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immigration - Page 957

  • POURQUOI L'IMMIGRATION EST-ELLE L'ABOUTISSEMENT DES VALEURS RÉPUBLICAINES ?

  • Herrou et ses pareils ne sont pas des Tartuffes mais des ennemis déclarés !

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    Par Jean de Maistre 

    Les commentaires se suivent et même se complètent sur Lafautearousseau. Celui-ci du jeudi 10 août fait suite aux commentaires reçus à propos de notre publication « Bravo, l'Italie ! Pas pour Saint-Nazaire ! Pour la Méditerranée ! ». Notamment celui d'Antiquus repris ici hier, en réponse à un commentaire d'Hugues Noël, auquel on devra se reporter ainsi qu'à notre article. (Lien ci-dessous).   LFAR

    Un excellent commentaire en effet. L'humanisme n'a pas grand chose à voir avec ce soutien à l'invasion migratoire et aux mafias qui l'organisent. On assiste à une volonté délibérée de détruire l'Europe, son identité, sa culture par l'installation d'une masse migratoire de plus en plus importante, issue des pays arabes et africains, immigration dont on sait aujourd'hui qu'elle refuse de plus en plus l'assimilation et constitue des enclaves ethniques sur le sol national, hostiles aux sociétés d'accueil.

    Cette volonté est à la rencontre de plusieurs courants, le gauchisme qui veut punir l'Europe de ses '' fautes '' passées, de la colonisation et qui cherche vainement un prolétariat de substitution pour jeter à bas la société, depuis que le prolétariat de souche a accepté le monde tel qu'il est. Ce prolétariat de substitution, le gauchisme le trouve dans l'immigré, nouvelle divinité devant échapper à toute critique. Un autre courant est le libéralisme qui veut au nom de la mondialisation détruire les vieilles nations, seul cadre où les peuples peuvent encore avoir un semblant de contrôle sur leur destin. C'est la rencontre du gauchisme internationaliste et de la mondialisation libérale, voilà qui ne manque pas de sel.

    Aux USA, les partisans les plus acharnés de l'immigration sans contrôle sont les libertariens, c'est-à-dire les ultra-libéraux, qui ne rêvent que de privatisation de tout, y compris de l'espace public, et de la destruction des frontières, afin d'avoir à disposition une main d’œuvre bon marché, comme lorsque les Anglais faisaient venir au XIX° siècle dans les usines de Manchester les irlandais chassés de leur île par la famine.

    On remarquera que les richissimes émirats du golfe ont fermement déclaré qu'ils n'accepteraient aucun migrant. C'est à l'Europe et à elle seule de supporter le poids de l'invasion migratoire. Dans l'esprit des islamistes (ce n'est pas moi qui le dit, c'est eux ! ) l'arrivée de millions d'immigrés musulmans participe de la stratégie de la conquête de l'Europe déjà considérée par certains d'entre eux comme Dar al Islam, terre d'islam. Et l'on voudrait que les européens ne réagissent pas ? Si l'on veut installer dans nos vieilles nations qui n'en peuvent mais les prodromes de futures guerres civiles, il n'y a qu'à continuer ainsi.  

    Lire ...

    Bravo, l'Italie ! Pas pour Saint-Nazaire ! Pour la Méditerranée !

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • CELA S’APPELLE TOUT SIMPLEMENT UNE INVASION…

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    C’est arrivé le 7 août dernier à Ceuta, l’une des deux enclaves espagnoles (l’autre est Melilla) établies au Maroc depuis le XVesiècle et aux portes desquelles s’entassent depuis longtemps, guettant l’entrée dans le « Paradis », des foules de « remplaçants noirs » venus de l’Afrique subsaharienne. Plus de 200 d’entre eux ont tout simplement franchi en force la frontière entre le Royaume du Maroc et l’enclave en passant par la porte principale. Franchir en force : en un mot, cela s’appelle envahir…

    En général, la police du roi Mohammed VI fait bien son boulot et aide ses confrères espagnols à empêcher ces intrusions. Mais là, elle n’a rien pu y faire. Imaginons la situation si un jour la monarchie alaouite devait fléchir sous les coups, par exemple, d’un quelconque « printemps »… Il vaut mieux ne pas y penser. C’est notre plus grande hantise, me disait récemment un habitant de Ceuta.

    Rares en Europe sont les journaux qui relatent cette invasion et s’émeuvent de ce dernier assaut du 7 août. Et s’ils le font, c’est parce qu’un policier espagnol a eu les jambes cassées. C’est très bien, une telle émotion, mais il ne faudrait pas oublier les dizaines de policiers qui ont été également blessés au cours d’autres assauts contre le grillage de fil de fer barbelé construit en 1998, haut de six mètres et pourvu de deux clôtures parallèles qui courent, aussi bien à Ceuta qu’à Melilla, au long des douze kilomètres de frontière.

    Il s’agit là d’un imposant rempart qui a pourtant été percé lors de plusieurs attaques particulièrement violentes et qui ont blessé aussi bien des envahisseurs que des policiers espagnols. Inutile de dire sur lesquels des deux sont tombées les larmes de la bien-pensance…

    Or, il semblerait que les derniers renforcements apportés au grillage aient été assez efficaces, car depuis quelques mois, il n’y avait plus eu d’assauts… jusqu’à celui de l’autre jour, lorsqu’une foule de 200 remplaçants noirs ne se sont même plus donné la peine de grimper sur le haut des fils de fer barbelé afin d’en forcer le passage. Mais non, voyons, c’est trop risqué ! C’est beaucoup plus simple d’entrer en courant et en grande foule – il fallait y penser ! – par la porte d’entrée, là où, à cinq heures du matin, il n’y avait que trois ou quatre policiers qui, ayant l’interdiction d’employer leurs moyens de défense contre les agresseurs, n’ont évidemment rien pu faire, sauf se faire casser les jambes, pour empêcher leur passage.

    Il est à espérer que les autorités espagnoles prendront les mesures nécessaires (de nouvelles barrières, d’autres grillages, un pont-levis, peut-être… que sais-je) pour empêcher qu’un telle ruse ne puisse se reproduire. Or, c’est autre chose qu’il faudrait surtout espérer voir mettre en œuvre – mais que les belles âmes et les collabos de tout poil soient rassurés : cela ne se fera pas. Il faudrait, surtout, espérer qu’on en finisse une fois pour toutes avec cette singerie hypocrite et procédurière par laquelle, dès qu’un envahisseur a touché le sol d’un pays, on ne peut plus le renvoyer illico là d’où il est parti.

    Ce ne serait qu’alors qu’on pourrait ne plus voir des images aussi consternantes que celles qui nous sont offertes. On y voit, riant, sautant de joie, se roulant par terre et poussant des cris sauvages, après leur « exploit », ces « nouveaux Espagnols » : les derniers 200 remplaçants venus nous remplacer. Une goutte d’eau, c’est vrai, par rapport aux millions que nos oligarques vont incessamment laisser entrer chez nous.

     Écrivain et journaliste espagnol El Manifiesto
  • L'efficacité de l'opération Sentinelle remise en cause par le général Desportes

    Le général Desportes n'y va pas de main morte : 

    "Les militaires de l'opération Sentinelle ont une nouvelle fois été pris pour cible, ce mercredi matin à Levallois-Perret, par un homme au volant d'un véhicule qui les a percutés, faisant 6 blessés.

    Pour le général Vincent Desportes, interrogé au micro de Sud Radio, c'est l'existence même de l'opération Sentinelle qu'il faut remettre en cause.

    "Ça suffit ! L’opération Sentinelle n’a jamais prouvé qu’elle avait empêché la moindre attaque terroriste, en revanche, elle fournit des cibles toutes trouvées pour les illuminés de Daesh. Chaque fois que les militaires de Sentinelle sont intervenus, c’est pour se protéger d’attaques dont ils étaient eux-mêmes l’objet", a-t-il rappelé.

    "C’est une opération qui coûte très cher en capacité d’entraînement des militaires. Ça pèse lourd sur les armées. Elles sont sous-entraînées par rapport à toutes les normes internationales, en particulier à cause de l’opération Sentinelle. Ça a un coût sur les familles, avec un taux d’absentéisme des pères, des maris, extrêmement forts. Bon nombre de soldats ne veulent plus renouveler leurs contrats, arrêtent leurs contrats, parce qu’ils font un métier qui n’est pas le leur", a ajouté le général Desportes.

    Pour lui, elle pose aussi la question de l'utilisation des moyens de l'armée, par rapport aux théâtres d'opérations extérieures : "Nous avons arrêté l’opération Sangaris en Centrafrique parce qu’il avait besoin d’effectifs pour Sentinelle. Bilan : la Centrafrique est aujourd’hui à feu et à sang. Au Sahel, nous avons 4000 soldats dans une zone plus grande que l’Europe, parce que nous ne pouvons pas mettre les effectifs suffisants."

    "Je crois que le président Macron, au lieu de passer son temps à retirer des crédits aux armées, doit se poser la question du rapport coût / intérêt de cette opération et il comprendra que les soldats ont autre chose à faire que défiler dans les rues de Paris et servir de cibles aux illuminés de Daesh", a conclu le général Vincent Desportes".

    Lahire

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Quelques photos de la collusion entre ONG et trafiquants d’êtres humains

    Le poids des mots, le choc des photos !

    Grâce aux photographies prises par le policiers infiltré sur le bateau de l’ONG Save the Children, la collusion entre certaines ONG humanitaristes et les trafiquants d’êtres humains est patente.

    Le bateau pneumatique de la Iuventa récupère une petite embarcation vide ;

    le remorque vers la Libye ;

    les trafiquants récupèrent le moteur d’un bateau pneumatique rempli de migrants ;

    l’agent infiltré note le drapeau libyen sur la Iuventa ;

    les passeurs saluent les volontaires de la Iuventa et s’en vont ;

    les trois annoncent aux volontaires de la Iuventa l’arrivée d’une embarcation de migrants.

    Quand on partage l’avis émis par Alexandre Devecchio, journaliste au Figaro, lors de l’émission 28′ sur Arte consacrée le 24 juillet 2017 à l’hécatombe en Méditerranée que« la Libye est devenu le poumon économique de Daesh » et que « l’argent des passeurs va directement pour acheter des armes pour Daesh, c’est devenu un véritable business » (aller à la 20e minute), on se dit que cette collaboration entre ONG humanitaristes, repères d’activistes idéologues d’une société mondiale multi-ethnique et plurielle, et trafiquants d’êtres humains est vraiment criminelle…

    Francesca de Villasmundo  

     

  • La Pologne refuse les migrants d’Afrique et du Moyen-Orient que veut lui imposer l'Europe

    Heureusement il reste des pays qui rappellent que la liberté et la souverainetédevraient rester des prérogatives nationales :

    "La Pologne acceptera les migrants venus d’Europe, mais pas ceux issus de pays d’Afrique ou du Moyen-Orient. “La Pologne est ouverte à l’immigration. Et l’année dernière, par exemple, nous avons délivré 1 267 000 visas à des Ukrainiens. La moitié de ces visas étaient des permis de travail”, a déclaré le ministre des Affaires étrangères polonais, Witold Waszcykowski.

    “Nous sommes ouvert à l’immigration non seulement d’Ukraine, mais aussi de Biélorussie et d’autres pays”, a-t-il ajouté. “Nous ne voulons pas participer au processus obligatoire de répartition des migrants venant du Moyen-Orient et d’Afrique. Nous refusons de mettre en œuvre la décision de l’Union européenne prise en septembre 2015.”

    À l’époque, les États membres de l’UE avaient adopté un plan de solidarité pour transférer 160 000 demandeurs d’asile depuis des camps de réfugiés en Italie et en Grèce. Une décision validée par le parti de centre-droit au pouvoir Plate-forme civique, qui avait accepté 6 200 migrants, et désormais remise en cause par son successeur, le parti conservateur Droit et Justice".

    Lahire

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  • Attaque des militaires de Sentinelle : la voiture retrouvée, le conducteur interpellé

    L'homme a été la cible de plusieurs coups de feu de la part des policiers et a été admis à l'hôpital sous surveillance. La ville de Levallois-Perret n'a pas été choisieau hasard :

    "Depuis deux ans et demi, des militaires sont affectés à la surveillance unique de la ville de Levallois-Perret. Des hommes extrêmement aguerris, comme des chasseurs alpins ou des fusiliers marins, ont été logés au rez-de-chaussée d'un immeuble de logements sociaux place de Verdun. Le bâtiment se situe, en effet, à proximité immédiate de la mairie de la ville mais surtout à quelques centaines de mètres, soit une dizaine de minutes, du siège de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) et la Sous-direction anti-terroriste (SDAT), les hauts lieux de la lutte anti-terroriste.

    La présence des locaux des services anti-terroristes sur cette commune limitrophe de Paris en aurait alors fait une cible qui n'aurait pas été choisie par hasard".

    Message du nouveau chef d'état-major des armées : 

    Pensée pour les soldats de  blessés à .
    Nos militaires risquent leur vie pour protéger les Français.
    Général Lecointre
     
     

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  • Immigration : il faut qu’une porte soit ouverte ou fermée… [rediffusion]

    Par André Posokhow, consultant ♦ En matière d’immigration le choix des gouvernants est clair. Il faut qu’elle soit de plus en plus ouverte. Alors que la France, comme l’ensemble de l’Europe, connaît une crise migratoire dont les conséquences sont vitales et peuvent être tragiques pour notre pays, le pouvoir socialiste, indifférent à l’intérêt général des Français et mû par ses tropismes idéologiques, abaisse plusieurs protections juridiques contre l’invasion et, au contraire, renforce l’attractivité de la France au profit de celle-ci. Dans une discrétion assourdissante que certains commentateurs assimilent à de l’indifférence et face à un hémicycle vide, le gouvernement socialiste a fait adopter par l’Assemblée nationale en dernière lecture la loi n°2016-274 publiée le 8 mars 2016 au Journal officiel relative aux droits de l’étranger en France. Cette loi (*) ouvre encore plus la porte à l’immigration même irrégulière. Qu’on en juge.

    L’accès à la nationalité française par déclaration est élargi et facilité

    L’article 59 de la loi élargit l’accès à la nationalité française par déclaration en introduisant une innovation majeure dans le droit français de la nationalité :

    « Peuvent réclamer la nationalité française à leur majorité, par déclaration souscrite auprès de l’autorité administrative, en application des articles 26 à 26-5, les personnes qui résident habituellement sur le territoire français depuis l’âge de 6 ans, si elles ont suivi leur scolarité obligatoire en France dans des établissements d’enseignement soumis au contrôle de l’État, lorsqu’elles ont un frère ou une sœur ayant acquis la nationalité française en application des articles 21-7 ou 21-11 » (nouvel article 21-13-2 du Code civil).

    Cette loi crée ainsi une nouvelle forme d’acquisition de la nationalité française par déclaration. Il semble possible de l’assimiler à une forme indirecte du droit du sol transmis par un lien de fratrie, qui ne nécessite pas d’être né sur le territoire français, mais d’avoir un frère ou sœur devenu lui-même français soit de plein droit soit par déclaration. A ce titre elle constitue un recul important du droit du sang.

    Elle peut représenter une innovation particulièrement dangereuse et de nature à encourager l’invasion actuelle quand on sait que l’idée de famille en Afrique Noire est profondément différente du concept européen. Une « fratrie » subsaharienne peut être en réalité une mini tribu et regrouper une centaine de frères et sœurs voire plus.

    Enfin, il est symptomatique que les textes de loi utilisent le terme « réclamer » et non « demander poliment » pour obtenir la nationalité française par déclaration.

    L’institution d’une carte de séjour pluriannuelle vise à abaisser un obstacle administratif à l’immigration-invasion

    Jusqu’à aujourd’hui, le système français reposait sur la délivrance d’une carte de séjour d’un an renouvelable pendant cinq ans, avant d’accéder au titre de résident de dix ans. Les cinq ans de séjour temporaire constituaient une période probatoire, destinée à s’assurer d’une bonne intégration.

    L’article 17 de la loi (article 313-17 du CESEDA) crée une carte de séjour pluriannuelle de quatre (ou deux) ans qui sera délivrée « au terme d’une première année de séjour régulier ». Désormais, dès l’expiration du visa de long séjour d’un an, l’étranger obtient le droit à un titre de séjour, ne nécessitant pas un renouvellement annuel, d’une durée de quatre années, avant l’obtention du titre de dix ans.

    Ce document est à mi-chemin entre la carte de séjour valable un an et la carte de résident de dix ans. L’objectif est, selon l’exécutif, d’éviter aux étrangers en règle des passages répétés et anxiogènes en préfecture. Pour le rapporteur du texte, Erwan Binet (PS), ces interminables files d’attente montrent que « la France est un pays d’immigration » mais « qui ne l’assume pas » car cet « accueil indigne »était jusqu’il y a peu « politiquement voulu ».

    En réalité est ainsi écartée une disposition qui avait pour objectif que les étrangers fassent la preuve de leur volonté d’intégration. La carte pluriannuelle de quatre ans tend à pérenniser et figer la présence de l’immigré pendant cette durée. Une protection administrative est ainsi abaissée.

    La création d’un « passeport talent » : la pire ou la meilleure des choses ?

    L’article 17 de la loi du 7 mars 2016 crée le titre « passeport talents », valable quatre ans, qui remplacera la multitude de titres existants pour les étrangers qualifiés ou ayant une compétence particulière (nouvel article 313-20 du CESEDA).

    Une telle disposition peut être la pire ou la meilleure des choses. Elle peut réellement encourager l’arrivée de talents intellectuels, scientifiques ou artistiques pour le plus grand bien de la France. Connaissant les socialistes, elle peut constituer une porte grande ouverte à une immigration de travail rendue inutile par les 6 millions de personnes inscrites à Pôle Emploi.

    La communication d’informations à l’autorité administrative compétente est favorisée et organisée mais étroitement contrôlée

    L’article 48 du texte de loi (nouvel article 611-12 du CESEDA) renforce la lutte contre la fraude aux titres de séjour en donnant la possibilité aux préfets d’obtenir des données d’autres administrations et de certaines personnes privées (banques, etc.), ce qui est plutôt positif. En commission un amendement socialiste a introduit la Cnil et le Conseil d’État pour contrôler les informations susceptibles d’être transmises, ce qui peut constituer un frein.

    Malgré cette évolution du texte, cette possibilité d’accéder aux données privées et administratives des étrangers reste contestée par les écologistes et le Front de gauche.

    Des étrangers en situation irrégulière et malades, régularisés parce que malades

    L’article 13 de la loi prévoit en faveur de tout étranger malade et en situation irrégulière un droit à la régularisation s’il ne peut pas bénéficier effectivement d’un traitement approprié dans le pays dont il est originaire.

    « La carte de séjour pluriannuelle portant la mention “Vie privée et familiale” est délivrée de plein droit (…) à l’étranger résidant habituellement en France, si son état de santé nécessite une prise en charge médicale dont le défaut pourrait avoir pour lui des conséquences d’une exceptionnelle gravité et si, eu égard à l’offre de soins et aux caractéristiques du système de santé dans le pays dont il est originaire, il ne pourrait pas y bénéficier effectivement d’un traitement approprié. La condition prévue à l’article L. 313-2, n’est pas exigée » (nouvel article 313-11-11 du CESEDA).

    Ainsi un étranger en situation irrégulière en France, qui n’est pas en mesure de recevoir des soins appropriés dans son pays d’origine, obtient le droit à une régularisation en plus de celui d’être soigné en France.

    Quatre observations peuvent être formulées :

    1. le fait d’être malade peut ainsi conduire un clandestin à être régularisé. Bonjour les simulateurs ;
    2. une telle mesure risque d’entraîner un appel d’air d’une ampleur potentiellement gigantesque ;
    3. elle comporte un effet de cliquet redoutable ; à partir d’un certain âge on a toujours mal quelque part et pour des pathologies sérieuses on n’est jamais réellement guéri ;
    4. enfin, l’impact sur les comptes de la santé déjà déficitaires ne peut être que considérable.

    Le dispositif de lutte contre l’immigration irrégulière est affaibli

    L’article 35 de la loi porte une atteinte grave au dispositif de lutte contre l’immigration irrégulière. Il supprime la rétention administrative de cinq jours, délai pendant lequel le préfet pouvait décider de garder un étranger, notamment susceptible d’un arrêté d’expulsion, en rétention, le temps d’organiser son départ. Ce délai passe à 48 heures, durée nettement insuffisante pour organiser le retour d’une personne dans son pays (article 551-1 du CESEDA). C’est le juge des libertés, généralement très laxiste en matière de droit des étrangers, qui pourra autoriser une prolongation de cette durée (article 552-1).

    Ainsi le dispositif de lutte contre l’immigration illégale risque fort de perdre une grande partie de son efficacité.

    En outre, la nouvelle loi interdit, sauf exception, le placement en rétention des familles avec enfant (article 551-1 du Code), ce qui rend l’éloignement des familles en situation irrégulière très difficile, voire impossible, surtout avec des magistrats immigrationnistes.

    Le parcours personnalisé vise l’intégration républicaine et non l’assimilation à la France

    L’article 1 de la loi reformule la rédaction de l’article 311-9 du CESEDA sur le parcours d’intégration républicaine destiné à l’étranger qui souhaite s’installer durablement sur le territoire français.

    Il s’agit d’intégration républicaine et civique et non d’intégration à l’histoire et à la culture de la France qui sont totalement ignorées.

    L’information qui est dispensée est dans « une langue que l’étranger comprend », ce qui laisse augurer du niveau supposé d’intégration.

    Une formation à l’histoire et à la géographie est prévue mais seulement pour celles du département ou de la région de résidence de l’étranger. Rien n’est évidemment prévu concernant l’Histoire de France.

    Bien entendu, ces formations sont prises en charge par l’État, c’est-à-dire par les contribuables français, les envahis.

    Présence de journalistes dans les zones d’attente et les lieux de rétention administrative : une aubaine pour les immigrationnistes

    Selon l’article 44 de la loi :

    « Sous réserve de ne pas porter atteinte à la dignité des personnes et aux exigences de sécurité et de bon fonctionnement de la zone d’attente, les journalistes titulaires de la carte d’identité professionnelle mentionnée à l’article L. 7111-6 du Code du travail peuvent être autorisés à y accéder dans des conditions fixées par décret en Conseil d’État » (art. L. 221-6).

    Il en va de même pour les lieux de rétention administrative.

    Gageons que les médias et les associations immigrationnistes sauront tirer les plus grands avantages de cet article de loi.

    Conclusion

    En définitive, la loi, bien nommée, sur les droits des étrangers en France se place dans la lignée des textes en faveur de l’immigration depuis 40 ans. Elle favorise l’ouverture et l’accueil. Elle va dans le sens d’une augmentation des droits des étrangers et affaiblit le dispositif de la lutte contre l’immigration illégale.

    Il semblerait que les socialistes, vexés de la préférence que marquent les migrants et réfugiés pour l’Allemagne et l’Angleterre, veuillent renforcer, comme l’a souligné le député LR Guy Geffroy dont la voix a semblé bien solitaire, l’attractivité de la France alors que la crise des migrants bat son plein, et donner un souffle supplémentaire aux pompes aspirantes afin de redevenir les bons élèves de l’Europe mondialiste.

    En réalité, le gouvernement socialiste associé aux immigrationnistes de tout poil et stimulé par eux accélère le processus de remplacement et de dissolution du peuple français avant les élections de 2017. Partisan déterminé de l’immigration de masse et de l’invasion-submersion, il poursuit son œuvre de trahison de notre nation.

    André Posokhow
    16/03/2016

    (*) Note de la rédaction
    voir aussi : Immigration : cette loi votée en catimini qui élargit le droit du sol

    https://www.polemia.com/selon-musset-il-faut-quune-porte-soit-ouverte-ou-fermee/

  • Un conducteur blesse six militaires à Levallois et s'enfuit : un «acte délibéré» selon le maire

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    Au moins six militaires de l'opération Sentinelle ont été blessés, dont deux sérieusement après qu'un véhicule les a percutés avant de prendre la fuite, à Levallois-Perret dans les Hauts-de-Seine. Patrick Balkany évoque un «acte délibéré».

    Le 9 août, vers 8h du matin, un véhicule a foncé sur un groupe de militaires à Levallois-Perret, dans les Hauts-de-Seine, selon la préfecture de police citée par l'AFP. Selon la même source «six militaires ont été blessés, dont deux grièvement, même si leur pronostic vital n'est pas engagé». Les deux blessés ont été transporté à l'hôpital Percy de Clamart (Hauts-de-Seine).

    Une opération de police est en cours pour retrouver le conducteur, qui a pris la fuite, d'après la préfecture.

    Lire la suite sur RT en français

  • Nouveau scandale ONG : des salaires en or pour sauver les migrants

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    10 000 euros par mois pour sauver des migrants. Faire le volontaire en Méditerranée rapporte gros pour les bobos humanitaristes !

    Ils appelaient les migrants à sauver «la chose » et ils encaissaient des salaires mirobolants. Les révélations sur le bateau Iuventa, appartenant à l’ONG allemandeJugend Rettetmettent à jour un business bien rodé des débarquements. Comme le rapportent différents quotidiens italiens des écoutes, désormais publiques, de deuxmembres du navire Vos Hestia de l’ONG Save the Children, il ressort que l’engagement de certaines ONG est tout autre que désintéressé. L’un demande à l’autre :

    « Quelles étaient selon toi les choses étranges que tu as vues ? »

    Et l’autre de répondre :

    « Avant tout, le fait qu’ils étaient si bien payés, le fait qu’ils nous faisaient faire ses c… de photos comme… »

    L’ami l’interrompt :

    « Parce que eux, ils étaient payés avec un salaire ? »

    Et la réponse surprenante :

    « Ben oui ! c’est-à-dire que celui qui fait le volontaire peut gagner jusqu’à 10 000€ par mois me semble-t-il... »

    Une autre conversation entre les deux est tout aussi éclairante sur la moralité de ces ONG :

    «Des genre de types, ceux-là, c’étaient des bandits des mers et non des secouristes, hein ? Ceux-là c’étaient vraiment des bandits ! Vraiment cela a été scandaleux… ils ont fait plus de morts eux tout seul que les bateaux pneumatiques ».

    Les témoignages des deux hommes auprès des autorités italiennes chargées de l’enquête sur les activités probablement illégales de la Iuventa révèlent également l’entente entre les membres activistes de l’équipage du navire de l’ONG allemande et les passeurs :

    « Au cours d’un sauvetage du 10 septembre 2016 nous avons noté que durant le transbordement de la Iuventa à notre bateau de 140 migrants secourus par cette embarcation, un bateau pneumatique s’éloignait en se dirigeant vers les côtes libyennes avec à son bord deux hommes. Cette circonstance nous faisait penser que l’équipage de la Iuventa avait transbordé les 140 migrants du pneumatique qui rentrait sur la côte avec à son bord les passeurs. »

    L’entente entre humanitaristes activistes genre no-border présents sur la Iuventa a été telle que le 26 juin dernier à la proue du navire de l’Ong Jugend rettet «  a été hissé le drapeau libyen ».

    Quant activisme gauchiste rime avec business, c’est l’argent qui coule à flot sur le dos de miséreux clandestins qui se noient pour de faux !

    Francesca de Villasmundo  

    http://www.ilcorrieredelgiorno.it/dentro-le-carte-dellinchiesta-sulla-nave-ong-sequestrata-a-lampedusa/?print=print

    http://www.lastampa.it/2017/08/03/italia/cronache/accordi-con-i-trafficanti-di-uomini-sequestrata-nave-dellong-tedesca-02549A8LajFwyjL51HfGBO/pagina.html

    http://www.medias-presse.info/nouveau-scandale-ong-des-salaires-en-or-pour-sauver-les-migrants/78454/