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insécurité - Page 605

  • “Pour faire face à la déferlante de nationalistes anti-immigration…”

    cheval-de-troie-du-mondialisme-300x200.jpgHier, Gérard Collomb  n’a pas été très disert lors de sa présentation devant la presse de l’évolution des chiffres de la délinquance depuis le mois de janvier, telle qu’établie par le ministère de  l’Intérieur. Les statistiques établissent une  très forte  hausse des violences contre les personnes ( Coups et blessures volontaires +7,5%) dont les  femmes sont particulièrement victimes; un  autre signe tangible du laxisme d’Etat,  de  la tiers-mondisation, de  l‘ensauvagement  de notre société plurielle. Le même jour M. Collomb regrettait au micro de BFMTV/RMC qu’Emmanuel Macron et son gouvernement aient « peut-être manqué d’humilité »,   cause selon  lui de la dégringolade du  président de la République et de ses ministres  dans  les enquêtes d’opinion. Crise d’humilité qui n’est pour le coup certainement pas l’explicitation du  revirement de l’élue en marche  Yaël Braun-Pivet.  Candidate à la succession  de  François de Rugy à la  présidence   de l’assemblée nationale  face à Richard Ferrand, éclaboussé dans l’affaire dite des mutuelles de Bretagne, Mme Braun-Pivet avait dit  tout le mal qu’elle pensait de ce dernier,  un homme incapable d’incarner le  renouvellement. Elle s’est finalement ralliée à son panache gris...en même temps

    Le dernier sondage Ifop pour Paris-Match, CNews et Sud Radio (publié mercredi)  indique en tout cas, par rapport à la précédente enquête du mois de juin,  un recul assez net des intentions de vote en faveur du parti présidentiel  pour les européennes de mai 2019. La liste macroniste recueillerait 20 % des suffrages (- 3 points) , talonnée par celle du RN (18%, – 2 points), suivie par la liste LR (15%, inchangé) et LFI (14%; + 3 points).

    C’est dans ce contexte qu’Emmanuel Macron présentait mardi à la Grande Synagogue de Paris,  dans le cadre de Roch Hachana (les fêtes du Nouvel an juif qui débutent dimanche), ses vœux aux représentants communautaires  officiels, devenant le premier président de la République à participer à cette cérémonie. S’il n’a pas pris la parole (au nom du respect de la  laïcité ont indiqué l’Elysée et  le grand rabbin Haïm Korsia), M. Macron a été assez vivement interpellé par le président du consistoire, Joël Mergui, qui a ici tenu des propos assez habituels dans sa bouche depuis plusieurs années.

    M. Mergui ne s’est pas contenté en effet  de demander le soutien de l’Etat pour la création  du Centre européen du judaïsme qui doit voir le jour à Paris l’année prochaine.  Il a surtout  insisté sur la situation sécuritaire, le  fait que « (les) rabbins refusent que la paternité des actes antisémites », en « pleine  recrudescence » selon lui, soit attribuée « à des déséquilibrés»:  «Jusqu’ou ira la mauvaise conscience de notre société, à tout accepter, à tout pardonner ?» «Par peur de stigmatiser, de commettre un amalgame coupable, la France a perdu des années dans sa lutte contre l’islamisme radical». Il a estimé en outre qu’il existe également une montée en puissance  sur internet de la « parole anti-juive », avec comme corollaire une   émigration  des juifs de France vers Israël (Alya ) dans des proportions jamais atteintes.  Pour faire bonne mesure, et par souci de (mauvaise) symétrie, MM Mergui et Korsia ont entonné également le couplet convenu sur leurs peurs devant la forte poussée électorale des  populismes  et « la montée des racismes en Europe. ».

    Le lendemain, par souci d’équilibre (?), Emmanuel Macron recevait à l’Elysée les  représentants  du Grand Orient de France (GODF), secte à laquelle appartient notamment  son ministre des cultesGérard Collomb,  et  des principales obédiences  de la franc-maçonnerie, pour les rassurer sur son attachement indéfectible à la laïcité. 

    La philosophe Chantal Delsol  avait   créé l’émoi chez les bien-pensants le 21 août en déclarant  sur l’antenne de France Inter qu’« avant d’être une richesse (l”arrivée massive des migrants était)  surtout une menace culturelle. » Nouveau Grand Maître du GODF, le gaulliste de gauche Jean-Philippe Hubsch  prévenait pour sa part, au moment de son intronisation trois jours plus tard, que les frères ne souhaitaient pas que la république mette le holà à la poursuite de l’immigration. M. Hubsch a rappelé la nécessaire   «solidarité » des  maçons  du Grand Orient  vis-à-vis  des migrants, des  réfugiés, desimmigrés . Et prévenu que cette immigration  torrentielle devait être acceptée par les Français et les Européens:   « Il ne s’agit pas là d’un phénomène ponctuel, mais d’un changement complet du monde dans lequel nous vivons.  Il faut que l’on sache les accueillir… »

    Cette question du choix entre une Europe hors-sol, grande ouverte  à tous les flux de biens, de capitaux, de populations, s’enlisant dans sa doxa globaliste mortifère, l’impasse ultra libre-échangiste,  sera bien celle que nos compatriotes, et leurs voisins européens devront se  poser en mai prochain.

    Le site euractiv   indiquait aujourd’hui à ses lecteurs  que « le président europhile français (sic) cherche à mettre en place une campagne pan-européenne de progressistes pour faire face à la déferlante de nationalistes anti-immigration (…). Le terme  progressiste,  choisi par Emmanuel Macron est déjà utilisé par le groupe des socialistes et démocrates (S&D) au Parlement européen. »  « L’idée c’est qu’il puisse y avoir une forme de coalition pour l’élection qui rassemble les progressistes sur une plateforme commune qui peut aller au-delà des appartenances politiques bien structurées qu’on connaît », explique une source à l’Élysée, citée par Reuters. On est dans un moment européen grave où il faut savoir se recomposer parce que le camp nationaliste lui ne va pas hésiter à se recomposer, il ne faut donc pas rester prisonnier des étiquettes politiques , ajoute cette source.»  Une évidence en effet,  si l’on part du principe, comme Marine,  les nationaux, Bruno Gollnisch l’affirment depuis maintenant plusieurs décennies, que le vrai clivage, qui traverse (parfois)  les état-majors des  partis du Système et  (souvent ) leur clientèle électorale est entre les tenants progressistes du cosmopolitisme d’essence mondialiste d’un côté,  et de l’autre  les patriotes attachés à l’enracinement, à la  pérennité du  modèle national.

    https://gollnisch.com/2018/09/07/pour-faire-face-a-la-deferlante-de-nationalistes-anti-immigration/

  • Poutine, Erdoğan et Rohani négocient l’offensive sur Idleb

    6a00d83451619c69e2022ad369a8b1200c-800wi.jpgAnalyse d'Antoine de Lacoste sur Boulevard Voltaire :

    La Conférence de Téhéran s’est déroulée le vendredi 7 septembre. Le Président iranien Rohani y a accueilli Poutine et Erdoğan. Aucun autre invité : ce sont ces trois-là qui ont l’avenir de la Syrie entre leurs mains.

    Mais les divergences sont réelles et la Conférence, sans être inutile, n’a pas permis de les aplanir.

    Russes et Iraniens sont à peu près d’accord à court terme : il faut lancer une offensive générale sur la province d’Idleb, occupée à 60 % par le groupe islamiste Hayat tahrir al-Cham (HTC), l’ex Front al-Nosra dont tous les cadres viennent d’al-Qaïda. HTC et Daech ne sont que les deux faces de la même pièce, comme le rappellent les autres groupes insurgés sunnites, qui tiennent 40 % du territoire et qui ont eu des accrochages sanglants avec HTC.

    Le problème, ce sont justement ces 40 % restants : ils sont tenus par des islamistes à la solde des Turcs qui ont d’ailleurs plusieurs postes militaires au cœur même de la province. Erdoğan n’a pas envie de lâcher ses alliés et surtout il ne veut pas que ce soit ensuite l’occasion pour les Kurdes de se réinstaller près de sa frontière, notamment à Affrin, d’où il les a chassés il y a quelques mois.

    Il a pourtant fait une concession importante en qualifiant Hayat tahrir al-Cham de « groupe terroriste ». C’est une première mais il n’est pas allé plus loin : son objectif était d’obtenir qu’un nouveau cessez-le-feu soit établi et que le mot figure dans le communiqué final. Il n’a pas eu gain de cause. Poutine, sous le regard amusé de Rohani, a déclaré : « Je pense que, globalement, le Président turc a raison : ce serait une bonne chose. Mais nous ne pouvons pas assurer à leur place qu’ils (les islamistes) arrêteront de tirer ou d’utiliser des drones armés. »

    Rappelons à ce sujet que les bases russes installées non loin d’Idleb font régulièrement l’objet d’attaques de drones armés et Poutine ne peut évidemment accepter que cette situation se prolonge indéfiniment.

    Les Iraniens veulent en découdre comme toujours : en face, ce sont des sunnites et, pour la grande puissance chiite, aucune discussion n’est envisageable.

    Pour les Russes, moins concernés par ces divisions internes à l’islam, il s’agit d’un problème stratégique crucial : il est hors de question de laisser 10 000 combattants islamistes administrer une province sur le territoire syrien. L’assaut aura donc lieu, mais ce sera une opération délicate : il ne faut pas se fâcher avec Erdoğan et donc éviter de lui tuer ses alliés et que faire si Erdogan envoie des renforts, comme l’armée syrienne est en train de le faire ?

    Les Occidentaux eux, sont pathétiquement inutiles : les Américains rappellent tous les trois jours qu’une attaque chimique entraînerait une riposte massive de leur part, ce qui est une façon de laisser faire Poutine tout en laissant la porte ouverte à une nouvelle manipulation. La France et l’Angleterre ont confirmé, comme il se doit.

    Les Russes, de ce fait, ont renforcé leur présence navale au large de la Syrie.

    En attendant l’offensive terrestre, les bombardements russes et syriens ont repris. Leur intensité et le choix des cibles (exclusivement des positions tenues par HTC), montrent que le compte à rebours a commencé.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Médine au Bataclan : oui, Marsault à la Galerie Art Maniak : non

    6a00d83451619c69e2022ad369085f200c-800wi.jpgAlors qu'il a perdu sa fille le soir des attentats du 13 novembre 2015 au Bataclan, Patrick Jardin a exprimé sa colère après la programmation du rappeur Médine dans la salle de spectacle parisienne les 19 et 20 octobre :

    «Je sais bien que Monsieur Médine n'est pas un terroriste, mais ses idées appellent aux meurtres des blancs». «Je suis entièrement pour la liberté d'expression. Au vu du nombre de salles à Paris, je pense qu'il serait souhaitable qu'il puisse faire son concert ailleurs. Il ne peut pas faire son concert au Bataclan».

    «J'ai écrit à la ministre de la Culture. (...) J'ai également écrit à Monsieur Poubelle (gérant du Bataclan, NDLR), que j'ai eu l'occasion de voir à trois reprises, car c'était le patron de ma fille. (...) J'ai écrit à Monsieur Lagardère, propriétaire du Bataclan.»

    Des lettres restées sans réponse.

    «Je vais charger mes avocats de voir s'il est possible de faire annuler ce concert, car c'est un trouble public et surtout un trouble à la mémoire des personnes décédées dans cette salle».

    6a00d83451619c69e2022ad38f2ac1200d-200wi.pngEn revanche, Art Maniak, une jeune galerie parisienne qui expose de la bande dessinée, a annulé suite aux hourvaris de la gauche une exposition des oeuvres de Marsault, dessinateur de droite, qui travaille pour les éditions RingLe responsable de la galerie Art Maniak, Clément Gombert, explique :

    «Je ne m’attendais pas à de telles réactions. Ce sont les éditions Ring qui m’ont contacté pour me présenter le travail de cet auteur, que je ne connaissais pas, je l’ai lu et son esthétique m’a plu. C’était vraiment sur des critères esthétiques et parce que son humour m’a plu.»«C’est une erreur, mais je ne m’étais pas renseigné sur les idées de cet auteur. Mais, de toute façon, les opinions politiques ne m’ont jamais intéressé. Avant de préparer l’exposition Marsault, on a accroché des travaux féministes d’Artemisia.»

    Suite à cette annulation, les éditions Ring ont révélé ceci :

    Nous avions fait le choix pacificateur de taire ce à quoi Marsault a échappé en avril 2017. Face à l'ampleur des cabales, de la désinformation sur ses opinions politiques supposées, de menaces reçues et de nouveaux projets d'agressions, le temps est venu de vous révéler l'infâme projet prévu contre Marsault le 8 avril 2017, lors de sa dédicace nantaise.

    Vous devez savoir que des antifas ont eu le projet bien réel d'intercepter Marsault avant son arrivée à la librairie ou d'entrer en force et en nombre sur le lieu de la dédicace, de le maîtriser et de lui TRANCHER LES MAINS pour qu'il ne puisse plus jamais dessiner. Si cette boucherie échouait, le plan B était de détruire les mains de Marsault À LA MASSE. Information qui nous a été divulguée par l’appel anonyme d'un antifa qui était prévu sur le raid ce jour-là, qui a refusé de participer à ce massacre et qui a décidé de nous en informer. Ce projet barbare nous a été CONFIRMÉ par les forces de l'ordre dans l'après-midi du 7 avril, veille de l'événement, d'où la présence massive de CRS ce jour-là et de douze agents en civil dans la librairie lors de la dédicace (pour assurer sa protection à l'intérieur)."

    La liberté d'expression, c'est la gauche qui la décide.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Affaire Clément Méric : Un procès pour la vérité ?

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    Aristide Leucate

    Le procès d’Esteban Morilllo, Samuel Dufour et Alexandre Eyraud qui s’ouvre aujourd’hui devant la cour d’assises de Paris sera-t-il le procès de la vérité ? Non pas celle, condamnée d’emblée par la bien-pensance intello-médiatique, encore moins celle, cadenassée d’avance par un pouvoir politique dont les accointances idéologiques avec l’ancienne mandature jette un voile suspicieux de partialité sur l’institution judiciaire, mais celle, toute nue et diaphane, presque immaculée, des faits et de la socio-psychologie.

    Du fait divers…

    Les faits sont dramatiquement simples. Une querelle de jeunes hommes de vingt ans dans les travées d’une vente privée « Fred Perry » (marque de vêtements très prisée chez les skins de « droite » et de « gauche »), passage Caumartin à Paris qui dégénère et se termine tragiquement lors d’une rixe mortelle entre bandes rivales. La victime, Clément Méric (membre de l’Action antifasciste Paris-Banlieue), qui tentait d’assaillir son adversaire par derrière, s’écroule sous le coup de poing porté par celui-ci, le faisant chuter à terre, sa tête heurtant le bitume.

    Il ne s’agissait pourtant pas de caïds allogènes de banlieues se disputant un territoire de la drogue, mais bien des « antifas » haineux désirant en découdre gratuitement avec des supposés fascistes. Les premiers, activement soutenus par le Front de gauche de Mélenchon, jusqu’au plus haut niveau de l’Etat socialiste, parviennent à retourner la situation en leur faveur et à politiser un évènement, certes terrible, mais journalistiquement éligible au rang des faits divers.

    …à l’engrenage politique

    Alors dirigeant des mouvements Jeunesses nationalistes révolutionnaires et Troisième Voie - tous deux dissous par Manuel Valls, conséquemment à cette malheureuse bagarre – Serge Ayoub (alias « Batskin » dans sa lointaine et turbulente jeunesse) sera auditionné durant 5 heures par la Brigade criminelle. L’engrenage politique est enclenché.

    Les magistrats de l’instruction retiendront la qualification pénale de « coups et blessures volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner » (20 ans de réclusion criminelle) avec les circonstances aggravantes qu’ils ont été infligés en réunion et avec usage ou menace d'une arme (en l’occurrence un poing américain, ce que contestent les accusés) à l’encontre de Morillo et Dufour, tandis que leur complice, risque 5 ans d'emprisonnement et 75.000 euros d'amende pour violences aggravées.

    Si les faits, déjà âprement discutés devant la Cour d’appel de Paris qui a confirmé les chefs d’inculpation en décembre dernier, ne parviennent toujours pas, à l’issue du procès d’assises, à faire pencher la balance en faveur des accusés, la psycho-sociologie d’iceux convaincra-t-elle le jury populaire de les acquitter ?

    Cette triste affaire est, en effet, à l’image d’une réalité que beaucoup ne veulent plus voir, celle d’une France périphérique jetée en pâture à l’opinion parce qu’elle penserait « mal », tandis que les inoxydables victimes d’un antifascisme fantasmé tiennent toujours le haut du pavé pace que faisant partie du camp du « bien ». Toujours le même spectre du Dupont-Lajoie, abruti de droite, venant hanter les demeures cossues et bohèmes des bourgeois de gauche.

    Si les juges restent insensibles à cette réalité, peut-être le peuple y souscrira ?

    NDLR : à partir de demain, Aristide Leucate suivra le procès pour le quotidien Présent cliquez ici.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Historique : dix mille Allemands manifestent à Chemnitz contre les crimes de migrants

    chemnitz-demo-010918-845x470.jpg

    Ce samedi 1er septembre 2018, une semaine après l’attaque au couteau survenue à Chemnitz, dans l’est du pays, au cours de laquelle un Allemand a été tué par les demandeurs d’asile Yousif Ibrahim Abdullah et Alaa Sheiki, des citoyens se sont réunis dans cette ville, autrefois dénommée Karl-Marx-Stadt, afin de prendre part à une marche silencieuse.

    Le rassemblement de plusieurs milliers de personnes s’est déroulé à l’appel des sections des États fédérés du Brandebourg, de Thuringe et de Saxe du parti politique patriotique Alternative pour l’Allemagne (AfD), ainsi que du mouvement de rue anti-islamisation PEGIDA (Patriotische Europäer gegen die Islamisierung des Abendlandes/Européens patriotes contre l’islamisation de l’Occident) basé à Dresde, en Saxe.

    Les personnes ayant répondu à l’appel du parti patriotique local Pro-Chemnitz ont décidé de dissoudre leur manifestation et de se joindre à celle de l’AfD et de PEGIDA.

    Une contre-manifestation intitulée « Du cœur plutôt que de la haine » a réuni quelques centaines de personnes.

    L’événement dramatique qui a conduit à la mort de Daniel Hillig et à l’hospitalisation de deux autres hommes, qui découle, selon des informations non confirmées par la police, du fait que ceux-ci sont intervenus afin de défendre une dame agressée par ces migrants, et sa médiatisation, contrainte par la réaction de citoyens prenant part à des manifestations dimanche, lundi et jeudi dernier, n’a pas empêché des migrants de poursuivre leurs basses œuvres et de perpétrer de nouveaux délits alors que d’autres, antérieurs, ont émergé au sein de la presse locale.

    Ainsi, au cours de la semaine écoulée, divers faits ont été relatés.

    Une dame de 63 ans a été brutalement violée par un agresseur à la peau sombre, dans le centre de Bad Krozingen, au Bade-Wurtemberg, entre 20 et 21 heures après avoir été attaquée et traînée sous un pont.

    À Lübeck, au Schleswig-Holstein, une étudiante a, en faisant des courses dans un supermarché, reconnu l’homme qui a tenté, quelques semaines auparavant, de la violer. L’Irakien de 29 ans a été arrêté, un prélèvement d’ADN a été réalisé et a indiqué que cet individu a été impliqué dans quatre autres agressions à caractère sexuel.

    Un garçon de 10 ans a été violé par un condisciple afghan du même âge, lors du voyage scolaire d’une école de Berlin, alors que deux autres écoliers, un Afghan et un Syrien, âgés chacun de 11 ans, ont maintenu la victime.

    À Francfort-sur-l’Oder, au Brandebourg, dix jeunes Syriens, déjà connus de la police, ont attaqué au couteau et à la barre de fer des personnes se trouvant dans une discothèque, à la suite du fait que deux d’entre eux avaient eu, un peu avant les faits, une altercation au sein de ce lieu d’amusement.

    À Stuttgart, au Bade-Wurtemberg, un groupe de six hommes « inconnus » a harcelé sexuellement une femme de 23 ans et a ensuite frappé violemment l’homme de 29 ans qui l’accompagnait.

    Dans un bus, à Gießen, en Hesse, une jeune femme de 18 ans a été harcelée et touchée aux parties intimes par un individu à la peau sombre.

    À Thalham, en Bavière, un demandeur d’asile originaire d’Afrique noire a, complètement nu, bloqué la circulation automobile en jetant des chaises en plastique en travers de la route.

    Durant la nuit, à Cottbus, au Brandebourg, un Tchadien a attaqué une dame et l’a frappée au visage.

    Chaque jour qui passe, la liste des délits commis par les « invités » de la chancelière Angela Merkel s’allonge, alors que le nombre de victimes s’accroît.

    Lionel Baland

    http://www.bvoltaire.fr/historique-dix-mille-allemands-manifestent-a-chemnitz-contre-les-crimes-de-migrants/

  • Xavier Raufer : « La France a un seul problème criminel immense, c’est celui des quartiers hors contrôle »

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    Le criminologue Xavier Raufer revient, pour Boulevard Voltaire, sur l’étude publiée par Le Figaro : « Près d’un millier d’agressions par jour. »
    Pour lui, les quartiers hors contrôle constituent la première menace pesant sur la sécurité au quotidien.

  • Peyrolles (13) : polygame, il se marie avec une femme de 13 ans, et la menace de « lui couper les pieds »

     Le tribunal d’Aix-en-Provence a condamné un homme, un certain Sabri, à une peine de 18 mois de prison pour violences et menaces sur l’une de ses deux femmes.

     
    Edibe n’a pas revu son fils depuis le 12 août dernier. Après avoir quitté son domicile familial, elle n’a pu prendre que deux de ses trois enfants.

    Son mari, Sabri, et sa belle famille l’on alors menacé: « on va te couper les pieds et tu ne reverras plus ton fils ». Comme le rapporte La Provence, la victime a toujours su qu’il faudrait en passer par là pour s’arracher, enfin, de cette emprise familiale de l’homme qu’elle avait épousé religieusement en Turquie quand elle n’avait que 13 ans.

    Mais il n’y a pas que les violences. Il y a quelques années, en l’absence de grossesse, Sabri a décidé de prendre une seconde épouse. Finalement, il aura trois enfants avec chacune de ses deux femmes.

    Le tribunal a condamné Sabri à une peine de 18 mois, dont la moitié avec sursis et ordonne son maintien en prison. Il a aussi l’interdiction d’entrer en contact avec la victime.

    varmatin.com
    http://www.fdesouche.com/1067753-peyrolles-13-polygame-il-se-marie-avec-une-femme-de-13-ans-et-la-menace-de-lui-couper-les-pieds
  • Chemnitz (All.) : un Allemand de 35 ans poignardé à mort par un Syrien et un Irakien, 2000 manifestants en colère réclament le départ de Merkel (MàJ)

    Chemnitz – L’un des deux auteurs présumés de l’agression mortelle sur trois Allemands a déjà un casier judiciaire. L’Irakien âgé de 22 ans a été reconnu coupable de trafic de drogue et d’agressions.

    Le Syrien de 23 ans, en revanche, n’a aucun casier judiciaire. Mais cela ne veut pas dire qu’il ne soit pas connu des services de police.

    Ce qui est certain, c’est que l’Irakien et le Syrien n’ont pas agi pour se protéger. D’après le procureur, selon l’état actuel des connaissances, « aucune situation d’autodéfense pour les deux auteurs (du crime) ».

    Le tribunal de district de Chemnitz a émis lundi un mandat d’arrêt contre les deux hommes. Ils sont accusés d’avoir poignardé « sans raison » trois Allemands dans la nuit de samedi à dimanche lors d’une fête municipale.

    Un père de famille âgé de 35 ans est décédé des suites de l’attaque au couteau, deux autres Allemands ont été grièvement blessés.

    JungeFreiheit.de

    Près de 2 000 personnes se sont rassemblées. Cette manifestation intervient au lendemain d’une « chasse collective » aux immigrés dans la ville de Chemnitz.

    Des milliers de sympathisants d’extrême droite se sont rassemblés lundi 27 août, dans la soirée, à Chemnitz sous haute tension. Cette manifestation intervient au lendemain d’une « chasse collective » aux immigrés dans cette ville de l’ex-RDA, dénoncée avec véhémence par Angela Merkel.

    Lire la suite FDESOUCHE

  • Paris : Des riverains du 18ème contre l’ouverture d’un camp de migrants (MàJ : gain de cause pour les riverains)

    Au 151 de la rue des Poissonniers (XVIIIe), un gymnase de l’US-Metro appartenant à la RATP doit accueillir une centaine de migrants. Mais la décision n’est pas du goût des riverains qui refusent de devoir partager leur espace de vie et leur cour avec ces nouveaux voisins.

  • Trappes : dans l’ombre du djihad

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    Par Jean-Louis Hervois ♦

    Le lecteur appréciera la perspicacité du ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb.

    Un homme a tué sa sœur puis sa mère d’un coup de couteau hier matin dans une petite ville des Yvelines. Il a blessé une troisième personne, une voisine, avant d’être abattu par la police.

    Le fait divers serait passé inaperçu si Amaq, la voix de l’Etat islamique, n’avait revendiqué le crime, si ce drame ne s’était déroulé à Trappes, ville symbole des ravages du djihadisme chez les jeunes musulmans français et si le meurtrier n’avait crié” Allah akbar” avant de mourir.

    Sur place, Gérard Collomb, le ministre de l’Intérieur, et la meute des chasseurs d’images n’ont pu que témoigner de la banalité de cette tragédie. Tout porte à croire à un crime de la folie ordinaire, commis par un homme fiché pour apologie du terrorisme, sans qu’on puisse mettre en avant sa radicalisation ou invoquer la misère sociale du quartier.

    A côté de grands ensembles et au milieu d’un département parmi les plus favorisés de France, Trappes compte des pavillons de banlieue, identiques à ceux des villes voisines, aussi anonymes que Trappes est célèbre. C’est là qu’a eu lieu la tragédie.

    Fin de l’histoire. Ou presque. La revendication djihadiste n’a ici rien d’innocent. Défait par les armes en Irak et en Syrie, l’Etat Islamique n’a rien perdu de son pouvoir d’influence dans les esprits et sur les réseaux.

    Toutes les occasions sont exploitées pour mener le combat. Ne serait-ce que l’acte d’un déséquilibré massacrant au couteau sa propre famille. A Nice, à Paris, en France ou à l’étranger, les derniers attentats ont montré combien la frontière est mince entre tuer au nom du djihad et céder à une pulsion de délire.

    Que les faits d’hier aient eu lieu à Trappes ne fait qu’ajouter un éclairage indirect sur l’ombre terroriste qui nous menace. Cette ville devait être une cité exemplaire, une référence à l’idéal communiste des années 60.

    Elle a vu naître les talents de Jamel Debbouze, Omar Sy et Nicolas Anelka avant que l’intégrisme musulman ne prenne racine au cœur de sa vie sociale. Trappes, le Molenbeck français, a vu partir en quelques mois 67 de ses jeunes vers l’Irak et la Syrie.

    Depuis, rien de ce qui s’y passe ne peut nous laisser indifférent.

    Edito de Jean-Louis Hervois, publié le 23 août 2018, modifié le 24 août 2018.

    Source : Charente Libre, 24/08/2018

    Crédit photo : Domaine public, via PxHere

    https://www.polemia.com/trappes-ombre-jihad/