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immigration - Page 814

  • Flambée des violences sexuelles en France, en particulier à Paris

    Selon Le Figaro, qui a obtenu copie des statistiques de la police pour le premier trimestre 2018, la France a subi une augmentation du nombre de viols et de cas de harcèlement de 15% sur le plan national. Le phénomène touche particulièrement Paris.

    Les statistiques des violences sexuelles envoyées par la préfecture de Paris aux maires d’arrondissement, inquiètent. Dans la capitale, les viols et les cas de harcèlement sexuel ont en effet connu une hausse de 29% durant le premier trimestre 2018, selon Le Figaro, qui a pu obtenir le détail des chiffres. En trois mois, près de 608 infractions ont été constatées, contre 471 pour la même période en 2017.

    Sur l’ensemble du territoire français, une augmentation moyenne de 15% des violences sexuelles a été recensée, ce qui représente près de 170 affaires de ce type par jour. Pour le premier trimestre de 2018, les faits de viols sont quant à eux passés de 4 264 à 4 805, soit une hausse d’environ 12% par rapport à la même période en 2017.

    Contacté par le quotidien, Christophe Soullez, de l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP) estime qu’après l’affaire Weinstein ou #BalanceTonPorc, il y a désormais «des comportements moins acceptés qu’avant et donc plus souvent dénoncés». L’ONDRP estime par ailleurs que ces chiffres élevés sont le fait d’«une plus grande précision du logiciel de rédaction des procédures de la police nationale (LRPPN) qui permet de mieux définir dans quelle rubrique reporter l’infraction».

    Néanmoins, au-delà de ces critères, un phénomène est bel et bien en hausse, selon Le Figaro, qui s’appuie sur les témoignages de professionnels de la sécurité : la banalisation de la violence sexuelle, «particulièrement dans certains quartiers où le statut de la femme reste un sujet épineux». Le quotidien ajoute notamment que «les experts de la sécurité publique ont alerté sur l’augmentation des viols, harcèlements et autres atteintes sexuelles dans le département de la Seine-Saint-Denis».

    Source RT

    https://www.patriote.info/actualite/securite/flambee-des-violences-sexuelles-en-france-en-particulier-a-paris/

  • En finir avec la droite honteuse : l’immigrationnisme doit être criminalisé

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    Par Romain d’Aspremont, consultant dans l’industrie de Défense ♦ L’offensive médiatique s’abat sur Laurent Wauquiez, suite à ses soi-disant « intox » sur la politique migratoire du gouvernement. Les critiques formulées par Wauquiez ne sont pourtant que des piqûres de moustiques, qui attaquent le Grand Remplacement par le petit bout de la lorgnette : le regroupement familial offert aux clandestins. Le contraste est de plus en plus saisissant entre la montée en puissance de l’hostilité islamiste et l’attitude timorée de l’homme de droite.

    Cette faiblesse ne provient pas d’une situation minoritaire intimidante, mais d’un manque de conviction : non pas dans la justesse de sa cause, mais dans le caractère moral de celle-ci. Si le gauchiste est persuadé d’incarner le camp du Bien, l’homme de droite pense, au mieux, incarner le « bon sens » populaire. Or le « bon sens » ne pèse pas bien lourd face au Bien.
    Comment inverser cette situation ?

    1/ Criminaliser l’immigrationnisme

    Chaque débat doit devenir l’occasion de faire le procès des immigrationnistes :
    « Votre politique est porteuse de mort, faisant de vous les co-responsables du massacre de nos femmes et de nos enfants. Ces morts compte-t-ils si peu à vos yeux pour que vous défendiez avec autant d’ardeur le regroupement familial et le droit du sol ? Mieux que personne vous savez les drames humains qu’entraînent votre politique criminelle. En 1970 nous aurions pu vous laisser le bénéfice du doute; en 2018, le verdict est sans appel : vous êtes coupable, et récidiviste. »
    « Les attentats ne sont que la partie émergée des conséquences de votre politique. Le reste, ce sont les meurtres de rue, les agressions, les viols. Vos moyens financiers et vos choix de résidence vous permettent de vous en prémunir, tout en traitant de racistes les Français qui accusent de plein fouet la réalité migratoire. »

    2/ Nous sommes le Camp des Saints

    Nos adversaires mentent en conscience, ce qui suffit à les condamner sur le plan moral. Il nous faut cesser de minimiser leurs mensonges sur l’immigration : tout mensonge sur ce thème doit devenir synonyme de suicide politique.
    La vérité est notre alliée, mais nous nous excusons presque de la formuler. Aussi devons-nous être les plus rigoureux possible, statistiques à l’appui.
    Dénoncer leur duplicité : « Vous prétendez que l’immigration est une chose positive, mais vous vous gardez bien d’aller vivre dans les quartiers immigrés. Voilà qui empeste le mensonge [trouver des équivalents de leur “nauséabond”]. »
    Leur faire honte : « Vos mensonges feraient sourire s’ils ne faisaient tous les jours couler du sang. »
    S’ils se refusent à admettre l’étendue de la menace : « François Hollande lui-même a affirmé que des pans entiers du territoire étaient inscrits dans une processus de partition. Ses déclarations prouvent que votre camp n’a jamais cessé de mentir ouvertement aux Français, œuvrant à leur cacher une réalité dont vous étiez parfaitement informés. »
    S’ils se résignent à l’admettre : « Vos aveux sont extrêmement graves. Vous reconnaissez avoir conscience de la menace liée à l’immigration musulmane, mais vous continuez de la mettre en œuvre. Les familles des victimes de VOTRE politique veulent savoir : êtes vous un LÂCHE, ou êtes vous un TRAÎTRE ? »

    3/ Un discours-électrochoc

    Il faut cesser de présenter l’immigration comme n’étant qu’une nuisance à gérer, des flux à maîtriser ou à tarir, mais la décrire pour ce qu’elle est : une apocalypse civilisationnelle.

    Romain d’Aspremont 27/04/2018

    Source : Correspondance Polémia – 22 avril 2018

    Crédit photo : Alain Juppé, par Florencecassisi [CC BY 4.0], via Wikimedia Commons

    https://www.polemia.com/en-finir-avec-la-droite-honteuse-limmigrationnisme-doit-etre-criminalise/

  • Les islamistes veulent faire de la France un pays musulman

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    Didier Bloway, Riposte laïque cliquez ici

    Après des années d’hésitation et de blocage, il est enfin devenu licite de désigner les “terroristes” qui nous persécutent : ce sont des “islamistes”. Une victoire de la vérité qui recouvre en fait un gros mensonge. Ce ne sont pas les islamistes qui sont en train de nous coloniser, c’est l’islam. Les islamistes ne sont que la pointe de la flèche.

    La plupart des musulmans sont bien sûr des gens paisibles et pacifiques, mais les dirigeants des organes officiels qui les représentent cachent de moins en moins leur but réel : faire de la France – et assez vite, d’ici vingt à trente ans – un pays musulman. Il suffira de citer le recteur de la grande mosquée de Paris, Dalil Boubakeur, réputé des plus modérés, qui trahit sa pensée profonde en déclarant qu’il faut transformer en mosquées les églises plus ou moins oubliées des fidèles (15 juin 2015).

    Inutile de parler de complot, d’on ne sait quel chef ou organe mondial planifiant l’occupation et la prise de pouvoir, il suffit d’un objectif commun et d’une entente tacite. Tous ceux qui ont des yeux pour voir savent que les musulmans ont pris le contrôle de nombreux clubs sportifs, et notamment dans la discipline la plus populaire, le football. Mais leur présence est aussi grandissante dans de multiples associations, parents d’élèves, colocataires, et dans le secteur social d’une manière générale, sans compter naturellement les conseils municipaux.

    La question n’est pas de se livrer à une critique fondamentale de l’islam. Dans les nombreux pays où cette religion est dominante de longue date, c’est aux populations de ces pays de décider si elles veulent rester sous son autorité ou s’en délivrer. Mais en Europe, et particulièrement en France, rien ne justifie ni ne rend souhaitable que cette religion s’impose pour se substituer à nos croyances et à nos usages.

    Si l’islam est une religion, c’est surtout une pratique. On n’y trouve guère de spiritualité, en tout cas dans son expression courante, mais on y voit à l’oeuvre une doctrine politique et sociale, visant la soumission et le contrôle des individus, et la conquête de nouveaux adeptes et de nouveaux territoires. Pourquoi devrions-nous accepter cette soumission et cette conquête ? De quel droit les autorités font-elles un délit de la résistance, légitime, face à une doctrine qui a pour finalité de détruire nos usages, nos codes, nos lois, nos croyances ou nos libertés de ne pas croire ?

    Appelons ceux qui résistent les “Résistants” et demandons-nous comment il se peut qu’on parle à leur sujet de “dérive identitaire” et de “repli sur soi”. Pour ce qui est de la dérive identitaire, qui a commencé à brandir des drapeaux étrangers, à arborer des barbes bien reconnaissables et des voiles ? Et est-ce du repli sur soi que de vouloir défendre son pays, sa civilisation, sa langue, sa foi – et accessoirement sa famille ? Une foi dont les musulmans font grand état mais qui serait quantité négligeable quand elle est la nôtre ?

    Ce discours, cette tromperie, c’est la position finalement adoptée par ceux qui sont au pouvoir depuis trente ou quarante ans. On rappellera juste la trahison profonde d’un Chirac refusant de reconnaître les racines chrétiennes de l’Europe et osant prétendre que l’islam y tient une place historique équivalente. Et que penser du milieu des intellectuels et artistes se plaisant à faire le jeu de l’islam au détriment du chistianisme honni, préparant ainsi la victoire d’une doctrine qui les écraserait (et qui a peu d’égards pour le féminisme dont ils se réclament). Enfin, il faut quand même rappeler que l’islam promet la mort à qui s’en affranchit, tandis que le christianisme est incontestablement une religion de libre choix et de respect de la personne (qui aboutira notamment à la Déclaration des Droits de l’Homme).

    Comment, alors, ne pas encourager la “Résistance” ? Comment ne pas dénoncer la politique visiblement – quoique clandestinement – adoptée par le pouvoir dans divers pays d’Europe, dont bien sûr la France ? Il s’agit pour ces gouvernants d’éviter les attentats dans toute la mesure du possible, en essayant de neutraliser les islamistes actifs, mais sans jamais se mesurer frontalement à l’islam. Et bien sûr en faisant semblant de distinguer, on l’a vu, entre “islamisme” et “islam”. Mais le point le plus important du plan, c’est d’éviter à tout prix un conflit ouvert et une contre-attaque des Résistants. C’est pourquoi les efforts les plus intensifs de surveillance et de répression concerneront avant tout les “identitaires”, chrétiens traditionalistes, et, d’une manière générale les pestiférés de la présumée “fachosphère”. Voilà ce qu’il faut d’abord savoir. Pour commencer.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Autriche : des femmes manifestent contre la violence des migrants malgré les attaques des antifas

    btb-frauenmarsch-wien-2018-1-702x459.jpgSamedi 21 avril après-midi, de nombreuses femmes se sont rassemblées dans la capitale autrichienne pour protester contre la montée rapide de la violence des migrants dans le pays, rapporte le journal Wochenblick.

    Selon l’organisateur « Patriots for Home and Tradition », environ 250 personnes ont participé à la première manifestation contre la violence des migrants à Vienne.

    Pendant la marche, les extrémistes antifas ont essayé d’attaquer les femmes pacifiques dans les rues de Vienne. Grâce aux interventions de la police, leur plan n’a pas réussi. Plus tard, les antifas ont lancé des œufs sur des femmes qui tenaient un discours.

    Dans plusieurs discours à la Ballhausplatz de Vienne, des critiques claires ont été adressées à l’augmentation notable de la violence des migrants contre les plus faibles de la société. « Je veux que nos enfants vivent dans la même sécurité que nous avions autrefois« , a déclaré une femme viennoise.

    Après des discours introductifs à la Ballhausplatz de Vienne, les manifestants ont marché pacifiquement vers l’ambassade d’Allemagne. Les participants ont exprimé leur solidarité avec d’autres manifestations allemandes contre la violence des migrants.

    De nombreux manifestants étaient enthousiastes et ont également promis leur soutien à l’avenir. La prochaine manifestation à Vienne est déjà prévue, a déclaré l’équipe d’organisation à Wochenblick.

    Source : madame suavelos

    https://kahlenberg.blog/2018/04/17/autriche-des-femmes-manifestent-contre-la-violence-des-migrants-malgre-les-attaques-des-antifas/

  • BERNARD KOUCHNER : LES MIGRANTS POUR FAIRE REVIVRE NOS VILLAGES…

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    Cela faisait longtemps que le French doctor n’avait pas montré sa bobine à la télé. C’était face à Apolline de Malherbe, mercredi, sur BFM TV. Et pour dire quoi ? Que « l’accueil des réfugiés ordonné est une chance pour notre pays et surtout pour l’Europe ». Que c’est grâce aux migrants que les villages vont se « reconstruire ». Ah, mais quel manque de flair, pour le couple Kouchner, d’avoir préféré investir dans les beaux quartiers et des îles pour millionnaires plutôt que dans l’un de ces villages à reconstruire !

    Une chance, c’en est une, pour le couple Kouchner-Ockrent, que les migrants n’aient pas envahis les 5e et 6e arrondissements de Paris, où ils vivaient en 2009 depuis trente-cinq ans dans 250 mètres carrés – pour un loyer de 5.000 euros par mois, un montant 30 % inférieur à la moyenne du marché (L’Express). Une chance, encore, que les migrants n’aillent pas dans les stations de ski huppées comme à Morzine-Avoriaz, où ils sont les heureux propriétaires d’un gentil pied-à-terre, ni n’ont encore été expédiés à la résidence très privée de personnalités politiques, du show-biz, de banquiers, de patrons du CAC 40, le golf de Sperone, en Corse. Un endroit absolument idyllique où de luxueuses villas se disséminent, à peine visibles, dans le maquis. Du bateau, on aperçoit cependant celle du couple médiatique, construite en bois exotique, dominant la grande bleue avec, en contrebas, sa plage privée où est amarrée un modeste rafiot.

    Cela serait pourtant une chance, pour les migrants, de poser le pied à Sperone et d’aller partager leur richesse avec du si beau linge ! L’occasion unique de prendre des cours de finance, de comédie, de chant. Las : impossible ! Les Kouchner, les Mimi Mathy, les Bedos, les Bruel, les Bohringer, les Higelin (ils sont 180 défenseurs du multiculturalisme à y avoir posé leurs pénates) ont fait ériger un mur de trois mètres de haut afin que leur intimité soit respectée. Vraiment pas de chance, pour les migrants, qui auraient pu garder leurs villas tous les longs mois d’hiver et contribuer à faire vivre le golf alors désespérant mort. Et avec un Kouchner les ravitaillant, sacs de riz portés virilement sur l’épaule, ça en aurait, de la gueule…

    Bernard Kouchner, le spécialiste en repeuplement des campagnes par les migrants, donc. Et de prendre en exemple l’Italie. Eh bien, prenons, justement, l’exemple de San Alessio, en Calabre, sur lequel il s’est très certainement appuyé. Pour revivre, il revit, ce village de 300 âmes, perché à 600 mètres d’altitude.

    Depuis 2014, le SPRAR (un réseau d’accueil et d’intégration géré en partenariat avec les communes) permet, en effet, de donner du boulot. À ceux qui dispensent des cours d’italien, aux spécialistes du suivi juridique, aux médecins, psychologues, aux instituteurs, aux innombrables acteurs sociaux, aux formateurs professionnels en jardinerie, travaux manuels, cuisine et même musique. Il y a aussi ceux qui accompagnent les plus vulnérables : les séropositifs, les diabétiques, les handicapés, les victimes de réseaux de prostitution. Cerise sur le gâteau : chaque migrant reçoit 45 euros par jour et 50 euros tous les deux mois pour s’habiller. Mais attention, c’est grâce aux migrants que le bar, la supérette, la pharmacie n’ont pas disparu…

    Bernard Kouchner vante la reconstruction des villages grâce aux migrants ? Heureusement pour lui qu’il ne gère pas son patrimoine et ses revenus comme il préconise, en quelque sorte, de dépenser l’argent public…

    http://www.bvoltaire.fr/bernard-kouchner-migrants-faire-revivre-nos-villages/

  • Plan Borloo : encore des milliards pour les banlieues !, par Guy Rouvrais

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    Les insomniaques, au lieu de compter les moutons, pourraient tout aussi bien compter les « plans banlieues », tant ils sont nombreux, se succédant, depuis 1977, sous des appellations diverses, pour remédier aux maux dont souffriraient les « quartiers ». Tous les gouvernements de droite et de gauche en ont sorti au moins un, sous Jospin il y en eut même deux.

    Il eût été étonnant qu’Emmanuel Macron ne sacrifiât pas à ce qui est devenu un rituel, ne serait-ce que pour tenter d’échapper à l’appellation de « président des riches » ou, selon Hollande, des « très riches ». Il a confié cette mission à Jean-Louis Borloo que l’on croyait malade et retiré de la politique, mais qui, pour cette tâche, est sorti de sa retraite. Ce n’est pas un gage de renouveau, car il fut un des nombreux ministres qui lancèrent un plan banlieue ; celui qu’il élabora en 2005 devait faire merveille et rendre prospères et pacifiques les cités en question.

    Le fait qu’il faille régulièrement concocter un programme, souvent qualifié d’urgence, atteste de l’échec des précédents. Est-ce étonnant quand, à chaque fois, on applique les mêmes recettes, à savoir toujours plus d’argent déversé, accompagné de mesures de discrimination dites positives, en faveur des jeunes, notamment ?

    Il serait faux de dire que rien n’a changé en quarante ans, au contraire : la situation s’est aggravée. Entre 1977 et aujourd’hui, ces « territoires » perdus ne l’ont pas été pour tout le monde : les islamistes y ont instauré une société parallèle sur laquelle il règne en maîtres. Le trafic de stupéfiants, qui était artisanal lors du premier plan Borloo, est devenu une industrie organisée et prospère qui fait vivre des quartiers entiers.

    Mais dans les 19 mesures proposées par Jean-Louis Borloo dans le rapport remis au Premier ministre, qui a assuré qu’elles seraient appliquées, aucune ne concerne ces maux-là. Borloo arrose les banlieues de cinq milliards (48 milliards en tout évoqués pour ce « plan Marshall) et crée une « académie des leaders », à côté de l’ENA, concours sans exigence de diplôme, ouvert aux seuls jeunes des banlieues afin que la haute fonction publique soit diversifiée. Il y aura, certes, des sanctions mais elles ne concerneront que les administrations qui n’auront pas réduit les « inégalités territoriales », une nouvelle Cour d’équité territoriale pourra être saisie par toute personne physique ou morale s’estimant « discriminée ». Borloo veut instaurer également des quotas obligatoires d’embauche de « jeunes » de cité pour les entreprises françaises.

    Il y a quelques jours, 300 personnalités dénonçaient le « nouvel antisémitisme » musulman (voir Présent du 23 avril) qui contraint des milliers de juifs à quitter « certaines cités ». Borloo, lui, n’a rien vu ni entendu de cela malgré des mois d’enquête et d’auditions d’« acteurs de terrain ». L’islam est partout dans ces banlieues-là mais est absent dans celles de Borloo. Pour mener à bien ce plan, dit l’ancien ministre, il faudrait, au sein du pouvoir, un général Patton. Pas moins ! Mais, lui, il faisait la guerre, pas la danse du ventre devant l’adversaire.

    Autre absence, dans la continuité de ses prédécesseurs : les déserts ruraux des petites villes de la France profonde, où les services publics disparaissent les uns après les autres et où l’on constate le suicide d’un agriculteur chaque jour de l’année. Mais ça n’intéresse ni Borloo, ni Macron.

    Guy Rouvrais

    Article paru dans Présent daté du 27 avril 2018

    https://fr.novopress.info/

  • IMMIGRATION SAUVAGE : 80 MINEURS TERRORISENT LE QUARTIER DE LA GOUTTE-D’OR. IL PARAÎT QU’ON N’Y PEUT RIEN !

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    Anne Hidalgo est dépassée. Les maires aussi, surtout celui du XVIIIe. La police est impuissante, la magistrature itou – preuve, s’il en fallait encore une, que notre législation, en ce domaine de l’immigration sauvage, est totalement inadaptée.

    Il est, cette fois, question des hordes de gamins qui vivent de drogue et de rapines dans les rues de la capitale. Dans le quartier de la Goutte-d’Or, précisément, où ils assaillent les passants et se livrent à tous les trafics sous le nez d’une population effarée.

    D’une trentaine, début janvier, ils seraient aujourd’hui autour de 80 mineurs, de 12 à 17 ans. Comme le relatait Le Parisien le 13 avril, « drogués à la colle qu’ils sniffent sans relâche, de plus en plus violents, ils sont désormais placés sous la coupe de trafiquants de cigarettes de contrebande adultes, pour le compte desquels ils commettent vols à l’arraché et cambriolages ».

    Dans ces temps de débat sur la loi Asile et Immigration où l’on a entendu égrener tous les fantasmes sur la rétention des mineurs, on se demande comment il se fait que quelques dizaines de gamins puissent encore terroriser tout un quartier !

    Qui sont-ils et d’où viennent-ils ? « Arrivés seuls du Maroc dans la capitale via l’enclave espagnole de Mellila, sans papiers d’identité, totalement livrés à eux-mêmes comme ils le sont dans leur pays d’origine, et ancrés dans l’errance, [ils] semblent désormais hors de tout contrôle », nous dit Le Parisien. J’ai du mal à comprendre… On ne cesse de nous tirer des larmes sur ces gens qui doivent donner des fortunes aux passeurs, leurs familles ruinées pour payer le passage, le chantage sur ceux restés au pays, etc. Alors, comment ces gosses-là sont-ils arrivés là ? Gosses des rues au Maroc, qui leur a payé le passage ? Qui les a transportés ? Quelles autorités les ont laissés entrer ?

    Incapable de faire face à la situation malgré un plan à 700.000 euros, la mairie de Paris se dit totalement impuissante… et en appelle à l’État. Anne Hidalgo et le maire PS du XVIIIe viennent d’adresser une lettre désespérée au Premier ministre. L’adjointe à la sécurité avoue leur incapacité à affronter un phénomène que personne n’avait anticipé : « La police prend les empreintes de ces jeunes lors des contrôles, mais ils sont extrêmement mobiles : le lendemain, ils peuvent s’évaporer à Brest (Finistère), Nantes (Loire-Atlantique), Rome (Italie) ou Madrid (Espagne). Et il n’y a aucun suivi. Ni d’envie spontanée d’être pris en charge. La réflexion doit se faire au niveau européen. »

    Sur le site InfoMigrants.net, le ton est à la compassion. Ces pauvres enfants qui ont investi le square Alain-Bashung – qu’ils se partagent avec quelques SDF et familles de Roms – sont, paraît-il, « harcelés par les médias ». L’association Hors la rue, qui travaille avec les mineurs isolés, les assimile aux jeunes venus d’Europe de l’Est : « Ils suivent les mêmes modalités de fonctionnement, les codes de la rue, s’adonnent à de la “délinquance de survie”, traînent en bande… », dit la responsable. Les Marocains ont, toutefois, une spécificité : ils se droguent. InfoMigrants poursuit : « Jugés agressifs (sic) par les riverains et les commerçants alentour, ils se livrent parfois à des scènes d’une violence hallucinante. »

    S’ils ne parlent pas le français, ces enfants-là savent toutefois une chose : ils ne sont pas expulsables. Surtout, et c’est le plus ahurissant : il est légalement impossible de les placer sans leur accord. Enfin, le CASP (Centre d’aide sociale protestant), mandaté par la mairie de Paris « pour approcher les jeunes et les orienter vers les centres d’accueil de jour et de nuit mis à leur disposition avec médecins et psychologues », avoue son échec absolu. Au point que « les responsables préfèrent ne pas aborder le sujet », écrit Le Parisien.

    Et Macron, qu’est-ce qu’il en dit ?

    http://www.bvoltaire.fr/immigration-sauvage-80-mineurs-terrorisent-quartier-de-goutte-dor-parait-quon-ny-rien/

  • I-Média #198 : Opération Defend Europe : la rage des journalistes

  • Stephen Smith : les Européens ont tort de penser qu’ils rendent service à l’Afrique en ouvrant leurs frontières

    6a00d83451619c69e20224e0351d63200d-250wi.jpgAncien journaliste (1986-2005), désormais professeur d'études africaines à l'université Duke, aux États-Unis, Stephen Smith a publié : « La ruée vers l'Europe », un livre politiquement incorrect. Il répond aux questions de Jeune Afrique. Extraits :

    "[...] Contrairement à une idée reçue, ce ne sont pas les plus pauvres qui migrent.Ne pars pas qui veut. D’ailleurs, sinon, la pression migratoire aurait été la plus forte dans les années 1990, quand le continent était géopolitiquement à l’abandon et dévasté par de multiples guerres civiles. En fait, outre une certaine connaissance du monde, il faut pouvoir réunir un pactole de départ pour entreprendre un si long voyage. Ce sont donc ceux qui sortent la tête de l’eau qui se mettent en route – « l’Afrique émergente » de la subsistance. Or, le « co-développement », qui vise à fixer les Africains chez eux, contribue à faire passer ce premier cap de prospérité. C’est un effet aussi involontaire qu’inévitable : dans un premier temps, un léger mieux économique incite au départ parce qu’il est insuffisant pour combler les inégalités entre l’Afrique et l’Europe, tout en donnant les moyens de partir. C’est seulement quand des pays en développement atteignent une prospérité plus conséquente, comme aujourd’hui la Turquie, le Mexique, l’Inde ou le Brésil, que leurs ressortissants restent – sinon retournent – au pays pour saisir les opportunités chez eux.

    Certains membres de la classe moyenne ou aisée font pourtant le choix de rester ou de revenir au pays pour contribuer à son développement…

    Il y a des cas individuels mais, statistiquement, ils ne font pas le poids. Au Togo, un tiers des adultes a tenté sa chance dans la loterie américaine des permis de résidence – 55 000 green cards par an, pour le monde entier – qui sont offerts aux « candidats de la diversité » aux États-Unis. À l’échelle du continent, selon une enquête de l’Institut Gallup de 2016, 42% des Africains âgés de 15 à 25 ans déclarent vouloir partir. Même si tous ne passeront pas à l’acte migratoire, l’Afrique est un continent en instance de départ. [...]

    La migration est une perte nette pour l’Afrique parce que ses forces vives l’abandonnent. C’est profondément démoralisant pour ceux qui restent, et les Européens ont tort de penser qu’ils rendent service à l’Afrique en ouvrant leurs frontières. En fait, les migrants tournent le dos à un continent « en panne » dont les insuffisances leur semblent irréparables à l’échelle d’une vie humaine. Ils se sauvent. Pas seulement parce que des infrastructures ou des emplois font défaut, ou que leurs enfants n’y peuvent recevoir une bonne éducation, mais aussi parce qu’ils pensent que l’Afrique est en panne d’espoir. [...]

    Vous parlez d’une Europe qui va s’africaniser et prévoyez des tensions identitaires. Est-ce inévitable ?

    Je ne prévois pas, je constate. Il suffit de faire le tour de l’Europe, de l’Italie à la Suède en passant par l’Allemagne d’Angela Merkel ou la Hongrie. Est-ce inévitable ? Peut-être pas si trois principes de réalisme et d’humanité peuvent être conciliés. D’abord, il appartient aux Européens de décider qui entre chez eux et qui n’entre pas. Ensuite, l’Europe ne peut pas se désintéresser de son voisin africain, elle doit comprendre qu’une frontière n’est pas une barrière baissée ou levée mais un espace de négociation. Enfin, et c’est peut-être la réalité qui est encore la moins bien perçue, la ligne de partage ne sépare plus tant les pays riches des pays pauvres mais, à l’intérieur du Nord et du Sud, les gagnants et les perdants de la mondialisation. Si les gagnants – en Afrique autant qu’en Europe – se moquent du sort des perdants, nous serons tous perdants. [...]"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Procès : les sinistres fanfaronnades de Jawad Bendaoud

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    Autant le dire tout de suite, après deux heures trente d’audience, Jawad Bendaoud n’est ni émouvant ni touchant. Il n’est pas drôle non plus. Il comparaissait cet après-midi devant la 17e chambre correctionnelle du TGI de Bobigny pour des violences conjugales perpétrées entre août et novembre 2015 et des menaces de mort en mars 2018 contre son ex-compagne avec laquelle il entretient une relation « toxique », selon le président comme le ministère public.

    « Je vais te tuer », « je vais t’égorger sur la vie de mon fils », il faut l’imaginer éructant dans le box des prévenus « niquant » à tout bout de champ « la mère de son fils » ou « des vendeurs à la sauvette » qui nuisent à sa tranquillité d’homme libre qui se tiendrait désormais à carreau.

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