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immigration - Page 844

  • Le ministère de la Culture au service de l’immigration de grand remplacement

    Depuis de nombreuses années, le ministère de la Culture est devenu un haut lieu de soutien à toutes les subversions, qu’elles passent par l’art dégénéré, les mœurs décadentes ou le multiculturalisme conquérant.

    Nul ne s’étonnera donc de voir Françoise Nyssen, actuel ministre de la Culture, accorder l’aide de l’Etat français (et donc des contribuables) à l’exposition « Les vitrines de l’Atelier des artistes en exil ».

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    L’immigration de grand remplacement s’étend. Les « artistes » immigrés bénéficient ainsi d’une promotion à laquelle bien peu d’artistes français ont droit. Il ne fait pas bon, en 2018, être un artiste français vivant dont l’œuvre serait mise au service du Beau et du Bien, encore moins de Dieu.

    Par contre, le ministère de la Culture vient en aide à une quinzaine d’artistes de toutes disciplines, venus d’Afrique, d’Afghanistan, de Syrie, d’Iran,…, et « réfugiés » en France, dont les œuvres trouvent place en ce moment même dans les vitrines du ministère de la Culture, rue de Valois.

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    http://www.medias-presse.info/le-ministere-de-la-culture-au-service-de-limmigration-de-grand-remplacement/87981/

  • Voile intégral : vers une interdiction au niveau européen ?

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    Alors que le débat sur l’interdiction du voile intégral en Allemagne occupe le devant de la scène, Thierry Vallat – avocat au barreau de Paris – estime qu’il pourrait y avoir une interdiction globale au niveau européen.

    https://fr.novopress.info/209748/voile-integral-vers-une-interdiction-au-niveau-europeen/

  • L’islam n’est pas compatible avec nos lois et nos mœurs, par Paul Turbier

    Service militaire national et organisation de l’islam en France sont deux projets présidentiels apparemment disjoints, mais sous-tendus par une seule et unique illusion.

    Cette illusion consiste à croire en une possible compatibilité des us et coutumes musulmanes avec les usages et mentalités des Français autochtones.

    Il semble donc qu’au-delà des discours, Monsieur Macron ait fait le constat d’une évidence : l’incompatibilité entre la république laïque et l’islam

    Le service militaire fut jadis un puissant outil d’assimilation des jeunes étrangers récemment naturalisés, mais ces étrangers arrivaient de pays européens, dont la culture et la civilisation, ancrées sur des valeurs chrétiennes, étaient voisines.

    Cette proximité n’est pas réalisée avec les populations d’origine africaine musulmane.

    Espérer que leur cohabitation éphémère en chambrées avec des Européens (chrétiens ou athées) sera fusionnelle est une stupidité.

    L’inadaptabilité des musulmans se voit déjà clairement dans les comportements, comme la persistance des prénoms exotiques pour les enfants de troisième et bientôt quatrième génération, ou celle des coiffures et des vêtures.

    Lorsque M. Macron se lance dans une tentative sarkozienne d’organisation de l’islam, il fait montre de la même méconnaissance du problème que son prédécesseur.

    Il est dans une erreur, très communément rencontrée dans les médias et dans les sphères politiques de gauche, qui consiste à considérer l’islam comme une religion, et seulement une religion, qui serait à mettre sur le même plan que le christianisme ou le judaïsme.

    Il semble ignorer l’indissociable composante sociale, politique et civilisationnelle qui la sous-tend, composant la Charia – qui n’a pas d’équivalent dans le christianisme et qui est oubliée dans le judaïsme dans sa pratique moderne.

    Ni les chrétiens, ni les juifs n’ont besoin d’une organisation extérieure pour vivre et les tentatives faites dans notre Histoire sous la révolution et l’empire pour les réglementer ont été finalement des échecs.

    Lorsque le Président parle d’un islam de France, il méconnaît l’universalité islamique (l’Oumma) et son impossibilité permanente et universelle de coexistence pacifique avec quoi que ce soit d’autre que l’islam lui-même.

    Il oublie que son prosélytisme conquérant et violent s’est toujours propagé par le sabre et non par la prédication.

    Ces deux tentatives se solderont par des échecs dispendieux, et rien d’autre.

    Paul Turbier

    Texte repris du site les4verites.com

    https://fr.novopress.info/

  • Même en France, des ex-musulmans cachent leur conversion par peur des représailles

    6a00d83451619c69e201bb09f69be5970d-800wi.jpgDans un entretien pour Réinformation TV, l’abbé Guy Pagès, prêtre catholique français engagé dans l’évangélisation des musulmans, fin connaisseur de l’islam, déclare :

    "[...] Mais l’on n’annonce pas l’Evangile aux musulmans comme à des athées, et que la raison dernière d’être des institutions est de favoriser le salut de tous, car, comme le disait Pie XII : « De la forme donnée à la société, conforme ou non aux lois divines, dépend et découle le bien ou le mal des âmes (Discours pour le Cinquantième anniversaire de Rerum Novarum, 1er Juin 1941). » A mon avis, le premier problème, le plus important, le plus grave, est celui du comportement de la hiérarchie catholique que beaucoup perçoivent comme lâcheté et compromission.Lorsqu’un évêque finance la construction d’une mosquée, que des évêques posent la première pierre des mosquées, prétendent que l’islam est une bonne religion, n’invitent pas à quitter l’islam, comment ces pasteurs ne nourriraient-ils pas l’indifférentisme, ne videraient-ils pas en conséquence leurs églises, et n’apparaîtraient-ils pas aux yeux des gens sains d’esprit comme des traîtres les conduisant à la mort du temps et de l’éternité ?

    Les non-catholiques désireux de sauvegarder leur identité voient de plus en plus l’Eglise comme une alliée objective de leur mise en esclavage programmée, tandis que nombre de catholiques sont désemparés, affolés, de ne plus trouver secours auprès de leur mère face à cet Antichrist devant lequel tout le monde se couche et qui n’apporte que malheurs et terreurs. Il faut lire à ce sujet la récente Lettre ouverte d’ex-musulmans devenus chrétiens adressée au PapeSi l’Eglise elle-même ne voit pas d’inconvénient à ce que l’islam s’installe en Europe, comment voulez-vous que les Etats puissent trouver quelque chose à y redire ? L’Eglise ne joue plus son rôle de prophète, elle n’imite plus le Bon Berger qui chasse le loup de la bergerie, elle se contente de dialoguer avec lui et même l’appelle à cor et à cri à venir s’installer chez nous… Le souci du salut des hommes paraît avoir complètement déserté les préoccupations du clergé, tout occupé à célébrer la convivialité humaine, terrestre, où chacun a le droit de croire ce qu’il veut…

    Même en France, des ex-musulmans cachent leur conversion à leurs familles et voisins, par peur des représailles, et cette peur se répercute dans l’Église qui ne les accueille bien souvent que du bout des doigts. J’ai l’exemple de cette jeune fille, majeure et vaccinée, dont le père est l’imam bien connu d’une ville de la région parisienne. Elle est allée demander le baptême au curé de sa ville, qui lui répondit : « Mais, votre père est-il d’accord ? » [...]"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • ET PENDANT CE TEMPS, ILS CONTINUENT D’ARRIVER…

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    Parmi les spectacles politiques mis en scène actuellement, le « renvoi des migrants économiques » figure en bonne place. Circulaire Collomb, projet de loi Collomb, déclarations présidentielles en France et à l’étranger, sondages pour « révéler » le point de vue des Français, engagements sur l’hébergement des SDF, déclaration du Premier ministre sur la tradition d’accueil de notre pays…

    Voilà bientôt dix mois que M. Macron a été élu et surfe sur ce thème. Provoquant l’émoi, voire la colère, des associations humanitaires, associations riches de toute l’humanité de nos impôts et de nos déficits. Émoi et colère visant essentiellement à crédibiliser les propos présidentiels et ministériels.

    Pourtant, comment leur accorder le moindre crédit ? Pendant ces dix mois, qui peut dire combien de migrants, jeunes et seuls, donc certainement migrants économiques, sont entrés dans notre pays ? Qui peut avancer une estimation « sérieuse » quant au nombre de ces étrangers qu’il faudrait ramener chez eux pour se conformer aux propos « officiels » ? 100.000 ? 200.000 ? 500.000 ? Davantage ? Qui peut donner la moindre estimation des moyens humains, matériels et financiers ainsi que des délais nécessaires ?

    À en croire le propos présidentiel, la promesse de zéro SDF dans les rues n’a pu être tenue pour le 31 décembre 2017, à cause de l’arrivée « inattendue » de migrants. Arrivée tellement inattendue qu’elle est constante depuis au moins 2015, tolérée sinon organisée, au mépris des lois en vigueur.

    En attendant, ils continuent d’arriver, les budgets déficitaires de la France continuent de financer des centres d’accueil toujours plus nombreux et les journalistes continuent de maquiller la vérité pour entretenir le mythe de Jupiter.

    Faut-il rappeler les programmes antérieurs où, pour favoriser le retour chez eux de nos hôtes, il leur était offert une prime de retour, sans jamais vérifier si les bénéficiaires n’étaient pas de nouveau en France au terme d’un bref séjour dans leur pays. « Ça ne coûte rien, c’est l’État qui paye », disait-on déjà.

    Pour que le propos soit crédible, il faudrait rétablir le contrôle de nos frontières, pour vérifier qui entre, et à quel titre, refuser tout prétendant ne respectant pas les lois en vigueur et vérifier que les expulsés ne reviennent pas, comme si de rien n’était. Le reste n’est que littérature.

    Il y a peu d’immigrés en France depuis que la nationalité française leur est offerte sans conditions. Cela a permis à notre pays de connaître une augmentation « naturelle » de plus de dix-sept millions d’habitants en moins de quarante ans.

    Il y a fort à parier qu’il n’y aura bientôt plus de migrants économiques à renvoyer chez eux, dès lors que notre généreuse administration aura pour instruction de les considérer comme éligibles au droit d’asile, sans conditions.

    http://www.bvoltaire.fr/pendant-temps-continuent-darriver/

  • Naissances : 20% des prénoms sont d'origine musulmane en France

    Valeurs Actuelles s'informe sur FDesouche :

    Capture

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Propagande immigrationniste : destiné aux écoliers, un fascicule éducatif entend corriger les «idées reçues» sur les migrants…

    À l’initiative des associations FCPE et Solidarité Laïque et du syndicat SNUipp-FSU, un livret éducatif, destiné aux enseignants et aux enfants, veut “déconstruire les clichés” qui seraient accolés aux migrants…
  • Immigration – Poussez-vous de chez vous que je m’y mette !, par Philippe Bilger

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    Pourquoi se croit-on tout permis ?

    J’entends sur France Info la députée LREM Elise Fajgeles qui est le rapporteur du projet de loi : Pour une immigration maîtrisée et un droit d’asile effectif (Libération). Elle explique lumineusement la distinction nécessaire à opérer entre l’immigration légale et la clandestine. Celle qui a un titre à demeurer en France et celle qui n’en a pas. Elle a droit au questionnement du journaliste qui ne manque pas d’insinuer qu’il y a donc des “bons” et des “mauvais” migrants.

    Evidemment, aurait-elle dû répliquer vertement. La loi consacre les bons et cible les mauvais. Ce n’est pas vouloir l’effacement des seconds mais seulement rappeler qu’un Etat est dans son rôle quand il corsète et adapte l’humanité et la générosité abstraites au regard de ce qui est possible pour un pays.

    Pourquoi se croit-on tout permis ?

    Parce qu’à force de moquer les propriétaires campés sur leurs biens et accusés d’y tenir, on a peu à peu légitimé toutes les atteintes, même les plus intolérables, au droit d’être tranquillement chez soi et de s’y croire en sûreté.

    Faut-il rappeler l’augmentation des occupations illégales de logements et des loyers impayés qui pour le meilleur occasionne “un long contentieux devant les tribunaux” et, pour le pire, des situations scandaleuses, offensant le bon sens, favorisées par une législation ubuesque qui n’a pas pour vocation le triomphe rapide du droit et de la justice mais le culte d’une absurdité où l’état de droit non seulement ne protège pas mais nourrit la transgression.

    Par exemple, quand les occupants légitimes aspirent à rentrer dans leur appartement ou leur maison passés sous la mainmise de squatteurs, ceux-ci pourraient les poursuivre pour violation de domicile au cas où ils n’auraient pas eu la précaution de faire appel à la police. Ainsi le mal non seulement ne serait pas sanctionné mais se verrait octroyé des pouvoirs pour combattre ses victimes! Il me semble qu’une telle dérive pourrait faire rire tant elle est un défi à l’équité si elle n’entraînait pas des épreuves considérables pour ces honnêtes gens qui s’obstinent à user de leurs droits et à faire confiance à la Justice. Pour eux, c’est trop souvent l’enfer judiciaire et social.

    Cela va plus vite quand ces propriétaires ou locataires font appel à des jeunes du quartier pour déloger les Roms.

    L’épopée burlesque et tragicomique d’un ancien chirurgien propriétaire d’une villa envahie après effraction par une famille “ayant pris ses aises, redécoré et installé une piscine” est à retenir (Le Figaro). Ces péripéties ont duré dix-sept mois et apparemment le film avec Christian Clavier “A bras ouverts” n’était rien à côté d’elles.

    Il est facile de se gausser de ces mésaventures, de les tourner en dérision. On est toujours miséricordieux et débordant d’altruisme avec le coeur des autres. Ailleurs que chez nous nous sommes prêts à accueillir une multitude de migrants et d’occupants sans titre.

    Pourquoi, dans notre société, se croit-on tout permis ?

    Parce que l’Etat feint de ne pas voir ce qu’il ne sait plus interdire et que le citoyen est abandonné trop souvent à lui-même.

    Parce que la justice est lente, longue et hésitante et qu’on sait parfaitement qu’entre la transgression et l’illicéité que l’urgence favorise et l’enlisement dans une interminable temporalité qui épuise le plaignant plus qu’elle ne l’assure de recouvrer ses droits et l’état de ses biens, la lutte est inégale. L’honnêteté perd à tout coup. Encore heureux que la victime ne soit pas stigmatisée parce qu’elle a la faiblesse d’attendre de l’autorité publique, quand cette dernière est violée, un secours, un recours, une restauration.

    Pourquoi se croit-on tout permis ?

    Parce que les frontières ont disparu à peu près partout et que celui qui invoque son droit doit aujourd’hui se justifier, son apparente présomption de force étant battue en brèche par l’affichage et l’exploitation de la faiblesse et de son infinie puissance émotionnelle. Qui ne fait plus pleurer a perdu.

    Parce qu’il est plus facile de laisser tout aller, de faire un salmigondis de bien et de mal et de s’épargner les dures contraintes de la rigueur et de l’ordre que de muscler la démocratie et d’assurer à chacun la sécurité.

    Et d’aider ceux à qui avec impudence on criera “poussez-vous de chez vous que je m’y mette” à répondre doucement mais fermement : “Je suis chez moi, dans mon appartement, dans ma vie, dans mon pays”.

    Philippe Bilger

    Texte repris du site Philippebilger.com

  • LES CLANDESTINS PEUVENT PRENDRE LE TRAIN TRANQUILLEMENT ET GRATIS : LA DIRECTION DE LA SNCF SE COUCHE DEVANT LA CGT

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    La section locale de la CGT des cheminots de Bordeaux représente-t-elle l’opinion de l’ensemble des contrôleurs de la SNCF ? On peut en douter. Jugez-en vous-mêmes.
    Une note interne du 16 février a suscité son émoi : « “Lors de vos missions”, précise-t-elle, “si vous remarquez la présence d’un groupe constitué de population migrante, il est rappelé l’absolue nécessité de ne pas vous exposer” et d’“aviser l’escale et le SA Rennes” ». Il est indiqué, notamment, « si la situation le permet, de recueillir le maximum d’informations (nombre de personnes, présence d’enfants, gare de destination, raisons de cette mobilité…) » et « si le dialogue est possible, [de] rappeler la possibilité de voyager en règle ».

    Voilà qui est dit avec précaution, dans un vocabulaire qui relève de l’euphémisme. Cette note a pourtant provoqué l’indignation de la section locale de la CGT, qui estime que ce n’est pas le travail des contrôleurs, et refuse de « faire du délit de faciès » ou de se comporter « comme une milice de la préfecture ». Elle dénonce « une incitation à des pratiques de discrimination et de délation vis-à-vis d’une population d’usagers de par leurs origines ou leur apparence physique ». Pire : « Les préconisations sous-entendent que des usagers d’origine étrangère qui voyageraient en groupes seraient soit disant (sic) dangereux et en situation de fraude. »

    Gênée aux entournures d’être accusée de discrimination, la direction a joué aux Ponce-Pilate : cette note serait « le fruit d’une initiative personnelle » et « la direction régionale n’en avait pas connaissance et ne l’a donc pas validée ». Et d’ajouter qu’« [elle] ne reflète en aucun cas la politique nationale de la SNCF qui se doit de communiquer les coordonnées des services pouvant aider les populations concernées par la crise migratoire ».

    Certes, ce n’est pas la mission première des contrôleurs de signaler des groupes de migrants illégaux. Ce serait plutôt le rôle de la police. Encore faudrait-il disposer des effectifs nécessaires. Mais n’est-ce pas un devoir civique de donner des informations aux autorités de tutelle, quand ils en remarquent sur les quais ou à bord des trains ? Que dirait-on d’un professeur qui, constatant que des élèves se droguent ou sont manifestement perturbés, n’en parlerait pas à sa direction ou au conseiller principal d’éducation, en arguant que ce n’est pas son travail ? 

    Dans ces instructions contestées, on apprend aussi que des migrants voyageraient sans billet, puisque la note rappelle pudiquement qu’il est possible de « voyager en règle ». Faut-il que la CGT s’en indigne et y voie une forme de « discrimination » ? Voudrait-elle exprimer sa solidarité avec ces nouveaux prolétaires ? À coup sûr, les contrôleurs qui ne sont pas offusqués par cette note sont des collaborationnistes et des fachos !

    La direction de la SNCF, avec le courage de ceux qui baissent leur culotte, a retiré cette note et fait acte de contrition : elle rappelle que « la politique nationale de SNCF […] se doit de communiquer les coordonnées des services pouvant aider les populations concernées ». Si l’on comprend bien, les contrôleurs ne peuvent pas signaler les groupes de migrants illégaux, mais doivent faire le travail de l’administration ou des associations qui leur viennent en aide.

    Il ne s’agit pas, bien sûr, de traiter les migrants qui se déplacent en train comme des parias. Mais la moindre des choses serait de ne pas pratiquer à leur égard quelque « discrimination positive », surtout quand ils sont dans l’illégalité. On verbaliserait sans état d’âme une personne âgée qui a oublié sa carte senior, mais on refuserait de signaler un groupe de migrants dans l’illégalité ? Voilà qui n’est pas très sérieux et tient d’un choix plus partisan qu’humaniste !

    http://www.bvoltaire.fr/clandestins-peuvent-prendre-train-tranquillement-gratis-direction-de-sncf-se-couche-devant-cgt/

  • Saint-Malo (35) : Le maire Claude Renoult annonce « l’objectif de repeupler » la cité historique avec des migrants musulmans clandestins

    Source Breiz Atao cliquez ici

    167267916.jpgLa cité historique de Saint-Malo va bientôt recevoir des dizaines de migrants clandestins à l’initiative du maire, Claude Renoult. L’objectif décrété par ce dernier : « repeupler » la ville historique avec des allogènes, notamment en accordant des logements sociaux aux clandestins afro-musulmans.

    Saint-Malo participera à « l’élan de solidarité nationale », comme le souhaitait le maire, en ouvrant un centre d’accueil pour migrants. Plus précisément un centre d’accueil et d’examen des situations (CAES). Le préfet de Bretagne Christophe Mirmand et le maire de Saint-Malo Claude Renoult l’ont confirmé mercredi 21 février 2018.

    Une première colonie de 50 éléments extra-européens seront installés dans la commune, « pas de famille, uniquement des hommes majeurs isolés et résidant actuellement en région parisienne », précise le Préfet seront logés dans cette partie d’immeuble composée de plusieurs appartements.

    Cependant, le maire a un autre objectif : « repeupler » le centre historique de la cité corsaire. Pour cela, il va offrir des logements sociaux flambants neufs.

    Quant à l’ancien bâtiment de la DDTM, situé rue de la Crosse Intra-Muros, et longtemps pressenti pour accueillir ce centre, la mairie est actuellement en pourparlers pour le racheter à l’État et y aménager des logements sociaux et intermédiaires, toujours dans l’objectif de « continuer à repeupler Saint-Malo », insiste le maire.

    Des logements sociaux qui bénéficieront, naturellement, aux « nouvelles populations » devenues prioritaires en la matière. La colonisation rampante de la ville au profit des migrants afro-musulmans a donc commencé. Ce que l’édile qualifie de « repeuplement », c’est-à-dire l’exacte application de ce qu’avait annoncé Manuel Valls lorsqu’il était chef du gouvernement français (lire ici).

    Le niveau de xénophilie du maire et de la clique qui l’entoure est tel que l’africanisation et l’islamisation sont perçues comme devant être recherchées à tout prix pour « repeupler » cette cité historique emblématique.

    La tiers-mondisation qu’elle induira fatalement, spécialement en termes d’effondrement culturel et de crime, condamne la ville à disparaître dans l’abîme du déclin et de la déchéance.

    La dégénérescence du personnel politique actuel annonce l’inévitable catastrophe pour des populations qui auront accepté de se subordonner à des chefs qui organisent l'invasion et le chaos ethnique.