
Si la gauche pense que l'immigration clandestine est un pseudo-problème, les derniers jours ont clairement démontré que les conditions à la frontière sud sont infernales.
Vendredi dernier, un petit groupe de migrants aux abords de Hajdújárás, à la frontière avec Ásotthalom en Hongrie, marchait de l'autoroute vers la zone boisée du lac Tőzeg à Palic, lorsqu'ils ont lancé trois grenades à main sur une maison familiale, dont les deux premières ont explosé.








