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immigration - Page 811

  • France Inter s’intéresse à la « ré-émigration » des Sénégalais

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    FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    On les appelle les « repats » pour « repatriés », par opposition aux « expats » ou « expatriés ». Un phénomène auquel s’est intéressé France Inter, dans un reportage au Sénégal. Le média n’hésite pas à utiliser le verbe « ré-émigrer » pour décrire ces immigrés partis vers l’Europe, puis retournés en Afrique, et plus spécifiquement au Sénégal, au nom du patriotisme.

    Il s’agit essentiellement de personnes diplômées et qualifiées, désireuses de retrouver leur famille. Ces « repats » décrivent leur désillusion devant la conjecture économique française difficile, ainsi que le sursaut identitaire qu’ils ont observé chez les Français, peu accueillants envers les nouveaux arrivants.

    A noter que ces retours sont soutenus financièrement par l’Office Français de l’Immigration et de l’Intégration. Ainsi, à défaut d’avoir été une chance pour la France, ces immigrés ont choisi d’être une chance pour leur pays d’origine.

    https://fr.novopress.info/

  • IMMIGRATION ZÉRO ET RELANCE DE LA NATALITÉ EN EUROPE DE L’EST : MACRON, C’EST L’INVERSE !

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    La loi Collomb « anti-immigration » qui vient d’être votée en première lecture est de la poudre aux yeux « en même temps » pour naïfs ! C’est l’arbre qui cache la forêt de l’invasion migratoire, du remplacement de population en voie d’accélération rapide. Macron, dernier avatar de la gauche, suite au coup d’État médiatico-juridico-politique pour évincer Fillon, applique la politique droits-de-l’hommiste de destruction des peuples européens.

    Le doublement de 45 à 90 jours de la durée de séjour maximal en centre de rétention administrative n’aura aucun effet car la décision finale est laissée au juge des libertés. Les quelques places supplémentaires pour les demandeurs d’asile et pour les centres provisoires d’hébergement de réfugiés ne vont diminuer en rien les arrivées migratoires en amont. Quant à l’idée de vérifier le statut des personnes dans les centres d’hébergement d’urgence par des « équipes mobiles », elle a déjà été vidée de sa substance, suite aux cris d’orfraie des associations.

    En 2017, 120.000 immigrés clandestins, le plus souvent pour des seules raisons économiques, ont demandé un asile politique vide de sens qui ne signifie plus rien. Quant à la honteuse et folle immigration « régulière », elle a explosé, pour passer de 125.000, en 1995, à 262.000, en 2017 ! La France de Macron croule aussi sous le nombre des « dublinés » qui relèvent d’un autre pays européen mais qui s’installent en France en raison du laxisme de notre législation. Une loi votée sous Hollande annulant une rétention sur cinq n’a pas été abrogée par Collomb, pas plus que la circulaire Valls de 2012 contribuant à l’augmentation des régularisations d’étrangers en situation irrégulière de plus de 30 % en 5 ans. En 2017, le nombre d’éloignements des clandestins n’était que de 15.000, dont 6.600 seulement en dehors de l’Union européenne, soit quelques milliers d’expulsions de plus – une goutte d’eau ridicule en augmentation de 10 % par rapport à 2016, face au tsunami migratoire extra-européen !

    En Europe de l’Est, c’est tout le contraire : immigration zéro et politique nataliste des Européens de souche. Viktor Orbán octroie des prêts et une TVA préférentielle pour l’achat d’une maison à toute famille s’engageant à avoir trois enfants en dix ans. En Pologne, la politique nataliste du parti Droit et Justice a relancé les naissances d’une façon significative depuis 2016. Poutine, lui, a prévu un budget d’aide à la famille de 7,2 milliards d’euros jusqu’en 2020 avec un « bonus bébé » de 150 euros par mois pour les parents modestes dès le premier enfant – à comparer avec le salaire moyen, en Russie, de 450 euros par mois.

    Sous l’impulsion de l’Église orthodoxe, l’État russe combat avec succès l’avortement. Quand on en arrive, en France, à 220.000 avortements par an, soit une mortalité infantile peut-être comparable à celle que connaissait la France sous Louis XIV et un chiffre comparable à l’immigration régulière extra-européenne de 262.000 personnes par an, cela ne regarde plus seulement les femmes et leur vie personnelle, mais aussi la nation France et la civilisation européenne pour les question existentielles de leur survie, de leur renouvellement et de leur avenir.

    Hollande et Macron ont pratiqué la démolition de la politique familiale en fiscalisant les majorations de retraite aux parents ayant eu au moins trois enfants, en s’attaquant au quotient familial, en modulant les allocations familiales en fonction des revenus, etc. Pas étonnant, dans ces conditions, qu’en 2017, seulement 767.000 bébés soient nés en France, troisième année de baisse consécutive. L’exception démographique française en Europe est en train de disparaître tandis que Macron préfère subir l’invasion migratoire de masse.

    « La démographie est le destin », disait Auguste Comte.

    http://www.bvoltaire.fr/immigration-zero-relance-de-natalite-europe-de-lest-macron-cest-linverse/

  • Condamnation d’Eric Zemmour : Le Monde invente un délit d’islamophobie

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    FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Le journaliste et polémiste Eric Zemmour a été condamné par la Cour d’appel de Paris à une amende de 5000 euros pour provocation à la haine religieuse.

    L’article du Monde titre lui sur une condamnation en « islamophobie ».

    Il n’existe pourtant aucun délit d’islamophobie dans le Code pénal, on n’est jamais condamné pour une peur, mais pour un acte ou une exhortation. Sur le fond, cette affaire concerne des propos tenus en 2016 sur le plateau d’une émission de télévision qui selon la Cour justifient des discriminations et prennent les musulmans dans leur globalité. Il y évoquait notamment une « invasion » des musulmans, et la nécessité pour ceux-ci de faire un choix entre leur religion et la France. On lui reproche également d’avoir évoqué une islamisation de certains territoires de banlieue, en prenant pour exemple la pratique massive du port du voile.

    En revanche, la cour a jugé que des propos qui lui avaient valu une condamnation en première instance ne tombaient pas sous le coup de la loi.

    Notamment celui portant sur l’idée que « tous les musulmans » considèrent les terroristes comme de « bons musulmans ». Selon les juges, il n’y a pas dans ces propos d’incitation à la haine. Or, l’élément qui constitue le délit doit être clairement un appel ou une exhortation. Les poursuites contre Zemmour avaient été engagées par l’association EuroPalestine, à qui Eric Zemmour devra verser un euro symbolique, en plus de s’acquitter des frais de justice.

    La Cour de cassation a récemment annulé une autre condamnation du polémiste pour le même motif.

    Dans un journal italien en 2014, Eric Zemmour avait effectivement déclaré que le Coran était le « code civil des musulmans ». Selon la Cour, cette décision était insuffisamment justifiée, et a renvoyé l’affaire devant les premiers juges.

    Si la liberté d’expression paraît de plus en plus corsetée, il n’existe toujours pas pour le moment de délit d’islamophobie, sauf dans les rédactions de certains médias.

    https://fr.novopress.info/

  • Emmanuel Macron face à l’immigration : l’esbroufe pour masquer le vide [Partie 3]

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    Par Robert Martin ♦ Un de nos lecteurs nous a récemment contactés. Fonctionnaire retraité ayant assuré un rôle important au sein du dispositif judiciaire entourant la demande d’asile en France, il est théoriquement soumis à un devoir de réserve, nous avons donc respecté son anonymat en modifiant son nom. Néanmoins, face aux actions d’Emmanuel Macron et notamment à sa loi Asile et Immigration, il a décidé de nous communiquer plusieurs textes. Nous avons décidé de publier en 5 parties un grand texte solidement documenté sur le projet de loi d’Emmanuel Macron et, plus globalement, sur les mesures qu’il faudrait adopter pour gérer efficacement la crise migratoire.
    Après une première partie dédiée à l’analyse globale du texte Asile et Immigration, et un commentaire détaillé du rapport du Conseil d’Etat sur ce projet de loi, Robert Martin analysera ici le manque de sérieux du projet de loi.
    Polémia

    Le projet de loi, dans son état actuel, n’aborde aucun des problèmes fondamentaux qui bloquent l’action gouvernementale en matière de contrôle de mouvements migratoires :

    Un décalage majeure entre la Constitution et la réalité

    Décalage majeur entre le droit d’asile tel qu’il est prévu dans la constitution française…
    Le droit d’asile découle du préambule de la Constitution qui affirme que « tout homme persécuté en raison de son action en faveur de la liberté a droit d’asile sur les territoires de la République ». Il a été consacré par le Conseil constitutionnel dans sa décision du 13 août 1993 : « Considérant que le respect du droit d’asile, principe de valeur constitutionnelle, implique d’une manière générale que l’étranger qui se réclame de ce droit soit autorisé à demeurer provisoirement sur le territoire jusqu’à ce qu’il ait été statué sur sa demande ».

    … et ce qu’il est progressivement devenu :
    Une personne qui sollicite l’asile en France peut obtenir l’une ou l’autre des deux formes de protection suivantes.

    A. Le statut de réfugié
    Il est reconnu :
    • en application de la convention de Genève du 28 juillet 1951 sur le statut des réfugiés qui définit le réfugié comme « toute personne (…) qui (…) craignant avec raison d’être persécutée du fait de sa race, de sa religion, de sa nationalité, de son appartenance à un certain groupe social ou de ses opinions politiques, se trouve hors du pays dont elle a la nationalité et qui ne peut ou, du fait de cette crainte, ne veut se réclamer de la protection de ce pays… » ; à noter une évolution sur la notion d’appartenance à un groupe social « à risques » qui inclut maintenant les préférences sexuelles (LGBT) dans les pays où ces pratiques sexuelles peuvent donner lieu à des poursuites pénales (dans 76 pays essentiellement musulmans) ;
    • en application du préambule de la Constitution, « à toute personne persécutée en raison de son action en faveur de la liberté » ;
    • à toute personne sur laquelle le Haut-Commissariat des Nations Unies pour les Réfugiés (HCR) exerce son mandat aux termes des articles 6 et 7 de son statut (« mandat strict »).

    B. La protection subsidiaire
    Elle est octroyée à la personne qui ne remplit pas les critères ci-dessus mais qui établit « qu’elle est exposée dans son pays à la peine de mort, à la torture ou à des peines ou traitements inhumains ou dégradants, ou, s’agissant d’un civil, à une menace grave, directe et individuelle contre sa vie ou sa personne en raison d’une violence généralisée résultant d’une situation de conflit armé interne ou international ».
    La qualité de réfugié et le bénéfice de la protection subsidiaire sont reconnus sans considération de l’auteur des persécutions ou des mauvais traitements qui peut donc être un acteur non étatique, dès lors que les autorités ne sont pas en mesure d’apporter une protection.
    Là encore, on constate une extension très nette de cette protection subsidiaire qui visait à l’origine des situations du type de l’Algérie dans les années 90 ou de l’Irak et de l’Afghanistan d’aujourd’hui (paragraphe 1) à des relations de mauvais voisinage envenimées par des traditions anciennes (loi du sang appelée kanun en Albanie) et une certaine inefficacité des forces de l’ordre et de la justice (paragraphe 2). On arrive donc à ce cas paradoxal où les ressortissants albanais ont constitué le groupe le plus important des requérants ayant déposé en 2017 un recours devant la Cour nationale du droit d’asile (CNDA) alors que l’Albanie est classée parmi les 16 pays considérés comme sûrs par Décision du 9 octobre 2015, du conseil d’administration de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (OFPRA).
    Ne serait-il pas nécessaire de modifier la Constitution préalablement à l’adoption de ce projet de loi ?

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  • CHRISTIANE TAUBIRA, LA MADONE DES MIGRANTS, EST DE RETOUR…

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    Il y avait longtemps que Christiane Taubira ne nous avait gratifiés de son auguste et délicieuse personne. Était-ce pour envoyer à ses bien-aimés compatriotes un virtuel joli bouquet de muguet qu’elle s’est exprimée, le 30 avril 2018 ? En fait de muguet, ce sont plutôt des chardons par charrettes entières que l’ancien garde des Sceaux a déversés sur les Français !

    Regard dur, voix tranchante, ton qui enfle au fur et à mesure de sa diatribe savamment étudiée, Taubira table sur l’émotion et la culpabilisation, jamais sur la raison. Comment, « nous sommes 67 millions et nous sommes terriblement effrayés à l’idée d’accueillir 24.000 personnes » ? ironise-t-elle. Cela dirait même « des choses terribles sur nous », poursuit « l’icône » nationale. « Nous » ? Ah, pardon, Christiane n’est pas de ceux-là.

    Madame Taubira pleure ainsi sur cette bagatelle de 24.000 personnes, « notamment les femmes, les jeunes filles, les enfants éperdus » – représentant pourtant, selon nombre d’autorités et organismes associatifs, une écrasante minorité parmi les migrants – qui « [risqueraient] tout ça juste pour pouvoir s’inscrire aux allocations familiales » ? Allons donc ! Christiane Taubira dénonce « des imbécillités aussi énormes, aussi énormes » [deux fois, NDLA], aussi incompréhensibles, aussi absurdes ».

    Mais de quel côté se situe le « sens de la réalité très dilué », pour reprendre les mots de Mme Taubira, de ces sans-cœur de Français, alors qu’Emmanuel Macron lui-même affirmait, devant des étudiants américains, le 25 avril, que « 90 % des gens venant d’Afrique viennent pour des raisons économiques » ? De quel côté se trouve le « sens de la réalité très altéré » quand, à ces 24.000 passages en force, s’ajoute une immigration légale en constante augmentation ? Ah, mais elle a raison, Christiane Taubira, on ne va quand même pas mégoter pour 24.000 migrants alors qu’on a délivré 205.000 titres de séjour en 2015, 227.550 en 2016 et 262.000 en 2017 !

    Alors, est-ce réaliste de continuer, n’en déplaise à Taubira, quand depuis des années l’on constate que le vivre ensemble dont se gargarisent les immigrationnistes a engendré tout l’inverse, avec des communautarismes de plus en plus exacerbés ?

    Dans quel monde vit l’ex-indépendantiste guyanaise qui déplorait pourtant que les Guyanais finissent par être dépossédés de leur terre, pour se focaliser sur « 24.000 personnes en détresse » au sein desquelles se glisseront fort possiblement quelques terroristes islamistes, et occulter celle de millions de Français qui ne peuvent plus se soigner, qui subissent un environnement terriblement dégradé, à qui l’État impose de s’adapter à des coutumes rétrogrades et qui pleurent encore leurs morts assassinés ?

    Sur Brut, Christiane Taubira nous a donc fait sa grosse colère. Peut-être qu’elle se languit, depuis qu’elle est à la retraite. Alors, elle hausse le ton, l’autoritaire Christiane Taubira pour qui ces dizaines de milliers de clandestins supplémentaires pleins de vigueur sont loin de représenter « toute la misère du monde ».

    Il manque une « parole politique forte » pour dénoncer « ces imbécillités énormes, incompréhensibles, absurdes » que répandent ces idiots de Français insensibles à la détresse du monde entier ? Christiane se verrait bien y remédier ? Non merci, la démocrate Taubira ne nous manque pas.

    http://www.bvoltaire.fr/christiane-taubira-madone-migrants-de-retour/

  • Pays-Bas : 85% des infiltrés sont toujours au chômage après deux ans et demi de présence sur le territoire

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    EUROPE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    C’est ce que vient de révéler le quotidien néerlandais De Telegraaf. Après deux ans et demi, seuls 15% des infiltrés ont un emploi.

    Jan van de Beek, chercheur sur les migrations, explique à notre confrère que « les emplois particulièrement peu qualifiés ne sont pas attrayants pour les migrants, car les avantages qu’ils reçoivent sans rien faire sont parfois tout aussi élevés que les revenus qu’ils peuvent tirer d’un emploi « bas de gamme » ».

    Rappelons que, selon la terminologie employée par le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahu et par la quasi-totalité de la classe politique israélienne, on désigne par « infiltré » tout étranger qui s’est introduit illégalement sur le territoire national.

    https://fr.novopress.info/

  • Emmanuel Macron face à l’immigration : l’esbroufe pour masquer le vide [Partie 2]

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    Par Robert Martin ♦ Un de nos lecteurs nous a récemment contactés. Fonctionnaire retraité ayant assuré un rôle important au sein du dispositif judiciaire entourant la demande d’asile en France, il est théoriquement soumis à un devoir de réserve, nous avons donc respecté son anonymat en modifiant son nom. Néanmoins, face aux actions d’Emmanuel Macron et notamment à sa loi Asile et Immigration, il a décidé de nous communiquer plusieurs textes. Nous avons décidé de publier en 5 parties un grand texte solidement documenté sur le projet de loi d’Emmanuel Macron et, plus globalement, sur les mesures qu’il faudrait adopter pour gérer efficacement la crise migratoire.
    Après une première partie dédiée à l’analyse globale du texte Asile et Immigration, Robert Martin commentera ici le rapport du Conseil d’Etat sur ce projet de loi.
    Polémia

    Ma première inquiétude fut de découvrir que le Conseil d’Etat avait désigné comme rapporteur de ce texte, un conseiller d’état, Thierry Tuot, auteur il y a cinq ans d’un rapport controversé intitulé « La Grande Nation : pour une société inclusive » et connu pour ses positions favorables à une immigration ouverte.

    Ainsi, selon Le Point, ce haut fonctionnaire abandonna son devoir de réserve et, à plusieurs reprises, il a semblé que l’analyse juridique cédait la place au discours militant, allant jusqu’à publiquement regretter qu’il ne soit pas possible au Conseil d’État de « refuser d’examiner le texte », ce qui aurait, selon lui, « constitué un geste politique fort ». Et de dénoncer « la propagande du gouvernement qui, sous le couvert d’une meilleure intégration des étrangers, entend faire passer sans les assumer une série de mesures durcissant les conditions d’entrée et de séjour de ces derniers. »
    Cependant, malgré ces dérapages verbaux, le rapport pour avis rendu le 15 février 2018 sur ce projet de loi fut considéré par tous comme étant équilibré.

    L’avis rendu par le Conseil d’Etat le 15 février 2018

    Premier commentaire

    Le Conseil d’Etat souligne, dans les paragraphes 4 à 10 de son rapport, les faiblesses majeures du texte gouvernemental donnant ainsi l’impression de ne pas évoquer les vrais problèmes auxquels notre pays est confronté en matière de mouvements migratoires.

    Rapport du Conseil d’Etat :
    « 4. Le Conseil d’État observe que les migrations, particulièrement celles qui concernent le territoire national et plus largement l’Europe, ont connu au cours de la dernière décennie des changements très importants : l’origine et la nature des flux, leur répartition géographique, les motifs conduisant à rechercher l’entrée sur le territoire national reflètent des évolutions très significatives, sur lesquelles l’exposé des motifs et l’étude d’impact demeurent souvent allusifs. »

    Commentaires :
    Le Président de la République a évoqué rapidement dans son débat sur RMC les thèses du journaliste américain Stephen SMITH développées dans son livre publié le 7 février 2018 La ruée vers l’Europe — La jeune Afrique en route pour le Vieux continent. Un livre qui décrit bien le nouveau paysage européen marqué avant tout par une immigration massive venant d’Afrique. Une migration vers l’Europe inéluctable du fait du doublement de la population africaine d’ici à 2050.

    Stephen Smith prend également « à rebrousse-poil » les théories établies du co-développement, battant en brèche la croyance selon laquelle aider les pays africains à se développer économiquement permet d’empêcher la migration des populations vers l’Eldorado Europe.

    Ce ne sont plus les populations les plus démunies d’Afrique qui partiront pour l’Europe, mais celles des classes moyennes, plus en mesure de faire le grand saut vers le paradis économique du vieux continent.
    Nous passerons des demandeurs d’asile désireux de « sauver leur peau », aux expatriés pour raisons économiques.

    Or, notre modèle d’analyse des demandes d’asile n’est absolument pas adapté à cette nouvelle catégorie de migrants.

    Pour détendre un peu le lecteur, voici un article consacré à la grande naïveté de notre politique d’examen des demandes d’asile et au « professionnalisme » des associations pro-migrants.

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  • Éric Zemmour sur le Service national : « L’armée ne peut à elle seule corriger les renoncements d’une école qui, elle-même, croule sous les effets d’une invasion migratoire inouïe »

    Il ne faut pas se leurrer : le service militaire d’autrefois ne reviendra pas. Mais faut-il s’en plaindre ? Car l’armée ne peut à elle seule corriger les renoncements de l’école.

    (…)

    Il ne faut pas se leurrer: en dépit des annonces fracassantes, le service militaire ne reviendra pas. Les armées ont tant besoin d’argent pour renouveler armement et équipement qu’elles n’accepteront jamais de dépenser des fortunes pour former des conscrits innombrables, mais pour la plupart inutiles.

    L’armée ne peut à elle seule corriger les renoncements d’une école qui, elle-même, croule sous les effets d’une invasion migratoire inouïe depuis des décennies. Il n’est pas sûr d’ailleurs que le service militaire à la papa n’aurait pas, s’il avait été maintenu, révélé lui aussi crûment les fractures irrémédiables de la société française.

    Le Figaro

    http://www.fdesouche.com/1000077-eric-zemmour-sur-le-service-national-larmee-ne-peut-a-elle-seule-corriger-les-renoncements-dune-ecole-qui-elle-meme-croule-sous-les-effets-dune-invasion-migratoire-inouie

  • ROMAIN ESPINO : LES GRANDS DÉFENSEURS DE LA LIBERTÉ D’EXPRESSION ET DE LA DÉMOCRATIE ONT DE CURIEUSES MÉTHODES

    Les comptes Facebook et Instagram de Génération identitaire ont été suspendus après une campagne massive de signalement. Génération identitaire a fait appel et étudie les procédures par voie d’avocat. C’est ce que révèle Romain Espino, son porte-parole – qui a fait lui-même l’objet d’une violente campagne de dénonciation personnelle sur les réseaux sociaux – à Boulevard Voltaire.

     porte-parole Génération Identitaire

    http://www.bvoltaire.fr/grands-defenseurs-de-liberte-dexpression-de-democratie-ont-de-curieuses-methodes/

  • Jihad : une quinzaine de terroristes ont déjà été jugés et libérés

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    Selon le Centre d’analyse du terrorisme, 93 ressortissants français revenus de la zone irako-syrienne ont été jugés. Parmi eux, une quinzaine ont déjà été libérés.

    La menace terroriste en France est loin d’être écartée. Au contraire. Avec le retour de nombreux combattants sur le territoire, les experts ont alerté sur le risque qu’ils représentent pour la sécurité nationale. Surtout que l’organisation terroriste Daesh appelle ses combattants à frapper l’Occident.

    Lire la suite sur ContreInfo