Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

insécurité - Page 552

  • Pâques sous le feu islamiste, donc : LE GRAND SILENCE.

    J’alertais dès hier sur l’origine islamiste des attentats au Sri-Lanka.
     Cela m’a valu une pénible tripotée de remarques de tous ordres de prudentistes et pontifiants de toute nature, pas loin de m’expliquer que l’attentat pouvait peut-être provenir de quelque bouddhiste qui aurait mal fait ses exercices de respiration zazen et en aurait conçu de l’agitation au niveau du plexus.
     J’ai préféré retirer cette publication afin qu’on ne me gâche pas mon dimanche de Pâques, cela m’ayant déjà pas mal contrariée.
    La plupart des communiqués français, lorsqu'ils émanent du camp autoproclamé "progressiste", naturellement mielleux d’indignation, évitent soigneusement de mentionner la nature radicalement anti chrétienne de ces attentats extrêmement meurtriers. 
    Tous ceux qui étaient si prompts à parler d’islamophobie voire à enfiler un foulard de soumission après l’attentat en Nouvelle-Zélande sont restés muets sur l’évidence. 
    Je rappelle donc que les chrétiens sont les pratiquants les plus persécutés au monde (4300 tués l’an dernier à raison de leur religion) et qu’ils le sont à très écrasante majorité du fait des islamistes.
     Quant aux attentats d’hier, les premières arrestations, les identités de certains des kamikazes ne font aucun doute : ce sont, comme je le mentionnais, des actes islamistes. 
    Les photos des tueurs circulent sur les chaînes étrangères, pas chez nous.
    Madame Loiseau, pourtant si prompte à convoquer la presse quant elle va à la messe et donc à instrumentaliser l’église quand ça l’arrange dans l’espoir pathétique de rameuter quelques voix de droitards égarés, au mépris des règles élémentaires de la laïcité, n’a pas été fichue (si j’ose dire) de mentionner le christianisme des victimes.
    Quant à ceux qui tournent le nez en objectant que le gouvernement sri-lankais a laissé cette menace et ces individus dangereux sur son sol et que donc c’est suspect, je ferais bien deux ou trois remarques sur nos fichés S et nos mosquées salafistes, mais en fait ce n’est pas même utile je crois, ça parle tout seul...
    Pendant ce temps, une église a été incendiée encore hier à Eyguières.
     Un soudanais s’est attaqué à une église de Munich pendant la messe pascale. 
    La routine quoi.
     Quant aux principaux médias télévisuels français, ils sont depuis de longues heures déjà passés à autre chose, le meurtre de chrétiens ne semble pas valoir autant que celui de la mal-nommée Christchurch.

  • Attentats au Sri Lanka: plus de 200 morts

    Attentats au Sri Lanka: plus de 200 morts

    Le bilan s’alourdit : deux explosions supplémentaires ont eu lieu en plus des 6 déjà mentionnées.

    La police a décrété l’entrée en vigueur immédiate d’un couvre-feu à durée interdéterminée.

    Le chef de la police nationale avait alerté ses services il y a dix jours en indiquant qu’un mouvement islamiste appelé NTJ (National Thowheeth Jama’ath) projetait «des attentats suicides contre des églises importantes et la Haute commission indienne».

    Un lecteur du Salon beige, habitué du Sri Lanka, nous confirme que toutes les pistes mènent à l’organisation Etat islamique. Le risque est d’embraser de nouveau le Sri Lanka dans une guerre de religions, pays qui a subit ce type de guerre pendant 30 ans, entre les Tamils (ou Tamouls), hindouistes, et les Cingalais, Bouddhistes. Certains politiciens évoquent déjà des représailles envers les mosquées. Pour le moment, le gouvernement a mis sous contrôle tous les réseaux sociaux.

    https://www.lesalonbeige.fr/attentats-au-sri-lanka-plus-de-200-morts/

  • « L’Hiver vient » : Guillaume Faye et la « Guerre Civile Raciale »

    guerre-civile-raciale-guillaume-faye-588x330.jpg

    Par Pierre Boisguilbert, journaliste spécialiste des médias et chroniqueur de politique étrangère ♦ Il y a de la malédiction apollinienne dans la destinée de Guillaume Faye. Notre éblouissant camarade  semble avoir été condamné à percevoir le futur comme personne, sans ne jamais être cru, portant depuis toujours le fardeau de l’éveilleur au milieu de ceux qui ne veulent pas être réveillés.

    Éveilleur et guetteur

    Ce garçon sans âge, au physique fatigué depuis si longtemps par des excès qu’il assumait et la maladie qu’il connaissait, évoquait le chevalier de la garde de nuit sur le haut mur de Games of Thrones. Éveilleur et guetteur, il sait que l’hiver vient. Il prophétise qu’il sera terrible. Il est sur le mur (Trump n’a rien inventé), membre de la garde de nuit, des réprouvés oubliés aux frontières de l’ultime périphérie qui savent que les « autres » en multitudes vont déferler et qu’eux sont le dernier rempart du monde des Sept Couronnes.

    L’hiver vient, c’est sûr, mais le printemps, lui, reviendra-t-il ? On en garde l’espoir sans en être persuadé après la lecture de son dernier livre, Guerre Civile Raciale, publié par les courageuses éditions Conversano.  Toutes ses analyses le poussent à cette ultime prophétie ; non seulement cette guerre vient comme l’hiver, mais elle est là et nos corps en frissonnent déjà.

    On peut être sûr que ce livre, malgré la mort de son auteur le 7 mars dernier et l’œuvre qu’il laisse derrière lui, n’aura pas la consécration médiatique qu’il mériterait. Car il dit tout à ceux qui refusent de répercuter ce qu’ils ne veulent entendre. Pourtant, notre idéologie médiatique mortifère ne parle que de racisme tout en proclamant que les races n’existent pas ; cette Guerre civile Raciale » aurait donc dû les exciter et les pousser à aller cracher sur sa tombe. Mais il est décidément des livres trop dangereux pour qu’on évoque même leur existence. Celui-ci en est un.

    La démographie, revanche anti-coloniale

    Sur le fond, les plus lucides d’entre nous n’apprendront pas grand-chose. Ils auront cependant entre les mains un argumentaire très fort.

    A la lecture on se demande parfois si le terme racial est bien choisi. Car l’ennemi  prioritaire de notre identité c’est l’islam terroriste, radical ou simplement dominateur. On pense donc à une guerre de religion, sauf que pour faire la guerre il faut être deux. Si certains musulmans sont prêts à mourir pour leur foi, on ne peut pas en dire autant des chrétiens et même des juifs.

    Le paradoxe n’est qu’apparent et résolu de façon assez convaincante par Faye : l’islam grâce à l’immigration extra-européenne est devenu une arme de destruction  massive du monde blanc, car l’islam c’est la religion des non-blancs, la religion de la submersion par la démographie  vécue comme une revanche coloniale.

    Ainsi, les Arabes, pourtant racialement caucasoïdes, se sont toujours opposés au monde blanc chrétien. Les analyses de Faye sont souvent controversées et il n’évite encore une fois aucun écueil. Le chapitre sur « Les juifs dans la guerre raciale » est particulièrement travaillé, avec la distinction nette faite entre les juifs de France et d’Europe, blancs à part entière et particulièrement menacés, et les associations et tous les «  juifs de cour » aveugles devant le nouvel antisémitisme car prisonniers d’un discours obsolète.  Il souligne les contradictions entre les aspirations des juifs à préserver leur identité et leur mondialisme, écartelés entre la victimisation et un certain suprémacisme.

    Guillaume Faye annonce la rupture entre les catholiques et le discours imposé par l’Eglise sur l’immigration. Les derniers propos du pape, tenus le 30 mars  au Maroc, sur les migrants qu’il faut accueillir encore plus en ouvrant de nouveaux canaux migratoires, ne font que confirmer l’analyse du livre.

    Trois chemins tracés

    Malgré le sentiment, parfois, de relire la même chose, les chapitres mettent le doigt sur l’essentiel — la nouvelle colonisation a commencé d’un projet d’ethnocide des peuples européens. Le salafisme  gagne du terrain, appuyé  par les nouveaux collaborateurs qui, contrairement à d’autres, méprisent avant tout leur propre race.

    Et puis bien sûr les trois options d’un avenir que Faye juge inévitable :

    – La soumission, c’est à dire la submersion lente d’une civilisation incapable de se défendre.

    – La défaite des blanc qui, malgré la réaction armée, sont écrasés, notamment par les leurs — on retrouve Le Camp des saints.

    – Enfin, la victoire avec, pour l’Occident, des conséquences considérables au niveau de ses systèmes politiques, au-delà du départ des néo-colons.

    Guillaume Faye paraît avoir vu dans le mouvement des Gilets jaunes les prémices d’un réveil identitaire, sinon encore racial et d’une salutaire réaction contre l’actuelle « trahison des clercs ». Pour lui, en tout cas, c’est une raison d’espérer et la preuve que notre peuple bouge encore.

    Un livre très riche, donc, où l’avenir de sueur, de sang et de larmes que nous promet Guillaume côtoie l’actualité la plus immédiate et l’histoire du choc millénaire des civilisations, qui est celle de races  et de religions.

    Certains lecteurs ne seront sans doute pas convaincus dans les détails, mais aucun ne pourra ignorer  la pertinence générale de la vision.

    Avant de nous quitter pour rejoindre l’Olympe des éveilleurs et des gardiens du monde boréen, ainsi parlait Guillaume Faye.

    Pierre Boisghilbert 15/04/2019

    Guerre Civile Racialepréface de Jared Taylor, éditions Conversano.
    300 pages 20 € ou 24 € franco

    https://www.polemia.com/hiver-vient-guillaume-faye-guerre-civile-raciale/

  • Incendie de Notre-Dame : les islamistes applaudissent, les gauchistes en rient, les anarchistes encouragent

    notre-dame-9347-chard-600x515.jpg

    En reprenant l’histoire de Notre-Dame, on réalise à quel point ce vaisseau de pierre, chéri par les Français et même bien au-delà, considéré comme un élément essentiel du patrimoine universel, a aussi suscité à toutes les époques, mais spécialement à l’époque moderne, la haine destructrice d’une petite minorité.

    Il n’est donc pas surprenant que des voix s’élèvent aussi – surtout sur internet – pour se réjouir de l’incendie. La plupart de ces tweets, la plupart de ces messages de haine, proviennent d’extrémistes musulmans, qui applaudissent cette « punition d’Allah ». Messages d’autant plus grotesques que si Notre-Dame de Paris est un symbole d’abord religieux pour les chrétiens – les catholiques en premier chef –, elle est sans doute surtout un marqueur de l’identité parisienne et française, pour beaucoup de nos concitoyens, au même titre que la tour Eiffel et l’Arc de Triomphe. Et elle est, pour le monde entier, un élément du patrimoine universel, comme les pyramides d’Egypte, par exemple, qui, pour le coup, sont les témoignages d’un culte mort. Aussi la joie de certains fidèles d’Allah est-elle totalement incompréhensible aux yeux du plus grand nombre.

    Quelques exemples de messages ? « C’est le plus beau jour de ma vie. Je suis très très content » (Samir Bouafia) ; « dommage y avait pas de juifs à l’intérieur. On aurait pu faire un bon coup » (Majunali75) etc. Une déferlante ? En tout cas, plusieurs centaines de messages de ce genre ont envahi la toile. Et il continue à en tomber.

    « Délire de petits blancs »

    Mais plus grave encore, si l’on peut dire : des dirigeants de l’Unef, le syndicat étudiant de gauche, subventionné, marchepied des carrières politiques au PS ou à la France insoumise, ont envoyé des messages qui laissent sans voix, par leur stupidité, leur méchanceté, leur haine de la France et leur racisme : « Je m’en fiche de Notre-Dame de Paris comme je me fiche de l’histoire de France. Jsp quoi, allez-y mentionnez-moi jusque les gens ils vont pleurer pour des bouts de bois. Wallah vs aimez trop l’identité française alors qu’on s’en balek objectivement. C’est votre délire de petits blancs » (Hafsa Askar). La direction de l’Unef a apporté son soutien (un peu gêné, tout de même) à ces dérapages immondes. L’avocat William Goldnadel annonce pour sa part qu’il va porter plainte. Il y a donc les islamistes qui se réjouissent, et les gauchistes qui se moquent du chagrin des défenseurs du patrimoine universel.

    Mais voici la cohorte de ceux qui encouragent les incendies d’églises, les anarcho-communistes, les black blocs. Depuis quelques heures, un tee-shirt se vend comme des petits pains sur les sites anarchistes. Il porte le slogan suivant : « la seule église qui illumine est celle qui brûle ». Il s’agit d’une citation de l’un des pires tueurs anarchistes de la guerre d’Espagne, le dénommé Buenaventura Durruti. Le professeur de faculté Thierry Lodé, habitué de France Culture, admirateur de Durruti, et bien d’autres de ses congénères, ont contribué à propager ce genre d’ineptie, au nom de l’anarchie. Le problème étant qu’ils s’expriment en toute liberté dans nos établissements d’enseignement et sur les radios d’Etat, véritables gourous des black blocs et autres tueurs en puissance. Cet incendie, qui présente les apparences d’un accident, risque de susciter des vocations de pyromanes chez ces gens-là.

    Francis Bergeron

    Article paru dans Présent daté du 17 avril 2019

    https://fr.novopress.info/

  • La tempête se prépare


    Par Jose Espinosa 

    L'acte 23 s'achève dans les fumées des lacrymos et des tirs de LBD (armes condamnées par l'ONU, par les défenseurs des droits de l'homme).Une fois encore, Macron préfère le chaos au dialogue républicain. 
    Adossé à son ministre de l'intérieur qui a annoncé la veille que les casseurs seraient présents ce qui s'est vérifié à croire que Castaner les a appelé en renforts pour discréditer la manifestation. 
    Macron joue son va-tout en misant sur la répression et la violence. 
    Plutôt que de répondre aux revendications de la population, il s'arc-boute sur son cap. 
    Il a utilisé l'incendie de Notre-Dame pour tenter une factice unité nationale mais Notre-Dame a livré sa révélation: l'argent ne manque pas en France et il est concentré dans les mains des privilégiés milliardaires. 
    En un clic, un milliard est apparu. 
    Les gilets jaunes et ceux qui n'ont pas de gilet exigent plusieurs clics pour satisfaire les besoins de la majorité du peuple. 
    Or Macron refuse de rétablir l'impôt sur la fortune qui rapporterait 3 milliards et demi. 
    Il refuse d'arrêter le versement du CICE ( 40 milliards) aux entreprises de Bernard Arnaut, de Niel, de Pinault et des autres privilégiés qui préfèrent licencier, brader l'emploi, délocaliser, spéculer contre notre nation.
    Ce soir, l'évènement saute aux yeux: les couches moyennes et populaires entrent en insurrection pacifique. 
    Le soutien de la population demeure, les gens souhaitent une autre politique sociale, fiscale, environnementale et démocratique que Macron s'obstine à refuser. 
    Ce qui monte dans le pays c'est une colère contenue, générale, capable de ressouder le peuple français. 
    Tous les regards se tournent vers les annonces que Macron fera jeudi. 
    Va-t-il changer de cap? 
    Je ne le pense pas. 
    Son intervention va rallumer les rancoeurs, les divisions et le désordre qu'il a créé depuis ses 20 mois de présidence. 
    Pourtant la seule solution politique envisageable pour sortir de la crise, c'est le retour devant les électeurs par la dissolution de l'assemblée nationale. 
    Nouveau refus de Macron.
    Ce soir les commentateurs se déchaînent. Sur LCI, la présentatrice nous parle de gilets ultra jaunes. Que ne vont-ils pas chercher pour nous salir, nous amalgamer, nous diviser? 
    Ils osent traiter Jérôme Rodrigues de fasciste parce qu'il a affirmé comprendre la radicalité du mouvement. 
    Incroyable et délirant! 
    Certains journalistes ne se contrôlent plus. 
    Leur discours et leurs images évitent de montrer l'importance des manifestations qui ont lieu dans tout le pays et le nombre de participants en nette remontée. 
    Et rien sur les revendications qui sont à la base du mouvement. 
     Je me demande si ces journaleux ne souhaitent pas attiser les braises croyant que la violence va aider Macron à grimper dans les sondages électoraux. 
    Calcul politicien voué à l'échec. 
    Jeudi, la responsabilité du président est engagée. 
    S'il veut baisser la tension sociale, il le peut en proposant un changement d'orientation politique. 
    S'il refuse, ce qui est probable, il prendra la responsabilité de l'élargissement des luttes qui ne manqueront pas de grandir. 
    Le 1er mai devient un moment de rassemblement et de convergence très attendu et espéré.
    source

    http://by-jipp.blogspot.com/2019/04/20-avr.html#more

  • À Saint-Denis : SUD organise un stage anti-Blanc… Un « jeune » tire sur un professeur

    Un ami, face aux agressions et aux violences qui sont le lot quotidien de la vie des habitants dans le 93, me déclarait avec ironie : « Heureusement que la Seine-Saint-Denis n’est pas en France ! »

    Cet humour destructeur cachait une rage difficilement contenue face à une délinquance journalière qui s’étend chaque jour un peu plus.

    C’est ainsi que le 11 avril s’est déroulée une scène particulièrement choquante dans un établissement scolaire de Saint-Denis en Seine-Saint-Denis.

    Un professeur du collège Elsa-Triolet a été braqué par un adolescent avec un pistolet à billes, lequel a tiré sur la jeune femme de 26 ans. L’auteur de l’agression, un ancien élève exclu il y a deux ans, a été arrêté peu après les faits.

    Selon France Inter, l’enseignante donnait un cours dans une salle située au rez-de-chaussée de l’établissement lorsque trois individus d’une quinzaine d’années, se trouvant dans la rue, ont commencé à interpeller les élèves de sa classe. Le professeur est alors sorti pour leur demander d’arrêter. Après l’avoir insulté, les délinquants ont lancé un pavé dans la vitre de la salle de classe, avant que l’un d’eux, escaladant la clôture, pénètre à l’intérieur. Il a alors crié : « C’est un attentat !», pointant un pistolet à billes vers la jeune femme. Puis il a tiré trois fois dans sa direction. La victime est parvenue à se protéger avec sa main. Elle n’a pas été blessée. Les deux autres jeunes n’ont pas été identifiés. L’enseignante traumatisée a indiqué à France Info : « J’étais dans la sidération parce que je ne connaissais pas l’individu. » En conclusion elle a expliqué : « Ce n’est pas un événement ponctuel. L’incident est d’une extrême gravité mais les violences, c’est tout le temps. »

    Le plus surprenant à la suite de cet attentat est le communiqué de SUD Education 93. Celui-ci titre en effet : « Encore un braquage d’une enseignante dans un collège ! A Saint-Denis comme ailleurs ça suffit ! #Pas de vagues. » Il indique ensuite que les personnels du collège Elsa-Triolet de Saint-Denis s’étaient mis en grève le lendemain après cette violente intrusion.

    Or ce même syndicat propose les 15 et 16 avril prochains un stage de formation pour les enseignants, sobrement intitulé « Comment entrer en pédagogie antiraciste ? ». Il est signifié dans l’introduction du programme : « Le traitement différentiel des populations non-blanches par l’institution scolaire apparaît comme de plus en plus décomplexé : il semble ainsi d’autant plus urgent d’y résister. » Ce même syndicat avait déjà prévu à la mi-décembre 2017 un stage intitulé « Au croisement des oppressions : où en est-on de l’antiracisme à l’école ? », proposant aux enseignants intéressés d’assister à deux ateliers en « non-mixité raciale », c’est-à-dire réservés aux personnes « racisées » ou, pour faire simple et sans langue de bois, aux non-Blancs.

    Ce colloque avait créé la polémique et le ministre de l’Education, Jean-Michel Blanquer, avait jugé « inconstitutionnelle et inacceptable » l’organisation de réunions réservées aux « racisés » lors d’un stage syndical.

    Comment s’étonner quand on observe ce type de soutien que des « jeunes » en arrivent à tirer (même avec un pistolet à billes) sur leur professeur ?

    « Dieu se rit des hommes qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes », disait Bossuet. Aujourd’hui ce syndicat d’extrême gauche devrait battre sa coulpe face à sa responsabilité dans cette attaque.

    Guillaume Bernadac

    Article paru dans Présent daté du 15 avril 2019

    https://fr.novopress.info/

  • La catastrophe et l’espérance

    rodin-le-penseur.jpgUne tragédie nationale. Il avait fallu près de deux cents ans pour la  construire, Notre-Dame a été ravagée hier  en quelques heures par un terrible incendie  qui  l’a partiellement détruite. Un édifice religieux arrimé au cœur de Paris depuis huit siècles, érigé en une époque ou la France  se couvrait d’un «blanc manteau d’églises» (Raoul Glaber) et de cathédrales dans nos villages et nos  villes. Monument de la capitale le plus visité, emblématique du génie gothique et des merveilles de l’Occident chrétien, Notre Dame c’est pour les Français comme pour les étrangers  un des symboles  de notre pays, de son patrimoine (Dominique Venner ne s’y était pas trompé).  L’incarnation  du génie opiniâtre de nos  artisans,   les maîtres verrier, tailleurs de pierre, charpentiers et autres  sculpteurs  du Moyen-âge , popularisés par les romans du Bourguignon Henri Vincenot;  toute cette foule d’anonymes qui ne présentaient pas comme des artistes… L’émotion  est aujourd’hui  mondiale et les images de la grande flèche  de Notre-Dame s’écroulant dans les flammes  ont fait le tour de la planète faisant écho  au célèbre roman de Victor Hugo  dans lequel il  livrait la cathédrale à l’incendie .

    Il faudra certainement des années, voire des décennies  de travaux pour la voir renaitre  et certains  dommages  sont bien évidemment irréparables. D’ores et déjà, le groupe LVMH et la famille Arnault ont annoncé respectivement un «don» de 200 millions d’euros et de 100 millions d’euros en faveur du fonds dédié à la reconstruction de Notre-Dame. Quant à Emmanuel Macron, reportant sine die ses annonces prévues (et forcément décevantes) concluant la séance (d’enfumage) du Grand débat, il s’est aussitôt (et logiquement) drapé dans le rôle du consolateur de la nation qui réparera les dégâts…

    Les médias ont été nombreux à rappeler ces dernières heures quelques tristes précédents qui se sont soldés par des reconstructions réussies : le terrible incendie qui ravagea la cathédrale de Nantes en 1972 (un ouvrier avait oublié de fermer un chalumeau)  ou encore le bombardement par les allemands en  septembre 1914 de la merveilleuse cathédrale de Reims

    Certes, au cours de sa longue histoire, de la terrible  rage  iconoclaste des fanatiques lors des  guerres de religion en passant par la fureur des extrémistes  de la révolution française et plus prés de nous , les bombardements  allemands de la première guerre mondiale et anglo-américains  de la seconde, la France a connu bien des destructions, des pillages des saccages  de son patrimoine artistiques.  Depuis quelques décennies maintenant,   nos édifices religieux sont de nouveau victimes d’actes de vandalisme, souvent dans l’indifférence  médiatique

     Les Français sont viscéralement attachés à leur patrimoine  et même dans un pays profondément déchristianisé,  cette terrible destruction d’un joyau comme Notre-Dame à Pâques,  en ce début de semaine sainte, au cœur de l’année liturgique , prend une résonnance particulièreFrance fille aîné de ‘Eglise, « qu’as-tu fait des promesses de ton baptême? » questionnait Jean-Paul II en juin 1980  lors  de son homélie au Bourget. France que fais-tu pour rester fidèle à ton génie en ce début de millénaire, en cette  période  de sombres menaces sur  notre  identité,  nos  spécificités  culturelles,  notre  souveraineté, notre  cohésion en tant que peuple libre ?  Croyants ou non, beaucoup de nos compatriotes voient dans la catastrophe qui frappe Notre-Dame  comme un signe du destin, un  avertissement.

    Alors oui, affirme Bruno Gollnisch, il y a le feu à la maison France, mais comme à Notre-Dame,  les murs porteurs sont toujours debout, la voûte n’est pas tombée. L’espoir est là.  Reconstruire, rebâtir est possible L’invincible espérance n’est pas morte, c’est aussi ce message de résurrection  qui est porté  par  Marine et le Rassemblement National.

    https://gollnisch.com/2019/04/16/la-catastrophe-et-lesperance/

  • Incendie de Notre-Dame-de-Paris, involontaire ou criminel, accident ou négligence ?

      Après le temps de l’émotion, il faut laisser place à la réflexion. Cet immense incendie de la cathédrale Notre-Dame-de-Paris soulève de nombreuses questions quand à ses origines : criminelles, accidentelles, dues à de l’incompétence, de la négligence…?

    Après les profanations à la Basilique des Rois de Saint-Denis par un Pakistanais de 41 ans, arrivé en France deux mois auparavant, après l’incendie volontaire à l’église Saint-Sulpice et les multiples profanations quotidiennes des églises de France, Macron et le gouvernement doivent sérieusement enquêter sur une possible origine criminelle derrière cet incendie. LCI évoque d’ailleurs deux départs de feu.

    Lire la suite

  • Christianophobie en France : le mois de mars pire que celui de février

    Christianophobie en France : le mois de mars pire que celui de février

    Constat de Daniel Hamiche :

    Je pensais que l’horrible mois de février dernier resterait longtemps dans nos annales comme le pire que nous avons connu en nombre d’actes christianophobes en France. J’avais tort ! Le mois de mars qui vient de s’achever a été pire que le précédent puisque nous avons pu signaler et documenter 51 cas, un de plus qu’en février ce qui n’est pas une augmentation considérable, mais une augmentation tout de même…

    9 lieux de culte profanés, 11 vandalisés, 14 victimes de vols…

    Comparé au premier trimestre 2018, le premier trimestre 2019 enregistre une augmentation de plus de 53 % des actes christianophobes commis en France ! C’est énorme…

    Notre synthèse de la christianophobie de mars vient d’être rédigée. Elle est arrêtée à ce jour, c’est dire qu’elle pourrait être revue en hausse car il nous arrive fréquemment d’obtenir des signalements tardifs.

    Si vous souhaitez recevoir gratuitement cette synthèse au format PDF, avant qu’elle soit mise en ligne, n’hésitez pas à me la demander ici (en précisant bien : “synthèse mars 2019”).

    https://www.lesalonbeige.fr/christianophobie-en-france-le-mois-de-mars-pire-que-celui-de-fevrier/

  • A Paris, des habitants vivent “un véritable enfer” : un bel exercice de novlangue

    A Paris, des habitants vivent “un véritable enfer” : un bel exercice de novlangue

    Dans un article publié sur le Hufftington Post, on découvre le terrible quotidien des habitants du 18ème arrondissement et du nord du 10ème à Paris : insécurité, saleté, trafics, disparition de la mixité femmes-hommes, toxicomanie, rixes, prostitution… L’article est écrit par Ruth Grosrichard, Professeur de langue et civilisation arabes (Sciences Po). Dans cet article, les termes “islam”, “musulman” ou encore “immigration” sont absents. C’est pratique pour identifier les causes des problèmes…

    Si chaque quartier concerné a des spécificités, tous ont en commun de souffrir de maux devenus endémiques et dont la liste est longue comme une nuit sans fin: insécurité, saleté, incivilités, trafics en tous genres, toxicomanie, rixes, prostitution, ghettoïsation, disparition progressive de la mixité femmes-hommes… […]

    A Château Rouge, où pourtant une association de quartier a réussi le tour de force de faire condamner la Ville de Paris et l’Etat pour “carence fautive”, une habitante dresse un tableau bien sombre: saleté, captation de l’espace public, infraction aux lois, commerçants indélicats et prostitution; à Barbès ce sont les vendeurs de cigarettes de contrefaçon “Marboro bled” et les vols à l’arraché au pied de la station du métro; à la Goutte d’or: une jeune commerçante dénonce le trafic de drogues et autres pratiques illégales qui découragent tous ceux qui veulent faire vivre ce quartier pacifiquement; à La Chapelle où des groupes communautaires rivaux se disputent l’occupation des trottoirs parfois à coups de couteau et barres de fer, la vie est devenue “un véritable enfer” pour les riverains. S’y frayer un passage au milieu d’attroupements composés uniquement d’hommes représente pour une femme une épreuve quotidienne: l’engagement des politiques, venus dans le quartier, en 2017, afficher leur soutien aux femmes et dire leur indignation lorsque ce sujet faisait la Une des journaux, n’aura été qu’un feu de paille. Quant à la station de métro du même nom, essayer d’y entrer ou d’en sortir sans être agressé relève de l’exploit. Et ce n’est pas par hasard que celles et ceux qui sont obligés d’emprunter le souterrain qui mène à la Gare du Nord l’ont baptisé “passage de l’angoisse” ou “couloir de la mort”. Sans parler de la fameuse “colline du crack” et des campements où s’entassent des migrants dans des conditions indignes, un peu plus loin au Nord. Du côté des rues Pajol et Philippe de Girard, les habitants n’en peuvent plus des déchets laissés sur place après les distributions alimentaires assurées par certaines associations dont les motivations idéologiques font question. Près de l’hôpital Lariboisière, la SCMR communément dite “salle de shoot” -qui, les riverains en conviennent, entend répondre à un problème sérieux de santé publique-  les nuisances à l’extérieur, de jour comme de nuit, se sont multipliées: deal et consommation de rue, bagarres entre dealers, incivilités, commerces obligés de mettre la clé sous la porte, etc. Autant de problèmes qui s’étendent par capillarité jusqu’à la Gare de l’Est et le voisinage de la rue Lafayette. Que dire enfin des abords immédiats de la Gare du Nord? Sinon qu’ils sont un vaste cloaque à la porte de la première gare d’Europe.

    A cela, ajoutons la disparition des commerces traditionnels de proximité au profit de la mono-activité (téléphones portables, vêtements de mariage, produits “exotiques”…), la multiplication d’officines multifonctions mêlant téléphones mobiles recyclés, produits alimentaires, alcools, bar à chicha et trafics en tous genres. […]

    De ce rapide panorama, il ressort qu’une “ghettoïsation” s’est installée, avec le risque fort que s’amenuise la mixité sociale caractéristique de ce Nord-Est de Paris, à laquelle les habitants sont attachés. Face à l’inertie des pouvoirs public qui, jusqu’ici, ont fermé les yeux sur la gravité de la situation, les moins optimistes en viennent à penser qu’ils vivent dans des “territoires perdus de la République”. […]

    C’est la “théorie” du grand remplacement…

    https://www.lesalonbeige.fr/a-paris-des-habitants-vivent-un-veritable-enfer-un-bel-exercice-de-novlangue/