
De jeunes migrants se sont installés en haut de la Canebière, dans le centre de Marseille. Menacés d’expulsion d’un squat qu’ils occupent depuis huit mois, ils veulent sensibiliser les pouvoirs publics sur le sort des mineurs isolés.
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De jeunes migrants se sont installés en haut de la Canebière, dans le centre de Marseille. Menacés d’expulsion d’un squat qu’ils occupent depuis huit mois, ils veulent sensibiliser les pouvoirs publics sur le sort des mineurs isolés.
500 patriotes de Callac et sa région opposés au projet Horizon se sont retrouvés à 11 h devant la Mairie.
Pierre-Yves Thomas, responsable départemental de Reconquête !, et Bernard Germain, membre du Comité d'organisation, par ailleurs collaborateur à Synthèse nationale.
18/09/22
Le maire de Montpellier réplique à la polémique née de sa volonté de créer un conseil des résidents étrangers de sa ville. Et plaide pour qu’ils aient le droit de vote aux élections locales.
Mettre en place, en octobre, un conseil des résidents étrangers de Montpellier. Une initiative du maire de la ville (et président de la Métropole) Michaël Delafosse, pour lequel cela relève de l’évidence : “Les étrangers, s’ils ne sont pas citoyens d’un pays de l’Union européenne, n’ont pas le droit de vote aux élections locales. Alors qu’ils sont usagers de nos transports en commun, de nos écoles, qu’ils payent leurs impôts ici, que les entrepreneurs étrangers contribuent, avec la CFE ou la taxe foncière”.
De violents affrontements opposant plusieurs dizaines de jeunes aux forains ont gâché la fin de soirée à la vogue, vendredi 16 septembre, provoquant des mouvements de foule et l’intervention musclée des gendarmes pour stopper l’escalade de violence.
De violents affrontements opposant plusieurs dizaines de jeunes individus aux forains ont semé la panique dans les allées de la vogue , vendredi 16 septembre au soir, place des Anciennes casernes. Le déploiement d’une quinzaine de gendarmes, alertés par des témoins apeurés signalant un gros mouvement de foule, a permis d’éviter le pire mais les scènes vécues ont laissé des traces dans les esprits.
Pour Raphaël Stainville, rédacteur en chef à Valeurs actuelles : « En plaidant, sans jamais solliciter l’avis des Français (et pour cause!) pour une meilleure répartition des étrangers sur notre territoire pour repeupler les campagnes, Emmanuel Macron assume au grand jour le grand remplacement. Une trahison de plus ! ».
Selon les informations recueillies par Europe 1, Moustapha Thiam, un adjoint au maire chargé du Logement de la ville de Choisy-le-Roi, dans le Val-de-Marne s’est retrouvé en garde à vue après avoir refusé un contrôle de police et gêné les fonctionnaires qui intervenaient dans une cité. “Il a même harangué les jeunes émeutiers en leur disant de filmer la scène“, souligne une source proche du dossier.
L’adjoint au maire a copieusement entravé le travail des policiers. Le commissaire Matthieu Valet – par ailleurs porte-parole du syndicat indépendant des commissaires de police, SICP – n’a pas fait dans la dentelle.
Vincent Trémolet de Villers
Il faut surmonter le découragement lorsque l’on entend au sommet de l’Etat des considérations que la réalité contredit inlassablement depuis des années. Emmanuel Macron, devant le spréfets, a défendu l’idée d’une meilleure répartition des étrangers, qui pourraient être accueillis dans les « espaces ruraux, qui, eux, sont en train de perdre de la population » et où « nous devrons fermer des classes, vraisemblablement des écoles et des collèges ». En clair, l’immigration peut être une solution.
En 2021, la population étrangère vivant en France s’élève à 5,2 millions de personnes, soit 7,7 % de la population française. 62,9% sont de nationalités extra-européens.