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insécurité - Page 519

  • En marche vers le meilleur des mondes

    caspar-david-friedrich.jpgNous rappelions le 5 avril dernier le sort  indigne réservé à Julian Assange et les risques pesant sur lui,  amplifiés depuis par  les ennuis judiciaires  et le départ de la présidence de  l’Equateur de Rafael Correa  (dans le viseur de Washington). Le fondateur de  Wikileaks a été arrêté hier à Londres où il avait trouvé asile depuis 2012 au sein de l’ambassade d’Equateur.  Il doit désormais tenter d’échapper à son extradition vers les Etats-Unis. L‘Europe libre, courageuse,  souveraine et respectueuse des droits de l’homme dans toute sa splendeur… De lâcheté, de soumission, il était encore question fin mars  avec les manœuvres contre la représentation d’une pièce d’Eschyle,  Les suppliantes,  à la Sorbonne. Pierre Jourde, écrivain, universitaire et homme de gauche (mais un homme qui aime Julien Gracq, Borges et Tolkien ne peut pas être foncièrement mauvais!) a bien résumé dans une tribune publiée sur son blogue et reprise par l‘Obs,  le malaise des progressistes devant la montée en puissance des communautarismes qu’ils soient  religieux ou comme ici ethniques et raciaux.

    «Un petit groupe de nervis écrivait M. Jourde,  fait irruption dans une université et, par la force, fait interdire la représentation d’une pièce de l’antiquité grecque. Berlin 1934 ? Pékin 1966 ? Pas du tout, Paris, 2019. On en est là (…). L’UNEF et le CRAN (Conseil représentatif des institutions noires de France de Louis Georges Tin, NDLR),  ont réussi à empêcher, par la force, la représentation d’une pièce d’Eschyle à la Sorbonne, au prétexte que les acteurs se mettaient du noir sur le visage. Et donc, c’est, forcément, du racisme et du blackface. On voit l’intelligence du raisonnement. Mais ne nous y trompons pas : nous entrons dans une ère où ces groupuscules de fanatiques et d’imbéciles incultes feront sans cesse pression sur l’art et la culture, au nom d’un antiracisme qui est devenu le slogan creux de toutes les pressions et de toutes les interdictions, et surtout le prétexte à des organisations ultra-minoritaires pour faire leur publicité et imposer leur petit pouvoir. Honte à une organisation d’étudiants comme l’UNEF, qui se déconsidère en s’opposant à la littérature et à la culture.»

    Le CRAN  affirme Pierre Jourde, « ridiculise et déconsidère le combat antiraciste», «s’est plusieurs fois signalé par son opposition à la culture. En militant par exemple contre une épreuve de culture générale aux concours administratifs, au motif que cela défavoriserait les Noirs». «Le CRAN, c’est moins la lutte pour les Noirs que la lutte pour l’obscurantisme.» «J’attends de gens comme Michel Wievorka ou Pap Ndiaye, censés être des intellectuels, et qui siègent ou ont siégé dans les instances du CRAN, qu’ils se désolidarisent publiquement de ce groupe spécialisé dans le terrorisme intellectuel. Mais je crains de devoir attendre longtemps» ajoute-t-il,  avant  de régler leur compte au passage aux harceleurs et Tartufe  Tariq Ramadan  et Yacine Belattar, aux  Rokhaya Diallo et autres  Indigènes  de la république , aux cultureux de gauche qui soutiennent encore le  criminel de droit commun Battisti

    Ce CRAN, dont nous avons déjà pointé ici les délirantes exigences mémorielles et culpabilisatrices , officine financée notamment par les philantropes yankees de la banque JP Morgan, n’en rate effectivement pas une. Leur bêtise prêterait même à rire si  celle-ci n’était pas en fait  si dangereuse.   Une nouvelle illustration en a été apportée par un communiqué  en date du 5 avril  dans lequel il est rapporté que  «dans le couloir qui mène à l’hémicycle (de  l’Assemblée nationale)  il y a bel et bien une fresque reprenant l’imagerie coloniale et le style de Tintin au Congo. » Une découverte stupéfiante  qui a été faite  par Mame-Fatou Diang,  «une lanceuse d’alerte» , à l’origine d’ une pétition pour que l’objet du délit   soit éradiqué. Cette représentation dépeint « l’Histoire de l’Assemblée Nationale  sur plus de 40 mètres, et une partie de l’œuvre représente l’abolition de l’esclavage sur près de 10 mètres. Deux visages noirs apparaissent, yeux écarquillés, lèvres énormes, dans la  grande  tradition de  Ya Bon Banania ».« L’œuvre a été peinte en 1991, par Hervé di Rosa», certes progressiste et antiraciste  mais  «  que répondre aux nombreux élèves confrontées à l’imaginaire colonial quand ils visitent ce lieu ? (…) du point de vue de la réception, l’effet est calamiteux. Des noirs esclaves libérés, présentés avec les codes ordinairement utilisés par l’imaginaire colonial ne sauraient trouver leur place à l’Assemblée Nationale.»

    Une question ethnique qui hante aussi , de manière différente, « le premier député issu de l’immigration comorienne », Saïd Ahamada, élus des quartiers Nord de Marseille,  militant anti FN, ancien  d’EELV, du Modem, qui a rejoint le parti macroniste (il est porte-parole de LREM à l’Assemblée)  pour se faire élire. Dans le cadre de la «synthèse du Grand débat national​ organisé dans les quartiers prioritaires»  rapportait 20 minutes, M. Ahmada  a expliqué que malgré les sommes astronomiques ponctionnées  aux Français ces dernières décennies, les quartiers pluriels  du vivre-ensemble manquaient  de tout.  Leurs habitants ont   la sensation d’être des « Français de seconde classe », il faudrait donc  encore intensifier les efforts financiers. .«Dans un territoire sans service public,  dit-il, il y a une forme d’entre soi, et c’est eux-mêmes (les résidents de ces quartiers, NDLR)  qui se créent leurs propres règles. Ces territoires ont besoin de l’Etat, de services publics, pour être insérés dans la société. C’est aussi pour cela que des mères de famille demandent des têtes blondes dans les écoles. »

    C’est surtout  parce que ces quartiers sont de moins en moins Français,  que   les têtes blondes, quand elles en ont les moyens et la possibilité, fuient vers des endroits  où les  familles françaises sont encore majoritaires.  Toutes choses que ce député LREM ne peut ignorerIl devrait savoir aussi que c’est la poursuite des flux migratoires à haut débit, le maintien des pompes aspirantes de l’immigration,  qui rendent  le problème insoluble. Entre 1989 et 2012, 90 milliards d’euros ont été engloutis pour le seul volet de la  politique immigrationniste,  dite de la ville,  avec des résultats désastreux: une hausse constante de l’insécurité, du chômage, des trafics ,de l’idéologie salafiste et/ou de son hybridation islamo-racailleuse anti-française. Xavier Raufer le notait déjà en 2010: «la politique de la ville telle qu’elle est conçue aujourd’hui (association de l’idéologie et de la bureaucratie), ne peut qu’échouer du fait même qu’elle constitue le désolant fantôme, l’affreux remake de l’agriculture soviétique (…) Nul, droite ou gauche, n’a jamais fait qu’ajouter couche sur couche à ce ruineux millefeuille bureaucratique, nuisible à l’objet même de ladite politique : paix sociale, tranquillité des habitants, retour des emplois. »

    Lâcheté, démission et soumission, encore et toujours, de nos dirigeants, illustrées  dans le dernier livre de Christian Chesnot et Georges MalbrunotQatar Papers. Une  nouvelle enquête  révélant des documents confidentiels  sur les menées prosélytes  du Qatar en France et en  Europe pour enraciner, via Qatar Charity, la plus puissante ONG de l’émirat (très introduite au sein des institutions  des Nations unies) ,  le mouvement des Frères musulmans, notamment dans les quartiers prioritaires décrits plus haut.

    Si l’organisation des  Frères musulmans  est classée depuis 2003 en Russie comme organisation terroriste, le livre de MM. Chesnot et Malbrunot,  dévoile implicitement l’angélisme, le clientélisme ou le choix délibéré  de la classe politicienne de fermer les yeux  devant cette offensive idéologique. Celle-ci prend entre autre   la forme du financement de 140 projets de constructions de madrasas (écoles coraniques), mosquées et autres centres culturels et  éducatifs, d’aides à des associations  mahométanes…

    Est-ce  en s’appuyant sur ses autres philantropes là que les partis du Système entendent maintenir la paix civileUne colonisation des esprits et des âmes, répétons-le, rendue possible par la colonisation démographique, laquelle permet aussi, hélas, dans un autre registre, les délires  communautaristes-racialistes contre l’autochtone gaulois sommé de se soumettre, de baisser la tête…et de faire de la place. Voilà le résultat de cinquante  ans de masochisme européen, d’effondrement spirituel, culturel.  Voilà le résultat de quarante ans d’immigration massive au nom du    progressisme droite-gauche,  du vivre-ensemble, de la tolérance,  de l’apologie des sociétés ouvertes. Comment Emmanuel Macron, Angela Merkel, Theresa May ou Jean-Claude Juncker expliqueront-ils demain cette situation à leurs enfants et petits-enfants? Ah oui, c’est vrai, ils n’en ont pas…

    https://gollnisch.com/2019/04/12/en-marche-vers-le-meilleur-des-mondes/

  • Vandalisme contre l’ISSEP de Marion Maréchal, où sont les médias ?

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    La France médiatique trouve souvent à redire quand il s’agit de régimes qu’elle n’apprécie pas, ou encore de démocraties dites illibérales au sujet de la liberté de la presse. Par contre quand on vandalise un Institut d’études supérieures à Lyon il n’y a plus grand-monde.
    Les faits

    Dans la nuit du 26 au 27 mars 2019, des agitateurs d’ultra gauche se revendiquant des black-blocs ont vandalisé un Institut d’Études supérieures reconnu par l’État, l’ISSEP, dans le quartier confluence de Lyon. Cet acte nocturne a été revendiqué sur les réseaux sociaux par un « groupe antifasciste » qui y tient librement page sans être inquiété, comme tous les groupes black-blocs de France et de Navarre, près de deux semaines après les faits, et sans qu’une quelconque Commission de lutte contre les violences d’ultra gauche ait vu le jour, contrairement à celles d’ultra droite, à l’Assemblée nationale. Ces individus se sont d’ailleurs filmés en train de perpétrer leur attentat.

    L’ISSEP, ou Institut de Sciences Sociales Économiques et Politiques est réputé pour être « l’école de Marion Maréchal » dans les médias. Ceci explique-t-il la façon dont ils ont traité cet acte de violence mené par un groupuscule d’ultra gauche à l’encontre d’un lieu d’enseignement et de savoir, sur le territoire de la République ? Cela ne paraît guère douteux. Que l’on en juge : les rares médias qui ont évoqué les faits se sont contentés de reprendre les termes d’une information d’abord publiée sur le site du Figaro, et ont veillé à demeurer dans le pur factuel, sans condamner l’acte,ce qui est une façon déguisée de ne rien dire. Une réaction très éloignée de ce qui aurait eu lieu si un institut d’enseignement, reconnu officiellement par l’État, insistons sur ce point, avait été ainsi attaqué par un groupuscule appartenant à d’autres courants extrémistes de la vie politique française. Difficile de ne pas voir un deux poids deux mesures dans le silence assourdissant de l’immense majorité des chaînes de télévision et stations de radios d’État.

    Qui en a parlé et comment ?

    Le Figaro, Franceinfo, avec un article qui est exemplaire de la façon dont un média officiel peut ne pas parler du sujet dont… il parle.

    L’AFP en fin de journée de 27 mars, une agence informée par… Le Figaro (le monde de la presse à l’envers), Le Parisien, Libération, L’express Cnews, quelques médias locaux.

    En apparence, cela peut ressembler à une bonne couverture médiatique. Ce n’est en réalité par le cas. La question n’étant pas seulement qui en a parlé, quoique (où sont Le Monde, France Inter…), mais plutôt comment : reprendre de façon aussi discrète une telle information, la plupart du temps en dans une rubrique faits divers, sans interpeller plus avant sur la gravité des faits peut laisser pantois tout observateur soucieux de la pluralité d’opinions comme d’information . Les médias qui se fendent d’une brève recopient l’AFP qui… recopie Le Figaro.

    Notons que Valeurs Actuelles, TV Libertés et le quotidien Présent ont réagi à la violence perpétrée contre l’ISSEP en la condamnant.

    Délit d’opinion et délit de voies de fait sont traités différemment

    Pour qui douterait que les conceptions politiques ne sont pas traitées de la même façon en France, il est intéressant de remarquer la réaction médiatique massive, et gouvernementale rapide quant à l’action menée par Génération identitaire sur le toit de la CAF de Seine Saint-Denis, département où la population est majoritairement issue de l’immigration et où 14 % des femmes qui accouchent sont excisées. Dans ce cas, le premier ministre a indiqué qu’il étudiait les possibilités de dissoudre Génération identitaire. Notons que cette organisation n’a mené aucun acte de violence, ni aucune dégradation, ce qui est du reste la marque de fabrique de ses actions politiques. Il s’agit donc de la mise en œuvre d’un délit d’opinion au sein de la République, le seul fait qui peut leur être reproché, sauf mauvaise foi, est d’avoir demandé de l’argent pour les Français et non pour les étrangers, ainsi que l’indiquait leur banderole. La majorité des personnes touchant de l’argent de la CAF dans ce département où la majorité de la population est issue de l’immigration, cette revendication tient de l’opinion, une opinion dont l’illégalité demeure à démontrer. Reste que 19 militants de Génération identitaire, délogés par la police, seront jugés pour entrave à la liberté du travail, encourant des peines de 3 ans de prison et 45 000 euros d’amende.

    En France, en 2019, la liberté d’expression a donc un coût. Ce qui n’est pas le cas de la violence politique. Tout dépend du bord politique auquel les uns et les autres sont censés appartenir.

    Médias et politiques du politiquement corrects se plaignent souvent d’être mis dans la même case, voire d’être accusés de collusion. Que dire dans ce cas ? Non seulement la majorité des médias taisent un acte d’une extrême gravité, contre l’ISSEP, aucun n’appelant par exemple à la dissolution de ce genre d’organisation gauchiste paramilitaire et violente, mais le silence règne de même dans la classe politique. Dans le même temps, tout le monde se précipite contre Génération identitaire. Qu’un institut d’enseignement supérieur soit attaqué et, dans toute démocratie digne de ce nom, un membre du gouvernement ou le premier ministre serait monté au créneau pour défendre la liberté d’enseigner et d’apprendre. Ou alors les médias se seraient indignés d’un tel silence.

    Article paru le site de l’OJIM daté du 9 avril 2019

    https://fr.novopress.info/

  • La persécution politique de Génération Identitaire continue !

  • On a les gauchistes les plus cons du monde, mais aussi les plus nuisibles

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    Riposte laïque cliquez ici

    On a souvent dit que la France avait la droite la plus bête du monde. Ce n’est pas faux, car il faut être sacrément crétin pour être tombé, comme l’ensemble des chefs de cette mouvance, depuis les années 1985, dans le piège que lui a tendu avec machiavélisme François Mitterrand. Ce vieux renard politicien a réussi à interdire à la droite de faire des alliances avec le Front national, tout en s’autorisant tous les accords avec le PCF et l’extrême gauche trotskiste. Résultat, bien que largement minoritaire, la gauche a gagné nombre d’élections qu’elle aurait dû perdre.

    Dans un autre registre de stupidité, on a assisté à la première confrontation entre les douze têtes de listes aux Européennes. Et on a écouté Raphaël Glucksmann, que les socialauds ont mis en tête pour mieux dissimuler leur naufrage, l’écolo Yannick Jadot, l’Insoumise Manon Aubry, le coco Ian Brossat et Benoit Hamon, de Génération.s (défense de rigoler). C’était grotesque. Ces charlots étaient d’accord sur l’essentiel : urgence de la transition écologique, obligation de continuer la submersion migratoire, soumission à l’islam, négation de toute question identitaire, nécessité de rester dans l’Union européenne, pour la changer de l’intérieur.

    Il n’ont même pas réussi à voler dans les plumes de Nathalie Loiseau, car, à part la question sociale, qui leur sert à se différencier de Macron, ils sont d’accord avec lui sur ces questions essentielles. Ils avaient tout ce qu’il fallait pour faire une liste commune, qui s’appuyant sur l’impopularité de l’équipe présidentielle, aurait pu réussir un bon score.

    Mais ils ont choisi de jouer chacun leur partition, pour pouvoir exister. Les réveils vont être douloureux, quand on sait qu’il faut atteindre 3 % des voix pour être remboursé, et 5 % pour avoir des élus, qui donnent des moyens organisationnels (autrement dit des sous) aux postulants. Sans risque de grosse erreur, on peut considérer que Brossat va rester à 1 %, ce ne sont pas les stupidités qu’il a racontées sur les avions qu’il convient de réserver aux seuls riches qui vont l’aider. Benoît Hamon, que nous avions surnommé Bilal pour sa course au vote musulman, aura également bien du mal à atteindre les 3 %, et comme il n’intéresse pas grand monde, son avenir politique est assombri, il va peut-être devoir travailler pour la première fois de sa vie, à 51 ans, et ne pas vivre que de la politique…

    Reste Glucksmann, cache-sexe du PS moribond. Pour lui aussi, le réveil va être difficile, et s’il va dépasser les 3 %, la barre des 5 % est loin d’être garantie. Il n’est pas certain que ces grandiloquentes déclarations d’amour à l’Europe ne soient très payantes.

    Les Insoumis, avec la médiocre caricature haineuse Manon Aubry, seront bien sûr fort éloignés des scores que seule la personnalité de Mélenchon leur permettait d’atteindre aux Européennes. Tel que cela est parti, ils risquent de plafonner à 7 %, ce qui leur permettra quand même d’envoyer à Bruxelles tous les tocards qu’ils n’ont pas réussi à faire élire au Palais Bourbon, et d’avoir quelques moyens supplémentaires.

    Quant aux écolos, avec toute la propagande faite sur l’urgence climatique, il devrait se trouver les habituels crétins qui, à l’occasion des Européennes, se disent qu’effectivement, il faut qu’on défende la planète, et donc que le vote écolo s’impose. Bien que discrédités nationalement, ils sont bien capables d’atteindre les 10 %, ces imposteurs !

    Mais la nuisance de la mouvance gauchiste s’exerce dans nombre d’autres secteurs, bien plus importants que les élections. Elle s’exerce d’abord dans la rue, où les Antifas et les Black Blocs sont les véritables milices du régime, interdisant d’expression la mouvance patriote, qu’elle peut agresser avec une totale impunité. À notre connaissance, ceux qui ont frappé à dix contre un le journaliste Vincent Lapierre à Toulouse, bien que connus, n’ont pas encore été arrêtés. Pas davantage ceux qui ont essayé de vandaliser la Nouvelle Librairie, dans le Quartier Latin. Ces milices ont été indispensables à Macron-Castaner pour pourrir de l’intérieur, sur Paris essentiellement, le mouvement des Gilets jaunes. Travail complété par l’infiltration de gauche et d’extrême gauche, qui ont noyauté le mouvement, l’enfermant dans les seules revendications sociales, et y interdisant toute allusion sur l’immigration (qui coûte très cher aux Gilets jaunes) et sur l’identité.

    Naturellement, l’agitation entretenue contre ce qu’ils appellent l’extrême droite, en fait la mouvance patriote et identitaire, seule opposante sérieuse à Macron et au mondialisme, fait le jeu du pouvoir. C’est dans ce contexte qu’il faut comprendre la grotesque commission Ressiguier, contre « les violences commises par l’extrême droite », et la volonté affichée de Génération Identitaire, qui n’a jamais exercé la moindre violence contre des policiers, des migrants ou des gauchistes. Ce régime, aidé par les gauchistes, ne cache plus sa volonté de briser par tous les moyens la dissidence patriote, par des dissolutions ou la censure opérée sur les réseaux sociaux. Nous ignorons, à l’heure où nous écrivons ces lignes, si Pierre Cassen et Christine Tasin seront auditionnés par leur grande amie Muriel Ressiguier, qui paraît vouloir imposer le huis-clos pour ces interrogatoires… Mais nous savons que l’un comme l’autre devront encore consacrer du temps à se défendre devant les tribunaux, sans savoir s’ils ne vont pas tomber sur des juges « Mur des Cons ».

    La nuisance gauchiste s’exerce également dans tous les domaines de la société, où leur travail de déconstruction quotidien sape la France depuis cinquante ans : la magistrature, les médias, l’école, l’université, la Culture. Naturellement, elle est l’alliée naturelle des islamistes, contre qui elle n’a jamais un mot. Cela s’appelle l’islamo-gauchisme.

    C’est une véritable cinquième colonne, au cœur de l’appareil d’État, qui constitue un véritable contre-pouvoir à tout gouvernement légitiment élu. Et cela dans tous les pays occidentaux, Donald Trump y étant confronté quotidiennement depuis deux ans.

    S’il arrivait au pouvoir en France, comme cela s’est fait en Italie et dans les pays de l’Est de l’Europe, il devrait se donner des moyens exceptionnels, en s’appuyant sur le peuple, pour briser, par la force s’il le faut, ce cancer qui exerce sa capacité de nuisance contre le peuple français, au service du mondialisme, du Grand Remplacement, du changement de civilisation et de l’islamisation de notre pays.

    Un passage obligatoire.

    Avant la Reconquête du pays, qui passera par l’éradication de la cinquième colonne islamiste, il faudra en finir avec le cancer gauchiste.

  • Grand débat : Macron, Blanquer et Castaner chutent dans les sondages

    Macron-Castaner.pngLe président et ses ministres semblent payer la mauvaise gestion du Grand débat national. 
    En avril, le gouvernement n’a pas la cote. Un sondage Ifop pour Paris Match et Sud Radio indique une nette baisse de sympathie pour Emmanuel Macron et certains de ses ministres, très exposés ces derniers temps.
    C’est Jean-Michel Blanquer qui perd le plus de terrain, et semble payer sa réforme sur l’école qui passe mal chez les enseignants. Crédité de 29% d’opinions favorables, le ministre de l’Education nationale perd neuf points par rapport au précédent sondage. Derrière lui, Emmanuel Macron lâche cinq points et culmine à 34% d’opinions favorables. La conséquence directe d’une mauvaise gestion du Grand débat national, malgré une hausse de sympathie à droite (+2). Les ministres François de Rugy, Marlène Schiappa et Christophe Castaner sont également sanctionnés dans ce sondage, perdant respectivement cinq, quatre et trois points. Au sein du gouvernement, seuls les ministres issus de la droite Edouard Philippe (46%, +2), Bruno Le Maire (43%, +3) et Gérald Darmanin (31%, +1) se maintiennent à flots.
    [...] 
    En savoir plus sur valeursactuelles.com 

  • Les vrais responsables des morts en Méditerranée, ce sont bien les passeurs, mais avec eux les ONG et certains gouvernements européens

    Les vrais responsables des morts en Méditerranée, ce sont bien les passeurs, mais avec eux les ONG et certains gouvernements européens

    Lu dans Les 4 Vérités :

  • Gilets jaunes : la vie d’après des éborgnés

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    Ces gilets jaunes ont perdu l’usage d’un oeil en manifestation, des blessures qui se sont retrouvées au coeur des accusations de violences policières depuis novembre.

    Alors que le ministre de l’Intérieur Christophe Castaner recensait le 4 avril 209 enquêtes portant sur des soupçons de violences commises par les forces de l’ordre, cinq manifestants racontent la blessure et ses séquelles.

    https://fr.novopress.info/

  • Délinquants étrangers : faut-il n’accuser que la xénophobie ?

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    Il y a deux mois de cela, dans l’excellent Politique Magazine, je vous entretenais de la question des délinquants étrangers qui peuplent nos prisons et dont nous ne parvenons pas à nous débarrasser, une fois leur peine effectuée. 

    Il se trouve que l’actualité nous offre un cas d’école, une illustration particulièrement atroce de mon propos, que je me sens tenu de partager avec vous, car il est des choses qu’il est de notre devoir de porter à la connaissance de nos compatriotes, par tous les moyens dont nous pouvons disposer, si modestes soient-ils.

    La cours d’assises de Seine-Maritime juge en ce moment Jean-Claude Nsengumukiza, pour un double meurtre « accompagné ou suivi d’un viol en récidive ».

    Rappelons les faits : Dans la nuit du 19 au 20 décembre 2015, Elise Fauvel, 24 ans, et Julien Tesquet, 31 ans, sortent d’une soirée entre amis au bar rouennais le XXL. Il est environ 4h du matin et la soirée a certainement été très arrosée car Julien Tesquet est ivre et titube dans rue. Voyant son état, Elise décide de le raccompagner chez lui. En chemin, les deux jeunes gens croisent la route de Jean-Claude Nsengumukiza, qui propose à Elise de l’aider. Elle accepte. La caméra d’un restaurant, situé juste à côté, les filme tous les trois rentrant dans le hall d’immeuble d’Élise Fauvel, à 4 h 21.

    Le lendemain, en fin d’après-midi, les policiers, sollicités par un proche d’Élise, rentrent dans le studio de la jeune femme. Ils découvrent les cadavres d’Elise et Julien, disposées dans une sorte de mise en scène macabre : ils sont partiellement enlacés ; leurs visages sont recouverts d’une écharpe rose et leurs corps d’un drap blanc. La jeune femme est partiellement dénudée. Tous deux présentent de multiples traces de coups. L’autopsie effectuée révèle de nombreuses lésions sur le corps d’Élise Fauvel. Elle met également en évidence que les deux jeunes gens sont morts par strangulation et que la jeune femme a été violée.

    Comme même son avocate le reconnait, la culpabilité de Jean-Claude Nsengumukiza ne fait aucun doute. Son ADN a été retrouvé à de multiples endroits de l’appartement d’Elise et sur le corps de cette dernière, il a été identifié sur des images de vidéo surveillance, son téléphone a « borné » tout au long du parcours des jeunes gens.

    Inexpulsable avec quatorze identités différentes

    Qui est cet homme ? Sa nationalité n’a pas pu être déterminée avec certitude. Il est sans doute originaire du Rwanda, ou bien d’Ouganda. Ce que l’on sait, c’est qu’il est rentré illégalement en France en 2002, et qu’il a ensuite endossé pas moins de quatorze identités différentes pour pouvoir y rester. Jean-Claude Nsengumukiza n’est pas un idiot : durant près de quinze ans il a très bien su jouer avec les règles de l’administration française en exploitant leurs failles.

    Avec les règles de la justice aussi, puisqu’il a multiplié les condamnations durant son séjour en France. En 2011, il est condamné à huit ans de prison ferme pour avoir violé une femme, à Rouen. Il s’était introduit à son domicile par une fenêtre, après avoir escaladé la façade de son immeuble. En dépit de la gravité de son crime, en dépit de sa dangerosité certaine, en dépit de ses multiples condamnations passées, en dépit du fait qu’il est en situation irrégulière sur le territoire nationale, Jean-Claude Nsengumukiza bénéficie de remises de peine qui réduisent sa peine, déjà légère, à seulement six ans. En dépit du fait que la cour d’assises avait prononcé à son encontre une interdiction définitive du territoire, il est libéré en novembre 2015, sans aucune contrainte ni aucun suivi : l’incertitude sur sa nationalité empêche son expulsion.

    2015. Libéré en novembre, il récidive en décembre

    Le voici donc libre comme l’air. Et n’importe quelle personne ayant lu son dossier aurait dû comprendre que cela signifiait, inévitablement : libre de commettre de nouveaux méfaits. Un mois plus tard, il tuait Elise et Julien.

    Je pourrais m’arrêter là, car les faits parlent d’eux-mêmes : l’atrocité du crime, son caractère plus que prévisible, l’indifférence ordinaire de l’administration, lorsque personne n’est vraiment responsable de rien, l’absurdité meurtrière de certains pans de notre législation, qui amènent non seulement à garder sur notre sol des gens comme Jean-Claude Nsengumukiza mais aussi à leur laisser suffisamment de liberté pour qu’ils puissent massacrer des innocents…

    Je pourrais m’arrêter là, mais il se trouve que je lis, le même jour que le compte-rendu du procès de Jean-Claude Nsengumukiza, qu’une certaine personne a publiquement regretté « une mentalité xénophobe » dans les pays occidentaux confrontés à l’immigration. Elle a notamment appelé la jeunesse occidentale à

    « Ne pas se laisser enrôler dans les réseaux de ceux qui veulent les opposer à d’autres jeunes qui arrivent dans leurs pays, en les présentant comme des êtres dangereux

    Cette personne, dont la fonction éminente lui assure l’écoute, et même le respect, d’un grand nombre de gens de par le monde a ainsi montré, une nouvelle fois, son incapacité à saisir certaines réalités humaines élémentaires et fondamentales. Et aussi sa propension, qui semble malheureusement irrésistible, à tenir des propos irresponsables.

    Car ce sont des opinions semblables à celles professées par cet éminent personnage qui sont à l’origine des lois, ainsi que des mœurs judiciaires et administratives, qui ont permis à Jean-Claude Nsengumukiza de massacrer deux innocents. A savoir : l’idée que les frontières et les nations sont des créations arbitraires et néfastes, qui séparent indûment l’homme de l’homme et engendrent la plupart des maux dont souffre l’humanité. L’idée que nous devrions accueillir « l’autre » sans aucune réticence, et même avec reconnaissance, précisément parce qu’il est différent de nous, tout en nous aveuglant méthodiquement quant à la portée et à la profondeur de ces différences.

    En soutenant ces opinions, avec tout le poids que lui donne son magistère, cette personne les renforce, inévitablement, et tout aussi inévitablement les opinions finissent par se traduire par des actes. Et au bout de ces actes, il y a des conséquences.

    Il y a actuellement plus de 15 000 détenus étrangers dans les prisons françaises, soit un peu moins d’un quart des prisonniers. Encore ces chiffres ne prennent-ils pas en compte les binationaux, et pas davantage tous ceux que l’on pourrait appeler les Français de papier, et qui sont sans aucun doute fort nombreux dans nos prisons, car les mêmes principes qui nous poussent à accueillir « l’autre » sans réserve nous poussent aussi à distribuer les cartes d’identité française comme des pochettes surprises.

    Ils ne se considèrent pas comme Français

    Or, comme le reconnaissait récemment un haut magistrat : « Judiciairement parlant, je dois à la vérité de vous dire que je vois passer des « Français de souche », comme on dit, qui sont de parfaites ordures, mais que j’ai principalement affaire – à requérir puisque tel est mon métier – à des étrangers ou à des Français d’origine étrangère qui sont souvent issus du bassin méditerranéen. C’est un constat. J’irais même plus loin dans la description : nous, magistrats, sommes considérablement alimentés par des gens qui enfreignent plus ou moins gravement la loi française parce que, en réalité, ils ne se considèrent pas comme Français. » (Jean-Paul Garraud, avocat général près la cour d’appel de Poitiers. – L’Incorrect n°11 juillet/août 2018)

    Il est totalement inutile d’objecter que tous les étrangers et les Français de fraîche date ne sont pas des délinquants. Tout crime commis par un immigré « clandestin », comme Jean-Claude Nsengumukiza, devrait être considéré comme inacceptable, parce qu’il s’agit d’un crime « supplémentaire », qui n’aurait pas été commis si nos frontières avaient été correctement gardées et si la justice avait fait correctement son travail. Tout crime commis par un Français de papier, comme Chérif Chekatt, comme Mohammed Merah, comme les frères Kouachi, comme tant d’autres, devrait être considéré comme inacceptable, parce qu’il s’agit d’un crime qui n’aurait pas été commis si nous avions conservé une conception raisonnable de la nationalité.

    Il n’est pas au pouvoir de nos gouvernements de faire disparaître la faim dans le monde, ni la guerre, ni la misère, pas plus que la maladie et la mort. Il est en revanche en leur pouvoir, et il est de leur devoir, de préserver l’intégrité du corps politique dont ils ont la charge et de garantir la sécurité des individus qui le composent.

    Un homme politique anglais a prophétisé, il y a désormais longtemps déjà, que l’immigration incontrôlée ferait un jour couler «des fleuves de sang » dans son pays. Comme chacun le sait, les grandes rivières qui vont se jeter dans les fleuves sont faites de petits ruisseaux, et les petits ruisseaux eux-mêmes sont constitués de petites gouttes, de destins individuels, comme celui d’Elise et Julien. Peut-être, au moment de mourir, Elise et Julien ont-ils eu le temps de regretter que nos gouvernants ne soient pas un peu plus « xénophobes », un peu plus tournés vers le bien réel de ceux qu’ils gouvernent, et un peu moins fascinés par un mirage « humaniste » aux conséquences inhumaines. 

    Aristide Renou

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • La réalité des violences policières

    Le Colonel de gendarmerie #MichaelDIMEO est attaqué par les syndicats policiers pour avoir dit la vérité sur les violences policières dans le documentaire de #BFMTV du 8 avril sur les images filmées le 1er décembre 2018 où on voit des CRS rouer de coups des manifestants alors qu’ils sont à terre et sans défense à l’intérieur du Burger King des Champs Elysées.
    Interrogé en regardant ces images, le Colonel de gendarmerie Michael DI MEO confirme qu’il s’agit de violences policières.
    Ce jour-là, il commandait un groupement de gendarmes mobiles, ce jour-là à Paris, il était sur le terrain et contredit le ministre de l’intérieur #CASTANER qui a nié l’existence de ces violences policières et a déclaré le 15 janvier 2019 « Je ne connais aucune policier, aucun gendarme, qui ait attaqué des gilets jaunes.
    Le Colonel Di Meo affirme le contraire, vidéo à l’appui et il risque d’être sanctionné par Castaner pour cela. 
    Cet officier supérieur qualifié par le général Bertrand Cavallier de "grand professionnel du maintien de l’ordre dans toutes ses dimensions – doctrinal, déontologique et tactique.
    Un colonel de gendarmerie dit haut et fort la vérité. 
    Cela ne plaît pas à la police, le secrétaire national de l'UNSA-Police, David Michaux déclare "nos amis de la gendarmerie auraient pu avoir la décence d'attendre la fin de l'enquête avant de nous mettre en cause, surtout de manière aussi directe", et que les propos de ce colonel "ne vont pas arranger les relations entre gendarmes et policiers". 
    Ce syndicat de police met en porte à faux le Colonel ii Méo et ne supporte pas qu’on dise la vérité sur les dérapages violents de la police. 
    Il rend responsable le colonel des mauvaises relations entre la gendarmerie et la police alors que le Colonel Di Méo a été interrogé en tant que spécialiste du maintien de l’ordre.
    La police utilise les syndicats pour attaquer un seul homme, gendarme, alors qu’ils savent parfaitement que la gendarmerie n’a pas le droit de répondre car elle n’a pas de syndicat.
    Ce sont des méthodes qui reviennent exactement à ce qu’on voit partout dans les manifestations, attaquer des gens honnêtes, sans qu’ils puissent avoir de défense.
    Le Colonel Di Méo ne pourra pas se défendre, il ne répondra pas, c’est un militaire, qui a de la dignité et de l’honneur, c’est un gendarme. 
    Il risque d’être sanctionné par la hiérarchie pour avoir dit la vérité sur les violences policières au lieu de couvrir celles-ci.
    En réalité, les gendarmes ne cautionnent pas les comportements violents injustifiés contre les manifestants et les chiffres démontrent que ce ne sont pas les gendarmes mais majoritairement les policiers qui sont mis en cause dans les violences contre les manifestants.
    Les chiffres fournis par le très sérieux magazine « L’essor de la gendarmerie » sont clairs :
    L’inspection générale de la Gendarmerie nationale (IGGN) a été saisie seulement 10 fois par des plaintes pour des violences contre des manifestants contre 199 fois pour l’Inspection générale de la Police nationale (IGPN), soit des pourcentages respectifs de 4,8 % pour la Gendarmerie et de 95,2 % pour la Police.
    La majorité saisines concernent l’utilisation par les forces de l’ordre du lanceur de balles de défense de 40 mm (LBD-40), soupçonné d’avoir provoqué des dizaines de blessures graves comme des éborgnements.
    Selon la sénatrice Jacqueline Eustache-Brinio, pour la période allant du 17 novembre 2018 au 5 février 2019, on a dénombré 13.460 tirs de LBD-40 recensés dans la Police . 
    De son côté, l’IGGN évaluait à “un millier’ les tirs de LBD par des gendarmes pour la même période. Soit 93 % pour la Police et de 7 % pour la Gendarmerie.
    La différence de mentalité entre police et gendarmerie éclate au grand jour et les policiers attaquent les gendarmes.
    A l’heure où les policiers de la BAC gazent des enfants sur un manège, et confient l’enquête sur l’attaque de Geneviève Legay à Nice par un CRS à la femme du commandant qui a donné l’ordre d’attaquer, on doit défendre les gendarmes qui disent la vérité et qui font preuve d’honneur et de droiture.
    J’appelle tous les #giletsjaunes et leurs soutiens à soutenir ce gendarme qui dit la vérité contre la police qui est majoritairement responsable des violences contre les manifestants.
    Également à ce que la gendarmerie soit chargée des enquêtes contre les policiers accusés de violences policières. 
    Nous ne faisons plus confiance à la police.

  • Quand le monde peul s’éveillera, le Sahel s’embrasera…, par Bernard Lugan

    Tel était le titre d’un article, hélas peut-être prémonitoire de l’Afrique Réelle datant d’août 2016.

    Comme les Kurdes, les Peul forment un peuple dispersé et sans Etat. Zébré par les frontières post-coloniales, l’espace peul s’étend sur tout l’ouest africain, courant de l’Atlantique sénégalais jusqu’à la région tchadienne et à la RCA.
    La question est de savoir si l’actuel cycle de massacres-représailles qui se déroule au Mali et au Burkina Faso, ne va pas finir par provoquer leur union, phénomène qui pourrait être soutenu à l’étranger par une diaspora dynamique, riche et instruite.
    Hommes de la vache et de la lance, les Peul vont-ils, à l’image des Tutsi du Rwanda, tenter de briser par les armes le système de l’ethno-mathématique électorale qui les soumet politiquement aux hommes de la houe et qui en fait les victimes de leurs armées ?
    Si tel était le cas, les conflits sahéliens prendraient alors une toute autre dimension. A l’image des cataclysmes du XIXe siècle, quand l’impérialisme peul s’abrita derrière le paravent du jihad.

    Une simplification extrême permet de distinguer les Peul sahéliens nomades et les Peul soudaniens vivant en noyaux semi sédentaires ou sédentaires parmi les peuples agriculteurs. Certains ont fondé des sociétés très structurées et hiérarchisées comme dans le Fouta Djalon guinéen, au Macina malien, dans le nord du Nigeria et au Cameroun.
    Aujourd’hui, les Peul se trouvent placés au cœur de plusieurs conflits hérités de l’histoire. Rallumés par le jihadisme et par la suicidaire démographie sahélienne dont la conséquence est la lutte pour les terres et les pâturages, ces affrontements font peser une menace supplémentaire sur la stabilité déjà fragile d’une vaste partie de l’Afrique.

    Dans le Mali central et dans le nord du Burkina Faso, les actuels évènements opposant Peul et Dogon ne sont pas une nouveauté. Ils sont tout au contraire la résurgence des conflits liés aux conquêtes peul de la fin de la période précoloniale. Or, les principales résistances à cette expansion furent celles des Bambara et des Dogon. Mise entre parenthèses durant la période coloniale, l’opposition entre ces peuples ressurgit avec force aujourd’hui.

    Le 26 mars dernier, les journalistes de France 24, qui est, rappelons-le, la chaîne officielle française émettant vers l’Afrique, ont osé produire une émission dont le titre est « Massacre de Peul au Mali : les exactions n’ont pas une origine ethnique » !!! Que sont-ils donc alors ? Des vengeances de maris cocus ou des querelles de supporters de football ?
    L’on ne peut qu’être atterré par l’aveuglement doublé d’incompétence de ces journalistes qui, paralysés par leur idéologie universaliste niant les identités et les enracinements, s’interdisent de nommer la réalité.

    En plus du Macina, la situation sécuritaire est de plus en plus préoccupante dans le nord du Mali où les routes sont minées par les GAT (Groupes armés terroristes) et où les garnisons sont attaquées. Ces dernières constituent des cibles d’autant plus tentantes que les soldats maliens se débandent devant des assaillants inférieurs en nombre, avant de leur abandonner l’armement flambant neuf généreusement offert par la « communauté internationale »…

    Bernard Lugan

    Texte repris du siteBlog de Bernard Lugan

    https://fr.novopress.info/214218/quand-le-monde-peul-seveillera-le-sahel-sembrasera-par-bernard-lugan/