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immigration - Page 788

  • Italie – Des migrants entame une grève de la faim. La réponse cinglante de Salvini

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    150 « migrants » embarqués sur le bateau des gardes-côtes italiens, le Diciotti, ont l’interdiction de débarquer dans le port de Catane en Sicile. Le gouvernement italien n’a vraiment pas l’intention de continuer à recueillir, comme par le passé, tous les clandestins qui décident de venir en Europe par la Méditerranée.

    Le vice-président du Conseil italien, Luigi Di Maio, avait donné jusqu’au 24 août à Bruxelles pour trouver une solution sur la répartition des migrants bloqués sur le navire italien, menaçant de réduire les versements de l’Italie à l’UE. Mais pour l’instant les technocrates de Bruxelles font la sourde oreille, peut-être dans l’espoir que l’Italie baissera les bras. Ce qui ne semble visiblement pas le cas : le gouvernement italien tient bon dans ce bras de fer avec les instances européennes et contre leur folle politique immigrationniste.

    « L’Italie est obligée de prendre acte que l’Europe a perdu aujourd’hui une bonne occasion » de montrer son attachement aux « principes de solidarité et responsabilité » qu’elle cite toujours comme étant des « valeurs fondamentales », a déclaré sur Facebook le chef du gouvernement italien, Giuseppe Conte.

    Depuis hier matin, certains de ces aspirants à l’Eldorado européen retenus à bord duDiciotti ont donc décidé d’entamer une grève de la faim pour protester contre cette interdiction de débarquer. Ils ont refusé, paraît-il de prendre leur petit déjeuner.

    La réponse que Matteo Salvini leur a faite devrait faire réfléchir tous les biens-pensants radicaux-chic et bobos gauche-caviar :

    « En Italie, 5 millions de personnes, dont 1,2 million d’enfants, vivent en situation de pauvreté absolue et font la grève de la faim tous les jours, dans le silence des journalistes et des bien-pensants. Pour moi, les Italiens viennent en premier, puis le reste du monde. Un juge voudrait-il enquêter sur eux ou m’arrêter pour cela ?  Aucun problème. Je l’attends.»

    Et toc !

    Francesca de Villasmundo

    http://www.medias-presse.info/italie-des-migrants-entame-une-greve-de-la-faim-la-reponse-cinglante-de-salvini/96978/

  • Les militaires de Sentinelle ouvrent le feu à Lille

    Le 26 août : Ici : 

    "Des militaires motorisés de la force Sentinelle qui patrouillaient hier soir à Lille ont tiré sur un véhicule qui venait de leur faire une queue de poisson et qui a pris la fuite, a indiqué la préfecture confirmant une information d'Europe 1.

    Aucun militaire n'a été blessé, a-t-on précisé de même source. Le véhicule était toujours recherché dimanche matin. Selon la préfecture, vers 21h20, une voiture aurait fait une queue de poisson au véhicule de la force Sentinelle en patrouille. Les militaires l'auraient rattrapée, seraient sortis et auraient ensuite encerclé le véhicule pour le contrôler.

    C'est alors que le conducteur aurait redémarré pour fuir en fonçant sur les militaires, qui ont alors tiré à plusieurs reprises. Le véhicule a réussi à prendre la fuite et était toujours recherché ce matin".

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2018/08/les-militaires-de-sentinelle-ouvrent-le-feu-%C3%A0-lille.html

  • Immigration : danger toujours immédiat

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    Notre société part à la dérive. N’en déplaise aux cœurs sensibles, aux amoureux d’utopiques droits de l’homme, à la fausse générosité d’une gauche méprisante autant que meurtrière, d’une droite irresponsable, mais l’immigration est responsable de la désagrégation de la société française. Par ses dommages collatéraux sur l’ensemble des acteurs sociaux : éducation, santé, religion, justice. Une grande partie des immigrés refusent les lois de la République, plus encore la culture française qu’elle ignore superbement. Cette haine de la France s’exprime aussi dans les moquées qu’on laisse pousser dans toutes les métropoles. Le fossé entre la France gauloise et les immigrés est culturelle. On ne pourra jamais combler le fossé des imaginaires dont la langue est l’expression majeure. Or, dans cette France en voie de déstructuration, les minorités conservent leur langue car elle demeure le lien communautaire par excellence.

     Il nous a paru révélateur de reproduire l’article suivant

     Les policiers, premiers témoins de la brutalité et de la haine

    Par Hugo Wintrebert

    Il suffit d’un regard. Deux individus se croisent, se toisent et c’est tout. Un coup d’œil ou une simple cigarette refusée : un motif parfois suffisant pour que se déchaîne une haine hors de toute proportion. Une violence sans cause, mais aux conséquences parfois tragiques. À Paris, au petit matin du 8 août, un homme monte dans un bus avec son vélo. Un voyageur lui fait une remarque. Quelques secondes après, le voilà gisant sur le trottoir, le cou transpercé par un coup de clef.

    Aux premières loges de ce spectacle sinistre, les policiers. Car derrière les chiffres démontrant la hausse des agressions, se cache un sentiment diffus au sein des forces de l’ordre : celui d’un recours toujours plus débridé à la violence par la population, d’une « radicalisation des rapports sociaux », voire d’un « ensauvagement de la société » pour reprendre les termes de Patrice Ribeiro, secrétaire général du syndicat Synergie police.

    « L’utilisation de la violence ne fait que s’amplifier, relève Frédéric Lagache, secrétaire général adjoint du syndicat Alliance. La société ressemble de plus en plus à une rame de métro. C’est un monde du chacun pour soi, où les incivilités sont légion. Et en cas d’agression, les voyageurs préfèrent baisser les yeux, conscients que s’ils interviennent, ils seront forcément victimes. » Un constat partagé par Jérémie Dumont, secrétaire général adjoint du syndicat des commissaires de la police nationale, qui précise qu’« il ne s’agit pas nécessairement que d’individus venant de zones urbaines sensibles, mais d’un mouvement plus large de l’en- semble de la société ».

    Pour les policiers, cette recrudescence des violences gratuites s’explique par l’impunité dont profiteraient les auteurs de ces actes. « Les magistrats sont désormais accoutumés. Ils ne condamnent jamais de manière ferme les personnes qui commettent ces violences », s’agace Patrice Ribeiro. « On retrouve les délinquants dans la rue le jour même de leur arrestation, abonde Frédéric Lagache. Seule, la police est impuissante face à une hausse des incivilités. Elle ne peut pas combler les lacunes de l’école, du manque de civisme et d’une justice laxiste. »

    La banalisation des violences n’est pas nouvelle mais certains policiers notent un phénomène émergeant : l’exhibition de la haine. Sur les réseaux sociaux, certaines rixes sont désormais filmées et des compilations de bagarres deviennent virales. Témoins de ces violences, les forces de l’ordre en sont aussi parfois les victimes. Selon les intéressés, être policier en 2018, c’est avant tout être une cible. Le moindre contrôle d’identité est source de tension. « Il n’y a plus de routine. Quand il arrive au bureau, un agent ne sait pas ce qui va lui arriver dans la journée, s’inquiète Philippe Capon, secrétaire général Unsa police. Même un petit différend familial peut dégénérer. » Dernier exemple en date : le 10 août, des gendarmes landais interviennent pour une simple affaire de vol de vélo. Trois d’entre eux ont terminé leur mission blessés, deux par arme blanche et un au moyen d’une barre métallique.

    Plus largement, les forces de l’ordre se plaignent de ne plus jouir d’une certaine forme de respect. « On ne relève même plus les insultes par exemple, sinon on passerait encore plus de temps derrière un ordinateur plutôt que sur le terrain », assure Frédéric Lagache. Avant de conclure : « Aux États-Unis, si vous frappez un policier, vous allez directement en prison. En France, les forces de l’ordre ne sont pas respectées. Alors pour les personnes lambda, c’est encore pire. »

    (Source : Le Figaro 27/08/2018)

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Matteo Salvini, victime du délire judiciaire

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    Le gouvernement italien, entré en fonction au début du mois de juin 2018 et regroupant les deux partis patriotiques Mouvement 5 étoiles (M5S) et Ligue, doit affronter l’arrivée, par la mer, de migrants. Le ministre de l’Intérieur, vice-Premier ministre et dirigeant de la Ligue Matteo Salvini a, au cours des dernières semaines, réduit massivement les débarquements grâce à son action énergique.

    Son parti caracole désormais en tête des sondages et, lorsque Matteo Salvini se rend à la plage, de très nombreuses personnes lui affirment leur soutien.

    Pourtant, malgré le changement de cap, l’Italie est toujours victime des flux migratoires. Ainsi, le navire des garde-côtes italiens Diciotti, qui a procédé au sauvetage en mer de 150 personnes, se trouve immobilisé depuis plusieurs jours dans le sud du pays, à Catane, en Sicile. Les individus qui se trouvent à bord sont empêchés par les autorités, à l’exception de 17 personnes malades, de débarquer.

    Dans le cadre de cet événement très médiatisé, le parquet a décidé d’ouvrir une enquête, non pas à l’encontre des migrants qui tentent d’entrer illégalement sur le territoire national, mais bien en visant le ministre Salvini et son chef de cabinet pour « séquestration de personnes, arrestations illégales et abus de pouvoir ».

    Les membres de l’exécutif étant protégés dans l’exercice de leur fonction d’éventuelles attaques de la magistrature de base, l’enquête est transmise à un « tribunal des ministres » à Palerme, chargé de gérer les délits potentiels commis en Sicile par ceux-ci.

    Des magistrats, non élus, se permettent par conséquent d’attaquer sur ses décisions le ministre d’un gouvernement qui dispose d’une majorité au Parlement, ainsi que du soutien, sur la question migratoire, du troisième parti patriotique présent au Parlement, Frères d’Italie.

    Cette « dictature des juges », qui octroie à ces individus – souvent issus de la petite bourgeoisie boboïsante complice de la haute finance internationale qui organise la mondialisation – des pouvoirs exorbitants, pose une fois de plus la question de la hiérarchie réelle des institutions au sein de l’État, ainsi que celle de la défense des principes démocratiques qui doivent normalement conduire au fait que la volonté du peuple prime sur des principes juridiques abstraits qui vont à l’encontre de ses intérêts.

    Matteo Salvini a réagi à l’ouverture de l’enquête et déclaré : « Ils ne nous stopperont pas ! C’est une honte ! » Et ajouté : « Ils peuvent m’arrêter moi, mais pas la volonté de 60 millions d’Italiens. »

    Lionel Baland

    http://www.bvoltaire.fr/matteo-salvini-victime-du-delire-judiciaire/

  • Nicole Belloubet a le feu dans ses prisons, mais son souci, c’est la prise en charge des migrants !

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    En France, on ne compte plus les ras-le-bol : celui de l’armée, de la police, des pompiers, des enseignants, des personnels des hôpitaux, des ruraux, des automobilistes, des retraités, des cheminots, des maires des petites communes, des avocats, des notaires, des huissiers, des agriculteurs, des habitants des quartiers, des buralistes, des anti-migrants, etc. Plus ce gouvernement avance dans le temps, plus il se met à dos de nouveaux secteurs de la population.

    « The last but not the least » est celui des prisons car, depuis les grèves de cet hiver, non seulement rien n’a été réglé, mais les incidents se multiplient. Un chiffre résume le comportement des prisonniers : plus de 40.000 téléphones portables ont été saisis dans les prisons françaises en 2017, un chiffre huit fois supérieur à celui de 2007. Cette somme s’explique, certes, par la hausse du nombre de mobiles en circulation, mais aussi par la pugnacité des « taulards ».

    Dans un long article du Figaro, les surveillants pénitentiaires dépeignent leur quotidien de plus en plus violent et anxiogène. Nombreux sont les agents à avoir la boule au ventre en partant travailler. Aux crachats, menaces, invectives s’ajoutent les 4.000 agressions physiques par an dont sont victimes les gardiens de prison. Le 5 août, un détenu armé d’une lame de rasoir se jette sur un surveillant qui vient d’ouvrir la porte de sa cellule, à la maison d’arrêt de Nîmes ; une veine du cou est touchée, le gardien s’en tire avec onze points de suture. Cinq jours plus tard, un détenu de la prison de Liancourt (Oise), muni d’un bout tranchant découpé dans une canette, se jette au cou d’un surveillant qui parvient à esquiver le geste de justesse. À Nantes, dernièrement, cinq surveillants sont agressés en une semaine. Cela, sans compter les manifestations devant les prisons organisées par des proches ou des soutiens, comme ceux de Tariq Ramadan. Soyons clair : actuellement, ce ne sont plus les prisonniers qui ont peur des « matons » mais les « matons » qui ont peur des prisonniers.

    Vu le manque d’effectifs, les gardiens font trente à quarante heures supplémentaires par mois, les dépressions, arrêts maladie et absentéisme record se succèdent. Les personnels ne croient plus en l’utilité de leur métier, nombreux sont les jeunes qui, venant de passer le concours de l’École nationale d’administration pénitentiaire, démissionnent juste avant de prendre leur poste. Avec un surveillant pour 2,46 détenus en 2017, la France possède l’un des pires taux d’encadrement d’Europe. De plus, la vétusté de certaines prisons, comme à Colmar, rend également incompatible le respect des exigences de sécurité. Enfin, la surpopulation carcérale explose : selon Le Figaro« au 1er juillet, 70.710 personnes étaient détenues dans les prisons françaises, un record historique depuis la Libération. C’est 48 % de plus qu’en 2001, et ceci alors qu’aujourd’hui, ceux qui prennent moins de deux ans sont exemptés de prison. Résultat : le taux d’occupation des cellules atteint plus de 120 %. »

    Mais surtout, derrière cette multitude, se cache un phénomène bien connu : la prolifération des racailles de quartiers, surreprésentées en prison. Le quotidien américain Washington Post, pourtant classé à gauche, estimait dans un article d’avril 2015 que « 60 % à 70 % » des détenus en France sont musulmans alors qu’ils représentent « à peine 12 % de la population totale du pays ». Déjà, en 2014, en sa qualité de président de l’Institut du monde arabe, Jack Lang, qui n’est pas lepéniste, avait écrit que « près de deux tiers des prisonniers en France étaient musulmans ».

    Je vous laisse imaginer les chiffres actuels que, bien évidemment, l’administration ne communiquera jamais. On comprend mieux, alors, pourquoi les gardiens se sentent démunis et dépassés face aux détenus radicalisés !

    Pendant ce temps, Nicole Belloubet, toujours en pointe, déclarait : « La France sera au côté de l’Espagne pour prendre en charge les migrants. » Car, évidemment, ceci n’a rien à voir avec cela.

    J.-P. Fabre Bernadac

    http://www.bvoltaire.fr/nicole-belloubet-a-le-feu-dans-ses-prisons-mais-son-souci-cest-la-prise-en-charge-des-migrants/

  • Longjumeau (91) : le projet de mosquée suscite des oppositions

    Face aux oppositions qui n’ont pas tardé à se faire jour, Sileymani Diakite et Ouleydy N’diaye, les porteurs de projets de la mosquée de Longjumeau (Essonne, 22 000 hab), sont « prêts à dialoguer avec tout le monde. »

    Si le calme règne dans ce secteur verdoyant de la commune, le projet de construction d’une mosquée au bord de cette voie fait grand bruit, et ce bien au-delà de la simple sphère communale. Une première salve d’oppositions avait animé la chronique voilà trois ans. Des riverains s’étaient en effet émus alors qu’un projet de ce type bruissait en ville. Réalisé début juillet, le vote en faveur de la vente de deux parcelles communales à l’association CSCIL, mobilisée pour la construction d’un centre socioculturel islamique à Longjumeau, avait relancé les craintes de certains habitants, toujours remontés aujourd’hui.

    Face à cette fronde plus ou moins visible, les porteurs du projet se disent ouverts aux échanges et aux éclairages. […] Pour favoriser la discussion et présenter le projet, une réunion « ouverte à tous » est d’ores et déjà programmée pour le soir du 28 septembre prochain à la salle Anne Frank. […]

    « Les prêches et les discours se feront, pour l’essentiel, en français, comme c’est le cas actuellement», souligne le responsable pour tenter de faire taire certaines inquiétudes. […]

    Le Parisien

    http://www.fdesouche.com/1065649-longjumeau-91-le-projet-de-mosquee-suscite-des-oppositions

  • Matteo Salvini : «J’en ai assez de voir dans nos villes des milliers de faux réfugiés qui ne font rien de la journée et qui coûtent 5Mds€ aux Italiens !»

    Matteo Salvini : «J’en ai assez de voir dans nos villes des milliers de faux réfugiés qui ne font rien de la journée et qui coûtent 5Mds€ aux Italiens !»
    – TF1, 24 août 2018, 20h12

    http://www.fdesouche.com/1065417-matteo-salvini-jen-ai-assez-de-voir-dans-nos-villes-des-milliers-de-faux-refugies-qui-ne-font-rien-de-la-journee-et-qui-coutent-5mdse-aux-italiens
  • Attentat de Trappes par un employé de la RATP : des langues se délient

    L'anarchie règne aussi dans les transports en commun parisiens. On le sait, mais ça va mieux en le disant : 

    ""J’ai été chauffeur de bus pendant 37 ans, dont 10 ans sur le N22, le Noctilien qui va de Juvisy, dans le 91, à Châtelet. Après avoir vu et subi trop d’agressions, j’ai pris ma retraite en août 2016. Les violences faisaient partie du quotidien, et allaient d’une simple insulte jusqu’à la tentative de viol. Lorsque je demandais aux usagers de valider leurs titres de transport, certains me répondaient que je n’avais qu’à 'fermer ma gueule'. Si j’insistais, ça se finissait mal. 

    L’agression de trop, qui m’a fait prendre ma retraite, s’est passée cet été, lorsque j’ai justement demandé à un voyageur de me présenter son titre de transport. Il m’a regardé, et avec sa main, il a mimé le geste de me tuer. J’ai voulu porter plainte pour menace de mort. Les policiers ont regardé la vidéo et ont bien vu la personne faire ce geste. Mais la direction n’a pas souhaité que j’aille au bout, elle préfère défendre le voyageur. Le manque de soutien envers le chauffeur de bus est un véritable problème. Quand on essaie de faire respecter les règles, on nous demande de nous taire".

    L'islamisme rampant s'est infiltré par leur pseudo diversité dans le recrutement des agents de la régie : 

    "Kamel Salhi a tué par le couteau sa mère et sa sœur et grièvement blessé une passante, ce jeudi à Trappes, en hurlant « Allah akbar » avant de se retrancher dans la maison et d’être abattu par les forces de l’ordre.

    L’attaque a été revendiquée par l’État islamique en ces termes : « L’auteur de l’attaque dans la ville de Trappes […] est l’un des combattants [du groupe] État islamique et a perpétré cette attaque à la faveur des appels à cibler des ressortissants des pays de la coalition ».

    Bien évidemment, le sinistre de l’Intérieur, Gérard Collomb, préfère le qualifier de déséquilibré plutôt que de terroriste, évoquant des troubles psychologiques importants. On connaît la chanson…

    Première surprise… condamné et connu des services de police pour apologie du terrorisme depuis 2016, fiché FSPRT pour radicalisation, j’apprends qu’il avait été chauffeur de bus de la RATP. Je me dis : « tiens ? comme Samy Amimour ! celui qui avait été, le 13 novembre 2015, un des assassins de masse du Bataclan. »

    Deuxième surprise… j’apprends, à la lecture des différents articles des journaux mainstream, qu’il a été licencié par la RATP en 2016 pour avoir arrêté son bus d’une ligne de Puteaux et proféré en hurlant ces propos à des usagers : « Par Allah, vous allez tous mourir ».

    Et tout d’un coup, je réalise" (suite).

    Lahire

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • La Libye refuse d'accueillir les "migrants" secourus dans ses eaux territoriales par... l'Italie

    Libye à respecter le droit ?

    "Le gouvernement libyen d'union nationale (GNA) refusera d'accueillir environ 170 migrants bloqués sur un navire italien après avoir quitté les côtes libyennes, a indiqué le chef de la diplomatie Mohamad Siala. Cette déclaration intervient après des menaces répétées de Rome de renvoyer ces migrants en Libye.

    "Soit l'Europe commence à défendre sérieusement ses frontières et partage l'accueil des immigrés, soit nous commencerons à les ramener dans les ports d'où ils sont partis", a écrit mardi sur Twitter le ministre italien de l'Intérieur Matteo Salvini. Il avait déjà proféré les mêmes menaces dimanche. Ce serait une "mesure injuste et illégale", a réagi le ministre libyen des Affaires étrangères dans un communiqué publié tard hier soir, soulignant que son pays accueillait déjà plus de 700.000 migrants, la plupart originaires d'Afrique sub-saharienne. Selon lui, les migrants secourus en Méditerranée doivent être rapatriés "dans leur pays d'origine". "La Libye est uniquement un pays de passage qui n'a que trop enduré", a-t-il indiqué, appelant la communauté internationale à "assumer ses responsabilités".

    Lahire

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html