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immigration - Page 843

  • BERNARD KOUCHNER : LES MIGRANTS POUR FAIRE REVIVRE NOS VILLAGES…

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    Cela faisait longtemps que le French doctor n’avait pas montré sa bobine à la télé. C’était face à Apolline de Malherbe, mercredi, sur BFM TV. Et pour dire quoi ? Que « l’accueil des réfugiés ordonné est une chance pour notre pays et surtout pour l’Europe ». Que c’est grâce aux migrants que les villages vont se « reconstruire ». Ah, mais quel manque de flair, pour le couple Kouchner, d’avoir préféré investir dans les beaux quartiers et des îles pour millionnaires plutôt que dans l’un de ces villages à reconstruire !

    Une chance, c’en est une, pour le couple Kouchner-Ockrent, que les migrants n’aient pas envahis les 5e et 6e arrondissements de Paris, où ils vivaient en 2009 depuis trente-cinq ans dans 250 mètres carrés – pour un loyer de 5.000 euros par mois, un montant 30 % inférieur à la moyenne du marché (L’Express). Une chance, encore, que les migrants n’aillent pas dans les stations de ski huppées comme à Morzine-Avoriaz, où ils sont les heureux propriétaires d’un gentil pied-à-terre, ni n’ont encore été expédiés à la résidence très privée de personnalités politiques, du show-biz, de banquiers, de patrons du CAC 40, le golf de Sperone, en Corse. Un endroit absolument idyllique où de luxueuses villas se disséminent, à peine visibles, dans le maquis. Du bateau, on aperçoit cependant celle du couple médiatique, construite en bois exotique, dominant la grande bleue avec, en contrebas, sa plage privée où est amarrée un modeste rafiot.

    Cela serait pourtant une chance, pour les migrants, de poser le pied à Sperone et d’aller partager leur richesse avec du si beau linge ! L’occasion unique de prendre des cours de finance, de comédie, de chant. Las : impossible ! Les Kouchner, les Mimi Mathy, les Bedos, les Bruel, les Bohringer, les Higelin (ils sont 180 défenseurs du multiculturalisme à y avoir posé leurs pénates) ont fait ériger un mur de trois mètres de haut afin que leur intimité soit respectée. Vraiment pas de chance, pour les migrants, qui auraient pu garder leurs villas tous les longs mois d’hiver et contribuer à faire vivre le golf alors désespérant mort. Et avec un Kouchner les ravitaillant, sacs de riz portés virilement sur l’épaule, ça en aurait, de la gueule…

    Bernard Kouchner, le spécialiste en repeuplement des campagnes par les migrants, donc. Et de prendre en exemple l’Italie. Eh bien, prenons, justement, l’exemple de San Alessio, en Calabre, sur lequel il s’est très certainement appuyé. Pour revivre, il revit, ce village de 300 âmes, perché à 600 mètres d’altitude.

    Depuis 2014, le SPRAR (un réseau d’accueil et d’intégration géré en partenariat avec les communes) permet, en effet, de donner du boulot. À ceux qui dispensent des cours d’italien, aux spécialistes du suivi juridique, aux médecins, psychologues, aux instituteurs, aux innombrables acteurs sociaux, aux formateurs professionnels en jardinerie, travaux manuels, cuisine et même musique. Il y a aussi ceux qui accompagnent les plus vulnérables : les séropositifs, les diabétiques, les handicapés, les victimes de réseaux de prostitution. Cerise sur le gâteau : chaque migrant reçoit 45 euros par jour et 50 euros tous les deux mois pour s’habiller. Mais attention, c’est grâce aux migrants que le bar, la supérette, la pharmacie n’ont pas disparu…

    Bernard Kouchner vante la reconstruction des villages grâce aux migrants ? Heureusement pour lui qu’il ne gère pas son patrimoine et ses revenus comme il préconise, en quelque sorte, de dépenser l’argent public…

    http://www.bvoltaire.fr/bernard-kouchner-migrants-faire-revivre-nos-villages/

  • Plan Borloo : encore des milliards pour les banlieues !, par Guy Rouvrais

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    Les insomniaques, au lieu de compter les moutons, pourraient tout aussi bien compter les « plans banlieues », tant ils sont nombreux, se succédant, depuis 1977, sous des appellations diverses, pour remédier aux maux dont souffriraient les « quartiers ». Tous les gouvernements de droite et de gauche en ont sorti au moins un, sous Jospin il y en eut même deux.

    Il eût été étonnant qu’Emmanuel Macron ne sacrifiât pas à ce qui est devenu un rituel, ne serait-ce que pour tenter d’échapper à l’appellation de « président des riches » ou, selon Hollande, des « très riches ». Il a confié cette mission à Jean-Louis Borloo que l’on croyait malade et retiré de la politique, mais qui, pour cette tâche, est sorti de sa retraite. Ce n’est pas un gage de renouveau, car il fut un des nombreux ministres qui lancèrent un plan banlieue ; celui qu’il élabora en 2005 devait faire merveille et rendre prospères et pacifiques les cités en question.

    Le fait qu’il faille régulièrement concocter un programme, souvent qualifié d’urgence, atteste de l’échec des précédents. Est-ce étonnant quand, à chaque fois, on applique les mêmes recettes, à savoir toujours plus d’argent déversé, accompagné de mesures de discrimination dites positives, en faveur des jeunes, notamment ?

    Il serait faux de dire que rien n’a changé en quarante ans, au contraire : la situation s’est aggravée. Entre 1977 et aujourd’hui, ces « territoires » perdus ne l’ont pas été pour tout le monde : les islamistes y ont instauré une société parallèle sur laquelle il règne en maîtres. Le trafic de stupéfiants, qui était artisanal lors du premier plan Borloo, est devenu une industrie organisée et prospère qui fait vivre des quartiers entiers.

    Mais dans les 19 mesures proposées par Jean-Louis Borloo dans le rapport remis au Premier ministre, qui a assuré qu’elles seraient appliquées, aucune ne concerne ces maux-là. Borloo arrose les banlieues de cinq milliards (48 milliards en tout évoqués pour ce « plan Marshall) et crée une « académie des leaders », à côté de l’ENA, concours sans exigence de diplôme, ouvert aux seuls jeunes des banlieues afin que la haute fonction publique soit diversifiée. Il y aura, certes, des sanctions mais elles ne concerneront que les administrations qui n’auront pas réduit les « inégalités territoriales », une nouvelle Cour d’équité territoriale pourra être saisie par toute personne physique ou morale s’estimant « discriminée ». Borloo veut instaurer également des quotas obligatoires d’embauche de « jeunes » de cité pour les entreprises françaises.

    Il y a quelques jours, 300 personnalités dénonçaient le « nouvel antisémitisme » musulman (voir Présent du 23 avril) qui contraint des milliers de juifs à quitter « certaines cités ». Borloo, lui, n’a rien vu ni entendu de cela malgré des mois d’enquête et d’auditions d’« acteurs de terrain ». L’islam est partout dans ces banlieues-là mais est absent dans celles de Borloo. Pour mener à bien ce plan, dit l’ancien ministre, il faudrait, au sein du pouvoir, un général Patton. Pas moins ! Mais, lui, il faisait la guerre, pas la danse du ventre devant l’adversaire.

    Autre absence, dans la continuité de ses prédécesseurs : les déserts ruraux des petites villes de la France profonde, où les services publics disparaissent les uns après les autres et où l’on constate le suicide d’un agriculteur chaque jour de l’année. Mais ça n’intéresse ni Borloo, ni Macron.

    Guy Rouvrais

    Article paru dans Présent daté du 27 avril 2018

    https://fr.novopress.info/

  • IMMIGRATION SAUVAGE : 80 MINEURS TERRORISENT LE QUARTIER DE LA GOUTTE-D’OR. IL PARAÎT QU’ON N’Y PEUT RIEN !

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    Anne Hidalgo est dépassée. Les maires aussi, surtout celui du XVIIIe. La police est impuissante, la magistrature itou – preuve, s’il en fallait encore une, que notre législation, en ce domaine de l’immigration sauvage, est totalement inadaptée.

    Il est, cette fois, question des hordes de gamins qui vivent de drogue et de rapines dans les rues de la capitale. Dans le quartier de la Goutte-d’Or, précisément, où ils assaillent les passants et se livrent à tous les trafics sous le nez d’une population effarée.

    D’une trentaine, début janvier, ils seraient aujourd’hui autour de 80 mineurs, de 12 à 17 ans. Comme le relatait Le Parisien le 13 avril, « drogués à la colle qu’ils sniffent sans relâche, de plus en plus violents, ils sont désormais placés sous la coupe de trafiquants de cigarettes de contrebande adultes, pour le compte desquels ils commettent vols à l’arraché et cambriolages ».

    Dans ces temps de débat sur la loi Asile et Immigration où l’on a entendu égrener tous les fantasmes sur la rétention des mineurs, on se demande comment il se fait que quelques dizaines de gamins puissent encore terroriser tout un quartier !

    Qui sont-ils et d’où viennent-ils ? « Arrivés seuls du Maroc dans la capitale via l’enclave espagnole de Mellila, sans papiers d’identité, totalement livrés à eux-mêmes comme ils le sont dans leur pays d’origine, et ancrés dans l’errance, [ils] semblent désormais hors de tout contrôle », nous dit Le Parisien. J’ai du mal à comprendre… On ne cesse de nous tirer des larmes sur ces gens qui doivent donner des fortunes aux passeurs, leurs familles ruinées pour payer le passage, le chantage sur ceux restés au pays, etc. Alors, comment ces gosses-là sont-ils arrivés là ? Gosses des rues au Maroc, qui leur a payé le passage ? Qui les a transportés ? Quelles autorités les ont laissés entrer ?

    Incapable de faire face à la situation malgré un plan à 700.000 euros, la mairie de Paris se dit totalement impuissante… et en appelle à l’État. Anne Hidalgo et le maire PS du XVIIIe viennent d’adresser une lettre désespérée au Premier ministre. L’adjointe à la sécurité avoue leur incapacité à affronter un phénomène que personne n’avait anticipé : « La police prend les empreintes de ces jeunes lors des contrôles, mais ils sont extrêmement mobiles : le lendemain, ils peuvent s’évaporer à Brest (Finistère), Nantes (Loire-Atlantique), Rome (Italie) ou Madrid (Espagne). Et il n’y a aucun suivi. Ni d’envie spontanée d’être pris en charge. La réflexion doit se faire au niveau européen. »

    Sur le site InfoMigrants.net, le ton est à la compassion. Ces pauvres enfants qui ont investi le square Alain-Bashung – qu’ils se partagent avec quelques SDF et familles de Roms – sont, paraît-il, « harcelés par les médias ». L’association Hors la rue, qui travaille avec les mineurs isolés, les assimile aux jeunes venus d’Europe de l’Est : « Ils suivent les mêmes modalités de fonctionnement, les codes de la rue, s’adonnent à de la “délinquance de survie”, traînent en bande… », dit la responsable. Les Marocains ont, toutefois, une spécificité : ils se droguent. InfoMigrants poursuit : « Jugés agressifs (sic) par les riverains et les commerçants alentour, ils se livrent parfois à des scènes d’une violence hallucinante. »

    S’ils ne parlent pas le français, ces enfants-là savent toutefois une chose : ils ne sont pas expulsables. Surtout, et c’est le plus ahurissant : il est légalement impossible de les placer sans leur accord. Enfin, le CASP (Centre d’aide sociale protestant), mandaté par la mairie de Paris « pour approcher les jeunes et les orienter vers les centres d’accueil de jour et de nuit mis à leur disposition avec médecins et psychologues », avoue son échec absolu. Au point que « les responsables préfèrent ne pas aborder le sujet », écrit Le Parisien.

    Et Macron, qu’est-ce qu’il en dit ?

    http://www.bvoltaire.fr/immigration-sauvage-80-mineurs-terrorisent-quartier-de-goutte-dor-parait-quon-ny-rien/

  • I-Média #198 : Opération Defend Europe : la rage des journalistes

  • Stephen Smith : les Européens ont tort de penser qu’ils rendent service à l’Afrique en ouvrant leurs frontières

    6a00d83451619c69e20224e0351d63200d-250wi.jpgAncien journaliste (1986-2005), désormais professeur d'études africaines à l'université Duke, aux États-Unis, Stephen Smith a publié : « La ruée vers l'Europe », un livre politiquement incorrect. Il répond aux questions de Jeune Afrique. Extraits :

    "[...] Contrairement à une idée reçue, ce ne sont pas les plus pauvres qui migrent.Ne pars pas qui veut. D’ailleurs, sinon, la pression migratoire aurait été la plus forte dans les années 1990, quand le continent était géopolitiquement à l’abandon et dévasté par de multiples guerres civiles. En fait, outre une certaine connaissance du monde, il faut pouvoir réunir un pactole de départ pour entreprendre un si long voyage. Ce sont donc ceux qui sortent la tête de l’eau qui se mettent en route – « l’Afrique émergente » de la subsistance. Or, le « co-développement », qui vise à fixer les Africains chez eux, contribue à faire passer ce premier cap de prospérité. C’est un effet aussi involontaire qu’inévitable : dans un premier temps, un léger mieux économique incite au départ parce qu’il est insuffisant pour combler les inégalités entre l’Afrique et l’Europe, tout en donnant les moyens de partir. C’est seulement quand des pays en développement atteignent une prospérité plus conséquente, comme aujourd’hui la Turquie, le Mexique, l’Inde ou le Brésil, que leurs ressortissants restent – sinon retournent – au pays pour saisir les opportunités chez eux.

    Certains membres de la classe moyenne ou aisée font pourtant le choix de rester ou de revenir au pays pour contribuer à son développement…

    Il y a des cas individuels mais, statistiquement, ils ne font pas le poids. Au Togo, un tiers des adultes a tenté sa chance dans la loterie américaine des permis de résidence – 55 000 green cards par an, pour le monde entier – qui sont offerts aux « candidats de la diversité » aux États-Unis. À l’échelle du continent, selon une enquête de l’Institut Gallup de 2016, 42% des Africains âgés de 15 à 25 ans déclarent vouloir partir. Même si tous ne passeront pas à l’acte migratoire, l’Afrique est un continent en instance de départ. [...]

    La migration est une perte nette pour l’Afrique parce que ses forces vives l’abandonnent. C’est profondément démoralisant pour ceux qui restent, et les Européens ont tort de penser qu’ils rendent service à l’Afrique en ouvrant leurs frontières. En fait, les migrants tournent le dos à un continent « en panne » dont les insuffisances leur semblent irréparables à l’échelle d’une vie humaine. Ils se sauvent. Pas seulement parce que des infrastructures ou des emplois font défaut, ou que leurs enfants n’y peuvent recevoir une bonne éducation, mais aussi parce qu’ils pensent que l’Afrique est en panne d’espoir. [...]

    Vous parlez d’une Europe qui va s’africaniser et prévoyez des tensions identitaires. Est-ce inévitable ?

    Je ne prévois pas, je constate. Il suffit de faire le tour de l’Europe, de l’Italie à la Suède en passant par l’Allemagne d’Angela Merkel ou la Hongrie. Est-ce inévitable ? Peut-être pas si trois principes de réalisme et d’humanité peuvent être conciliés. D’abord, il appartient aux Européens de décider qui entre chez eux et qui n’entre pas. Ensuite, l’Europe ne peut pas se désintéresser de son voisin africain, elle doit comprendre qu’une frontière n’est pas une barrière baissée ou levée mais un espace de négociation. Enfin, et c’est peut-être la réalité qui est encore la moins bien perçue, la ligne de partage ne sépare plus tant les pays riches des pays pauvres mais, à l’intérieur du Nord et du Sud, les gagnants et les perdants de la mondialisation. Si les gagnants – en Afrique autant qu’en Europe – se moquent du sort des perdants, nous serons tous perdants. [...]"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Procès : les sinistres fanfaronnades de Jawad Bendaoud

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    Autant le dire tout de suite, après deux heures trente d’audience, Jawad Bendaoud n’est ni émouvant ni touchant. Il n’est pas drôle non plus. Il comparaissait cet après-midi devant la 17e chambre correctionnelle du TGI de Bobigny pour des violences conjugales perpétrées entre août et novembre 2015 et des menaces de mort en mars 2018 contre son ex-compagne avec laquelle il entretient une relation « toxique », selon le président comme le ministère public.

    « Je vais te tuer », « je vais t’égorger sur la vie de mon fils », il faut l’imaginer éructant dans le box des prévenus « niquant » à tout bout de champ « la mère de son fils » ou « des vendeurs à la sauvette » qui nuisent à sa tranquillité d’homme libre qui se tiendrait désormais à carreau.

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  • Il est évident qu’aujourd’hui être patriote est une raison de subir quelques attaques

    6a00d83451619c69e20223c8466498200c-200wi.jpgPorte-parole de Génération Identitaire, Romain Espino a subi une campagne de cyber-harcèlement suite à l’opération « Stop Migrants Alpes » : plusieurs comptes twitter anonymes ont diffusé l’adresse et le numéro de son employeur dans l’objectif d’obtenir son licenciement. Il est interrogé par L'incorrect :

    "Regrettez-vous, après coup, d’être apparu à visage découvert lors de votre opération dans les Alpes, ou assumez-vous toujours pleinement votre engagement militant ?

    Je ne regrette rien. Je milite depuis 8 ans, je ne me suis jamais caché et ai souvent répondu aux sollicitations des médias à visage découvert et encore plus quand j’ai eu l’occasion de prendre la fonction de porte parole du mouvement de façon officielle. Génération Identitaire met en avant et propose des solutions sur les principales préoccupations des Français à savoir, la sécurité, l’identité et l’immigration. Pourquoi se cacher ? Qui de mieux pour porter la voix de l’Europe que la jeunesse ? Malgré toutes les attaques que j’ai pu recevoir par des opposants qui avancent masqués derrière leur pseudonyme twitter et qui soutiennent l’immigration illégale et les associations violentes de passeurs, je reste déterminé. Je me bats pour les miens, ces gens qui sont venus à notre rencontre lors de nos actions, ces Français qui aiment la terre sur laquelle ils sont nés et qui sont pris en otage par une minorité d’associations de hors la loi et sont abandonnés des pouvoirs publics. Les attaques des ennemis de l’Europe d’un coté et le soutien et les remerciements des Français et des Européens que je rencontre de l’autre ne font que faire grandir ma détermination.  

    Croyez-vous subir une campagne de calomnie à raison de la nature de vos convictions ? Une personne affichant des opinions d’ultragauche, ou pratiquant le prosélytisme religieux, aurait-elle eu droit au même traitement ?

    Il est évident qu’aujourd’hui être identitaire, être patriote peut être une raison de subir quelques attaques. Des attaques émanant d’une minorité visible car très agitée et virulente, mais d’une minorité. Sans doute celle-ci est elle portée par le climat de bien-pensance instauré a la fois par des médias enfermés dans leurs carcans idéologiques et des dirigeants qui manquent cruellement de courage politique. Dans de telles conditions, ceux qui défendent des valeurs traditionnelles sont beaucoup plus attaqués que ceux qui s’opposent à la tradition et donc à l’identité. Mais ce qui compte c’est le pragmatisme, le constat d’une réalité, de ce que veulent les Français et les Européens, vivre en paix, chez eux.

    Avez-vous reçu de nombreux soutiens ? Certains plus inattendus que d’autres ? 

    Oui, j’ai reçu de nombreux soutiens. Des soutiens inattendus de personnes opposées sur le fond mais qui trouvent la forme, cette attaque de la vie privée, inadmissible. Des soutiens publics d’élus et de sympathisants sur les réseaux sociaux mais également par téléphone ou par message. Le soutien de tous mes amis de Génération Identitaire avec qui nous agissons au quotidien pour défendre les valeurs et les modes de vie qui font la France et l’Europe. Mais surtout le soutien de toutes ces personnes directement victimes de l’immigration massive qui remercient une jeunesse qui se bat pour eux. [...]"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Nouveau plan banlieue, nouvelle esbroufe ! - Journal du vendredi 27 avril 2018

  • L’État islamique veut infiltrer l’Europe

    Le-second-francais-de-l-Etat-islamique-identifie-300x200.jpgDavid Beasley, le directeur exécutif du Programme alimentaire mondial des Nations Unies, dans un entretien au quotidien britannique The Guardian, sonne l’alarme sur les accointances entre Daesh et vague migratoire : les commandants de l’État islamique en fuite de la Syrie sont en train de conspirer avec les groupes islamistes africains comme Boko Haram ou les ramifications locales d’Al Qaïda pour fomenter et infiltrer une nouvelle vague migratoire vers l’Europe.

    « Vous êtes sur le point de devoir affronter quelque chose de semblable à ce qui est arrivé il y a quelques années. Avec la différence qu’il y aura plus d’extrémistes infiltrés parmi les migrants »

    a dit au journal anglais Beasley, ex-gouverneur républicain de la Caroline du Sud aux États-Unis lors d’un déplacement à Bruxelles pour un sommet sur la Syrie.

    L’objectif explique le directeur du programme alimentaire est « de provoquer le chaos » en Europe.

    Francesca de Villasmundo

    http://www.medias-presse.info/letat-islamique-veut-infiltrer-leurope/90959/

  • En première ligne, toujours – Romain Espino (Les Identitaires)

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    Disons-le franchement : avec Mission Alpes, nous visions une réussite égale à nos précédentes grandes opérations, mosquée de Poitiers ou Mission Méditerranée. Mais jamais nous n’aurions osé espérer une réussite aussi totale, et même décisive. Une réussite politique, médiatique et militante. Nous avons changé le réel, inversé les rapports de force. Le vendredi, les clandestins entraient à leur guise. Le samedi, c’était terminé. Le vendredi, les passeurs de clandestins agissaient en toute impunité. Le mardi, trois d’entre eux étaient emprisonnés.

    Il ne s’agit pas de se payer de mots ou de survendre une action, mais de se livrer à des constats factuels. Nous avons vaincu sur tous les fronts que nous nous étions fixés. En plein débat sur l’immigration à l’Assemblée nationale, nous avons cristallisé les positions. Nous avons illustré par l’image le scandale de nos frontières passoires. Nous avons renforcé le camp patriote.

    Médiatiquement, nous avons occupé le terrain, nous avons enlevé le monopole de la parole aux prétendus « charitables ». J’ai moi-même pu, à plusieurs reprises, m’exprimer en direct comme sur RMC chez « Les Grandes Gueules ».

    Durant le week-end, lors de nos contacts avec la gendarmerie comme avec la direction centrale de la Police aux frontières, nous avons pu constater combien ceux-ci étaient en sous-effectif. Du fait de notre présence, dès dimanche soir, Gérard Collomb annonçait le renfort d’une compagnie de gardes mobiles et une demi-compagnie de CRS. C’est en ce sens que notre action a été décisive, qu’elle change la situation pour les Hautes-Alpes, pour cette grande majorité de Français qui ne veulent pas que le Briançonnais deviennent Calais.

    Mission Alpes a été aussi une réussite militante éclatante. Réussite de logistique et d’esthétisme. Réussite de méthode : nous avons agi dans le calme, pacifiquement. Nous étions à visage découvert. Nous n’avons rien à cacher. Nous sommes qui nous sommes. Nous l’assumons. En première ligne, toujours.

    Au regard de ces victoires, le prix à payer est dérisoire. Je ne veux pas parler du coût logistique mais humain. Dès lundi, deux pertes d’emploi. Quelle importance ? Si l’on n’est pas prêt à faire de si petits sacrifices personnels, comment sauver la France et l’Europe ? Quant au coût de la logistique, ce n’est que de l’argent. Un moyen de faire avancer nos idées. La presse s’est beaucoup demandée d’où venaient les 30 000 euros du coût logistique. Tout simplement de nos donateurs. Si nous étions 100 sur la montagne, il y a derrière nous, au soutien, une armée de donateurs français. Entre ceux qui donnent dix euros et ceux qui donnent 2 000, nous ne faisons aucune différence, car ce qui compte le plus, ce n’est pas l’addition finale en euros, c’est le nombre de personnes derrière nous. Ce nombre, je n’en doute pas, va encore augmenter, de même que le nombre de jeunes à nous rejoindre va s’accroître aussi.

    Mission Alpes n’est pas terminée. Des équipes sont restées sur place pour surveiller la zone mais aussi travailler en concertation avec les habitants qui ne veulent plus supporter la loi d’une minorité. D’une certaine manière, il est possible que tout ne fasse que commencer…

    Romain Espino

    Texte repris du site deLes Identitaires