Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

immigration - Page 954

  • L’INSÉCURITÉ GRANDIT EN FRANCE

    2564223-emeutes-de-villiers-le-bel-7-a-15-ans-de-prison-requis-en-appel.jpg

    Il y a quelque 48 heures, une fusillade à la kalachnikov, sur fond de trafic de stupéfiants, faisait un mort et un blessé grave dans un quartier animé du centre de Marseille. Dans le même temps, à Clermont-Ferrand, paisible ville de province, un jeune homme était sauvagement poignardé pour avoir voulu s’interposer dans une bagarre. Son pronostic vital était engagé. Au centre pénitentiaire de Vendin-le-Vieil, des surveillants de l’administration pénitentiaire, quant à eux, étaient agressés au couteau et blessés par un djihadiste fanatique, ancien dirigeant d’Al-Qaïda et coresponsable d’un attentat commis en Tunisie en 2002 qui avait fait 21 morts. Ces faits, survenus dans des endroits très différents, mais dans le même laps de temps, démontrent combien la sécurité se dégrade dans notre pays. En effet, sur fond d’augmentation du nombre des homicides survenus en 2016 – notamment du fait des attentats commis sur notre sol -, il apparaît que l’insécurité s’impose peu à peu dans nos villes, dans nos villages, dans nos commissariats et nos gendarmerie (cf. attaques de Limoges, Grenoble et Meylan) et même, aujourd’hui, dans nos prisons.

    À l’extérieur, la même violence touche nos soldats. Engagés sur différents fronts, trois de nos militaires viennent ainsi d’être blessés, dont un grièvement, au Mali. Ils vont s’ajouter à la déjà trop longue liste des 154 tués et des 620 blessés en opérations extérieures depuis 2007. Même le très prudent Haut Comité d’évaluation de la condition militaire, dans l’un de ses derniers rapports, jugeait ce nombre « élevé ».

    Et face à ce déferlement de violence et d’actes criminels, que font nos gouvernants ? Ils discutent, ils tergiversent, ils temporisent mais n’agissent pas. Ils ont laissé, au cours de ces dernières décennies, au nom d’un angélisme coupable, la situation sécuritaire de notre pays se détériorer comme jamais. Les effectifs dans la police, la gendarmerie et l’administration pénitentiaire ont fondu comme neige au soleil. Les matériels n’ont pas été remplacés, laissant nos forces de l’ordre et nos militaires intervenir dans les pires conditions. Et comme si cela ne suffisait pas, ils ont sanctionné ceux qui, conscients de leurs responsabilités, tiraient la sonnette d’alarme. Le général Pierre de Villiers en est l’exemple le plus récent et le plus emblématique.

    Aujourd’hui, tous les Français sont gravement en danger. Nos banlieues sont sous pression, susceptibles d’exploser à la moindre étincelle. Nos prisons peuvent, à tout moment, connaître des émeutes. Nos militaires, nos policiers et, d’une façon plus générale, tous ceux qui, en uniforme ou non, représentent l’État peuvent être agressés et assassinés à tout moment au nom d’une idéologie mais aussi à cause d’un laxisme que l’on a laissés se développer sans aucun discernement.

    Ainsi, la seule question qui vaille, désormais, n’est pas de savoir où et comment interviendra l’événement qui mettra le feu aux poudres, mais bien de savoir quand. En effet, malgré l’engagement sans faille de celles et ceux qui assurent notre sécurité intérieure et extérieure, il est maintenant acquis qu’ils ne peuvent plus que contenir le vaste mouvement d’envahissement qui menace notre pays. Trop peu de personnels, trop peu de moyens, mais surtout trop peu d’envie et un manque de vision globale de la part de politiques qui ont eu, jusqu’ici, plus à cœur de préserver leurs positions et leurs mandats que de se battre pour rétablir la paix sur notre sol.

    Face à ce renoncement, c’est donc à nos forces de l’ordre de se faire entendre par tous les moyens légaux dont ils disposent. À eux d’exiger les moyens d’exercer leurs missions, et de mettre nos politiques au pied du mur.

    http://www.bvoltaire.fr/linsecurite-grandit-france/

  • Invasion migratoire – Macron va-t-il céder ?, par Caroline Parmentier

    Dans le délirant « il faut les accueillir tous » qui est devenu le seul credo (y compris de l’Eglise catholique) quelle est la capacité de résistance de Macron face à ces structures militantes de gauche et d’extrême gauche, face à la presse et aux « assoces », face à sa propre majorité ?

    La une de L’Obs, titrée « Bienvenue au pays des droits de l’homme » sort la grosse cavalerie. On y voit Emmanuel Macron derrière des barbelés évoquant les camps de la Seconde Guerre mondiale, afin de dénoncer sa politique migratoire. Tandis que l’intellectuel qui vit dans les beaux quartiers, Jean-Marie Le Clézio, se fend d’un édito fleuve pour dénoncer le « déni d’humanité insupportable » de la France dans le traitement des migrants.

    2018 a commencé avec son flot de migrants, de « réfugiés » et de clandestins qui errent dans les rues, à Paris et ailleurs. Les centres d’hébergement d’urgence, les hôtels et les foyers déjà remplis en hiver de sans-abris, sont sursaturés. Alors qu’il n’a encore rien fait et qu’il n’annonce que des mesures a minima, modérées au vu de la situation, Emmanuel Macron est dénoncé pour sa « ligne dure » et son « virage sécuritaire » intolérables, jusque dans ses propres rangs.

    « Hébergement inconditionnel »

    Pour tenter de désengorger les centres, le gouvernement a publié en décembre une circulaire sur le recensement des étrangers. Des « équipes mobiles » doivent y être envoyées afin de recueillir des informations sur la situation administrative des personnes hébergées. L’objectif est de savoir précisément qui est accueilli dans ces lieux, de rediriger dans d’autres structures ceux qui ne doivent pas s’y trouver afin de libérer des places pour les sans-abri. Et à terme, tenir la promesse présidentielle (pas tenue) : « Plus personne dans les rues d’ici fin 2017 ». Mais même ça, c’est déjà hautement scandaleux. C’est du nazisme.

    L’éloignement des faux demandeurs d’asile (au bénéfice des vrais !) soulève l’indignation. Vingt-six associations (Fédération des acteurs de la solidarité, Emmaüs, Secours catholique, Médecins sans frontières ou encore la Fondation Abbé Pierre) ont saisi le juge des référés du Conseil d’État pour obtenir la suspension de la circulaire. Pas question que « les équipes du ministère de l’Intérieur » procèdent à des « contrôles », « étiquetages » et « triages » qui rappellent les heures les plus sombres de notre histoire. Personne ne met le nez dans les affaires, la pagaille et les magouilles des « assoces » dans la gestion des migrants, vache sacrée au-dessus des lois. L’Etat (c’est à dire nous) est juste bon à les subventionner.

    « On touche à notre ADN qui est l’hébergement inconditionnel des personnes », a déclaré Bruno Morel, directeur général d’Emmaüs Solidarité. Accueil inconditionnel pour tous les clandestins ! La France est riche, la France est le pays des droits de l’homme, la France est multiculturelle, multireligieuse, pluri-ethnique. Avec les succès que l’on sait, à tous les niveaux.

    Emmanuel Macron est parfaitement conscient de la mission régalienne pour laquelle il est aujourd’hui au pied du mur. « Il faut se garder des faux bons sentiments, il y a beaucoup de confusion chez les intellectuels », a-t-il déclaré à l’intention de Le Clézio. Macron connaît l’opinion publique, il sait qu’elle n’est pas représentée par L’Obs. A 60 % parfois à 70 % et malgré la propagande permanente, les derniers sondages montrent que les Français et les Européens jugent que le nombre d’immigrés est trop élevé et qu’ils souffrent de l’immigration incontrôlée. Le président sait qu’il est attendu au tournant sur cette question-là qui est liée à beaucoup d’autres : crise économique, chômage, communautarisme, islamisation, terrorisme. Si rien ne change, les élections de 2022 vont arriver très vite.

    Caroline Parmentier

    Article paru dans Présent daté du 13 janvier 2018

    https://fr.novopress.info/

  • La réalité, ce n’est pas l’islamophobie, mais l’occidentophobie

    Par Chantal Delsol, membre de l’Institut, professeur des universités, écrivain ♦ TRIBUNE – Pour la philosophe (*), il est vain de chercher des causes économiques ou psychiatriques au terrorisme. La matrice idéologique des djihadistes est la haine de la civilisation occidentale. Le problème est que nous non plus ne nous aimons pas.

    Le terrorisme qui nous frappe s’impose à nous comme un objet non identifié.

    Nous sommes capables de mettre en place l’état d’urgence, de détenir des services secrets performants qui sans aucun doute nous évitent bien d’autres attentats. Mais nous sommes incapables de mettre le doigt sur les causes. Au début, à partir du 11 Septembre, on a commencé par prétendre que des raisons économiques poussaient ces jeunes garçons au meurtre de masse et au suicide. L’empreinte marxiste est déterminante dans les sociétés occidentales du tournant du siècle : on pense encore que le crime ne provient que du chômage et du mal-être social. Puis on s’est rendu compte qu’il n’en était rien, puisque les coupables étaient parfaitement intégrés et instruits. Aujourd’hui une nouvelle explication, non moins risible, court sur les antennes : les terroristes seraient des malades mentaux. On installe des “cellules de déradicalisation” aussi ridicules qu’inutiles, comme si on pouvait lutter contre des croyances avec les armes de la raison bureaucratique. La seconde explication a aussi peu de sens que la première. Car la véritable raison est étalée sous nos yeux, pendant que nous refusons de la voir, comme la lettre volée.

    Le déni de réalité est tel qu’on voit ces jours-ci des Espagnols défiler contre le terrorisme aux cris de “non à l’islamophobie”, comme si la raison de tout cela n’était pas, évidemment, l’occidentophobie. Qu’on le croie ou non, l’aveuglement des ex-communistes vis-à-vis des crimes de Lénine/Staline a été encore dépassé par l’aveuglement de nos contemporains devant les meurtres de masse auxquels nous sommes pratiquement habitués…
    On ne parle pas de l’occidentophobie. Et probablement, il est suspect d’en parler, parce que c’est une manière de mettre en cause une branche de l’islam. Pourtant, les attentats qui secouent nos villes à intervalles de plus en plus rapprochés, sont bien le fruit de l’occidentophobie. Il s’agit d’une récusation profonde de notre culture telle qu’elle se déploie dans nos sociétés, Europe et Amérique confondues. L’Américain John Updike a bien décrit cela dans son roman Terroriste: son héros, le jeune Ahmad Mulloy, ne supporte pas le spectacle de la vie quotidienne américaine : la consommation permanente et la passion des choses superflues ; les filles offertes dans un abus de nudité et de laxisme, où plus rien n’est interdit ; la vulgarité, la bagatellisation de tout, le refus de toute spiritualité.

    Au fond, ce qui est mis en cause ici, c’est l’athéisme, la sécularisation générale, l’égalité des sexes, le matérialisme, la priorité du plaisir. Les terroristes sont d’abord des gens qui ne supportent pas les droits égaux pour les femmes, la laïcité, la fin du machisme patriarcal.
    Un certain pourcentage de musulmans hébergés par l’Occident hait l’Occident. C’est un fait. Ils ont été accueillis ici mais se révoltent contre leur culture d’adoption. Ce sont des choses qui arrivent, et ce n’est pas la première fois dans l’histoire. Il ne s’agit pas d’un simple dégoût, sinon nos terroristes pourraient aller vivre dans des pays où le gouvernement est musulman et les femmes voilées. Il s’agit d’une haine, d’une volonté de faire disparaître une culture : une idéologie – cet islam veut le monde. Beaucoup d’Occidentaux croient naïvement que les idéologies, après l’enfer puis après le communisme, ont été supprimées. En réalité nous nous trouvons devant une nouvelle “guerre contre l’Ouest”, héritière de celle dont parlait le Hongrois Aurel Kolnai en parlant du nazisme.
    Les Occidentaux ont énormément de mal à admettre que des gens commandités par l’islam (même si évidemment aucun islam n’est tout l’islam) ont désigné l’Occident comme ennemi au point d’y commettre des massacres de masse. Car les musulmans, comme anciennes minorités opprimées, ont toujours raison : tel est notre mode de pensée. Incriminer des causes économiques ou psychiatriques des attentats, est chaque fois un moyen d’en rejeter la faute indirectement sur nous.

    Cet aveuglement a des raisons intéressantes, et des conséquences non négligeables. Nous sommes parfaitement capables d’expliquer pourquoi nous, Occidentaux, devons être occidentophobes : toute la culture de la déconstruction nous le répète à satiété depuis un demi-siècle. Nous sommes capables d’expliquer comment la culture occidentale, responsable des guerres de religions et des guerres mondiales, est haïssable. Mais nous sommes bien incapables de comprendre et d’expliquer pourquoi un jeune musulman d’aujourd’hui, abrité et éduqué par l’Occident, va haïr la laïcité et l’émancipation des femmes : nous n’avons pas encore accepté cette réalité, tant elle nous insupporte, parce qu’elle déprécie une minorité que nous avons opprimée, c’est-à-dire un groupe de héros.
    Nous avons depuis longtemps perdu l’habitude de défendre notre culture, de plaider pour elle. Faire l’apologie de la culture occidentale, nous pensons que c’est vichyssois, voilà tout. Aussi demeurons-nous pétrifiés et impuissants, incapables de comprendre avant même de répondre. Il faudrait justifier nos propres racines, que nous passons notre temps à ridiculiser depuis cinquante ans. Nous ne savons même plus où elles sont. La tâche est pour nous effrayante. Elle nous demande un retournement complet.

    On ferait bien de cesser de pleurnicher sur la soi-disant islamophobie, qui n’existe que dans la mauvaise conscience, en ce cas mauvaise conseillère. La vraie réalité, qui se compte en nombre de morts, et cela est bien réel, c’est l’occidentophobie (qu’il vaudrait mieux appeler misoccidentie, si le mot n’était dissonant) : la haine de l’Occident. Il est probable qu’à force de vouloir nous déconstruire nous-mêmes, nous avons donné des armes à ceux qui déjà ne nous aimaient pas beaucoup – quand on bat sa coulpe en permanence, on finit par apparaître comme un raté. Mais enfin le mal est fait. Il nous faut tenter de comprendre, quand nous serons parvenus à prononcer ce mot, pourquoi pullulent les occidentophobes, habités par la nostalgie d’une société religieuse, patriarcale et machiste. Il ne nous suffira pas de les traquer physiquement, car c’est une bataille de croyances – on n’embastille pas des croyances. Où sont nos croyances ? Nous pourrions, avec profit, les rattraper dans le ruisseau où nous les avions imprudemment abandonnées.

    Chantal Delsol 07/09/2017

    (*) Membre de l’Institut, fondatrice de l’Institut Hannah Arendt, Chantal Delsol est philosophe et historienne des idées. Elle a dernièrement publié Un personnage d’aventure. Petite philosophie de l’enfance (Éditions du Cerf).

    Source : Le Figaro, 7 septembre 2017

    https://www.polemia.com/la-realite-ce-nest-pas-lislamophobie-mais-loccidentophobie/

  • Les migrants : des «envahisseurs musulmans», selon le Premier ministre hongrois

    Connu pour son opposition frontale aux quotas européens de migrants, Viktor Orban s'est livré à de nouvelles déclarations fracassantes. Qualifiant les réfugiés d'«envahisseurs», il estime que des «sociétés parallèles» ont émergé en Europe. 
    Dans un entretien au journal allemand Bild le 7 janvier, Viktor Orban s'est livré sur les raisons du refus de Budapest d'accueillir des réfugiés. «Nous ne considérons pas ces gens [les migrants] comme des réfugiés musulmans», a lancé le Premier ministre hongrois, précisant les voir plutôt comme des «envahisseurs musulmans»
    «Si quelqu'un veut venir dans votre maison, il frappe à votre porte et demande : "Pouvons-nous entrer, pouvons-nous rester ?" Ils [les demandeurs d'asile] ne font pas cela, ils ont franchi la frontière illégalement», a encore déclaré Viktor Orban. 
    «Sociétés parallèles»
    Poursuivant son raisonnement, le Premier ministre hongrois a qualifié le multiculturalisme d'«illusion», jugeant que les sociétés musulmane et chrétienne «ne s'unir[aient] jamais». Quant à l'arrivée d'un grand nombre de musulmans sur le Vieux continent, elle aurait résulté selon lui en l'apparition de «sociétés parallèles»
    Viktor Orban a aussi estimé que les personnes tentant de rejoindre la Hongrie depuis la Syrie ne risquaient «pas leur vie» car elles traversaient des pays relativement stables : la Turquie, la Grèce, la Macédoine et la Serbie. «Ce sont plutôt des migrants économiques en quête d'une vie meilleure», a conclu le Premier ministre. 
    Estimant que le but de la plupart des réfugiés était de s'installer en Allemagne, il a taclé la politique d'accueil des demandeurs d'asile de la chancelière Angela Merkel. «Je n'ai jamais compris comment le chaos, l'anarchie et le franchissement illégal de frontières étaient considérés comme des choses positives dans un pays comme l'Allemagne, que nous considérons comme le meilleur exemple de discipline et de respect de la loi», a lancé Viktor Orban. 
    Critique acerbe de l'immigration et des quotas de répartition de migrants obligatoires prévus par l'Union européenne, Viktor Orban multiplie les sorties fracassantes sur le sujet. Il avait déjà notamment qualifié les demandeurs d'asile de «cheval de Troie pour le terrorisme»
    Le renforcement de la frontière de la Hongrie avec la Croatie et la Serbie, par la construction d'un mur, a valu de nombreuses critiques de pays européens à Budapest. 
    La Hongrie n'infléchit pourtant pas son discours et s'est trouvée des alliés européens refusant eux aussi les quotas, comme la Pologne et la République tchèque, et ce malgré les mises en garde de la Commission européenne.

  • SAMUEL LAFONT : « ON PEUT SOULIGNER UN REJET MASSIF, CHEZ LES FRANÇAIS, DU RETOUR DES DJIHADISTES, QU’IL S’AGISSE D’HOMMES OU DE FEMMES »

    Que faut-il faire des djihadistes partis en Irak ou en Syrie qui veulent à présent revenir ? Le débat fait rage en France. Samuel Lafont, à l’origine de la pétition Damoclès, qui rassemble déjà plus de 63.000 signataires, met solennellement en garde contre le danger que représenterait ce retour et relève que l’opinion publique y est massivement opposée.

    http://www.bvoltaire.fr/on-souligner-rejet-massif-chez-francais-retour-djihadistes-quil-sagisse-dhommes-de-femmes/

  • Anvers (Flandre) Filip Dewinter lance une nouvelle campagne :

    1196871310.27.jpg

    Filip Dewinter, porte-parole de Vlaams belang à Anvers, a lancé une nouvelle campagne sur la capitale flamande : "Les nouveaux arrivants ? Nous les faisons nous-même..."

    16168030.11.jpg

    Source Lionel Baland cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Éric Zemmour : « La politique du droit d'asile est un grand théâtre »

    3587275081.jpg

    Le groupe de Visegrad auquel s'ajoutent la Pologne, l'Autriche et quelques autres pays ... 

    BILLET - Le cap des 100.000 demandeurs d'asile a été franchi en 2017. Pourtant les associations d'aide aux demandeurs d'asile ont rompu les discussions avec un gouvernement qui, selon elles, n'a jamais été aussi répressif.  [RTL 9.01]. En quelques mots brefs et lucides, Zemmour démonte cette légende ou ce bobard. Ici, nous sommes de ceux qui pensent qu'il y a des moyens de contenir la vague migratoire hors de nos frontières. Les pays de Visegrad et quelques autres, avec des moyens bien inférieurs aux nôtres, en montrent l'exemple. Chez nous, malgré les paroles, la volonté n'y est pas. Voilà tout.   LFAR


    Résumé RTL par Éric Zemmour et Loïc Farge 

    C'est comme au théâtre. Des portes qui claquent, des bouderies, des éclats de voix, de grandes tirades, des cadavres dans le placard, des accords secrets. Des réconciliations au dernier acte. La politique de l'immigration, en général, et du droit d’asile, en particulier, est un grand théâtre où chacun joue son rôle.

    Les associations et les grandes consciences ont le beau rôle : celui du gentil, du généreux, de l'humaniste, des bras ouverts. D'autant plus ouverts que c'est l'État qui paye, subventionne et rémunère leurs services (...). L'État, c'est-à-dire vous et moi, c'est-à-dire nos impôts. Nous payons avec nos impôts pour accueillir des gens dont nous ne voulons pas. 

    Éric Zemmour

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • ALLELUIA, 38 OOO « MIGRANTS » ILLEGAUX VONT ETRE EXPULSES….

    souriez.jpg

    Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

    Le Premier ministre demande aux migrants en situation irrégulière de quitter le pays avant la fin du premier trimestre, en échange d’un billet d’avion et d’un pécule de 3 000 Euros. Ce programme est destiné à imposer à presque quarante mille clandestins de choisir entre l’expulsion « rémunérée » et …la prison ! S’exprimant au début d’une réunion du cabinet ministériel, le chef du gouvernement s’est félicité de la mise en place de ce projet destiné «  à faire partir les migrants entrés Illégalement ». Ceux-ci ont jusqu’à fin mars pour quitter le pays, faute de quoi ils seront incarcérés.

    ….EN ISRAEL !

    Et oui ami lecteur, ce n’est pas dans notre « cher vieux pays » comme aurait dit l’exilé de Colombey les Deux Eglises, que l’on appliquerait une telle mesure de salubrité publique : c’est l’Etat hébreu qui prend le bélier par les cornes si je puis dire, et qui annonce par la voix de Benyamin Netanyahu, son Premier ministre, que les récalcitrants seront envoyés en prison. On imagine, ici, les cris d’orfraies si Emmanuel Macron et Edouard Philippe prenaient une telle mesure. On entend déjà les sanglots des habituels pétitionnaires de la LDH, de la LICRA, du MRAP et de SOS Racisme, sauf ceux du CRIF, tout de même !  Les marcheurs battraient le pavé d’un pas allègre, exceptionnellement en compagnie des « barbudos » du camarade Mélenchon. Mais si l’Etat juif prend, à juste titre et en toute souveraineté, les mesures qui concernent sa sécurité, force est de constater qu’il y a des pays « plus égaux » que d’autres et qui échappent à la vindicte de la doxa dominante. C’est le « deux poids, deux mesures ». Mais est-ce pour nous étonner ?

    EN FRANCE, NOUS NE SOMMES PAS SORTIS DE L’AUBERGE

    Ce beau pays qui est la patrie des droits de l’homme, et aussi, ne l’oublions pas… du camembert et du petit coup de rouge qui l’accompagne, est tellement beau et attirant que l’OFPRA, l’Office français de protection des réfugiés et apatrides, annonce que la terre des « Gaulois » a enregistré 100 412 demandes d’asile en 2017, soit une augmentation de plus 17 % par rapport à l’année écoulée. Du jamais vu ! Et encore, ces chiffres ne comptabilisent pas les clandestins qui n’ont fait aucune démarche et qui, chaque jour, viennent renforcer les effectifs de ceux qui sont déjà entrés par toutes les portes et fenêtres grandes ouvertes ou presque.

    L’air bravache, le ministre de l’intérieur et ex-maire de Lyon, nous annonce un plan de règlement de la question sous forme d’une loi sur l’immigration qui, à peine esquissée, fait déjà ruer dans les brancards une partie de sa majorité parlementaire, composée, devons-nous le rappeler, de socialistes repentis et de « harkis » de la droite molle venus à LREM chercher leur pitance.

    DE QUELLES CONTREES NOUS VIENNENT-ILS ?

    Avec étonnement, les Syriens que l’on pourrait penser les plus nombreux en raison de la situation dans leur pays qui est un champ de bataille, du moins jusqu’à ces dernières semaines, n’arrivent qu’en dernière position. Bien loin derrière les Albanais et autres Kosovars, alors que la guerre a cessé dans leurs contrées depuis belle lurette. Puis viennent les ressortissants d’Afrique de l’Ouest et de la République « démocratique » du Congo, les Algériens (en hausse de 24 %), les Afghans (+ 6%), les Haïtiens, les Soudanais et autres Guinéens, etc…

    A ces chiffres officiels, s’ajouteront bien sûr, ceux des pseudos « migrants » qui seront aidés par toutes ces bonnes associations de collaborateurs du phénomène de l’immigration./invasion pour constituer leur dossier de demandes d’asile. En attendant, c’est le contribuable qui paye.

    A une portée d’arbalète de mon village, une cinquantaine d’Africains illégitimement entrés en France, - on parle d’Erythréens, de Somaliens, de Sud-Soudanais, tous pays qui n’ont rien à voir avec la colonisation française -, s’entassent, logés, blanchis, nourris, dans l’ancienne gendarmerie que nombre de SDF aimeraient bien avoir comme « casernement ». Mais, souvent, ces sans-abris sont FRANÇAIS, alors….Existerait-il une insensée discrimination ?

    LE « GRAND REMPLACEMENT », UNE VUE DE L’ESPRIT ?

    L’Etat français, à cent mille unités près, est incapables de savoir combien d’étrangers en situation irrégulière sont sur notre sol. A Menton, à peine les patrouilles de la PAF ont-elles contrôlé les trains en provenance d’Italie et ont-elles refoulé les clandestins, que des associations caritatives d’extrême-gauche, prennent en main ces derniers aux débouchés des cols franco-italiens. A Calais, la jungle, doucement mais sûrement, se reconstitue. La ville est, partiellement, sinistrée et, chaque jour, les camionneurs doivent se battre pour se faire respecter et veiller à ce que les tentatives de passage du tunnel ne virent pas au drame. CRS et autres gardiens de l’ordre sont épuisés et à la merci, vidéo oblige, d’une plainte pour « brutalités »…Nous en sommes là.

    Combien sont-ils ? Les instituts officiels spécialisés dans les études démographiques nous mentent. Car les naturalisations pratiquées sans vergogne, - inique droit du sol -, vident chaque année les « stocks » d’étrangers qui se trouvent tout de même renforcés sans cesse, par de nouveaux arrivants. Pas folles les femmes surinamiennes qui viennent accoucher en Guyane, comme d’ailleurs les Comoriennes qui échouent à Mayotte, première maternité de France ! Et le regroupement familial aidant, les naissances de néo-Français font que les populations qualifiées de « de souche » seront, à terme, dans 20 ans, 30 ans, avant la fin du siècle en tout cas, minoritaires chez elles. Même phénomène qu’aux Etats-Unis. C’est le syndrome afrikaner, « la technique du coucou » ! Et, mince consolation, en Europe, les pays du groupe de Višegrad ne sont pas touchés par ce phénomène. Faudra-t-il alors se réfugier du côté du lac Balaton, charmant entre parenthèses, comme nous y invite d’une façon humoristique le Premier ministre hongrois, Viktor Orban ou du côté des Tatras et des Beskides, chez les Slovaques ou les Polonais ?

    NOUS SOMMES ICI CHEZ NOUS

    La France a toujours été, et c’est à son honneur, une terre d’accueil pour tous ceux qui souffraient de persécutions religieuses ou politiques. Mais ce n’est pas non plus une « auberge espagnole » où toutes les ethnies de la terre pourraient s’y essuyer les pieds, comme sur un paillasson. Nous attendons du Chef de l’Etat, le spécialiste breveté du « en même temps », qu’il fasse ce qu’il a annoncé : l’expulsion des déboutés du droit d’asile, et l’accueil de celles et ceux qui le méritent, et seulement eux. J’attends, avec impatience, les premiers A-380 qui ramèneront au pays natal les faux réfugiés. Il y va de la pérennité de notre nation. Et là, nous pourrons sereinement nous occuper des VRAIS demandeurs du droit d’asile.

    RL JCR 1.jpg

  • Julien Sanchez : « On a l’impression d’avoir un Grand Remplacement du porc dans les cantines »

    Julien-Sanchez-Beaucaire.jpg

    À partir de cette année, les repas de substitution – c’est-à-dire sans porc – sont supprimés dans les cantines des écoles publiques de Beaucaire (Gard). Julien Sanchez, maire Front national de cette ville, explique les raisons de cette décision au micro de Boulevard Voltaire.

    Julien Sanchez, vous êtes maire de Beaucaire. Depuis le premier janvier 2018, les enfants des cantines de Beaucaire n’ont plus de menus de substitution, c’est-à-dire des menus sans porc.
    Pourquoi avoir pris cette décision ?

    « Tout simplement, car les communes sont soumises à la règle de la commande publique. Dès que l’on dépasse 25 000 euros de dépenses par an, on est tenu de mettre en concurrence les entreprises.
    Nous avions un marché de denrées alimentaires qui est arrivé à échéance. Nous l’avons reconduit pour quatre ans. Cette échéance a été l’occasion de se questionner sur ce qui était servi dans les écoles. Nous avons abordé la question des repas de substitution. Depuis le mandat du maire précédent, un repas de substitution était servi uniquement les jours où il y avait du porc.
    Cela m’a interpellé et j’ai donc souhaité mettre un terme à tout cela. Je considère que c’est uniquement basé sur le fait religieux. »
    Y a-t-il des raisons économiques qui justifient ce choix ?

    « Bien sûr, il y a les deux. J’ai pu constater que depuis 10 ans, c’est-à-dire depuis l’instauration de ce système, les enfants musulmans mangeaient sur des tables à part. C’était sans doute par commodité, car il ne fallait pas risquer de confondre ceux qui mangeaient tel plat et ceux qui n’en mangeaient pas. C’était sans doute pratique pour le personnel de cantine, mais j’ai trouvé que ce procédé était anormal.
    Pour mettre fin à cela, il aurait fallu mettre en place des self-services. Ainsi les enfants auraient pu aller se servir eux-mêmes. Le coût de l’installation des self-services était de plusieurs centaines de milliers d’euros. Il fallait également installer des bandes réfrigérées dans cinq cantines.
    Or, nous devons trouver 200 000 euros pour dédoubler les classes de CP et de CE1, car le gouvernement a pondu cette réforme sans nous donner les moyens de financer ce changement. De plus, nous avons une baisse des dotations par l’État. Je crois donc que cette dépense supplémentaire n’est pas souhaitable. »

    Comprenez-vous que ce genre de décisions crée des polémiques ?

    « Je me retrouverais sans doute une nouvelle fois devant le tribunal correctionnel, mais ce n’est pas grave. Je crois qu’aujourd’hui il est particulièrement important de défendre les valeurs de la République et l’école républicaine. L’école républicaine, c’est Liberté, Égalité et Fraternité.
    L’Egalité, c’est chacun mange la même chose. Un seul repas doit être servi.
    La Fraternité, c’est la fraternité avec tous, y compris avec les éleveurs de porcs qui sont en difficulté en ce moment et notre agriculture française qu’il faut sauvegarder.
    Et la Liberté, c’est la liberté d’aller manger ailleurs si on n’est pas content.
    Voilà ce que je dirais tout simplement.
    Encore une fois, le porc n’est pas un aliment particulièrement allergène. La seule prescription qui l’interdit, c’est la religion.
    Si demain on me trouve un écrit d’un prophète qui interdit le bœuf, alors il faudrait que je fasse des repas de substitution sans bœuf. On n’en finit plus. »

    Qu’allez-vous mettre en place pour que ces enfants puissent se nourrir ?

    « Chaque lundi, il y aura du porc au menu. Le fait de fixer un jour dans la semaine permettra aux parents de s’organiser.
    Je trouve assez inadmissible que d’année en année, il y avait de moins en moins de porc servi dans les cantines scolaires, et pas seulement à Beaucaire. Nous avons l’impression d’avoir un grand remplacement du porc dans les cantines tout simplement parce que c’est un aliment qui déplaît à certains. On mangeait du sanglier au temps d’Astérix.
    Les cantines sont des espaces publics. Si y manger déplaît à certains parce qu’il y a du porc, alors qu’ils aillent manger chez eux. L’école est un sanctuaire. »

    Texte daté du 9 janvier et repris du site Boulevard Voltaire

    https://fr.novopress.info/page/2/

  • Immigré clandestin et déséquilibré : le réseau validé par le ministère

    6a00d83451619c69e201b7c943c5f9970b-800wi.jpgLu dans Minute :

    "[...] Norbert Nabet, le directeur-adjoint de l’Agence régionale de santé de Provence-Alpes-Côte d’Azur, signant « pour le directeur général et par délégation », a adressé le 7 dé- cembre à sept établissements psychiatriques des Bouches-du-Rhône [une] missive [...] Or, souligne le texte, « parmi les personnes prises en charge par vos services [...], quelques patients se trouvent en situation irrégulière et ont vocation à quitter le territoire national » dès lors qu’est levée leur hospitalisation « sous contrainte » (ce qu’on appelle communément l’internement d’office).

    En conséquence de quoi, le directeur de l’ARS de Paca demandait aux responsables des établissements psychiatriques de notifier aux étrangers sans papiers qu’ils hébergent que le préfet, en application de la loi, avait décidé de les expulser : « Dans la mesure où ces patients sont pris en charge par vos équipes, je vous informe que mes services vous communiqueront [...] la décision d’obligation de quitter le territoire français, ainsi qu’une notification à faire signer par le patient », plutôt que de continuer à lui délivrer des soins – aux frais de qui, au fait ? – une fois qu’il serait sorti de l’hôpital. [...]

    [P]endant des années, l’autorité préfectorale, après l’avis autorisé du corps médical, a offert l’asile psychiatrique à des sans-papiers et des migrants pourtant jugés cinglés et dangereux, alors qu’il aurait été urgent de les expulser sur-le-champ, de les renvoyer illico aux maisons mères responsables de leurs vices de fabrication.

    Qu’aujourd’hui les autorités comprennent enfin la nécessité d’éloigner ces nuisibles aurait pu constituer une bonne nouvelle en ce début d’année. Mais cela restera un vœu pieux ! Car le courrier du directeur-adjoint de l’ARS-Paca a soulevé une incroyable polémique. Les bonnes âmes se sont indignées que l’on puisse demander au monde hospitalier d’apporter son concours à une opération pourtant de salubrité publique. Rapidement interpellée, Agnès Buzyn, ministre de la Santé, a plié. Elle a fait savoir que cette circulaire était une « initiative malheureuse » et qu’elle était nulle et non avenue. [...]

    Deux dirigeants d’associations à « vocation humanitaire » proposaient à des « sans papiers » venus d’Afrique de l’Ouest et du Maghreb de rester en France en obtenant le statut d’« étranger malade » par le biais de faux certificats médicaux, facturés 5 000 euros pièce ! Tous les dossiers montés pour tromper les services de l’immigration faisaient état de... « pathologies mentales » ! Pour fournir ces faux certificats, le réseau s’appuyait sur une bande de cinq médecins dont trois psychiatres. [...]"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html