
L'adolescent, poignardé vendredi soir en sortant de son entraînement de foot par deux mineurs de 16 et 17 ans qui voulaient lui voler son téléphone portable, a désormais un prénom, Élias. Et presque un visage, tellement l'opinion, sidérée, voit dans cette nouvelle jeune victime, sacrifiée sur l'autel de la démagogie d'un État impuissant, un fils, un petit-fils, un ami, un élève. Après les Thomas, Enzo, Hugo, Philippine et tant d'autres, voici donc Élias.





