Déjà frappé par plusieurs incendies de faible ampleur au mois de mars dernier, le camp de « réfugiés » de Moria, qui, avec ses quelque 12 700 clandestins, est le plus grand de l’île de Lesbos et de Grèce, a cette fois été entièrement ravagé par les flammes mercredi matin. Selon les premiers éléments de l’enquête, ce nouvel incendie aurait été déclenché par plusieurs dizaines de migrants qui, refusant de se plier aux mesures d’isolation destinées à les empêcher de propager le Covid-19, se seraient révoltés.
En colère contre des mesures sanitaires




"Charlie Hebdo rappelle qu’une liberté, en l’occurrence celle de moquer les religions, n’existe pas si on ne l’applique pas, que ce soit par "respect" des croyances des autres ou par peur. Pour avoir affirmé cela, en notre nom à tous, les dessinateurs de Charlie Hebdo sont morts. Ils sont morts parce qu’ils étaient seuls", explique Natacha Polony.
