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immigration - Page 845

  • Hongrie : lois sévères contre les ONG qui aident les clandestins

    hongrie-foule-pro-orban-mpi-300x200.jpgLe parlement hongrois a commencé à débattre sur un ensemble de lois destinées à contrer les ONG qui offrent de l’aide aux « migrants » et aux « demandeurs d’asile ».

    Les mesures, mises au point par le cabinet du premier ministre Viktor Orban, prévoient que toutes les ONG doivent s’enregistrer auprès du ministère de l’Intérieur qui pourra repousser la demande. Les ONG enregistrées devront en outre payer une taxe de 25 % sur toutes les contributions venant de l’étranger et les autorités pourront leur nier l’accès au centre de réfugiés.

    « Il faut plus d’instruments légaux pour combattre contre ceux qui organisent les migrations » a déclaré au Parlement le chef de la communication du gouvernement, Bence Tuzson.

    Le vote sur cet ensemble de lois n’est pas prévu avant les élections du 8 avril prochain.

    Repoussé par la gauche hongroise, ce projet de lois a aussi fait les frais de nombreuses critiques internationales, signe s’il en est qu’il va dans le bon sens ! Le Bureau pour les droits humains de l’ONU a stigmatisé les « restrictions injustifiées à la liberté d’association » Amnesty International au nom de 200 organisations européennes pour les droits humains a protesté pareillement. Le ministre des Affaires Étrangères luxembourgeois, Jean Asselborn, qui ne prise pas particulièrement les idées d’Orban, a estimé cet ensemble de mesures digne d’un « dictateur ».

    Mais il se pourrait bien que ces lois destinées à mieux contrôler, si ce n’est stopper, l’invasion migratoire en Hongrie assure à Viktor Orban et à son parti Fidesz la victoire en avril prochain…

    Francesca de Villasmundo

    http://www.medias-presse.info/hongrie-lois-severes-contre-les-ong-qui-aident-les-clandestins/87825/

  • UN CRÉDIT D’IMPÔT POUR CEUX QUI ACCUEILLENT LES MIGRANTS, C’EST LA BRILLANTE IDÉE DU DÉPUTÉ AURÉLIEN TACHÉ !

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    Le dernier sondage paru en janvier 2018 démontre le ras-le-bol des Français face à l’immigration : le rythme d’immigration est trop élevé ? Oui, à 64 % (et jusqu’à 79 % chez les Français les moins diplômés).

    Faut-il permettre le vote des étrangers aux élections locales ? Non, à 60 %.
    Supprimer le regroupement familial ? Oui, à 57 %.
    Mettre fin aux accords de Schengen ? Encore oui, à 66 %.

    Tous les gouvernements qui se sont succédé pendant quarante ans ont connu des sondages comparables. Ils savent qu’une majorité de Français n’en peut plus, que les quatre cinquièmes des plus pauvres refusent d’être confrontés à ces flux continuels de pseudo-réfugiés. Pourtant, inlassablement, l’État continue à les accueillir. Et notre Président envisage d’aller plus loin. Il suffit de lire le rapport, validé par le Premier ministre, du député LREM Aurélien Taché.

    Mais voyons d’abord qui est ce « macroniste » ?

    Président de l’UNEF Limoges dans sa jeunesse, il fut ensuite socialiste et conseiller auprès des ministres du Logement Sylvia Pinel et Emmanuelle Cosse. Élu député du Val-d’Oise après les législatives 2017, il vient de pondre 72 mesures pour intégrer les migrants. Par exemple il propose :

    – de doubler le volume des cours de français (400 heures, voire plus pour les réfractaires),

    – d’autoriser les demandeurs d’asile « à travailler six mois après le dépôt » de leur dossier, voire plus tôt (cela, alors que la France compte plus de 9 % de chômeurs),

    – d’offrir à ces « nouveaux venus » un accès au logement et à l’emploi, d’une durée moyenne d’un an (les 3.000 sans-abri parisiens apprécieront.) Tout cela grâce à des contrats avec les branches professionnelles, des « partenariats avec les grandes entreprises », mais aussi des reconnaissances partielles de qualifications et un accès plus facile à certaines professions.

    Notre député souhaiterait aussi voir supprimer la condition de nationalité pour les fonctions non régaliennes de la fonction publique. (Bien évidemment, la CGT, FO et les autres syndicats s’inclineront et accepteront ce diktat au nom de l’antiracisme.)

    Mais le top du top est la création d’un « crédit d’impôt solidarité »pour les personnes hébergeant gratuitement un « étranger ». Crédit qui pourrait s’élever à 1.800 € par an. Ahurissant, effarant, intolérable, les mots me manquent pour décrire la colère qui s’empare de moi devant ces décisions.

    Ainsi, Macron ponctionne les retraités avec la CSG mais favoriserait financièrement les logeurs de migrants jeunes et bien portants. Pendant ce temps, nos anciens, ayant contribué à la richesse du pays, vivotent avec une maigre pension.

    Il est honteux d’abandonner des gens dans la rue ou d’ignorer des familles couchant dans des taudis alors que l’on s’inquiète pour des hommes robustes portés par des associations négligeant le prochain pour favoriser le lointain. Honteux, alors qu’il y a deux semaines, une vieille dame dans ma région se suicidait : elle n’avait plus de chauffage, plus de famille et plus de sous. Où étiez-vous, M. Taché ? Où étaient ces associations financées par Soros ? Sûr que, dans quelques années, comme peu de gens veulent des migrants chez eux, l’accueil deviendra obligatoire. Et que dire de la promiscuité de ces quidams pleins de vigueur vivant au milieu d’une famille ?

    Enfin, cette opération a un coût : plus de 600 millions d’euros. Après cela, Édouard Philippe, l’escogriffe du gouvernement, peut toujours proclamer : « La France a une longue et belle tradition d’accueil. » Alors, à quand un migrant à Matignon, M. le Premier ministre ?

    http://www.bvoltaire.fr/credit-dimpot-accueillent-migrants-cest-brillante-idee-depute-aurelien-tache/

  • La débilité morale

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    Bernard Plouvier

    Tout le monde raisonnable en est d’accord : la situation en France (et aux ex-colonies devenues Dom-Tom) est explosive. L’existence de zones de non-droit, l’explosion des actes de violence physique sont infiniment plus graves que les « incivilités » et les cambriolages que les journalistes ont l’ordre de mettre en avant, de façon à ce que l’arbuste cache la forêt des véritables menaces.

    Et l’on a l’impression qu’il en va de même partout en Europe occidentale et scandinave. On parle des vols à la tire et du racket, pour camoufler les viols et les assassinats ; on évoque les « incivilités » pour masquer le racisme effarant des extra-Européens envahissant notre continent.

    Tout d’un coup, Gérard Collomb, notre chenu ministre de l’Intérieur, chaudement applaudi par ses confrères ministres et notre sémillant Président, se lance dans un effet d’annonce. Il va réduire « l’insécurité » par son remède miracle : la police de proximité.

    Nous prendrait-il pour des amnésiques ? Car, du temps du grandiose Mitterrand, le Président de l’entrée dans l’économie globale et le brassage des races, et du non moins grandiose Chirac, le Président Black-Beur, on nous a promis que tout irait mieux grâce aux « ilotiers »... et l’on parlait déjà de « police de proximité ».

    De nos jours et pour faire plus sérieux, on use non seulement du comique de répétition mais aussi du pléonasme et on lance le slogan de « police de proximité au quotidien » !

    En réalité, si l’on prenait l’avis des Français de souche européenne, on obtiendrait des avis qui ne pourraient que terroriser nos vrais maîtres : rétablissement de la peine de mort pour les assassins, castration des violeurs, tir à balles réelles en cas d’émeute ou d’agression des forces de l’ordre, refus d’accueillir le moindre « réfugié-immigré » d’origine extra-européenne et retour massif au continent d’origine des sans-travail, délinquants, mahométans faisant dans l’import-export du Djihâd. Enfin, il paraîtrait logique de se séparer de tous les territoires exotiques, à l’exception de ceux peuplés d’Européens qui peuvent difficilement se plaindre de notre prétendu « racisme colonialiste ».

    Certes, la situation est explosive, mais vouloir faire semblant de les résoudre avec des petits moyens déjà essayés sans le moindre succès – ce qui est logique : on n’éteint pas un incendie avec une cuiller à café d’eau, fût-elle sucrée -, c’est à la fois se moquer du bon peuple, celui des contribuables, et faire preuve d’absence de sens moral.

    Lorsqu’on est à la tête d’un État, le premier devoir est d’y assurer l’Ordre, ce qui commence par la sécurité des personnes et ensuite celle des biens.    

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Jawad relaxé, Pierre Cassen condamné à 3 mois de prison... soutenez Pierre Cassen

    3872059093.jpgPierre Cassen

    Riposte laïque

    cliquez ici

    Comment mieux résumer la France de Macron ? Dans notre pays, un djihadiste dealer qui héberge des terroristes se retrouve en liberté, mais…

    On me condamne, dans les circonstances ahurissantes que je décris dans cette vidéo, que j’ai réalisée rapidement chez des amis, à cause de problèmes techniques, à 3 mois de prison avec sursis.

    - Dans ce pays, on condamne 5 jeunes Identitaires à 1 an de prison avec sursis, et à des amendes exorbitantes.

    - Dans ce pays, on harcèle judiciairement Christine Tasin.

    - Dans ce pays, on multiplie les plaintes contre Robert Ménard.- Dans ce pays, on oblige Mohamed Louizi à faire une grève de la faim, après six plaintes déposées contre lui par des islamistes, quand celles qu’il dépose ne sont pas instruites.

    - Dans ce pays, on condamne l’apostat Pascal Hilout, né Mohamed, mais on fout une paix royale au CCIF ou aux Indigènes de la République, qui ne cachent pas leur volonté d’islamiser notre pays, ni leur haine des Français blancs.

    - Dans ce pays, on condamne une oeuvre du cinéaste Gérard Boyadjian, coupable de délit d’audace.

    - Dans ce pays, on condamne le blogueur Boris Le Lay à des peines de prison supérieures à celles d’islamistes qui ne cachent pas leur inféodation à Daesch.

    - Dans ce pays, on traîne le talentueux Eric Zemmour devant les tribunaux.

    - Dans ce pays, enfin, nombre de Français, coupables de trop aimer leur pays, sont harcelés par une véritable police politique, au service du régime, et par trop de magistrats, qui ne rendent plus la justice au nom du peuple français, mais au nom de leur idéologie mondialiste et multiculturelle.

    Je m’adresserai, suite à cette condamnation inique, que je vais essayer de contester, aux lecteurs de Riposte Laïque ce jeudi, à 13 heures, pour expliquer quelques dessous croustillants de cette condamnation, et mettre en place la meilleure riposte possible.

     

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  • Le projet de loi sur l'immigration élargit le regroupement familial

    Les associations immigrationnistes sont vent debout contre ce texte, mais c'est visiblement pour établir un écran de fumée sur des mesures qui vont agrandir les vannes de l'immigration :

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    Le sénateur FN Stéphane Ravier dénonce cet enfumage :

     

    @Stephane_Ravier : "Derrière cette loi il y a de l'enfumage, la réalité est qu'il y a toujours plus d'immigration."

    De même, Ivan Rioufol dénonce la fausse fermeté d'Emmanuel Macron :

    "L’Etat macronien, le cul entre deux chaises, s’apprête à ne rien régler du défi posé par l’immigration de peuplement. Le "En même temps" présidentiel, qui permet le double discours, rend illisible le projet de loi "Asile, immigration et intégration", présenté ce mercredi en Conseil des ministres. Certes, l’Etat entend théoriquement faire la distinction entre le réfugié politique et l’exilé économique, afin de n’accorder l’asile qu’au premier.Mais ce principe est déjà ébranlé. En effet, le premier ministre, Edouard Philippe, a fait savoir qu’il allait reprendre également les grandes lignes du rapport remis lundi par le député En Marche, Aurélien Taché, ex-militant socialiste. Or ce dernier contredit la politique d’apparente fermeté voulue par Emmanuel Macron.Taché propose de maintenir l’indifférenciation entre les demandeurs d’asile si, six mois après l'enregistrement de leur dossier, ils n’ont pas reçu de réponse. Dans cette hypothèse, non seulement le persécuté politique et le chercheur de meilleure fortune conserveraient leur égalité de statut, mais rien ne les distinguerait des Français eux-mêmes ! Taché : "Les immigrés ont une formidable envie de s’en sortir. Il faut donc leur donner les moyens d’être autonomes en rétablissant l’égalité entre Français et eux dans l’accès à l’emploi et au logement". Alors que la France souffre d’un chômage endémique, d’une pénurie de logements et d’une intégration en faillite, voilà un député qui reprend les discours angéliques qui étaient ceux de la gauche des années 80. Accorder les mêmes droits au demandeur d’asile et au citoyen revient à vider de sa substance ce qui constitue une nation.

    Ceux qui croyaient impensable qu’un homme politique censé puisse encore répéter : "L’immigration est une chance pour la France", au vu des désastres produits par le choc des cultures, n’avaient pas encore entendu le chef du gouvernement. La version de Philippe ne diffère guère du vieux couplet, quand il déclare, mardi : "La diversité est une chance dans notre République une et indivisible". En ajoutant : "La France a une longue et belle tradition d’accueil. Mais notre pays n’est pas toujours à la hauteur de cette tradition". En fait, l’apparente conversion de Macron au réalisme, qui effraie les "humanistes", semble n’être qu’un leurre. Celui qui avait soutenu la politique d’Angela Merkel dans son accueil de plus d’un million de réfugiés en 2015 est resté peu ou prou le même homme. Macron, imprégné du conformisme immigrationniste, ne sera jamais celui qui fera obstacle aux pressions culpabilisantes, d’ailleurs reprises par son premier ministre. Dans la vision macronienne du tout économique, l’insertion par l’emploi est jugée suffisante pour parler d’intégration. C’est cet a priori que reprend Taché, qui va jusqu’à proposer de développer un "hébergement citoyen" afin que des familles puissent accueillir des réfugiés, quitte à ce qu’elles bénéficient d’un crédit d’impôt pouvant aller jusqu’à 1800 euros par an. Cependant, cette vision productiviste pêche par son aveuglement volontaire : ce n’est pas le chômage qui fracture la France, mais le rejet de ce qu’elle représente aux yeux d’immigrés légitiment attachés à leur propre culture, à leur propre civilisation."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • «Face à l’islam conquérant, la France recule»

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    Par Ivan Rioufol

    CHRONIQUE – Si rien ne vient briser l’hégémonie prise dans les cités par les Frères musulmans et le salafisme, la France deviendra vite méconnaissable et invivable.
    La France recule sous les assauts de l’islam conquérant. Il crée le désordre dans la laïcité, la mixité, l’indivisibilité nationale. Il sème la discorde jusque dans l’école. Il fracture la nation. Partout, cette idéologie minoritaire exige sa visibilité, pose ses exigences, bouscule la République bonne fille. Emmanuel Macron promet d’aborder la question de l’islam avant la fin du premier semestre. Dimanche, il a dit vouloir «poser les jalons de toute l’organisation de l’islam de France». Bien. Mais sa prudence est un renoncement à affronter l’esprit totalitaire. Or il est à la source de l’épreuve de force. Un conseiller sur ce dossier, Hakim el-Karoui, constate (L’Opinion, lundi) que «les islamistes ont gagné la bataille de la norme, qu’il s’agisse du port du voile ou de la consommation de la viande hallal». Faudrait-il s’en satisfaire? Quand el-Karoui affirme dans la foulée qu’il faut «lutter contre l’islamophobie», en avalisant ce mot brandi par les islamistes et leurs caniches, il rend les armes.
    Les alertes des musulmans qui se sont libérés des interdits coraniques ne sont pas entendues du pouvoir
    La démocratie française est en train de perdre la guerre que l’islam radical lui a déclarée. Les alertes des musulmans qui se sont libérés des interdits coraniques ne sont pas entendues du pouvoir. Les musulmanes qui dénoncent l’oppression sexiste symbolisée par le voile protestent dans le vide. L’État «humaniste» ne s’émeut que de ceux qui surjouent les plaintes, dans un permanent chantage. L’apaisement promu par les autorités banalise l’infiltration islamiste. La candidate enturbannée de The Voice, la jolie et talentueuse Mennel Ibitssem, a eu ses défenseurs subjugués, en dépit des révélations sur sa proximité avec les Frères musulmans. Elle a eu ses avocats pour plaider son jeune âge (22 ans) et son droit à l’erreur. Mais bien peu se sont interrogés sur l’instrumentalisation prosélyte de sa présence sur TF1. L’indignation des réseaux sociaux a contraint la chanteuse à se retirer du télé-crochet. Cependant, nombreux sont ceux qui s’inquiètent de la réaction colérique de la jeunesse musulmane.
    Faudrait-il se résoudre à vivre dans la crainte des humeurs d’une contre-société gangrenée par la dictature islamique et sa haine de l’Occident? Près de la moitié des jeunes musulmans sont attirés par les valeurs de la charia. Si rien ne vient briser l’hégémonie prise dans les cités par les Frères musulmans et le salafisme, la France deviendra vite méconnaissable et invivable. Réformer l’organisation de cette religion ne sera jamais suffisant. Réciter, avec Macron, des mantras sur «l’islam compatible avec la démocratie» demeurera mensonger tant que ne sera pas nommé et combattu le totalitarisme qui enfièvre l’islam. Cet islam-là ne réclame pas de croire en son Dieu, ce qui serait respectable. Il prétend imposer à tous ses lois et sa Constitution. Comme l’explique Mohamed Louizi *, «l’islamisme (ou islam politique) est l’instrumentalisation de la foi musulmane, depuis la nuit de la mort du Prophète, à des fins de conquête du pouvoir politique». Louizi réclame un islam «dépolitisé, désarmé et non violent». Bel objectif.
    Les droits de l’homme sont mis au service de la pensée totalitaire
    En attendant, les droits de l’homme sont mis au service de la pensée totalitaire. C’est en leur nom, en effet, que les islamistes combattent la démocratie. Leur statut de minorité, reconnu par l’idéologie «antiraciste», leur offre la posture victimaire qui permet les abus de droit et les outrances. Dernièrement, la sénatrice PS des Bouches-du-Rhône Samia Ghali a insinué que Tariq Ramadan pourrait être suspecté non pour ses viols mais parce qu’il est musulman. Dans cette pensée complotiste, tout est fait pour persuader de la violence de la France, au point d’avoir convaincu le pouvoir de sa propre culpabilité. Plus l’islam radical humilie l’État, plus celui-ci se couche. Le préalable à toute réaction de la République est donc de s’extraire de ce piège dialectique qui empêche de mettre un coup d’arrêt à cette subversion sectaire. C’est elle que le gouvernement doit combattre, plutôt que d’envisager des accommodements avec la loi de 1905.
    Les délateurs et leurs soutiens
    Pour Macron, qui menace d’aller faire la guerre en Syrie, la tentation est grande d’acheter la paix intérieure en cédant à l’ennemi. Or rien ne peut justifier de transiger avec ceux qui veulent détruire la nation. Il a déjà été rappelé ici les similitudes qui unissent l’islamisme au communiste et au nazisme: le même culte de la force, la même détestation du monde libre, le même goût pour la table rase au profit d’un peuple supérieur. L’antisémitisme, le sexisme, la violence terroriste, commencent certes à ébranler l’opinion. Mais si le chef de l’État a pu se désoler dernièrement: «On est en train de perdre la bataille», il ne parlait que du climat. Or c’est un affrontement permanent qui se consolide, attisé par la passivité de nombreux organismes publics. L’Observatoire de la laïcité, par exemple, ne voit toujours rien de l’entrisme des Frères musulmans. Quant au Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA), il est ouvertement utilisé par ceux qui voudraient imposer le délit de blasphème. Se réveillera-t-il?
    La guerre civile est dans les têtes de ces fanatiques
    L’expérience vécue par votre serviteur ces jours-ci illustre la prétention hégémonique du courant islamiste. Pour avoir qualifié, vendredi dernier sur CNews, le voile de la chanteuse Mennel de «signe politique» et avoir redit que l’islam n’était pas seulement «une religion» mais un «corpus politique, une idéologie totalitaire», j’ai observé l’islamosphère se déchaîner sur Twitter pour obtenir du CSA qu’il sanctionne mes propos. La délation, lancée par une «journaliste», Feïza Ben Mohamed, a été relayée par le Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF), Dômes et Minarets et autres censeurs du même creuset. Le journaliste Jean-Michel Aphatie a soutenu la dénonciation, tandis que le réalisateur Dominique Farrugia m’insultait sur C8. Pour sa part, la militante anti-islamiste Henda Ayari, épuisée par la violence ordurière des attaques, s’est retirée un temps du combat. La guerre civile est dans les têtes de ces fanatiques et de leurs «collabos» à front de taureau.
    La fronde des musulmanes
    L’islamisme, vaincu par les femmes? Cette fois, c’est de La Mecque (Arabie saoudite) que vient la fronde, qui a déjà atteint l’Iran. Sous le hashtag MosqueMeToo (mosquée moi aussi), des musulmanes dénoncent la violence et les viols qu’elles ont subis lors de leur pèlerinage, alors qu’elles étaient voilées. Voilà ce que dit la sourate 5, verset 6, dans un douteux amalgame: «Si l’un de vous revient du lieu où il a fait ses besoins, ou si vous avez touché aux femmes et que vous ne trouvez pas d’eau, alors recourez à la terre pure, passez-en sur vos visages et sur vos mains»…

    * «Libérer l’islam de l’islamisme», Fondapol, janvier 2018.

  • Le gouvernement éparpille les immigrés façon puzzle

    6a00d83451619c69e201b7c951c92e970b-800wi.pngLes habitants de Saint-Macaire, commune de Gironde de 2000 habitants, ont appris l’installation de 20 immigrés « mineurs isolés » à partir du mois d’avril. Cette installation se fait dans le silence le plus total, sans aucune concertation. La population (très inquiète) n’a évidemment pas été consultée.

    Comble de l’affaire, ces immigrés illégaux seront installés dans la gendarmerie désaffectée depuis un an au centre du village. A 300 m se trouve un pensionnat de filles tenu par des religieuses …

    Madame Florence Lassarade (sénatrice LR de Gironde et habitant le village) est également vent debout contre cette décision imposée par la préfecture, mais personne ne semble avoir le moindre pouvoir pour arrêter cette machination.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Affaire des viols collectifs de Rotherham (UK) : les enquêteurs viennent de dénombrer plus de 1 500 victimes d’abus sexuels organisés par des prédateurs pakistanais

    Le nombre de jeunes gens abusés sexuellement à Rotherham a été porté à 1 510, soit la première hausse officielle depuis que scandale a éclaté il y a quatre ans, au Royaume-Uni.

    Les enquêteurs de la National Crime Agency (NCA) ont révélé le chiffre mis à jour mardi dans un briefing sur l’opération Stovewood, l’enquête sur le scandale de l’exploitation sexuelle d’enfants sur une période de 16 ans dans la ville de Rotherham. Le rapport du professeur Alexis Jay en 2014 avait identifié 1 400 victimes.

    L’enquête de la NCA, la plus grande du genre au Royaume-Uni, a identifié 110 suspects, dont la grande majorité sont d’origine pakistanaise, ont indiqué des officiers.

    Sur ces 110 personnes, 38 ont été arrêtées, 18 ont été inculpées, quatre ont été condamnées à des peines d’emprisonnement de plus de 30 ans.

    Paul Williamson, l’enquêteur principal de l’opération Stovewood, a décrit l’enquête comme «une enquête unique et sans précédent, difficile par son ampleur et sa complexité».

    The Guardian

    http://www.fdesouche.com/958825-affaire-viols-collectifs-de-rotherham-uk-enqueteurs-viennent-de-denombrer-plus-de-1-500-victimes-dabus-sexuels-organises-predateurs-pakistanais

  • Immigration : « La loi Collomb est la plus grande machine à régulariser de l’histoire de France »

    Antonin a tout du personnage de roman noir, de l’anti-héros des chansons de François Hadji-Lazaro pour Pigalle. Grande-gueule, ce travailleur social a le visage buriné par la vie, par les coups durs. Apparemment confiant, il cache une sensibilité à fleur de peau que sa vocation à aider les plus démunis d’entre nous ne démentit pas. C’est parce que le problème des sans domiciles fixes le révolte qu’il a bien voulu répondre à nos questions anonymement. Ses positions surprenantes dérangeront probablement ceux qui ont des idées préconçues sur le sujet. Qu’importe, le mérite principal d’Antonin est bien de ne pas verser dans le misérabilisme compassionnel qui fait le bonheur des fictions télévisuels et des chanteurs engagés. Lui, connaît la réalité de la rue pour l’avoir vécue dans sa chair d’homme et de travailleur.

    (…)  » 95% des migrants arrivant en France sont considérés comme des SDF alors qu’ils ont un logement (souvent une maison) au pays. D’ailleurs, ils y retournent en vacances « au bled », dès que l’Etat les régularise. Imaginez qu’il y a presque 100 millions de touristes qui viennent en France tous les ans. Sont-ils considérés comme des SDF ? »

    (…) « Ces associations d’insertion engagent des salariés via des contrats aidés. Les fameux contrats dont Hollande avait fait une priorité. Emmanuel Macron a, de son côté, décidé de les limiter à ces associations. Les salariés, plus de 90% d’immigrés, ont donc des fiches de paie avec contrat de travail, deux éléments cruciaux pour accéder aux logements sociaux. Ils deviennent prioritaires pour quitter les centres d’hébergement aux yeux de la mairie et de la préfecture (70% du contingent de la préfecture leur est dédié en plus des 1.500 logements de la mairie de Paris via les accords collectifs). »

    (…) « Le projet de loi asile et immigration de Gérard Collomb va-t-il changer les pratiques en matière d’hébergement d’urgence ?
    Ce projet est la plus grande machine à régulariser de toute l’histoire de France. L’Etat sait très bien qui est hébergé dans chaque centre puisqu’il finance 18.000 euros la place à l’année via la DRIHL (service de la préfecture). Les associations mentent donc en refusant de communiquer les noms des personnes s’y trouvant. Cette opération va permettre de faciliter les régularisations grâce à la circulaire Valls. Au surplus, les fonctionnaires devront être bienveillants et moins pointilleux que par le passé. »

    (…) « Il faut savoir qu’il y a 700 demandes par jour pour deux places en centre d’hébergement et de réinsertion sociale. Et là intervient la deuxième étape jouant contre les SDF Français : la loi DALO/Sarkozy impose qu’il n’y ait pas de rupture d’hébergement quand une personne est prise en charge par l’état. Donc tous les demandeurs d’asiles ayant obtenu le statut de réfugié sont prioritaires pour vider les CADA (centres d’accueil pour demandeurs d’asile) puisqu’ils basculent dans le droit commun. »

    (…) « Quand j’entends un certain mouvement politique reprendre le chiffre officiel de 143.000 SDF, je ne peux qu’être dégouté par cette volonté de surfer sur la vague des SDF, comme les associations, pour faire du buzz. Défendre un toit pour les 143.000 « SDF » revient à donner un toit à plus de 140.000 étrangers : même les associations les plus à gauche ne pourraient rêver mieux.  »

    http://www.fdesouche.com/958605-revelations-a-peine-400-sdf-francais-dans-paris-un-travailleur-social-dit-tout