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immigration - Page 1439

  • La paysannerie, fer de lance de l'Occident

    L’immigration africaine et maghrébine que l'on subit actuellement est une immigration qui est incapable de cultiver et qui sera toujours incapable de cultiver, c'est à dire de nous nourrir. C'est donc une immigration sans intérêt.
    De la main d'œuvre on en a. Il suffit de piocher dans notre administration, tentaculaire, étouffante, inutile et pléthorique.
    Les paysans ont non seulement un grand sens de la famille, un grand sens moral, mais ils ont aussi le sens de la terre, du terroir, de la propriété, des limites et des frontières. Ils sont l'âme de notre pays depuis toujours. Quand on s'adresse à eux, on est sûr de s'adresser à LA FRANCE.
    Le FN devra, prioritairement s'appuyer sur nos paysans.
    Mon beau-père était paysan, d'origine italienne. Un italien du nord aux yeux clairs. Un grand gaillard, avec des mains deux fois comme les miennes. Un type qui était allé à l'école primaire seulement 2 ans, de 7 ans à 9 ans.
    Il parlait un français impeccable, pratiquement sans accent et écrivait presque sans fautes, alors que l'on sait la difficulté de notre écriture et quand il entendait chanter la marseillaise il pleurait... oui, il pleurait !
    Travailleur infatigable, c'était un père, un époux, un voisin, un ami et un beau-père parfait. Je ne lui connaissais aucun défaut, sauf justement, peut-être, celui de ne pas en avoir, et je me suis mis à penser tendrement à lui hier soir. Je me disais: "que serait la France sans des gens comme lui ?"... "que serait le monde ?"...
    Les peuples du tiers-monde sont de plus en plus nombreux parce que plus féconds. Nos femmes ayant moins d'enfants que les leurs, notre population diminue pendant que la leur augmente à la vitesse grand V.
    Ce qui les gonfle de fierté, d'orgueil, leur donne toutes les arrogances du monde et leur font caresser les espoirs les plus fous et les rêves le plus stupides: ils vont nous remplacer... d'autant que tous nos grands cerveaux, statisticiens, calculateurs, puissants cogiteurs et nobles intellectuels devant l'éternel, chiffres en main, raisonnement par A plus B en main, leurs donnent raison: leur grand nombre et notre faible nombre fera, peu à peu et inéluctablement qu'ils seront un jour les maîtres du monde.
    Mais voilà, tous ces beaux messieurs oublient une chose... oh! une toute petite chose... une chose ridicule, insignifiante... une chose qui va de soi... une chose dont il n'est même pas nécessaire de parler tellement elle est futile, sans importance... une chose si dérisoire, tellement ordinaire, commune... une chose d'un quotidien, d'un banal... bref, une chose tout à fait négligeable: NOUS MANGEONS TOUS LES JOURS.
    Hé oui ne vous en déplaise messieurs les cerveaux, nous mangeons, et tous les jours... vous, moi, même les gens du tiers-monde.
    Et s'ils mangent, c'est grâce à nous et uniquement grâce à nous, grâce à nos paysans qui se crèvent pour vous, pour nous, et pour EUX, entre 12 heures et 14 heures par jour, toute l'année, le plus souvent sans week-end, sans congés, sans fêtes, par tous les temps, et même la nuit pour les labours, avec les phares.
    Seul l'Occident est en autosuffisance alimentaire. Seuls l'Occident produit des aliments en excédent et il les vend pour trois fois rien, quand il ne les donne pas.
    Tous ces islamistes agressifs qui nous toisent du haut de leur toute-petitesse et qui ne cessent d'essayer de nous détruire ou de nous dominer, tous ces africains d'Afrique ou des îles qui ne cessent de nous traiter de sales colonisateurs, de sales exploiteurs, sont parfaitement incapables de subvenir à leurs simples besoins alimentaires.
    Ils sont totalement inconscients du fait qu'ils ne vivent ou ne survivent que grâce à nous. Ce qu'ils ont dans leur assiette, le plus souvent vient de chez nous, vient du travail de nos paysans.
    L'agriculture occidentale, c'est l'arme absolue contre tous ces minables, ces imbéciles et ces ingrats, toujours prêts à mordre la main qui les nourrit.
    Ce sont nos paysans qui font que ces pays ridicules existent. Sans eux c'est la famine et la dépopulation.
    Depuis la nuit des temps, depuis que le monde est monde, l'agriculteur a toujours été considéré comme un être vil, un sous-homme, un esclave, juste bon à nourrir ceux qui ne faisaient rien... et qui étaient tellement plus importants, vous pensez bien !
    Pourtant les paysans sont la base des bases.
    J'ai vécu 5 ans à la campagne, avec ma femme, quand nous étions jeunes. Je les ai vu travailler. Incroyable !
    Ah bien sûr, ils sont libres... « C’est le temps qui commande » comme ils disent... mais quel boulot bon Dieu quel boulot. Ce sont de petits chefs d'entreprise. Il faut avoir beaucoup de qualités pour mener une exploitation, même petite. Il faut savoir gérer, donc ne pas être idiot, il faut être un peu mécanicien, un peu vétérinaire, un peu chimiste, avec tous les produits qui sont utilisés et il ne faut surtout pas compter son temps et sa peine. La Sécu ne les rembourse qu'à 50% (100% pour les gitans, les clandestins et les fonctionnaires-bidons... qu'ils font manger). Ils sont écrasés d'impôts et de taxes de toutes sortes et on s'arrange toujours pour leur acheter leurs produits pour trois fois rien. En plus, la société entière les snobe... on fait comme s'ils n'existaient pas, on les évite, les ignore... on fait tout pour ne pas en parler... un paysan... vous pensez bien !
    Pourtant ce sont des gens qui ont souvent un grand sens de la famille et un grand sens moral. C'est honteux !
    Comment les gens les plus indispensables à notre vie peuvent-ils être les plus méprisés.
    Sans doute la nature humaine... C'est vrai qu'il est très difficile de supporter de se sentir en dette envers quelqu'un... C'est peut-être ça, mais je n'en sais rien. Pour moi, cela restera toujours un mystère.
    Toujours est-il que la paysannerie est le fer de lance de l'Occident.
    Il l'a toujours été et il l'est aujourd'hui plus que jamais. 
    Tous les pays minables qui nous jalousent, nous insultent et viennent trépigner et baver jusque devant notre porte sont totalement dépendants de nos paysans: l'Algérie importe 60% de son alimentation, l'Egypte 70%, l'Arabie Saoudite qui essaie de dominer le monde 100%, les autres pays du tiers monde entre 30 et 80%. Seule la Chine est en auto-suffisance alimentaire, et encore pas tous les ans. L'Inde en est encore très loin.
    Grâce à notre agriculture nous avons un moyen de pression énorme et imparable sur pratiquement tous les pays du monde. On peut les affamer du jour au lendemain.
    La France est beaucoup plus puissante qu'il n'y paraît car elle possède une paysannerie nombreuse, travailleuse, efficace, très productive: "L'Agriculture française est la deuxième du monde" disait Marine dans son discours d'investiture à la présidence du FN.
    Elle le redira sans doute dans son discours d'investiture à la présidence de la République. Les paysans...voyez un peu la beauté de leurs campagnes, de nos campagnes... ces paysages enchanteurs, bucoliques...
    Quel travail ! C'est incroyable, colossal.
    Bravo mesdames, bravo messieurs... sans vous...
    Même pour marcher sur la Lune il faut d'abord manger.
    Sans paysannerie, aucun pays n'existe? aucun, aucun, aucun !
    Le mépris total, l'ignorance totale du paysan, qui est fortement ancrée dans notre culture, fait qu'on se laisse imposer des prix exorbitants pour les matières premières. Le pétrole par exemple.
    Un sac de pomme de terre devrait valoir mille fois un barril de pétrole.
    Manger est quand même plus important que tourner une clef de contact.
    Hé bien non ! Il semblerait que non. On en est arrivé à ce point d'aberration que l'on nourrit des gens qui non seulement nous ruinent, nous épuisent mais nous menacent.
    Alors que nous pourrions les mettre à genoux le plus facilement du monde.

    Ce monde est fou !

  • Racisme anti-Blancs, islamisation : bienvenue à Meaux

    Racisme anti-Blancs, islamisation, substitution ethnique, communautarisation : bienvenue dans la ville de Jean-François Copé.

    La parabole du pain au chocolat, un reportage sur la cité de Beauval, à Meaux, diffusé le 22 novembre sur France 2 (« Complément d’enquête »).

    Deux « Français d’origine » présentés dans le reportage : Pamela et son fils Warren. « Leur religion : le hip-hop. » Leur meilleur ami : Ali. Signe particulier : « le mélange des cultures »

    « On est dans un contexte qui, malheureusement, peut faire peur aux Français de souche. (…) Ce qui a changé c’est la population. »

    http://www.fdesouche.com/

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  • À propos des étrangers qui se sont battus pour la France

    Quand j'étais gamin, un petit vieux qui avait fait quatorze - dix-huit m'avait raconté une drôle d'histoire. A l'époque, on écoutait les anciens.
    Alors qu'il revenait du front, il avait pris le train pour revenir chez lui, dans les bons vieux trains aux sièges de bois. Il était entré dans un compartiment où se trouvait un tirailleur sénégalais. Lorsqu'il s'est assis, une odeur pestilentielle lui a pris le nez et la gorge. Cela venait-il du tirailleur sénégalais ? A l'époque, il était encore permis de penser cela. Mais justement non, cela ne venait pas de là, mais de la musette du sénégalais. Dedans se trouvait une tète de «Boche» blond aux yeux bleus grands ouverts que le tirailleur avait emmené chez lui comme un trophée. Il l'avait prélevée avec son coupe-choux sur un cadavre allemand. Il voulait ramener cela en Afrique dans son village natal et susciter ainsi l'admiration de ceux de sa tribu envers le «guerrier».
    L'ancien «poilu» m'avait aussi raconté que pendant leurs heures perdues, ceux des troupes coloniales coupaient les oreilles des «Boches» pour en faire des colliers. C'était leur façon à eux de défendre les valeurs républicaines.
    Dans les films, on montre souvent les troupes allemandes réserver un sort particulier aux troupes coloniales. Il est vrai qu'ils en avaient gardé un souvenir particulier pendant la première guerre mondiale.
    Vérité ici, erreur au-delà. Les Allemands ont toujours trouvé incorrecte l'utilisation des troupes coloniales par les Anglais et les Français. C'était selon la formule consacrée « amener le nègre sur le Rhin ». Quand les Français avaient occupé la Ruhr après la première guerre mondiale, ils avaient trouvé malin, pour humilier un peu plus les Allemands, d'envoyer des troupes coloniales ce qui a d'ailleurs eu comme contrecoup de faire monter l'extrême-droite allemande.
    À l'heure où la république nous parle sans cesse de la dette de la France envers les étrangers qui se sont battus pour elle, il est bon de rappeler la vieille histoire de cette relation et faire son récapitulatif.
    Pendant la révolution française, la populace parisienne avait massacré les Gardes suisses qui s'étaient mis au service de la France et de son roi. Ce ne fut guère glorieux tout comme pour les Harkis que le gouvernement gaulliste a abandonnés et laissé massacrer.
    Pendant la seconde guerre, on a beaucoup parié des républicains espagnols qui sont arrivés les premiers dans leurs blindés à Paris. Serait-il inconvenant de se poser la question de savoir si c'étaient les mêmes qui, quelques années plus tôt en Espagne, violaient les bonnes sœurs, incendiaient les monastères et les églises, égorgeaient les curés.
    La république aime insister avec complaisance sur le rôle des étrangers qui se sont battus à notre place et que l'on doit admirer. Ironie de l'Histoire : cela finit par rejoindre la propagande nazie pour qui la République avait complètement abâtardi les Français, incapables de se battre, poussant dans le dos leurs frères de couleur pour aller au casse-pipe défendre les « valeurs républicaines » (les revoilà, celles-là).
    D'ailleurs, pendant la première guerre mondiale on n'a pas envoyé à l'abattoir que les troupes coloniales (loin de là). Il suffit de lire les listes interminables de noms sur les monuments aux morts pour trouver ridicule la fixation que l'on fait actuellement sur les vingt mille musulmans qui sont morts (1% des pertes).
    Certes la France a encore envoyé en Indochine des troupes coloniales, mais il y a eu beaucoup d'anciens Waffen SS ou tout simplement de la Wehrmacht qui se sont, en fin de compte, jusqu'en Algérie, plus longtemps battus dans l'armée de la république que pour l'Allemagne nazie. Lorsque la république nous dit qu'il faut rendre hommage aux étrangers combattants, on se doute bien que ce n'est pas à ceux-là qu'elle nous demande de penser. A Dien bien Phu Français et Allemands se sont trouvés unis dans le même sacrifice.
    Il ne faut pas non plus oublier que certains étrangers qui ont combattu dans l'armée française ont après tourné casaque et nous ont tiré dessus, comme certains chefs du FLN. La France les avait formés et appris à se faire la main à nos dépens. Beaucoup s'étaient engagés uniquement pour la solde. La France les a donc payés.
    Ceux qui pendant la guerre, s'étaient engagés pour des raisons idéologiques, l'avaient fait pour combattre l'homme blanc représenté alors par l'Allemagne. Faut-il pour cela leur dire merci pour l'éternité ?
    Nous conclurons de tout ceci qu'un peuple guerrier doit avant tout compter sur lui-même. L'apport dans le fond infime qu'ont apporté certains étrangers ne justifie au total aucune dette pour la France, tant sur le plan moral que financier. Nous n'avons à rendre hommage qu'aux vrais guerriers qui se sont battus toute leur vie pour notre pays uniquement.
    De la même façon on aurait pu tout aussi bien étudier les Français ou Gaulois qui se sont battus pour une puissance étrangère, des légions gauloises de l'Empire romain jusqu'à la division Charlemagne, sans oublier tous les mercenaires français qui se sont battus pour des causes diverses
    Patrice Gros-Suaudeau 

  • Xavier Lemoine : « Aux municipales de 2020, les islamistes pourraient être majoritaires »

    Xavier Lemoine, maire de Montfermeil, Radio Courtoisie. 2 nov 2012.

    « En Ile-de France, les populations, par déménagement successifs, migrent pour constituer des unités homogènes qui ont leurs propres règles. Nous assistons à une partition de la société française..»

    « Nous sommes sur des bascules démographiques sur un certain nombre de territoires. Certaines populations seront majoritaires et dans une homogénéité culturelle qui fera qu’elles tenteront par tous les moyens d’obtenir le pouvoir. Les islamistes m’ont averti : « En 2014, vous passerez, mais en 2020 nous serons majoritaires »
    « Le rétropédalage de Manuel Valls sur le droit de vote des étrangers fait partie de cette prise de conscience : si les maires de droite sont balayés, ce sera ensuite le tour des maires de gauche »

    http://www.fdesouche.com

  • L'union de la droite dans l'opinion des Français

    Il y a deux droites en France : la droite classique et la droite populiste. Ces deux droites ne sont pas sociologiquement homogènes. Il y a davantage de hauts et moyens revenus, de diplômés et de retraités dans la droite classique (UMP et centristes) que dans la droite populiste (Rassemblement bleu marine) qui mobilise même davantage les classes populaires que la gauche. En revanche, il y a une assez grande proximité idéologique : sur l’immigration, sur la sécurité, sur les questions de société, sur le protectionnisme, les électorats des deux droites partagent les mêmes orientations. En revanche, des divergences apparaissent sur l’Europe et le modèle économique. Tel est le diagnostic solidement argumenté qui a été présenté par Philippe Baccou lors de l'université du Club de l'Horloge le 20 octobre 2012.
    Polémia.

    Etienne Lahyre vient de nous donner un premier état de l'union de la droite au vu des récents résultats électoraux. Ses analyses sont très précises et stimulantes pour l'esprit. Elles montrent bien qu'il existe déjà dans les urnes, et de plus en plus, un potentiel d'union de la droite : un potentiel qui justifie que les composantes politiques de la droite se rapprochent, qu'elles coopèrent et qu'elles luttent ensemble contre leurs adversaires.

    Voyons maintenant ce qu'il en est sur un autre plan, celui de l'opinion publique. Je vous parlerai donc ici non plus de votes, mais de sondages. Et j'essaierai de répondre à une question précise : Que disent ces enquêtes sur la capacité du peuple de droite à s'accorder autour de valeurs communes, de convictions communes, de propositions communes et de stratégies politiques communes ?

    Droite populiste / Droite classique

    Commençons par quelques questions de vocabulaire. De quelle droite, de quel peuple de droite parle-t-on ? Je limiterai la droite à deux familles politiques. La première famille est constituée autour de l'UMP et de ses alliés ou associés tels que le Parti radical de Jean-Louis Borloo, le Nouveau Centre d'Hervé Morin, le Mouvement pour la France de Philippe de Villiers, le mouvement Chasse, Pêche, Nature et Traditions de Frédéric Nihous ; j'y ajouterai, bien qu'il ne puisse être considéré à proprement parler comme un allié de l'UMP, le mouvement Debout la République de Nicolas Dupont-Aignan. La seconde famille est constituée par le Front national de Marine Le Pen et par des mouvements politiques qui lui sont proches, notamment le mouvement Souveraineté, Indépendance et Libertés de Paul-Marie Coûteaux ou celui des Identitaires.

    Comment qualifier ces deux familles de la droite ? Toute appellation comporte évidemment un certain degré de subjectivité. Si l'on est proche du FN, on opposera volontiers la vraie droite, droite nationale ou de conviction, à la fausse droite de l'UMP et de ses alliés. Si l'on est de gauche, comme le journal Le Monde, on opposera la droite républicaine de l'UMP à l'extrême droite (sous-entendu alors non républicaine) de Marine Le Pen. Si l'on est proche de l'UMP, on se dira appartenir à une droite parlementaire, ou modérée, ou encore – du moins avant les dernières élections – à une droite de gouvernement, par opposition à une droite protestataire, droite qui, elle, ne cherche pas à gouverner et se discrédite par ses excès. Pour ma part, j'insisterai plutôt sur le caractère plus traditionnel de la première famille de la droite, celle de l'UMP, que j'appellerai donc la droite classique, par contraste avec une droite plus nouvelle, celle du Front national. Cette droite nouvelle se veut le porte-parole du peuple contre des élites qui ne le défendent pas ou qui le trahissent, et c'est pourquoi je la qualifierai de droite populiste.

    Vous constaterez que dans ce tableau des familles de la droite, j'inclus des mouvements qui se définissent comme centristes mais que je n'inclus pas le Modem de François Bayrou. On peut, certes, se demander s'il n'y a pas une proximité entre les sympathisants de François Bayrou et les Français du peuple de droite. Reconnaissons que, sur certains points au moins, cette proximité existe. Mais il serait tout de même paradoxal de classer parmi les familles de la droite les sympathisants d'un homme politique qui, au cours de ces dernières années, a constamment manifesté sa volonté de ne pas se référer au clivage gauche/droite et qui, surtout, a donné l'exemple à ses troupes du soutien au candidat de la gauche au second tour de la dernière élection présidentielle !

    Droite classique, d'une part, droite populiste, d'autre part : ces deux droites regroupent une moitié des Français – parfois plus, parfois moins – qui constituent, tous ensemble, un peuple de droite sur lequel les enquêtes d'opinion ont beaucoup à nous apprendre. Chacune de ces enquêtes doit naturellement être considérée avec prudence, mais, lorsqu'elles sont suffisamment nombreuses et répétées, elles finissent par donner une idée assez précise de l'état de l'union de la droite.

    Trois questions sont à considérer :

    – Le peuple de droite est-il sociologiquement homogène ? Je répondrai ici : non.
    – Le peuple de droite a-t-il des opinions homogènes ? Oui, largement.
    – Le peuple de droite, enfin, est-il prêt à l'union de la droite ? Pas encore complètement, mais de plus en plus.

    La suite de ce texte en son entier est à lire dans sa version PDF en cliquant ici.

    Philippe Baccou  CDH  20/11/2012 http://www.polemia.com/

  • Paris, Cologne, Hambourg, Stuttgart : villes d’entraînement pour le djihad en Europe ?

    Wolfgang Albers, le président de la police, déclare : « Nous sommes entrés dans une nouvelle dimension du crime. »
    2015 fut une année mortelle à mettre sur le compte du djihad à Paris : 145 morts. En 2016, ce sont des villes allemandes qui sont prises d’assaut et transformées en terrains de test pour ce même djihad. Des dizaines de femmes agressées sexuellement, à Cologne, Hambourg, Stuttgart dans la nuit du Nouvel An. Il s’agit de tester les capacités de réplique des autorités de ces deux pays.
    Un millier d’hommes se sont réunis en meute, aux pieds de l’imposante cathédrale de Cologne, pour harceler sexuellement des femmes de passage, seules ou accompagnées, violer, voler, cambrioler, casser, dans la nuit de la Saint-Sylvestre. Selon le Kölner Stadt-Anzeiger, il s’agit d’hommes de 15 à 35 ans d’origine arabe. La police a procédé à des dizaines d’arrestations. Certains venus d’Algérie, du Maroc et de la Tunisie auraient fait le voyage exprès, annonce l’ARD, tout en ajoutant qu’à Stuttgart, aussi, des faits similaires se sont déroulés.

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