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immigration - Page 841

  • LES HERBIERS : BRAS DE FER ENTRE MUSULMANS ET MUNICIPALITÉ

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    Dans notre pays qui brandit la laïcité comme un étendard, certains ne comprennent pas (et c’est bien naturel) ce que la notion recouvre. Sans revenir sur la question, déjà traitée maintes fois, d’une définition du terme laïcité et de son interprétation à la française, force est de constater que beaucoup de musulmans qui vivent chez nous semblent s’en moquer comme d’une guigne.

    Aux Herbiers, commune de Vendée autrefois combattante pour Dieu et le roi, une salle de prière est affectée aux pratiquants de l’islam. Une salle gracieusement mise à disposition par la mairie depuis 2009, qui accueillait à l’époque une vingtaine de fidèles. Les hommes en bas, les femmes en haut, ils sont désormais 130 dans 74 m². Ce qui, quand on se prosterne au sol, entraîne un encombrement évident. Les musulmans du coin réclament donc une salle plus grande à la mairie, qui refuse.

    La municipalité ne veut rien entendre. Le président de l’association cultuelle locale estime que « s’il y a un accident il y aura de la casse ». Sans aucun doute, et nul ne le souhaite. En réalité, les vraies questions sont ailleurs.

    La première est simple : pourquoi la ville mettrait-elle à la disposition des musulmans une salle de prière ? Légalement, elle n’y est pas tenue. Si elle met à disposition des catholiques une église, c’est parce qu’elle en est devenue propriétaire à l’occasion d’événements historiques particuliers alors que l’édifice a été construit par et pour les chrétiens, et a toujours eu cette affectation. Rien de tel pour les musulmans, qui n’ont pas construit de mosquées – confisquées par l’État – dans les siècles passés. Les musulmans peuvent donc librement chercher une pièce plus adaptée, cela relève de leur seule responsabilité – sous réserve du respect de l’ordre public et de la sécurité.

    La seconde est moins simple : pourquoi ces fidèles mahométans se croient-ils autorisés à revendiquer quelque chose qu’ils savent parfaitement illégal ? Peut-être considèrent-ils qu’ils sont en terre d’islam, et que l’État doit leur assurer en tous temps et en tous lieux un lieu de culte ? Peut-être est-ce une manière de faire pression, de se victimiser par comparaison avec les chrétiens et de clamer que la France les empêche de prier librement ? Ils savent que de nombreux idiots utiles se rallieront à leurs lamentations et agiront pour « l’égalité » avec les autres religions, en oubliant le caractère historique de l’implantation chrétienne en France.

    Enfin, comment expliquer que, d’une vingtaine de fidèles en 2009, la population pratiquante des Herbiers soit passée à 130 moins de dix ans plus tard ? Alors que, pendant ce temps, les assemblées dominicales se sont sans doute encore réduites et qu’il faut faire plusieurs kilomètres le dimanche pour aller à la messe dans une église voisine ? Les Herbiers, ce n’est pas Saint-Denis. Au cœur du vieux bocage vendéen, sur une terre nourrie du sang des massacrés de 93, dans ce pays qui s’est soulevé lorsque la République a prétendu lui enlever ses prêtres et envoyer ses enfants se faire tuer aux frontières, la présence d’une aussi importante communauté interroge. Combien sont-ils, pratiquants ou non, à vivre ici, en France rurale et traditionnelle ?

    Les Herbiers, à deux pas du Puy du Fou, chez Philippe de Villiers, terre musulmane ? À Dieu ne plaise que non.

    http://www.bvoltaire.fr/herbiers-bras-de-fer-entre-musulmans-municipalite/

  • Angleterre : Tommy Robinson condamné et incroyablement censuré

    6a00d83451619c69e20224df3674b5200b-250wi.jpgLu dans Valeurs Actuelles :

    "La condamnation à 13 mois de prison du militant nationaliste britannique et journaliste indépendant, Tommy Robinson, arrêté alors qu’il filmait en direct sur Internet devant le tribunal de Leeds, où se tenait un procès supposé de prédateurs sexuels indo-pakistanais, suscite une avalanche de critiques.

    Le cofondateur et ancien porte-parole de l’English Defence League (EDL), un mouvement identitaire qui s’oppose à l’immigration massive et à l’islamisation du Royaume-Uni, a été arrêté ce vendredi 25 mai pour « atteinte à l'ordre public » à l'entrée du bâtiment pendant qu’il interpellait plusieurs hommes quittant le tribunal, qui lui ont répondu par des injures.

    « C'est ridicule ! Je n'ai pas dit un mot, je n'ai rien fait ! » Sur une vidéo virale, diffusée sur Facebook et visionnée plus de trois millions de fois, on peut voir Tommy Robinson demander les raisons de son arrestation, réclamer plusieurs fois la présence d’un avocat et déclarer aux policiers : « C’est la liberté d’expression, voilà où on en est ! »

    Le même jour, le militant de 35 ans, déjà condamné avec sursis pour « outrage au tribunal » en 2017, écopait de 13 mois de prison ferme et était envoyé directement en détention, a rapporté Fox News. Dans son jugement, le juge a même interdit aux médias britanniques de couvrir l’affaire pour éviter de compromettre le procès des pédophiles présumés.

    Selon une source, contactée par la chaîne américaine, l’avocat de l’activiste s’inquiète que la sentence, compte tenu de la présence de membres de gangs musulmans en prison, ne soit une condamnation à mort : « L’avocat de Tommy a dit qu’il mourrait probablement en prison étant donné son profil et de précédentes menaces crédibles, et le juge a dit qu’il s’en moquait. »

    Après avoir publié des articles sur l’affaire, les organes de presse anglais les ont brutalement censurés de leurs sites pour se soumettre à la décision orwellienne du juge, ajoutant à la colère de nombreux internautes. Ses soutiens ont diffusé le hashtag #FreeTommy sur Twitter et ont même manifesté samedi devant le 10 Downing Street, la résidence du Premier ministre Theresa May, restée silencieuse. [...]

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • “Mamoudou”, un héros presque parfait - Journal du Mardi 29 Mai 2018

  • Complicité

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    par Louis-Joseph Delanglade

    3948404292.jpgEn utilisant dans son intervention du 22 mai l’expression « deux mâles blancs » pour parler de M. Borloo et de lui-même, et justifier ainsi son rejet du « plan banlieues » concocté par celui qui fut ministre délégué à la Ville et à la Rénovation urbaine de M. Chirac, et qui est considéré on ne sait trop pourquoi comme une autorité indépassable en la matière,

    M. Macron a commis une faute grave. Il a peut-être cru faire un bon mot, conseillé en cela par un communicant irresponsable : on rejette le plan (d’un coût de quarante-huit milliards tout de même) mais on donne satisfaction aux plus extrémistes des « post-colonisés » en reprenant leur langage, lui-même formaté par celui de mouvements américains conjuguant féminisme et racialisme. 

    Son propos aurait même pu être franchement ironique, à prendre au second degré donc, de la part de quelqu’un qui, quelques années plus tôt affirmait ne pas avoir à « [s]’excuser d'être un jeune mâle blanc diplômé » (extrait non publié - ce n’est pas anodin - de l’entretien accordé en 2010 au magazine des anciens élèves de Sciences Po). Il aurait alors fallu comprendre quelque chose comme : vous [M. Borloo] et moi [chef de l’Etat] ne devons plus nous conduire comme des « post-coloniaux », cessons d’infantiliser les habitants des banlieues - « nos semblables, nos frères » - qui s’en sortiront bien tout seuls… Une pirouette verbale qui paraît quand même peu probable. 

    En fait de bon mot, M. Macron a choqué sur le fond et sur la forme. Sur la forme, le chef de l’Etat aurait d’abord pu comprendre par lui-même, et sans l’aide d’un conseiller, la vulgarité de l’expression : pour parler net, « mâles blancs » suppose en toute logique l’existence de « femelles noires », en tout cas pas ou peu blanches, lesquelles femelles peupleraient donc en partie nos chères (ici, double sens garanti par la rédaction) banlieues. La langue est sans pitié pour les apprentis-sorciers et on voit quels abîmes côtoie ainsi M. Macron. 

    Sur le fond, il aurait eu en fait grand intérêt à lire deux ouvrages très récents, deux enquêtes sérieuses sur les banlieues. Dans le premier, La Communauté(Albin Michel), deux journalistes, Mmes Bacqué et Chemin montrent comment la petite ville de Trappes est devenue ce qu’elle est aujourd’hui (…), le fil conducteur étant bien la religion musulmane. Dans le second, La Tentation radicale (PUF), deux spécialistes, M. Galland et Mme Muxel, montrent que le terreau de la radicalisation islamique est moins socio-ethnique (comme le prétend une certaine presse) qu’idéologique. 

    Oui, M. Macron a eu raison d’opposer une fin de non-recevoir aux quarante-huit milliards du plan Borloo : nous avons déjà assez donné et pour rien. Mais, si les mesures annoncées contre la drogue et la radicalisation relèvent de la bonne intention, mais pas plus, celles sur les avantages à accorder (permis de conduire, primes de crèche, bourses de stage, « testing ») sont purement démagogiques. Ces dernières en effet occultent le vrai problème, celui que ni M. Macron ni M. Borloo n’ont voulu nommer et qui tient en une équation : immigration incontrôlée + islam =  communautarisation = rejet de l’appartenance à la France. D’où l’existence des « mâles blancs », conséquence et non cause d’un racisme anti-blanc dont M. Macron s’est fait, ce 22 mai, le complice peut-être inconscient mais certainement objectif.

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Samedi dernier à Aix-en-Provence : Manifestation du Bastion social pour la préférence nationale

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    Source Lengadoc info cliquez ici

    Le Bastion Social manifestait ce samedi 26 mai à Aix-en-Provence pour réclamer la « préférence nationale ». Un des responsables de ce mouvement social et patriote nous explique en quoi cela consiste.

    Lengadoc Info : Le Bastion Social a appellé à manifester samedi dernier à Aix-en-Provence pour la « préférence nationale », en quoi cela consiste-t-il ?

    Jérémy Palmieri : Le Bastion social a choisi comme thème de sa campagne nationale « la préférence nationale » pour diverses raisons. Tout d’abord parce qu’il s’agit d’un thème fondamental mais bien trop souvent délaissé par ceux de notre « camp ». Nous ne voulions pas laisser à l’abandon ce sujet qui, à l’heure actuelle, est d’une urgence vitale.

    C’est un sujet sérieux car il englobe tous les aspects de la société. Sur le plan économique avec les problématiques de mondialisation, de démantèlement de notre industrie et donc des délocalisations et du recours aux travailleurs détachés. Cette stratégie économique ne produit que du chômage, de la paupérisation. On oublie trop souvent que nous sommes capables de produire en France mais surtout de produire français. Ensuite, l’immigration qui ne cesse d’augmenter devient problématique pour un certain nombre de choses : elle pose un problème pour parler techniquement de demande et d’offre. Nous ne sommes plus en capacité d’accueillir des flux de personnes, alors que nous sommes en difficulté pour loger décemment, et offrir un emploi non précaire à chacun de nos compatriotes. Par ailleurs cette immigration pose problème sur le plan culturel. Les immigrés extra-européens ne souhaitent pas s’assimiler à la culture française, et adoptent des modes de vie communautaire.

    De plus, ces derniers sont le véritable outil du capitalisme qui voit chez eux uniquement une main d’œuvre à bas coût et donc un moyen de faire pression à la baisse sur les salaires des nationaux.

    Cette colonisation migratoire va dans le sens des mondialistes qui ne veulent que la création d’un monde uniformisé. Nous, au contraire, sommes les défenseurs des identités, enracinées sur leur terre.

    Sur le plan social, et notamment sur l’aide aux plus démunis, nous dénonçons l’incohérence de l’État plus enclin à aider les étrangers avec des prestations sociales non méritées que ses propres concitoyens, qui parfois ont cotisé ou ont contribué à l’effort national toute leur vie. Nous pensons aux retraités pauvres, aux anciens combattants mais aussi aux mères de famille isolées, aux travailleurs précaires et mal logés.

    Lengadoc Info : Cette préférence nationale, finalement, elle existe déjà en France dans le domaine de la culture avec « l’exception culturelle » et elle n’est pas remise en cause. Pourquoi l’extension de ce principe à d’autres domaines pose problème ?

    Jérémy Palmieri : Vous avez souligné là une belle ambiguïté. Cette extension pose problème, certes. Mais à qui ? Il faut répondre à cela. Elle pose problème à nos élites, aux gens bien intentionnés, aisés et privilégiés. Loin de nous la volonté de rentrer dans une rhétorique de lutte des classes. Voyons les choses en face. La préférence nationale heurte les bonnes consciences et leur idéologie dépassée. Les hommes politiques ont vocation, pour agir dans l’intérêt du peuple à coller au réel et à se rendre compte des énormes fractures générées par des choix politiques lâches qui ont consisté à acheter la paix sociale. Avec nos activités sociales, nous rencontrons chaque jour des Français qui souffrent, qui se sentent complètement abandonnés par l’État. Il ne s’agit pas de prétendre que nous sommes du peuple, ou avec le peuple comme le fait l’intégralité de la classe politique, pour se vernir d’un peu de bonne conscience. Nous pensons que la solution politique passe par la préférence nationale et en agissant à notre niveau, nous sommes certains de faire bouger les lignes et de palier les carences mortelles de l’État. Bien évidemment la première mesure d’urgence à prendre pour stopper l’hémorragie due aux coups portés par la politique menée depuis 40 ans et à l’origine des conséquences susmentionnées est la suppression du droit du sol. Nous en demandons sans aucune concession la mise en œuvre.

    Pour finir, je rajouterai qu’il faut donner une véritable définition d’un Français à savoir : être un Européen de langue et de culture française. C’est pourquoi, nous exigeons l’abolition du droit du sol pour faire primer le droit du sang. Être Français n’est pas une question administrative.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2018/05/28/samedi-dernier-a-aix-en-provence-manifestation-du-bastion-so-6055190.html

  • Conseil de l'Europe : confrontation entre les Droits de l'Homme et la Charia

    6a00d83451619c69e20223c84ed1c1200c-800wi.jpgDe Nicolas Bauer suir l'ECLJ :

    "Depuis janvier 2016, la discussion à l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe (APCE) d’un rapport sur l'incompatibilité de la charia islamique avec les droits de l'homme se fait attendre. L'ECLJ a pu consulter sa version la plus récente, datée du 19 avril 2018, qui montre avec lucidité l'échec et l’impossibilité de l'intégration de l'islam dans le système de protection des droits de l'homme. Des stratégies dilatoires sont utilisées afin d'éviter le débat autour de ce rapport, qui déplaît à la fois aux pays musulmans et aux idéologues progressistes. Le député hollandais Pieter OMTZIGT (PPE/DC), initiateur de la proposition de résolution demandant la réalisation du rapport, expliquait déjà à l’ECLJ en février 2017 : « Les choses n'avancent pas très vite mais cela devrait être fait cette année ». L’examen de ce rapport sur la charia était à l'ordre du jour de la Commission des questions juridiques et des droits de l’homme de l'APCE le 25 avril 2018, mais a été annulé le matin même.

    Cette procrastination semble liée aux pressions de la Turquie et de son affidé l’Azerbaïdjan sur le rapporteur Antonio GUTIERREZ (PSOE). Ces deux pays avaient contribué à écarter de la rédaction de ce rapport les députés connus pour être critiques sur l’islam, en particulier Pieter OMTZIGT, qui avait rassemblé 27 députés pour demander ce rapport et était donc pressenti pour être rapporteur. Contrairement à l’usage, un autre député a cependant été désigné, Meritxell MATEU (ADLE), qui a quitté l’APCE et a été remplacé par Antonio GUTIERREZ. Ce dernier n’avait pas signé la proposition de résolution demandant ce rapport sur la charia et a été élu rapporteur avec le soutien des députés de la Turquie et de l’Azerbaïdjan. En ajournant l’examen du rapport par la Commission des questions juridiques et des droits de l’homme, Antonio GUTIERREZ retarde le vote et l’adoption de la résolution qui pourrait en découler. Ce report de réunion en réunion vise-t-il à ce que le rapport sur la charia tombe aux oubliettes ? [...]

    Le rapport sur la charia a le mérite de trancher avec le droit international actuel et d'adopter une conception objective de l'islam. Il reconnaît notamment que tous les musulmans doivent obéir à la charia (§ 8), en citant le Coran : « A chacun de vous Nous avons assigné une législation et un plan à suivre » (Coran, V, 48). Cette même charia, dont le contenu est lui aussi objectif, a déjà été déclarée dans l’arrêt Refah Partisi de la CEDH « [incompatible] avec les principes fondamentaux de la démocratie, tels qu’ils résultent de la Convention ». De même, le système multijuridique qui en découle, impliquant la discrimination des chrétiens et des juifs (dhimmis) et le mépris envers les « kouffars » (polythéistes, athées ou assimilés), « enfreindrait indéniablement le principe de non-discrimination des individus dans leur jouissance des libertés publiques ». Dans le même arrêt, les juges de Strasbourg ont rappelé que « chacun peut suivre dans sa sphère privée les exigences de sa religion ». Cependant, le rapport sur la charia montre bien qu'empêcher les musulmans d'appliquer et de défendre la charia publiquement revient à leur demander d'abandonner un pan essentiel de leur religion. L'islam est donc implicitement reconnu comme contraire à la Convention européenne et il est par conséquent demandé aux musulmans d'être moins musulmans.

    Si, comme le montre le rapport sur la charia, des éléments consubstantiels à l'islam sont contraire à la Convention européenne, que doit-on faire avec les musulmans vivant en Europe en grand nombre ? Quelles conséquences les États membres doivent-ils tirer de ce constat d'incompatibilité en ce qui concerne notamment leur rapport avec l'islam ou les politiques d'immigration ? C'est bien pour éviter d'ouvrir ces débats que des manœuvres dilatoires retardent et tentent d'empêcher toute discussion autour du rapport sur la charia."

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  • Plan banlieues : conférence de presse de Marine Le Pen à l'Assemblée nationale (23/05/2018)

  • Pourquoi l’organisation d’un « islam de France » pacifique et représentatif est impossible – Sébastien Froment (Les Identitaires)

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    Depuis les années 80 et l’affaire du voile à Creil, la question de la « gestion » de l’islam en France a été une préoccupation constante des différents pouvoirs politiques qui se sont succédés. Au fur et à mesure de l’avancée de l’islamisation, la volonté de faire émerger des interlocuteurs de la communauté musulmane n’a cessé d’être à l’agenda. L’objectif : parvenir à avoir le contrôle de l’islam via des instances supposées être représentatives. Concrètement, ce fut bien souvent une illusion de domestication, au profit d’une soumission quant à elle bien réelle.

    Dès 1999, Jean-Pierre Chevènement, alors ministre de l’Intérieur, organise une consultation rassemblant toutes les fédérations musulmanes, les grandes mosquées et certaines personnalités et leur soumit un texte qui ne pouvait « faire l’objet d’une négociation ». Pourtant, devant la bronca suscitée par quelques lignes souhaitant consacrer « le droit de toute personne à changer de religion ou de conviction », Chevènement décida finalement de retirer discrètement le passage polémique à la grande satisfaction des autorités musulmanes, l’UOIF (proche des islamistes des Frères musulmans) en tête.

    En 2003, c’est au tour de Nicolas Sarkozy de vouloir remodeler l’organisation du culte musulman (avec la création d’une nouvelle structure, le CFCM – Conseil Français du Culte Musulman) au prétexte qu’il ne voulait pas d’un « islam en France », mais un « islam de France »… Mais cette volonté d’un islam francisé s’écroule très rapidement : dès la première élection des représentants du CFCM, les islamistes de l’UOIF arrivent en 2e position, devant la Grande Mosquée de Paris et son médiatique recteur Dalil Boubakeur. Par un tour de passe-passe permettant de surmonter ce résultat problématique, c’est néanmoins ce dernier qui obtient la présidence du CFCM.

    Cette ambigüité va contribuer à créer un fossé qui ne va aller qu’en s’accroissant au fur et à mesure des années. L’UOIF marginalisée au sein du CFCM, Dalil Boubakeur décrédibilisé au sein de la communauté musulmane pour sa supposée trop grande proximité avec le pouvoir politique, l’essor du salafisme en dehors du CFCM et la « radicalisation » progressive d’une partie importante des musulmans de France ont contribué à créer une scission entre la base de cette communauté et des dirigeants souvent perçus comme illégitimes ou peu représentatifs.

    Maladroitement, de nombreuses célébrités médiatiques et politiques essayeront de pallier à l’échec du CFCM par la promotion de personnalités, pensant naïvement qu’ils parviendraient à imposer par le haut des représentants à la communauté musulmane. Ce fut tout l’inverse : la mise en avant d’un individu comme l’imam Chalgoumi (dont le parcours est trouble : il fut fiché dans les années 90 pour avoir appelé au djihad dans ses prêches), présenté comme un « imam républicain », quasi-analphabète et ne cessant de dénoncer l’extrémisme islamique fut ressenti comme une forme de trahison, et eut pour conséquence d’accroître encore cette défiance.

    Suite aux attentats de Charlie Hebdo, bien qu’officiellement ces attaques n’aient eu « rien à voir avec l’islam », le gouvernement socialiste se hâta de réformer l’organisation des musulmans de France avec la création d’une Fondation pour l’islam de France. L’objectif était de parvenir à une instance « plus représentative » mais « sans extrémistes ». Soit l’équation impossible à résoudre (d’ailleurs des dirigeants de l’UOIF y participèrent). Car soyons clair : pour qu’elle soit réellement emblématique, une représentation des courants ouvertement salafistes serait nécessaire. Or c’est impossible. Du coup, le serpent se mord la queue.

    Plusieurs groupes salafistes l’ont bien noté. Certains réclament (avec un sens stratégique certain) la fin de l’islam consulaire où les imams sont envoyés par des pays étrangers (Algérie, Maroc et Turquie notamment). « Nous voulons des imams français et des représentants français ! » disent-ils sournoisement. L’objectif est en réalité simplement de prendre le contrôle des mosquées pour en finir avec l’islam « bledard » pas suffisamment salafiste à leurs yeux.

    Pour chaque gouvernement, (et la question se pose actuellement pour le gouvernement de Macron) l’organisation communautaire des musulmans de France est un véritable casse-tête, encore plus aujourd’hui à l’heure du djihad et des attentats islamistes incessants. Auparavant, le pouvoir politique pouvait choisir les représentants de la communauté musulmane, ces derniers montraient patte blanche en chantant les louanges de la République sur les plateaux télé et recevaient en retour des facilités, notamment pour construire des mosquées. Ce n’est plus -autant- possible aujourd’hui. Une méfiance s’est largement répandue au sein de la population française envers ces représentants communautaires au discours qui sonne faux. De l’autre côté, une large part de la communauté musulmane perçoit une partie de ces porte-parole comme des traîtres. L’équation est impossible à résoudre : faut-il intégrer les courants islamistes les plus durs dans des organes officiels et avoir une vraie représentativité des musulmans – mais en leur reconnaissant une légitimité – ou bien les ignorer et n’avoir de fait que des coquilles vides et accentuer le divorce ?

    Sur ce sujet comme sur d’autres, le réel poussera à renverser complètement le paradigme. En effet, dans les termes actuels, résoudre cette problématique de la représentativité des musulmans est impossible. Parce que la solution n’est pas là. La solution n’est pas « islam de France » ou « islam en France » mais islam hors de France ! Plus que jamais, seule la remigration, c’est-à-dire le retour dans leur pays d’origine d’une majorité de musulmans permettra de résoudre toutes ces crises paraissant aujourd’hui insolubles.

    Sébastien Froment

    Texte repris du site de : Les Identitaires

    https://fr.novopress.info/

  • Ramadan : police de la charia en France

    6a00d83451619c69e20223c84eb34e200c-800wi.jpgDeux Afghans ont été interpellés mercredi à Dijon soupçonnés d'avoir agressé dans un train une femme de 33 ans dont ils jugeaient la tenue trop décolletée en période de ramadan.

    Les deux hommes sont des demandeurs d'asile. Ils auraient insulté la jeune femme, une Dijonnaise d'origine égyptienne, et l'auraient poussée pour qu'elle décroise ses jambes. Les deux auteurs présumés auraient également voulu faire descendre la victime du train.

    Si l'on suit la jurisprudence Mamoudou, on régularise les sauveurs d’enfants et on expulse les délinquants et les criminels étrangers ?

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Mamoudou, l’incroyable récupération, par Caroline Parmentier

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    Il y a deux incroyables récupérations dans cette affaire. La façon dont Mamoudou, Malien sans papiers, a grimpé comme un… disons comme une araignée, de balcon en balcon, pour attraper un enfant suspendu dans le vide. Et la façon dont on nous explique que tous les migrants sont des héros et des chances pour notre pays. Et là, pas de « pas d’amalgame » qui tienne.

    Comment cet enfant de 4 ans s’est-il retrouvé suspendu par les mains dans le vide au 4e étage en l’absence de ses parents ? L’affaire reste à préciser. Son père a été placé en garde à vue. Toujours est-il que Mamoudou Gassama, 22 ans, a découvert la scène alors qu’il se rendait dans un bar pour suivre la finale de la Ligue des champions et, n’écoutant que son courage, a escaladé les balcons de la façade de l’immeuble avec une rare agilité, agrippant l’enfant par le poignet pour le remettre sain et sauf à ses voisins.

    Aussitôt une vague de jubilation s’est emparée des médias et des politiques. Mais aussi d’indignation : comment cet homme n’a-t-il pas encore ses papiers, sa naturalisation, c’est scandaleux, inimaginable, intolérable. Des pétitions circulent. Ahurissante interview de Jean-Jacques Bourdin lundi à 8 h 10 qui reçoit Mamoudou et son frère sur RMC. Bourdin quasiment en larmes, tout tremblant d’adoration, en remettant des louches et des louches sur la légende Mamoudou, le conte de fées pour enfants. Mamoudou (Mahomet chez les musulmans d’Afrique occidentale) est un migrant sans papiers arrivé du Mali il y a quelques mois sur un bateau de migrants. Et Bourdin raconte à sa place : « Vous avez eu peur, Mamoudou, vous avez eu faim, vous avez eu froid, vous étiez serré non ? Aujourd’hui vous avez sauvé un enfant, tout le monde vous aime, tout le monde est fier de vous, on va vous trouver un travail, on va vous naturaliser. »

    Enfin un héros selon leurs vœux. Ils en ont enfin trouvé un. Mamoudou devait être reçu dès lundi matin par Emmanuel Macron à l’Elysée. Anne Hidalgo l’a appelé personnellement et a twitté pour saluer son « geste héroïque » assurant que la ville de Paris aurait évidemment à cœur de le soutenir dans ses démarches pour s’établir en France (Anne Hidalgo ne twitte jamais quand un migrant est responsable d’un viol, d’une agression ou d’un vol).
    « Ceux qui crachent sur les migrants à longueur de journée »…

    Plus précis encore, Ian Brossat, adjoint communiste en charge du logement et de l’hébergement d’urgence, a adressé un « avis à ceux qui crachent sur les migrants à longueur de journée » : « Je n’imagine pas que Gérard Collomb le mette en centre de rétention. […] Nos quartiers, c’est aussi ça ! Quand on sait les propos qui sont tenus parfois sur les sans-papiers, ça permet un peu de réalité dans ce débat. »

    La réalité des migrants c’est ça. Ils sont comme ça ! Tous. Ils arrivent par bateaux entiers pour sauver nos enfants. A qui pensent-ils faire gober ça ? Eux qui dissimulent volontairement les agressions sexuelles de masse, qui trafiquent et qui « bobardent » à longueur d’années au service de leur idéologie. Dans un pays normal, Mamoudou serait le seul naturalisé en raison de son acte héroïque en effet. Et les dizaines de milliers de clandestins et de faux refugiés dont les associations exigent qu’ils soient « tous régularisés » seraient renvoyés chez eux.

    Caroline Parmentier

    Article paru dans Présent daté du 28 mai 2018

    https://fr.novopress.info/