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immigration - Page 843

  • En Italie, le mouvement fasciste qui a porté Mussolini est de retour

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    Marche des militants de CasaPound à Rome en juin 2017. Image Facebook/Youtube.

    CasaPound a joué un rôle central dans la normalisation du fascisme dans son pays de naissance. Maintenant, le mouvement essaie d’entrer au Parlement.

    Nous offrons ici à nos lecteurs une traduction de ce reportage paru le 22 février 2018 dans The Guardian, quotidien d’information britannique marqué à gauche. Texte original de Tobias Jones.

    Dans la nuit du 27 décembre 2003, cinq hommes ont pénétré par effraction dans un immense complexe de bureaux vides à Rome, juste au sud de la gare principale de Rome, Roma Termini. Quelques jours plus tôt, ils avaient fabriqué de faux tracts appelant le public à l’aide pour retrouver un chat noir perdu appelé « Pound ». C’était un moyen d’éviter les soupçons alors qu’ils surveillaient le bâtiment avant d’entrer par effraction.

    Rien n’ a été laissé au hasard: la date, entre Noël et le Nouvel An, a été choisie parce qu’il n’y aurait pas beaucoup de monde. Même le nom et la couleur du chat n’étaient pas anodins: « Pound » était un clin d’œil au poète et évangéliste fasciste américain Ezra Pound. Et le noir était la couleur associée à leur héros, Benito Mussolini. Ils avaient prévu de lancer une station de radio à l’intérieur de leur nouveau bâtiment appelé Radio Bandiera Nera – « Radio drapeau noir ».

    L’homme qui donnait les ordres cette nuit-là était Gianluca Iannone. A 30 ans, il était grand, costaud et brusque. Avec sa tête rasée et sa barbe épaisse, il ressemblait un peu à un Hells Angel. Il avait « me ne frego » (« Je m’en fiche » – le slogan utilisé par les troupes de Mussolini) tatoué en diagonale sur le côté gauche de son cou. Iannone était célèbre dans les milieux fascistes en tant que chanteur principal dans un groupe de rock appelé ZZA, et en tant que propriétaire d’un pub à Rome, le Cutty Sark, qui était un point de rencontre pour l’extrême droite de Rome.

    Les cinq hommes étaient nerveux et excités alors qu’ils travaillaient à tour de rôle sur la porte d’entrée en bois avec des pieds-de-biche. Les autres se rassemblèrent à proximité, pour observer et couvrir. Une fois que la porte eut cédé, ils se sont entassés à l’intérieur, la poussant derrière eux. Ce qu’ils ont découvert était époustouflant. Il y avait un grand hall d’entrée au rez-de-chaussée, un grand escalier et même un ascenseur. Il y avait 23 bureaux dans l’immeuble de sept étages. L’occupant précédent, une autorité administrative gouvernementale, avait déménagé une année auparavant, de sorte que l’endroit était gelé et humide. Mais c’était énorme, il couvrait des milliers de mètres carrés. La cerise sur le gâteau, c’était la terrasse: une grande toiture murée d’où on pouvait voir tout Rome. Les hommes s’ y rassemblèrent et se serrèrent dans leurs bras, sentant qu’ils avaient planté un drapeau au centre de la capitale italienne – dans un quartier sensible, Esquilino, qui accueillait de nombreux immigrants africains et asiatiques. Iannone surnommait leur bâtiment « l’ambassade italienne ».

    Ce bâtiment devint le siège d’un nouveau mouvement appelé CasaPound. Au cours des 15 années qui vont suivre, il ouvrira 106 autres centres à travers l’Italie. Iannone, qui faisait partie de l’armée italienne depuis trois ans, a qualifié chaque nouveau centre de « reconquête territoriale ». Parce que chaque centre était autofinancé, et parce qu’ils prétendaient « servir la population », ces nouveaux centres ont ouvert à leur tour des gymnases, des pubs, des librairies, des clubs de parachutisme, des clubs de plongée, des clubs de motocyclisme, des équipes de football, des restaurants, des boîtes de nuit, des salons de tatouage et des salons de coiffure. CasaPound semblait soudain partout. Mais il s’est présenté comme quelque chose au-delà de la politique: c’était de la « métapolitique », faisant écho à l’influent philosophe fasciste Giovanni Gentile, qui écrivit en 1925 que le fascisme était « avant tout une conception totale de la vie ».

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  • Des papiers français…what else?

    nationalite-francaise-konk.jpgLes réseaux sociaux, lieux d’expression de toutes les polémiques,  ont beaucoup commenté la décision de confier à une jeune française catholique, native d’Orléans, mais d’origine béninoise et polonaise, Mathilde Edey Gamassou, le soin d’incarner Jeanne D’arc lors des fêtes johanniques dans cette ville, qui a été victime d’attaques racistes. «C’est honteux ! Il faut que tout le monde comprenne que ces fêtes qui se déroulent chaque année sont là pour exprimer les valeurs que défendait Jeanne d’Arc», a rappelé il ya quelques jours  Marine sur BFMTV, «ce n’est pas un film (sur) Jeanne d’Arc, ce sont des valeurs d’engagement, ce sont des valeurs de foi. Et cette jeune fille, en l’occurrence, répond à tous les critères et ceci n’a évidemment strictement rien à voir avec la couleur de la peau.» Ce qu’a dit Marine est exact. Pour autant, nous ne sommes pas naïfs,  le choix de cette jeune fille n’est bien évidemment pas dénuée d’arrières pensées idéologiques et Renaud Camus a exprimé un avis assez répandu au sein de l’opposition nationale quand il écrit que s’il «n’est évidemment pas question — c’est encore trop d’avoir à l’écrire — d’insulter si peu que ce soit cette jeune personne, de mettre en doute sa sincérité, ou de lui causer le moindre chagrin (…), il reste qu’il n’est pas possible non plus d’envisager cet épisode en dehors (…)  du contexte historique, démographique, ontologique.»  En l’espèce, celui  «du changement de peuple imposé, du remplacement ethnique, du génocide par substitution. Voici que la Pucelle d’Orléans, d’héroïne de la résistance qu’elle était, devient emblème du consentement, de la résignation, de la soumission. Et encore il faudrait applaudir, remercier.»

    «De Gaulle a dit là-dessus tout ce qu’il y avait à dire (…) et sa phrase fameuse est plus que jamais d’actualité, selon laquelle c’est très bien qu’il y ait des Français jaunes, des Français noirs, des Français bruns, mais à condition qu’ils restent une petite minorité : Sinon, la France ne serait plus la France». Rappel  de la pensée du fondateur de la Ve république sur cette question qui avait suscité un tollé quand celle-ci fut énoncée aussi par le député européen LR Nadine Morano en octobre 2015, courage peu courant dans les rangs de la droite couchée  devant le magistère moral,immigrationniste de la gauche et des lobbies mondialistes, qui lui avait valu le soutien formel  de Bruno Gollnisch (ici et ici).

    Mme Morano, dans la nuit de lundi à mardi, a encore créé l’émoi en réagissant sur  twitter à l’attitude de la militante communautariste associative Rokhaya Diallo, particulièrement virulente sur C8 quelques heures auparavant  lors de son échange avec le journaliste de M6 Bernard de la Villardière à propos du voile, du Hijab, dans lequel ce dernier voyait un signe  d’asservissement. L’élue LR a fustigé «l’intolérance, l’arrogance, la suffisance de la militante Rokhaya Diallo qui combat la culture, les racines de la France et fait la propagande scandaleuse de la régression de la femme avec le hijab. Française de papier.» Mme Diallo a répliqué qu’«il semblerait que cette femme qui a pourtant été ministre de la République ne me considère pas comme une vraie Française… Je me demande bien pourquoi» (sic).

    «Tout mon soutien à Nadine Morano à propos de son tweet sur Rokhaya Diallo: quel mal y a-t-il, en effet, à dire d’une écrivaine qu’elle est une Française de papier?», a tweeté pour sa part avec sa causticité habituelle le député frontiste du Gard Gilbert Collard.  Jean Messiha a également  pris la défense de Mme Morano en estimant que Mme Diallo est une «pimbêche idéologique», «pire que (les trois militantes gaucho-féministes ) Marlène Schiappa (secrétaire d’Etat à l’Egalité femmes-hommes), Caroline De Haas et (le député mélenchoniste) Clémentine Autain réunies.» Deux réactions retweetées par une  Nadine Morano assez peu sensible  ici au quand dira-t-on, au  politiquement correct,  ce qui l’a rend bien  évidemment plutôt sympathique.

    Le site de L’Obs a fait appel aux lumières de l’historien Gilles Richard pour décrypter ce terme deFrançais de papier, popularisé ces dernières décennies  par les interventions, les écrits des dirigeants du  Front National critiquant la folle politique d’immigration sans frein et de naturalisation massive. «Dans l’imagerie nationaliste,  affirme M. Richard, Français de papier renvoie à une identité purement administrative. A l’idée que le papier c’est léger, à la différence des racines. Rokhaya Diallo est née en France. Et les enfants d’étrangers nés en France sont français, ça date de la loi du 26 juin 1889, c’est un principe républicain ! Ça montre bien que les nationalistes ont quelques problèmes avec les principes républicains (sic)». «Ce langage, cette vision des étrangers, poursuit-il, vient du nationalisme à la fin du XIXe siècle et des Déracinés de Maurice Barrès. L’expression Français de papier fait écho à une vision très barrésienne des choses, l’idée selon laquelle les vrais Français seraient les personnes qui ont des racines françaises, qui sont nées les pieds dans la glèbe. L’idée qu’on est français par héritage. C’est très puissant comme image, parce que ça fait référence aux traditions paysannes, rurales…»

    Et  de conclure son propos: «l’expression utilisée par Nadine Morano pourrait concerner des millions de gens qui sont des Français de papier… Il y a sûrement des Français de papier qui votent pour Nadine Morano, de façon assez contradictoire d’ailleurs.Dans les années 1980-1990, j’ai moi-même exercé dix ans en tant que professeur d’histoire dans le lycée technique d‘Hénin-Beaumont. Mes élèves étaient français. Mais leurs noms étaient polonais, marocains, italiens… Certains d’entre eux votent peut-être aujourd’hui pour Steeve Briois !» Et bien, oui,  nous sommes en effet en mesure de vous le confirmer M. Richard, dans cette ville FN comme ailleurs!  Et notre  camarade Jean Messiha cité plus haut, mais il n’est pas le seul loin s’en faut, est aussi un bel exemple de ces Français d’origine étrangère qui se sont assimilés au peuple français, à  ses valeurs, à sa culture, qui ont  fait  leur sa très longue Histoire. Bref,  des Français qui aiment la France justement parce que son identité est  française,  qui pensent qu’elle doit la conserver,   et qui ce  sont  agrégés résolument  à notre communauté française, à cette« unité de destin dans universel » qu’est une nation selon la magnifique expression de José Antonio Primo de Rivera. 

    Mais est-ce bien le cas de Mme Diallo, est-il tout de même permis de se poser la question qui est tout sauf réductible à son taux de mélanine comme elle aimerait nous le faire croire?  Chroniqueuse ayant micro ouvert dans de très nombreux médias,  réalisatrice et essayiste (de niveau très moyen), elle s’est  spécialisée dans la dénonciation du racisme d’Etat, «institutionnel», des méchants blancs, des souchiens,   d’une  discrimination dont souffrirait notamment les musulman(e)s dans notre pays. Fondatrice de l’association Les Indivisibles, qu’elle présida de 2006 à 2010, Mme Diallo  milite  comme elle le dit  pour une « république multiculturelle et post-raciale »…quand bien même Mme Diallo racialise elle même  à outrance tous les débats et les questions avec cette incohérence intellectuelle et ce confusionnisme dialectique qui sont  le propre du lobby dit antiraciste. Un projet multiculturaliste  que nous sommes en  droit de juger mortel pour l’unité de notre pays, contraire à l’esprit de ses institutions,  au génie français, à la nature, à l’essence même de ce qu’est la France.

    Pareillement, il est tout sauf  anodin  que Mme Diallo, qui, comme Houria Bouteldja,   a pris fait et cause  cause pour les  rappeurs auteurs de la chanson nique la Francesoit membre des  Young Leaders de la French-American Foundation (certes comme Laurent Wauquiez, Alain Juppé, François Hollande, Édouard Philippe, Emmanuel Macron…) , repérée par les services de l’ambassade américaine  sous le règne de Barack Obama comme «un leader potentiel»,  un agent d’influence  pour promouvoir en France et dans la vieille Europe les lendemains  qui chantent  du multiculturalisme obligatoire et planétarien. Alors oui, Mme Diallo a des papiers français, c’est incontestable. What else?  

    https://gollnisch.com/2018/02/28/papiers-francais-what-else/

  • Les bailleurs sociaux ont l’obligation de réserver au moins un quart des attributions aux immigrés

    Minute dénonce cette préférence étrangère instaurée sous Macron:

    6a00d83451619c69e201b8d2de456e970c-250wi.png"[...] Le 12 décembre dernier, tous les préfets de France et de Navarre, ceux de région comme ceux de département, ont en effet reçu une circulaire comminatoire et sans appel cosignée par le ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb, et par le ministre de la Cohésion des Territoires, Jacques Mézard. Il s’agit d’une « instruction relative au relogement des personnes bénéficiaires d’une protection internationale », c’est-à-dire les réfugiés.

    Sur les 55 000 migrants qui occupent déjà les structures d’accueil officielles, 18 000 ont reçu l’autorisation de rester en France. Il faut donc leur offrir un « logement durable ». Dans son courrier, Gérard Collomb annonce que l’heure est grave : « Au regard du nombre de personnes ayant accédé au statut de protection depuis 2016 ainsi que du nombre prévisible de protégés à venir dans les prochains mois, y compris dans le cadre des programmes européens de réinstallation, ce sont plusieurs dizaines de milliers de personnes, bénéficiaires d’une protection internationale, qui seront en besoin de relogement en France d’ici fin 2018. ». Des dizaines de milliers ? « Il est estimé qu’environ 60 000 réfugiés chercheront un logement d’ici fin 2018 », précise la circulaire dans une note en bas de page !

    Dans ce contexte, le ministre a lancé « un objectif national de mobilisation de logements destinés aux bénéficiaires d’une protection internationale [qui] est fixé à 20 000 logements d’ici la fin 2018 », et cela sur la totalité du territoire. Et ce sont bien les logements sociaux qui vont être réquisitionnés, puisque, les désignant nommément, Gérard Collomb écrit aux préfets : « Vous impulserez la contractualisation d’objectifs avec les bailleurs, s’ils n’existent pas déjà, en vous appuyant sur les instances compétentes en matière de logement des personnes défavorisées. » Car, et c’est là qu’est la ruse, le gouvernement estime que les réfugiés relèvent de l’article L441-1 du code de la construction et de l’habitat, lequel définit les conditions d’attribution des logements sociaux ! En conséquence, les bailleurs sociaux « ont l’obligation de réserver au moins un quart des attributions qu’ils maîtrisent à ce public » !

    Quand on connaît les difficultés que les Français les plus démunis rencontrent pour obtenir un logement social (certains glissant une pièce à l’employé de l’administration pour que leur dossier soit mis sur le dessus de la pile), on en reste comme deux ronds de flan. Surtout que pour s’installer dans leurs nouveaux pénates, ces étrangers ont droit à une prime pour pendre la crémaillère ! Le réfugié de base, dit « de droit commun », bénéficie d’une prime de 1 500 euros (majorée d’une aide à l’installation de 330 euros), quand le réfugié de luxe – celui qui a signé une convention avec le Haut Commissariat aux réfugiés – perçoit, lui, 4 000 euros ! [...]"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Préférence nationale pour la soupe populaire en raison du comportement des immigrés

    6a00d83451619c69e201b8d2ddee3e970c-200wi.pngEn Allemagne, les organisateurs de la soupe populaire à Essen ont déclaré :

    «En raison de l'augmentation du nombre de réfugiés au cours des dernières années, la proportion de citoyens étrangers parmi les personnes servies est montée à 75%. Pour permettre une intégration sérieuse, nous sommes obligés, pour l'instant, de n'accueillir que des personnes avec un passeport allemand».

    Cette décision a fait scandale.

    Les responsables locaux de la soupe populaire d'Essen ont dénoncé le comportement de certains réfugiés: «manque de respect envers les femmes» ou encore «bousculades» dans les files d'attente. Certains demandeurs d'asile se comporteraient en «profiteurs».

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • ISLAMISATION DE LA FRANCE : BERNARD DE LA VILLARDIÈRE TIENT BON !

    Dans une confrontation avec Rokhaya Diallo, le journaliste persiste sur la signification du port du voile islamique.

    http://www.bvoltaire.fr/islamisation-de-france-bernard-de-villardiere-tient/

  • Du respect, du courage, du cas Jean-Marie Le Pen…

    Le site de la chaine cnews a publié le 21 février dernier un témoignage de Robin V.,  caissier de supermarché en Ile-de-France, métier on le sait qui n’est pas facile, peu épanouissant,  lequel  « a entrepris de raconter sur Twitter l’enfer que lui font vivre les clients.» Du moins certain d’entre eux  dans un lieu  qui accueille toutes les catégories sociales. Au nombre des anecdotes qu’il cite, il évoque l’accusation suprême de racisme dont les employés sont victimes de la part des client(e)s pris notamment en flagrant délit de vol (mais pas que);  accusation qui semble avoir valeur de passe-droit pour tous les pseudo discriminés qui la prononce, lesquels ont bien intégré le catéchisme gauchiste véhiculé dés le jardin d’enfant dans notre société déboussolée… «En préambule de son récit ( ce caissier) a indiqué (…) être insulté dans tous les sens, sans raison». Selon lui, «les gens ont perdu la notion du respect en France. Alors qu’il a travaillé au Royaume-Uni, il estime que les clients français devraient s’inspirer des clients britanniques» qui, eux, ont une attitude autrement plus urbaine. De respect,  il est encore finalement question après l’éviction fracassante de la journaliste Aude Rossigneux de la chaîne internet lancée par des très proches de Jean-Luc Mélenchon, Le Media. Dans une lettre publiée sur le site Electron libre, Mme Rossigneux affirme avoir été licenciée sans ménagement de cette structure cornaquée par les responsables/commissaires politiques Sophia Chikirou, (ex PC, ex PS, ancienne candidate UMP, aujourd’hui directrice de la communication de Jean-Luc Mélenchon), et par le très bourgeois  ex maoïste  Gérard Miller qu’on ne présente plus. 

    Aude Rossigneux  évoque « une violence et une brutalité qui (la) laisse dans un état de sidération. Une brutalité qui n’est pas exactement conforme à l’idée que chacun se fait d’un management de gauche.» «Mon licenciement du Média m’a assommée au point que je n’étais pas en mesure de répondre comme je l’aurais voulu. Je suis arrivée au Média parce qu’on est venu me chercher. J’étais alors la femme de la situation, parée de toutes les vertus. Trop, peut-être… L’idée d’une télé différente, engagée mais libre, portée par ses téléspectateurs et non par l’argent, d’une rédaction unie par un idéal commun mais où seraient respectées les individualités m’a enthousiasmée. Je m’y suis lancée à corps perdu. » Mais  «dois-je porter seule la responsabilité des difficultés, des tensions, et des imprécisions de réglage ?» «Les troupes sont toujours motivées, mais épuisées, et pas loin du burn out, comme le montrent plusieurs arrêts de travail. »

    Toutes choses que M. Miller et Mme Chikirou démentent avec force, mais qui ne font pas les affaires d’une chaîne  qui a beaucoup de mal à trouver son public et dont l’écolo  Noël Mamère vient d’annoncer lui aussi son départ. Le très libéral Huffington Post s’arrête sur « les débats qui font rage entre ceux qui soutiennent (Mme Rossigneux) et ceux qui défendent le comité de pilotage. » Il est rapporté  la déception  d’un sympathisant, d’un contributeur (un socio)  apparemment partagée : « Alors comme ça, pour être différents des autres médias, pour se démarquer des magouilles capitalistes, pour prouver que nous sommes meilleurs, solidaires, démocrates, opposés au management des prédateurs capitalistes ou des machines à broyer staliniennes, la patronne Chikirou  se bollorise sans vergogne, impose un licenciement brutal, sans consulter les socios, sans dire un mot, avec le soutien maoïsant et silencieux du freudiste de service» (Gérard Miller, NDLR), «perso, je me retire». Il n’y a même plus de respect et de considération à l’extrême gauche pour le freudisme  et pour une épuration qui épure la révolution ?   L’heure est grave !

    Alors suggérons au moins au Média, conseil gratuit et désintéressé, d’ouvrir leur  plateau à des invités porteurs d’une pensée vraiment dissidente de celle d’un  Système dont M. Melenchon se veut le pourfendeur. Le magazine Marianne rapportait que certains acteurs  de cette chaîne souhaitait justement  inviter des personnalités dites d’extrême droite pour répondre à «l’objectif assumé (de)  faire vivre la confrontation des idées au sein de ce nouveau média qui se fait fort de lutter contre la pensée unique économique et politique. Ce type de programme aurait de surcroît le bon goût de montrer aux 17.000 socios (les futurs propriétaires du Média) que la chaîne n’est pas la télé Mélenchon décrite par ses contempteurs. Si certains députés macronistes ont déjà donné leur accord pour participer à une émission, ainsi que des éditorialistes engagés comme Eric Brunetla participation du Front National reste pour l’heure en suspens. En interne, le débat fait rage.»

    «Quelques journalistes militent ouvertement pour que ses responsables(FN) soient invités» mais  rapportait encore Marianne, «plusieurs poids lourds, comme le psychanalyste Gérard Miller», y sont formellement opposés… Ce qui a sa logique du point de vue d’un terroriste intellectuel comme  M. Miller,  partisan de interdiction du FN et peu doué pour le débat (vraiment) contradictoire . Alors,  courageux mais pas téméraire Le Media quand il s’agit de tirer toutes les conclusions de son opposition à la domination des grands canaux d’information par une poignée de gros groupes financiers, à  l’Europe bruxelloise et la doxa libre-échangiste?

    De respect pour le débat d’idées, il était encore question hier soir sur RTL,  au détour de l’émission   On refait le monde qui a notamment évoqué le cas Jean-Marie Le Pen, sa décision de ne pas se rendre  finalement au congrès du FN à Lille et incidemment  la publication du premier volume de ses mémoires. Il est bien évidemment parfaitement  loisible  de ne pas adhérer aux idées, aux valeurs, à la vision du monde, aux analyses historiques qui sont celles du fondateur du Front National. Comme toute personnalité politique, publique,  ses actions, ses décisions peuvent être critiquées, combattues,  dénoncéesCela ressort de la nécessaire libre expression des opinions dans une société démocratique dont les  journalistes sont normalement eux aussi  les garants.

    Tout juste peut-on tout de même souligner que les commentaires qui ont été faits  hier soir sur Jean-Marie Le Pen peuvent  interpeller, à l’exception d’un Ivan Rioufol beaucoup plus mesuré et sensé dans ses propos. Entendre le journaliste Nicolas Domenach affirmer que JMLP  a « raté son destin» et qu’il  «rate sa sortie»  du fait qu’il apparaît dans ses mémoires comme  «sommairement anti-gaulliste» (sic),  ressort pour le coup  de l’analyse… sommairement partiale et  capillotractée… Nous avons connu M. Domenach tout de même plus fin, quand bien même décrit-il dans le même élan un Jean-Marie Le Pen  « éclipsé par Marion et son pétainisme à sourire de Joconde». La formule est percutante mais verse allègrement dans l’anachronisme et le simplisme. Est-il si difficile de s’abstraire de la volonté grégaire de ne pas sortir du politiquement correct ? Est-il trop compliqué d’avouer  que le Menhir  avait vu juste sur beaucoup de sujets, pressenti et exposé les menaces actuelles avant tout le monde?  Qu’il a tout de même très largement contribué constate encore Bruno Gollnisch – et le chantier n’était pas mince ! -, à fédérer, à  arracher à la marginalité notre courant de pensée,  à faire de l’opposition nationale un courant majeur, incontournable de la vie politique française ?

    Mais le pompon a été décroché haut la main par l’ex directeur du CSA, le journaliste Roland Cayrol, membre de la  famille de la gauche libérale bon teint,   qui a péroré sur «le  parfait ridicule du personnage» que serait Jean-Marie Le Pen, ajoutant   que le président d’honneur du FN «passe pour le pleutre qu’il est. » Le coup de pied de l’âne  en quelque sorte de la part d’un homme au  parcours professionnel bien balisé , bien ouaté, bien  confortable, et  dont  les prises de position  très conventionnelles n’ont pas  brillé par l’expression d’un génie, d’une  audace et  d’un courage particuliers.  « Il y a peu de bonheurs qui ennoblissent, le bonheur de la lutte en est un» notait René Quinton. Jean-Marie Le Pen lui, avec ses qualités et ses défauts, ses succès et ses échecs, a lutté. A  contre-courant.  Conscient de la colossale difficulté  de la tâche de renaissance française qui est la notre, sachant comme  les militants nationaux qui l’ont soutenu et accompagné, comme les  actuels dirigeants du Front, comme Marine,  que «L’art de se faire accepter est, en grande partie, l’art de voiler sa liberté d’esprit» (Montherlant). Que nous importe d’être adoubé, accepté par des gens  qui sont profondément  démonétisés auprès de nos compatriotes ? Et  quel courage, quelles luttes, quelles libertés, quelles qualités peuvent  nous opposer les Cayrol et consorts ? D’où parlent-ils ?  Qui sont-ils pour nous jeter au visage leur arrogance,  leur mépris, leurs insultes ? Au nom de quelle autorité ? L’Histoire, les  Français jugeront.   

    https://gollnisch.com/2018/02/27/respect-courage-cas-jean-marie-pen/

  • Deux opposants à l’islamisation de la France sévèrement condamnés

    christine-tasin.jpg

    FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    C’est d’abord le fondateur de Riposte Laïque, Pierre Cassen, qui vient d’être condamné à trois mois de prison avec sursis, en qualité de directeur de la publication du site internet Riposte Laïque. Or, par un jugement en date du 3 mai 2017, ce même tribunal le relaxait au motif que le directeur de publication était Alain Jean Mairet, directeur de Riposte Laïque Suisse.

    Ce dernier, bien que citoyen suisse, a d’ailleurs été condamné à 8 000 € par la XVIIe chambre correctionnelle de la cour d’appel de Paris.

    En cause, un article d’un contributeur de Riposte laïque qui avait appelé à la remigration. Il n’en fallait pas moins aux associations droit-de-l’hommistes subventionnées pour réclamer leur « dû » : C’est ainsi que l’association de défense des droits de l’homme reçoit 1000€ de dommages et intérêts, SOS racisme touche-pas-à-mon-pote, 500 € et la Ligue des droits de l’homme, 500 €. Pierre Cassen finira-t-il en prison ou bien devra-t-il bientôt quitter la France « Terre d’Asile » ?

    C’est ensuite Christine Tasin qui perd son procès en appel.

    Elle avait été condamnée en première instance par la XVIIe chambre pour avoir appelé à scander « Islam assassin », à l’occasion d’une manifestation d’indignation au Trocadéro, en réaction à l’égorgement de deux policiers à Magnanville. Malgré l’horreur des circonstances du drame, qui ne semble pas avoir ému outre mesure le tribunal, Madame Tasin n’a pas bénéficié de circonstances atténuantes.

    Quant aux associations dénonciatrices, la LICRA et la LDH, elles empocheront chacune 2 000 € de dommages et intérêt.

    Pour Christine Tasin condamnée à payer 1500 € d’amende, le délit de blasphème est rétabli !

    En France, on a le droit d’être Charlie, mais pas d’être « Christine » !

    https://fr.novopress.info/209755/deux-opposants-a-lislamisation-de-la-france-severement-condamnes/

  • Ce qui paralyse la déradicalisation

    6a00d8341c715453ef01b8d2dd1f77970c-320wi.jpgUn nouveau plan dit de déradicalisation a été présenté ce 23 février par le gouvernement. Les esprits chagrins, dont votre chroniqueur peut éventuellement faire partie, ne manqueront pas de l'imaginer illusoire.

    Le Premier ministre, en effet, détaille certaines mesures techniques qu'il se propose de mettre en place. Hélas, il se retrouve dans une pile de 22 mesures du même type prises ou annoncées en 2014, 80 en 2016 et 60 en 2018 avec, désormais, l'école et la prison en tête des préoccupations et instruments.

    On n'oubliera pas ainsi que, dans les prisons françaises, on compte maintenant 512 terroristes islamistes détenus à ce titre (sigle administratif "TIS") auxquels il faut ajouter 1 139 prisonniers de droit commun identifiés comme radicalisés. Ceci sans parler des individus "fichés S" en liberté.

    Or, si l'on s'en tient aux déclarations d'Édouard Philippe, 250 détenus tout au plus pourront être évalués chaque année.

    On pourrait légitimement compare ces chiffres à ceux, assez flous mais bien plus modestes, des zadistes de Notre-Dame-des-Landes. Devant ces gauchistes et autres écolo-activistes, les pouvoirs publics ont piétiné pendant d'interminables années. On peut difficilement cultiver, dès lors, l'optimisme quant aux perspectives immédiates de la lutte contre l'islamisme radical.

    Nos concitoyens devraient donc s'interroger, une fois pour toutes, sur la paralysie des institutions et des médias face à ce phénomène personne ne pouvant ignorer qu'il menace de plus en plus notre société.

    L'immigration, l'islamisme, l'insécurité, ces trois sujets en "i" qu'on nous dit incorrect d'associer, reviennent ainsi en ritournelle dans la préoccupation des Français, débordant les médias.

    Les gouvernants successifs après un effort de négation incroyable depuis 30 ou 40 ans semblent même cependant avoir choisi, sinon d'y faire certainement face, du moins de changer légèrement de discours.

    On ne nous chante plus par exemple le refrain des loups solitaires. On l'aura entendu naguère en boucle chaque fois que frappaient, précisément, le contraire de la solitude, c'est-à-dire des réseaux. La mode change, conformément à son destin qui tend à la démoder. On nous parle donc désormais de déradicalisation mais aussi de pratiques administratives restrictives de l'invasion migratoire.

    Certes, mais qui croire ?

    Le 21 février, à l’Assemblée nationale Gérard Collomb ministre de l’Intérieur développait quelques points techniques de la loi asile et immigration que prépare le gouvernement. Le même jour on apprenait que Jean-Michel Blanquer, ministre de l’éducation qui se dit nationale, envisage pour sa part de serrer la vis aux écoles musulmanes. Telle est l'interprétation officieuse diffusée par les commentateurs agréés d'une proposition de loi portée par une sénatrice UDI. Cette dernière, Françoise Gatel, prévoit d’encadrer plus étroitement l’ouverture des écoles hors contrat. L’affaire a été débattue le 22 février au Sénat. Hélas, l'ambiguïté demeure, puisque le projet, s'il aboutit, pourrait bien atteindre aussi les écoles vraiment libres, catholiques notamment, qui ne produisent aucun terroriste, ceci contrairement à l'éducation dite nationale.

    Tout cet effort, pourtant limité, reste paralysé, dénigré, entravé par divers groupes, dont l'extrême gauche ne détient malheureusement pas le monopole.

    On entend parfois, certes, sur ce terrain, d'heureux réquisitoires contre un certain islamo-gauchisme. Figure emblématique de cette attitude, Edwy Plenel s'illustre ainsi à la tête de Mediapart. Pour ces militants du clavier, défendre l'islamisme, en niant, en sous-estimant, en révisant à la baisse l'horreur des crimes, revient à manifester cette sollicitude privilégiée pour l'étranger, dont une certaine gauche se réclame. Le musulman est ici confondu avec le Maghrébin.

    Ne nous dissimulons pas, en regard, que les ex-compagnons de route du parti communiste ou les ex-trotskistes ne sont, malheureusement, pas seuls en cause.

    Les bobos, mais aussi une certaine frange des habitants des beaux quartiers, ceux qui ne descendent jamais au métro Château d'Eau, les gens qui ne sortent de la gare du Nord que pour monter dans un taxi, restent eux aussi très généreux, avec ce qu'ils considèrent, au fond, comme une réserve naturelle de domesticité. Que leur grand cœur s'exerce aux frais des Français moyens, contribuables et corvéables à merci, cela n'échappe plus à personne.

    Pour eux, métaphoriquement, critiquer la prédication mahométane entrave le libre contrat de travail avec l'immigré éventuellement en situation illégale. Cette remise en cause indispose également les relations excellentes avec la clientèle des palaces parisiens.

    C'est donc bien cette attitude commune à toutes nos pseudo-élites qui paralyse par avance toute politique contraire à l'islamisme radical.

    JG Malliarakis 

    6a00d8341c715453ef01b8d2dd1f8a970c-320wi.jpgEn relation avec cette chronique

    "La France en danger d'islam" par René Marchand

    à commander en ligne aux Éditions du Trident :

    - sur la page catalogue de l'éditeur

    - ou par correspondance en adressant un chèque de 29 euros aux Éditions du Trident, 39 rue du Cherche-Midi 75006 Paris.

    http://www.insolent.fr/

  • Islamisme – Wassim Nasr : “Les précédentes politiques de déradicalisation étaient un échec”

    Déradicalisation-600x338.jpg

    Edouard Philippe a présenté vendredi 23 février à Lille un plan de 60 mesures du gouvernement contre “la radicalisation islamiste”.

    Wassim Nasr, expert de la mouvance jihadiste, analyse ce nouveau plan gouvernemental

  • L’islam de France est une imposture

    Emmanuel Macron sait qu’il y a une population musulmane très importante en France.

    Il sait que cette population va grandir encore et représenter une proportion croissante de la population française.

    Il sait aussi que, d’ores et déjà, des quartiers entiers de villes françaises sont à majorité musulmane, et que c’est même le cas de plusieurs villes en leur ensemble.

    Il sait que les quartiers musulmans sont ce qu’on appelle en langage édulcoré des « zones urbaines sensibles », donc, en réalité, des zones de non-droit où la loi française est remplacée par la loi des gangs et de l’islam.

    Il sait encore que les prisons françaises sont emplies de musulmans à hauteur de 70 % des détenus et sont à des degrés divers sous le contrôle d’imams.

    Lire la suite