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immigration - Page 951

  • Mosquées radicales : Joachim Véliocas invité de radio Méridien Zéro

  • Les mécanismes de l’immigration humanitaire [rediffusion]

    L’immigration humanitaire, Némésis d’une Europe compatissante. Colloque organisé par L’Institut géopolitique des populations le jeudi 3 avril 2014. Intervention de Françoise Monestier : “Les mécanismes de l’immigration humanitaire” ♦ À l’heure de la communication mondiale instantanée, les mécanismes de l’immigration humanitaire sont naturellement le bouche à oreille, mais aussi et surtout le téléphone satellitaire qui permet de communiquer instantanément avec n’importe quel point du vaste monde et, depuis quelques années, pour un coût mineur. Aussi est-il courant de voir, avachies sur nos trottoirs parisiens, des matrones roms en grande conversation avec leurs correspondants restés au pays… tout en jetant un œil sur une soucoupe qu’elles voudraient voir se remplir au fur et à mesure de la conversation. On peut parler également des images diffusées par Internet ou les chaînes télévisuelles du câble et qui projettent des images paradisiaques de la vie en Europe. Mais tout cela n’est rien comparé au rôle délétère des associations de soutien aux immigrés qui ont leurs relais en Afrique, en Asie et dans l’Europe orientale.

    Il convient également de rappeler le détestable appui apporté par les organisations internationales onusiennes confites dans la dévotion à la bien-pensance et à l’antiracisme de rigueur et qui font pression de toutes les manières possibles sur les gouvernements pour imposer leurs funestes diktats.

    Mais on ne saurait passer sous silence également les sermons et surtout directives de Bruxelles enjoignant aux gouvernements européens de boire le calice de l’immigration jusqu’à la lie. Viviane Reding, commissaire européenne, qui a fait débloquer la coquette somme de 50 milliards d’euros pour l’intégration des Roms, est exemplaire dans ce rôle de vigie, ou plutôt de naufrageur, en particulier quand elle menace la France de sanctions si cette dernière s’avisait d’entraver la libre circulation des Tsiganes.

    Le Traité de Schengen n’est pas en reste, grâce auquel la libre circulation sur tout le territoire européen a constitué un formidable appel d’air pour toutes les populations subsahariennes, arabes ou appartenant au monde balkanique et qui savent toutes que les aides aimablement fournies par notre pays sont légion.

    Compassion et connivence

    Les médias de l’oligarchie jouent un rôle désastreux dans ce soutien sans faille aux immigrés de tout poil qui déferlent sur le continent européen avant de s’abattre sur notre pays. Comme le rappelait en 2004 Serge Halimi dans Les nouveaux chiens de garde :

    « Les médias adorent relayer ces grandes causes associant tout et chacun sans déranger rien ni personne. Le consensus “humanitaire” a la même utilité que les “débats” entre journalistes. Ils brassent du vent pour détourner l’orage. »

    Et que dire des associations qui, régulièrement depuis plus d’un demi-siècle, et avec la complicité d’un certain clergé, catholique ou protestant, n’a eu de cesse de soutenir  les immigrés ? Dans un livre récent Les Yeux grands fermés, la démographe Michèle Tribalat dénonce les actions délétères du GISTI et de la CIMADE, véritables bras armés des clandestins dans notre pays :

    « Les ONG et les associations doivent assumer que leur idéal passe avant le bien-être des Français et plus largement avant celui des habitants de la France. Que la détresse qu’elles veulent secourir nécessite la mise de côté des intérêts de ces derniers, lesquels se trouveraient ainsi dessaisis de leur pouvoir d’influer et de décider de l’avenir de leur pays. Dans une telle utopie, l’État est supposé mettre sur un pied d’égalité ses propres citoyens et les étrangers auxquels il a apporté sa protection d’une part et tout candidat à l’immigration d’autre part. En somme, devenir un gestionnaire, parmi d’autres, de la population de la planète entière. »

    Tout n’est-il pas dit dans cette phrase ?

    Prenons le cas  de la CIMADE, « association de solidarité active avec les réfugiés et les demandeurs d’asile » et dont plus des trois quarts des ressources proviennent de l’argent public. En 2007, ses ressources s’élevaient  à près de 8 millions d’euros ! C’est dire… Grande donneuse de leçons devant l’Eternel, elle  vient d’adresser (avec le GISTI et la Ligue des droits de l’homme) un « courrier d’alerte » au Conseil de l’Europe afin de freiner les expulsions depuis les départements français d’outre-mer, et particulièrement depuis Mayotte, le cent unième département français qui vit au rythme de l’islam et de l’immigration clandestine incontrôlée, véritable Lampedusa français selon l’expression de Bernard Lugan.

    S’agissant du GISTI, Groupement d’information et de soutien des immigrés, très actif auprès des médias pour obtenir leur soutien dans la défense des immigrés et grand contributeur de la doxa antiraciste, il vient d’écrire à Marisol Touraine, ministre de la Santé. La raison de sa missive ? Une note présumée de la Caisse primaire d’assurance maladie de Seine-Saint-Denis demandant à ses services de ne pas traiter les demandes d’Aide médicale d’Etat (AME) non instruites au 6 décembre 2013. Pour le GISTI, cette « décision porte atteinte aux normes garantissant le droit fondamental à la santé ». Fermez le ban !

    Le GISTI – toujours lui – portait plainte en juin dernier, avec la Ligue des droits de l’homme et deux autres associations, contre la France et l’Espagne pour établir la responsabilité des deux pays après la dérive en Méditerranée d’un canot de migrants qui avait fait 63 morts en 2011. Faut-il préciser que deux rescapés du naufrage ont, eux aussi, porté plainte ?

    Pas plus tard que la semaine dernière, une vingtaine d’associations de soutien aux clandestins ont exigé le retrait d’une circulaire de Manuel Valls encourageant les préfets à lutter contre l’immigration irrégulière.

    Mais revenons sur le scandale des subventions d’Etat distribuées chaque année par le gouvernement et les différentes collectivités territoriales afin d’acheter la paix sociale, religieuse ou raciale et de se donner bonne conscience. La foire aux subventions et la distribution de la manne publique s’organisent à grands renforts de lobbying auprès des organisations antiracistes. C’est à qui sera le plus généreux, de l’Etat, des Régions ou des Départements quand ce ne sont pas les trois réunis qui financent le même « client » !

    Près de 35 milliards d’euros sont ainsi généreusement distribués à plus de 18.000 associations, dont de nombreuses structures étrangères depuis la loi Mauroy du 9 octobre 1981 qui ne soumet plus la constitution d’associations étrangères à l’autorisation du ministère de l’Intérieur. Cette désastreuse initiative a créé un véritable appel d’air et permis à des associations aussi bien turques que kurdes, burkinabées ou algériennes de toucher le gros lot.

    La distribution des subventions, qualifiée par la Cour des comptes de « machine sans compteur », progresse chaque année, selon que le gouvernement en place ne veut pas être taxé de « raciste » ou, au contraire, apporte une aide « politique » à ces relais des clandestins et de demandeurs d’asile en progression de 90% depuis 2006.

    Un appel d’air à l’immigration

    Les aides sociales font partie de ces pompes aspirantes qui, chaque année, attirent un nombre de plus en plus important de migrants, à commencer par les clandestins qui considèrent notre pays comme la patrie de l’assistanat, ce que démontrent nos amis de Contribuables associés dans un récent numéro consacré à ce thème.

    Près de 6 millions de personnes, en comptant les clandestins, figurent parmi les principaux bénéficiaires des aides sociales largement distribuées dans notre pays. Un réseau, dirigé par un Egyptien, a récemment été démantelé. Il profitait d’une largesse de notre système de santé consistant à délivrer des titres de séjour pour les étrangers dont les pathologies ne sont pas prises en charge dans leur pays d’origine. Le gang trouvait des étrangers réellement malades, leur faisait passer des examens médicaux et revendait ensuite les permis de séjour ainsi délivrés – sans oublier d’écouler contre espèces sonnantes et trébuchantes les médicaments délivrés. L’histoire ne dit pas ce que sont devenus les vrais malades !

    Mais revenons à nos clandestins dont le nombre a progressé de 48% dans l’Union européenne en 2013. Ces derniers, qu’ils viennent de l’Afrique sub-saharienne, des anciennes républiques d’Asie Centrale, de Roumanie ou de Bulgarie, connaissent le mot-clef en arrivant chez nous : AME, comme Aide médicale d’urgence, véritable exception française créée par Lionel Jospin et Martine Aubry en 1999. En effet, nos voisins sont moins généreux que nous envers les étrangers en situation irrégulière, qu’il s’agisse de l’Autriche qui n’accorde pas aux clandestins l’accès gratuit aux soins, de la Grande-Bretagne qui, depuis 2004, limite la gratuité de ces mêmes soins, ou de la Suède qui n’accorde aux étrangers en situation irrégulière aucun droit aux prestations de santé.

    Ce système diabolique et démagogique inclut aussi bien une intervention chirurgicale, des implants dentaires que, tenez-vous bien, un traitement contre la stérilité masculine pris officiellement en charge par la Sécurité sociale. En constituant le dossier médical le plus lourd possible, les étrangers en situation irrégulière doublent leurs chances de réussir à se faire régulariser.

    Avec de tels avantages, auxquels il convient d’ajouter l’école gratuite pour tous les enfants de clandestins grâce aux démagogues du Réseau éducation sans frontières, artisans principaux de la pitoyable Affaire Léonarda, ils sont nombreux à se donner le mot.

    Invité de la dernière Université d’été du Parti socialiste, le Réseau éducation sans frontières aide les clandestins à tromper les préfectures en leur fournissant les questionnaires linguistiques qu’ils doivent remplir pour obtenir leur titre de séjour et soutiennent plus particulièrement les clandestins chinois dans leurs démêlés avec l’administration. Il utilise volontairement le terme de « rafles » pour qualifier les arrestations de parents clandestins d’enfants clandestins et recourt à la thématique des « heures les plus sombres de notre histoire » pour frapper les esprits. Créé en 2004 par des militants de Lutte ouvrière et de la LCR, il fonctionne de manière quasi clandestine et se définit comme, je cite : « l’insurrection des braves gens ».

    Une économie souterraine florissante

    Ils sont nombreux à se donner le mot, les immigrés et autres clandestins qui savent que les banlieues de non-droit largement arrosées par l’Etat sont  favorables, je cite, à une « économie souterraine puissante et beaucoup plus attractive pour certains qu’un emploi de Smicard. La protection de ces activités très lucratives est une nécessité pour ceux qui en profitent ; elle est à l’origine d’une montée des rivalités entre bandes »… et donc de la mortalité dont on feint de s’affliger. Ainsi s’exprime le géographe Christophe Guilluy dans son remarquable Fractures françaises publié en 2010.

    Soucieux de ne pas déplaire aux lobbies de l’immigration, les différents gouvernements – et celui de François Fillon n’a pas été en reste – ont mis en place une politique de discrimination positive et intégré les émeutes du Ramadan de 2005 comme un mouvement social structuré, sans tenir compte de la dimension délinquante et insurrectionnelle de ces émeutes.

    Sûrs de pouvoir se fondre dans l’anonymat des banlieues de l’immigration, les clandestins ou les immigrés en situation régulière affluent dans des zones où le chômage est déjà élevé et se coulent dans le système.

    Contrairement à l’image complaisante qu’en donnent les médias, les quartiers et communes sensibles sont attractifs pour ces primo-arrivants qui vont se livrer aux joies de l’économie souterraine, profiter de la manne déversée dans ces quartiers ou tout simplement retrouver leurs semblables dont ils partagent l’ethnie, la langue, la religion, la nourriture. Dans son ouvrage, Christophe Guilluy cite le cas de Grigny, mise sous tutelle de l’Etat, gangrenée par les trafics et dont plus de 15% des élèves sont des enfants de clandestins.

    61 milliards d’euros ont été dépensés en dix ans dans les banlieues de 2003 à 2013 et la « générosité publique profite aux zones de droit islamique ». Dès 2006, le chercheur Dominique Lorrain avait dénoncé les disparités de traitement  entre un quartier sensible des Hautes-Noues à Villiers-sur-Marne et la ville de Verdun : alors que le revenu par habitant y est de 20% supérieur à celui de Verdun, le programme de réhabilitation dont bénéficiait ce quartier prévoyait  une dotation par habitant de 12.450€, alors que celui mis en place dans les quartiers de Verdun allouait seulement 12€ par habitant. Cherchez  l’erreur !

    Et quid du Plateau de Clichy-Montfermeil rénové pour plus de 600 millions d’euros en 2003 par Borloo, soit 40.000€ par habitant et dont rien ou presque ne subsiste aujourd’hui dans une zone où les habitants jettent ordures et frigidaires par les fenêtres de leur HLM ?

    Les budgets affectés à la politique de la Ville ne connaissent pas la crise. On en veut pour preuve l’augmentation de 50% de la Dotation de développement urbain pour les 100 communes les plus pauvres suite à la grève de la faim entamée par l’écolo-communiste Gatignon.

    En fait, la politique de la Ville traîne derrière elle trente années de mauvaise gouvernance et d’illusions. Dans un rapport publié en 2012, la Cour des comptes a recensé 751 ZUS (Zones urbaines sensibles) dont 461 en ZRU (Zone de redynamisation urbaine) et 100 en ZFU (Zone franche urbaine) – sans oublier 2493 quartiers ciblés par des Contrats urbains de cohésion sociale (CUCS) dont plus des deux tiers ne sont pas classés en ZUS.

    C’est dans ce mille-feuilles administratif et ce maquis touffu, objet de toutes les attentions gouvernementales sous la pression des organisations dites humanitaires, que prospèrent combines et familles clandestines et tous les flux migratoires possibles avec l’aide d’associations favorisant leur isolement linguistique, culturel et religieux – et pour le plus grand bonheur de ces gangs qui écument notre pays.

    Schengen accélérateur de la criminalité

    Dans un rapport récent, le SIRASCO (Service d’information, de renseignement et d’analyse stratégique sur la criminalité organisée) montre comment les groupes criminels étrangers s’implantent sur le territoire français en profitant de l’ouverture des frontières. Il confirme que les chefs de ces différentes mafias (albanaise, turque, géorgienne, russe ou africaine) savent tirer parti des failles juridiques de l’Union européenne. Il ajoute, je cite, que « la suppression des contrôles aux frontières dans un ensemble de plus en plus vaste et les exemptions de visa au bénéfice de certains Etats » a favorisé la criminalité balkanique, les ressortissants de cette région n’ayant plus besoin de visa pour entrer dans l’espace Schengen. Et pour les Kosovars ayant, eux, besoin de visa ? Pas de problème : alors même qu’ils sont protégés par la KFOR, ils brandissent la carte de réfugié politique !

    Le SIRASCO rappelle que la disparition des frontières favorise les trafics dont la traite humaine. Il met également en évidence le rôle que jouent les « diasporas » tranquillement installées dans des cités sensibles, et qui fournissent aux groupes mafieux de même ethnie l’appui logistique nécessaire au développement de leurs activités illicites : un phénomène constaté en matière de narcotrafic, je cite :

    • « En France, la majeure partie des importations et des ventes de produits stupéfiants est le fait de groupes criminels (…) dont les membres, parfois des fratries entières, ont des liens ethnolinguistiques avec les producteurs marocains, facilitant les transactions commerciales et les investissements (blanchiment) au Maroc ou dans d’autres pays du Maghreb. »

    Rappelons qu’en 2010 la Turquie a supprimé les visas pour les ressortissants iraniens, yéménites, libyens, syriens, marocains et tunisiens, révolutionnant ainsi les flux migratoires à destination de l’Europe et faisant de la Grèce le nouvel homme malade de notre continent.

    Mais la date-clef demeure celle du 14 juin 1985, lorsque la France, l’Allemagne, la Belgique et les Pays-Bas signaient, à Schengen, la suppression à partir du 1er janvier 1990 des frontières physiques entre ces pays. Le Parlement français attendait 1991 pour ratifier les Accords de Schengen devenus Traité. En 1997, le Traité d’Amsterdam étendait les dispositions de Schengen à tous les pays de l’Union (sauf le Royaume-Uni et l’Irlande) et supprimait la clause de sauvegarde nationale permettant à un Etat de rétablir des frontières en cas de crise grave. Le piège se refermait. Quatre ans plus tard, le livre de Jean Raspail Le Camp des saints devenait malheureusement réalité avec l’échouage volontaire sur les côtes varoises, le 23 février 2001, d’un cargo transportant un millier de Kurdes bien décidés à rester… ce qu’ils ont d’ailleurs fait. Cette affaire n’était qu’un avant-goût des mouvements de population qui nous submergent aujourd’hui. Tout le reste est littérature…

    Françoise Monestier 03/04/2014

    https://www.polemia.com/les-mecanismes-de-limmigration-humanitaire/

  • POURQUOI L'IMMIGRATION EST-ELLE L'ABOUTISSEMENT DES VALEURS RÉPUBLICAINES ?

  • Hayange : la fête du cochon dérange

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    8931-20170826.jpgFaudra-t-il un jour supprimer le mot « cochon » de toutes les expressions françaises où celui-ci apparaît et le remplacer par un autre mot, comme transformer « cochon qui s’en dédit » par « merguez qui s’en dédit » ? Allez savoir. Le mot, comme l’explique Fabien Engelmann, maire FN d’Hayange (Moselle), semble être devenu un gros mot. Du moins aux yeux de quatre artistes – Caroline Loeb, Eve Angeli, Enzo Enzo et Ana Ka – et du producteur de leur spectacle Drôles de dames, Olivier Kaefer. Invités à venir chanter à Hayange le 3 septembre prochain, ils ont préféré annuler la prestation prévue de longue date en apprenant que celle-ci avait pour intitulé : Fête du cochon. Nos traditions d’abord.

    Lire la suite sur Present

  • A Calais, les problématiques liées à l'immigration deviennent infernales

    Après le maire de Calais mercredi, le président du port de Calais-Boulogne Jean-Marc Puissesseau rencontre le ministre de l’Intérieur. En effet, depuis mai-juin, le nombre d'immigrés découverts dans les remorques des poids lourds contrôlés au port de Calais repart à la hausse, surtout la nuit. Selon les chiffres donnés par UNSA-Police, les camions contrôlés « positifs » (présence d'immigrés) sont en hausse continue :

    • 190 en avril
    • 250 en mai 
    • 280 en juin,
    • 350 en juillet
    • 230 à la date du 24 août.

    Et le nombre d'immigrés découverts ne cesse de croître :

    • 700 migrants ont été découverts dans les camions en avril,
    • 1 000 en mai,
    • 1 100 en juin,
    • 1 250 en juillet
    • déjà 900 au 24 août.

    En début de semaine, de violentes bagarres ont opposé des migrants Érythréens et Afghans faisant près d’une vingtaine de blessés au total. Fait nouveau, ces rixes rassemblent entre 100 et 200 migrants. Ludovic Hochart d’UNSA-Police et Gilles Debove d’Unité-SGP-Police-FO constatent :

    «  Si les bagarres entre migrants ont toujours existé pour des guerres de territoires, désormais, elles sont plus violentes. D’une part, parce que les migrants sont plus nombreux, ils se comptent par centaines alors qu’avant c’était par dizaines. D’autre part, les migrants sont plus armés, ils se battent avec des lance-pierres, des bâtons, des battes de base-ball  »

    David Létendart, secrétaire (CGT) au comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT) au port, confirme :

    «  Les migrants qu’on intercepte sont plus agressifs. Ils ont des cutters, des tournevis, des barres de fer…  »

    Gilles Debove craint pour la sécurité publique :

    «  Lors des rixes de cette semaine, les effectifs de police du commissariat ont été mobilisés. De fait, il n’y avait pas assez d’hommes pour assurer la sécurité publique».

    Je ne sais pas si la sécurité personnelle est plus importante que la sécurité nationale... mais ce que je constate c'est que ni la sécurité des immigrés ni la sécurité publique ne sont désormais assurées.

    par Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2017/08/a-calais-les-probl%C3%A9matiques-li%C3%A9es-%C3%A0-limmigration-deviennent-infernales.html

  • PIERRE CASSEN : « CELA NE NOUS DÉRANGE PAS D’ÊTRE CLASSÉS ISLAMOPHOBES ! »

    Le maire Front national d’Hayange, Fabien Engelmann, vient d’être mis en cause dans un article du Monde parce qu’il allait participer aux 10 ans du site Riposte laïque, le 2 septembre prochain à Rungis. Pierre Cassen, fondateur de Riposte laïque, réagit au micro de Boulevard Voltaire.

    http://www.bvoltaire.fr/ne-derange-detre-classes-islamophobes/

  • Emmanuel Macron insulte la Pologne

    Emmanuel Macron a effectué une « mini-tournée » en Europe de l’Est pour tenter de rallier les gouvernements de ces pays à son projet de réforme de la directive européenne sur les « travailleurs détachés ». En Bulgarie, lors de sa conférence de presse conjointe avec le Premier ministre bulgare, il s’est permis, en parfait goujat, une critique virulente du gouvernement polonais… Le fait que la Pologne ne veuille pas modifier la directive c’est une « nouvelle erreur » de ce gouvernement qui « foule aux pieds les valeurs européennes », « la Pologne se met en marge et décide d'aller à l'encontre des intérêts européens sur de nombreux sujets. Le peuple polonais mérite mieux que cela et la première ministre aura beaucoup de mal à expliquer qu'il est bon de mal payer les Polonais », « la Pologne n'est en rien ce qui définit le cap de l'Europe », « l'Europe s'est construite sur des libertés publiques qu'enfreint aujourd'hui la Pologne », « cet Etat a décidé de s’isoler », etc.

    Réaction immédiate de Beata Szydło :

    « Peut-être, ses déclarations arrogantes sont-elles dues à son manque d'expérience et de pratique politique, ce que j'observe avec compréhension, mais j'attends qu'il rattrape rapidement ces lacunes et qu'il soit à l'avenir plus réservé. Je conseille au président de se concentrer sur les affaires de son pays; il réussira alors peut être à avoir les mêmes résultats économiques et le même degré de sécurité pour les citoyens que ceux qui sont garantis en Pologne. »

    Non sans rappeler que la Pologne est membre de l’UE « au même titre que la France ».

    Quant au ministre polonais des Affaires étrangères Witold Waszczykowski, qui s’exprimait à Varsovie en compagnie de ses homologues roumain et turc et du secrétaire général de l'Otan, il a déclaré :

    « La Pologne n'est pas isolée. Nous accueillons aujourd'hui une réunion importante, le président Macron ne suit donc pas attentivement les informations. »

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Le terrorisme jihâdiste, pain béni pour les psychiatres

    6a00d83451619c69e201b8d2a2fb4c970c-200wi.jpgDe Bernard Antony : "On ne cesse de nous en persuader : heureusement le terrorisme jihâdiste n’a rien à voir avec l’islam. C’est la grande et heureuse affirmation historico-politico-religieuse et psycho-sociologique de ce mois d’août. Elle déferle sur toutes les chaines. Allah soit loué, la baliverne de l’islamisme terroriste est enfin déconstruite. Tous les terroristes sont simplement des déséquilibrés sociaux.

    Et ce n’est donc pas avec des policiers et des soldats que l’on viendra à bout du terrorisme qui tue partout au cri fallacieux « d’Allahou akbar » mais avec des psychiatres.

    Et notre brillant ministre de l’Intérieur, frère Gérard Collomb, d’en appeler, pour en finir avec les bombes, ceintures d’explosifs et camions-béliers, à plus de collaboration avec sa collègue du ministère de la Santé. Car il s’agit de mettre en œuvre autant de psychiatres qu’il faudra, dans les quartiers et dans les prisons pour déceler, dissuader, soigner, éduquer et insérer tous les malheureux jeunes terroristes poussés à commettre, sous prétexte de jihâd, des tueries certes regrettables mais dues à la misère psychologique sinon matérielle dans laquelle ils vivent.

    Certes la thérapie psychiatrique de masse, surtout au moyen de la psychanalyse, est de longue haleine mais elle est le prix à payer pour la paix.

    Le bon docteur Freud n’avait ainsi pas prévu l’immense débouché de ses analyses dans la prévention du terrorisme. Pourtant, de son vivant agissaient des myriades de terroristes : anarchistes, nihilistes bakouniniens, bolcheviques staliniens, pré-nazis de la Sainte Vehme, Serbes tchetniks et Croates oustachis, Irlandais de l’I.R.A., juifs de l’Irgoun et de la Haganah, Arméniens de l’Asala et allaient venir les Basques de l’E.T.A. C’est que ces terrorismes étaient, il est vrai, inhérents à des causes plus ou moins justes.

    Mais, objecteront certains, le modèle mythique des terrorismes n’était-il pas pour tous, des siècles auparavant, celui des haschischins islamistes du « Vieux de la Montagne » en ses forteresses d’Alamut ? Non, on peut certes imputer à bien des idéologies, à bien des nationalismes, à bien des anticolonialismes, les causes des terrorismes. Mais pas à l’islam ! Car, comme le dit François, « les textes sacrés de l’islam sont des livres de paix et de tolérance ». Lisez donc le Coran et les Hadîths et vous en serez persuadés. Et lisez aussi la Sira (biographie) du prophète, ce doux pacifiste intégral. Et bien sûr ceux qui osent affirmer que tous les salafismes, ceux des wahhabites et autres Frères musulmans, d’Al-Qaïda et de l’État Islamique sont l’imitation du prophète, ne sont évidemment que des menteurs.

    Enfin, ça y est, on le sait définitivement, répétons-le, le terrorisme n’a vraiment rien à voir avec l’islam ! Ce que l’on appelle le jihâdisme n’est que le fait d’une dénaturation de l’islam par conditions sociales oppressives entraînant des pathologies psychiatriques. On comprend l’effervescence jubilatoire qui désormais ne cesse de grandir parmi les psychiatres et dans leurs syndicats. Le chômage ne menace pas de sitôt leur profession ! Le gouvernement français va en recruter encore et encore. Et espérons que les autres gouvernements de l’Europe de l’Ouest en feront autant. C’est hélas moins sûr en Russie où les hôpitaux psychiatriques ont déjà servi et où Poutine a des idées bien personnelles trop peu humanistes peut-être sur la question du traitement des terroristes.

    Quoi qu’il en soit, il faut d’abord voir en face la scandaleuse dénaturation de l’islam, en soi si bienfaisant, par l’injustice sociale source de pathologies psychiatriques terroristes. Selon le bon docteur Dalil Boubakeur de la Mosquée de Paris, ce sont hélas, en France, les jeunes qui sont les plus affectés par les virus de la dénaturation salafiste. Selon des sources d’analyse comportementale convergentes, c’est sur un cinquième de la population musulmane qu’ils progresseraient, soit bien plus d’un million de « fidèles ». Mais ce n’est que dix sur cent environ de ce million qui seraient gagnés par une « radicalisation » plus dangereuse que celle du vieux parti de Jean-Michel Baylet.

    Cela aboutit, pour le moins, à un effectif de cent cinquante mille fanatiques prêts à passer à l’acte pour tuer des roumis. Or, on ne peut demander à un psychiatre de « suivre » sur la durée plus de dix jihâdistes à la fois, sans compter que ce n’est pas de tout repos et qu’il y a même des risques… Le recrutement de quelque neuf mille nouveaux psychiatres simultanément imams de préférence, s’impose donc.

    On le constate, le traitement psychiatrique du jihâdisme, c’est vraiment pain bénit chez nous pour les psychiatres dont la profession ne risquera plus le chômage.

    Mais quid de l’ensemble de l’Oumma islamique avec son milliard et demi de fidèles quand on doit bien constater que comme ses pays « phares », Arabie, Iran et Turquie, nombre de ses États et plus des trois quarts de sa population admirent ou appuient le jihâdisme. C’est dire comme le véritable, l’authentique islam, pacifique et tolérant, est rare en pays d’islam ! Mais là, comment mettre au travail et de surcroit sans l’appui des de la plupart des gouvernements, tous les psychiatres nécessaires pour éradiquer les pathologies psychiatriques dues aux virus de la radicalité propagées du Nigeria à l’Indonésie ?

    Comme ces pathologies affectent le tiers au moins de la population, la démonstration peut être facilement établie que ce n’est pas moins de… vingt millions de psychiatres qu’il faudrait, une fois guéris les gouvernants, pour ramener vers les douceurs de l’islam authentique les quelques deux cents millions de personnes chroniquement en proie à des psychoses jihâdistes.

    Mais heureusement tout de même qu’il n’y a aucun lien de cause à effet entre l’islam et le terrorisme."

    par Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2017/08/le-terrorisme-jih%C3%A2diste-pain-b%C3%A9nit-pour-les-psychiatres.html

  • Zoom - Xavier Raufer - Attentats de Barcelone : Une copie conforme de Bruxelles et Paris

  • "La grande majorité des terroristes n'ont aucun rapport avec la psychiatrie"

    Gérard Collomb, invité de RTL le 18 août, souhaite "mobiliser les hôpitaux psychiatriques" pour identifier les individus radicalisés en expliquant qu'il allait travailler en collaboration avec la ministre de la Santé.

    "Nous sommes en train de travailler avec ma collègue pour essayer de repérer l'ensemble de ces profils qui demain peuvent passer à l'acte". "Un certain nombre d'esprits faibles qui voient ce qui se passe, vont passer à l'acte par mimétisme et c'est ce contre quoi il faut se prémunir et il faut travailler". "Sur les fichiers des signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste, nous considérons qu'à peu près un tiers présente des troubles d'ordre psychologique"

    Romain Caillet, spécialiste de la question terroriste à RTL, dénonce :

    "Chercher à expliquer la radicalisation par la psychiatrie, c'est être à côté de la plaque, c'est ridicule d'en être encore là". "Leur engagement est idéologique et ne relève pas de la psychiatrie". "Voir la question jihadiste à travers un seul prisme, c'est très séduisant car ça évite de se poser les questions dérangeantes".

    Jacques Raillane, ajoute :

    "Deux ans après le Bataclan, on pensait avoir dépassé ce stade dun'importe quoi". "On a dit qu'ils étaient drogués, qu'ils étaient chômeurs, qu'ils étaient malades", "ça fait peur de penser que des gens pas fous puissent faire ça". "On va bientôt demander à Pôle Emploi de discerner des signes de radicalisation !"

    Le professeur en psychiatrie à Sainte-Anne et expert à la cour d'appel de Paris, Raphaël Gaillard, explique :

    "Il faut rappeler que la grande majorité des terroristes n'ont aucun rapport avec la psychiatrie". "On aimerait bien que ça relève de la psychiatrie mais ce n'est pas le cas".

    Paradoxe amusant, le professeur Gaillard craint une "stigmatisation des malades en psychiatrie" et d'un amalgame entre "folie et dangerosité" :

    "La plupart du temps, les malades en psychiatrie ne sont pas dangereux".

     Romain Caillet remet la réflexion sur ses bons rails : 

    "Qu'est-ce qu'une pratique fondamentale de l'islam ?"

    C'est là le vrai sujet.

    Michel Janva

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