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immigration - Page 987

  • Autriche : que la gauche ne se réjouisse pas trop vite...

    Dans Présent, Olivier Bault rappelle que 

    8750-20161207.jpg"la fonction présidentielle autrichienne n’a que des prérogatives limitées et pour les élections qui comptent le plus, les législatives prévues pour 2018, le FPÖ du candidat perdant Norbert Hofer reste donné largement en tête dans les sondages. Ce qui pourrait d’ailleurs causer en 2018 une crise des institutions autrichiennes puisque le vainqueur de l’élection d’hier a promis pendant sa campagne qu’il ne nommerait pas le chef du FPÖ Heinz-Christian Strache au poste de chancelier même si c’est à ce parti que les Autrichiens choisissent de donner la majorité. Comme on le voit, la conception de la démocratie de la gauche libertaire européiste est la même à Vienne qu’à Paris et Bruxelles.

    La victoire de l’écolo Alexander Van der Bellen a aussi eu un coût :il lui a fallu renoncer le temps d’une campagne à sa culture permissive et immigrationniste pour promettre la tolérance zéro en matière de délinquance et d’immigration. Ce n’est donc plus uniquement la coalition des sociaux-démocrates et du centre-droit, écrasée au premier tour des présidentielles, qui a fait volte-face en Autriche sur ces sujets, puisque l’extrême gauche verte est obligée de faire de même. En ce sens, et dans ce domaine, le FPÖ a déjà en partie gagné puisque c’est tout de même déjà un peu sa politique qui est appliquée par l’Autriche. Van der Bellen a toutefois maintenu sa ligne en faveur d’un fédéralisme européen et du « mariage gay » face au conservateur chrétien Norbert Hofer. [...]"

    Michel Janva  http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Comment la laïcité dévoyée contribue à l’islamisation de la France, par Bruno Mégret

    La notion de laïcité, telle qu’elle est utilisée par le Système dans les débats sur l’immigration, se révèle être d’une grande ambiguïté. Normalement, la laïcité devrait conduire à contester l’islam qui est réfractaire à ce concept et à reconnaître son incompatibilité avec les principes qui régissent notre société.

    Lorsque, il y a de nombreuses années, je me suis rendu compte que l’immigration massive allait générer un processus d’islamisation, j’ai pensé que cette nouvelle donne pouvait progressivement faire éclater le consensus de la classe politique et médiatique en faveur de la politique d’immigration à tout va.Car c’est l’idéologie officielle des tenants du Système qui se trouvait ainsi mise en cause par l’islam et bien au-delà, d’ailleurs, de la laïcité. L’égalité des citoyens compromise par le statut d’infériorité réservé aux femmes, la démocratie contestée par la légitimité de la loi divine, les valeurs des lumières réfutées par la confusion du politique et du religieux, il était clair que l’islam n’était compatible ni avec la République ni avec les droits de l’homme. Dès lors, on pouvait penser que ceux qui défendaient ces principes, les tenants de l’idéologie politiquement correcte, ne pourraient que s’inquiéter de la montée de l’islam et, ce faisant, rejoindre ceux qui contestaient la politique d’immigration massive suivie jusqu’alors.

    Certains l’ont fait avec courage mais ils n’ont été qu’une petite minorité. L’essentiel du Système a choisi de rester sur une ligne immigrationniste et a entrepris un exercice idéologique acrobatique pour gommer les contradictions pourtant inhérentes à cette position. Pis : la manière dont ils manipulent leurs principes les amène aujourd’hui à transformer la laïcité en un instrument qui détruit notre identité et qui assure, en revanche, la promotion de l’islam.

    Ils ont en effet dénaturé la notion même de laïcité en y introduisant une idée d’égalité : l’idée que l’Etat et les pouvoirs publics doivent traiter également toutes les religions. Or cette dimension égalitaire, qui n’est nullement contenue dans le concept de laïcité, est naturellement celle qui est la plus utilisée par les tenants du politiquement correct. Lesquels vont dès lors utiliser la laïcité pour mettre sur le même plan la religion chrétienne et la religion musulmane, ce qui les conduit à faire reculer la première et à assurer la promotion de la seconde. N’est-ce pas d’ailleurs ce que l’on observe tous les jours ? L’islam est au centre des préoccupations des médias quand le christianisme en est pratiquement absent.

    C’est en effet au nom de la laïcité, remise à l’honneur par la montée de l’islam, que le Système s’en prend maintenant à toutes les manifestations publiques du christianisme avec comme objectif de l’évacuer totalement de la sphère publique. C’est, par exemple, au nom de cette logique que certains réclament l’interdiction des crèches à Noël, que d’autres veulent faire taire les cloches des églises et que d’autres encore font la chasse aux croix dans l’espace public. Pis : lorsqu’on veut réglementer une pratique de l’islam contraire à nos traditions, on cherche à s’en prendre symétriquement à l’une de nos coutumes : ainsi, l’interdiction du port du tchador sera-t-elle étendue à tous les signes religieux ostensibles, y compris, bien sûr, au port d’une croix, lequel ne posait pourtant aucun problème.

    De plus, cette vision d’un laïcisme symétrique et égalitaire conduit à nier la composante chrétienne de notre identité. Indépendamment de toute considération religieuse, que l’on soit catholique ou non, pratiquant ou non, personne ne peut nier pourtant que notre nation a été façonnée par le christianisme. Il suffit d’observer notre territoire si riche de calvaires, d’églises et de cathédrales, ou de s’intéresser au nom des lieux désignés pour beaucoup par le nom d’un saint, ou encore de se rappeler que les jours fériés correspondent pour la plupart à des fêtes chrétiennes. Or, si l’on nie cette réalité, si l’on cherche à l’occulter voire à la détruire au nom de la laïcité, on gomme tout un pan de notre identité face à l’identité conquérante de l’islam.

    En plaçant ainsi sur le même plan une religion qui a marqué notre nation pendant quinze siècles et une autre qui n’est présente dans l’Hexagone que depuis quelques décennies seulement, on assure une promotion extraordinaire à l’islam, lui conférant de ce fait un statut de tout premier plan au sein de notre pays. Dévoyée par les tenants du Système, la laïcité conduit dès lors, indirectement et paradoxalement, à renforcer l’islam en l’installant et en le légitimant sur notre sol, tout en érodant par ailleurs notre propre identité.

    Aussi, pour combattre la montée de l’islam faut-il sortir du schéma politiquement correct, car les valeurs républicaines comme celle de la laïcité ne sont pas suffisantes pour asseoir intellectuellement une opposition claire à l’islamisation de notre pays.

    Sur le plan idéologique, c’est bien le recours au concept d’identité qui permet de lever toutes les ambiguïtés. L’islamisation doit être combattue car l’islam n’est pas compatible avec notre identité, ni sur le plan historique, ni sur le plan religieux, ni sur le plan des valeurs. En clair, il ne procède pas de la même civilisation. Et la défense, ô combien légitime, de notre propre civilisation nous impose donc d’empêcher l’islam de s’installer massivement sur notre sol.

    Bruno Mégret

    Texte repris du site de la Fondation Polémia

    http://fr.novopress.info/

  • L’immigration, un business lucratif – Ces associations qui vivent de subventions…

    Le 23 novembre, l’Assemblée nationale a voté les  » jaunes budgétaires « , ces annexes du projet de loi de finances (PLF). Il s’agit de l’affectation annuelle de subventions accordées par les différents ministères à des associations de leur choix. Ce qui ressemble fort à une distribution de l’argent du contribuable à un petit club de copains.

    Et comme la transparence n’est pas une vertu politique très partagée, le citoyen qui voudrait connaître la liste des heureuses associations gagnantes devra parcourir trois volumineux rapports faits de tableaux et de chiffres sur un total de 1.400 pages. Les plus motivés n’auront cependant accès à ces documents qu’avec un temps de retard. De quoi nous permettre de vous divulguer quelques chiffres des subventions accordées en 2015.

    Dans cet article, nous limiterons notre attention aux associations ayant un lien direct ou indirect avec l’immigration. Une thématique très lucrative, comme vous allez pouvoir vous en rendre compte.

    • France Terre d’Asile : 348.000 euros de subventions
    • Association de Service Social et Familial des Migrants (ASSFAM) : 177.000 euros de subventions
    • Association d’aide aux travailleurs migrants de la région Nord : 90.000 euros de subventions
    • Inter-Service des Migrants : plus de 50.000 euros de subventions
    • Croix-Rouge : 50.500 euros de subventions pour son programme  » Immigration et Asile « 
    • Migrations Culturelles Aquitaine : 30.000 euros de subventions pour  » donner une visibilité aux expressions artistiques des Afriques « 
    • Réseau aquitain sur l’Histoire et la Mémoire de l’Immigration : 30.000 euros de subventions
    • Forum réfugié de Villeurbanne : 20.000 euros de subventions
    • Groupe d’information et de soutien aux immigrés : 12.500 euros de subventions

    La liste n’est pas exhaustive, car il faudrait des journées entières pour décortiquer les rapports officiels. Ces chiffres ne tiennent pas compte des subventions accordées à d’autres niveaux (conseil général, conseil régional, conseil municipal).

    Enfin, il convient d’ajouter à cela les professionnels de l’antiracisme:

    • SOS Racisme : près de 400.000 euros de subventions
    • La Maison des Potes : 115.000 euros de subventions
    • MRAP : près de 30.000 euros de subventions
    • LICRA : 550.000 euros de subventions 

    http://www.medias-presse.info/limmigration-un-business-lucratif-ces-associations-qui-vivent-de-subventions/65717/

  • Un « migrant » mineur tue une jeune Allemande : Merkel a du sang sur les mains

    Venu en Allemagne en provenance d’Afghanistan en tant que « mineur non accompagné », le monstre a pu bénéficier de la générosité de nos voisins d’outre-Rhin.
    Le 16 octobre dernier, le corps inanimé de Maria L. était retrouvé sur les bords de la rivière Dreisam, à Fribourg. Cette jeune femme de 19 ans menait une existence insouciante d’étudiante en médecine, privilège d’une jeunesse interrompue trop tôt par un criminel qui n’aurait jamais dû se trouver sur le sol allemand.

    Venu en Allemagne en provenance d’Afghanistan en tant que « mineur non accompagné », le monstre a pu bénéficier de la générosité de nos voisins d’outre-Rhin, trouvant refuge dans une famille d’accueil… Quelques mois plus tard, en guise de remerciements, il assassinait et violait une jeune fille innocente. Il a heureusement été confondu par son ADN retrouvé sur les lieux du crime. Un autre crime à caractère sexuel s’est également produit dans le secteur en novembre. L’enquête dira s’il s’agissait du même auteur.

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  • Piero San Giorgio - Polémique récente Freysinger + Facebook

  • Quand la rectrice avoue que l'immigration plombe les résultats

    En juin 2011, la nouvelle rectrice de l'académie d'Orléans-Tours, Marie Reynier, était sous le feu des critiques, accusée d'avoir fait "l'amalgame entre immigration et échec scolaire".
    En effet, dans un entretien accordé à un quotidien local, Marie Reynier avait déclaré: "Si on enlève des statistiques les enfants issus de l'immigration, nos résultats ne sont pas si mauvais ni si différents de ceux des pays européens. Nous avons beaucoup d'enfants de l'immigration et devons reconnaître notre difficulté à les intégrer. Commençons par combattre l'illetrisme de leurs parents"
    Beaucoup reprochèrent à Marie Reynier de tenir des propos semblables à ceux du ministre de l'Intérieur, Claude Guéant. Ce dernier avait été victime d'une polémique un mois plus tôt, en affirmant que "les deux tiers des échecs scolaires, c'est l'échec d'enfants immigrés"
    Comparer la rectrice à Claude Guéant, c'était l'accuser en filigrane d'être réactionnaire, raciste et xénophobe, bref, la discréditer : mais sur le fond, sur le constat de cet échec des enfants de l'immigration, quelle réponse ? Aucune !
    Jean-Yves Le Gallou, Immigration : la catastrophe

  • Un local des Petits Frères des pauvres réquisitionné pour les migrants !

    La colère monte à Morainvilliers, dans les Yvelines, un village de 2 000 habitants limitrophe de Vernouillet : la préfecture a désigné les locaux des Petits Frères des pauvres pour héberger une trentaine de migrants à compter du 12 décembre ! Cette fois, le doute n’est plus possible : les Yvelines ont bien été ciblées par l’Etat, et sans aucun « souci de dialogue avec les collectivités locales », contrairement à ce que le préfet du département avait annoncé.

    La mairie (divers droite), qui l’a appris par le sous-préfet de Saint-Germain-en-Laye, n’a pas pu s’y opposer et a tenu à le faire savoir aux habitants dans un courrier à la colère contenue (ci-dessos) : « Même si nous avons objecté que l’accès limité par les transports en commun, la taille et l’absence de commerce de notre commune rendaient ce choix totalement inapproprié, cette éventualité semble se confirmer. »

    Une réunion d’information de la population se tiendra donc mercredi prochain 7 décembre à 20 heures, en présence des élus, des Petits Frères des pauvres, du sous-préfet et de l’association Aurore, qui vient en aide aux migrants clandestins et est reconnue d’« utilité publique » ! La réunion promet d’être animée…

    morainvilliers-migrants

  • Rejets de projets de mosquées à Quimper et Montauban

    Communiqué de Claudine Dupont-Tingaud Présidente de REAGIR :

    REAGIR (Résister et Agir pour le défense de nos identités) constate avec satisfaction ,mais vigilance, le rejet provisoire du 3e permis de construire, plus exactement du réaménagement avec minaret de 9 m et 5 coupoles de l’actuel Centre Culturel et Cultuel turc de Quimper ( Finistère) repoussant étude et décision courant mai 2017 après l’adoption des PLU et AVRAP locaux tenant compte d’un équipement tout public des vallons ( le projet se situant dans l’un d’eux) autour de la ville. 

    Dans « le contexte actuel » ,sic le maire de Quimper, la « surdimension » du programme hors les murs et dans les murs ( salles pour 280 et 880 personnes !) sont une provocation à plus d’islamisation en Bretagne alors qu’existe déjà un bâtiment de 1 700 m2 avec colonnade extérieure, salles de jeux et de prière, terrain de foot et jardin d’enfants. REAGIR refuse tout nouveau signe de conquête physique impliquent notre soumission et le recul de nos identités."

    De même à Montauban, Le Front national a eu gain de cause. La mairie de Montauban et l’association "Mosquée Es Salem" ne pourront pas s’échanger des parcelles pour permettre la construction d’une nouvelle mosquée. Le tribunal administratif de Toulouse a décidé d’annuler la délibération du conseil municipal allant dans ce sens, pour cause de subvention déguisée.

    Le 29 septembre 2015, le maire Les Républicains Brigitte Barèges et son conseil avaient autorisé un échange sans soulte (c’est-à-dire sans contrepartie financière) avec l’association islamique. Cette dernière devait céder à la commune une parcelle dont elle est propriétaire et sur laquelle est déjà bâtie une mosquée, en échange d’une parcelle plus grande appartenant à la mairie, afin d'y construire une mosquée plus importante. Deux conseillers municipaux de l’opposition FN avaient saisi la justice, considérant que l’échange était contraire à la loi de 1905.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Ces « revenants » du djihad qui vont submerger la France

    Le journaliste David Thomson vient de sortir un livre sur les jeunes « Français » partis rejoindre des groupes djihadistes en Syrie, et qui rentrent ces derniers mois en France.

    Ce livre s’intitule Les Revenants. Ils étaient partis faire le jihad, ils sont de retour en France. Selon les chiffres officiels, environ 1 100 « Français » sont partis en Syrie depuis 2012, souvent en famille. Un bilan largement sous-évalué selon l’auteur. David Thompson s’est intéressé aux candidats au retour. Pour quels raisons souhaitent-ils revenir sur notre territoire ? Une série de portraits, parmi lesquels, naturellement, quelques jeunes gens idéalistes qui avaient cru trouver un sens à leur vie, qui rentrent désillusionnés et plus ou moins désireux de se refaire une virginité.
    Ces jeunes gens, pour la plupart Français de souche, sont la preuve de la faillite de l’éducation nationale, et de l’incapacité de cette République post soixante-huitarde à donner du sens à la jeunesse de France.

    Mais il y a les autres…

    Les autres, ce sont ces djihadistes mal débarbouillés, qui reviennent chez nous avec la haine de la France. Ainsi, Abou, ancien dealer du 9-3, revenu de Syrie et dont les héros sont tous ceux qui sont passés à l’action en France, notamment Rachid Kassim, recruteur de l’Etat islamique et inspirateur de plusieurs attentats en France. Abou affirme ne pas en vouloir aux Français, tout en appelant à les tuer. Pour le journaliste, la France risque d’être « submergée » : « Les autorités tâtonnent, expérimentent sans savoir comment gérer cette population potentiellement très dangereuse ». Comme les premiers, ces « déséquilibrés » (guillemets) ironisent sur les programmes de « déradicalisation » mis en place par nos autorités

    Mais il y en a encore d’autres…

    Ceux qui ne se sont évidemment pas confiés à un koufar de journaliste, et qui sont bien décidés à mettre en application les techniques de meurtres de masse apprises, grandeur nature, sur le terrain, en Iraq ou en Syrie. Ceux-là passent totalement inaperçus des écrans radar de nos services de protection, bénéficiant largement de l’afflux de clandestins sur notre territoire. Ils y forment des réseaux dormants, apparemment bien intégrés à notre société, comme l’étaient d’ailleurs tous les islamo-terroristes qui ont fait preuve de leur savoir-faire en 2015. Ce sont, très vraisemblablement, les auteurs des prochains attentats.

    Source et Voir les tweets 

  • "GUERILLA" de Laurent Obertone - par Pierre-Yves Rougeyron