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Ces écoles où l’on ne parle plus français
Loin des regards du monde politique, des parties entières du territoire font lentement sécession. Un processus inquiétant qui se manifeste dès l’école.C’était une fin de journée d’automne. Hélène, une institutrice chevronnée, raccompagnait chez eux quelques élèves de la cité voisine. « Je m’y revois encore, raconte-t-elle. J’étais au coin de cet immeuble quand j’ai entendu qu’on m’appelait : “Madame la maîtresse, madame la maîtresse.” Je me suis retournée, j’ai vu deux petites filles voilées. J’ai dû faire un effort pour les reconnaître. C’était deux de mes élèves. Je leur ai demandé pourquoi elles étaient voilées puisqu’elles ne l’étaient jamais en arrivant à l’école. Elles m’ont répondu qu’elles allaient assister à leur cours d’arabe. »La scène s’est déroulée dans une cité d’une petite ville au nord de Paris. On y arrive par le train. Dès la sortie de la gare, le regard découvre les magasins fermés, les stores baissés et l’impression que l’activité qui subsiste malgré tout a changé de visage : enseignes de restauration rapide, maisons à vendre, boutiques de téléphonie, supérettes bas de gamme, coiffeurs exotiques… Dans la rue, on croise des groupes de jeunes, maghrébins ou turcs, beaucoup d’Africains aussi, et des jeunes filles voilées. Cette ville, parmi les plus pauvres de France, compte une cité qui a longtemps défrayé la chronique avant d’être l’objet d’un programme de réhabilitation qui, si elle a changé la forme, n’a rien réglé sur le fond. C’est dans les écoles de cette cité qu’enseigne Hélène.« Dans ma classe, il n’y a aucun primo-arrivant, mais les origines sont pour un tiers africaine, un tiers turque et un tiers maghrébine, explique-t-elle. J’ai quelques Picards, souvent issus de familles très défavorisées, des “cas sociaux”, comme ils disent eux-mêmes, et aussi quelques enfants de “gens du voyage” qui se sont sédentarisés. Pour la religion, c’est 90 % de musulmans. En tant qu’institutrice, ce qui m’inquiète au plus haut point, c’est que ces enfants, qui sont tous français, sont de moins en moins capables de comprendre notre langue. » Et de décrire une cour de récréation scindée en plusieurs groupes, définis non plus par l’ancestrale séparation entre le football, la marelle ou l’élastique, mais par la langue parlée : le turc, l’arabe ou le soninké. Le français a presque disparu. Les parents d’élèves, très impliqués, ont d’ailleurs récemment émis le souhait que le compte rendu du conseil de classe, qui leur est adressé, soit désormais rédigé en trois langues.L’apprentissage du Coran est jugé prioritaire par les parentsLes conséquences sur le niveau scolaire sont dramatiques. « Je passe des heures à leur apprendre à lire, reprend l’institutrice. Ils accusent en moyenne deux années de retard. Et il faudrait ouvrir des créneaux d’enseignement de langues étrangères ? Est-ce qu’ils ont conscience au ministère qu’ici, c’est le français la langue étrangère ? » Les rapports avec les parents s’en trouvent considérablement compliqués. « Avant, il y avait toujours une grande sœur ou une voisine pour expliquer à la maman quel était le problème avec l’enfant. Aujourd’hui, on n’a même plus ça. On ne va pas quand même pas demander à l’Éducation nationale de payer des traducteurs, comme dans les tribunaux ? » Pour Hélène, aujourd’hui en fin de carrière, c’est l’arrivée des paraboles qui a tout changé. Les familles, qui regardent les chaînes de télévision de leur pays d’origine, n’entendent presque plus jamais parler notre langue. « Je dis aux parents : mettez au moins les dessins animés en français », se lamente l’institutrice.La cité, où la nuit tombe doucement, est plutôt proprette, à l’exception de quelques bâtiments qui n’ont pas été refaits et qui se délitent lentement. L’œil exercé observe cependant quelques rassemblements suspects, quelques regards hostiles qui pèsent sur un véhicule inconnu, des commerces, qui n’étaient pas “licites”, récemment vandalisés, et même une voiture de la Bac en maraude, feux éteints. Hélène désigne du doigt l’immeuble où la scène qui l’a tant marquée s’est produite. Les deux petites étaient là, occupées à faire griller du maïs sur un barbecue de fortune. « Elles font comme chez elles, poursuit l’enseignante. Dans l’immeuble lui-même, les appartements sont ouverts, ils communiquent. C’est le village africain. On a quelques familles polygames. Quand les pères sont au pays, les mères s’entraident. Elles ne posent pas de problèmes, d’ailleurs. Elles bossent, les hommes aussi, et tous respectent l’école et les professeurs. »Les “cours de Coran” évoqués ont lieu en fin de journée, deux heures par jour, cinq fois par semaine, comme une école complémentaire. La structure n’existe pas à proprement parler — il s’agit d’un ancien garage, d’un appartement privé, de l’arrière-salle d’un restaurant. Rien d’officiel, mais précisément cette clandestinité rend les pouvoirs publics impuissants. « Ils peuvent bien annoncer la fermeture d’une “école coranique”, il s’en ouvre une autre cent mètres plus loin huit jours plus tard », commente Hélène. À l’entendre, c’est inexorable, en tout cas ici, dans une région qui vit naître la dynastie capétienne.Le problème n’est pas tant que des enfants musulmans apprennent le Coran, mais que cet apprentissage, jugé prioritaire par les parents, empêche des élèves déjà faibles, chez qui le français n’est pas maîtrisé, de faire leurs devoirs le soir, ou d’aller à l’étude et d’acquérir les outils nécessaires à leur intégration future. Au lieu de cela, ils s’imprègnent d’un matériau qui ne constitue pas un des éléments de base de la citoyenneté française, tant s’en faut. « Prenez les jeunes filles, insiste Hélène. Les familles n’ont aucune envie de les voir s’instruire. Elles ne maîtriseront pas le français, ne sauront jamais conduire, resteront subordonnées — on le voit bien avec les mamans, dont la signature n’a pas de valeur… » Et l’institutrice d’évoquer le cas d’une famille pakistanaise dont trois des cinq filles ont suivi un chemin identique. « À 15 ans, elles repartent passer de très longues “vacances” au pays où leur père, qui n’est pas pauvre, tient un commerce de tissus. Elles en reviennent enceintes et on apprend qu’elles sont mariées ou qu’elles vont l’être. Elles n’ont rien pu y faire et nous non plus. » À l’encontre du “pas de vagues” qui tient souvent lieu de mot d’ordre, une équipe éducative et sociale a tenté d’intervenir. L’affaire a pu être portée à la connaissance de la justice, qui a diligenté une enquête. « C’est terrible à dire, mais ça donne une impression de conquête lente, conclut Hélène en approchant de la gare. Une conquête qui passe par le ventre de ces jeunes filles. » -
Bistro Libertés avec Christine Tasin
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Alternative für Deutschland : vers un réveil identitaire allemand
ALLEMAGNE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) :
Réveil identitaire allemand : l’article du Figaro autour duquel nous avons construit cette majeure ne sait sur quel pied danser…Son titre : « Plongée dans le fief est-allemand de l’extrême droite » se veut naturellement ostracisant, alors que le corps du texte est beaucoup plus mesuré. Il faut savoir que si les journalistes se laissent parfois aller au politiquement incorrect, ce sont les rédacteurs en chef, aux ordres, qui imposent titres et intertitres, dans la droite-ligne de la pensée dominante. L’article parle ainsi sans le nommer d’un « nouveau parti [qui] a surgi, atteignant plus de 12,6 % des voix – score sans précédent depuis 1945 pour une formation qui revendique un nationalisme sans complexes ». Au lecteur de comprendre qu’il s’agit de l’AfD, Alternative für Deutschland…
Que décrit le journaliste ?
Un nationalisme en effet « sans complexe ». Il parle de « la lame de fond du réveil identitaire allemand dans les terres saxonnes de l’ex-Allemagne de l’Est ». Avec les manifestations du mouvement Pegida en 2014, les Allemands de l’Est se sont ainsi remis à chanter l’hymne national, y compris les deux premiers couplets occultés depuis 1945, dont le fameux « Deutschland über alles ! ».
Un policier estime qu’« au moins 80 % des policiers allemands ont voté pour l’AfD », parce qu’« ils voient la réalité se dégrader ». L’homme exprime toute sa colère : « entre le virage à gauche de la CDU, la vague des migrants et le politiquement correct des médias ».
L’Eurocratie bruxelloise est tout particulièrement honnie par l’opinion : « L’Europe des patries de De Gaulle et d’Adenauer, voilà le modèle, au lieu du monstre administratif actuel ». La politique anti-immigrationniste des pays du groupe de Visegrad, et entre autres de la Hongrie, est en revanche plébiscitée. « N’oubliez pas qu’ils ont vaincu les Turcs à Vienne, il y a 300 ans. Ils veulent préserver leur identité chrétienne ! »
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« Réfugiés » musulmans, il s’agit bien d’une invasion
Le rapport Europe’s Growing Muslim Population édité par le Pew Research Center le 29 novembre 2018 montre l’évolution supposée de la population musulmane d’Europe selon plusieurs perspectives, notamment avec afflux de réfugiés.
Voici quelle est la situation en 2016 selon l’étude :
- Plus de 20 % de musulmans : Chypre (25,4 %).
- Plus de 10 % de musulmans : Bulgarie (11,1 %).
- Plus de 6 % de musulmans : France (8,8 %), Suède (8,1 %), Belgique (7,6 %), Pays-Bas (7,1 %), Autriche (6,9 %), Royaume-Uni (6,3 %), Allemagne (6,1 %), Suisse (6,1 %).
- Plus de 3 % de musulmans : Norvège (5,7 %), Grèce (5,7 %), Danemark (5,4 %), Italie (4,8 %), Slovénie (3,8 %), Luxembourg (3,2 %).
- Moins de 3 % de musulmans : Finlande (2,7 %), Espagne (2,6 %), Malte (2,6 %), Croatie (1,6 %), Irlande (1,4 %), Portugal (0,4 %), Hongrie (0,4 %), Roumanie (0,4 %), Estonie (0,2 %), Lettonie (0,2 %), Tchéquie (0,2 %), Lituanie (0,1 %), Slovaquie (0,1 %).
- Pas de musulmans :
Voici selon l’étude l’hypothèse du pourcentage de musulmans en 2050, perspective basse (frontières fermées sans re-migration) :
- Plus de 20 % de musulmans: Chypre (25,5 %).
- Plus de 10 % de musulmans : France (12,7 %), Bulgarie (12,5 %), Suède (11,1 %), Belgique (11,1 %).
- Plus de 6 % de musulmans: Royaume-Uni (9,7 %), Autriche (9,3 %), Pays-Bas (9,1 %), Allemagne (8,7 %), Italie (8,3 %), Suisse (8,2 %), Danemark (7,6 %), Norvège (7,2 %), Grèce (6,3 %).
- Plus de 3 % de musulmans : Espagne (4,6 %), Slovénie (4,3 %), Finlande (4,2 %), Luxembourg (3,4 %), Malte (3,2 %).
- Moins de 3 % de musulmans : Croatie (1,8 %), Irlande (1,6 %), Portugal (0,5 %), Hongrie (0,4 %), Roumanie (0,4 %), Estonie (0,2 %), Lettonie (0,2 %), Tchéquie (0,2 %), Lituanie (0,1 %), Slovaquie (0,1 %).
- Pas de musulmans :
Deuxième scénario étudié, hypothèse du nombre de musulmans dans une perspective moyenne en 2050 :
- Plus de 20 % de musulmans: Chypre (26,6 %), Suède (20,6 %).
- Plus de 10 % de musulmans : France (17,4 %), Royaume-Uni (16,7 %), Belgique (15,1 %), Norvège (13,4%), Italie (12,4 %), Danemark (11,9 %), Finlande (11,4 %), Allemagne (10,8 %), Autriche (10,6 %), Suisse (10,3 %).
- Plus de 6 % de musulmans: Malte (9,3 %), Bulgarie (9,2 %), Grèce (8,1 %), Luxembourg (6,7 %).
- Plus de 3 % de musulmans : Slovénie (5 %), Irlande (4,3 %).
- Moins de 3 % de musulmans : Portugal (2,5 %), Croatie (2 %), Hongrie (1,3%), Tchéquie (1,1 %), Roumanie (0,8 %), Estonie (0,8 %), Slovaquie (0,6 %), Lettonie (0,2 %), Pologne (0,2 %), Lituanie (0,1 %).
Troisième scénario étudié, déstabilisation des derniers pays musulmans stables (en particulier Algérie et Egypte), annonçant un flot de réfugiés :
- Plus de 30 % de musulmans : Suède (30,6 %).
- Plus de 18 % de musulmans : Chypre (28,3 %), Autriche (19,9 %), Allemagne (19,7 %), Belgique (18,2 %), France (18 %).
- Plus de 12 % de musulmans : Royaume-Uni (17,2 %), Norvège (17 %), Malte (16,2 %), Danemark (16 %), Pays-Bas (15,2 %), Finlande (15 %), Italie (14,1 %), Suisse (12,9 %).
- Plus de 6 % de musulmans: Bulgarie (11,6 %), Luxembourg (9,9 %), Grèce (9,7 %), Espagne (7,2 %).
- Plus de 3 % de musulmans : Slovénie (5,2 %), Hongrie (4,5 %), Irlande (4,4 %).
- Moins de 3 % de musulmans: Portugal (2,5 %), Croatie (2,1 %), Tchéquie (1,2 %), Estonie (1 %), Roumanie (0,9 %), Slovaquie (0,7 %), Lettonie (0,4 %), Lituanie (0,2 %), Pologne (0,2 %).
Hristo XIEP
http://www.medias-presse.info/refugies-musulmans-il-sagit-bien-dune-invasion/87412/
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TOLÉRANCE ZÉRO : MENNEL IBTISSEM ABANDONNE THE VOICE ! ALLÉLUIA !
Ainsi que nous l’imaginions dans un précédent papier, le management de TF1 a bien été pris de sacrés maux de tête. Se retrouver – parce que la prod de « The Voice » n’a pas fait son boulot correctement – avec une candidate qui a soutenu une thèse conspi sur l’attentat de Nice, a tweeté « Les vrais terroristes, c’est notre gouvernement », entre autres errements, ça devenait intenable.
Il faut une tolérance zéro à l’encontre de ceux qui se positionnent un tant soit peu aux côtés des ennemis de la France. Même lorsque le coupable est une jolie fille aux yeux verts d’innocence. Rien ne doit nous troubler dans ce combat fondamental : il ne faut rien laisser passer.
Sihame Assbague, l’amuseuse publique co-organisatrice des camps interdits aux Blancs, éructe sur Twitter. Racisme ! Racisme ! Racisme ! Et pose la question : « Qu’est-ce que ça dit de ce pays ? »
La réponse est simple et plutôt belle : ça dit que ce pays est indéfectiblement solidaire de ceux qui meurent sous les balles des islamistes. Ça dit que ce pays ne supportera jamais qu’on se range du côté de la cinquième colonne qui tue, écrase, démembre les enfants de France. Ça dit qu’il y a, à la tête de TF1, des personnes responsables qui refusent de donner en exemple à la jeunesse une pauvrette en dérive qui retweete Barakacity et Dieudonné, aussi talentueuse soit-elle pour chanter.
Les activistes s’étouffent, offusqués : « Si vous êtes allés vérifier ses tweets, c’est parce qu’elle portait ses cheveux couverts. » Well, il se trouve que les thèses conspi sur les attentats fleurissent assez peu (euphémisme poli) sur les comptes Twitter des membres du Bottin mondain. C’est comme ça. On n’y peut rien. C’est pas de notre faute.
Quant à crier au racisme en réaction à l’éviction d’un télé-crochet d’une Française blanche aux yeux verts, c’est tellement ridicule qu’on ne fera qu’en rire. Grassement. À la franchouillarde.
Il faut rester vigilants. Untel porte un regard biaisé sur les attentats qui ensanglantent la France, l’autre pleurniche « Oui, enfin, regarde la Palestine… », un troisième chouine « Tu sais, naître dans les banlieues… », un quatrième trouve d’autres excuses, un cinquième des raisons, un sixième des motifs… jusqu’au prochain attentat, jusqu’aux prochains enfants déchiquetés devant leurs parents, jusqu’aux prochains corps démembrés sous les roues d’un camion conduit par une ordure hurlant qu’Allah est grand.
Il faut rester intolérants devant toute expression de solidarité – aussi infime soit-elle – envers ceux qui veulent importer en France leur loi qui n’est pas celle de la République. Qu’ils essaient par les armes, par le viol ou même par le soft power, il faut qu’ils sachent qu’ils trouveront toujours devant eux, faisant barrage, des dizaines de millions de Français fidèles, sûrs, vigilants.
La bonne nouvelle, c’est que, désormais, même s’il se déguise, le serpent qui siffle ses mensonges, ses insinuations malsaines et ses offenses aux familles de France est immédiatement reconnu et circonscrit.
Vous chantiez ? Eh bien, taisez-vous, maintenant !
http://www.bvoltaire.fr/tolerance-zero-mennel-ibtissem-abandonne-the-voice-alleluia/
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Les ratés de la mixité sociale dans l’Est parisien
Plus de dix ans après l’avoir quitté, la journaliste Géraldine Smith revient dans le 11e arrondissement de Paris. Un quartier toujours prisé des bobos et autres hipsters, mais où l’islam intégriste prospère.« Bobo », « classe créative », « branchés »… Chacune de ces expressions recouvre une réalité un peu honteuse, celle de milieux mi-intellos, mi-artistes, conscients des enjeux politiques et sociaux de ce monde, mais qui, plutôt que de les affronter directement, préfèrent faire un pas de côté, en s’imaginant que des solutions esthétiques suffiront pour les apaiser. Ils investissent par exemple des quartiers populaires, croyant venir ajouter aux « United Colors of Benetton ». Ils fréquentent des cafés à la mode, où l’on mange forcément bien parce que bio, et croient ainsi aider à réaliser les promesses d’une République fraternelle et solidaire, alors qu’ils viennent en fait profiter du repli communautaire pour s’inventer un monde à eux.Au fil du temps, la bonne conscience bobo ne tient toutefois pas le choc de la réalité. Dans son ouvrage sur la difficile coexistence communautaire rue Jean-Pierre-Timbaud, la journaliste Géraldine Smith ne se décrit pas elle-même comme bobo, même si elle reconnaît qu’elle trouvait « très cool » d’habiter un quartier aussi bigarré. Après avoir élevé ses deux enfants à proximité, elle revient, plus de dix ans après, dans un quartier où l’islam intégriste et les petits vendeurs de drogue prospèrent, où la République n’arrive plus à intégrer ses enfants, et où les incivilités seraient devenues insupportables. Ces retrouvailles se font alors que c’est précisément ce Paris-là qui est devenu une scène d’attentats, en 2015.On croise amis et connaissances, parents d’élèves, directeurs d’école publique ou privée, cafetiers, mais aussi les enfants laissés à eux-mêmes, les dealers, les mamans voilées, les boulangers musulmans qui servent les femmes en dernier…Avec son époux, Stephen Smith, ancien journaliste au Monde, Géraldine Smith a déjà fait paraître un ouvrage, Noir et français ! (Ed. du Panama, 2006), sur la tentation identitaire qui traverse la communauté noire de France. Elle propose maintenant...Lien permanent Catégories : actualité, France et politique française, immigration, insécurité, lobby, social 0 commentaire -
La Hongrie veut taxer les ONG soutenant l’immigration illégale
Hongrie – Le gouvernement hongrois a annoncé sa volonté d’introduire un ensemble de lois visant à taxer les ONG soutenant l’immigration illégale et à utiliser cet argent pour renforcer la protection des frontières. Cette nouvelle étape fait suite aux bons résultats de la consultation nationale sur le plan Soros, sur laquelle 2,3 millions de citoyens hongrois ont donné leur point de vue, quasi-unanimement favorable au gouvernement dans sa lutte contre l’influence des réseaux mondialistes de George Soros.
Voici la note publiée par le Bureau international de la communication du gouvernement hongrois :
« Le point de vue du gouvernement hongrois est que l’immigration de masse illégale est un problème qui affecte l’Europe dans son ensemble, ce qui pose de sérieux risques pour la sécurité et peut aussi affecter l’avenir du continent pendant plusieurs décennies.
Étant en première ligne, la Hongrie est particulièrement exposée aux effets de l’immigration de masse : le nombre d’immigrants entrant dans l’Union européenne à travers le pays avait atteint quatre cent mille en un an.
Le gouvernement hongrois s’oppose à l’immigration illégale par tous les moyens possibles. Nous devons renforcer la sécurité des citoyens. Notre objectif est que l’Europe continue d’être le meilleur endroit sur Terre pour vivre. Dans l’esprit de cette vision, le gouvernement a présenté un ensemble de projets de loi au Parlement.
Les dispositions les plus importantes sont les suivantes :
– Toute organisation qui soutient l’immigration illégale en utilisant des ressources financières étrangères sera enregistrée et obligée de rendre compte de son activité.
– Une taxe sera imposée sur le financement étranger des organisations soutenant l’immigration clandestine. Ce revenu public sera investi dans la protection des frontières.
– Il sera possible d’émettre des injonctions contre ceux qui participent à l’organisation de l’immigration clandestine. En substance, de telles injonctions s’appliqueront dans toute zone située à moins de 8 kilomètres de la frontière Schengen. Dans des cas spéciaux, un citoyen de pays tiers pourra être soumis à une injonction restrictive n’importe où en Hongrie. Cette mesure restera en vigueur jusqu’à la fin de la crise migratoire.
Les consultations nationales de l’année dernière ont montré l’opinion presque unanime des citoyens hongrois, légitimant ainsi le gouvernement pour agir en ce sens : 1,7 million de personnes ont pris part et exprimé leur avis lors d’une consultation nationale au printemps dernier, alors que 2,3 millions l’ont fait l’automne dernier. D’après les résultats, les Hongrois veulent que l’immigration clandestine soit traitée une fois pour toutes. Ils demandent une protection renforcée des frontières au lieu de la relocalisation de migrants. Le gouvernement est également soutenu par les 3,3 millions de personnes qui ont rejeté la réinstallation par quotas des immigrants illégaux lors d’un référendum national en octobre 2016.
Le gouvernement hongrois est prêt à participer à des discussions ouvertes sur les projets de loi. Il remplit ses obligations internationales, tout en adoptant des mesures démocratiques pour contrer les activités dommageables des réseaux internationaux qui menacent la sécurité de la Hongrie en organisant l’immigration illégale. »
http://www.medias-presse.info/la-hongrie-veut-taxer-les-ong-soutenant-limmigration-illegale/87394/
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Les femmes allemandes se rebellent contre les violences des migrants
Les Allemandes lancent leur #MeToo contre les violences faites aux femmes par les migrants !
Les alarmes de poche, qu’on peut acheter pour se défendre, ont une puissance de 120 décibels. C’est le nom que ce nouveau mouvement de femmes en Allemagne a choisi pour alerter l’opinion sur les viols et les meurtres qu’elles subissent en provenance des étrangers.
La vidéo a été visionnée plus de 60 000 en cinq jours, et a généré plus de 800 commentaires. Dans le film, neuf jeunes femmes accusent les pouvoirs publics de ne rien faire pour les protéger :
« Nous ne sommes pas en sécurité quand nous allons courir, quand nous sortons, quand nous revenons tard. Vous le savez, vous avez ouvert les frontières et nous en sommes le prix. Mais nous ne sommes pas des esclaves, pas des trophées de guerre. »
Francesca de Villasmundo
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La chanteuse voilée quitte The Voice
Suite à la révélation de sa proximité avec la mouvance islamiste, la chanteuse Mennel Ibtissem annonce sur Facebook quitter l'émission "The Voice".
Les copies d'écran de ses délires sont sur FDesouche.
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Reprendre le contrôle des zones de non-droit
Par Ligne droite, rassemblement de Français engagés pour une droite nouvelle
Parmi les nombreuses formes que prend l’insécurité dans notre pays, les cités sensibles sont sans doute les plus préoccupantes en raison de l’accumulation des actes délictueux ou criminels qui y sont commis, mais aussi parce que c’est clairement l’autorité, voire la souveraineté, de l’État français qui y sont bafouées. Aussi Ligne droite estime-t-elle indispensable que notre nation reprenne le contrôle des zones de non-droit.
Les lois de la République bafouées
Dans ces quartiers qui portent bien leur nom, les lois de la République n’y sont en effet plus appliquées. Et pour cause, les services de l’État n’y pénètrent plus que très difficilement. La police, quand elle doit s’y aventurer, y entre en force. Les pompiers et autres services publics voient leurs véhicules régulièrement caillassés. Même les médecins y sont parfois agressés.
Autant dire, dans ces conditions, que les voyous y règnent en maîtres. Ainsi le trafic de drogue dispose au sein de ces cités d’un terrain privilégié pour s’y développer presque au grand jour. Les bandes y sont nombreuses et agressives et la grande criminalité y trouve là ses appuis et ses auxiliaires. Quant aux habitants ordinaires, ils doivent subir des nuisances et des incivilités de toutes sortes ainsi que des vols et des agressions qui rendent leur vie quotidienne particulièrement éprouvante.
Les femmes qui ne respectent pas la tenue musulmane traditionnelle sont par ailleurs soumises à un harcèlement incessant. Car, dans la plupart de ces cités, l’islam est aussi très présent et, à bien des égards, très menaçant. Beaucoup de ces zones de non-droit ont pu être qualifiées par des experts de califats localisés, c’est-à-dire d’enclaves islamistes que les djihadistes et autres aspirants terroristes utilisent comme zone de refuge, de protection et de soutien, selon le modèle de Molenbeek, la commune tristement célèbre des environs de Bruxelles.L’unité de la nation menacée
Aussi ces zones de non-droit posent-elles un problème majeur. La République ne peut en effet pas tolérer que des portions de son territoire ne soient plus soumises à ses lois. L’accepter, ce serait d’abord faire l’aveu d’une faiblesse honteuse qui ne pourrait qu’inciter les voyous à aller toujours plus loin dans le défi aux autorités. Mais ce serait aussi remettre en cause le principe de l’unité de la République et s’engager sur la voie du communautarisme, voire de la partition de fait du territoire.
Des solutions qui ne règlent rien
Le Système l’a bien senti qui, au cours des dernières décennies, a tenté plusieurs initiatives pour esquisser des solutions au problème. Il y a eu la rénovation urbanistique consistant à détruire les tours pour bâtir des immeubles plus à l’échelle humaine. Mais, si ces opérations apportent en effet un mieux-être aux habitants les plus tranquilles, elles ne règlent nullement le problème des cités. Car celui-ci est lié aux racailles qui y résident et non aux murs qui les abritent. Nos gouvernants ont aussi imaginé de faire massivement appel à des animateurs en tout genre, relayés par des associations richement dotées et aidés de policiers de proximité. L’idée, qui est d’amadouer, d’éduquer et d’encadrer les voyous, a là aussi trouvé ses limites car, pourvoyeuse de beaucoup d’argent et de nombreux avantages, l’initiative a été en quelque sorte absorbée par le milieu des délinquants qui a pris ce qu’il y avait à prendre sans améliorer vraiment la situation.
Le pouvoir à l’État, pas aux mafieux
Ligne droite estime en conséquence que le moment est venu de changer de méthode et de recourir à l’autorité. Pour cela, les pouvoirs publics doivent comprendre qu’il s’agit pour les délinquants de ces quartiers d’une question de pouvoir et de rapport de force. Celui qui sera obéi est celui que l’on respecte parce qu’il est le plus fort et qu’il a de ce fait le pouvoir. Dès lors, la question est simple : qui a le pouvoir dans les cités : le mafieux, l’imam ou le préfet ? Pour rétablir l’autorité de l’État dans ces zones de non-droit, la seule solution est donc de lancer des actions de force pour y imposer à nouveau et durablement le pouvoir des représentants de l’État.
Des opérations de remise en ordre
Concrètement, l’idée consiste à effectuer des opérations spéciales de remise en ordre, au cours desquelles le quartier ciblé est investi par d’importantes forces de police qui s’y installent à demeure et en contrôlent les entrées et les sorties. Présentes au moins pendant trois mois, elles ont pour mission de permettre à tous les services de l’État de normaliser la situation. Les clandestins et les délinquants étrangers sont interpellés et aussitôt expulsés. Les trafiquants sont arrêtés et incarcérés. Des fouilles systématiques sont effectuées pour y découvrir les caches et saisir la drogue et les armes. Les fauteurs de trouble sont mis à l’écart et les étrangers parmi eux voient leur permis de séjour supprimé. Les familles indésirables sont reléguées hors de la cité. La liste des locataires est revue pour, le cas échéant, rééquilibrer la population des résidents en offrant des logements à des familles sans histoire au détriment des locataires à problèmes.
Une aide pour les quartiers apaisés
À l’issue de l’opération, le quartier est confié à un réseau serré de gardiens appartenant à un corps supervisé par l’État et recrutés parmi les jeunes retraités sous-officiers de l’armée. Formés à gérer les situations à risque par des méthodes psychologiques ou par le recours à la force, ces gardiens qui seraient présents nuit et jour auraient pour mission de gérer les incivilités et d’éviter que les trafics ne se reconstituent. Ils seraient au quotidien les représentants permanents de la puissance publique. Une fois apaisés, les quartiers en question pourraient alors bénéficier d’une assistance sociale privilégiée chargée d’aider les jeunes à trouver une formation ou un emploi, à favoriser l’animation de la vie locale et à susciter l’intégration à la nation française.
Une loi d’exception
L’opération de reprise en main des cités serait légalement encadrée par une loi spéciale dérogatoire du droit commun. La situation étant exceptionnelle, elle justifierait en effet des mesures hors normes. Les cités seraient ainsi prises en charge les unes après les autres et gageons que ces manifestations d’autorité contribueraient progressivement à rétablir sur le terrain le rapport de force légitime, celui grâce auquel ce sont les voyous qui ont peur de la police et non l’inverse.
Ligne droite 08/02/2018
https://www.polemia.com/reprendre-le-controle-des-zones-de-non-droit/