Le 12 janvier 2023, à 20 h, en gare de Nancy, elle a subi les assauts d’un Tunisien de 41 ans alors qu’elle attendait son train, assise sur un banc. L’agresseur lui a d’abord touché les cheveux puis caressé les épaules, obligeant la victime à se lever précipitamment et à rejoindre un wagon. « Il m’a suivie et est monté dans le wagon », raconte la jeune femme. « Il voulait porter ma valise et a appuyé fort sur ma main… Un couple est intervenu et a appelé la police qui l’a localisé dans le train et l’a arrêté. Un agent SNCF m’a accompagnée durant toute la durée du trajet. »
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Nancy (54) : prison avec sursis pour l’agresseur sexuel en série tunisien. Il avait déjà été condamné pour le même motif en juin dernier.
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Paris : Un Chinois tué à coups de poings dans un club de jeux. . Youcef B. aurait proféré des insultes racistes anti-asiatiques au moment de l’agression
28/01/24
Alors que la roulette tourne et que les cartes défilent, l’ambiance se tend à l’une des tables. Youcef B., alors âgé de 29 ans, est dans un état d’ivresse avancé. La perte de son argent au gré des parties génère de l’énervement chez cet homme déjà connu des services de police. Autour de lui, plusieurs joueurs appartenant à la communauté chinoise sont présents. L’un d’eux connaît très bien les lieux : il est rabatteur pour le cercle de jeux. À l’inverse de son voisin, il n’a pas consommé d’alcool.
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Pfastatt (68) : Badis Aouadj condamné à 12 ans de prison pour le viol d’une octogénaire atteinte de la maladie d’Alzheimer. « Je lui donnais 15-20 ans de moins »
Jugé pendant deux jours pour le viol d’une dame de 85 ans atteinte de la maladie d’Alzheimer, en décembre 2021 à Pfastatt, Badis Aouadj a été condamné ce mardi 23 janvier, malgré ses dénégations, à douze ans de réclusion par la cour criminelle du Haut-Rhin.
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Brest (29) : il sort d’un fourré et agresse sexuellement une étudiante de 21 ans… ce migrant, déjà bien connu des services, écope de deux ans de prison et d’une interdiction de territoire pour agression sexuelle en récidive
Ce 23 janvier 2024, la police est appelée à se rendre rue Lanredec où vient d’avoir lieu une agression sexuelle. En arrivant sur place, les forces de l’ordre trouvent une jeune fille en pleurs et un individu retenu par des passants.
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Vive la baston, Vive l’UE !
L’UE c’est la paix dit-on en haut lieu. Et si c’était le contraire ? L’UE participe activement à une guerre où elle fait semblant de ne pas s’engager réellement, tout en voulant absolument la gagner. Le cul entre deux chaises, en guerre avec enjeu prétendument vital et pas en guerre à la fois, c’est risquer de tomber lourdement et d’entraîner l’Europe vers le pire. Mais cette fois-ci, le pire n’est pas sûr car l’Europe n’est plus seule, comme autrefois. Elle est encadrée.
Vieille obsession des élites occidentales, européennes principalement : soumettre la Russie, ou tout au moins l’aligner sur les normes occidentales religieuses, sociétales, démocratiques…
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Rennes. Les dealers du Blosne « informés » de l’opération policière (finalement annulée) ?
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Hauts-de-Seine : trois hommes, dont un ancien contractuel, jugés pour avoir détourné 400 000 euros de subventions du conseil départemental. L’argent était versé sur le compte de sociétés turques et allemandes
L’argent était destiné à des associations qui œuvrent pour l’hébergement social de personnes en situation de handicap. Il a finalement atterri sur les comptes d’obscurs de sociétés de travaux et de rénovation. Entre le 10 et le 23 mai 2023, près de 400 000 euros ont ainsi été détournés des comptes du conseil départemental des Hauts-de-Seine. Une escroquerie pour lequel Hasnain H., un ex-contractuel du Département était jugé, ce vendredi 26 janvier, par la 15e chambre du tribunal correctionnel de Nanterre. Sur les 412 375 euros détournés, le Département a déjà récupéré 298 000 euros et ne désespère pas de mettre la main sur le quart restant.
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Procès Beltrame : l’enquête montre que le « parrain » de la cité du terroriste était en relation étroite avec le délégué du préfet de l’Aude, qui le renseignait sur des opérations policières en échange que celui-ci ramène « le calme avec les jeunes » (MàJ
22/01/24
Au procès des attentats de Trèbes et Carcassonne : le parrain, la fiancée du djihad… et le délégué du préfet
En 2018, elle était la fiancée du terroriste de Trèbes : Marine P., avec six autres personnes, est jugée depuis ce 22 janvier et jusqu’au 23 février pour « association de malfaiteurs terroristes ». Parmi eux, l’ancien « parrain » de la cité Ozanam de Carcassonne (Aude). L’enquête montre que ce trafiquant de drogue était en relation étroite avec le délégué du préfet de l’Aude pour garantir l’ordre.
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Villejuif (94) : une jeune femme de 20 ans ligotée et violée à son domicile (MàJ : né au Congo et malgré des condamnations pour viol et agression sexuelle quand il était encore mineur, le suspect a été naturalisé Français )
Francois pour Fdesouche
Jeune femme ligotée et violée à son domicile de Villejuif, le 18 janvier dernier.
Voici les information communiquées par le parquet de Créteil sur les antécédents judiciaires du principal suspect: Il a été condamné en tant que mineur: à 2 ans de prison pour viol incestueux sur mineur de 15 ans commis en 2011. À 8 mois de prison pour agression sexuelle et extorsion commis en décembre 2015. Puis condamné en tant que majeur à deux reprises pour ne pas avoir déclaré son changement d’adresse alors qu’il est enregistré au fichier des auteurs d’infractions sexuelles ou violentes, durant l’année 2023.
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« Nous vivons un enfer » : à Échirolles (38), l’appel au secours des habitants d’un immeuble squatté par des dealers, dont beaucoup sont visés par des OQTF. « Si on dit quelque chose, ils nous brûlent notre logement »
Les habitants et les propriétaires d’un immeuble du centre-ville d’Echirolles, commune limitrophe de Grenoble, ont lancé une pétition pour que l’Etat leur vienne en aide. Désemparés, ils vivent “la boule au ventre” dans leur résidence, squattée par des dealers. Ils tentent de limiter les dégradations et de sécuriser ce qu’ils peuvent.
(…)
“Nous vivons un enfer”. “L’immeuble entier est réquisitionné par des jeunes dealers qui font régner la loi et la terreur du rez-de-chaussée au dernier étage. (…) Ils détruisent notre bâtiment, squattent nos appartements et nos boîtes aux lettres. Si on dit quelque chose, ils nous brûlent notre logement. Nous n’avons plus les moyens de nous reloger et la plupart des propriétaires n’ont plus les moyens de payer leurs charges. Attention, ils sont extrêmement dangereux et ils possèdent des armes à feu !”, écrivent-ils dans cet appel au secours.