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immigration - Page 716

  • Nous disons avec Mathieu Bock-Côté: « Non au pacte mondial sur les migrations »

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    « La crise migratoire frappe toutes les sociétés occidentales et même la propagande la plus sophistiquée ne convaincra pas les peuples qu'elle porte en elle un avenir radieux ». C'est ce qu'écrit ici Mathieu Bock-Côté [Le Figaro, 30.11] au moment où Emmanuel Macron s'apprête à signer à Marrakech le pacte mondial sur les migrations de l'ONU. Quand la contestation et la colère grondent en France et que Paris vit une forme d'insurrection permanente contre sa politique, ce n'est sûrement pas ainsi que le président de la République se conciliera l'estime du peuple français.  LFAR

    Il aura fallu un certain temps avant que le pacte mondial sur les migrations de l'ONU, qui doit être adopté à Marrakech les 10 et 11 décembre, trouve sa place dans le débat public.

    Sans trop de surprise, pourrait-on dire. Le droit international s'élabore rarement, pour ne pas dire jamais, dans les paramètres de la souveraineté populaire et nationale, mais il s'impose ensuite aux peuples, qu'on morigène sans gêne lorsqu'ils rechignent à se soumettre aux « engagements internationaux » pris en leur nom. On leur explique qu'ils ne sauraient s'y soustraire, d'autant que les grandes migrations seraient fondamentalement positives et contribueraient à l'enrichissement matériel et moral de l'humanité, ce qu'affirme aussi sans rire le pacte. Il ne serait plus possible, aujourd'hui, de stopper les grandes migrations, ni même de les contenir : on pourrait au mieux les encadrer. C'est dans cet univers mental qu'il faudrait impérativement évoluer.

    Concrètement, avec ce pacte, il s'agit de jeter les bases normatives d'un futur droit à la migration. Il s'agit aussi, et cela n'est pas un détail, d'encadrer le plus possible les termes du débat public en le soumettant à une pédagogie diversitaire de plus en plus contraignante. Le pacte sur les migrations invite ainsi les gouvernements à cesser d'« allouer des fonds publics ou d'apporter un soutien matériel aux médias qui propagent systématiquement l'intolérance, la xénophobie, le racisme et les autres formes de discrimination envers les migrants, dans le plein respect de la liberté de la presse ». Quand on sait que, du point de vue des théoriciens du multiculturalisme, il suffit souvent de critiquer leur doctrine pour se rendre coupable de racisme ou de xénophobie, il y a de quoi s'inquiéter. L'ONU plaide ici pour un langage médiatique formaté par l'idéologie diversitaire - par exemple en remplaçant la figure de l'immigrant illégal par celle du migrant irrégulier.

    Pourtant, le parti immigrationniste avance sans assumer son projet, en prétendant que ce texte est strictement symbolique et n'a aucune portée pratique. Pris de panique devant les critiques qui se multiplient contre le pacte, ses défenseurs nous expliquent que chacun pourra l'interpréter à sa guise dans le plein respect de sa souveraineté. C'est ce que faisait la Canadienne Louise Arbour jeudi dans les pages du Figaro. D'ailleurs, certains exégètes autoproclamés du vrai et du faux présentent l'éventualité d'une perte de souveraineté comme une rumeur relevant des fausses nouvelles. C'est à se demander pourquoi la nomenklatura diversitaire se mobilise autant pour un texte aussi désincarné. Dans les faits, elle travaille sans l'avouer à vider de sa substance la souveraineté nationale, pour ensuite placer les peuples devant le fait accompli.

    Mieux vaudrait parler un langage de vérité. La crise migratoire frappe toutes les sociétés occidentales et même la propagande la plus sophistiquée ne convaincra pas les peuples qu'elle porte en elle un avenir radieux. La caravane de migrants qui s'est levée au Honduras, a traversé le Mexique et campe actuellement à la frontière américaine donne un exemple convaincant des effets anxiogènes d'une immigration de masse non désirée. Il suffirait que l'Amérique consente à l'ouverture même partielle de ses frontières dans les circonstances présentes pour provoquer un appel d'air qui deviendra vite incontrôlable, d'autant que nous sommes témoins d'un détournement à grande échelle du droit d'asile, qui n'a pas été pensé pour réguler de tels flux migratoires. Dans les faits, le droit d'asile a surtout pour fonction de disqualifier moralement le concept de frontière, comme si celui-ci avait seulement vocation à s'effacer - il serait même inhumain de penser le contraire. À terme, il faudrait vider de tout contenu la différence entre le citoyen et celui qui ne l'est pas pour que naisse une humanité nouvelle.

    Les migrations de masse sont en train d'atteindre des proportions telles qu'elles relèveront de la submersion démographique, quoi qu'en disent certains statisticiens militants qui jouent avec les mots et les chiffres pour nous convaincre que cette grande révolution qui se déroule sous nos yeux n'a pas lieu. C'est un thème récurrent de la pensée progressiste du dernier siècle: le réel serait une machination réactionnaire. Mais les États sont en droit de vouloir reprendre un contrôle politique sur le fait migratoire. De ce point de vue, on ne peut qu'applaudir les gouvernements occidentaux qui, depuis quelques semaines, annoncent qu'ils ne signeront pas ce traité. Ils montrent ainsi que le « sens de l'histoire » n'est qu'une illusion idéologique dont peuvent se déprendre ceux qui désirent orienter autrement leur destin. Et, pour le dire franchement, Emmanuel Macron ne devrait pas être un des rares à se sentir obligé de signer ce pacte. C'est en se délivrant des filets d'un « droit international » instrumentalisé idéologiquement que les nations retrouvent la substance de la démocratie.

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Le piège mortel du Pacte mondial pour les migrations de l’ONU

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    Arnaud Raffard de Brienne

    En avant-première, l'article qui paraitre dans le prochain numéro (n°50) de la revue Synthèse nationale.

    Le « Pacte mondial pour des migrations sûres, ordonnées et régulières », conçu par l’Organisation des Nations Unies ne vise, ni plus ni moins, qu’à déréglementer l’immigration et à en faire disparaitre la notion même. Ce sera la fin de l’immigration, des politiques migratoires et des quotas pour la consécration du droit humain universel de s’établir où et quand bon lui semble.

    Les 10 et 11 décembre prochain, la quasi-totalité des 192 États-membres des Nations Unies devraient signer, dans le cadre d’une cérémonie officielle qui se tiendra au Maroc, à Marrakech précisément, un accord de l’ONU, le « Pacte mondial pour une migration sûre, ordonnée et régulée ». Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres a exprimé son espoir de bâtir avec les 193 États-membres « un cadre mondial pour une immigration sans entrave ». Ce pacte représentera l’ultime étape d’un processus entamé il y a dix-huit mois, avec la signature de la Déclaration de New-York pour les réfugiés et les migrants, adoptée à l’unanimité lors de l’assemblée générale des Nations unies, en septembre 2016.

    Ledit accord, visant officiellement à améliorer leur gestion administrative de l’immigration déboucha sur un Pacte mondial sur les réfugiés, d’une part, et sur le Pacte mondial pour des migrations sûres, ordonnées et régulières, d’autre part. Ce dernier, imaginé et conçu pour imposer aux États signataires des directives en matière de gestion et d’accueil de l’immigration, consacre, ni plus ni moins que la disparition même de la notion d’immigration pour imposer un droit perpétuel et universel de tout homme à migrer où bon lui semble. Il constituera le premier document international sur la gestion des migrations et la tentative la plus intrusive, à ce jour, de gouvernance internationale.

    Ce pacte entérinera la fin des politiques migratoires nationales et européenne, ce qu’ont bien compris les Etats-Unis en se désolidarisant dès le mois de décembre 2017 de la démarche. Ils furent suivis dans leur retrait par Israël, la Hongrie, l’Autriche, l’Australie, la Bulgarie, la République tchèque et la Pologne dont le Premier ministre, Mateusz Morawiecki rappelait récemment la priorité absolue de protéger les frontières et contrôler les migrations. Pour l’Autriche, le vice-chancelier du FPÖ, Heinz-Christian Strache, rappela que « l’immigration n’est pas et ne peut pas être un droit humain », ajoutant que le pacte représente une menace pour la souveraineté nationale. Un bon sens aux antipodes des prises de position du président français Emmanuel Macron affirmant, sans surprise, depuis une conférence de presse tenue à Bruxelles le 19 novembre dernier, l’entier soutien de la France au « Pacte mondial pour des migrations sûres, ordonnées et régulières ».

    Un pacte qui imposera aux nations le brassage des populations

    À l’étude de ce pacte concocté dans la plus grande discrétion, comme c’est le cas chaque fois qu’il s’agit de ne pas inquiéter le bon peuple avant de lui asséner un mauvais coup, on commence à mesurer l’origine, les raisons et les conséquences de l’apparition relativement subite du terme « migrant », curieusement et rapidement imposé par l’ensemble de la classe médiatique et politique dès les débuts de la déferlante migratoire et de la réalisation des prémices du « Camp des saints ». Exit l’émigré et l’immigré légal ou non, clandestin, climatique ou bénéficiaire de l’asile qui se métamorphosa ainsi en quelques semaines en migrant, citoyen du monde, libre de s’établir où et quand bon lui semble sans limitation aucune.

    La signature de ce pacte consacrera non seulement la fin des politiques migratoires et des quotas mais aussi jusqu’aux notions même d’immigration et d’étranger : il prépare et organise la submersion du monde occidental, augurée froidement depuis des décennies par la science démographique, principal alibi de la folie migratoire de l’ONU.

    Minimiser l’impact de ce texte en affirmant, par exemple, comme certains, que ce pacte serait inapplicable et que, même signé, il demeurerait par conséquent inopérant, l’ONU ne possédant pas les moyens de le faire appliquer, relève de la plus stupéfiante des inconséquences alors qu’il ôterait à l’évidence aux signataires toute possibilité de maintenir le moindre traitement différencié qui soit en faveur des nationaux dont l’appellation perdra de fait toute signification. Il n’est quand même pas bien difficile d’anticiper qu’aux préconisations et contorsions pédagogiques des débuts succédera immanquablement, à plus ou moins bref délai, la coercition.

    Il semble même évident que ce pacte s’imposera rapidement aux nations au titre du droit international et sonnera, de ce fait, le glas de toute politique nationale en matière d’immigration. Certains commencent à comprendre, mais un peu tard, que l’affaire vient de loin et que l’opprobre jetée depuis plusieurs décennies sur les défenseurs et le concept de préférence nationale contribuait à désarmer moralement et intellectuellement des populations dont les mondialistes s’étaient jurés la disparition ou tout au moins la fin de leur homogénéité ethnique. Face à des populations anesthésiées par le plus épais des matérialismes et une perte de repères en grande partie causée par la baisse du niveau d’enseignement et l’abrutissement généralisé lié à la baisse du niveau de l’enseignement, au foisonnement et à la lobotomisation numériques, ces derniers ne dissimulent d’ailleurs plus leur projet de domination mondiale et il semble déjà loin le temps où seuls quelques auteurs non conformistes alertaient sur le complot mondialiste ourdi par différents cénacles plus ou moins occultes tels que Bilderberg, la Trilatérale, le Concil of Foreign Relations, la Franc-maçonnerie, le sionisme international dont les desseins convergent malgré les inévitables oppositions et rivalités. Quelques courageux précurseurs ont alerté à temps et à contretemps dont Henry Coston, Jacques Ploncard d’Assac, Jacques Bordiot, Léon de Poncins, Yann Moncomble, Pierre Virion et un certain nombre d’autres chercheurs catalogués conspirationnistes pour n’avoir fait qu’alerter sur ce que chacun peut aujourd’hui constater. Complotistes hier, visionnaires aujourd’hui pour avoir dénoncé et analysé, il y a plusieurs décennies déjà, l’engrenage mondialiste. Plus besoin donc de se cacher et même les journaux à fort tirage évoquent aujourd’hui banalement des notions naguères férocement taboues telles que mondialisme, gouvernance mondiale, abolition des frontières, monnaie unique…

    L’acharnement de l’ONU contre les souverainetés nationales

    La résolution 71/80 adoptée le 6 avril 2017 par l’assemblée générale des Nations unies ne fait d’ailleurs aucun mystère des ambitions du texte, lorsqu’elle affirme « Rappelant également que le pacte mondial pour des migrations sûres, ordonnées et régulières constituerait un ensemble de principes, d’engagements et d’accords entre les États Membres concernant les migrations internationales sous tous leurs aspects, qu’il serait une contribution importante à la gouvernance mondiale et renforcerait la coordination s’agissant des migrations internationales, qu’il proposerait un cadre pour une coopération internationale globale en matière de migrations et de mobilité humaine (…) ». Le complot d’hier se répand aujourd’hui, dans sa phase ouverte, comme une évidence incontournable et dans une indifférence quasi généralisée.

    Jamais consulté au sujet d’une immigration qu’ils subissent de plus en plus péniblement, les peuples continuent d’ignorer ce qui se prépare, se limitant le plus souvent à subir, avec une passivité surprenante, les effets tangibles et quotidiens d’une immigration folle. Combien savent, par exemple, que le texte évoqué stipule que les « réfugiés et migrants bénéficient des mêmes droits de l’homme universels et des mêmes libertés fondamentales (que les nationaux), droits qui doivent être respectés, protégés et déployés à tout moment. » (Préambule, section 4). Des mêmes droits, donc, de tous les droits dont ils disposent, que ces immigrés soient légaux ou illégaux, prétendument clandestins ou non, en matière de vote, de protection sociale, de logement, d’éducation, de santé… Le texte abolit en effet, de fait, toute différenciation entre immigration légale et illégale, de travail ou au titre de l’asile.

    Devant cette course folle au chaos, la mission américaine auprès de l’ONU a informé par la voix de son ambassadrice, Nikki Haley, son secrétaire général que les États-Unis mettaient fin à leur participation au Pacte mondial sur la migration, conformément à la décision prise dès le mois de décembre 2017 par Donald Trump. Elle précisa que « l’approche mondiale de la Déclaration de New-York est juste incompatible avec la souveraineté américaine ». Est-il nécessaire de préciser que Barak Obama était un partisan acharné dudit pacte ?

    L’Arlésienne des bienfaits de l’immigration

    Face à des réticences légitimes, la représentante spéciale du Secrétaire Général pour les migrations internationales, Louise Arbour, après avoir rappelé que « l’adoption du Pacte mondial pour une migration sûre, ordonnée et régulière en décembre à Marrakech sera “un moment décisif” pour l’élaboration des politiques mondiales en matière de migration » a admis du bout des lèvres qu’il y a “des cas où la migration internationale peut avoir des effets négatifs, par exemple lorsque d’importants flux de migrants ont des effets déstabilisateurs à court terme sur les marchés du travail locaux mal réglementés ou lorsqu’un grand nombre de migrants qualifiés quittent un pays, créant des manques de main-d’œuvre qui peuvent être difficiles à combler”. “Mais sur le long terme, les preuves sont claires : les avantages de la migration, en particulier d’une migration bien gérée, dépassent largement les problèmes”, a-t-elle déclaré.

    A quelles preuves peut-elle bien faire allusion lorsque l’on sait que l’immigration représente aujourd’hui le premier des problèmes pour nombre de nations et que son coût abyssal semble interdire tout redressement durable à celles dont la politique migratoire s’est révélée des plus laxistes ?

    Selon Louise Arbour, l’adoption du Pacte mondial pour une migration sûre, ordonnée et régulière en décembre à Marrakech sera “un moment décisif” pour l’élaboration des politiques mondiales en matière de migration. On ne peut, hélas, mieux dire…

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  • Un gilet de sauvetage pour les Français d’abord!

    drapeau-francais-autorise-1024x576.jpgLà où les manifestations de 2013 contre le mariage homo, la PMA la GPA, d’une ampleur inégalée depuis trente ans mais sagement pacifiques (malgré certaines provocations et violences policières initiées par le pouvoir) avaient échoué à faire plier la majorité présidentielle, les gilets jaunes sont ils en passe de réussir? Force est de constater que la macronie a perdu de sa superbe, de son orgueilleuse intransigeance, a été contrainte de lâcher du lest. Enterrée la morgue jupitérienne, ou juppéiste le concernant, Édouard Philippe a confessé mardi à la télévision qu’« il faudrait être sourd » pour ne « pas entendre la colère des Français », «aucune taxe ne mérite de mettre en danger l’unité de la Nation. » Dans la foulée des consultations des dirigeants politiques, M. Philipe a annoncé un moratoire (une suspension) pour six mois de la hausse de la taxe carbone, sur l’essence, le fioul, le diesel, un passage à la trappe (définitif?) de la réforme du contrôle technique très coûteuse pour l’automobiliste; le gouvernement renonce pareillement a-t-il dit à à la hausse des tarifs de l’électricité et de gaz. Toutes choses qui avaient été demandées notamment par Marine Le Pen mais que Bruno Le Maire, Edouard Philippe, Gérald Darmanin, Emmanuel Macron, Richard Ferrand,  jugeaient encore non négociables il y a quelques jours car nuisibles à nos équilibres budgétaires, à  la réduction des déficits et contradictoires avec nos engagements bruxellois…

    Les mesures annoncées, suffiront-t-elles à éteindre  l’incendie ? A en juger par les réactions des gilets jaunes qui rallient à eux de nouvelles catégories en souffrance (ambulanciers, infirmier(e)s, agriculteurs…), cela paraît inenvisageable. La colère est immense, la parole politique des partis de gouvernement particulièrement démonétisée, la détresse économique et sociale de millions de nos compatriotes profonde. Et puis l’image de l’exécutif  est singulièrement (définitivement?) abîmée. Aux huées qui accompagnaient toutes les sorties publiques de François Hollande à la fin de son quinquennat, répondent désormais celles qui saluent les déplacements d‘Emmanuel  Macron ces dernières semaines; ce fut le cas  encore hier soir lors de sa visite impromptue au Puy-en-Velay. Quant aux députés LREM, leur langue de bois insupportable, les éléments de langage en carton pâte qu’ils débitent sur les plateaux , leur méconnaissance des réalités vécues par nos compatriotes -voir encore tout récemment l’élue  Elise Fajgeles qui ne connait pas le montant du SMIC!- contribuent à cette rupture béante entre cette France d’en bas et les élites mondialisées qui vivent, elles, dans leur nouveau (autre) monde…

    Le politologue Jérôme Fourquet, directeur du département Opinion de l’IFOP, était invité à réagir sur le site de franceinfo aux annonces d‘Edouard Philippe.  Le ton a beau être mesuré, M. Fourquet est sévère dans son analyse et peu optimiste sur la capacité de ce gouvernement a redresser la barre. « Ces annonces, qui sont conséquentes, interviennent peut-être un peu tard, dit-il. Le mouvement a pris de l’ampleur, de la force. Le cahier des doléances s’est élargi. Donc on peut avoir une interrogation sur l’efficacité de cette mesure et son coût politique (…).  Le fait que ce soit Edouard Philippe qui porte ces annonces est compréhensible » mais « les Français veulent entendre Emmanuel Macron (…). Le but recherché est de faire cesser le mouvement au plus vite. Les premières remontées semblent montrer que le compte n’y est pas (…). Du coté des gilets jaunes on doit estimer que le gouvernement cherche à gagner du temps (…). On se dit, si on est gilet jaune, le rapport de forces est en notre faveur et il faut pousser notre avantage (…). C’est un mouvement qui n’est pas structuré, qui est protéiforme. Mais les premiers retours qu’on a pu avoir et la détermination qu’on a pu observer depuis quelques semaines montrent que tout cela a pris corps. Il faut rappeler que beaucoup de ces gilets jaunes ne sont pas des professionnels de l’action politique ou syndicale. Tout cela nous laissait penser qu’on était face à quelque chose qui était en train de prendre une certaine consistance et qu’il serait difficile de faire entrer la rivière dans son lit. »

    Spécialiste es extrême droite, Jean-Yves Camus, interrogé par l’Obs n’est pas non plus très confiant quant à la possibilité de voir le fleuve populo-populiste  regagner  son lit. Il précise, à juste titre, que « le FN (RN)  est un parti d’ordre » qu’en  toute logique Marine  se démarque des violences mais surtout que ce mouvement des gilets jaunes, constate-t-il également, est  «protéiforme». Comprendre par là qu’ « il y a chez certains une délégitimation de l’appareil d’Etat. On est dans la sécession, des gens qui ne considèrent plus l’Etat français comme légitime et qui basculent soit dans la désobéissance civile, soit dans l’action. Ceux-là ne voudront pas négocier avec un pouvoir qui n’est pas légitime à leurs yeux (…)  Je crains une forme de scission à l’intérieur du pays, c’est inquiétant. On arrive dans une période de fêtes et on fait face à un gros problème d’ordre public : soit le mouvement plie, soit il dure alors que les forces de l’ordre sont à bout. Paris ne peut vivre les fêtes du réveillon sous une telle tension.»

    Menaces de violences qui ont été aussi  brandies hier par Christophe Castaner pour stopper les manifestations, bien qu’il soit soupçonné d’avoir  laissé agir les idiots utiles d’extrême gauche pour casser les boutiques, souiller l’Arc de Triomphe afin de discréditer cette mobilisation citoyenne : «Celles et ceux qui ont fait le choix de ne pas venir manifester pacifiquement sur les Champs-Élysées doivent assumer une co-responsabilité d’avoir été aux côtés des casseurs et d’avoir très souvent empêché nos forces de l’ordre d’agir. »  Le ministre de l’Intérieur  a donc  appelé  «les gilets jaunes les plus raisonnables  à se désolidariser des extrêmes et à ne pas se rassembler à Paris samedi prochain»,à ne pas venir pour l’ Acte 4 annoncé par des collectifs de gilets jaunes sur les réseaux sociaux…

    La violence économique et  sociale, le matraquage fiscal, le  déclassement, la paupérisation, le mal-être de   catégories entières de Français ont  aussi pour cause, non pas unique mais majeure, l’immigration massive subie par nos compatriotes depuis quatre décennies. Lundi Marine tenait à Nanterre une conférence de presse   pour enjoindre  Emmanuel Macron à ne pas ratifier dans quelques jours à Marrakech,  le pacte mondial de l’ONU sur les migrations.  Elle participera samedi sur ce thème à une réunion publique à Bruxelles du Vlaams Belang,  en pleine renaissance, avec son président Tom Van Grieken  et en présence de Steve Bannon.  La présidente du RN a estimé que cette question cruciale «n’était pas si éloignée de la révolte populaire des  gilets jaunes.» « Avec cette nouvelle trahison silencieuse de la nation, nos dirigeants franchissent une nouvelle étape dans la submersion organisée de notre pays », sachant que    « les  gilets jaunes  sont  conscients qu’on ne peut pas accueillir des centaines de milliers de personnes supplémentaires, sans que ça ait une influence sur l’équilibre de nos budgets sociaux et de nos territoires. »

    Ce pacte, notons-le ici, entend formaliser, si ce n’est légaliser l’immigration illégale, il stipule ainsi qu’il s’agit  d’«améliorer et diversifier les itinéraires pour une migration sûre, ordonnée et régulière »; il  enjoint les  Etats signataires  à mettre en place  des mécanismes législatifs, juridiques,  pour donner un statut légal aux  clandestins, dépénalise de facto  l’immigration illégale et intime l’ordre de aux Etats pris pour cible par l’immigration massive d’accueillir tous les immigrés, légaux comme illégaux confondus,  de leur fournir notamment une protection sociale…Les Français appauvris, matraqués,  tous les contribuables se passeraient volontiers de ce genre de cadeau… Le  caractère non contraignant de ce texte, mis en avant par l’Etat macronien et les lobbies,  est en outre pour le moins sujet à caution. Figure notamment dans le pacte la phrase suivante: « Nous nous engageons à atteindre les objectifs et les engagements énoncés dans le Pacte mondial, et à prendre des mesures efficaces à tous les niveaux pour permettre une migration sûre, ordonnée et régulière à tous les stades. »

    Autant dire, que la présidente du RN parle d’or quand elle  dénonce « l’organisation active des migrations mondiales par les États signataires, le pillage imposé des pays d’accueil, l’institutionnalisation du communautarisme par l’institutionnalisation des diasporas, la propagande pro-migrants et la persécution des opposants à l’immigration ».  RN affirme Bruno Gollnisch,  qui est tout aussi cohérent dans sa défense des Français quand il rappelle  la dimension non pas seulement identitaire mais aussi de justice sociale qui est  à la base du refus par l’opposition  nationale  de toute nouvelle immigration et  même  son  souhait  d’une inversion des flux migratoires. Le RN est aussi un gilet de sauvetage…

    https://gollnisch.com/2018/12/05/un-gilet-de-sauvetage-pour-les-francais-dabord/

  • PACTE MONDIAL POUR LES MIGRATIONS DE L'ONU (10 DECEMBRE 2018)

  • Pacte mondial sur les migrations : au mépris de la souveraineté

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    Emmanuel Macron s’apprête à signer le pacte mondial sur les migrations, rédigé sous l’égide de l’ONU. Notons, tout de suite, que, des États-Unis à la Chine et au Japon, en passant par l’Arabie saoudite, Israël et leurs voisins – l’Europe très impolie : Autriche, Hongrie, Pologne, Italie, etc. -, nombreux sont les pays refusant de s’y engager. Les Tchèques, les Belges, les Bulgares, la Croatie, l’Australie, le Japon et même les Suisses envisagent aussi de s’en abstraire, refusant de faire de ce texte une loi qui leur soit imposée.

    Car il s’agit bien d’en faire loi ! Contrairement à ce que déclare Emmanuel Macron, pour qui « le pacte pour les migrations n’est pas juridiquement contraignant. Structuré en 23 objectifs, il ne créé donc pas d’obligations nouvelles, mais énonce des principes généraux censés permettre “des migrations sûres, ordonnées et régulières”. »

    Voyons d’abord ce que dit le CICR (Comité international de la Croix-Rouge) : « Les migrants ont besoin de protection et d’assistance du fait de la dégradation de leurs conditions de vie. » Va comprendre ! Il semble exprimer ici que migrer nuit aux gens qui le font. On nous aurait trompés ? Le CICR s’interroge ensuite quant au moyen visant à améliorer les conditions de vie « dans les pays d’origine ». Songe-t-il au retour de la Françafrique ou de la colonisation ? On se le demande…

    Le comble de la position de la Croix-Rouge réside, cependant, en leur compréhension du droit des nations. Car si « le pacte mondial réaffirme le droit souverain des États de définir leurs politiques migratoires nationales et leur droit de gérer les migrations relevant de leur compétence, dans le respect du droit international », le CICR, quant à lui, affirme benoîtement que « ce droit [souverain] n’est pas absolu ». Ainsi les nations « doivent[-elles] toujours respecter les droits des migrants » – comprendre leurs droits au-dessus des droits souverains.

    Et « s’il relève de la prérogative souveraine des États de réglementer la présence d’étrangers sur leur territoire et de décider des critères d’admission et d’expulsion des non-ressortissants, y compris de ceux qui ont un statut irrégulier, cette prérogative n’est cependant pas absolue et le droit international prévoit un certain nombre de limites ».

    Si cette soumission du « souverain » à « l’international » n’est pas chose nouvelle, Emmanuel Macron sera le premier à s’abriter derrière ces obligations pour nous imposer mille maux et mille morts…

    Emmanuel Macron ou LR ! Car si Laurent Wauquiez joue maintenant les matamores sur ce sujet, le groupe du PPE (Parti populaire européen) approuva, au printemps 2017, la résolution « Gérer les flux de réfugiés et de migrants : le rôle de l’action extérieure de l’Union » – les seuls qui s’y opposèrent furent les députés français du groupe ENL (Europe des nations et des libertés) -, laquelle contient approbation du Parlement envers les travaux des Nations unies en vue d’un pacte mondial sur les migrations.

    De façon anecdotique, on soulignera de la déclaration du CICR qu’elle unit dans une même entité la Croix-Rouge et le Croissant-Rouge. On gage que ce dernier saura prendre soin des populations migrantes sous réserve qu’elles le soient à destination des pays non musulmans. Et encore…

    Bertrand du Boullay

    http://www.bvoltaire.fr/pacte-mondial-sur-les-migrations-au-mepris-de-la-souverainete/

  • RAPPEL : jeudi 13 décembre, Lucien Cerise est l'invité des Amis franciliens de Synthèse nationale

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  • Le Pacte Mondial sur les migrants : l’analyse du Rassemblement National

    Conférence de presse de Marine Le Pen au sujet du Pacte Mondial sur les migrations.

    Une analyse pertinente, très critique envers cette nouvelle volonté onusienne d’imposer aux nations le Grand Remplacement. D’autres ont déjà fait cette autopsie mais elle vaut la peine d’être écoutée à nouveau.

    A retenir cette argument des immigrationnistes : offrir un statut aux 225 millions des migrants qui bénéficieraient ainsi d’une protection du droit international.

    Ce texte pose « la première pierre d’un droit à la migration, un droit reconnu comme un droit de l’homme et mis en œuvre par le droit international. »

    Francesca de Villasmundo

    https://www.medias-presse.info/le-pacte-mondial-sur-les-migrants-lanalyse-du-rassemblement-national/101921/

  • Les populistes accèdent au parlement régional d’Andalousie

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    Le parti de droite populiste Vox a obtenu 12 sièges au Parlement régional d’Andalousie ce dimanche, avec plus de 10% des votes. Ce parti prône la souveraineté espagnole, défend les valeurs de la famille traditionnelle et s’oppose à l’immigration.

    Son entrée au parlement d’une région gouvernée par le socialisme depuis plus de 30 ans est d’autant plus symbolique qu’elle s’accompagne d’un échec majeur des partis de gauche. Le parti socialiste ouvrier espagnol a en effet connu un recul lui aussi historique, et ne pourra donc pas obtenir la majorité, même en s’alliant à son homologue d’extrême gauche.

    Alors que l’Espagne était devenue le nouveau point d’entrée privilégié des clandestins suite à la nouvelle politique anti-immigration de l’Italie, il semblerait que la réaction du peuple ne se soit pas fait attendre.

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  • Macron ne doit pas signer le Pacte mondial des migrations imposé par l’ONU !

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    Voici le texte proposé par une centaine de patriotes, responsables associatifs ou politiques, éditeurs ou écrivains, élus locaux... contre le Pacte de Marrakech. Il a été signé, entre autres, par Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, et par Hugues Bouchu, Président des Amis franciliens de notre revue. Nous invitons les collaborateurs et lecteurs de Synthèse nationale à en faire autant.
    L'appel des 100 premiers patriotes contre le pacte de Marrakech sur les migrants
    Les chefs d’États des pays membres de l’ONU se réuniront les 10 et 11 décembre prochain à Marrakech pour signer le Pacte mondial sur les migrations.

    Approuvé avec « l’autorité morale des Nations unies », reposant sur le dogme de la liberté absolue de circuler, ce texte constituera à coup sûr une base politique et juridique qui invitera mécaniquement les pays à abattre leurs frontières pour accueillir les migrations internationales.

    Ce pacte est une menace pour l’intégrité des États de ce monde qui sont appelés à renoncer ainsi aux particularismes de leurs peuples pour ne plus entraver les grands déplacements de populations présents et avenir.

    République tchèque, Croatie, Bulgarie, Slovénie, Hongrie, Autriche, Estonie, Danemark, Pologne, Italie, Suisse, États-Unis, Israël, Australie... préférant privilégier la protection de leurs identités nationales, de nombreux pays ont annoncé leur décision de ne pas signer ce pacte. Prenant le contrepied de ce choix courageux, Emmanuel Macron a fait part de sa volonté d’engager la France en signant ce document, sans consulter quiconque, ni les Français, ni les corps intermédiaires de ce pays.
     
    Le peuple français ne peut être dépossédé de son droit à rester lui-même. Déjà accablée par le poids d’une immigration incontrôlée, la France ne peut être liée par un texte qui mettra davantage en péril les grands équilibres ethnico-culturels de notre pays.

    Emmanuel Macron - désavoué actuellement par plus de 80% des Français - a décidé d’apposer la signature de la France au bas de ce Pacte liberticide. Notre pays et plus généralement l’Europe sont en grand danger. Mobilisons-nous partout en France pour exercer une pression populaire puissante sur le chef de l’État et signons massivement la pétition qui sera transmise à l’Élysée.
     
    Les 100 premiers signataires :
     
    • Robert Albarèdes - Ancien maire de Gréasque • Philippe Arnon - Docteur d’Etat en droit • Alain Barnier – Patriote Vallée du Rhône • Anne Bastide - Ligue du Midi Provence, Femmes en colère • Thomas Bégué – Les Patriote Bordelais • Alain Billière - Colonel en retraite, Agen • Nathalie Bosc – Ligue du Midi, Gard • Jean-Luc Bouchereau – Patriote, Montpellier • Hugues Bouchu - Président des Amis Franciliens de Synthèse Nationale • Paule Bouvard - Ligue du Midi, Cercle des Citoyens Patriotes • Marc Boyer – Ligue du Midi, Aude • Gérard Brazon – Riposte Laïque • Françoise Briend – Ligue du Midi Provence • Renaud Camus – Ecrivain, Président du CNRE • Jean Canal - Patriote • Pierre Cassen – Fondateur de Riposte Laïque • Robert Noel Castellani - Patriote • Erick Cavaglia- Ligue du Midi Gard • André Chaleil – Ligue du Midi, Gard • Bernard Chalumeau - Alliance pour la souveraineté de la France • Georges Clément - CNRE • Jacques Clostermann - Pilote de chasse • Dan Corbet - Secrétaire de Résistance républicaine • Jacques Cordonnier - Alsace • Patrick Corréas – Patriote Landes • Daniel Cosculuella – Ecrivain Aquitaine • Paul-Marie Couteaux – Ecrivain, Angoulème • Jean- Michel Darqué - Ligue du Midi Toulouse • Gérard Deheurle - RR, Ligue du Midi, CCP, VPF Béziers • Jean Baptiste De France - Conseiller municipal de Lormont • François de Lochner - Président de la Fondation de Service politique • Alain De Peretti – Vigilance Halal • Jean Jacques Depettris – Ligue du Midi Vallée du Rhône • Roland Dicchi – Ligue du Midi Marseille • Yves Doutre – Ligue du Midi Montpellier • Maurice Droin - Patriote • Laurent Droit – Ancien militaire, Riposte Laïque • Josette Duboe – Ligue du Midi Montpellier • Alain Dubos – Ecrivain, Médecin • Bernard Dupland – Economiste, Ardèche • Robert Dupin – Patriote Occitanie • François Galvaire « Batdaf » – You tubeur • François Gaubert – Général CR • Jacques Ghedin- Trésorier de Résistance républicaine • Philippe Gibelin - Président Nationalité-Citoyenneté-Identité • Dominique Gillet – Patriote, Ligue du Midi Pays Basque • Jacques Guillemain - Ancien officier de l’armée de l’air. • Roland Hélie – Directeur de Synthèse nationale • Véronique Hervouet - Essayiste, vice-présidente du SIEL • Bertrand Hesquet - Patriote bordelais • Pascal Hilout, né Mohamed – Apostat de l’Islam, Riposte Laïque • Yolande Houlès – Ligue du Midi Béziers • Sébastien Jallamion – Ancien Policier • Patrick Jardin – Patriote, père de Nathalie • François Jay – Les Patriotes bordelais • Patrick Junca – Patriote, Bourgogne • Albert Kaufman – Patriote, Musicien, Agde • Michel Kurz – Patriote, Ligue du Midi • Jean Lafitte - Chevalier de la Légion d’honneur, Commissaire colonel de l’Armée de l’Air en retraite • Bruno Lafourcade - Ecrivain • Gilles Laigre – Patriote Occitanie •Michaël Lasjunie - Entrepreneur textile • Myriam Lecharlier – Ligue du Midi Béziers • Jean Yves Le Gallou - Polémia • Dominique Lescure - Administrateur Bloc Identitaire • Ivy Leseigneur– Ligue du Midi Hérault • Frédéric Lizé – Ligue du Midi Béziers • Geneviève Lods-Mellet – Ligue du Midi Gard • Yves Maillard - Capitaine de vaisseau honoraire • Régis Maitre – Ligue du Midi Montpellier • Patricia Margand – Conseil en communication • Philippe Martel - CNRE • Antoine Martinez – Général CR • Marcel Meyer - Membre du CNRE, Ploëzal • Nicole Mina - Conseillère régionale Rassemblement national • Jean Bernard Molles – Conseil en communication • Loïc Morell – Conseil en communication • Stéphan Mourard – Patriote Provence • Véronique Naudé – Ligue du Midi Ariège • Claire Navarro - Administrateur Cercle algérianiste Rhône-Ardèche • Karim Ouchikh - Président du SIEL • Flavien Pfeiffer – animateur sportif, patriote • Martine Pincemin – Patriote CNRE • Christian Piquemal – Président CCP • Daniel Pollett – Ligue du Midi, Résistance Républicaine Cévennes • Félix Robert - Patriote libournais • Nicolas Robert – Patriote, Montpellier • Gregory Roose – CNRE, ré information • Olivier Roudier - Porte-Parole Ligue du Midi • Richard Roudier – Président de la Ligue du Midi • Guy Sebag – Avocat à la cour retraité, Président de Riposte Laïque • Jacques Soulis - Patriote, Poitiers • Christine Tasin – Présidente Résistance Républicaine • Jean Théron - Vice-Président de Résistance républicaine • Jean Louis Trainar - Minurne • Evelyne Tschirhart - écrivain. • Sybil Vergnes - Présidente Entraide et Solidarité • Maryvonne Villard – Femmes en Colère • Jordi Vives - Journaliste de ré information • Alain Wagner – Essayiste 
      
    Deuxième liste de signataires de l’appel :
     
    • Sieghilde Adam – Responsable des ventes • Colonia Agripinensis - Rédacteur de Résistance républicaine • Corinne Bardou – Conseillère régionale RN Occitanie • Pierre Berson – Patriote, Villeréal • Jean Claude Blanchard - Conseiller régional RN, conseiller municipal de Saint-Nazaire • Sylvia Bourdon - Chef d'entreprise • Jean-Yves Briend – Ligue du Midi Provence • Christophe Bugeau – Patriote, Bordeaux • Paul Delorme – Ligue du Midi Vallée du Rhône • Raphaël Delpard - Patriote • Jean Claude Faffa – Ligue du Midi Périgord • Jérémy Fontaine – Technicien sanitaire social • Bernard Gay – Patriote, Arcachon • Olivier Gillot– Ligue du Midi Gironde, viticulteur • Enzo Giornale – Citoyen de Provence • Michel Hospital – Vétérinaire, Conseiller municipal Marmande • André Jahan – Ligue du Midi Hérault • Nicolas Lacave - CNRE • Christian Lesur – Patriote Gard • Jean Louis Levoux – Patriote, Ligue du Midi • Henri Lods-Mellet – Ligue du Midi Gard • Serge Lopez – Technicien Bâtiment • Cédric Mabille – Ligue du Midi Hérault • Jean Miclot – Patriote Gard • Jean Ninot – Patriote Occitanie • Lucien Samir Oulahbib - Auteur, enseignant • Lalanne Michel Pastor - Médaillé Patriote de France • Cécile Peyridieux – Ligue du Midi Hérault • Bojo Pinek – Patriote, Ligue du Midi • Thierry Puech – Patriote, Montpellier • Philippe Randa - Editeur • Edmond Richter - Psychothérapeute • Yohann Rimokh - Avocat • Francis Rognon – Ligue du Midi Lyon • Guy Rolland – Ecrivain, Occitanie • Jean Paul Saint Marc - Enseignant à la retraite • Pierre Saladin – Patriote Vallée du Rhône • Michel Salanon – Chroniqueur « le Phare fouilleur » • Albert Salon - Ancien ambassadeur, docteur d’État ès lettres • Jean Baptiste Santamaria - Philosophe • Anne-Marie Schaapman – Ligue du Midi, Alès • Ann Seban – Ligue du Midi Gard • Luc Sommeyre– Occitanie, ré information • Thierry Vincent – Patriote Occitanie • Vincent Vidal – Responsable SIEL Provence • Hildegard von Hessen Am Rhein - Rédacteur de Dreuz
     
    Le texte du pacte que Macron veut signer cliquez ici
     
    Vous voulez signer cet appel, envoyez vos coordonnées avec la mention "Je soutiens l'appel contre le Pacte mondial de l'ONU sur les migrations" à : 
     
    synthesenationale@club-internet.fr
     
    Votre réponse sera transmise aux organisateurs.