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immigration - Page 788

  • Un gilet de sauvetage pour les Français d’abord!

    drapeau-francais-autorise-1024x576.jpgLà où les manifestations de 2013 contre le mariage homo, la PMA la GPA, d’une ampleur inégalée depuis trente ans mais sagement pacifiques (malgré certaines provocations et violences policières initiées par le pouvoir) avaient échoué à faire plier la majorité présidentielle, les gilets jaunes sont ils en passe de réussir? Force est de constater que la macronie a perdu de sa superbe, de son orgueilleuse intransigeance, a été contrainte de lâcher du lest. Enterrée la morgue jupitérienne, ou juppéiste le concernant, Édouard Philippe a confessé mardi à la télévision qu’« il faudrait être sourd » pour ne « pas entendre la colère des Français », «aucune taxe ne mérite de mettre en danger l’unité de la Nation. » Dans la foulée des consultations des dirigeants politiques, M. Philipe a annoncé un moratoire (une suspension) pour six mois de la hausse de la taxe carbone, sur l’essence, le fioul, le diesel, un passage à la trappe (définitif?) de la réforme du contrôle technique très coûteuse pour l’automobiliste; le gouvernement renonce pareillement a-t-il dit à à la hausse des tarifs de l’électricité et de gaz. Toutes choses qui avaient été demandées notamment par Marine Le Pen mais que Bruno Le Maire, Edouard Philippe, Gérald Darmanin, Emmanuel Macron, Richard Ferrand,  jugeaient encore non négociables il y a quelques jours car nuisibles à nos équilibres budgétaires, à  la réduction des déficits et contradictoires avec nos engagements bruxellois…

    Les mesures annoncées, suffiront-t-elles à éteindre  l’incendie ? A en juger par les réactions des gilets jaunes qui rallient à eux de nouvelles catégories en souffrance (ambulanciers, infirmier(e)s, agriculteurs…), cela paraît inenvisageable. La colère est immense, la parole politique des partis de gouvernement particulièrement démonétisée, la détresse économique et sociale de millions de nos compatriotes profonde. Et puis l’image de l’exécutif  est singulièrement (définitivement?) abîmée. Aux huées qui accompagnaient toutes les sorties publiques de François Hollande à la fin de son quinquennat, répondent désormais celles qui saluent les déplacements d‘Emmanuel  Macron ces dernières semaines; ce fut le cas  encore hier soir lors de sa visite impromptue au Puy-en-Velay. Quant aux députés LREM, leur langue de bois insupportable, les éléments de langage en carton pâte qu’ils débitent sur les plateaux , leur méconnaissance des réalités vécues par nos compatriotes -voir encore tout récemment l’élue  Elise Fajgeles qui ne connait pas le montant du SMIC!- contribuent à cette rupture béante entre cette France d’en bas et les élites mondialisées qui vivent, elles, dans leur nouveau (autre) monde…

    Le politologue Jérôme Fourquet, directeur du département Opinion de l’IFOP, était invité à réagir sur le site de franceinfo aux annonces d‘Edouard Philippe.  Le ton a beau être mesuré, M. Fourquet est sévère dans son analyse et peu optimiste sur la capacité de ce gouvernement a redresser la barre. « Ces annonces, qui sont conséquentes, interviennent peut-être un peu tard, dit-il. Le mouvement a pris de l’ampleur, de la force. Le cahier des doléances s’est élargi. Donc on peut avoir une interrogation sur l’efficacité de cette mesure et son coût politique (…).  Le fait que ce soit Edouard Philippe qui porte ces annonces est compréhensible » mais « les Français veulent entendre Emmanuel Macron (…). Le but recherché est de faire cesser le mouvement au plus vite. Les premières remontées semblent montrer que le compte n’y est pas (…). Du coté des gilets jaunes on doit estimer que le gouvernement cherche à gagner du temps (…). On se dit, si on est gilet jaune, le rapport de forces est en notre faveur et il faut pousser notre avantage (…). C’est un mouvement qui n’est pas structuré, qui est protéiforme. Mais les premiers retours qu’on a pu avoir et la détermination qu’on a pu observer depuis quelques semaines montrent que tout cela a pris corps. Il faut rappeler que beaucoup de ces gilets jaunes ne sont pas des professionnels de l’action politique ou syndicale. Tout cela nous laissait penser qu’on était face à quelque chose qui était en train de prendre une certaine consistance et qu’il serait difficile de faire entrer la rivière dans son lit. »

    Spécialiste es extrême droite, Jean-Yves Camus, interrogé par l’Obs n’est pas non plus très confiant quant à la possibilité de voir le fleuve populo-populiste  regagner  son lit. Il précise, à juste titre, que « le FN (RN)  est un parti d’ordre » qu’en  toute logique Marine  se démarque des violences mais surtout que ce mouvement des gilets jaunes, constate-t-il également, est  «protéiforme». Comprendre par là qu’ « il y a chez certains une délégitimation de l’appareil d’Etat. On est dans la sécession, des gens qui ne considèrent plus l’Etat français comme légitime et qui basculent soit dans la désobéissance civile, soit dans l’action. Ceux-là ne voudront pas négocier avec un pouvoir qui n’est pas légitime à leurs yeux (…)  Je crains une forme de scission à l’intérieur du pays, c’est inquiétant. On arrive dans une période de fêtes et on fait face à un gros problème d’ordre public : soit le mouvement plie, soit il dure alors que les forces de l’ordre sont à bout. Paris ne peut vivre les fêtes du réveillon sous une telle tension.»

    Menaces de violences qui ont été aussi  brandies hier par Christophe Castaner pour stopper les manifestations, bien qu’il soit soupçonné d’avoir  laissé agir les idiots utiles d’extrême gauche pour casser les boutiques, souiller l’Arc de Triomphe afin de discréditer cette mobilisation citoyenne : «Celles et ceux qui ont fait le choix de ne pas venir manifester pacifiquement sur les Champs-Élysées doivent assumer une co-responsabilité d’avoir été aux côtés des casseurs et d’avoir très souvent empêché nos forces de l’ordre d’agir. »  Le ministre de l’Intérieur  a donc  appelé  «les gilets jaunes les plus raisonnables  à se désolidariser des extrêmes et à ne pas se rassembler à Paris samedi prochain»,à ne pas venir pour l’ Acte 4 annoncé par des collectifs de gilets jaunes sur les réseaux sociaux…

    La violence économique et  sociale, le matraquage fiscal, le  déclassement, la paupérisation, le mal-être de   catégories entières de Français ont  aussi pour cause, non pas unique mais majeure, l’immigration massive subie par nos compatriotes depuis quatre décennies. Lundi Marine tenait à Nanterre une conférence de presse   pour enjoindre  Emmanuel Macron à ne pas ratifier dans quelques jours à Marrakech,  le pacte mondial de l’ONU sur les migrations.  Elle participera samedi sur ce thème à une réunion publique à Bruxelles du Vlaams Belang,  en pleine renaissance, avec son président Tom Van Grieken  et en présence de Steve Bannon.  La présidente du RN a estimé que cette question cruciale «n’était pas si éloignée de la révolte populaire des  gilets jaunes.» « Avec cette nouvelle trahison silencieuse de la nation, nos dirigeants franchissent une nouvelle étape dans la submersion organisée de notre pays », sachant que    « les  gilets jaunes  sont  conscients qu’on ne peut pas accueillir des centaines de milliers de personnes supplémentaires, sans que ça ait une influence sur l’équilibre de nos budgets sociaux et de nos territoires. »

    Ce pacte, notons-le ici, entend formaliser, si ce n’est légaliser l’immigration illégale, il stipule ainsi qu’il s’agit  d’«améliorer et diversifier les itinéraires pour une migration sûre, ordonnée et régulière »; il  enjoint les  Etats signataires  à mettre en place  des mécanismes législatifs, juridiques,  pour donner un statut légal aux  clandestins, dépénalise de facto  l’immigration illégale et intime l’ordre de aux Etats pris pour cible par l’immigration massive d’accueillir tous les immigrés, légaux comme illégaux confondus,  de leur fournir notamment une protection sociale…Les Français appauvris, matraqués,  tous les contribuables se passeraient volontiers de ce genre de cadeau… Le  caractère non contraignant de ce texte, mis en avant par l’Etat macronien et les lobbies,  est en outre pour le moins sujet à caution. Figure notamment dans le pacte la phrase suivante: « Nous nous engageons à atteindre les objectifs et les engagements énoncés dans le Pacte mondial, et à prendre des mesures efficaces à tous les niveaux pour permettre une migration sûre, ordonnée et régulière à tous les stades. »

    Autant dire, que la présidente du RN parle d’or quand elle  dénonce « l’organisation active des migrations mondiales par les États signataires, le pillage imposé des pays d’accueil, l’institutionnalisation du communautarisme par l’institutionnalisation des diasporas, la propagande pro-migrants et la persécution des opposants à l’immigration ».  RN affirme Bruno Gollnisch,  qui est tout aussi cohérent dans sa défense des Français quand il rappelle  la dimension non pas seulement identitaire mais aussi de justice sociale qui est  à la base du refus par l’opposition  nationale  de toute nouvelle immigration et  même  son  souhait  d’une inversion des flux migratoires. Le RN est aussi un gilet de sauvetage…

    https://gollnisch.com/2018/12/05/un-gilet-de-sauvetage-pour-les-francais-dabord/

  • PACTE MONDIAL POUR LES MIGRATIONS DE L'ONU (10 DECEMBRE 2018)

  • Pacte mondial sur les migrations : au mépris de la souveraineté

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    Emmanuel Macron s’apprête à signer le pacte mondial sur les migrations, rédigé sous l’égide de l’ONU. Notons, tout de suite, que, des États-Unis à la Chine et au Japon, en passant par l’Arabie saoudite, Israël et leurs voisins – l’Europe très impolie : Autriche, Hongrie, Pologne, Italie, etc. -, nombreux sont les pays refusant de s’y engager. Les Tchèques, les Belges, les Bulgares, la Croatie, l’Australie, le Japon et même les Suisses envisagent aussi de s’en abstraire, refusant de faire de ce texte une loi qui leur soit imposée.

    Car il s’agit bien d’en faire loi ! Contrairement à ce que déclare Emmanuel Macron, pour qui « le pacte pour les migrations n’est pas juridiquement contraignant. Structuré en 23 objectifs, il ne créé donc pas d’obligations nouvelles, mais énonce des principes généraux censés permettre “des migrations sûres, ordonnées et régulières”. »

    Voyons d’abord ce que dit le CICR (Comité international de la Croix-Rouge) : « Les migrants ont besoin de protection et d’assistance du fait de la dégradation de leurs conditions de vie. » Va comprendre ! Il semble exprimer ici que migrer nuit aux gens qui le font. On nous aurait trompés ? Le CICR s’interroge ensuite quant au moyen visant à améliorer les conditions de vie « dans les pays d’origine ». Songe-t-il au retour de la Françafrique ou de la colonisation ? On se le demande…

    Le comble de la position de la Croix-Rouge réside, cependant, en leur compréhension du droit des nations. Car si « le pacte mondial réaffirme le droit souverain des États de définir leurs politiques migratoires nationales et leur droit de gérer les migrations relevant de leur compétence, dans le respect du droit international », le CICR, quant à lui, affirme benoîtement que « ce droit [souverain] n’est pas absolu ». Ainsi les nations « doivent[-elles] toujours respecter les droits des migrants » – comprendre leurs droits au-dessus des droits souverains.

    Et « s’il relève de la prérogative souveraine des États de réglementer la présence d’étrangers sur leur territoire et de décider des critères d’admission et d’expulsion des non-ressortissants, y compris de ceux qui ont un statut irrégulier, cette prérogative n’est cependant pas absolue et le droit international prévoit un certain nombre de limites ».

    Si cette soumission du « souverain » à « l’international » n’est pas chose nouvelle, Emmanuel Macron sera le premier à s’abriter derrière ces obligations pour nous imposer mille maux et mille morts…

    Emmanuel Macron ou LR ! Car si Laurent Wauquiez joue maintenant les matamores sur ce sujet, le groupe du PPE (Parti populaire européen) approuva, au printemps 2017, la résolution « Gérer les flux de réfugiés et de migrants : le rôle de l’action extérieure de l’Union » – les seuls qui s’y opposèrent furent les députés français du groupe ENL (Europe des nations et des libertés) -, laquelle contient approbation du Parlement envers les travaux des Nations unies en vue d’un pacte mondial sur les migrations.

    De façon anecdotique, on soulignera de la déclaration du CICR qu’elle unit dans une même entité la Croix-Rouge et le Croissant-Rouge. On gage que ce dernier saura prendre soin des populations migrantes sous réserve qu’elles le soient à destination des pays non musulmans. Et encore…

    Bertrand du Boullay

    http://www.bvoltaire.fr/pacte-mondial-sur-les-migrations-au-mepris-de-la-souverainete/

  • RAPPEL : jeudi 13 décembre, Lucien Cerise est l'invité des Amis franciliens de Synthèse nationale

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  • Le Pacte Mondial sur les migrants : l’analyse du Rassemblement National

    Conférence de presse de Marine Le Pen au sujet du Pacte Mondial sur les migrations.

    Une analyse pertinente, très critique envers cette nouvelle volonté onusienne d’imposer aux nations le Grand Remplacement. D’autres ont déjà fait cette autopsie mais elle vaut la peine d’être écoutée à nouveau.

    A retenir cette argument des immigrationnistes : offrir un statut aux 225 millions des migrants qui bénéficieraient ainsi d’une protection du droit international.

    Ce texte pose « la première pierre d’un droit à la migration, un droit reconnu comme un droit de l’homme et mis en œuvre par le droit international. »

    Francesca de Villasmundo

    https://www.medias-presse.info/le-pacte-mondial-sur-les-migrants-lanalyse-du-rassemblement-national/101921/

  • Les populistes accèdent au parlement régional d’Andalousie

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    Le parti de droite populiste Vox a obtenu 12 sièges au Parlement régional d’Andalousie ce dimanche, avec plus de 10% des votes. Ce parti prône la souveraineté espagnole, défend les valeurs de la famille traditionnelle et s’oppose à l’immigration.

    Son entrée au parlement d’une région gouvernée par le socialisme depuis plus de 30 ans est d’autant plus symbolique qu’elle s’accompagne d’un échec majeur des partis de gauche. Le parti socialiste ouvrier espagnol a en effet connu un recul lui aussi historique, et ne pourra donc pas obtenir la majorité, même en s’alliant à son homologue d’extrême gauche.

    Alors que l’Espagne était devenue le nouveau point d’entrée privilégié des clandestins suite à la nouvelle politique anti-immigration de l’Italie, il semblerait que la réaction du peuple ne se soit pas fait attendre.

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  • Macron ne doit pas signer le Pacte mondial des migrations imposé par l’ONU !

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    Voici le texte proposé par une centaine de patriotes, responsables associatifs ou politiques, éditeurs ou écrivains, élus locaux... contre le Pacte de Marrakech. Il a été signé, entre autres, par Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, et par Hugues Bouchu, Président des Amis franciliens de notre revue. Nous invitons les collaborateurs et lecteurs de Synthèse nationale à en faire autant.
    L'appel des 100 premiers patriotes contre le pacte de Marrakech sur les migrants
    Les chefs d’États des pays membres de l’ONU se réuniront les 10 et 11 décembre prochain à Marrakech pour signer le Pacte mondial sur les migrations.

    Approuvé avec « l’autorité morale des Nations unies », reposant sur le dogme de la liberté absolue de circuler, ce texte constituera à coup sûr une base politique et juridique qui invitera mécaniquement les pays à abattre leurs frontières pour accueillir les migrations internationales.

    Ce pacte est une menace pour l’intégrité des États de ce monde qui sont appelés à renoncer ainsi aux particularismes de leurs peuples pour ne plus entraver les grands déplacements de populations présents et avenir.

    République tchèque, Croatie, Bulgarie, Slovénie, Hongrie, Autriche, Estonie, Danemark, Pologne, Italie, Suisse, États-Unis, Israël, Australie... préférant privilégier la protection de leurs identités nationales, de nombreux pays ont annoncé leur décision de ne pas signer ce pacte. Prenant le contrepied de ce choix courageux, Emmanuel Macron a fait part de sa volonté d’engager la France en signant ce document, sans consulter quiconque, ni les Français, ni les corps intermédiaires de ce pays.
     
    Le peuple français ne peut être dépossédé de son droit à rester lui-même. Déjà accablée par le poids d’une immigration incontrôlée, la France ne peut être liée par un texte qui mettra davantage en péril les grands équilibres ethnico-culturels de notre pays.

    Emmanuel Macron - désavoué actuellement par plus de 80% des Français - a décidé d’apposer la signature de la France au bas de ce Pacte liberticide. Notre pays et plus généralement l’Europe sont en grand danger. Mobilisons-nous partout en France pour exercer une pression populaire puissante sur le chef de l’État et signons massivement la pétition qui sera transmise à l’Élysée.
     
    Les 100 premiers signataires :
     
    • Robert Albarèdes - Ancien maire de Gréasque • Philippe Arnon - Docteur d’Etat en droit • Alain Barnier – Patriote Vallée du Rhône • Anne Bastide - Ligue du Midi Provence, Femmes en colère • Thomas Bégué – Les Patriote Bordelais • Alain Billière - Colonel en retraite, Agen • Nathalie Bosc – Ligue du Midi, Gard • Jean-Luc Bouchereau – Patriote, Montpellier • Hugues Bouchu - Président des Amis Franciliens de Synthèse Nationale • Paule Bouvard - Ligue du Midi, Cercle des Citoyens Patriotes • Marc Boyer – Ligue du Midi, Aude • Gérard Brazon – Riposte Laïque • Françoise Briend – Ligue du Midi Provence • Renaud Camus – Ecrivain, Président du CNRE • Jean Canal - Patriote • Pierre Cassen – Fondateur de Riposte Laïque • Robert Noel Castellani - Patriote • Erick Cavaglia- Ligue du Midi Gard • André Chaleil – Ligue du Midi, Gard • Bernard Chalumeau - Alliance pour la souveraineté de la France • Georges Clément - CNRE • Jacques Clostermann - Pilote de chasse • Dan Corbet - Secrétaire de Résistance républicaine • Jacques Cordonnier - Alsace • Patrick Corréas – Patriote Landes • Daniel Cosculuella – Ecrivain Aquitaine • Paul-Marie Couteaux – Ecrivain, Angoulème • Jean- Michel Darqué - Ligue du Midi Toulouse • Gérard Deheurle - RR, Ligue du Midi, CCP, VPF Béziers • Jean Baptiste De France - Conseiller municipal de Lormont • François de Lochner - Président de la Fondation de Service politique • Alain De Peretti – Vigilance Halal • Jean Jacques Depettris – Ligue du Midi Vallée du Rhône • Roland Dicchi – Ligue du Midi Marseille • Yves Doutre – Ligue du Midi Montpellier • Maurice Droin - Patriote • Laurent Droit – Ancien militaire, Riposte Laïque • Josette Duboe – Ligue du Midi Montpellier • Alain Dubos – Ecrivain, Médecin • Bernard Dupland – Economiste, Ardèche • Robert Dupin – Patriote Occitanie • François Galvaire « Batdaf » – You tubeur • François Gaubert – Général CR • Jacques Ghedin- Trésorier de Résistance républicaine • Philippe Gibelin - Président Nationalité-Citoyenneté-Identité • Dominique Gillet – Patriote, Ligue du Midi Pays Basque • Jacques Guillemain - Ancien officier de l’armée de l’air. • Roland Hélie – Directeur de Synthèse nationale • Véronique Hervouet - Essayiste, vice-présidente du SIEL • Bertrand Hesquet - Patriote bordelais • Pascal Hilout, né Mohamed – Apostat de l’Islam, Riposte Laïque • Yolande Houlès – Ligue du Midi Béziers • Sébastien Jallamion – Ancien Policier • Patrick Jardin – Patriote, père de Nathalie • François Jay – Les Patriotes bordelais • Patrick Junca – Patriote, Bourgogne • Albert Kaufman – Patriote, Musicien, Agde • Michel Kurz – Patriote, Ligue du Midi • Jean Lafitte - Chevalier de la Légion d’honneur, Commissaire colonel de l’Armée de l’Air en retraite • Bruno Lafourcade - Ecrivain • Gilles Laigre – Patriote Occitanie •Michaël Lasjunie - Entrepreneur textile • Myriam Lecharlier – Ligue du Midi Béziers • Jean Yves Le Gallou - Polémia • Dominique Lescure - Administrateur Bloc Identitaire • Ivy Leseigneur– Ligue du Midi Hérault • Frédéric Lizé – Ligue du Midi Béziers • Geneviève Lods-Mellet – Ligue du Midi Gard • Yves Maillard - Capitaine de vaisseau honoraire • Régis Maitre – Ligue du Midi Montpellier • Patricia Margand – Conseil en communication • Philippe Martel - CNRE • Antoine Martinez – Général CR • Marcel Meyer - Membre du CNRE, Ploëzal • Nicole Mina - Conseillère régionale Rassemblement national • Jean Bernard Molles – Conseil en communication • Loïc Morell – Conseil en communication • Stéphan Mourard – Patriote Provence • Véronique Naudé – Ligue du Midi Ariège • Claire Navarro - Administrateur Cercle algérianiste Rhône-Ardèche • Karim Ouchikh - Président du SIEL • Flavien Pfeiffer – animateur sportif, patriote • Martine Pincemin – Patriote CNRE • Christian Piquemal – Président CCP • Daniel Pollett – Ligue du Midi, Résistance Républicaine Cévennes • Félix Robert - Patriote libournais • Nicolas Robert – Patriote, Montpellier • Gregory Roose – CNRE, ré information • Olivier Roudier - Porte-Parole Ligue du Midi • Richard Roudier – Président de la Ligue du Midi • Guy Sebag – Avocat à la cour retraité, Président de Riposte Laïque • Jacques Soulis - Patriote, Poitiers • Christine Tasin – Présidente Résistance Républicaine • Jean Théron - Vice-Président de Résistance républicaine • Jean Louis Trainar - Minurne • Evelyne Tschirhart - écrivain. • Sybil Vergnes - Présidente Entraide et Solidarité • Maryvonne Villard – Femmes en Colère • Jordi Vives - Journaliste de ré information • Alain Wagner – Essayiste 
      
    Deuxième liste de signataires de l’appel :
     
    • Sieghilde Adam – Responsable des ventes • Colonia Agripinensis - Rédacteur de Résistance républicaine • Corinne Bardou – Conseillère régionale RN Occitanie • Pierre Berson – Patriote, Villeréal • Jean Claude Blanchard - Conseiller régional RN, conseiller municipal de Saint-Nazaire • Sylvia Bourdon - Chef d'entreprise • Jean-Yves Briend – Ligue du Midi Provence • Christophe Bugeau – Patriote, Bordeaux • Paul Delorme – Ligue du Midi Vallée du Rhône • Raphaël Delpard - Patriote • Jean Claude Faffa – Ligue du Midi Périgord • Jérémy Fontaine – Technicien sanitaire social • Bernard Gay – Patriote, Arcachon • Olivier Gillot– Ligue du Midi Gironde, viticulteur • Enzo Giornale – Citoyen de Provence • Michel Hospital – Vétérinaire, Conseiller municipal Marmande • André Jahan – Ligue du Midi Hérault • Nicolas Lacave - CNRE • Christian Lesur – Patriote Gard • Jean Louis Levoux – Patriote, Ligue du Midi • Henri Lods-Mellet – Ligue du Midi Gard • Serge Lopez – Technicien Bâtiment • Cédric Mabille – Ligue du Midi Hérault • Jean Miclot – Patriote Gard • Jean Ninot – Patriote Occitanie • Lucien Samir Oulahbib - Auteur, enseignant • Lalanne Michel Pastor - Médaillé Patriote de France • Cécile Peyridieux – Ligue du Midi Hérault • Bojo Pinek – Patriote, Ligue du Midi • Thierry Puech – Patriote, Montpellier • Philippe Randa - Editeur • Edmond Richter - Psychothérapeute • Yohann Rimokh - Avocat • Francis Rognon – Ligue du Midi Lyon • Guy Rolland – Ecrivain, Occitanie • Jean Paul Saint Marc - Enseignant à la retraite • Pierre Saladin – Patriote Vallée du Rhône • Michel Salanon – Chroniqueur « le Phare fouilleur » • Albert Salon - Ancien ambassadeur, docteur d’État ès lettres • Jean Baptiste Santamaria - Philosophe • Anne-Marie Schaapman – Ligue du Midi, Alès • Ann Seban – Ligue du Midi Gard • Luc Sommeyre– Occitanie, ré information • Thierry Vincent – Patriote Occitanie • Vincent Vidal – Responsable SIEL Provence • Hildegard von Hessen Am Rhein - Rédacteur de Dreuz
     
    Le texte du pacte que Macron veut signer cliquez ici
     
    Vous voulez signer cet appel, envoyez vos coordonnées avec la mention "Je soutiens l'appel contre le Pacte mondial de l'ONU sur les migrations" à : 
     
    synthesenationale@club-internet.fr
     
    Votre réponse sera transmise aux organisateurs.
  • Des militants de la France insoumise exclus pour avoir voulu débattre de la montée de l’islamisme dans le XVIIIe arrondissement

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    FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Le groupe du XVIIIe arrondissement « Jacques-René Hébert » du nom d’un journaliste pamphlétaire du Club des Cordeliers, guillotiné en 1794, est très engagé sur le thème de la laïcité au sein de la France insoumise ». Mais il vient de se faire exclure de la plateforme numérique du parti de Jean-Luc Mélenchon. Leur tort ? Avoir voulu organiser dans un café de la rue l’Olive, un débat sur « l’entrisme islamiste dans le mouvement syndical ».

    Il est vrai que, par exemple, la RATP offre en la matière, un cas d’école tout trouvé ! L’adjoint communiste à la Mairie du XVIIIe, Gérald Briant fut le premier à s’en offusquer sur Twitter, suivi par la Confédération Nationale du Travail, d’obédience anarchiste, qui a appelé à arracher les affiches annonçant l’événement. Puis ce fut au tour de la CRI (Coordination contre le racisme et l’islamophobie, de tendance islamiste) de réagir, en se permettant d’intimider par téléphone des militants du groupe Hébert. Enfin, d’autres indignés de la France Insoumise, comme Fabien Marcot, ont pointé sur Twitter, « une dangereuse dérive ».

    Cette bisbille à l’intérieur du parti est emblématique de la bataille des gauches

    Elle oppose en effet, la gauche républicaine traditionnelle, attachée aux valeurs de la Troisième République qui a vu naître les bases de la laïcité et la gauche soixante-huitarde bien-pensante qui fait de la défense des minorités sa priorité, avant la question sociale.

    Que l’une ou l’autre gauche gagne, il semble pour l’instant, que la France insoumise doive clarifier sa ligne par rapport au projet d’islamisation de l’Europe, tel qu’approuvé à Doha par le Sommet islamique de 2000 et qui explique notamment qu’il faille protéger les enfants de migrants de « l’influence occidentale » !

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  • Ils ont tout cassé

    rodin-le-penseur.jpgSortir de la crise... mais comment? Le Premier ministre reçoit aujourd’hui à la demande du président de la république les chefs ou représentants des principaux partis politiques, dont Marine Le Pen, après les manifestations de gilets jaunes qui ont de nouveau dégénéré samedi. Elles auraient rassemblé 119 500 personnes, selon le décompte toujours un peu surréaliste dans sa précision effectué par le ministère de l’Intérieur. Dimanche, à son retour de la réunion du G20 à Buenos Aires,  Emmanuel Macron s’est rendu sur les Champs-Elysées,  quelques heures après les émeutes qui ont saccagé aussi de nombreuses villes de province -la préfecture du Puy-en-Velay a notamment été ravagée par les flammes- mais aussi, de manière emblématique pour les médias étrangers, Paris. Ce sont principalement les artères proches de la plus belle avenue du monde, l’Arc de Triomphe, les VIIIe, XVIe et XVIIe qui ont le plus souffert et dans une moindre mesure les Ier, IIe, IVe et IXe arrondissements. Rien que dans la capitale, une centaine de voitures ont été incendiées, des dizaines de boutiques  ont été pillées; on  déplore 133 blessés (dont 23 dans les rangs des forces de l’ordre) et  378 personnes ont été  placées en garde à vue (630 dans toute la France).

    Accompagné par le ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner et du secrétaire d’État Laurent Nuñez, Emmanuel Macron,  hué par une  partie des badauds réclamant sa démission , a tenu à se recueillir  sur la tombe du soldat inconnu.  La flamme en avait été éteinte par des individus qui l’ont piétiné, sales types qui ont aussi souillé l’Arc de Triomphe par des déprédations et des graffitis, malgré les efforts des gilets jaunes pour protéger ce monument des  profanateurs. Ce qui donne déjà une indication sur l’identité des casseurs. Les profils des manifestants/émeutiers arrêtés hier tout au long de la journée  seraient très divers d’après les informations qui ont filtré : des gilets jaunes trentenaires ou quadragénaires, souvent pères de famille, habitants de la France des oubliés au bout du rouleau et qui voulaient en découdre; des militants d’ultra gauche rompus à l’exercice, certainement les plus nombreux;  des jeunes de banlieues attirés par les potentiels pillages et paraît-il, quelques manifestants appartenant à la mouvance de l’ultra droite. Notons quand même que quels que soient les reproches que l’ont peut adresser à l‘extrême droite, ses activistes les plus énervés n’auraient jamais attaqué l’Arc de triomphe et n’ont pas pour habitude de s’en prendre aux boutiques pour faire leur course…

    Samedi, sur BFMTV,  Christophe Castaner a confessé que le gouvernement n’avait pas su expliquer aux Français ses réformes et ses actions, le dossier de la transition énergétique, bref avait « mal géré un certain nombre de séquences de communication. » Les petits Machiavel de l’exécutif ont aussi mal géré,  mal dosé leurs actions visant à priver les gilets jaunes du soutien populaire dont il bénéficie en associant cette mobilisation citoyenne  aux désordres, à l’anarchie, aux violences. Il est bien connu que l’extension du chaos profite en général au régime en place.  Les craintes d’un basculement révolutionnaire a pour effet de souder l’opinion autour d’un gouvernement, de relégitimer le pouvoir porteur de la violence légale pour rétablir l’ordre.

    Existe-t-il une stratégie de la tension pensée et voulue par la caste qui règne sur notre démocratie  confisquée comme nous  l’évoquions dernièrement? Invité de l’émission dimanche en politique sur France 3 hier midi, Marine s’est en tout cas  interrogée à l’instar des Français: « Y a-t-il une volonté politique de laisser les choses dégénérer ? Pourquoi les groupuscules d’extrême gauche ne sont pas dissous, pourquoi les laisse-t-on venir casser ? » Beaucoup de nos compatriotes estiment aussi qu’il y a bien eu une volonté délibérée du pouvoir politique, si ce n’est peut-être d’utiliser des agents provocateurs infiltrés,  du moins  de ne pas protéger l’Arc de Triomphe (qui l’avait été lors des manifs précédentes) contrairement aux boutiques de luxe sur les Champs-Elysées qui étaient, elles,  sécurisées. Ou doit-on en conclure  que 5000 CRS, gendarmes mobiles et policiers seraient dans l’incapacité de mettre hors d’état de nuire quelques centaines de casseurs? Ce qui ne serait pas rassurant quand on connait la situation qui règne dans les centaines de zones de non droit que les gouvernements successifs ont laissé s’étendre un peu partout sur notre territoire.

    Pour autant, la volonté sous-jacente de refiler le mistigri de la haine aux gilets jaunes ne fonctionne pas, dans une France tabassée par la violence économique, sociale, fiscale, qui compte huit millions de pauvres, six millions de chômeurs, et des millions de foyers qui basculent (ou craignent de basculer) dans la paupérisation, le déclassement. Selon le sondage Harris interactive pour RTL et M6, si 85 % des sondés désapprouvent le recours à la violence,  « les gilets jaunes sont (toujours) soutenus par 72% de Français après le rassemblement du samedi 1er décembre. Ce chiffre est similaire à celui mesuré juste avant le 17 novembre, première journée de mobilisation des gilets jaunes. Par ailleurs, près de 90% de Français estiment que le gouvernement n’a pas été à la hauteur des événements

    « E. Macron est dans la situation d’un gamin buté, qui refuse d’entendre ce que le peuple lui dit ! » notait la présidente du RN  hier qui réclamait une dissolution de l’Assemblée pour sortir de la crise.  Incapacité de se remettre en question que l’on constate aussi avec l’approbation  par le gouvernement français du  Pacte International sur les migrations, dit pacte de Marrakech. Celui-ci a été  refusé par l’Australie, l’Autriche, les pays baltes, la Belgique, la Bulgarie, la Croatie,  la Hongrie, les Etats-Unis,  Israël,  l’Italie, la Pologne, la Serbie   la République Tchèque, la Slovaquie, la Suisse... Un pacte    qui, malgré la double langage consistant à nous dire qu’il s’agit de réguler et d’encadrer les flux migratoires, établit  une volonté de poursuivre l’immigration de peuplement. Ce qu’un article des Echos  qui lui est consacré résume benoitement :  «Beaucoup de bruit pour rien, estiment les partisans du pacte, les pays africains en tête, ainsi que Paris ou Berlin, où le consensus des dirigeants est favorable à l’immigration pour compenser la dénatalité. »

    Là aussi la caste méprise les voeux du peuple français. Le JDD confirme dans sa dernière livraison que « selon une vaste étude sur l’immigration en France, réalisée par l‘Ifop en partenariat avec la Fondation Jean-Jaurès et l’American Jewish Committee », les Français ont le ras-le-bol de l’immigration planétaire qu’ils subissent. Quel scoop! Après des dizaines d’enquêtes allant toutes dans le même sens ces dernières décennies et qui n’ont jamais été prises en compte par les Mitterrand, Chirac, Sarkozy, Hollande et Macron,  ce sondage indique (confirme) que l’immigration est perçue négativement  quant à son impact sur nos finances, notre sécurité,  notre identité, le statut de  la femme, la  cohésion  et l’avenir de notre pays…

    Selon, cette nouvelle enquête détaille le JDD,« le  verdict  (est) sans appel» : «une majorité de Français (52%) estiment que l’on accueille trop d’étrangers, et un peu plus d’un quart (27%) qu’on en accueille “suffisamment”. Cela veut dire, par déduction, que 79% ne veulent pas accueillir davantage de ces personnes. Dans le même esprit, 64% de nos concitoyens adhèrent à l’idée selon laquelle notre pays compte déjà beaucoup d’étrangers et accueillir des immigrés supplémentaires n’est pas souhaitable. Ce refus s’explique largement (77%) par la crainte qu’une politique trop accueillante n’attire encore davantage d’étrangers (la fameuse théorie de l’appel d’air), que la main-d’œuvre immigrée ne contribue à “tirer les salaires vers le bas (71%), que la différence de valeurs ne provoque des problèmes de cohabitation (60%) (…). 84% des Français pensent qu’on ne peut pas parler de l’immigration sereinement (…) près des trois quarts considèrent que l’immigration coûte plus à la France qu’elle ne lui rapporte tandis que 7 sur 10 estiment que le pays n’a plus les moyens d’accueillir des immigrés. L’impact de l’immigration est perçu comme négatif sur les comptes publics par 64% des répondants (…) Le lien prétendu (sic)  entre l’insécurité et l’immigration, agité (sic)  par le Front National depuis les années 1980, fait l’objet d’une adhésion majoritaire…»

     Le fiscalisme confiscatoire a été le  point de départ, la mèche qui a allumé la  révolte, voire l’insurrection populaire des gilets jaunes. Ce qui conduit  experts et autres spécialistes à deviser doctement  sur les impôts, les taxes à baisser (ou non), les impôts pour les plus riches à rétablir (ou non). Or, cela fait des années que l’opposition nationale évoque non seulement les dégâts sécuritaires et identitaires générés par l’immigration massive, mais aussi son monstrueux coût financier dont nos compatriotes les plus modestes sont là aussi les premières victimes.

    Abstraction  faite de la grossière propagande de ceux qui, avec un  fanatisme sectaire assez inquiétant, tordent les chiffres pour nous prouver que l’immigration serait stable et serait  est une chance   pour la France, les travaux sérieux affirment l’inverse;  ce que même une démographe de gauche  comme Michèle Tribalat  admet  aujourd'hui.  Le site Polemia,  le relevait,  le  surcoût budgétaire dû à l’immigration est mis en lumière par de nombreux travaux: de 17 milliards dans une  étude de Jean-Paul Gourévitch (2012); de 42 milliards chez Pierre Milloz (1997) dont l’étude ancienne continue de faire référence par sa rigueur méthodologique, de 73 milliards chez Yves-Marie Laulan (2012), de 84 milliards chez André Posokhow. Jean-Yves Le Gallou a  évalué à 18 milliards (en 2014 )le seul coût d’entrée et d’accueil des 200.000 immigrés supplémentaires annuels (coût en infrastructure notamment)».« Ces écarts de chiffres peuvent légitimement surprendre mais ils s’expliquent de trois façons : d’abord, par l’omerta statistique qui rend l’accès aux données difficile et qui implique de poser des hypothèses; ensuite, par les définitions retenues pour les populations étudiées; enfin, par le périmètre des dépenses et des recettes analysé. »

    Alors oui, constate Bruno Gollnisch, ce sont les partis qui se succèdent au pouvoir depuis trente ans qui ont tout cassé,  abîmé la France, enlaidi nos communes et nos paysages,  détruit des pans entiers de notre économie, liquidé notre industrie, paupérisé nos services publics,  nos territoires, pressuré les contribuables,  répandu partout  l‘enfer multiculturaliste et communautariste, méprisé le vote des Français    par idéologie et/ou pour se plier aux injonctions de Bruxelles et du lobby immigrationiste. Ce sont les mêmes qui, pour reprendre la formulation de feu le  grand sociologue Jules Monnerot, se livrent à des « rites d’exécrations », à  des « malédictions collectives à la mode du xxe siècle réputé civilisé » à l’encontre des résistants, traitent les gilets jaunes de suppôts de la peste brune, les  nationaux d’extrémistes  en les accusant de répandre la haine!   Mais encore une fois que peuvent leurs mensonges, armature de ce système vacillant,   face au choc du réel? Ce qui doit tomber, il ne faut pas le retenir mais le pousser. Avec tous les hommes et les femmes de bonne volonté, nous sommes prêts à assurer l’alternative. Pour le peuple et avec lui.

    https://gollnisch.com/2018/12/03/ils-ont-tout-casse/