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immigration - Page 809

  • Filip Dewinter à Londres samedi au rassemblement pour la libération de Tommy Robinson

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    Belgique et Royaume-Uni. L’homme fort du Vlaams Belang et député Filip Dewinter a pris la parole ce samedi 14 juillet 2018 à Londres au Royaume-Uni lors de la manifestation en vue de réclamer la libération de Tommy Robinson. Il a déclaré : « Donald Trump a raison : « L’Europe est en train de perdre sa culture à cause de l’immigration. ». »

    Source Lionel Baland cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2018/07/16/filip-dewinter-a-londres-samedi-au-rassemblement-pour-la-lib-6066693.html

  • Soir de victoire à Paris : violences sur les Champs-Élysées

    Boulevard Voltaire était sur les Champs-Élysées dimanche soir : de la liesse mais aussi de la violence, de la casse… à regarder jusqu’au bout.

  • Coupe du monde : De la liesse à la guérilla – JT TVL 16 juillet 2018

    1) Coupe du monde : De la liesse à la guérilla

    La France a vibré au rythme des scènes de liesse après la victoire de l’équipe de football en finale de coupe du monde. Une “joie collective” qui a vite laissé place aux violences.

    2) Immigration / Russie : la fin de la tolérance pour les clandestins

    3) International / Premier tête à tête entre Poutine et Trump

    C’était une séquence diplomatique cruciale. Vladimir Poutine et Donald Trump se rencontraient ce lundi à Helsinki. Entre la Syrie, l’Iran, et l’Ukraine, les dossiers chauds ne manquaient pas…

    4) L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/2018/07/16/24321/coupe-monde-de-liesse-a-guerilla-jt-tvl-16-juillet-2018

  • Emmanuel Macron : « la République n’a aucune raison d’être en difficulté avec l’islam »

    Phrase prononcée par le président de la République lors de son discours à Versailles et relevée par Minute :

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    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Avec le Vivre ensemble, le Système a-t-il renoncé à la France ?

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    Par Ligne droite, rassemblement de Français engagés pour une droite nouvelle ♦

    « Vivre ensemble », tel est le nouveau mot d’ordre du Système et de ses porte-parole politiques et médiatiques. Face aux problèmes de cohabitation engendrés par l’immigration, face à la pression identitaire de l’islam, le Vivre ensemble est à l’évidence la nouvelle réponse de nos dirigeants. La question qui se pose alors est de savoir s’ils sont conscients que la logique de ce concept aboutit à la création d’un nouveau pays en lieu et place de la France.

    Le Vivre ensemble remplace l’assimilation et l’intégration

    Derrière ce slogan qui paraît a priori bien anodin, c’est en effet un bouleversement de grande ampleur que le Système introduit subrepticement sur la scène publique. D’abord, parce que la théorie du Vivre ensemble vient remplacer la formule classique de l’intégration comme celle de l’assimilation.

    Dans la première moitié du siècle dernier, le concept d’assimilation prévalait. Concept par lequel les immigrés polonais, italiens, espagnols ou portugais sont devenus français sans difficultés majeures. Selon ce principe, l’étranger adopte l’identité française pour se mêler au peuple qu’il a choisi de rejoindre et en faire pleinement partie.

    Cette conception a été abandonnée dans les années soixante-dix pour laisser la place au principe d’intégration selon lequel l’étranger peut conserver son identité d’origine mais doit s’adapter aux coutumes et aux règles du pays qui l’accueille afin de s’y insérer au mieux.

    Or, depuis que l’islam est devenu une composante dominante du phénomène migratoire, cette seconde conception a elle aussi été abandonnée pour une troisième formule, celle du Vivre ensemble. Notion que l’on rabâche aux Français à longueur de journée et qui renvoie sans le dire à une vision communautariste : chacun conserve son identité, ses coutumes et ses valeurs, mais tous doivent se tolérer mutuellement, s’accepter et même s’aimer pour vivre ensemble harmonieusement sur le même sol.

    Le Vivre ensemble représente une exigence insupportable pour les Français

    Cette notion diffère fondamentalement de celle de l’assimilation et de l’intégration. En effet, l’effort n’est plus exigé des étrangers, mais des Français de souche qui ont la quasi-obligation d’accueillir les migrants et de s’adapter à leurs mœurs et à leur religion. Derrière les bons sentiments auxquels renvoie la formule, ce mot d’ordre représente en effet une exigence terrible tellement contraire à la nature des peuples que personne ne veut s’y soumettre. Les immigrants n’ont aucune envie de vivre avec nous, ils veulent seulement vivre chez nous comme chez eux. Les Français, de même que les Européens de souche, cherchent de leur côté à vivre loin des zones d’immigration. Les bobos, les patrons  et les gouvernants de l’oligarchie, eux-mêmes, qui prêchent pourtant le vivre ensemble se gardent bien personnellement de le pratiquer.

    Car la logique du Vivre ensemble conduit à la création d’un nouveau pays

    Cette formule introduit en effet un concept particulièrement dangereux car la logique du Vivre ensemble change complètement la problématique du traitement de l’immigration. Il ne s’agit plus pour la nation d’incorporer au mieux des personnes étrangères, il faut faire vivre sur le même sol des communautés radicalement différentes, chacune conservant son identité et toutes ayant les mêmes droits. Dès lors, il n’y a qu’une solution pour satisfaire à une telle exigence : créer un nouveau pays. Ou, à tout le moins, construire sur le sol national une nouvelle société africano-islamo-hexagonale qui se définirait simplement comme la collectivité de ceux qui résident sur le territoire seulement soumis à un état de droit permettant à tous de vivre ensemble.

    Les Suédois, qui sont manifestement en pointe sur cette question, ont été, il y a quelque temps, la cible d’une campagne d’opinion sous forme de message publicitaire télévisé pour leur expliquer ce processus. « Il n’y a plus de retour en arrière, est-il expliqué dans ce film, la Suède ne sera plus jamais comme avant.  Il est temps de réaliser que de nouveaux Suédois vont venir avec leur culture, leur langue et leurs traditions… Ce “nouveau pays” forme un nouvel avenir. Être suédois doit être accepté non plus comme une question de couleur de peau et lieu de naissance. Cela doit pouvoir être toi, moi et tous ensemble. Ce ne sont pas uniquement les nouveaux Suédois qui doivent s’intégrer. Tout le monde doit s’intégrer, même les Suédois de souche. »

    Avec le Vivre ensemble, le Système a-t-il renoncé à la France ?

    Certes, cette campagne baptisée « le nouveau pays » n’est pas celle du gouvernement suédois et la France n’en a pas encore connu de comparable. Pourtant ce message montre bien que le Vivre ensemble conduit naturellement à l’avènement d’un pays neuf qui appartiendrait autant aux migrants qu’aux Français de souche.

    Si donc les tenants du Système font la promotion du Vivre ensemble en toute connaissance de cause, on peut légitimement s’interroger sur leurs motivations. Confrontés à la contradiction fondamentale qui existe entre le maintien de la France telle qu’elle est et la présence croissante d’immigrés sur notre sol, auraient-ils choisi, pour ne pas assumer une politique courageuse d’arrêt de l’immigration, de suivre la voie aventureuse de la construction d’une nouvelle entité en rupture avec notre nation ?

    Si tel est le cas, les Français sont en droit de le savoir. Sur un tel sujet qui engage leur avenir en tant que peuple, ils sont même en droit d’être consultés directement et explicitement.

    Ligne droite 16/07/2018

    Source : Ligne droite

    Crédit photo : Eu civil via Flickr cc

    https://www.polemia.com/avec-le-vivre-ensemble-le-systeme-a-t-il-renonce-a-la-france/

  • Le multiculturalisme n'est plus accepté par les jeunes en Grande-Bretagne

    Les décennies d’efforts pour promouvoir le multiculturalisme ont produit un effet contraire, comme l’indique une nouvelle étude majeure montrant que les adolescents se mélangent moins avec d’autres groupes raciaux que les 40 ans et plus.
    Malgré le développement de la « diversité » dans notre société comme jamais auparavant depuis que l’immigration massive a transformé le visage de la Grande-Bretagne, les adolescents britanniques aujourd’hui ont presque 30% moins d’amis d’autres origines ethniques que les gens des années 20 et du début des années 30.
    L’analyse, conçue par des psychologues expérimentaux de l’Université d’Oxford, a constaté que la génération actuelle d’adolescents montre des niveaux de ségrégation sociale identiques à ceux des personnes d’âge moyen.
    Ce résultat surprenant est apparu lors de la première phase de recherche lancée par la Commission d’Intégration Sociale, un projet soutenu par diverses ONG et entreprises pour examiner l’impact de la diversité croissante en Grande-Bretagne.
    Cette étude est dévoilée alors que les nouveaux chiffres du Bureau de Statistique Nationale ont montrent que le Royaume-Uni a eu la croissance démographique la plus rapide en Europe au cours de la dernière décennie avec la même augmentation de population sur cette période que lors de la génération précédente entière.
    Le premier rapport de cette commission, qui doit être publié plus tard dans la semaine, montre comment les populations de classes et de générations différentes se mélangent dans la Grande-Bretagne moderne. Mais des résultats initiaux reçus par le Sunday Telegraph mettent en évidence des inquiétudes au niveau de l’intégration raciale parmi la tranche d’âge la plus jeune.
    Ainsi un adolescent moyen a seulement moitié moins d’interaction avec des personnes d’origines différentes que les projections pourraient le laisser supposer, en fonction de l’endroit où il vit. 
    Matthew Taylor, le directeur général de la Royal Society of Arts, qui a présidé la commission, a déclaré que “des questions sérieuses” pouvaient se poser sur la capacité des écoles pour intégrer correctement des jeunes de contextes différents qui se côtoient dans les couloirs chaque jour.
    « Ce point ne se rectifiera pas tout seul et exige l’attention urgente de tous pour promouvoir une meilleure intégration parmi des jeunes quand ils sont à un moment particulièrement formateur dans leur développement », a-t-il dit.
    Ces conclusions ont été basées sur un échantillon de 4.269 personnes interviewées par Ipsos MORI. On a demandé à chaque participant de décrire des rencontres récentes avec leurs amis et demandé de donner des renseignements sur ceux qui était présent et la nature de leurs relations.
    Source

  • Un conseil à Collomb

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    Pendant un mois, la Russie a organisé un Mondial sans enregistrer le moindre incident.‬

    Quelques heures après la victoire des Bleus, la France déplore de nombreux actes de pillage et de violence.‬

    J’invite Collomb à faire un stage de formation professionnelle auprès de Poutine !‬

    Karim Ouchickh, Président du SIEL

  • Le déclin industriel de l’Europe vu par le recrutement

    Jadis usine du monde, l’Europe a depuis longtemps cédé à l’Asie ce titre. Entre 2008 et 2017, des emplois se sont créés dans les pays d’Europe, mais la plupart au bénéfice du secteur tertiaire, dont l’utilisé est parfois toute relative, le plus souvent virtuelle car inquantifiable, comme le prouve le petit exemple que je donne souvent à mes élèves : « secteur primaire : un gars avec une pioche qui extrait le minerai de cuivre dabs une mine. Secteur secondaire : un gars avec un casque qui fabrique du fil électrique et des lingots de cuivre dans une usine. Secteur tertiaire : un gars en costume-cravate qui spécule sur les cours du cuivre dans une banque. ». Voici quel secteur à le plus embauché en 10 ans dans les divers pays d’Europe (Union Européenne, sauf Malte et Chypre + AELE) :

    – Santé humaine et action sociale : Allemagne, Autriche, Belgique, Espagne, Finlande, France, Irlande, Norvège, Portugal, Slovénie et Suisse.

    – Administration et service d’accompagnement : Bulgarie, Lituanie, Pays-Bas.

    – Administration publique, défense et sécurité sociale : Hongrie, Slovaquie.

    – Hébergement et service d’alimentation : Grèce, Islande.

    – Personnel de maison : Italie.

    – Personnel scientifique et technique : Lettonie, Luxembourg, Pologne, Roumanie, Royaume-Uni, Suède.

    – Education : Croatie, Danemark.

    – Information et communication : Estonie.

    – Produits manufacturés : Tchéquie.

    Hristo XIEP

  • Dans les piscines belges : le short non, le burkini intégral oui!

    6a00d83451619c69e2022ad3a0ea44200b-250wi.jpgNon, ce n'est pas une histoire belge

    "Une piscine publique ne peut interdire aux baigneuses le port du burkini pour des raisons d’hygiène ou de sécurité, affirme le tribunal de première instance de Gand dans deux de ses jugements, selon les journaux du groupe Mediahuis.

    Interdire cette pièce de bain couvrante pour des raisons d’hygiène ou de sécurité n’est pas justifié, l’administration flamande elle-même ayant fourni des preuves scientifiques qu’il n’y avait pas de problèmes dans ces domaines.

    Le centre interfédéral pour l’égalité des chances, Unia, avait déjà fait savoir à la Ville d’Anvers qu’il ne voyait aucun fondement juridique à une telle interdiction. Il avait déjà par le passé appelé à faire l’équilibre entre liberté de religion et égalité homme-femme dans ce débat. « Le burkini peut être perçu comme un vêtement avilissant ou comme un vêtement permettant à ses utilisatrices de participer à une activité sportive », rappelait-il encore en 2015".

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  • Marion Maréchal choisit l’Italie pour attaquer Macron et Merkel sur l’immigration

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    Ceux qui pensaient – pour s’en réjouir ou le déplorer – que Marion Maréchal avait délaissé le champ politique pour celui de l’éducation et de la culture, avec la fondation de l’ISSEP, n’avaient rien compris. Ni à la politique, ni à la culture, ni à cette nouvelle figure capable, à même pas trente ans, de rebondir plusieurs fois, comme l’époque l’exige. Pourtant, Marx et la gauche nous ont appris que la culture était politique et qu’une politique sans soubassement culturel ne tient que par temps calmes. Or les temps ne le sont plus, et si Emmanuel Macron l’a senti, précipitant l’effondrement du PS et des Républicains – ces partis politiques exsangues de culture depuis longtemps – il a pensé que le vague vernis culturel qu’il apportait dans l’urgence avec sa personne jupitérienne et littéraire suffirait. Le problème, c’est que , une fois gratté ce vernis, le fonds culturel macronien est celui d’un Attali ou d’un Delors, pour qui l’Europe était d’abord un marché.

    Pour lui la France est une start-up, l’Europe est un marché et les peuples un agglomérat d’individus interchangeables.

    Marion Maréchal, avec cette interview qu’elle a donnée au Corriere della Sera à l’occasion de sa participation à un colloque sur le thème « invasion barbare, souveraineté et pouvoir » avec Edoardo Rixi, secrétaire d’État aux Transports, homme fort de la Ligue, le parti de Matteo Salvini, pose une nouvelle pierre à sa mutation politique. Une mutation qui l’a d’abord conduite aux Etats-Unis, il y a quelques mois. Avec l’abandon du nom Le Pen, avec ce nouveau déplacement, elle fait éclater son espace politique, déjouant les attaques sur le parti du repli, arc-bouté sur une vision rétrécie de la France. Avec Marion Maréchal et l’évolution de l’Europe, les incantations sur l’ouverture s’effondrent. En effet, elle a jeudi inscrit sa démarche et sa vision de l’Europe dans celles de Viktor Orbán.

    Une Europe des Nations qui défend une civilisation aux racines chrétiennes, en lutte contre les excès du libéralisme et la domination de la finance et une politique de soutien à la natalité plutôt que le recours à l’immigration pour la relance démographique, voilà la vision soi-disant «autoritaire» d’Orbán.

    Désormais la droite patriotique française a trouvé des appuis partout en Europe et y puise une forte crédibilité. C’est une forme d’ironie de l’Histoire assez savoureuse qui fait que, bientôt, les partisans du repli incapables d’écouter ce que disent les autres dirigeants européens – et les peuples – s’appelleront Macron et Merkel !

    Sans surprise, Marion Maréchal a dénoncé la politique migratoire incontrôlée d’Angela Merkel en 2015 :

    Quand Merkel décide d’accueillir un million de migrants, elle les impose aux autres pays.

    Mais il était aussi particulièrement habile d’attaquer le président français depuis l’Italie, qui a subi ses foudres au moment de l’affaire de l’Aquarius :

    Macron a fait une grave erreur en insultant le peuple italien. Mais vous n’êtes pas les uniques victimes de son mépris. Il l’exprime également contre les Français.

    Macron ou le Mépris : en italien, comme en français, cela sonne juste.

    Pascal Célérier

    http://www.bvoltaire.fr/marion-marechal-choisit-litalie-pour-attaquer-macron-et-merkel-sur-limmigration/