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immigration - Page 853

  • Cherchez l’erreur

    La fin d’une longue crise politique ? C’est aujourd’hui que les démocrates-chrétiens de la CDU d’Angela Merkel et les socialo-progressistes du SPD, deux partis en pleine dégringolade dans les enquêtes d’opinion, doivent trouver un accord de coalition.  L’Afp le constate,  « ensemble, les deux mouvements ne représentent déjà plus la majorité des Allemands, du jamais-vu dans les sondages. Et ce, avant même d’avoir commencé à gouverner. » Mais « cette fois, plus d’atermoiement possible. Après des semaines de valse-hésitation (CDU et SPD)  doivent trancher, car ils se sont fixé la fin de journée comme date-butoir finale. » « S’ils devaient rejeter l’accord, la chancelière devrait soit se résoudre à un instable gouvernement minoritaire, soit accepter l’organisation de nouvelles élections à haut risque qui pourraient profiter avant tout à l’extrême droite. Chacun des deux scénarios serait une première en Allemagne depuis 1945. En cas de succès, le quatrième mandat d’Angela Merkel s’annonce d’ores et déjà compliqué. Certains médias allemands ironisent sur la  coalition des perdants ». Perdants qui ont au moins en commun la même défense sourcilleuse des grands principes bruxellois, au nom desquels la Pologne, dirigée actuellement par les nationaux-conservateurs du parti Droit et Justice (PiS), est jugée hérétique. Nation soupçonnée de vouloir  museler  et contrôler la justice et la presse, deux entités qui sous nos latitudes, comme chacun le sait, sont parfaitement  libres, indépendantes, apolitiques et non soumises à un quelconque ministère de la vérité anti FN (comme Fake News ou Fausses Nouvelles…). 

    En décembre dernier, Bruno Gollnisch avait voté au Parlement européen contre une résolution condamnant la Pologne et demandant contre elle le déclenchement de l’article 7 du traité de l’Union européenne, permettant de la sanctionner pour violation grave, ou risque de violation grave, des valeurs de l’Union. Le député frontiste avait également  voté contre un texte demandant l’activation de cet article 7 contre la Hongrie. Euractiv relaye le sondage réalisé en janvier par le Centre polonais de recherche sur l’opinion publique (CBOS), au terme duquel  « 43 % des Polonais pensent que  (l’article 7)  lancée contre la Pologne est injustifiée (38 % pensent le contraire.) Environ la moitié (46 %) estime que la décision de la Commission est motivée par son antipathie envers l’actuel gouvernement. » Une évidence assez criante en effet !

    La semaine dernière,  c’était la France qui était condamnée par la Cour européenne des droits de l’Homme (CEDH) pour l’expulsion en 2015  d’un islamo-terroriste algérien.  « Soupçonné d’appartenance aux groupes islamiste armés en Algérie durant les années 1990, (il)  avait  écopé  de sept ans de prison en 2006 pour son implication dans des activités terroristes à Paris », en  l’espèce la planification d’un attentat. Oui mais voilà, la CEDH a estimé que « les autorités françaises ont créé des conditions dans lesquelles le requérant ne pouvait que très difficilement saisir la Cour d’une seconde demande de mesure provisoire. Elles ont, délibérément et de manière irréversible, amoindri le niveau de protection des droits énoncés par la Convention européenne des droits de l’homme. La CEDH indique au gouvernement français qu’il lui incombe d’entreprendre toutes les démarches possibles pour obtenir des autorités algériennes l’assurance que le requérant, placé en détention dès sa descente d’avion à Alger, ne sera pas soumis à de mauvais traitements. »

    Une admonestation de la CEDH qui intervient, relève Gilles-William Goldnadel dans Le Figaroau moment ou « des migrants afghans (…) tirent à balles réelles sur des migrants érythréens » et ou, il n’y a certainement pas de hasard, nous voyons se dérouler une « bataille médiatique » « pour tenter de persuader une partie de l’opinion publique française que la France serait bien inspirée, pour des raisons juridiques et morales, de juger sur son sol ses djihadistes partis combattre en Syrie plutôt que d’en laisser le soin aux autorités locales dont le Code pénal prévoit la peine capitale…»

    Sanctuariser l’accueil d’une immigration planétaire  et empêcher le renvoi dans le pays d’origine des criminels étrangers… à quel jeu trouble se livrent  les différents acteurs du lobby progressiste, cheval de Troie de l’invasion ? Me Goldnadel s’arrête encore sur les révélations du quotidien britannique The Guardian selon lesquelles « Interpol se préoccupe de ce que 50 personnes suspectées d’être des combattants de l’État islamique, toutes de nationalité tunisienne, soient arrivées en Italie par la mer. Ces Tunisiens avaient accosté en Sicile entre juillet et octobre 2017 à bord de bateaux de pêche ou d’embarcations abandonnées. Toujours selon Interpol, « l’un d’entre eux aurait pu déjà traverser la frontière italo-française, pour atteindre le Gard »…

    RT précisait que « les autorités italiennes chiffrent à près de 3 000 les Tunisiens qui sont arrivés sur la plage de Torre Salsa à Agrigente (Sicile), depuis juillet. « Les enquêteurs ne peuvent pas exclure qu’il puisse y avoir des djihadistes cachés (parmi eux), concède le procureur général d’Agrigente Luigi Patronaggio, qui précise que la police n’a pu arrêter et identifier que 400 personnes (…). Nous ne savons pas ce qu’ils faisaient avant d’arriver ici, nous ne savons pas qui ils sont ni où ils se trouvaient avant leur arrivée en Sicile», renchérit auprès du Guardian Salvatore Vella, à qui l’enquête a été confiée. Il y a ceux qui ne veulent pas être identifiés, qui ne veulent pas que leurs empreintes soient enregistrées (…). Pour cette raison, si vous êtes terroriste, accoster illégalement à Agrigente est le moyen le plus sûr d’arriver en Europe».

    Le quotidien Le Monde lui a préféré évoquer pour ses lecteurs des cas plus heureux, notamment celui de ce ressortissant  du Bangladesh,  Rashid Md Shamual qui est arrivé en Italie en 1998 avec un visa de tourisme pour n’en plus repartir. Il vit actuellement  à Brescia – ville lombarde confrontée depuis des années à une immigration massive qui en a profondément changé l’aspect et l’atmosphère – où il  « gère une agence d’aide aux arrivants (traduire  d’aide aux immigrés clandestins, NDLR) , et se démène pour eux dans les méandres infinis du droit administratif italien ». Rashid Md Shamual se veut aussi optimiste pour l’avenir  et affirme que  « dans les écoles de la région, ceux qui sont les mieux classés, ce sont presque toujours les enfants d’immigrés ! » Ce n’est pas vraiment ce qui ressort des études  factuelles relayées par nos  amis de la Ligue du Nord, mais bon,  ce sont comme chacun le sait des propagateurs de fausses nouvelles… du moins selon les critères habituels du Monde.  Ex quotidien de référence qui se veut autorité morale en la matière comme le prouve son partenariat avec facebook via les journalistes militants appelés  les décodeurs   (sic) dont les méthodes  s’apparentent à une véritable police de la pensée.

    Police de la pensée, du bien et du mal, du vrai et du faux,  du licite et de l’illicite selon l’idéologie officielle,  au nom de laquelle Nicolas Dupont-Aignan est convoqué demain par le parquet au Tribunal de Paris, pour avoir, rappelle-t-il sur Twitter, dénoncé un changement de population en France, en se référant à des chiffres. Certains ont noté très justement que les hommes et les femmes politiques qui ne pratiquent pas la langue de coton – et le FN est bien placé pour le savoir! – s’exposent toujours davantage à subir les foudres de la Justice.  Quand bien même le recteur de la Mosquée de Paris et ex président du Conseil français du culte musulmanDalil Boubakeur,  a pu dire qu’il y avait sept millions de musulmans en France et que  la démographe Michèle Tribalat a pu écrire que 20 à 22% des habitants de notre pays sont immigrés ou des descendants d’immigrés arrivés ces quarante dernières années. Cherchez l’erreur?

    https://gollnisch.com/2018/02/06/cherchez-lerreur/

  • Danemark : les sociaux-démocrates s’attaquent à l’immigration «non-occidentale» à travers une batterie de mesures

    Première formation politique du Danemark, le Parti social-démocrate, membre de l’opposition au gouvernement de centre-droit, a présenté lundi un projet de réforme censé tarir l’arrivée d’étrangers « non-occidentaux » à travers une batterie de mesures.

    « Nous voulons plafonner le nombre d’étrangers non-occidentaux accueillis au Danemark pendant une année », a expliqué dans un épais dossier publié sur internet la cheffe de « Socialdemokratiet », Mette Frederiksen. « Nous voulons réformer notre système d’asile entre autres en installant des centres d’accueil à l’extérieur de l’Europe. A l’avenir, il ne sera possible pour les réfugiés d’obtenir l’asile au Danemark qu’au titre des quotas fixés par l’ONU », a-t-elle ajouté. 

    Les demandeurs d’asile qui se présenteront « spontanément » au Danemark seront renvoyés vers un centre d’accueil dans un pays hors d’Europe, par exemple en Afrique du nord, pendant l’examen de leur dossier.

    Le pays de 5,7 millions d’habitants n’a plus les moyens d’intégrer les étrangers sur son sol, affirme Mette Frederiksen.

    « La population au Danemark a changé rapidement en peu de temps. En 1980, 1% de la population danoise n’était pas d’origine occidentale. Aujourd’hui on est à 8% », a-t-elle souligné.

    Le Figaro

    http://www.fdesouche.com/950657-danemark-sociaux-democrates-sattaquent-a-limmigration-non-occidentale-projet-de-quotas-de-centres-daccueil-deurope

  • TF1 A BEAU FAIRE LA DANSE DU VENTRE, MENNEL IBTISSEM, LA CANDIDATE VOILÉE DE THE VOICE, A BIEN SOUTENU DES ISLAMISTES

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    J’imagine la scène d’ici. Dans l’IGH (c’est comme ça qu’on appelle la tour centrale de l’immeuble du Point-du-Jour à Boulogne, quand on bosse chez TF1), les réunions de crise doivent succéder aux crises de nerfs. Comment en est-on arrivé là ? Comment la première chaîne de France (et la plus grosse d’Europe) a-t-elle pu se retrouver à mettre en avant une certaine Mennel Ibtissem, laquelle s’est répandue durant des mois sur les réseaux sociaux en y tenant des propos aussi controversés que « Les vrais terroristes, c’est notre gouvernement » (1er août 2016) ou en retweetant des publications de Barakacity, organisation islamique dont le fondateur – fiché par la DGSI – refusa, un jour, de serrer la main des femmes sur un plateau de Canal+.

    Comment TF1 peut-elle maintenant gérer cette affaire ?

    Toute la première partie de la saison de « The Voice » est enregistrée, en boîte, « prête à diffuser ». Qu’en fait-on ? On ne peut pas faire disparaître la gênante demoiselle d’un coup de montage magique, comme on le fit avec « Incroyable Talent » sur M6 pour effacer Gilbert Rozon. Il aurait fallu y penser plus tôt. Maintenant, la France l’a vue…

    Le piège qui s’est refermé sur TF1 est celui du politiquement correct et du sacrifice à la coolitude : une jolie voilée, c’est tellement inclusif ! La diversité aux yeux bleus, c’est tout bénef, non ?

    Alors TF1 et la prod de « The Voice » ont bien essayé le bonne vieille méthode du petit père Joseph : on efface ! Ainsi ont été effacés dans l’urgence son compte Facebook personnel et son compte Twitter. C’est bien peu connaître le Net que de se fourvoyer dans de telles pratiques : tout avait déjà été capturé ! Et les captures, c’est comme les petits pains et les poissons, ça a tendance à se multiplier à une vitesse de folie. Résultat : les reflux gastriques de Mennel Ibtissem pullulent sur les réseaux.

    Par exemple, le 15 juillet 2016, le lendemain de l’attentat islamiste de Nice, la future candidate de « The Voice » tweetait sous le mot-dièse #PrenezNousPourDesCons en ironisant sur le fait que le terroriste (mot qu’elle entourait de guillemets !) avait sur lui sa pièce d’identité.

    « The Voice » est non seulement une émission très regardée, mais les dégâts perdurent bien après la conclusion de la saison : le lauréat est auréolé d’une aura qui lui donne une force d’influence majeure auprès d’une certaine jeunesse qui part aisément à la dérive. Ériger en idole une islamiste au cerveau broyé (le correcteur de Boulevard Voltaire va encore me dire que je fais un pléonasme), c’est un jeu dangereux.

    Deux questions restent maintenant en suspens :

    – N’y a-t-il personne, chez TF1, qui consulte les profils des candidats avant de les mettre en lumière ?
    – Que va faire TF1 ?

    Sur sa page Facebook professionnelle, qui a remplacé son profil personnel effacé, Mennel Ibtissem ne publie maintenant – taqiya aidant – que des appels à l’amour entre tous les êtres…

    Ben tiens, #PrenezNousPourDesCons.

    http://www.bvoltaire.fr/tf1-a-beau-faire-danse-ventre-mennel-ibtissem-candidate-voilee-de-the-voice-a-bien-soutenu-islamistes/

  • ITALIE : UNE JEUNE FILLE DÉMEMBRÉE COMPTE MOINS QUE LES « MIGRANTS »

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    Le 31 janvier dernier, deux valises contenant le corps démembré d’une jeune fille de 18 ans, Pamela Mastropietro, étaient retrouvées sur le bord d’une route de la province de Macerata. Ayant préalablement été nettoyée à l’eau de Javel et une partie de ses organes génitaux manquants, les causes de la mort et une éventuelle violence sexuelle sont encore à déterminer. Ce que l’on sait, c’est qu’elle fut mutilée, découpée en morceaux et abandonnée comme de vulgaires ordures dans un fossé.

    Ce que l’on sait, c’est qu’Innocent Oseghale, le clandestin nigérian de 29 ans arrêté pour homicide volontaire, profanation et dissimulation de cadavre, ne devait plus se trouver sur le territoire italien, étant mêlé à des activités de trafic de drogue et son permis de séjour ayant expiré.

    Silence total des institutions de la République italienne.

    La colère s’exprime uniquement sur Internet, dernier espace de liberté en voie de restriction grâce à la fallacieuse lutte contre les « fake news » (qui n’est rien d’autre qu’une tentative de museler les canaux d’information et d’opinion qui échappent à la pensée unique). 

    Samedi 3 février, Luca Traini, un jeune homme de 28 ans de Macerata, ouvrait le feu sur une foule d’immigrés subsahariens, blessant grièvement six d’entre eux. Il est actuellement aux arrêts, avec l’accusation de « tentative de massacre aggravée par la finalité de racisme » et port illicite d’arme.

    Il serait banal, presque usant, de réitérer que, face au foisonnement de meurtres, viols et agressions de la part des migrants envers les autochtones qui les accueillent, qu’à cause des privilèges et de l’impunité dont ils jouissent souvent, un tel acte d’auto-justice était plus que prévisible.

    Tel n’est pas le sujet ici. Le sujet, c’est le tintamarre, outrageant, dérangeant, déplacé qui a eu lieu après. Car la réaction, tant attendue, du clan politico-médiatique est arrivée. Non lors de la découverte du corps dépecé de la jeune fille ou de l’arrestation de son boucher présumé. Non. L’indignation a été déclamée dans toute sa théâtralité lorsqu’un petit Blanc a tiré sur des immigrés : le ministre de l’Intérieur Marco Minniti se déplace aussitôt sur le lieu de la fusillade, rencontre les force de police, ordonne « une réponse ferme » ; le Premier ministre Paolo Gentiloni réunit une conférence de presse déclarant que « l’État sera particulièrement sévère envers quiconque alimente une spirale de violence » ; les intellectuels prennent le haut du pavé, accusant Matteo Salvini, de la Ligue du Nord, d’être le « commanditaire moral » de la fusillade.

    Mais pas un mot sur les moyens à mettre en œuvre afin d’éviter que des criminels, qu’ils soient trafiquant d’êtres humains, de drogue, assassins, violeurs ou de pauvres « victimes de mauvaises habitudes culturelles » (comme ils aiment à les voir), ne s’installent chez nous.

    Tant pis pour les autres Pamela, qui feront les frais de ce choc culturel en acte, en attendant que la magie occidentale qu’ils imaginent les transformant en « citoyens bien intégrés » ne porte ses fruits. Ce qui n’arrivera, de toute façon, jamais à l’intérieur de sociétés communautaristes comme les nôtres, où ils accéderont au confort matériel sans avoir à changer une once de ces mêmes « mauvaises habitudes culturelles ».

    http://www.bvoltaire.fr/italie-jeune-fille-demembree-compte-migrants/

  • Démonstration de force à Cottbus (All) : plusieurs milliers de manifestants défilent contre la violence des migrants, la manifestation pro-migrants réunit à peine 600 personnes

    La manifestation contre la violence des migrants :

     

    dw.com

    http://www.fdesouche.com/949611-demonstration-de-force-a-cottbus-all-plusieurs-milliers-de-manifestants-defilent-contre-violence-migrants-manifestation-pro-migrants-reunit-a-peine-600-personnes

  • Ouverture du procès du terroriste islamiste Salah Abdeslam en Belgique

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    Le procès de Salah Abdeslam doit s’ouvrir ce lundi en Belgique. Le seul survivant des commandos jihadistes qui ont attaqué Paris le 13 novembre 2015 (130 morts) sera jugé pendant quatre jours au palais de justice de Bruxelles.

    Au côté d’un complice, il comparaît pour sa participation présumée à une fusillade avec des policiers le 15 mars 2016 à Bruxelles, trois jours avant son arrestation. Ce jour-là, une équipe de policiers français et belges avait essuyé des tirs d’arme automatique en perquisitionnant un logement supposé vide, dans ce qui était présenté comme un acte de routine de l’enquête sur les attentats parisiens.

    Trois policiers avaient été blessés et un jihadiste algérien de 35 ans, Mohamed Belkaïd, tué en faisant face aux policiers pour couvrir la fuite de deux hommes, Salah Abdeslam et Sofiane Ayari, également présents dans la planque.

  • SAMEDI À OUISTREHAM (14), LE PARTI DE LA FRANCE A SAUVÉ L'HONNEUR DE LA NORMANDIE

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    Malgré la pluie, les perfidies de la presse locale, le bouclage de la ville par la police et la présence haineuse d'une poignée de valets de la finance apatride péniblement réunie par l'ensemble des fractions de la collaboration à l'immigration (partis de gauche, syndicats, officines stipendiées et gauchistes de toutes obédiences...), les militants normands du Parti de la France avec à leur tête le Président Carl Lang ont bravé l'adversité et tenu samedi après-midi un rassemblement devant la plage de Ouistreham. Ils ont ainsi prouvé que la station balnéaire normande n'entendait pas terminer comme Calais cliquez ici.

    Comme l'a fort bien indiqué Bruno Hirout, le dynamique responsable local du PdF du Calvados, cette manifestation avait pour but de faire prendre conscience aux habitants de Ouistreham, abasourdis par ce qui leur arrive et terrorisés par l'extreme gauche qui soutient la pègre importée, que le Parti de la France, désormais seule force politique représentative de la Droite nationale non reniée, est et sera toujours à leurs côtés pour défendre une Normandie normande dans une France française et dans une Europe européenne... 

    Plusieurs mouvements patriotes, dont Civitas et la Dissidence française, implantés localement, s'étaient joints dans un souci d'unité d'action à la manifestation du PdF.

    Synthèse nationale

      

  • Affaire Théo : sale temps pour la fabrique du mensonge, par Ivan Rioufol

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    Ils nient, tripatouillent, insultent. Les “dénégationnistes” sont prêts à tout pour empêcher que des évidences soient dites, dès lors qu’elles risqueraient d’affaiblir le statut de “victime” que ces bidouilleurs accordent aux minorités qui se disent dominées. Le journaliste David Thomson a été le premier, en 2014, à alerter sur les risques d’attentats en France commis par des djihadistes français. Les images d’archives ont gardé la trace de débats télévisés de l’époque : elles montrent Thomson, témoin de ce qu’il a vu sur les terrains moyen-orientaux et français, en prise avec des contradicteurs qui le moquent. Ce sont ces militants en chaises longues que Thomson épingle quand il dénonce, dans Le Figaro du 26 janvier, ces “experts faussaires abonnés aux plateaux télé pour meubler du vide avec du vide et (qui) continuent d’occuper, hélas, la majeure partie du temps d’antenne”. La description est exacte. Derrière, il y a les visages et les noms des spécialistes dans la fabrique du mensonge. Mais pour eux, le temps se gâte.

    Il est vrai que les enfumages sont de plus en plus voyants et grossiers. Apparue lundi sur les réseaux sociaux, la vidéo de l’interpellation du “petit Théo”, le 2 février 2017 à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), démolit en quelques secondes une année de propagande antiflics. La scène enfin dévoilée avait été décrite par la “victime” et ses soutiens médiatiques comme un déshabillage suivi d’un viol à l’aide d’une matraque.

    En réalité, l’incident se révèle être conforme aux conclusions de l’enquête de l’IGPN (la police des polices) récusées par la pression idéologique : une rébellion violente de Théo (22 ans, 1,94 mètre) contre quatre policiers qui prennent des coups et en rendent. Nulle part sur les images n’apparaît le viol qui a valu à l’un des fonctionnaires sa suspension. François Hollande, qui ne s’était pas rendu au chevet de deux policiers brûlés vifs dans leur voiture à Viry-Châtillon (Essonne), s’était déplacé pour saluer Théo Luhaka sur son lit d’hôpital.

    La force des réalités est un tsunami appelé à balayer les désinformations et les propagandes produites par la dialectique victimaire.

    Ivan Rioufol

    Texte daté du 1er février 2018 et repris du blog d’Ivan Rioufol

  • CALAIS, ÇA SUFFIT !

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    Atterrés, désemparés, défaits devant une situation de plus en plus ingérable, les Calaisiens n’en peuvent plus. Voilà quinze mois, on nous disait pourtant avoir réglé le problème. Les troupes mandatées par un François Hollande gonflé d’autosatisfaction embarquaient les habitants de la jungle dans des cars, direction les 280 centres d’accueil et d’orientation répartis dans toute la France.


    Combien, sur les 6.500 personnes alors recensées, y ont réellement été conduites et combien, surtout, y sont demeurées ? Mystère. Ce qu’on sait, en revanche, c’est que des centaines de migrants (entre 600 et 800) venus de toute part rôdent encore autour de Calais. Et entre eux, ce n’est pas la tendresse.

    Une rixe d’une violence inouïe a ainsi éclaté, jeudi, entre migrants afghans et africains à l’occasion d’une distribution de repas, près de l’hôpital de Calais. D’autres bagarres ont suivi jusque dans la soirée, à Marck-en-Calaisis puis dans la zone industrielle des dunes. Bilan : vingt-deux personnes hospitalisées, dont cinq touchées par balle sur lesquelles quatre sont dans un état critique. Il s’agirait de jeunes Érythréens visés, sans doute, par des passeurs afghans. Les autres – dont deux policiers – ont été blessés à coups de pierres, de barre de fer et d’arme blanche.

    C’est la première fois, nous dit-on, que des armes à feu font leur apparition.

    « C’est un degré de violence jamais connu »on a atteint une escalade de la violence devenue insupportable pour les Calaisiens et les migrants », a dit le ministre de l’Intérieur venu sur les lieux. Et Gérard Collomb d’ajouter : « Je suis venu réaffirmer notre mobilisation face aux passeurs qui nourrissent quotidiennement violences et rixes. » 

    Les passeurs, oui, mais pas que…

    Natacha Bouchard, maire de Calais, pointe d’autres responsabilités. Interrogée, vendredi matin, sur France Info, elle a évoqué « la complicité de certains passeurs, de certains activistes, de certains No Border ou de certains associatifs » qui, par intérêt pour les premiers et naïveté pour les seconds, entretiennent les faux espoirs des migrants. « Ils sont complices parce qu’ils sont en permanence avec les migrants, leur font commettre des actes délictueux et ne les incitent pas à rejoindre les dispositifs d’État qui sont mis en place », a-t-elle affirmé.

    Pire que cela : interrogé par France Info lui aussi, un responsable associatif accusait, vendredi, les forces de police d’être à l’origine des émeutes. C’est « la faute au harcèlement », disait-il. On comprend, dès lors, que tous ces activistes/associatifs soient vent debout contre le projet de loi « asile et immigration »actuellement en préparation, lequel permettrait de recenser enfin les migrants présents sur notre territoire, puis de prendre officiellement en charge ceux qui sont fondés à y rester et de renvoyer les autres construire leur propre pays.

    Seulement voilà, la question de l’immigration est éminemment politique. C’est même le dernier bastion idéologique d’une gauche moribonde, engloutie dans la faillite sociale et économique, et qui n’a plus, pour exister, que ses discours creux sur l’universalité de la fraternité humaine – propos démentis chaque jour dans les faits.

    Dans ce jeu-là, les migrants sont des pions, tout comme les bénévoles qui, en toute bonne foi, se dévouent par altruisme. Aux belles années du communisme révolutionnaire, on les appelait « des idiots utiles ».

     

     

    http://www.bvoltaire.fr/calais-ca-suffit/