction de proxénétisme "à des fins moralistes".
« Il apparaît dès lors clairement qu’au travers de cette poursuite on cherche à créer un nouveau délit pénalisant les clients de la prostitution là où la loi ne le prévoit pas », a-t-il expliqué, jugeant que la mise en examen de son client représente « une menace pour les libertés individuelles, bien au-delà de son cas personnel ».
Dans l’affaire du Carlton, le Parquet de Lille devra donc éviter soigneusement le non lieu précédemment requis, puisque la culpabilise à Sion des clients, revient en dernière analyse à la protection des putes, et surtout à celle des proxénètes.
Sinon que deviendraient les Femen et les bailleurs de fonds des Femen ?
Quand même !
Valls de Vienne
Heureusement face à ce tombereau d’ordures, la fronde des éboueurs fronçais se poursuit vaillamment.
Comme dans certaines communes du Pays basque, comme à Vienne [du Rhône non pas du beau Danube bleu], où les maires ne souhaitent pas unir par les liens étroits du mariage les sodomites et les gomorrhéennes énamourés !
Le Premier Flic, éternellement lié lui-même, serait-il à ce point entravé qu’il ne puisse enchaîner à la loi ces récalcitrants, et les jeter dans un cul-de-basse-fosse comme Samuel ou Estéban, Pierre, Pascal, Nicolas, et tous les autres prisonniers politiques, passés, présents et à venir ?
Que nous aiderons en allant manifester joyeusement samedi 14 septembre à Paris, à l’appel du Collectif pour la défense des libertés publiques.
Quand même !
http://www.egaliteetreconciliation.fr/L-Ibere-a-Sion-dans-l-arene-19674.html