immigration - Page 959
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Rappel : Jungle: le sexe entre bénévoles et réfugiés pointé du doigt
Tout le monde s’accorde à le dire : les relations intimes entre bénévoles et réfugiés ne datent pas d’hier. Malgré tout, il y a quelques semaines, un violent débat a agité la communauté des bénévoles britanniques qui interviennent dans la Jungle. Sur l’un des groupes Facebook dédiés, la discussion a été lancée par un bénévole affirmant avoir entendu des témoignages sur le sujet, et s’est ensuite cristallisée autour de la question de l’éthique autour de telles pratiques au vu de la relation de pouvoir qui existe entre les bénévoles et les réfugiés.Parmi les associations intervenant sur le camp, plusieurs voix se sont élevées sur le sujet, mettant en avant leur code de conduite. Pour Christian Salomé, président de l’Auberge des migrants, il faut faire la part des choses. « C’est possible que nous ayons eu un bénévole dans cette situation, et on lui a dit ce que tu fais, ça va pas. Et puis on l’a remercié. Nous avons un code de conduite strict, et les bénévoles qui travaillent avec nous, avec Help Refugees, et même au hangar doivent s’y tenir. On a eu bien plus que 10 000 bénévoles à l’Auberge, donc s’il n’y a qu’un cas, ce n’est pas si mal... Malgré tout, il n’est pas impossible que des relations naissent entre des bénévoles et des réfugiés sur le camp. La preuve, il y en a qui se sont mariés et qui sont très heureux maintenant. »Code de conduiteSur le camp, les réactions des bénévoles divergent. « Nous avons un code de conduite et on est briefés sur ce genre de choses quand on arrive dans le camp », expliquent deux volontaires de l’Auberge des migrants. « On nous dit clairement que les relations entre réfugiés et bénévoles ne peuvent pas être trop proches, parce qu’il existe une relation de pouvoir entre les deux. Le débat n’est pas balayé sous le tapis, et il ne doit pas l’être. Mais personnellement, je ne connais personne qui a eu ce genre de relations avec un réfugié. »Une bénévole française qui passe régulièrement dans le camp porte un regard plus compréhensif : « C’est vrai que des fois, on peut connaître certains réfugiés depuis longtemps, donc des liens peuvent se créer. Mais personnellement, je ne connais personne à qui c’est arrivé. »Mais même si ce fameux code de conduite est signé par les bénévoles de l’Auberge et d’autres associations, les bénévoles ne sont pas tous affiliés à des associations, et c’est là que se trouve le cœur du problème, pour beaucoup. « Comme le camp n’est pas officiel, chacun peut aller et venir comme il veut, et il y a beaucoup de bénévoles indépendants. On ne peut pas les contrôler, ni les forcer à se conformer à notre code de conduite. Pour ce qui est des mineurs, ça m’étonnerait car ils sont bien encadrés par leurs communautés, même si ce ne sont pas leurs enfants. »Après avoir été alerté à propos de cette question, le haut commissariat aux réfugiés des Nations Unies a demandé aux associations de la Jungle d’appliquer une tolérance zéro sur toute « exploitation » pour maintenir l’intégrité du travail des volontaires. -
A Chalon-sur-Saône, interpellation d'un homme armé et équipé d'une fausse ceinture d'explosifs et tenant des propos terroristes
Bien sûr il s'agit d'un déséquilibré :
"Un homme de 46 ans, armé d'un couteau et ceint d'une ceinture d'explosifs factice, a été interpellé et placé en garde à vue après avoir fait irruption dans une galerie marchande de Chalon-sur-Saône, en Saône-et-Loire, a indiqué aujourd'hui une source proche de l'enquête.
Les faits se sont déroulés jeudi peu avant 20 heures dans une boutique Orange accueillie par l'enseigne Carrefour quand l'homme, "aux antécédents psychiatriques assez sérieux" et "connu de la justice pour consommation de stupéfiants", a "exercé des menaces" qui restaient encore à être évaluées par les enquêteurs.
"Des témoins ont fait plus ou moins référence à une demande d'argent pour soutenir une cause terroriste, sans véritables menaces de violence à l'égard des personnes présentes", a-t-on poursuivi de même source".
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Raphaël Enthoven, Airbnb et la morale de l’esclave
Quand on veut tuer son chien, plus besoin de dire qu’il a la rage : il suffit de le traiter de facho.
Dans un entretien donné à FigaroVox le 28 juillet dernier, Raphaël Enthoven considère que « notre époque est celle de la contamination de la vertu par le ressentiment ». Lecteur de Nietzsche et de sa morale de l’esclave, le professeur de philosophie passe les bons sentiments au détecteur de mensonges. Il en serait de la morale comme de ce masque impeccable qui dissimule un faciès vérolé : plus on l’exhibe, plus ce qu’il couvre semble vicié.
Pire, ce masque serait en plus accusateur : il disqualifie le contradicteur d’une pichenette moralisatrice. « La morale est aussi, désormais, l’arme de tous ceux qui, faute de déconstruire un argument, choisissent de le récuser en le présentant comme méchant », poursuit le professeur. Quand on veut tuer son chien, plus besoin de dire qu’il a la rage : il suffit de le traiter de facho.
Ainsi, la morale de grimage et le prêt-à-aimer ne serviraient en réalité qu’à alimenter l’esprit de revanche de groupes militants, animés par un ressentiment aigu à l’endroit d’un monde censé les avoir brimés. Pour Raphaël Enthoven, cette vertu trompeuse atteindrait son plus haut degré d’imposture avec l’idéologie antiraciste. À l’intérieur du milieu associatif, le professeur affirme :
« L’antique racisme s’est trouvé un puissant allié chez ceux qui croient lutter contre l’injustice en imposant l’injustice inverse, à l’image d’un antiracisme dévoyé qui culmine dans des réunions non-mixtes où les blancs sont exclus. La différence entre les deux intolérances, c’est que la seconde (grisée par le rêve d’un monde où la non-mixité deviendrait superflue, tant les gens s’aimeraient enfin) se vit comme un remède à la première, alors qu’elle est son reflet. »
Cependant, si la vertu est en effet bien souvent l’arme des revanchards, elle est surtout brandie par nos élites politiques et économiques à l’endroit desquels le professeur de philosophie semble d’une grande indulgence. La moraline, avant d’être le tour de passe-passe des humbles, est surtout la magnifique machine, savamment huilée, de l’hyper-classe mondialiste. Dans le milieu artistique, elle est le carton d’invitation qui ouvre au grand banquet. En politique, la promesse de la bienveillance de toute la classe journalistique. Dans la sphère économique, la face présentable du cynisme le plus crapuleux.
Ainsi, Emmanuel Marill, le directeur France de Airbnb, dont l’entreprise chasse les Français les plus modestes des centres villes en les privant de logement par la hausse des prix de l’immobilier locatif, se félicite de sa nouvelle plate-forme intitulée Open Homes. En effet, depuis le 20 juin dernier, la société américaine permet à des hôtes de mettre gratuitement à disposition des chambres pour héberger demandeurs d’asile et réfugiés en France et dans le monde. Alors qu’il est accusé d’une indécente optimisation fiscale, de concurrence déloyale et de l’épuisement de l’offre locative pour les étudiants et les travailleurs pauvres, le groupe jette à la face du monde, comme une bravade, sa vertu cosmopolite et sa morale solidaire, ouvrant grand aux migrations légales et illégales les portes des logements de France qu’il ferme aux Français les plus modestes. Histoire de se donner bonne conscience afin de mieux continuer son business pharaonique.
Raphaël Enthoven n’a pas tort lorsqu’il interroge la morale de l’esclave. Mais il ne faudrait pas oublier celle des maîtres. Par leurs grimaces philanthropiques, ils encaissent plus facilement les dividendes.
http://www.bvoltaire.fr/raphael-enthoven-airbnb-morale-de-lesclave/
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Manif de samedi à Chalon sur Saône (71) : changement du lieu de rassemblement
Un communiqué de Thomas Joly (Parti de la France) :
Après avoir envisagé d'interdire notre manifestation, le Préfet de Saône-Et-Loire a accepté la proposition de notre Délégué départemental, Benjamin Lematte, de déplacer notre rassemblement place Thévenin afin d'éviter tout risque de confrontation avec les contre-manifestants d'extrême-gauche.
Même s'il peut paraître paradoxal que ce soit à nous de nous replier dans un autre lieu, saluons cette petite victoire en cette période où la plupart des manifestations patriotiques sont scandaleusement interdites par les services de l'État. Donc demain, rendez-vous à 14h place Thévenin à Chalon-sur-Saône (71) pour dire non à l'installation de migrants !
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À LA BAULE : DES MUSULMANS MENACENT DES JEUNES FEMMES ADEPTES DU MONOKINI SUR LA PLAGE... ILS SE FONT REMBARRER
Source Breizh info cliquez ici
Bronzer les seins à l’air sur la plage de La Baule, en 2017, peut s’avérer risqué. C’est la mésaventure qui est arrivée le mois dernier à deux femmes, agressées par des puritain(e)s venus d’ailleurs.
La première quinzaine de juillet a été chaude à La Baule, notamment sur la plage. Ainsi, un peu avant le quatorze juillet, deux femmes, des « Gauloises » qui bronzaient seins nus sur la plage – une pratique courante dans nos pays encore libres – se sont faites agresser par d’autres femmes, d’origine maghrébine.
Ces dernières, qui ne portaient pourtant par ailleurs aucun signe distinctif pouvant laisser penser à une appartenance à un islam rigoriste, vinrent ainsi les voir pour leur intimer de couvrir leur poitrine, prétextant que «cela ne se faisait pas ». Manque de chance, elles tombèrent pour le coup sur des femmes de caractère, qui les ont purement et simplement envoyées paître.
Insupportable pour ces ayatollahs du puritanisme, qui revinrent quelques instants plus tard avec leur compagnon respectif. Cette fois-ci, les menaces deviennent plus pressantes… mais c’était sans compter sur la solidarité communautaire qui s’est alors déclenchée autour des deux femmes agressées.
Plusieurs personnes assistant à la scène intimèrent alors aux agresseurs de partir, tandis que d’autres appelèrent les forces de l’ordre. Arrivées sur les lieux, celles-ci embarquèrent illico ces représentant(e)s de la police de la poitrine. « On est chez nous ! » rappellera à ces femmes et à leur compagnon un badaud sur la plage.
A Sisco (cliquez là) comme à La Baule, les revendications communautaires extra-européennes ne semblent pas être les bienvenues…
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Premier séquestre d’un navire ONG après le refus de signer un code de conduite
Un Italien sur deux en est désormais convaincu : les organisations non gouvernementales opérant en Méditerranée seraient en collusion avec les passeurs. Et le refus de ces dernières de ratifier le code de conduite présenté par le ministère de l’Intérieur lundi dernier ne fait qu’accroître les doutes sur les véritables motivations de leur action.
Sur les dix associations conviées, la moitié n’ont pas daigné se présenter à la réunion, deux seulement ont accepté les conditions (MOAS [Migrant Offshore Aid Station] et Save the Children) et une troisième (Proactiva Open Arms) a fait savoir par courriel qu’elle reviendrait sur son refus.
Le texte est composé de treize points somme toute assez basiques, s’agissant de normes qui devraient déjà être respectées. Nous reprenons ci-dessous la totalité des conditions contenues dans le document. Leur lecture en dit long sur la totale absence de règles et l’impunité dont jouissent ces ONG :
Interdiction d’entrée dans les eaux territoriales libyennes sauf « en cas de danger grave et imminent » ; de gêner l’activité des gardes-côtes libyens ; ne pas se rendre invisibles aux radars ; ni établir de communication avec les embarcations en partance ; certifier de l’aptitude technique à accomplir les activités de secours ; informer l’État du pavillon d’un sauvetage fait hors de la zone de recherche ; mettre à jour le Centre de coordination maritime sur l’évolution des secours ; ne pas transférer les rescapés sur d’autres navires sauf « en cas de sollicitation par le Centre de coordination pour le secours maritime compétent »(MRCC) ; informer l’État du pavillon de l’activité entreprise par le navire ; consentir à recevoir à bord, sur demande des autorités compétentes et pour le laps de « temps strictement nécessaire » des fonctionnaires de police judiciaire engagés dans des enquêtes sur le trafic d’êtres humains ; déclarer les sources de financement aux autorités du pays d’enregistrement de l’ONG ; fournir une coopération loyale avec l’autorité de sécurité intérieure du lieu de débarquement prévu ; récupérer, « une fois secourus les migrants et dans la limite du possible », les embarcations et les moteurs utilisés par les trafiquants.
La réaction du ministère de l’Intérieur italien ne s’est pas fait attendre : « Avoir refusé la signature du code de conduite met ces organisations non gouvernementales hors du système de sauvetage en mer » et ce code de conduite a tout de suite été mis en application : le bateau de l’ONG allemande Jugend Rettet a été escorté par les gardes-côtes italiens et bloqué ce matin dans le port de Lampedusa. Une enquête est ouverte pour le délit présumé de complicité à l’immigration clandestine.
Il apparaît ainsi toujours plus clairement que leur dessein n’est pas humanitaire mais idéologique : si elles sont, en majorité, composées de bobos sincèrement convaincus que les frontières, c’est ringard, et que la civilisation européenne – seule coupable de racisme – doit disparaître en se fondant avec le bon sauvage ou en lui cédant sa place, nombre de ces associations sont menées par de puissantes minorités subversives peu visibles, qui trouvent un intérêt certain dans la déstabilisation du Vieux Continent.
http://www.bvoltaire.fr/premier-sequestre-dun-navire-ong-apres-refus-de-signer-code-de-conduite/
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Agnès Buzyn rassure : les coupes budgétaires ne se feront pas au détriment des migrants. Pour les Français, c’est une autre histoire…
Agnès Buzyn, ministre de la Santé, sait comment parler aux Français.
Mardi, elle visitait un centre d’hébergement pour demandeurs d’asile à Ivry-sur-Seine. Des élus communistes l’attendaient pour exiger plus de moyens pour accueillir les immigrés.
En présence des médias, Christian Favier, président du conseil départemental, déclarait : “On ne peut pas demander aux collectivités locales de créer des places d’hébergements locales tout en baissant de 13 milliards d’euros leurs financements. Il faut s’assurer que les financements promis par l’État dans ce centre soient durables”.
Mais Agnès Buzyn a immédiatement assuré qu’il n’y aurait aucune coupe budgétaire dans son ministère qui se ferait au détriment des migrants.
Au détriment des Français, par contre, c’est plus que probable…
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L. ALIOT 2/08 s'insurge ! "on rabote les APL aux nôtres et on prend plus de migrants"
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DIMANCHE 1ER OCTOBRE : 11E JOURNÉE DE SYNTHÈSE NATIONALE
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Le centre de déradicalisation de Pontourny était bien une escroquerie !
Une escroquerie intellectuelle et financière qui n’arrêtera en rien le terrorisme islamiste en France.
En février dernier, la mission d’information « Désendoctrinement, désembrigadement et réinsertion des djihadistes en Europe » avait déjà dressé un premier bilan très mitigé de la politique de déradicalisation menée en France. Les deux sénatrices, Esther Benbassa et Catherine Troendlé, dénonçaient notamment un véritable « business » tout en pointant du doigt la « gabegie financière » de l’État. Catherine Troendlé allait même très loin en déclarant : « Nous savons que nos programmes sont inutiles pour les djihadistes radicaux de conviction. »
Dans le rapport final rendu public le 12 juillet dernier, les deux sénatrices ont notamment proposé la fermeture du centre de Pontourny, dont le but était d’accueillir des musulmans en voie de radicalisation sur la base du volontariat. Selon elles, il semble nécessaire de « mettre fin à l’expérimentation et renoncer à sa généralisation ». Rappelons tout de même que les candidatures volontaires se comptaient en réalité sur les doigts des deux mains. Pire encore : c’est Europe 1 qui avait révélé que le dernier pensionnaire avait été exclu après sa condamnation pour violences et apologie du terrorisme islamiste.
« Son passage [dans le centre] a eu l’effet inverse de celui recherché. L’encadrement avait noté qu’il vivait le programme comme du prosélytisme anti-islam et qu’il semblait se radicaliser davantage. Son rejet de la France tendait à s’amplifier. »
L’issue semblait ainsi de plus en plus évidente. Et, le 28 juillet dernier, le ministère de l’Intérieur s’est donc enfin décidé à annoncer la fermeture du centre de Pontourny. La Place Beauvau s’est contentée du strict minimum dans sa communication : « Malgré la compétence, la détermination et l’investissement des personnels du centre […] l’expérience ne s’est pas révélée concluante », tout en ajoutant : « Aucun de ces jeunes n’a suivi le programme jusqu’à son terme. » Toutefois, cet abandon est accompagné d’une réflexion sur la mise en place de « structures de petite taille », une promesse de campagne d’Emmanuel Macron. Toujours le même angélisme que l’on retrouve aussi, dans une certaine mesure, chez la sénatrice Esther Benbassa : « Je ne crois pas que l’on puisse déradicaliser les gens mais on peut les réinsérer, les resocialiser. » Comme si des mesures de « réinsertion » (sic) et quelques centres de dimension plus réduite pouvaient éradiquer la gangrène islamiste. Comme s’il était possible de transformer des barbus en djellabas en adorateurs de la République française.
La fermeture du centre de Pontourny constitue déjà, à elle seule, une petite victoire. En effet, les Identitaires ont mené campagne pour dénoncer l’escroquerie de ces centres de déradicalisation. Le 11 février dernier, ils avaient battu le pavé aux côtés de responsables du Front national et des habitants de Pontourny, excédés par la présence d’adeptes du djihad dans leur village. Mais le combat doit continuer. En effet, il est illusoire de penser que ce type d’établissement réussira à promouvoir « des valeurs de citoyenneté, de respect d’autrui, de la règle de droit et des valeurs de la République et de la démocratie ». C’était, en tout cas, le pari fait par les créateurs du centre de Pontourny. Le projet de mise en place d’éventuels établissements de petite taille aboutira au même échec.
Financé par nos impôts, ce type de centre de déradicalisation ou de réinsertion – bientôt le nouveau terme consacré ? – reste une escroquerie intellectuelle et financière qui n’arrêtera en rien le terrorisme islamiste en France.
Directeur national - Les Identitaires. Fondateur de l’agence Novopress.info