Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

immigration - Page 1469

  • Droit de vote des étrangers : c’est reparti !

    Après le mariage pour tous, les socialistes mettent sur la table le droit de vote pour tous ! « Chose promise, chose due », pourrait-on dire, puisqu’il s’agit en effet de la proposition 50 du candidat Hollande. Mais la majorité se heurte ici à un sérieux problème

    Si le gouvernement dispose de la majorité aussi bien à l’Assemblée qu’au Sénat, il ne dispose pas en revanche la majorité des 3/5e, requise pour modifier l’article 3 de la Constitution : or, ce dernier stipule que « sont électeurs (…) tous les nationaux français majeurs des deux sexes. » Alors on va glaner des voix au centre… Les négociations sont engagées.

    Pas davantage l’homme de gauche accepte la différentiation sexuelle entre l’homme et la femme lorsqu’il promeut le « mariage » homo, pas davantage il accepte la distinction entre les nationaux et les étrangers lorsqu’il promeut le vote des étrangers. Il faut niveler les différences en leur préférant l’uniformisation ! Il faut s’émanciper des conditionnements naturels, qu’ils soient liés au sexe, ou bien qu’ils soient liés à l’appartenance à une structure d’enracinement ! En bref, l’homme est indifférencié : asexué et apatride en même temps !

    Alors on observe à gauche une volonté cachée de revenir au suffrage censitaire, en liant l’impôt et le droit de vote ! L’impôt , en tant que tel, n’est qu’une contribution à la vie sociale à laquelle participe l’étranger vivant sur le sol français : la contrepartie de l’impôt, c’est par exemple le bénéfice des infrastructures et des services publics. Quant à la participation à la vie politique (la citoyenneté), qui consiste à déterminer le destin d’une nation, il apparaît évident qu’il est lié à l’appartenance à cette même nation (nationalité). On ne dispose de l’avenir des autres lorsque l’on est invité chez eux !

    A droite, ce n’est cependant pas beaucoup mieux : on entend dire que si l’étranger veut voter, il n’a qu’à solliciter la naturalisation française ! Formidable : par simple démarche administrative, un étranger pourra alors, au-delà même des vœux de la gauche, participer à toutes les élections, également présidentielle ! Ou comment, en fabriquant des français de papier -puisque la nationalité est disponible automatiquement lorsque l’on naît sur le sol français, quand bien même on n’appartient au peuple français, ni par la filiation, ni même par l’adoption des codes et de l’histoire-, on permet à des populations extra-européennes de décider des lois qui régissent la société française !

    http://www.contre-info.com

  • Rapport Tuot: la régularisation des clandestins s’institutionnalise

    Communiqué de Presse de Marion Maréchal-Le Pen, Député du Vaucluse

    Le rapport remis cette semaine au Premier Ministre par le conseiller d’État Thierry TUOT fait une série de propositions qui vont dans le sens d’un nouvel assouplissement des règles d’accès à la nationalité française et vers la régularisation massive des clandestins.

    Partant du constat que les sans-papiers sont le plus souvent inexpulsables, il est proposé de créer un statut dit de tolérance instaurant une régularisation programmée au bout de 5 ans.
    Par ailleurs, la nationalité française serait octroyée sur simple déclaration aux étrangers ayant suivi une scolarité complète en France ou aux ascendants de Français séjournant en France depuis 25 ans.

    On note ensuite qu’il est recommandé de soutenir plus activement les associations intervenant en faveur de l’intégration. En d’autres termes, il s’agit de renforcer encore et toujours les moyens de structures dont les dérives ou l’inefficacité ont maintes fois été épinglées par la Cour des comptes.

    On notera toutefois deux propositions reprenant des demandes de longue date du Front National : la publication de chiffres officiels sur l’immigration, à supposer qu’ils soient établis de manière objective, et l’établissement de critères transparents et anonymes pour l’attribution des logements sociaux.

    Après la dépénalisation du séjour irrégulier, les circulaires Valls, l’allongement annoncé du titre de séjour de un à trois ans, la suppression de la franchise AME, la baisse des taxes administratives pour le séjour, il faut donc attendre avec la plus grande vigilance la suite qui sera donnée à ce rapport par le Gouvernement de Jean-Marc Ayrault.

    http://www.francepresseinfos.com/

  • Nice : Le 1er adjoint reconnait dans un enregistrement l’abandon d’un quartier aux musulmans !

    NICE (NOVOpress) - C’est Philippe Vardon, le leader des identitaires niçois, qui a révélé l’enregistrement lors d’une conférence de presse, qui a eu lieu aujourd’hui à 14 heures, consacrée à la lutte engagée par Nissa Rebela contre le nouveau projet de grande mosquée appuyé par la municipalité de Christian Estrosi.

    L’enregistrement audio (ci-dessous) nous présente Benoît Kandel, 1er adjoint de Christian Estrosi et conseiller général UMP du 12ème canton (Nice-est), interrogé par une Niçoise sur les futurs projets de mosquées et notamment la nouvelle grande mosquée du quartier Roquebillière. Après les enfumages habituels sur l’islam des caves – pour mieux justifier les mosquées, pas plus contrôlées, et les compromissions avec l’UOIF, association proche de la mouvance islamiste des Frères Musulmans -, Benoît Kandel livre une déclaration consternante pour expliquer le choix de ce quartier pour la nouvelle mosquée : “Là-bas ça gène personne, y a quasiment pas de Niçois dans le secteur” !

    Le 1er adjoint reconnait ainsi à la fois que dans certains quartiers de leur ville les Niçois sont désormais (largement) minoritaires, mais qu’en plus c’est pour cela qu’on choisit d’y implanter la nouvelle grande mosquée. Certains y verront l’aveu d’une ghettoïsation, d’autres celui de l’abandon d’un quartier devenu zone musulmane. Dans les deux cas, l’hypocrisie de la politique menée par l’équipe de Christian Estrosi sautera aux yeux… D’autant que ce quartier où “y a quasiment pas de Niçois” se trouve être dans le canton dont Benoît Kandel est l’élu !

    Philippe Vardon et les identitaires niçois réclament la démission (et les excuses !) du 1er adjoint et ont annoncé un rassemblement ce samedi à 11 heures devant les locaux de l’UMP.

    Par ailleurs, lors de cette conférence de presse Philippe Vardon est longuement revenu sur les liens étroits entre la municipalité et l’UOIF et a lancé un appel à tous ceux qui refusent cette nouvelle grande mosquée pour la constitution d’un collectif de lutte contre ce projet.

    http://fr.novopress.info

  • Condamnée pour avoir écrit que les Turcs et musulmans menacent l’Europe

    Condamnée pour avoir écrit que les Turcs et musulmans menacent l’Europe

    MUNICH (NOVOPress via Lionel Baland) – Maria Frank (en manteau blanc sur la photo) est une retraitée de 74 ans qui se trouve souvent dans le centre piétonnier de Munich. Proche du parti Die Freiheit, elle y récolte des signatures pour l’organisation d’une consultation du peuple à propos de la construction d’un grand centre islamique au sein de la ville.

    Dans le cadre d’une manifestation de Die Freiheit (“La Liberté – Parti des Droits Civiques pour plus de Liberté et de Démocratie”) qui s’est tenue le 8 septembre 2012 sur la Rotkreuzplatz (Place de la Croix-Rouge), Maria Frank a fait l’objet d’une plainte des Jeunes écologistes à propos d’un panneau qu’elle tenait lors de la manifestation au sein duquel elle affiche un lien entre le siège de Vienne par les Turcs en 1683 (voir sur Novopress) et la menace actuelle.

    Le panneau contient la phrase ironique « Les Turcs tiraient à cette époque pacifiquement sur Vienne et les troupes alliées [contre les Turcs] des Prussiens, Polonais et Autrichiens étaient des « prénazis » qui ont eu en fait l’audace de se défendre contre les troupes ottomanes. » La phrase qui a conduit à une condamnation suit ensuite sur le panneau : « Maintenant, les Turcs arrogants et les musulmans du monde entier menacent à nouveau l’Europe. »

    Maria Frank est condamnée pour appel à la haine raciale à une peine d’amende de 90 jours à 40 euros, avec sursis probatoire de 3 ans. En outre, le juge prononce l’obligation pour Maria Frank de verser 1.000 euros à Amnesty International. Elle fait appel de la décision judiciaire.

    Précisons que certains organes de presse du système (Süddeutsche Zeitung, Bild-Zeitung, TZ) qui évitent d’habitude de rendre compte de la récolte de signatures réalisée par Die Freiheit se sont fait un plaisir de parler de cette condamnation.

    Si nous traçons un parallèle historique, c’est un peu comme si en 1936, une Polonaise avait tenu un écriteau sur une Place de Cracovie sur lequel est écrit « Les Allemands arrogants menacent à nouveau l’Europe. »

    Crédit photo : DR. http://fr.novopress.info

  • Substitution de population : l’aveu du Système !

    Manuel Valls avoue a demi mot, face à Michèle Tribalat, directrice des recherche à l’INESD, la substitution démographique qui se déroule actuellement en France. C’était il y a un an. Un processus qui progresse chaque année et qui aboutira inéluctablement à un remplacement définitif de population. Il y aura un point de non-retour, il faut le savoir :

    http://www.contre-info.com/

  • JEAN-YVES LE GALLOU Libertés et civilisation en régression

    Haut fonctionnaire, intellectuel et homme politique français, Jean-Yves Le Gallou a fondé en 2003 la Fondation Polémia, très présente sur Internet. Au lendemain d'un colloque sur le coût de l'immigration auquel il a participé, nous l'avons notamment interrogé sur la liberté d'expression et les libertés politiques, sujets qui sont au coeur de son combat.

    ❏ L'Action Française 2000 – Pouvez- vous présenter la fondation Polémia à nos lecteurs qui ne la connaîtraient pas encore ?
    ❏ Jean-Yves Le Gallou – Polémia, c'est d'abord un cercle de pensée dissidente à l'opposé du système oligarchique dominant. Son rôle est d'être un incubateur d'idées nouvelles et un brise-glace idéologique du politiquement correct.
    Polémia c'est également une encyclopédie numérique politiquement incorrecte. Les 4 500 textes mis en ligne sont rigoureusement sourcés et référencés. Polémia est une source précieuse de réflexion et de documentation que son moteur de recherche rend facilement accessible. Polémia, c'est aussi un site phare de la réinfosphère. Polémia contribue à faire entendre les points de vue de tous ceux qui sont attachés aux libertés, à l'identité et à la souveraineté, ce sont les valeurs du "LIS", ou du Lys si vous préférez. Polémia, c'est enfin un centre de décryptage des médias.
    Les médias ne sont pas un contrepouvoir, ils sont le pouvoir. Le pouvoir sur les esprits. Polémia a consacré plusieurs publications à l'analyse des phénomènes médiatiques : La Tyrannie médiatique, le Dictionnaire de Novlangue, le Dictionnaire de la réinformation - 500 mots pour la dissidence et Les Médias en servitude. Polémia s'apprête à lancer l'Observatoire des journalistes et des médias pour placer sous le projecteur de la critique ceux qui fabriquent l'opinion. Polémia organise aussi chaque année une journée d'étude de la réinformation et la cérémonie - parodique - des Bobards d'or distingue les "meilleurs des journalistes", ceux qui n'hésitent pas à bobarder, c'est-à-dire à mentir délibérément pour servir le politiquement correct.
    ❏ L'immigration est, à vos yeux, un des enjeux majeurs de la décennie à venir. D'abord sur le plan économique bien sûr...
    ❏ En terme d'emploi, l'immigration est une absurdité dans un pays qui compte 10 % de chômeurs à temps plein (et 15 % à temps plein ou partiel). Un pays où le chômage des étrangers hors Union européenne est trois fois supérieur au taux moyen. Un pays où le taux de chômage des enfants d'immigrés (de quinze à vingt-quatre ans toujours hors Union européenne ) dépasse 35 %. Mais il est vrai que l'immigration est voulue par le Medef pour peser à la baisse sur le niveau des salaires. L'immigration joue ici le même rôle que les délocalisations ; l'immigration c'est la délocalisation à domicile dans le cadre d'un monde sans frontières 1.
    En termes budgétaires, l'immigration est aussi une folie dans un pays surendetté. Yves-Marie Laulan, de l'Institut de géopolitique des populations, a chiffré le coût de l'immigration présente actuellement en France à 72 milliards d'euros. Il faut y ajouter le coût des investissements nécessaires pour accueillir les 200 000 étrangers qui entrent chaque année : 15 milliards pour construire les logements, les transports, les places d'école, d'université, d'hôpital et de prison. En tout, près de 100 milliards, l'équivalent du déficit public 2.
    ❏ Mais peut-être l'immigration constitue-t-elle un enjeu plus grave encore sur le plan de la cohésion sociale et celui de l'identité nationale. Considérez-vous que nous sommes à un tournant en la matière ?
    ❏ Vous avez raison, « l'économie n'est pas le destin ». Et l'immigration de masse que nous subissons pose un problème crucial en termes d'identité nationale. Certes, quelques individualités parviennent à s'assimiler, mais, globalement, l'intégration est un échec. Chaque année, le gouvernement donne la nationalité française à plus de 100 000 personnes. Malheureusement, beaucoup de ces Français administratifs ne sont pas des Français par la culture, par la civilisation, par le sentiment. C'est de la fausse monnaie nationale. Et des pans entiers du territoire se transforment par l'islamisation ou l'africanisation. Nous sommes en train d'importer le choc des civilisations en France.
    ❏ Plutôt que d'une islamisation rampante de la société, ne conviendrait-il pas de parler d'une communautarisation ?
    ❏ Bien sûr, il y a communautarisation quand le gouvernement et les médias déroulent le tapis rouge aux organisations communautaristes telles que le Crif (Conseil représentatif des institutions juives de France), le Cran (Conseil représentatif des associations noires) et le CFCM (Conseil français du culte musulman).
    Mais au-delà, il y une islamisation de la société, c’est-à-dire que la minorité musulmane (un peu moins de 10 % de la population) impose progressivement ses règles de vie à tout le monde : là où le voile islamique s'impose, la vie devient de plus en plus difficile pour les jeunes femmes qui ne le portent pas. Que les musulmans mangent halal (ou les israélites casher), c'est une chose. Que l'ensemble des Français se voient imposer ces pratiques, c'en est une autre. Et pourtant, aujourd'hui en France, 60 % des moutons et 30 % des bovins sont abattus selon les pratiques rituelles orientales. De même, il est anormal de financer des mosquées avec l'argent des contribuables et d'accorder des dérogations aux règles d'urbanisme pour permettre l'édification de minarets. Le pire est que, dans les écoles, la transmission de la mémoire française soit abandonnée pour complaire aux nouveaux arrivants.
    ❏ Un autre de vos combats est celui pour les libertés. Vous avez, dans un récent éditorial, souligné les dérives en la matière : Lopsi, Acta, persécutions policières et judiciaires contre ceux qui refusent le politiquement correct, censure à la télévision, sans oublier ces lois « scélérates » (dixit Anne Le Pourhiet) que sont, notamment, les lois communautaristes, mémorielles ou antidiscriminatoires adoptées successivement en France depuis 1972. Les historiens y sont de plus en plus opposés, mais le pays légal dans son ensemble est favorable à ces lois liberticides. Quel combat mener ? Comment ? Quel espoir avoir en la matière ?
    ❏ Cette formidable régression des libertés s'accompagne d'une régression civilisationnelle. À travers l'antiquité gréco-latine, la première Renaissance du XIIe et XIIe siècle, la grande Renaissance, la pensée européenne a toujours distingué deux ordres de vérité : les vérités religieuses, où le dogme s'impose comme article de foi ; les vérités scientifiques ou historiques, qui se déterminent par le libre débat. Dans ces domaines peut être dit vrai (ou faux) ce qui est librement réfutable. Philosophiquement, un fait, une opinion, un point de vue, une analyse qui ne peut être librement réfuté ne peut être dit ni vrai, ni faux (sauf dans l'ordre religieux). Ainsi les lois mémorielles transforment-elles des événements historiques en dogmes religieux. C'est une formidable régression. En retirant des pans entiers d'histoire au libre examen, les lois mémorielles (Gayssot, Taubira ou Boyer 3) ne sont pas seulement des atteintes à la liberté d'expression, ce sont aussi des fautes contre l'esprit. Que faire ? Ne pas se laisser intimider ; résister ; ne pas se laisser imposer l'historiquement correct ; ne pas "plier" ; continuer à réclamer l'abolition des lois scélérates. Grâce à internet, c'est possible.
    ❏ Vous avez enfin évoqué la tentative de truquage de l'élection présidentielle, visant à empêcher Marine Le Pen de se présenter. Que pensez-vous de la décision du Conseil constitutionnel sur la publicité des signatures des maires ?
    ❏ Il y a effectivement la volonté d'imposer une élection présidentielle croupion, comme il y a des parlements croupions. Un certains nombres de candidats ont déjà été sortis du jeu : Boutin, Nihous, Morin ou Lepage. Qu'on soit d'accord ou non avec eux, c'est regrettable. La tentation existe aussi d'éliminer Marine Le Pen, mais ce sera évidemment plus difficile. Mais déjà les médias manipulent l'opinion : sans attendre le premier tour, ils scénarisent le "duel" du deuxième tour qu'ils programment entre Hollande et Sarkozy, qui sont d'accord sur l'essentiel et feignent de s'opposer sur l'accessoire. Le parrainage des candidats à l'élection présidentielle par les maires a fait son temps. Mais le sujet le plus grave reste la tyrannie médiatique.
    Propos recueillis par François Marcilhac L’ACTION FRANÇAISE 2000 Du 1er au 14 mars 2012
    1 - « Immigration : l'illusion de l'intégration » ; http://www.polemia.com/article.php?id=1730
    2 - Synthèse des travaux du colloque "Peut-on raisonnablement calculer le coût de l'immigration ?" ; http://www.polemia.com/article.php?id=4596
    3 - « Loi sur le génocide arménien : une régression civilisationnelle »

  • Rapport Tuot : régularisation des clandestins et banalisation du voile

     C’est peut-être le plus grand scandale politique de la France sous François Hollande. Il s’agit d’un rapport propagandiste, anti-français et islamophile sur l’intégration. En effet, dans un rapport sur la « politique d’intégration des étrangers » remis au Premier ministre français, un certain Thierry Tuot, propose d’accorder un titre aux clandestins et de cesser les « polémiques » sur le port du voile.

    Thierry Tuot, auteur du rapport
    Ce rapport commandé par Matignon dresse un bilan – insultant pour les Français – de la politique d’intégration menée depuis 30 ans et il propose plusieurs « réformes », dont la création d’un titre de tolérance pour régulariser par étapes une grande partie des sans-papiers. « La politique de lutte pour l’intégration des immigrés a toujours été un désir ou un regret plutôt qu’une réalité », écrit Tuot dans le rapport. Les responsables, tous partis confondus, auraient oublié jusqu’au mot même d’intégration et auraient détruit les outils de cette politique, en coupant les crédits des établissements et des associations. Le rapport Tuot de devait être remis vendredi dernier au Premier ministre. Qui a annulé la remise et présentation du rapport au dernier moment pour des raisons d’agenda soi-disant.
    Tuot propose d’aborder avec franchise les réalités de l’immigration afin de dissiper les fantasmes. Si je comprends bien, 80% des Français ont des fantasmes sur l’islam et sur l’immigration. Tuot prétend que l’État doit avouer (sous la torture ?) que la majorité des sans-papiers sont « inexpulsables », soit parce que le pays vers lequel on les reconduirait leur ferait un très mauvais sort, soit en raison de leur situation personnelle (enfants ; santé ; etc.). Il faut, selon Tuot, commencer à intégrer les clandestins en créant un « titre de tolérance », leur permettant – avec des droits réduits, au moment de la délivrance, et, un parcours étalé sur 5 ans – d’aboutir à une régularisation.
    Tuot veut censurer le débat sur le voile islamique et il donne cet argument massue : « La France a-t-elle jamais dépendu de ce qu’un bout de tissu – boubou, coiffe bretonne, chèche ou béret – soit porté d’une façon ou d’une autre ? ».
    www.dreuz.info (posté par Marino)
  • Immigration : Personne ne pourra dire «Je ne savais pas !»

    Elle pleure SA France perdue :
    "Dis Papy, pourquoi t'as laissé faire ça ?"
    Il y a des calculs qui devraient faire réfléchir.
    - En 1968 la population française était de 49.700.000 habitants. Les musulmans en France étaient 610.000 soit 1,23% de la population.
    - En 1988 la population française était de 56.000.000 habitants. Les musulmans en France étaient 2.000.000 soit 3,6% de la population.
    - En 2009 la population française était de 67.000.000 habitants. Les musulmans en France étaient 8.000.000 soit 11,94% de la population ! (chiffres officiels, mais nous les savons tous en réalité bien plus important)
    Puisque tous les 20 ans la population musulmane est multipliée par 3.5, si cette progression n’est pas stoppée et même inversée, il est probable qu'en 2030 la population française sera de 70.000.000 d'habitants. Et que les musulmans en France seront 28.000.000 soit... 40 % de la population française.
    Donc, à ce rythme de vagues migratoires, dans 17 ans seulement, près d'un habitant sur deux serait musulman. Consternant pour un pays qui n'a aucune tradition musulmane, pas plus qu’il ne comptait de population arabe en 1930 ? Alors à quoi ressemblera la France dans bientôt 20 ans, puisque l'Islam est une religion conquérante qui refuse toute cohabitation avec d'autres religions ?
    - Des églises seront-elles incendiées comme on peut le voir dans certaines parties du monde ?... ça commence !
    - Verrons-nous des formations politiques de type HAMAS ou HEZBOLLAH s'implanter en France ?... ça commence !
    - La laïcité de l'État sera-t-elle remise en question ?... ça commence !
    - L'égalité des droits homme-femme existera-elle toujours, puisqu'elle n'existe pas dans les pays musulmans et qu'elle est déjà remise en cause aujourd'hui même en France dans les banlieues ?... ça commence !
    - La viande halal sera-t-elle obligatoire, avec toutes les souffrances que cela représente pour les animaux, égorgés vivants ?... ça commence !
    Une chose est absolument certaine : à ce train-là, la France de 2030 ne ressemblera pas à la France de 2010... CE NE SERA DÉJÀ PLUS LA FRANCE !

    MIEUX QUE STOPPER CETTE IMMIGRATION,
    IL FAUT L’INVERSER AU PLUS VITE !
    Regardez seulement autour de vous...
    Écoutez les propos de certaines personnes (hommes, femmes et enfants) dans les rues, les transports en commun...
    Regardez et écoutez attentivement les bulletins d'informations (Télévisions et Radios)...
    Lisez la Presse, les pages "faits divers" et les autres...
    Maintenant, réfléchissez sereinement en ayant pleinement conscience de ce que sera alors la vie de nos enfants, de nos petits-enfants... quand nous ne serons plus là !
    Et si vous pensez que c'est utile, alors transférez cet article à un maximum de personnes autour de vous.
    Plus tard, personne ne pourra dire : « Je ne savais pas !... »


    http://www.francepresseinfos.com/

  • VOTE DES ÉTRANGERS L'autre alibi du mondialisme

    L'accession des étrangers non européens au droit de vote aux élections locales bouleverserait les rapports entre nationalité, citoyenneté et souveraineté. Aperçu des enjeux juridiques du débat.
    Au-delà du serpent de mer qu'elle constitue, la question du droit de vote des étrangers non européens aux élections locales françaises n'en revêt pas moins un intérêt certain, notamment pour les problèmes concrets qu'elle pose au regard des principes de nationalité, de citoyenneté et, pourquoi pas, de souveraineté, voire d'identité. Cette question connaît même un regain d'intérêt à chaque échéance présidentielle, celle à venir ne faisant pas exception, le candidat du PS ayant même promis de la régler définitivement en accordant ledit droit de vote à tous les étrangers réguliers vivant sur notre sol (tandis que son principal adversaire, le président sortant, s'y oppose symétriquement, alors qu'il y fut favorable en d'autres temps).
    Principe et exceptions
    Mais par-delà les antagonismes de façade, eu égard au tropisme xénophile de nos élites qui, en première comme en dernière instance, pratiquent depuis plus de trente ans la préférence étrangère, une constante demeure, d'ordre politique et juridique celle-là, qui est la conditionnalité juridique des étrangers. Celle-ci s'étend de leur entrée à leur sortie éventuelle, en passant par leur séjour plus ou moins durable sur le territoire national. Ainsi, les droits revendiqués par les étrangers et leurs défenseurs se heurtent aux prérogatives de l'État, dont la théorie classique objecte les arguments de souveraineté que sont la nationalité et la citoyenneté. En France, le principe est bien celui de l'ouverture des étrangers aux fonctions publiques dont fait évidemment partie la fonction "politique" (droit d'élire et d'être élu). Mais on remarque aussi que les exceptions peuvent neutraliser le principe. Ainsi, l'exception de souveraineté reste, en France, symboliquement forte pour empêcher actuellement toute accession des étrangers au droit de suffrage.
    Que dit le droit ?
    Il existe à la fois une souveraineté dans l'État et une souveraineté de l'État, l'une comme l'autre étant en réalité indissociables car participant de la liberté de l'État de se donner ses propres lois. Partant, la liberté de l'État de fixer ses propres règles d'accueil et d'hospitalité des étrangers est une expression naturelle de sa souveraineté. L'article 3 de la constitution du 4 octobre 1958 dispose, par exemple, que « la souveraineté nationale appartient au peuple qui l'exerce par ses représentants et par la voie du référendum. [...] Sont électeurs, dans les conditions déterminées par la loi, tous les nationaux français majeurs des deux sexes, jouissant de leurs droits civils et politiques. » Et l'article L. 2 du Code électoral de reprendre en écho cet impératif constitutionnel : « Sont électeurs les Françaises et Français âgés de dix-huit ans accomplis, jouissant de leurs droits civils et politiques et n'étant dans aucun cas d'incapacité prévu par la loi. »
    Le triptyque "souveraineté-nationalité-citoyenneté" présenté nécessairement dans cet ordre, car chacun des éléments est la conséquence du précédent, s'applique d'autant plus aux élections locales que le Conseil constitutionnel n'a pas hésité à les qualifier d'« élections politiques », dans la mesure où elles servent « à désigner des électeurs qui à leur tour désignent les sénateurs, qui sont eux-mêmes des représentants car ils expriment la souveraineté nationale. En conséquence, seuls les nationaux français [peuvent] participer à la désignation des conseils municipaux. » Certes, le juge constitutionnel peut revenir sur ce qu'il a dit, le retournement de veste étant devenu sa principale spécialité depuis 2004. Il n'empêche, qu'en saine logique, l'exception de souveraineté subordonne donc le droit de vote à la possession de la nationalité française, celle-ci conditionnant l'accès à la citoyenneté.
    Le cas particulier des étrangers européens
    Une exception à cette exception de souveraineté réside, cependant, au sein de l'article 88-3 de la constitution de 1958 qui ouvre ainsi, « sous réserve de réciprocité [...], le droit de vote et d'éligibilité aux élections municipales [...] aux seuls citoyens de l'Union résidant en France », à la condition qu'ils ne puissent « exercer les fonctions de maire ou d'adjoint ni participer à la désignation des électeurs sénatoriaux et à l'élection des sénateurs ». Néanmoins, cette citoyenneté européenne sans nationalité n'est pas absolue. D'abord, elle reste subordonnée à la réciprocité, ensuite elle est contingente au traité sur l'Union européenne dans la mesure où si ce traité venait à n'être plus appliqué, la citoyenneté cesserait d'être octroyée.
    Dès lors, sauf à pratiquer la double pensée orwellienne et à inverser le sens des mots, la citoyenneté, quel que soit son mode d'acquisition (par naissance ou par naturalisation), suppose le préalable de la souveraineté, laquelle fait office d'instance refoulante de l'extranéité. Et le principe de souveraineté étant lui-même un principe constitutionnel, l'exclusion des étrangers du droit de suffrage est également, ipso jure, de nature constitutionnelle. On peut certes changer la Constitution, mais on ne peut modifier la souveraineté, sauf à l'aliéner totalement. Mais dans ce cas, nous ne pouvons plus parler d'État et les étrangers, les naturalisés et les natifs sont interchangeables et indifférenciés. Le patronat et l'UMPS poussent évidemment à cette indifférenciation dans une visée mercantile pour le plus grand profit de leur funeste idéologie mondialiste.
    Aristide Leucate L’ACTION FRANÇAISE 2000 Du 1er au 14 mars 2012