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immigration - Page 850

  • Dans les piscines belges : le short non, le burkini intégral oui!

    6a00d83451619c69e2022ad3a0ea44200b-250wi.jpgNon, ce n'est pas une histoire belge

    "Une piscine publique ne peut interdire aux baigneuses le port du burkini pour des raisons d’hygiène ou de sécurité, affirme le tribunal de première instance de Gand dans deux de ses jugements, selon les journaux du groupe Mediahuis.

    Interdire cette pièce de bain couvrante pour des raisons d’hygiène ou de sécurité n’est pas justifié, l’administration flamande elle-même ayant fourni des preuves scientifiques qu’il n’y avait pas de problèmes dans ces domaines.

    Le centre interfédéral pour l’égalité des chances, Unia, avait déjà fait savoir à la Ville d’Anvers qu’il ne voyait aucun fondement juridique à une telle interdiction. Il avait déjà par le passé appelé à faire l’équilibre entre liberté de religion et égalité homme-femme dans ce débat. « Le burkini peut être perçu comme un vêtement avilissant ou comme un vêtement permettant à ses utilisatrices de participer à une activité sportive », rappelait-il encore en 2015".

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Marion Maréchal choisit l’Italie pour attaquer Macron et Merkel sur l’immigration

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    Ceux qui pensaient – pour s’en réjouir ou le déplorer – que Marion Maréchal avait délaissé le champ politique pour celui de l’éducation et de la culture, avec la fondation de l’ISSEP, n’avaient rien compris. Ni à la politique, ni à la culture, ni à cette nouvelle figure capable, à même pas trente ans, de rebondir plusieurs fois, comme l’époque l’exige. Pourtant, Marx et la gauche nous ont appris que la culture était politique et qu’une politique sans soubassement culturel ne tient que par temps calmes. Or les temps ne le sont plus, et si Emmanuel Macron l’a senti, précipitant l’effondrement du PS et des Républicains – ces partis politiques exsangues de culture depuis longtemps – il a pensé que le vague vernis culturel qu’il apportait dans l’urgence avec sa personne jupitérienne et littéraire suffirait. Le problème, c’est que , une fois gratté ce vernis, le fonds culturel macronien est celui d’un Attali ou d’un Delors, pour qui l’Europe était d’abord un marché.

    Pour lui la France est une start-up, l’Europe est un marché et les peuples un agglomérat d’individus interchangeables.

    Marion Maréchal, avec cette interview qu’elle a donnée au Corriere della Sera à l’occasion de sa participation à un colloque sur le thème « invasion barbare, souveraineté et pouvoir » avec Edoardo Rixi, secrétaire d’État aux Transports, homme fort de la Ligue, le parti de Matteo Salvini, pose une nouvelle pierre à sa mutation politique. Une mutation qui l’a d’abord conduite aux Etats-Unis, il y a quelques mois. Avec l’abandon du nom Le Pen, avec ce nouveau déplacement, elle fait éclater son espace politique, déjouant les attaques sur le parti du repli, arc-bouté sur une vision rétrécie de la France. Avec Marion Maréchal et l’évolution de l’Europe, les incantations sur l’ouverture s’effondrent. En effet, elle a jeudi inscrit sa démarche et sa vision de l’Europe dans celles de Viktor Orbán.

    Une Europe des Nations qui défend une civilisation aux racines chrétiennes, en lutte contre les excès du libéralisme et la domination de la finance et une politique de soutien à la natalité plutôt que le recours à l’immigration pour la relance démographique, voilà la vision soi-disant «autoritaire» d’Orbán.

    Désormais la droite patriotique française a trouvé des appuis partout en Europe et y puise une forte crédibilité. C’est une forme d’ironie de l’Histoire assez savoureuse qui fait que, bientôt, les partisans du repli incapables d’écouter ce que disent les autres dirigeants européens – et les peuples – s’appelleront Macron et Merkel !

    Sans surprise, Marion Maréchal a dénoncé la politique migratoire incontrôlée d’Angela Merkel en 2015 :

    Quand Merkel décide d’accueillir un million de migrants, elle les impose aux autres pays.

    Mais il était aussi particulièrement habile d’attaquer le président français depuis l’Italie, qui a subi ses foudres au moment de l’affaire de l’Aquarius :

    Macron a fait une grave erreur en insultant le peuple italien. Mais vous n’êtes pas les uniques victimes de son mépris. Il l’exprime également contre les Français.

    Macron ou le Mépris : en italien, comme en français, cela sonne juste.

    Pascal Célérier

    http://www.bvoltaire.fr/marion-marechal-choisit-litalie-pour-attaquer-macron-et-merkel-sur-limmigration/

  • La lutte antiterroriste très insuffisante, par Francis Bergeron

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    9153-20180714.jpgLa commission d’enquête du Sénat sur nos moyens de lutte antiterroriste a publié mardi son rapport. Elle a rencontré 49 autorités et experts dans les domaines judiciaires, militaires, informatiques, diplomatiques, politiques, etc., et effectué quatre déplacements. La rédaction du rapport conclut six mois d’enquête, et aboutit à 63 propositions très concrètes. Certaines d’entre elles ont certes été mises en œuvre depuis lors ; d’autres sont symboliques. Mais le rapport met aussi le doigt sur de graves lacunes, des manques, des insuffisances.

    La première de ces lacunes, celle qui paraît la plus évidente, la plus choquante, c’est qu’à ce jour le salafisme ne figure toujours pas parmi les courants et associations répertoriés comme sectaires. On ne parle même pas d’interdiction, on parle simplement d’identification de ce courant salafiste comme ayant des pratiques qui conditionnent les individus et altèrent leur libre arbitre. Malgré l’arsenal législatif sur les dérives sectaires, bâti lors d’affaires du type Scientologie ou Moon – des sectes qui n’ont jamais tué personne, quoi qu’on puisse penser de leurs méthodes d’embrigadement –, le salafisme n’est même pas placé sous ce type de surveillance. La proposition 46 du rapport demande d’« inscrire le salafisme sur la liste des dérives sectaires de la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires ». Ce qui paraît la moindre des choses. Mais il serait encore plus simple d’interdire purement et simplement les mouvements et de fermer les mosquées se réclamant du salafisme. Le rapport du Sénat ne le préconise pas. De même, alors que le salut fasciste est interdit et sanctionnable pénalement (comme la quenelle de Dieudonné !), le « Allah Akbar » des terroristes ne l’est pas. Le rapport ne préconise rien dans ce domaine.

    Modération des condamnations, lors des premières années

    En ce qui concerne le retour massif des djihadistes et de leurs familles des zones anciennement sous contrôle de Daesh, les propositions 31 et suivantes prévoient que soient vraiment appliquées les dispositions permettant la déchéance de nationalité des binationaux, et que les mineurs rentrés soient suivis jusqu’à leur majorité. Là aussi, l’étonnant est que ce ne soit pas déjà le cas.

    Ce rapport et ses 63 propositions constituent donc un bon état des lieux de l’organisation et des moyens de la lutte antiterroriste, mais les deux rédacteurs auraient pu – auraient dû – aller plus loin.

    Reste le casse-tête des procès pour terrorisme, qui représentent un volume énorme d’affaires, et des libérations massives qui s’annoncent : 47 % des terroristes actuellement incarcérés en France seront libérés d’ici 2020, et plus de 80 % d’ici 2022. Il y a eu la modération des condamnations, lors des premières années de la vague terroriste, et il y a les remises de peine. On sait déjà qu’une grande partie de ces tueurs sont décidés à poursuivre leur lutte. Les lois ne sont pas rétroactives (sauf pour Touvier…), ce qui fait craindre une recrudescence de meurtres islamistes à partir de ces années-là.

    D’où l’importance de la question des déchéances de nationalité et des expulsions. Sous Sarkozy, puis à l’époque de Valls, ces perspectives avaient indigné et mobilisé la gauche. Quelques centaines d’assassinés plus tard, elles font à peu près consensus.

    Francis Bergeron

    Article repris du quotidien Présent

    https://fr.novopress.info/

  • Génération Identitaire dénonce le double discours de l’imam UOIF de la grande mosquée de Poitiers

  • Chasser Éric Zemmour de RTL, c’est reconnaître son influence intellectuelle

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    On se souvient de la chanson de Guy Béart et de son refrain : « Le premier qui dit la vérité/Il doit être exécuté. » Aujourd’hui, c’est à Éric Zemmour qu’on s’en prend une nouvelle fois : la chronique qu’il tient sur RTL, à 8 h 17, sera supprimée à la rentrée. Il conservera peut-être un créneau le week-end, mais on ne sait pas si c’est une fausse nouvelle (pour mieux faire passer la pilule) ou si la station hésite à l’exclure complètement, compte tenu de son audience.

    Nul doute que cette éviction réjouira les partisans de la liberté d’expression à sens unique. Éric Zemmour n’a pas que des amis au sein de la rédaction de RTL : on lui reproche ses positions sur l’immigration et sur l’islam, ou encore ses propos dans le mensuel Causeur, en octobre 2016 : « Moi, je prends l’islam au sérieux, je ne le méprise pas ! Je ne pense pas que les djihadistes soient des abrutis ou des fous. Je respecte des gens qui meurent pour ce en quoi ils croient. »

    La Société des journalistes de RTL, dans un communiqué, avait estimé « de son devoir de faire savoir aux auditeurs de la radio et à l’opinion son aversion pour des propos qui, à ses yeux, portent atteinte à la mémoire des victimes du terrorisme et à la douleur des familles. » Yves Calvi, qu’on aurait cru plus ouvert, avait lu un message de réprobation au nom de la rédaction et de la direction de la station, tandis que la SDJ du Figaro, où il tient une chronique hebdomadaire, avait « dénoncé sans réserve » cette sortie.

    Il faut une certaine dose de mauvaise foi pour feindre de croire que l’auteur du Suicide français aurait quelque estime pour les terroristes et puisse faire leur apologie : « Je ne respecte pas des gens qui tuent des enfants et des femmes », a-t-il assuré sur BFM TV. Il voulait surtout dire qu’il est irresponsable de ne pas prendre au sérieux les terroristes, de les tenir pour des fous ou des déséquilibrés, comme on a eu tendance à les présenter dans les premiers temps, et qu’ils sont d’autant plus dangereux que leurs convictions religieuses leur ôtent toute crainte de la mort.

    Les bonnes âmes peuvent être rassurées : cet abominable personnage sévira de moins en moins sur nos ondes ou sur nos écrans. D’aucuns regretteront qu’il n’en soit pas totalement banni, car ces prétendus défenseurs de la liberté d’expression sont les plus zélés pour couvrir d’opprobres et ostraciser ceux qui ne pensent pas comme eux. Ils accueillent comme des bienfaiteurs de l’humanité des révolutionnaires d’extrême gauche, qui cultivent la violence, mais conspuent tous ceux qui osent contredire leur vérité.

    On a beau vouloir censurer Éric Zemmour, on n’a pas encore inventé le moyen de faire taire tous ceux qui partagent ses idées. Dieu sait, pourtant, si le gouvernement s’y emploie, pour imposer la vérité officielle ! C’est la fierté de la France d’avoir des polémistes qui savent trouver la formule qui interpelle, qui dérange, qui suscite la réflexion. Tous n’ont pas le talent d’un Léon Daudet ou d’un Éric Zemmour, mais tous contribuent, par leur refus de se fondre dans le moule du politiquement correct, à la quête de la vérité et au salut de l’intelligence.

    Philippe Kerlouan

    http://www.bvoltaire.fr/chasser-eric-zemmour-de-rtl-cest-reconnaitre-son-influence-intellectuelle/

  • Immigration : Donald Trump donne une leçon à l’Europe

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    Les médias ont beaucoup parlé des pressions exercées par Donald Trump pour que les Alliés augmentent leur contribution financière au fonctionnement de l’OTAN. Ils ont moins évoqué sa mise en garde contre l’immigration. Le président des États-Unis a déclaré, dans une conférence de presse : « L’immigration est une chose très importante et je leur ai dit aujourd’hui, l’Union européenne, qu’ils feraient mieux de faire très attention, parce que l’immigration prend le dessus en Europe […] ». Il a rappelé qu’il a, en partie, remporté l’élection sur sa politique migratoire et a expliqué la victoire de la coalition italienne par ses prises de position fermes contre l’immigration. Peut-on lui reprocher d’avoir appelé l’Europe à la raison ?

    D’aucuns objecteront que cette mise en garde, dans la bouche de Donald Trump, n’a aucune valeur. Ils ajouteront qu’il est honteux de lier le succès électoral à la peur de l’immigration. C’est le reproche que subit, depuis des lustres, le Front National. Et, aujourd’hui Laurent Wauquiez, qui a repris ce thème pour répondre aux aspirations de son électorat et tenter de rallier ceux qui ont voté pour Marine Le Pen. Au demeurant, une majorité de Français se dit défavorable à l’accueil de migrants et jugent la politique du gouvernement trop laxiste.

    Il reste que Donald Trump, même s’il n’est pas dénué d’arrière-pensées, met le doigt là où ça fait mal. Ce n’est pas parce qu’elle est électoralement rentable que la dénonciation de l’immigration débridée n’est pas justifiée. Contrairement à ce que voudrait imposer la bien-pensance, en se parant de bons sentiments qui dissimulent des objectifs moins reluisants, un excès d’immigration nuit, non seulement aux intérêts des pays concernés, mais à leur identité même.

    Ils suffit de comparer les arguments des uns et des autres. Les premiers se gargarisent des mots de « solidarité » et de « fraternité », mais se servent cyniquement des migrants pour pallier leur déficit démographique et s’assurer une main-d’œuvre à bas coût. Ou bien, comme les internationalistes d’extrême-gauche, ils voient dans les immigrés une nouvelle classe d’exploités, qui pourrait servir leur rêve, toujours présent, du grand soir. À l’opposé, les seconds dénoncent une immigration sauvage, qui ne permet pas une bonne intégration et peut porter atteinte, par son volume, à l’identité de leur pays.

    Les immigrationnistes estiment que l’islam est une religion comme les autres – ce qui leur permet, au passage, de relativiser le christianisme –, reconnaissant, tout au plus, qu’« il y a une lecture radicale, agressive de l’islam, dont les principes n’obéissent pas à des mots d’ordre religieux ». Ce sont les mots d’Emmanuel Macron devant le Congrès. En mettant la religion musulmane sur le même plan que les autres religions, ils font preuve d’un coupable angélisme ou, pire, d’une ignorance des principes fondamentaux de l’islam, concernant aussi bien la supériorité des musulmans sur les mécréants que la condition de la femme.

    Quand on considère le mode de vie dans les pays où la charia fait loi, on comprend aisément que de plus en plus de Français ne veuillent pas que se multiplient sur leur sol les revendications communautaires d’une culture qui leur est totalement étrangère. Prétendre le contraire, c’est avoir un esprit munichois et refuser d’affronter la réalité.

    Non ! On ne peut reprocher au président des États-Unis d’appeler l’Europe à la raison. La seule chose qu’on puisse regretter, c’est qu’il n’y ait pas un président français pour tenir les mêmes propos !

    Philippe Kerlouan

    http://www.bvoltaire.fr/immigration-donald-trump-donne-une-lecon-a-leurope/

  • L'homme à abattre !

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    Le CRAN appelle RTL à "exclure de son antenne Éric Zemmour après sa chronique qui a déplu à certains (il a dit tout haut ce que tout le monde pense tout bas !).

    De plus ce qu'il a dit est juste :

    Seules les sociétés homogènes comme le Japon, ayant refusé de longue date l'immigration de masse, échappent à cette violence de rue.

    Privée de ses frontières, la France renoue dans les villes, mais aussi dans les campagnes, avec les grandes razzias, les pillages d'autrefois.

    Les grandes invasions d'après la chute de Rome sont désormais remplacées par des bandes de Tchétchènes, de Roms, de Kosovars, de Maghrébins, d'Africains qui dévalisent, violentent dépouillent et pillent.

    DROIT DE RÉPONSE D'ÉRIC ZEMMOUR, SUITE A SA CONDAMNATION.

    "J'aurais, selon les magistrats, dépassé les limites autorisées du droit à la liberté d'expression. Je crois savoir ce qu'est la liberté d'expression", a poursuivi le journaliste, citant : Montaigne, Voltaire et Zola. "Mais je ne sais pas ce que sont les limites de la liberté d'expression à l'heure actuelle en France ; où se situent elles ? Qui les détermine ? Comment et au nom de quoi les fixe-t-on ?" Comme il vaut mieux parfois une poignée de chiffres plutôt que de longs discours, tout ce qui suit est vrai, mais à vous de juger !

    ALLEMAGNE

    - Plus de la moitié des actes violents des moins de 21 ans sont commis par des Arabes. Nous ne pouvons pas nous taire dit Angela Merkel, Chancelière allemande.

    NORVÈGE

    - 100% des viols qui ont donné lieu à une plainte en 2008 à Oslo l'ont été par des immigrés « non occidentaux », en majorité musulmans et africains noirs.

    Ils viennent de pays qui ont un regard sur la femme totalement différent de celui qui règne en Norvège. Ces viols s'accompagnent d'une violence très importante. (statistiques de la police). 

    SUISSE

    - Plus de 96% des détenus sont des étrangers, en grande majorité musulmans (statistiques fédérales Suisses).

    ESPAGNE

    - 89% des détenus sont musulmans.

    ITALiE

    - les chiffres et les faits sont incontestables, nous avons aujourd'hui en Italie plus de 55 000 détenus parmi lesquels plus de 52 000 étrangers, arabes et africains noirs.

    65 % d'entre eux sont mis en examens, mais seuls 35 % sont condamnés. 

    FRANCE

    - 88% des détenus sont de religion musulmane. Rappelons que pour avoir osé dire que la majorité des trafiquants est noire ou arabe, une réalité connue de tous, Eric Zemmour, journaliste, s'est fait condamner pénalement.

    La France, ce beau pays d'accueil où les Français n'ont même plus le droit de dire de tristes vérités... !

    Finalement, il ne fait pas bon dire la vérité en France, pour être à l'abri de la Justice, il faut être homme politique et mentir.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Lutte contre l’immigration : rencontre trilatérale à Innsbruck

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    Une rencontre trilatérale à eu lieu Innsbruck, en Autriche, ce jeudi, en marge d’une réunion des ministres de l’Intérieur des 28, entre le ministre autrichien et ses homologues allemand et italien, Horst Seehofer et Matteo Salvini.

    Ce dernier, maître d’oeuvre du durcissement de Rome sur la question de l’immigration a réitéré sa vision des choses en la matière.

    Matteo Salvini a notamment déclaré :

    Moins de départs, donc moins d’arrivées de migrants signifient moins de morts mais aussi une réduction des problèmes et des coûts économiques et sociaux engendrés par une immigration que nous ne sommes plus capables de gérer. Si le modèle italien devient un modèle européen, ce sera pour moi, pour nous, une source de fierté. Un modèle que nous voulons encore améliorer grâce à l’appui des autorités libyennes.

    https://fr.novopress.info/211559/lutte-contre-limmigration-rencontre-trilaterale-a-innsbruck/

  • Aujourd’hui, le seul remède pour sauver la France : l’état de siège

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    Dans un rapport rendu public le 10 juillet, deux sénateurs s’en prennent aux pouvoirs publics face à « l’enracinement du salafisme en France » et s’inquiètent de la multiplication de « zones ghettoïsées » sur le territoire. Pourtant, ceux-ci, Bernard Cazeau (LREM) et Sylvie Goy-Chavent (Union centriste) ne sont pas des adversaires politiques d’Emmanuel Macron. Mais ils n’en préconisent pas moins l’expulsion des fichés S radicalisés de nationalité étrangère, le suivi à long terme des mineurs revenants, la création de pôles de lutte contre l’islam radical dans chaque département ou encore l’application de la déchéance de nationalité aux détenus binationaux condamnés pour terrorisme. Mais, surtout, ils pointent du doigt le danger salafiste qui réunirait de 40.000 à 60.000 adeptes dans l’Hexagone. On croirait entendre Marine Le Pen, Nicolas Dupont-Aignan et même Laurent Wauquiez ! Si le rapport accumule les griefs contre les « zones ghettoïsées », il se garde bien de mentionner celles-ci.

    Soyons clair : ce que disent aujourd’hui ces deux sénateurs, c’est ce que savent tous les flics de France et même une majorité d’habitants des quartiers sensibles. De plus, lorsqu’ils stigmatisent « le manque de courage qui conduit trop souvent à fermer les yeux sur la place du salafisme en France, tandis que certains individus surveillés ne sont pas toujours empêchés de passer à l’acte », ils ne font qu’indiquer ce que les criminologues soulignent depuis des années.

    Or, il existe un remède efficace pour détruire cette menace, un remède seul capable d’endiguer la décomposition de notre pays, un remède que personne n’a encore osé mettre en œuvre : la proclamation de l’état de siège.

    Mais qu’est-ce que l’état de siège ?

    En France, l’état de siège est un dispositif législatif et constitutionnel permettant le transfert de pouvoirs de police de l’autorité civile à l’autorité militaire, la création de juridictions militaires et l’extension des pouvoirs de police. Il ne peut être mis en œuvre que sur une partie du territoire, après délibération du Conseil des ministres et avec signature présidentielle, lorsqu’il y a péril imminent. La prorogation de l’état de siège au-delà de 12 jours est soumise à l’autorisation du Parlement.

    Or, justement, une telle mesure ne concernerait dans un premier temps que des quartiers limités : les 83 zones de sécurité prioritaires (ZSP). Ces zones géographiques répertoriées, depuis 2012, comme étant celles dans laquelle l’ordre et la sécurité publics sont particulièrement dégradés. Leurs caractéristiques : l’implantation durable d’une délinquance quotidienne.

    Les effectifs militaires seraient faciles à trouver : piocher au maximum dans ceux de l’opération Sentinelle. En effet, dans de telles circonstances, nos armées effectueraient enfin un travail efficace et non rébarbatif.

    Nous avons, Messieurs les sénateurs, dépassé le stade de la réflexion : les faits alarmants sont légion et pourtant, jusque-là, ils n’ont entraîné que des réactions épisodiques faites pour masquer le danger islamiste. Ce manque de « virilité » imputable à des autorités qui ne sont plus à leur place n’est plus acceptable. Aussi ces autorités civiles doivent-elles passer, au moins temporairement, la main à l’autorité militaire.

    « Il suffit d’une pomme pourrie pour gâter tout le tas », expliquait l’écrivain anglais Michel de Northgate. Aujourd’hui, le verger France compte de trop nombreuses pommes pourries, seule la promulgation de l’état de siège permettra de découvrir et de couper les branches malades pour sauver l’arbre France.

    J.-P. Fabre Bernadac

    http://www.bvoltaire.fr/aujourdhui-le-seul-remede-pour-sauver-la-france-letat-de-siege/

  • Zoom – Frédéric Saint-Clair : La droite face à l’Islam

    Analyste en stratégie et en communication politique, ancien chargé de mission du 1er ministre Dominique de Villepin, Fréderic Saint-Clair se fonde sur la “perspective civilisationnelle” de Samuel Huntington pour affirmer que seule une droite conservatrice (qui reste à construire) peut répondre à l’Islam et au problème culturel qui en découle. L’ouvrage, brillant, ne laissera pas le lecteur indifférent. L’ouvrage, pas plus que l’entretien.

    https://www.tvlibertes.com/2018/07/12/24247/frederic-saint-clair-droite-face-a-lislam