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immigration - Page 720

  • Bautzen (All.) : des inconnus ont planté des croix portant les noms de victimes tuées par des migrants

    Allemagne – Des croix ont été érigées ce week-end dans la vieille ville de Bautzen. Elles portaient des noms de victimes tuées par des migrants.

    Le Protschenberg à Bautzen est une destination populaire pour les randonneurs. De la colline de la Spree, vous avez une vue magnifique sur la vieille ville. Le week-end dernier, les Bautzener ont été confrontés à une action macabre.

    Des inconnus avaient érigé de grandes croix en bois sur un terrain. Selon la police, ils contenaient les noms de personnes tuées par des étrangers.

    La police a saisi un total de 23 croix en deux jours.

    Pour le maire de Bautzen, Alexander Ahrens (SPD), il ne s’agit pas seulement d’un délit administratif, qui a été commis lors de l’érection des croix. À son avis, l’incitation à la haine raciale est une infraction criminelle. M. Ahrens a déclaré qu’il n’était pas illégal de critiquer la politique d’immigration du gouvernement. Mais il est tout à fait illégal de dénoncer un groupe entier – les migrants – et dire qu’ils sont venus ici pour tuer des gens. « C’est une généralisation qui n’est pas permise et que je trouve absolument répugnante ».

    (…) mdr.de

    http://www.fdesouche.com/1144609-bautzen-all-des-inconnus-ont-plante-des-croix-portant-les-noms-de-victimes-tuees-par-des-migrants

  • Le parti AFD en Allemagne sous surveillance

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    EUROPE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    L’Office fédéral de protection de la Constitution (BfV) a annoncé mardi 15 janvier l’ouverture d’une enquête sur l’Alternativ für Deutschland (AfD, devenu en 2017 la principale force d’opposition au parlement avec 92 députés (sur 730).

    Selon le BFV, l’AFD menacerait, « l’ordre constitutionnel libéral et démocratique », c’est-à-dire qu’il porte atteinte selon ses détracteurs aux principes de l’État de droit. Si la décision est saluée à droite comme à gauche de l’échiquier politique allemand, la réaction des intéressés ne s’est pas faite attendre : les responsables du parti ont tenu une conférence de presse juste après l’annonce, annonçant leur intention de saisir la justice.

    Ils dénoncent une décision prise « sous pression politique », à l’orée d’une année électorale importante.

  • Et si l’on disait aux Français combien coûte l’immigration ?

    Le Sénat vient de lancer une enquête sur le coût économique de la pollution. C’est un sujet important. Personne n’aime la pollution.

    Mais où sont les enquêtes sur le coût économique de l’immigration ? N’est-ce pas un sujet important ?

    L’observatoire de l’islamisation a récapitulé les différentes études faites sur le sujet, en l’absence étonnante d’étude officielle, que nous reproduisons ci-dessous :

    • 2013: L’étude de l’expert comptable André Posokow pour la fondation Polémia chiffre à 84 Milliards d’euros le coût annuel de la présence immigrée en France.
    • 2011: actualisation de l’étude du professeur d’économie (Dauphine/Paris II/Polytechnique) Yves Marie Laulan : de 70 à 80 Milliards en incluant les coûts annexes hors comptes sociaux (police, justice etc.).
    • 2008: Contribuables Associés publie une monographie réalisée par le spécialiste des migrations Jean-Paul Gourevitch évaluant le coût de l’immigration à 26 Milliards (hypothèse basse).
    • 2005: Etude des professeurs d’économie Jacques Bichot (Lyon III), Gérard Lafay (Panthéon Assas Paris II) et Yves-Marie Laulan (Dauphine/Paris II/Polytechnique) pour l’Institut Géopolitique des Populations : le Pr. Bichot aboutit à une estimation « plancher » de 24 Md€ du surcoût de l’immigration pour les finances publiques en 2005. Cette estimation du « surcoût immigré » se présente ainsi :

      Justice : +3,61 Md€,
      Police et Gendarmerie : +0,86 Md€,
      Enseignement primaire et secondaire : +9,42 Md€,
      Enseignement supérieur : +0,22 Md€,
      Protection sociale : +8,5 Md€,
      Politiques de la ville hors Etat : +0,45 Md€,
      Logement : +0,42 Md€,
      Transports en commun : +0,5 Md€ (voir l’étude PDF)

    • 2004: Gérard Pince Docteur en économie du développement, à partir des chiffres de l’INSEE, réalise une étude sur les coûts de l’immigration de ce qu’il appelle « les pays tiers » , c’est à dire non-européens, qui aboutissait à un déficit annuel de 50 milliards d’euros.
    • 1998: L’économiste Christian Saint-Etienne (UDI) choisit de se pencher sur le coût annuel d’accueil d’un immigré sans formation (santé, de logement, de scolarité, de formation, prestation familiales, etc) en l’estimant à 1 million de francs par an.
    • 1990 et 1999: Les deux « rapports Milloz » de Pierre Milloz alors inspecteur général honoraire du ministère de l’Industrie (Énarque, docteur d’État en droit, diplômé de l’IEP de Paris) l’évaluent à 42 Milliards annuels.
    • Si l’immigration est une chance pour la France, chacun sait que la chance n’arrive pas toute seule et qu’elle a un coût. Pourquoi ne pas la connaître avec précision ?
    • Quand à ce qu’elle rapporte, les études, si elles existent, ne sont pas disponibles. Le taux de chômage des non ressortissants de l’UE étant proche de 25%, et le nombre de chômeurs voisinant les 5.6 millions, ne serait-il pas utile de donner du travail à ces braves gens avant d’en faire venir d’autres ?

    source

    http://www.citoyens-et-francais.fr/2019/01/et-si-l-on-disait-aux-francais-combien-coute-l-immigration.html

  • Saint-Denis : un nouveau toit pour les immigrés clandestins

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    Laurent Russier maire de Saint-Denis a annoncé avant-hier, dans un entretien avec France Bleu, que 400 clandestins vont être mis à l’abri à la fin de la semaine.

    Ils occupent l’avenue Wilson dans sa ville. Il estime qu’il ne faut pas faire de différence entre clandestins ou non.

    Il dénonce l’absence « d’une politique digne d’accueil des migrants ».

    Rappelons que le nombre de SDF morts dans la rue se situe entre 400 et 500 tous les ans depuis 2013.

  • Européennes. "ici on est en France": Marine Le Pen reprend le thème l'immigration et dénonce des "zones de non-France"

    marine-le-pen-candidate-fn-a-la-presidentielle-le-26-fevrier-2017-a-saint-herblain-pres-de-nantes_5807921.jpgLa présidente du Rassemblement national Marine Le Pen a centré samedi, au Thors (Vaucluse) son discours de campagne pour les Européennes sur l'immigration, estimant qu'une "ouverture des frontières irraisonnée" avait créé "une immigration délirante qui transforme certains endroits en zone de non-France".
    "La mondialisation, avec l'ouverture des frontières irraisonnée, a livré nos rues, nos quartiers, nos villes, nos villages, à une immigration délirante qui transforme certains endroits en zone de non-de France", a martelé Mme Le Pen lors d'un meeting organisé dans un gymnase, aux côtés de l'ex-ministre Thierry Mariani (ex-LR récemment rallié) et de la tête de liste Jordan Bardella.
    Ce sont "des zones où l'on se sent étranger dans son propre pays, des zones où les lois de la République ne sont plus appliquées, des zones où trouvent à s'imposer d'autres lois que celles de la République, celle du caïd ou celle des islamistes", a-t-elle ajouté.
    "Il est temps de faire cesser ce scandale et de rappeler à tous qu'ici on est en France, et qu'en France on applique la loi française", a affirmé la patronne du parti d'extrême droite, avant que l'assistance ne scande "On est chez nous".
    [...]
    En savoir plus sur lepoint.fr
     

  • Les sociétés multiculturelles sont les plus violentes et les plus criminelles.

    Un des propos tenus dans le bref discours, très déterminé et d’une grande intelligence, tenu par Hervé Juvin lors du lancement de la campagne des européennes au Rassemblement National.

  • Soumission? Extension du domaine de la lutte? : la possibilité d’une Thill

    soumission-300x229.jpgSur son blogue hébergé par Le Figaro, Ivan Rioufol  doute comme beaucoup de la sincérité du Grand débat cornaqué par Emmanuel Macron :  « N’y-a-t-il pas danger à laisser le peuple s’exprimer librement ?, interrogeait la journaliste Audrey Crespo-Mara, (le 7 janvier) sur Europe 1, en recevant Chantal Jouanno, avant que la présidente de la Commission nationale du débat public (CNDP) ne démissionne le lendemain de son rôle d’organisatrice. De fait, le pouvoir semble redouter les effets d’une libération des opinions, actuellement entravées par la pensée conforme et le politiquement correct. (Le 8 janvier) le porte-parole du gouvernement, Benjamin Griveaux, a rappelé l’exigence d’un encadrement, en excluant par exemple la remise en cause du mariage homosexuel (revendication prioritaire qui ressort de la consultation en ligne lancée par le Conseil économique, social et environnemental), mais aussi l’immigration ou la PMA pour toutes. Ce carcan idéologique ne peut qu’être rejeté par des Gilets jaunes, qui remettent justement en cause le jacobinisme, le pouvoir vertical et le fait du prince. »

    L’instauration de la PMA (Procréation médicalement assistée) pour toutes était une promesse de campagne  du candidat Macron, qui devrait être votée cet été ou à l’automne. En septembre dernier, la très grande majorité  de la quarantaine de membres  du  Comité consultatif national d’éthique (CCNE) a  donné un avis favorable  à l’extension de la PMA  aux couples de femmes et aux femmes seules «  pour pallier une souffrance induite par une infécondité résultant d’orientations personnelles». Deux  membres du CCNE  y étaient cependant opposés  arguant des  « conséquences pour l’enfant d’une institutionnalisation de l’absence de père, donc de l’absence de l’altérité masculin-féminin dans la diversité de sa construction psychique».

    Cette question de la PMA n’est pas anodine si sa généralisation a pour effet demain d’accentuer encore un peu plus  la déconstruction du modèle familial traditionnel, sur lequel  s’est largement bâtie  notre civilisation,  destruction d’un pilier essentiel  que les sociétés occidentales payent  déjà aux prix fort. Nous le rappelions sur ce blogue,  73% des   adhérents du Front National  étaient opposés à l’extension de la PMA, selon le résultat du  questionnaire qui leur avait été  envoyé dans le cadre du XVIe congrès du FN.   Nicolas Bay, le co-président du groupe ENL au parlement européen    soulignait que  «Si demain on accepte la PMA, dans la foulée, au nom de l’égalité des droits on va nous expliquer que ce qu’on donne à des couples de femmes, il faut le donner aux hommes et demain on aura la GPA. » Et  Marie-Christine Arnautu d’ajouter  que «si la France tarde, la Cour européenne des Droits de l’Homme l’y forcera en vertu du principe de non-discrimination. » Bruno Gollnisch a maint fois rappelé  pareillement que «l’enfant n’est pas objet de droits, il en est le sujet. L’enfant  a droit à un père et une mère. Lui refuser cette double et fondamentale référence pour la satisfaction de personnes dont le mode de vie, librement choisi, exclut la procréation, serait en quelque sorte lui imposer une double peine. Ce serait une grave dérive de notre civilisation.»

    Dérive qui n’a pas l’assentiment d’Agnés Thill, député LREM de  l’Oise, elle qui  en novembre dernier,  dénonçait l’existence d’un « lobby LGBT à l’Assemblée nationale. » Elle a récidivé hier  dans son  refus de la PMA, constate Le Monde par   une lettre adressée  aux élus LREM   en « (critiquant) le rapport parlementaire, présenté mardi, qui recommande la procréation médicalement assistée pour toutes.» Pour sa faire entendre de ses collègues, Mme Thill a choisi des exemples aptes à les interpeller. Du moins devait elle le penser. Elle estime notamment que l’extension  de la PMA à toutes   « permet la multiplication des parents , et que le mot  parent   n’a alors plus aucun sens .  Il en découle politiquement, que cette absence de sens de genre dans le mot “parent” favorise l’éclosion d’écoles coraniques et le départ de nos élèves vers celles-ci.»

    « Nos amis musulmans, que nous savons opposés à cet éloignement progressif des concepts de père-mère, homme-femme (…) ne vont point dans la rue, ni dans les urnes, pour exprimer leur conception, avance-t-elle. Mais ils vivent en créant un monde parallèle dans la République, où les choses sont comme ils veulent (…). Il n’y a pas chez nos amis musulmans de parent 1 et de parent 2, ajoute Mme Thill, qui cite dans sa lettre, parmi les experts qui se sont prononcés sur l’extension de la PMA, des juristes , des  scientifiques , des associations  mais aussi des francs-maçons». Bigre ! Elle pourra toujours plaider pour sa défense qu’Alain Minc  himself explique dans Le Point que le Système n’existe pas, que  l’influence des  Soros, Rothschild, Bilderberg  sont des fantasmes de complotistes bas de plafond,  mais que les Francs-maçons  eux, sont une force enfouie toujours puissante , bref  que « les francs-maçons, ce n’est pas un fantasme. C’est une réalité, y compris dans le monde économique. »

    Pour  le reste de ses propos, Mme Thill  aura du mal à trouver des oreilles compatissantes à gauche,  chez les libéraux progressistes et chez les lâches de droite mais qui n’en pensent  pas moins. Porte-parole du groupe LRM, Marie Lebec «dénonce une lettre  caricaturale, comme Agnès Thill peut l’être ». « Les gens ont besoin de mettre leurs convictions sur la table. Ça va être un point de crispation au sein du groupe. Pour peu que ça arrive dans un moment de tensions… » Le socialo-macroniste et très immigrationniste  Aurélien Taché a de nouveau exigé la démission de Mme Thill exigeant qu’elle  soit exclue du groupe LREM  « sans plus attendre » : « Stop. Homophobie, islamophobie (…) », écrit-il sur Twitter. Sa collègue Laurence Vanceunebrock-Mialon,  millitante LGBT assumée a crié elle, aussi au blasphème :  « Marre qu’une députée LRM puisse prononcer des propos homophobes et islamophobes aussi librement… Le courrier reçu par mes collègues et moi-même est un tapis de sottises qui stigmatise inutilement deux minorités. En France, il n’y a pas de parallèle à la République. »

    Mme Vanceunebrock-Mialon  n’est pas très informée ou confond  son vœu pieu et  la France telle qu’elle dérive, ce qui n’est pas plus rassurant. En France, oui, hélas, une contre-société  s’est installée dans de très nombreux quartiers pluriels, vit  en parallèle à la République, est nourrie par une immigration massive, développe des  revendications ethnico-religieuses, communautaristes.  Mme Thill craint à l’évidence que soit atteint le point de non retour, estime que l’adoption de la PMA   comporte  un   risque supplémentaire de fracture, voire même  de « partition » avec les populations issues de l’immigration musulmane comme le disait François Hollande. Pour autant,  Agnès Thill qui à notre connaissance n’est pas musulmane, oublie curieusement  de citer tous les Français  non mahométans, chrétiens ou non, qui  comme elle, sont également opposés à la PMA. Et ils sont, en terme non pas statistique mais  purement comptable, plus nombreux que  les musulmans vivant en France. Oui, ils sont même de plus en plus  nombreux ceux  qui refusent de se soumettre aux  propagandistes du sens de  l’histoire, des sociétés liquides  sans frontières, sans repères,   sans identités;  tous ceux  qui ne se cachent  pas non plus   derrière le risque islamiste pour dénoncer les mots d’ordre  frelatés de  la  pseudo modernité, le militantisme sociétal des lobbies qui ont (aussi) contribué à l’élection de M Macron.

    https://gollnisch.com/2019/01/18/soumission-extension-du-domaine-de-la-lutte-la-possibilite-dune-thill/

  • Gilets jaunes : et s’ils faisaient aussi remonter la natalité

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    Conseil pédagogique avec mes collègues pour préparer la rentrée prochaine. Je suis le seul homme au milieu de quatre femmes. Morosité. Elles ne sont pas « stylos rouges » mais l’inquiétude transpire : la dotation horaire globale (DGH) en berne, la baisse des effectifs, un poste menacé, et « T’as vu la démographie ? » Traduisez : notre établissement de Réseau d’éducation prioritaire (REP) n’attire guère, ni notre ville, qui perd des habitants. Et, en plus, tous ces couples qui ont de moins en moins d’enfants. D’ailleurs, en la matière, mes collègues, qui ont entre 38 et 47 ans, suivent de façon exemplaire le mouvement général. Du coup, c’est des heures, des postes qui sont menacés par les enfants qu’ils n’ont pas eus. Comme leurs retraites.

    Démographie ? Les chiffres de 2018 viennent de tomber et ils ne sont pas bons : 10.000 naissances en moins. Quatrième année de baisse consécutive. Les démographes soulignent que, depuis 2015, toute une série de mesures touchant les prestations familiales (plafonnement, revalorisation des montants et des seuils inférieure à l’inflation pour les allocations, suppression du dispositif de retraites anticipées pour les femmes fonctionnaires mères de trois enfants, etc.) ont contribué à cette baisse de fécondité. Les économistes nous disent que ce n’est bon ni pour les retraites, ni pour la croissance, ni pour les déficits.

    Il faut mettre cette question à l’ordre du jour du grand débat. Les Français ne veulent pas de la solution d’Yves Cochet (moins de bébés mais plein de migrants) qui, de fait, est déjà en marche. Car si les chiffres des naissances et des décès sont mauvais, ceux de l’immigration sont bien trop hauts.

    Dans Le Figaro, le démographe Gérard-François Dumont fait un lien avec la crise des gilets jaunes : « Dans les cahiers de doléances, certains ont déjà demandé que les allocations familiales soient revalorisées à hauteur de l’inflation ! Il faut aussi voir les “gilets jaunes” comme un mouvement créateur de liens sociaux. Des Français qui vivaient seuls se sont rencontrés, les ronds-points sont devenus de nouveaux lieux de sociabilité. Il n’est pas exclu que ce mouvement favorise la création de nouveaux couples et de nouveaux bébés ! »

    Le géographe Laurent Chalard, lui, toujours dans Le Figaro, a pointé une autre conséquence néfaste de cette baisse de la fécondité et de la natalité : la désertification de certains territoires, comme le Cantal. Pour y remédier, il propose une prime de naissance territorialisée ciblant ces communes de la France périphérique. Chiche !

    Notre Président sans enfant vient de dire qu’il n’y avait pas de tabou. Il est donc temps de mettre sur la table et dans les cahiers de doléances la question de l’aide à la natalité pour la France rurale et périphérique.

    Et je suis sûr que mes collègues seront très contentes de voir arriver, dans quelques années, ces petits de la France périphérique au lieu de se transformer tous les jours en professeurs de français langue étrangère (FLE) pour migrants mineurs non accompagnés.

    Frédéric Sirgant

    http://www.bvoltaire.fr/gilets-jaunes-et-sils-faisaient-aussi-remonter-la-natalite/

  • Immigration : Les demandes d’asile augmentent en France, +22% en 2018. 250.550 titres de séjour ont été accordés en 2018 (MàJ)

    16/01

    La hausse de ces attributions s’est poursuivie en 2018, selon les premières statistiques annuelles de la Direction des étrangers en France publiées mardi. Tout comme celle des demandes d’asile qui, elles, ont progressé de 22 % en un an.

    Toujours plus de titres de séjour, un peu plus d’expulsions et un nombre record de demandes d’asile en 2018. Ce sont les principaux enseignements des statistiques provisoires de l’immigration, de l’asile et de l’accès à la nationalité française publiés mardi par le ministère de l’Intérieur.

    L’an dernier, 255.550 nouveaux titres de séjour ont été délivrés selon ces chiffres provisoires, soit une hausse de 3,3 % par rapport à 2017.

    Une augmentation qui s’explique par la hausse des admissions pour motif étudiant (82.580, + 2,8 %) et pour motif économique (32.815, + 19,5 %). La progression est aussi alimentée par la délivrance des «passeports talents» de la loi du 7 mars 2016, par lesquels 27.215 titres de séjour ont été délivrés ou renouvelés. Le motif familial reste stable, avec 89.185 titres délivrés en 2018 (+ 0,5 %).

    Parallèlement, 15.677 étrangers clandestins ont été expulsés (+ 9,9 % sur un an). «C’est une progression notable depuis le début de la décennie», assure-t-on à la Direction générale des étrangers en France…

    (…) Le Figaro

    15/01

    La France continue d’attirer les demandeurs d’asile

    Les demandes de protection ont augmenté de 22 % en 2018, à l’inverse de la tendance observée dans la plupart des pays européens.

    Dans sa lettre aux Français du dimanche 13 janvier, Emmanuel Macron a souligné son attachement au « devoir » d’offrir un « refuge » à ceux « qui ont fui les guerres, les persécutions », alors que la France connaît une hausse continue des demandes d’asile depuis 2014. D’après les chiffres du ministère de l’intérieur, cette hausse s’est poursuivie en 2018, puisque 122 743 personnes ont sollicité la protection de la France (+ 22 %). Cette demande provient principalement d’Afghanistan, d’Albanie, de Géorgie, de Guinée et de Côte d’Ivoire.

    Au terme de leurs démarches, 46 700 personnes ont été placées sous la protection de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (Ofpra), d’après les informations du Monde, soit une augmentation de 9 % par rapport à 2017. Les Afghans, les Syriens et les Soudanais sont les premiers ressortissants à avoir obtenu le statut de réfugié ou la protection subsidiaire. Au total, le taux de protection des demandeurs d’asile s’élève à 27 %. Il monte à 36 % si l’on tient compte des décisions en appel.

    Dans l’Union européenne, la tendance est à la baisse des demandes d’asile, après les pics de 2015 et 2016. Les arrivées sur le continent sont elles aussi en repli puisque, d’après l’agence européenne Frontex, 150 000 personnes sont entrées de manière clandestine en 2018 sur le territoire européen, un volume au plus bas depuis cinq ans.

    Comment expliquer la dynamique française, qui semble s’inscrire à contre-courant ? Dans une note publiée par le think tank libéral Fondapol en octobre 2018, Didier Leschi, le directeur général de l’Office français de l’immigration et de l’intégration (OFII), soulignait la « position singulière » de la France, devenue à son sens un pays de rebond. Aujourd’hui, 37 % des personnes qui s’enregistrent sur le territoire pour demander l’asile sont en effet des « dublinées ». C’est-à-dire qu’avant d’arriver en France, elles sont passées par un autre Etat-membre qui, conformément au règlement européen de Dublin, aurait dû examiner leur demande de protection.

    […]

    Le Monde

    http://www.fdesouche.com/1141661-a-linverse-de-la-plupart-des-pays-europeens-les-demandes-d-asile-augmentent-en-france-22-en-2018

  • Espagne : Des bus payés par Madrid pour envoyer les migrants dans les pays du Nord (Die Welt)

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    Le nombre de migrants arrivant par la mer en Espagne n’a jamais été aussi élevé. Ce qu’ils deviennent, on peut le voir dans un village d’où partent des bus vers le nord. Il est clair que l’Espagne ne se soucie guère de l’UE et qu’elle encourage leur voyage vers l’Europe centrale.

    Par une tiède soirée d’hiver, les hommes des Voyages Rios attendent que le soleil soit couché avant de démarrer les moteurs de leurs deux autocars et de se diriger vers la nationale N340.

    Celui qui les suit peut les voir […] tourner dans une impasse […]. Après deux kilomètres et demi, ils s’approchent d’un écriteau portant l’inscription « Finca privada » [« Propriété privée« ]

    […]
    Rien n’indique que se trouve ici un hébergement pour réfugiés, administré par la Croix Rouge et subventionné par le ministère du Travail, de l’Immigration et de la Sécurité sociale. […] Le porte-parole indique que l’accès au domaine est interdit aux journalistes.

    […]

    Le portail métallique est ouvert. Le gardien fait signe aux bus de passer.

    Les bus ressortent peu après du domaine, les chauffeurs rejoignent à nouveau la nationale et se dirigent ensuite vers l’autoroute.

    C’est l’instant où le gouvernement s’affranchit des règles sur lesquelles l’Europe s’est mise d’accord. Car, dans les bus, se trouvent des douzaines de personnes qui ont atteint peu de jours auparavant le continent européen.

    C’est l’Espagne qui serait compétente pour les procédures d’asile. Mais, en cette soirée du 5 janvier, l’un des deux bus fait le trajet de l’Andalousie à Barcelone, l’autre va à Bilbao. Ces deux villes sont situées au nord du pays, la France est toute proche. L’Allemagne n’est qu’un peu plus loin.

    […] L’État encourage les migrants à quitter la péninsule ibérique pour aller vers le nord. […]

    D’où les bus, payés par le gouvernementcomme Madrid l’a confirmé en réponse à notre demande. 

    Die Welt

    http://www.citoyens-et-francais.fr/2019/01/espagne-des-bus-payes-par-madrid-pour-envoyer-les-migrants-dans-les-pays-du-nord-die-welt.html