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La semaine dernière, Élisabeth Borne, ministre de l’Éducation nationale, a pris le problème des attaques au couteau dans les établissements scolaires à bras-le-corps. Dans les colonnes de Ouest-France, elle a annoncé : « Au sein des établissements, tout port d’arme blanche devra donner lieu à un passage systématique en conseil de discipline et à un signalement au procureur via l’article 40. » Pour ce faire, elle prévoit une modification du Code de l’éducation par décret.
Le débat sur l’immigration en France s’intensifie avec une proposition de loi visant à supprimer le droit de séjour pour soins accordé aux étrangers malades.
Au fil des mois Mélenchon apparaît dans toute sa dimension antinationale, antifrançaise, haineuse même de ses compatriotes, de ses concitoyens, de ses camarades, avec un discours devenu totalement radicalisé, dont on se demande comment il a pu en arriver là. Le voilà ressortant son mot fétiche de « créolisation ». Il a compris, tout de même, dans sa folie, que le mot de « islamisation », plus conforme à ce qu’il préconise en réalité, ne pourrait médiatiquement pas passer. Alors il joue, non plus sur la religion prosélyte qui ne se cache même plus, mais sur la couleur de peau, avec ce terme de créolisation destiné à faire croire à un gentil bronzage généralisé de la population, façon îliens des DOM-TOM, le tout mâtiné de recettes de cuisine des tropiques et d’une lenteur en forme de farniente. Il n’en est rien, sa créolisation est en réalité un prosélytisme islamique dur et barbu, où pointe l’antisémitisme, l’embrigadement des femmes et la criminalisation de l’homosexualité, à l’image de ce qui se pratique dans les pays musulmans les plus radicaux.
Mais non, vous ne rêvez pas : François Bayrou lui-même souhaite, après le vote pour restreindre le droit du sol à Mayotte, un débat « plus large » sur l'identité française. Darmanin et même Olivier Faure estime qu'il n'est « pas tabou » ! Le même François Bayrou qui, quand Nicolas Sarkozy lançait ce débat, il y a quinze ans, n'avait pas de mots assez durs : « L’identité nationale n’appartient pas aux politiques », tonnait-il, ajoutant que « rien n’est pire que d’en faire un sujet d’affrontement »...
Un homme a été tué et un policier du RAID blessé lors d’un échange de tirs survenu dans la nuit de vendredi à samedi sur une aire d’autoroute de l’A31, au niveau de Selongey (Côte d’Or), a indiqué le parquet de Dijon.
Doualemn ne serait donc pas coupable d’infraction au droit des étrangers, mais victime de notre systè- me juridico-administratif ! Le tribunal de Melun vient de lui accorder 1 200 euros d’indemnité pour mauvais traitement. L’influenceur algérien entré irrégulièrement sur notre territoire par deux fois, condamné à six reprises pour au total 11 ans de prison et auteur de propos violents sur les réseaux sociaux va aussi bénéficier d’une autorisation provisoire de séjour. Ne manquent plus que les excuses de la République pour toutes les erreurs de procédure qui l’ont frappé. Ainsi va la France.
Bruno Retailleau est venu sur LCI expliquer l’aberration de notre système juridique, quant à l’expulsion d’un ressortissant étranger entré illégalement en France. Et de se plaindre des lois qui bloquent l’action. Il aurait pu étendre son analyse sur d’autres thèmes et le constat aurait été le même. Bien entendu l’empilement des lois, des règlements, des normes favorise cet état de fait, et le fouillis engendre la confusion qui elle-même débouche sur la paralysie. En réalité, on s’aperçoit que l’empilement des lois est surtout destiné à favoriser les délinquants qui disposent ainsi de plus de motifs d’annulations de procédures et de recours plus nombreux.
Mardi, l’individu âgé de 24 ans avait planté à plusieurs reprises son couteau de cuisine dans l’abdomen de son adversaire devant la gare de Villefranche-sur-Saône. Une rixe entre SDF qui avait dégénéré, laissant la victime âgée de 46 ans dans un état inquiétant. Les jours de cette dernière ne sont finalement pas en danger.
Interrogé sur l’ultraviolence des mineurs en France en 2025 et le laxisme de la justice sur Cnews fin février, le criminologue Alain Bauer répondait à la journaliste Laurence Ferrari : « On croit qu’il y a un accompagnement judiciaire, mais en fait le traitement des mineurs fait l’objet, en France, d’une sorte de trou noir entre des angéliques qui pensent qu’ils ne sont que des victimes de la société et qu’il faut (les) traiter comme des victimes… parce que le remord colonial qu’il ne faut pas sous-estimer… parce que la désagréation de tout ce qui étaient les repères sociaux, les accompagnateurs, les pairs – p.a.i.r.s – et les pères – p.e.r.e.s. – les deux vont assez bien ensemble sur ces questions-là… et puis, il y a face à cela, une sorte de répression, c’était les bagnes pour enfants… Les bagnes pour enfant étaient une horreur… »
Le spectacle affligeant qui s’est déroulé à l’Assemblée nationale autour d’une restriction minimale du droit du sol à Mayotte est à la fois ridicule et révélateur de l’impuissance politique de nos dirigeants. Alors que notre Nation est submergée par une immigration incontrôlée et que l’insécurité gangrène nos territoires, la gauche, égale à elle-même, s’abandonne à une agitation hystérique pour défendre ce qui reste l’un des principaux aimants migratoires.