
Comme le rapportent la RTBF et RTL info, plusieurs de leurs journalistes ont été agressés physiquement et verbalement lors des incidents. Ce dimanche soir, les deux rédactions ont fermement condamné ces violences.
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Comme le rapportent la RTBF et RTL info, plusieurs de leurs journalistes ont été agressés physiquement et verbalement lors des incidents. Ce dimanche soir, les deux rédactions ont fermement condamné ces violences.
27/11/22
Conduit dans les locaux du BEI du XVe arrondissement, le suspect nie les faits malgré les images de vidéoprotections et les différents témoignages récoltés par les policiers. “Les examens ont montré qu’il avait bien consommé de la cocaïne récemment”, précise-t-on de même source. “Il a maintenu être un mineur marocain âgé de 16 ans, mais les enquêteurs ont fini par l’identifier comme étant un Algérien de 24 ans, étant donné qu’il était déjà connu de leurs services”.
26/11/2022
À l’époque, l’agresseur court encore. Ce SDF de 27 ans sera finalement interpellé le 9 septembre, presque par hasard, en train de frauder, gare de Lyon à Paris. Ses empreintes génétiques permettront de lui attribuer un troisième viol, commis deux jours après ceux de l’hôpital, toujours à Nanterre. L’homme avait repéré une fillette de douze ans depuis la rue, avait réussi à se glisser dans l’appartement par une fenêtre, l’avait enfermée à clé, étranglée, et lui avait imposé plusieurs actes sexuels avant de prendre la fuite. Un violeur en série présumé, qui a reconnu en garde à vue agir sous le coup de « pulsions » en ciblant des populations vulnérables. « C’est terrible, tout ça aurait pu être évité… », lâche Agnès en secouant la tête.
Philippe Conrad reçoit André Posokhow, diplômé de Sciences Po Paris et féru d’histoire. Dans son ouvrage "Immigration : l'épreuve des chiffres", il présente les flux d’entrée et de sortie des immigrés principalement extras européens et ceux de la présence immigrée qu’elle soit étrangère ou naturalisée française et ce, sur les deux premières générations. Il est également apparu utile d’aborder les données de plusieurs problématiques dont l’importance n’est pas toujours suffisamment soulignée comme par exemple : les inconnues de l’immigration irrégulière et celles des mineurs isolés étrangers, les réalités du solde migratoire, les acquisitions trop faciles de la nationalité française, les risques graves des multi nationalités et la présence musulmane en France.
27/11/2022
Le texte étend la procédure d’expulsion express, sans recours à un juge, aux logements vacants, vides de meubles, par exemple entre deux déménagements. Dans un second volet, la proposition de loi veut conforter les bailleurs face aux locataires qui ne paient pas leur loyer, prévoyant notamment de raccourcir les délais tout au long de la procédure. Des associations (DAL, Fondation Abbé-Pierre, Attac…) s’en inquiètent.
Ce document préparatif, que BV s’est procuré, sert de base aux conversations menées par le gouvernement avec les partis politiques, syndicats patronaux, etc., dans le cadre de la future loi qui verra le jour au printemps. Le gouvernement est bien obligé de lâcher quelques chiffres, quelques arguments, quelques états des lieux pour justifier ses ambitions de changement. Et ce n’est pas piqué des hannetons.
Un sondage Odoxa Backbone consulting réalisé en exclusivité pour Le Figaro révèle que l'opinion des Français au sujet de l'immigration tend à se durcir.
En effet, pas moins de 72% des sondés estiment qu'"Il y a trop d'immigrés en France". 78% des personnes interrogées pensent que la France "ne peut pas accueillir toute la misère du monde, mais elle doit en prendre sa part". Autre enseignement de cette étude : ils ne sont plus que 52% à être favorables à l'accueil des réfugiés "persécutés dans leur pays". via Fdesouche
A l’exception des deux immigrés qui ont été renvoyés en avion, les autres 232 immigrés débarqués de l’Ocean Viking sont quasiment tous dans la nature. Il ne reste plus de migrants dans la zone d’attente de Giens. Les deux derniers Bengalis sont dans la zone d’attente à Marseille, en vue d’une potentielle expulsion. Une quinzaine de fonctionnaires de police assure la sécurité du site (pour deux immigrés). Quinze fonctionnaires aujourd’hui contre 150 mobilisés quotidiennement la semaine dernière, sans compter les quatre unités de CRS (240 hommes).