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immigration - Page 927

  • Enième Plan Banlieues de Macron : la rançon de la paix sociale toujours plus chère

    Un plan banlieues de plus ! Bientôt les doigts des deux mains ne suffiront plus pour les dénombrer, mais les insomniaques pourront les compter à la place des moutons pour trouver le sommeil. Rappelons-les sans que la liste soit exhaustive. 1977 : premier plan banlieues sous Giscard. 1983 : plan « banlieues 89 » sous Mitterrand. 1992 : plan Tapie toujours sous Mitterrand. 1996 : « plan Marshall » pour les banlieues, sous Chirac. 1999 : premier plan Jospin « de rénovation urbaine et de solidarité ». 2001 : second plan Jospin avec 5,4 milliards d’euros sur cinq ans pour « les quartiers difficiles ». 2005 : plan Borloo de rénovation urbaine. 2008 sous Sarkozy « plan espoir banlieue » de Fadela Amara. 2013 : plan Ayrault, « 1 000 quartiers prioritaires ».

    Pour ce qui est de ce dernier plan, il prévoyait la création « d’emplois francs » dans ces zones. L’objectif du gouvernement Ayrault était alors de signer 5 000 contrats en 2013 et 10 000 en trois ans. Résultat : seulement 250 contrats ont finalement été signés. Cette expérimentation, « qui n’a pas prouvé son utilité », selon le ministre de la Ville, Patrick Kanner, a été enterrée dans le budget 2015.

    Voilà la mesure ressuscitée dans les mêmes termes, y compris les 5 000 contrats, dans le plan Macron, car il y a désormais un plan Macron, ce sera donc le dixième, dont il a développé les mesures mardi à Tourcoing !

    Lequel plan ne se distingue guère des autres puisqu’il comporte les mêmes ingrédients : emplois subventionnés, discrimination positive qui conforte les « jeunes » dans leur posture de victimes, il y ajoute un usage systématique du testing pour clouer au pilori les entreprises qui refuseraient leur quota de représentants de minorités ethniques.

    La politique des banlieues a déjà englouti en dix ans 50 milliards d’euros. En vain ! A part quelques rénovations urbaines a minimail y a plus de chômage et moins de médecins, pas de mixité sociale mais des ghettos ethniques, pas de « retour de la République » mais l’arrivée des salafistes. L’économie parallèle organisée autour de la drogue croit et embellit devant une police démunie et impuissante pour y faire face.

    Un énième plan n’y changera rien, hélas, les mêmes causes produisant les mêmes effets, vouloir réduire la sécession communautariste des banlieues en l’étouffant sous les subventions n’est pas une politique, c’est une abdication, aujourd’hui comme hier.

    Macron vient de recevoir le redoutable soutien de Jean-Louis Borloo qui, fort de son échec ministériel sur le front de la ville entend apporter son expertise au chef de l’Etat. On en tremble ! Mais peu importe à Macron : le but de sa plongée banlieusarde n’était pas d’y résoudre les problèmes mais d’essayer de gommer son image de « président des riches » en faisant du social avec le geste auguste du semeur de deniers publics.

    Pendant ce temps, loin de nos banlieues, des zones rurales deviennent désertiques, les services publics ont disparu, les commerces aussi, des agriculteurs survivent – quand ils ne se donnent pas la mort – avec moins de 350 euros par mois. 85 % des Français ne vivent pas dans les banlieues dites « difficiles », ce sont les grands oubliés de tous les plans, y compris celui du chef de l’Etat.

    Guy Rouvrais

    Article publié dans Présent daté du 16 novembre 2017

    https://fr.novopress.info/208373/enieme-plan-banlieues-de-macron-la-rancon-de-la-paix-sociale-toujours-plus-chere/

  • Tribune libre : Bataclan, 2 ans déjà...

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    Un témoignage reçu d'une lectrice

    En ce jour anniversaire, je prends la plume à la mémoire des victimes et des blessés des attentats du 13 novembre 2015 à Paris. Deux ans après ces tragiques évènements, c’est une triste commémoration que nous célébrons ce jour, une tristesse qui se mêle à de la colère face au laxisme de nos dirigeants politiques qui n’ont pas pris les mesures qui s’imposaient pour répondre à ces actes terroristes.

    Domiciliée pendant dix ans dans l’immeuble de l’administration du Bataclan, juste à côté de la salle de concerts, nous avons été confrontés à des personnes décédées le soir du 13 novembre 2015 et à de véritables scènes de chaos sur nos trottoirs. Les terroristes avaient garé leur voiture au pied de notre immeuble avant de tirer sur la foule à la terrasse du café du Bataclan et de s’engouffrer dans la salle de concerts armés de kalachnikovs.

    Au lendemain de ce drame, nos espoirs se sont tournés vers la classe politique, espérant de la fermeté et un sursaut de nos élites qui ne sont jamais venus.

    Notre première déception est apparue avec l’attitude des médias et des nombreux journalistes qui se pressaient devant le Bataclan. Seuls les passants et les voisins du quartier qui tenaient un discours politiquement corrects retenaient l’attention des journalistes. A l’inverse, tous les témoignages dénonçant le caractère islamique de cet attentat étaient rejetés par les médias, témoignages qui provenaient pourtant de témoins directs du drame ou de proches de victimes. C’est à partir de ce moment que j’ai rendu mon poste de télévision, ne voulant plus payer une redevance audiovisuelle pour financer les mensonges et les manipulations médiatiques.

    Au sein de notre association de victimes, nous étions réunis en groupes de parole pour évoquer nos traumatismes après les attentats. A notre grand étonnement, la psychologue désignée par l’association pour animer ces groupes de parole était de confession musulmane et il fut impossible de prononcer le mot « islam » au cours de nos échanges. Dans ces conditions, comment réparer un traumatisme s’il est interdit de nommer l’ennemi qui vous a meurtri et qui a tué vos amis ? Notre surprise fut également de taille lorsque Mme Juliette Méadel, alors Secrétaire d’Etat chargée de l’aide aux victimes, donna des instructions aux associations de victimes afin que leurs membres ne votent pas pour Marine Le Pen lors des élections présidentielles de 2017. De quel droit, le vote des victimes pouvait-il être confisqué de la sorte par une représentante de l’Etat, de surcroit chargée du suivi de nos dossiers, alors que nous souhaitions élire librement le meilleur candidat pour répondre à la barbarie islamique qui frappe notre pays ?

    Concernant les mosquées, le gouvernement n’a pas tenu ses promesses et a refusé de fermer les mosquées salafistes sur tout le territoire. A titre d’exemple, nous pouvons citer la mosquée Omar située à une centaine de mètres du Bataclan et qui est un haut lieu de l’islam radical à Paris. De nombreux protagonistes des attentats de Charlie Hebdoet de l’Hyper Casher ont fréquenté cette mosquée, notamment Farid Benyettou, le mentor des frères Kaouachi ainsi que des fidèles qui ont protégé la femme d’Amédy Coulibaly. Une filière djihadiste a été démantelée au sein de cette mosquée et plusieurs imams ont été condamnés pour prêches antisémites. Au lendemain de l’attentat du Bataclan, les responsables de la mosquée Omar se sont contentés d’afficher une grande banderole « Pas en Mon Nom » sur les murs du lieu de culte et ils n’ont pas été inquiétés par le gouvernement. Des personnalités politiques comme François Vauglin, Maire du XIe arrondissement de Paris (arrondissement dans lequel est situé le Bataclan) se rend régulièrement à la mosquée Omar pour rencontrer l’imam et les fidèles à l’occasion de fêtes religieuses.

    L’attentat du Bataclan comme tous ceux qui frappent l’Europe n’ont pas permis de mettre un frein à l’islamisation de la France et de l’Europe. Qu’ont fait nos hommes politiques pour interdire le port du burkini au lendemain de l’attentat de Nice ? Qu’attend le Ministre de l’intérieur pour condamner les prières de rue et leurs paroles de haine envers les non musulmans ? Qu’attendent les préfets pour dénoncer les camps interdits d’accès aux blancs sur notre territoire ? En plein état d’urgence, quelles mesures ont été prises à l’égard des femmes musulmanes habillées en voile intégral et qui peuvent cacher des couteaux ou des ceintures d’explosifs sous leur tenue vestimentaire ? Enfin, pourquoi aucune mesure d’emprisonnement n’a été envisagée envers les membres de la filière « Artigat » en Ariège, une nébuleuse de terroristes dangereux dont faisaient partie Mohamed Mérah et le djihadiste Fabien Clain, celui qui depuis la Syrie, a revendiqué les attentats du Bataclan au nom de Daesh ?

    Mais ce qui m’a conduit à écrire cet article, ce sont les dernières déclarations de nos dirigeants et de la presse sur le sort des djihadistes qui souhaitent revenir en France avec leurs femmes et leurs enfants. Au lieu de poser un principe d’interdiction pour le retour de ces combattants ou de les emprisonner pour intelligence avec l’ennemi, nos élites considèrent qu’il faut prévoir des mesures alternatives avec un traitement des dossiers au cas par cas. La France propose d’accueillir ces djihadistes avec des stages de déradicalisation pour permettre leur désembrigadement et leur réinsertion au sein de la société française. Le dispositif prévoit également l’aide d’associations en collaboration étroite et quotidienne avec les services sociaux au profit des djihadistes et de leurs familles. Doit-on rappeler que ces soldats de Daesh sont les commanditaires de l’attentat du Bataclan et qu’ils ont sur les mains le sang des 130 victimes du 13 novembre 2015 ? La France va donc accueillir sur son territoire des ennemis de notre République, des assassins qui ont servi l’idéologie criminelle de l’Etat Islamique. Pour quelles raisons nos dirigeants n’ont-ils pas consulté préalablement les survivants et les proches des victimes des attentats avant de se prononcer sur le sort de ces djihadistes ? Faudra t-il verser des allocations familiales à ces familles avec l’argent du contribuable français, notamment avec l’argent des proches des victimes du Bataclan qui payent leurs impôts comme chaque citoyen français ? Est-on réellement à l’abri d’un nouvel attentat sanglant par ces djihadistes de retour en France ? Autant de questions restées en suspens et pour lesquelles nos hommes politiques n’apportent aucune réponse. Ce qui est certain, c’est que chaque djihadiste qui foulera le sol français est une insulte à la mémoire des morts du Bataclan et de toutes les victimes des attentats islamiques commis en France.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • La bataille des islamocollabos - Journal du Mercredi 15 Novembre 2017

  • GRANDE MANIFESTATION « FACE AUX ISLAMISTES : DÉFENDONS L’EUROPE ! » À PARIS LE 25 NOVEMBRE

  • Scènes de pillages par des immigrés à Bruxelles après le match Maroc-Côte d’Ivoire

    Les émeutes et pillages commis par des hordes d’immigrés dans le centre ville de Bruxelles après le match Maroc-Côte d’Ivoire témoignent de ce qu’est le véritable  » vivre ensemble « .

    La vidéo ci-dessous montre ces immigrés se livrer au pillage d’une boutique d’ameublement et de literie. On entend clairement à plusieurs reprises l’intervention de l’un d’eux pour dissuader certains de mettre le feu à des matelas dans le magasin.

    « Il y a des gens au-dessus ! Tu veux tuer des gens ? », crie l’un des immigrés, essayant de rappeler ces enragés à un minimum de raison. Sans quoi, ils n’auraient pas hésité à faire griller les locataires des appartements situés au-dessus de cette boutique.

    D’autres se jettent alors sur un distributeur de billets juste à côté pour essayer de démolir l’appareil et d’en extirper l’argent.

    Malgré tout cela, il se trouve des journalistes complaisants pour donner la parole à certains de ces voyous et les laisser dire qu’ils ont eu peur de la police. La vidéo ci-dessus montre clairement le contraire, les émeutiers se vantant de faire peur à la police. Et d’ailleurs, depuis quand, lorsqu’on est pris de peur, on se met à incendier des voitures et piller des magasins ?

    http://www.medias-presse.info/scenes-de-pillages-par-des-immigres-a-bruxelles-apres-le-match-maroc-cote-divoire/83163/

  • TROIS CORNICHONS TIENNENT UN BALLON…

    Trois-cornichons.jpg

    La photo des trois cornichons tenant un ballon pour commémorer les attentats sanglants du 13 novembre vaut à elle seule toutes les analyses et autres chroniques zemmouriennes.

    Tout est résumé dans ce cliché. L’air absent de Hollande qui semble tenir un préservatif dans lequel il vient de souffler, la mine enfantine de Macron accompagné de sa maman qui lui a promis une barbe à papa… Il lorgne du côté du vendeur… Ah, ça fait envie. Mais à quelle heure vais-je l’avoir ? Maman, s’il te plaît…

    Le marchand de ballons qui se tient sur la droite du cliché tente de convaincre la responsable du trio d’en acheter trois autres… Mais rien à faire. Elle est inflexible. Le budget de l’État ne permet pas de faire de telles dépenses. Derrière, on devine quelques manèges… Marcel Campion ne doit pas être bien loin. Il veut sa grande roue devant le Bataclan. Ah, elle aurait belle allure ! Un stand de pommes d’amour, des statuettes de terroristes… Le créneau festif est évident.

    Et ce sont donc ces trois cornichons pitoyables de niaiseries et d’inconséquences que certains appellent l’élite. D’accord. Le gratin de la clientèle qui fréquente « la fête à neuneu ». Dans le cadre d’une fête foraine, l’appellation « élite » est pertinente. Bien habillés, brushing impeccable malgré les tours de grand huit. Quelle tenue ! On dira ce qu’on voudra, ma chère, mais l’ENA, ça vous façonne son homme.

    S’imaginer la rigolade des djihadistes devant ce spectacle ridicule vous fait monter une de ces hontes… L’indécence d’une telle cérémonie devrait se dérouler huis clos. Dans un souterrain, dans une cave… Entre cornichons. Tous réunis dans le même bocal. Et tant pis si le lâcher de ballons bute contre le plafond. C’est le geste qui compte. Qu’ils se livrent à leurs pitreries en cachette. De grâce… Ce cliché avoue de manière trop flagrante l’absence de volonté d’en finir avec ces barbaries. L’infantilisme y est trop fort. La décadence trop voyante. L’envie de perdre est là tout entière. Étalée sans pudeur, montrée à tous. Allons enfant de la patrie, le jour de défaite est arrivé… Allez, changeons les paroles de l’hymne et n’en parlons plus.

    http://www.bvoltaire.fr/trois-cornichons-tiennent-ballon/

  • Terrorisme : la guerre est aussi intérieure, par Ivan Rioufol

    Une guerre civile menace la France, mais la Macronie garde les yeux fermés. Ce lundi, le chef de l’Etat s’est rendu sur les lieux des attentats djihadistes du 13 novembre 2015, notamment au Bataclan, pour rendre un hommage silencieux aux 130 morts et aux 683 blessés. L’offensive terroriste avait été lancée du fief de l’Etat islamique à Raqqa. La chute de la ville syrienne, et de Daesch, n’ont pas éteint les risques, même si Emmanuel Macron a cru bon de supprimer le secrétariat d’Etat à l’aide aux victimes, créé en février 2016. Dans Le Figaro de ce jour, le patron de la DGSI confirme : “Tout ce qui se passe sur les théâtres d’opérations est transposable sur notre territoire”. Ces propos de Laurent Munez signifient donc que la guerre extérieure est aussi une guerre intérieure. Elle est principalement menée par des Français, en tout cas administrativement, contre d’autres Français. Le général Pierre de Villiers, ancien chef d’Etat-major des armées, l’admet aussi (1) : “Désormais, l’ennemi peut aussi bien se trouver à l’intérieur de l’Hexagone que très loin au-delà des mers”. En 2015, le ministre de la Défense de l’époque, Jean-Yves Le Drian, soutenait encore : “Je ne parlerai jamais d’ennemi intérieur”.

    Il y a, oui, une cinquième colonne, motivée par la détestation de l’Occident et singulièrement de la France. Or, quand le président déclare tout dernièrement, à Abu Dhabi : “Ceux qui veulent faire croire que l’islam se construit en détruisant d’autres monothéismes sont des menteurs et vous trahissent”, il cautionne un irénisme qui désarme les élémentaires vigilances. Faut-il rappeler à Macron l’éradication des Chrétiens d’Orient ou des Juifs en terre d’islam. Faut-il lui rappeler les motivations suprémacistes du djihad et l’intolérance salafiste ? Qui ment ?

    Le déni du choc des cultures empêche le chef de l’Etat de comprendre une partie des ressorts de l’offensive islamiste. Quand il préfère expliquer le terrorisme par les conditions économiques et sociales ou par le réchauffement climatique, il sous-estime la guerre en cours et les moyens d’y répondre. On comprend encore mieux, au regard de cet état d’esprit si craintif, la démission du général de Villiers, ses “désaccords majeurs” évoqués dans son livre, et ses inquiétudes pour l’avenir de la défense nationale. Ceux qui voient en Macron un président de choc, brutal et cassant avec ses adversaires, ne distinguent pas la main qui tremble dès qu’il s’agit de sortir du confort de la technocratie et de ses impératifs financiers. Vendredi, à Clichy (Hauts-de-Seine), une centaine d’élus ont dû pallier la démission des pouvoirs publics en s’opposant enfin à des prières de rue organisées illégalement en centre-ville depuis 8 mois, alors même que la commune compte deux mosquées.

    L’effacement de l’Etat face au communautarisme et aux minorités est une plaie qui reste à soigner. Le soir du 11 novembre, des drapeaux algériens et marocains ont été déployés devant l’Arc de Triomphe et la tombe du Soldat Inconnu par des centaines de supporters de foot, dont certains criaient : “On est chez nous !”. Les médias n’ont pas même relevé ces scènes choquantes. Elles illustrent pourtant un multiculturalisme qui fait le lit de possibles tensions à venir. Sachant de Macron ne fera qu’aggraver ces situations, il reste aux Français écoeurés à sonner eux-mêmes le tocsin.

    (1) Servir, Fayard

    Ivan Rioufol

    Texte daté du 13 novembre et repris du blog d’Ivan Rioufol

    https://fr.novopress.info/208341/terrorisme-la-guerre-est-aussi-interieure-par-ivan-rioufol/