Depuis le jeudi 31 août, la quasi-totalité des médias et une multitude d’associations n’ont de cesse de s’indigner de l’assassinat d’une policière, mère de quatre enfants, massacrée par son ex-compagnon à coups de machette devant son petit garçon de trois ans.
Rarement, par le passé, l’assassinat d’une policière aura à ce point ému le quatrième pouvoir (les médias) quand les victimes étaient tuées alors qu’elles étaient simplement « en service »… Mais il est vrai que ce tragique fait divers survenu en Savoie est surtout prétexte à dénoncer les violences conjugales : les violences sociétales, criminelles ou religieuses, elles, ne semblant pas justifier la même indignation de la part des autoproclamés détenteurs de la vérité.