immigration - Page 955
-
Première victoire pour Defend Europe - Journal du Jeudi 17 Août 2017
-
KARIM OUCHIKH : « IL FAUT QUE LA PÉTITION “EUROPE - STOP INVASION” ATTEIGNE LE MILLION DE SIGNATURES ! »
Karim Ouchikh explique l’originalité de la pétition qu’il vient de lancer avec Renaud Camus au niveau européen. Il appelle les citoyens qui souhaitent s’opposer à la submersion migratoire décidée sans leur accord, à se mobiliser et à entrer en résistance. D’ores et déjà, la mobilisation de la société civile a permis de faire bouger les lignes en Italie, en Libye et au sein de plusieurs gouvernements européens.
Vous pouvez la signer en cliquant sur ce lien: http://www.stop-invasion.eu/fr/http://www.bvoltaire.fr/faut-petition-europe-stop-invasion-atteigne-million-de-signatures/
-
LETTRE OUVERTE À LA POLICE ET À LA RATP : ET SI VOUS ALLIEZ VOIR LÀ OÙ ÇA SE PASSE ?
Paris au mois d’août. La ville s’est vidée des Parisiens pour se remplir de touristes qui fréquentent – c’est normal – les sites touristiques. Et parmi ceux-là, les « Puces ».
Il y a deux marchés célèbres à Paris : Vanves et Saint-Ouen, qui se tiennent les samedis et dimanches.
Vanves, Sud-Ouest parisien, très calme, très bon chic bon genre, sauf pour ce qui déborde du marché légal. Je parle, là, des Roms qui s’installent sur le trottoir côté périph » et de tous les Maghrébins côté Paris. Ils déballent leur misère sur un carré de tissu et tentent de se faire quelques euros. Ils ont traversé Paris en diagonale pour venir de leurs bidonvilles en tirant valises et Caddie®.
Saint-Ouen, c’est autre chose. Pour rejoindre les allées des chics marchés Biron, Serpette et autre Vernaison, encore faut-il pouvoir y parvenir. Le métro de la ligne 4, déjà, passé les gares de l’Est et du Nord, vous fait pénétrer sur un autre continent. Changement de population, parler fort et boubous, starlettes afros et racailles. Terminus porte de Clignancourt, tout le monde descend… et là commence la traversée la plus glauque : il faut affronter les détrousseurs et franchir sous le périphérique le plus gros marché aux voleurs de la capitale.
À Vanves-la-calme, tous les samedis, tous les dimanches, on voit débarquer les voitures de police. Cinq, dix flics qui fondent sur les biffins quand ils ne confisquent pas leur fourbi.
À Clignancourt-l’Africaine, en revanche, personne. Jamais. Les troupes de la voyoucratie occupent le terrain en toute impunité, fondant sur les touristes au milieu des détritus et de la crasse pour fourguer la contrefaçon volée aux Chinois qui l’importent.
À Clignancourt, pas un flic à l’horizon. Pas un militaire de la force Sentinelle non plus. Mais parmi les fringues et les chaussures, une bonne dizaine de boutiques de surplus et autant de marchands d’armes en principe factices.
Sur le chemin du retour, il faut retraverser la zone où éclatent, en soirée, des bagarres, où les naïfs qui réclament leur dû parce qu’ils se sont fait piéger au bonneteau s’enfuient sous la menace. Et toujours pas un flic ni un militaire à l’horizon.
Reprendre alors le métro porte de Clignancourt, au milieu des hordes vociférantes qui vous bousculent, sautent par-dessus les portillons quand elles n’arrachent pas les portes latérales pour faire s’engouffrer des familles entières sans sortir un ticket. Comme ce dimanche sous mon nez : quinze d’un coup, les grands costauds, les mammas Benz et les gosses. Il n’y a que quelques Blancs comme moi et les touristes qui payent leur trajet.
J’ai longtemps travaillé à Saint-Cloud. Je prenais à La Défense le tram dit « des cols blancs ». Nous étions contrôlés une à deux fois par semaine. Tout comme nous sommes régulièrement contrôlés sur ma très calme ligne 11, aux heures – un hasard ? – où la « classe moyenne » rentre du spectacle.
Depuis 25 ans que je fréquente la porte de Clignancourt, je n’y ai jamais vu l’ombre d’un uniforme.
Alors, gens de la RATP, de la mairie de Paris, du ministère de l’Intérieur, arrêtez votre baratin sur la sécurité, l’état d’urgence, les troupes à contre-emploi qui ne sont là que pour garder les puissants et servir de cible aux terroristes et aux minables tarés !
La vérité, c’est qu’il y a dans Paris des quartiers entiers et leurs stations de métro qui sont objectivement des zones de non-droit. Des territoires ethniques dévolus aux voleurs, aux trafiquants, à la racaille, aux dealers. Et ceux-là ne sont pas des migrants fraîchement débarqués mais les tenants d’une économie souterraine mais bien visible qu’aucune institution n’ose affronter.
Pour finir : le RER B qui dessert l’aéroport Charles-de-Gaulle passe par les cités chaudes de la banlieue nord. Les contrôleurs y montent, mais… à Villepinte seulement, dernier arrêt avant le terminal 1, quand ne restent plus dans la rame que les voyageurs pour Roissy. Encore un hasard, sans doute ?
http://www.bvoltaire.fr/lettre-ouverte-a-police-ratp-alliez-voir-ca-se-passe/
-
Bien-sûr que les soutiens des migrants agissent par idéologie !
Par Antiquus
Excellent commentaire, du mardi 8 août, à propos de notre publication « Bravo, l'Italie ! Pas pour Saint-Nazaire ! Pour la Méditerranée ! ». En réponse à un commentaire d'Hugues Noël, auquel on devra se reporter ainsi qu'à notre article. (Lien ci-dessous). LFAR
Bien sûr que c'est par idéologie. Il y a de nombreuses catégories d'idéologues qui favorisent l'immigration de masse.
D'abord il y a ceux qui veulent dynamiter la société et la culture européenne, dans une vision trotsko-gramsciste, afin de rendre la révolution inévitable. C'est à cette catégorie qu'appartient Cédric Herrou.
Ensuite il y a ceux qui, au nom d'un christianisme dévoyé, reprennent pour argent comptant les paroles de certains papes récents qui considèrent que l'immigration et la suppression des frontières font partie du plan de Dieu. Ils savent que c'est suicidaire pour l'Europe mais pensent que l'Europe a fait son temps.
Il y a les cercles puissants de financiers comme Soros, qui fournissent de l'argent à ces associations sans cacher un but double: faire sauter les frontières qui sont un obstacle à la poursuite de la mondialisation, et fournir une main-d'oeuvre pas chère qui permet de bloquer les salaires qui, je vous le rappelle, ont baissé en valeur restituée depuis 40 ans. Ont partie liée avec ces cercles les organes dirigeants de la communauté européenne, et les néoconservateurs américains qui sont justement responsables des guerres un peu partout. Un général américain concluait un exposé à l'OTAN il y a quelques années: "malheur aux peuples qui refuseront de se métisser!"
Conclusion, si vos bons sentiments provoquent chez vous des remontées stomacales, vous êtes priés de ne pas nous en faire profiter. •
Lire ...
Bravo, l'Italie ! Pas pour Saint-Nazaire ! Pour la Méditerranée !
-
Immigration. Quel impact pour la mission « Defend Europe » ?
Source Breizh info cliquez ici
Depuis janvier 2017, 113 614 migrants ont rejoint l’Europe par la mer. Un nombre tout aussi important que l’an passé, signe que la vague migratoire ne tarit pas.
Toutefois, l’ONG « Defend Europe », qui a affrété un navire (le C-Star) afin de mettre en lumière les rapports ambigus entre ONG dites « humanitaires » et passeurs, estime positif l’impact de sa mission en mer lancée à la fin du mois de juillet;
Ainsi, les départs de migrants clandestins depuis la Libye vers l’Europe ont baissé de 76% entre les dix premiers jours du mois d’août 2016 et 2017. Pour 6554 départs recensés en 2016, ils étaient 1572 en 2017.
L’ONG identitaire communique :
« -76% ! C’est l’ampleur de la baisse de départ de migrants clandestins depuis la Libye sur les dix premiers jours du mois d’août par rapport à la même période en 2016.
Cette chute des départs de clandestins n’est pas le fruit du hasard mais la conséquence de décisions politiques prises par l’Italie et de ses négociations avec Tripoli. Cependant le gouvernement de gauche qui siège à Rome n’a agi que grâce à la pression médiatique croissante depuis plusieurs semaines en Italie. Une pression à laquelle la mission Defend Europe n’est pas étrangère, il suffit de consulter la couverture médiatique de ses dernières semaines pour le vérifier. Notre initiative montre que des citoyens européens peuvent s’organiser à la base pour agir efficacement à la place des Etats. Ce faisant, nous contraignons ces derniers à prendre leurs responsabilités. A un moment décisif, dix hommes sur un bateau soutenus par des millions d’autres à terre pèsent plus lourds que toutes les ONG du charity-business.
Cette baisse du nombre de traversées de clandestins prouve définitivement que les opérations sauvages des ONG créaient un véritable appel d’air. Il reste maintenant à l’Europe de mettre en place une véritable politique à l’australienne de « No Way ».
Retrait des ONG « humanitaires »
Cette mission de surveillance est à mettre en parallèle avec le retrait progressif des ONG « humanitaires » (MSF, Sea-Eye et Save the Children ..) depuis que les autorités italiennes ont levé le voile sur la complicité entre ces ONG et le trafic de migrants, et depuis que les autorités libyennes ont mis leur veto afin que ces ONG ne pénètrent plus dans les eaux territoriales libyennes.
MSF comme d’autres ONG allaient en effet jusque dans ces eaux afin de récupérer des migrants secourus en mer (ou amenés par les trafiquants) avant de les amener jusqu’aux côtes européennes (au lieu des les sauver et de les ramener sur les côtes africaines).
Les autorités libyennes comptent par ailleurs sur l’aide financière de l’Europe – ce qui peut se comprendre dans un pays dont le chaos est né justement des opérations de déstabilisation menées par les Européens et les Américains – pour bloquer les migrants sur le continent africain.L’aide demandée est de 20 milliards de dollars.
« Nous devons travailler ensemble pour bloquer les flux sur 4 000 kilomètres à la frontière désertique libyenne du Sud. Mes soldats sont prêts. Je contrôle plus des trois quarts du pays. Je possède la main-d’œuvre, mais il me manque les moyens », explique Khalifa Haftar, chef d’une force autoproclamée Armée nationale libyenne (ANL)
Incontestablement, c’est par l’action cumulée de la justice italienne et des autorités libyennes, mais aussi grâce au coup de communication de Defend Europe (et cela malgré la désinformation généralisée et le parti pris pro migrants de la presse subventionnée) que la crise migratoire sans précédent que connait l’Europe aujourd’hui et depuis quelques années, pourrait bien changer de cap dans les mois à venir.
Car si la presse subventionnée ainsi que certaines élites politiques et économiques voient d’un bon oeil (entre angélisme, idéologie et mauvaises intentions) ces vagues migratoires destinées à changer le visage de l’Europe, ils sont de plus en plus nombreux, à l’Est, en Europe centrale, mais aussi en Italie, en France, en Allemagne …à vouloir fermer le robinet, conscients de l’enjeu de civilisation qui se trame derrière cet avant goût du Camp des saints.
-
Un homme fonce en voiture dans une pizzeria : déséquilibré, fou, terroriste ?
Un homme au volant d'une voiture a foncé volontairement le 14 août au soir dans une pizzeria de Sept-Sorts, en Seine-et-Marne. Une jeune fille a été tuée et douze autres personnes ont été blessées, dont quatre sont dans un état grave. Le conducteur a été interpellé par la police. On ignore pour les moment ses motivations. La presse évoque un déséquilibré, tenant des propos incohérents devant les policiers, voulant se suicider.
Selon un témoin
« Ce regard qu’il avait là, toute ma vie ce sera ancré dans ma tête. Toute ma vie. On ne peut pas avoir ce regard-là quand on vient de faire un truc comme ça. Je n’ai jamais vu quelqu’un d’aussi posé. Tranquille, serein. Le gars, il avait réussi son coup. »
Il faut aller lire la presse étrangère (via FDesouche) pour trouver une photo de l'individu :
-
IL FAUT SAUVER LE SOLDAT JALLAMION
Arnaud Beauregard
Ligue duMidi cliquez ici
« A mort le flic ! » (Publié aux éditions Riposte laïque cliquez ici) est le titre d’un opuscule loin d’être pompeux. Bien au contraire, l’auteur, Sébastien JALLAMION déroule au fil des pages le processus du rouleau compresseur de l’administration déclenché pour obtenir la mise à mort professionnelle d’un « malfaisant » s’adonnant au militantisme de la cause nationale.
Mais, il est patent de constater que cette institution policière est devenue au fil du temps, feutrée et insipide, dans laquelle il fleure bon d’être « politiquement correct ».
En définitive, l’administration ne demande plus aux policiers d’être des « flics » mais simplement d’être de bons fonctionnaires disciplinés, et pour paraphraser le Général DE GAULLE une sorte d’agrégat de « veaux » obéissants seulement aux diktats imposés par la bien-pensance !
Malgré la récurrence annuelle de quatre millions de crimes et délits enregistrés par les services de Police et un taux d’élucidation des enquêtes judiciaires peu glorieux avoisinant les 10%, la haute hiérarchie policière décréta qu’une simple publication anonyme sur des réseaux sociaux méritait un traitement administratif et judiciaire implacable.
Le Directeur Départemental de la Sécurité Publique jugeait la publication de Sébastien JALLAMION méphitique, à la rhétorique fantasmagorique et hallucinogène, incompatible avec le “vivre ensemble” sous l’ère de l’islam modéré. Alors, tel un haruspice, qui lit dans les viscères d’un mort, ce haut fonctionnaire interprétait la volonté divine de l’élite de la bien-pensance islamo-collaboratrice en quémandant à ses pairs de l’administration et à l’institution judiciaire une peine irréfragable contre ce dissident de la cause nationale.
Dans l’incurie de la sempiternelle culture de l’excuse pour les racailles, le glaive de la justice s’abattit sur l’innocent. Jeté au pilori, assassiné professionnellement et socialement, condamné par la justice, il ne restait plus que l’exil amer en Suisse à Sébastien JALLAMION pour éviter l’embastillement au milieu de ceux qu’il avait traqué autrefois.
Dans ce maelstrom de l’insécurité physique et culturelle, ce soit disant « délit d’opinion » semble bien dérisoire comparé aux zones de non-droit pullulant sur le territoire national, à ces « jeux de massacre » récurrents dans les rues de Paris ou de Nice, ou à l’échec de la lutte contre le trafic des stupéfiants pour lequel une grande partie de l’élite dominante suggère de légaliser le cannabis afin de conserver l’illusion de la paix sociale dans les quartiers sensibles.
Sébastien JALLAMION a écopé d’une « triple peine » : administrative par la révocation, judiciaire par la condamnation pénale, et professionnelle par la suspension définitive de sa qualification d’Officier de Police Judiciaire… Peine irréfragable pour avoir tout simplement publié une photographie sommaire dans laquelle le « facebookeur» prenait pour cible le calife djihadiste et terroriste irakien Abou Bakr Al-BAGHADI.
Bien que le législateur ait supprimé la double peine pour les étrangers délinquants, les apôtres “droits de l’hommiste” ne semblent pas être effarouchés à l’idée qu’en France, un homme peut être sanctionné pour le même fait à trois reprises. Bien évidemment, l’administration a cette faculté habituelle de contourner le délit de harcèlement moral en jetant en premier lieu l’opprobre sur le fonctionnaire, en dénonçant la commission d’un crime honteux de lèse-majesté d’islamophobie et d’amalgame
Lorsque le début des ennuis se profile à l’horizon, Sébastien JALLAMION a la crédulité d’avoir confiance en reconnaissant tout benoîtement les faits en pensant que le bon droit prévaudrait. Appréciation de jugement motivée par le fait qu’il avait pris l’assurance d’être une personne lambda, par l’anonymat sur les réseaux sociaux, afin de ne pas mettre en avant la qualité de sa fonction et ne causer ainsi aucun manquement déontologique.
Mais, c’était oublier le système ORWELLIEN de cette hiérarchie policière qui ne tient pas compte que « L’honnêteté n’est pas un habit des dimanches, mais un vêtement de tous les jours »… Le rouleau compresseur de l’administration est bien rodé : le tout commence par une simple audition administrative, puis une enquête judiciaire et pour finir conduire le « prévenu » devant le tribunal correctionnel.
Ainsi, par ce mode de fonctionnement, l’administration a eu les coudées franches pour asséner le coup fatal en traduisant le pauvre Sébastien devant un conseil de discipline qui n’avait plus qu’à entériner la suspension ou la révocation due à l’obtention d’une condamnation pénale. Et pour achever l’insubordonné, une convocation devant le procureur général pour lui supprimer sa qualification d’Officier de Police Judiciaire au cas où le séditieux militant réussirait contre vents et marées à rependre ses fonctions.
Ainsi meurtri, humilié, il sera aisé pour l‘administration de le « placardiser » dans un emploi peu exaltant où le pauvre policier finirait par sombrer dans la dépression d’autant plus que la fonction publique l’avait suspecté d’avoir des problèmes psychologiques. Quoi qu’il advienne du fatum administratif, le sort du Brigadier-Chef de LYON était scellé à jamais, sans autre forme de procès, le verdict était sans appel.
Sébastien JALLAMION ne pourra plus ou ne devra plus exercer son métier qu’il a choyé pendant deux décennies… telle en est la volonté de ces nouveaux inquisiteurs. Et oui, tout ça pour ça ! Qu’il serait plaisant de constater pour le peuple des exclus des territoires abandonnés que cette hiérarchie policière ait la même empathie à l’égard des millions de victimes de crimes et délits, comme toutes ces femmes battues ou violées, ces enfants rackettés à la sortie des écoles, ces ouvriers abandonnés dans les quartiers sensibles où quelques « jeunes désoeuvrés de cités » incendient leurs voitures en toute impunité.
La bêtise de bons nombres de militants et de cadres de la droite nationale et populaire consiste à cultiver la persévérante fausseté d’une police muselée qui finira par se révolter et libérer les zones de non droit des hordes ethnico-délinquantes. Et par conséquent, dans cet aveuglement de l’esprit il ne fait l’ombre d’un doute que le fossoyage de Sébastien JALLAMION ait généré un engouement de solidarité au sein des forces de l’ordre.
Pourtant, toute vérité n’est pas bonne à dire et dans son exil helvétique, Sébastien JALLAMION est un homme bien seul, meurtri par une sentence redoutable et abandonné par une corporation qui ne s’est guère mobilisée par un élan de générosité et de courage.
Gardons en mémoire que l’injustice faite à un seul d’entre nous est une menace faite à tous !
Cette condamnation pour islamophobie est destinée à donner à l’injustice l’accent de la vérité, à rendre l’assassinat social respectable. Alors, ne donnons pas aux bien-pensants le sentiment que la solidarité entre militants de la cause nationale est semblable à un courant d’air, nous nous devons de sauver « le soldat JALLAMION ».
L’action solidaire est à portée de nos bourses, en se procurant son livre afin que notre camarade puisse réunir la somme de cette ignominieuse condamnation pécuniaire qui lui permettra de retrouver sa liberté d’aller et venir dans la patrie, dite, des droits de l’homme…
-
Cédric Herrou : derrière l'humanisme, une dangereuse remise en cause de l'Etat
Par Gaël Nofri
Cédric Herrou a été condamné ce mardi en appel à quatre mois de prison avec sursis pour avoir aidé des migrants. Dans cette tribune sur figarovox du 9 août, Gaël Nofri, élu municipal de Nice, démontre avec pertinence que cette condamnation qui demeure symbolique est surtout une publicité pour les actions contestables d'activistes qui remettent en question l'idée même de frontière. On peut en débattre mais Lafautearousseau partage cette analyse. LFAR
Le premier mot qui vient à l'esprit lorsque l'on évoque l'affaire Herrou c'est tristesse.
Tristesse d'abord, parce que derrière tout cela il y a, quoique l'on veuille bien en penser, de la misère humaine et que la misère humaine est toujours triste.
Tristesse ensuite, parce qu'il y a souvent aussi beaucoup de bêtise dans les propos les plus simplistes tenus, à l'emporte-pièce, par les plus radicaux des deux camps qui s'affrontent, et que la bêtise humaine aussi est triste.
Tristesse enfin, par ce que cette affaire nous dit beaucoup de la crise qui traverse l'Etat en France aujourd'hui, de sa remise en cause et des doutes qui accompagnent son action. Or pour tout observateur de la vie politique française, cette misère de l'Etat est une incontestable source de tristesse, mais aussi de préoccupation quant à l'avenir.
La condamnation de Cédric Herrou à une nouvelle peine, plus sévère, est certes un bon signe, mais, s'agissant de prison avec sursis, elle ne réglera en rien le problème qu'a fini par incarner l'agriculteur azuréen: l'Etat va continuer son jeu du chat et de la souris. Celui-ci ne cache pas en effet son intention de réitérer ses actes, de «mieux s'organiser pour mieux agir» et ses appels à la désobéissance sont constants. Avec une certaine lucidité il déclare lui-même «Ils n'ont qu'à me mettre directement en prison». Depuis des mois en effet les arrestations et les gardes à vue succèdent aux libérations et aux violations de la loi selon un schéma désormais assez bien rodé, qui n'a d'autre bénéficiaire que la publicité rendue à sa cause.
Car le combat entre Hérrou et les autorités n'est pas l'histoire d'une action, il est un combat de fond entre celui qui entend «se substituer à l'Etat» et un Etat qui doute de sa propre légitimité à agir. Tout se passe comme si, sur cette affaire comme sur bien d'autres hélas, l'Etat avait honte de lui-même, peur de son autorité, n'était pas certain de son bon droit. «L'Etat, c'est-à-dire la société où il y a des Lois» disait Montesquieu, qui ne jugeait sans doute pas en son temps nécessaire de compléter sa formule par «et dont on assure le respect effectif» est en crise. Cette crise, qui trouve sans doute ses racines françaises cinquante ans en arrière dans le triomphe des idées de mai 68, témoigne de la défiance de notre époque et de notre société vis-à-vis de l'autorité, des institutions, de l'Etat-Nation ; par là même, elle fournit un argument supplémentaire à ses détracteurs.
En matière migratoire, il faut convenir que la Loi du 31 décembre 2012 a ouvert une voie dangereuse dans ce sens. Alors que l'aide à un migrant dans le cas d'un danger grave et imminent était déjà exclue de toute poursuite depuis 2003 - ce qui s'entend -, le texte porté par le Gouvernement de Gauche a introduit dans la Loi le fait de ne plus poursuivre l'assistance à une personne en situation illégale, c'est à dire qu'il légalise l'assistance à la violation des lois… un Etat qui légalise la violation de ses propres Lois, voilà bien la preuve d'un trouble profond ! Pire, non content de l'ouvrir à des citoyens, cette Loi a élargi l'immunité à des organisations entières, faisant dès lors de la violation des Lois un droit et une activité du dimanche. Dans l'indifférence générale, des structures se montent et s'affirment donc afin d'entraver l'action de l'Etat, de faire échec à ses politiques publique, d'empêcher l'application des choix arrêtés par les autorités légales et légitimes du pays... mais il est vrai que l'on parle là d'associations qui se sont auto-proclamées «pro-migrants» !
Encore conviendrait-il de réévaluer ce titre. Car il ne serait pas inutile de s'interroger en quoi est-il moins favorable, digne et humain pour les migrants d'attendre à Vintimille plutôt que de l'autre côté de la frontière ? Le vrai terme, le vrai combat, la motivation véritable de ces associations n'est pas tant dans le sort des migrants que dans la dénonciation de la frontière, jugée coupable de tous les maux… La Justice ne s'y est pas trompée lorsque, justifiant la condamnation de Cédric Hérrou malgré la Loi de 2012, elle exprime son sentiment que celui-ci inscrit l'accueil des migrants non dans une action de solidarité individuelle mais dans le cadre d'une «contestation globale de la loi (…), une cause militante» qu'il entend ainsi servir.
Dénoncer la frontière, attaquer l'Etat, voilà le programme bien connu qui se cache, ici, sous les apparences d'un humanisme radical et de bons sentiments portés en bandoulière. Mais il faut avouer que les habits de l'humanisme radical permettent beaucoup de choses, notamment de faire oublier que c'est justement la déstabilisation des Etats du sud de la Méditerranée en Egypte, en Lybie, en Tunisie et la disparition effective de leurs frontières qui seuls ont permis ses grands mouvements migratoires, transformant la Méditerranée en un vaste linceul…
Méfions nous donc de l'avenir que certains nous promettent. Car les critiques et les attaques contre l'Etat et les frontières peuvent paraître belles, nobles et généreuses vu de loin, mais elles sont un luxe que ne peuvent se permettre que ceux qui vivent à l'abri de ces mêmes frontières, encore protégés par l'Etat qu'ils prétendent abattre… réaffirmons le ensemble: non la Libye n'est pas une perspective enviable!
«Si l'État est fort, il nous écrase. S'il est faible, nous périssons» rappelait Paul Valéry.
Gaël Nofri est conseiller municipal et métropolitain de Nice et président du Groupe des élus niçois indépendants (DVD).
-
LES VIOLS COMMIS PAR LES MIGRANTS SUR LES ALLEMANDES SE POURSUIVENT DURANT LES VACANCES
Depuis l’ouverture des frontières au cours de l’été 2015 par la chancelière Angela Merkel, les agressions sexuelles et viols commis par les migrants se poursuivent jour et nuit à travers l’Allemagne. Durant les vacances d’été, aucun répit n’est constaté. Même un âge avancé ne protège pas les victimes potentielles, qui sont attaquées dans l’espace public ou à leur domicile.
Ce 10 août 2017, à 6 h 20 du matin, une étudiante de 20 ans se trouvant dans le métro à Munich, en Bavière, a été agressée par un Noir qui lui a peloté les seins à plusieurs reprises. Le même jour, à Bonn, en Rhénanie-du-Nord-Westphalie, un homme au teint sombre s’exprimant en anglais a harcelé sexuellement des femmes seules à différents endroits de la ville. Le 9 août, à Fribourg-en-Brisgau, au Bade-Wurtemberg, un Somalien de 53 ans a touché, dans une gare, les fesses d’une dame de 23 ans et harcelé sexuellement un enfant ainsi qu’une autre femme. Le 8 août 2017 au matin, quatre Arabes ont harcelé sexuellement deux filles à Görlitz, en Saxe. Un passant est intervenu et a été menacé avec un couteau. Ce 7 août au matin, une dame de 56 ans promenant son chien a été violée à Erfurt, en Thuringe, dans un bois, par un homme d’origine étrangère au teint sombre. Le 6 août au soir à Vöhringen en Bavière, une Allemande de 16 ans à vélo a été attaquée sexuellement en rue par un Noir originaire du Mali qui a pris la fuite sans avoir pu passer à l’acte après que la victime s’est fortement défendue. L’agresseur a été finalement arrêté par les forces de l’ordre. Ce 5 août 2017, à 5 h 25 du matin à Halle, en Saxe-Anhalt, une femme de 27 ans a été agressée par deux hommes au teint sombre qui ont tenté de pénétrer à son domicile alors qu’elle refermait la porte. La dame a crié à l’aide. Lorsqu’un autre habitant de l’immeuble est intervenu, les deux agresseurs sont partis. La victime, sous le choc, a été hospitalisée.
En ouvrant les frontières, la chancelière Angela Merkel a jeté les femmes allemandes en pâture aux violeurs migrants. La presse du système, à l’époque si favorable à cette politique d’accueil, est désormais contrainte de relater les agressions sexuelles commises par les nouveaux venus originaires de pays au sein desquels le statut de la femme est souvent très bas et qui ne peuvent retenir leurs pulsions de testostérone face aux physiques attrayants des Allemandes. La présence de ces migrants modifie profondément le fonctionnement de la société allemande au sein de laquelle les femmes ne se sentent plus en sécurité comme autrefois. Les statistiques criminelles officielles produites par la police allemande montrent que les étrangers, et tout particulièrement les demandeurs d’asile, sont plus que massivement impliqués dans les agressions sexuelles et viols. Ainsi, en 2016, les demandeurs d’asile ont été proportionnellement plus de 1.200 fois surreprésentés dans ce genre de délit que les Allemands, et les étrangers près de 50 fois plus que les autochtones.
Lionel Baland Écrivain et journaliste belge francophone Son blog -
Combien d'islamistes en Europe ?
Une bonne centaine de milliers selon ce papier de Clarion Project.