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Le concert de Medine au Bataclan : un nouvel attentat contre le peuple de France
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Un coupe-gorge nommé France – Journal du lundi 27 août 2018
Insécurité / Un coupe-gorge nommé France
C’est la bêbête qui monte qui monte ! Les violences gratuites n’en finissent plus d’augmenter. Avec plus d’un millier par jour, l’insécurité apparaît de plus en plus comme un fléau impossible à juguler…Économie / La rançon de la retraite
International / Le belliciste Mc Cain a enfin rendu les armes
L’ancien candidat à la présidence américaine John McCain est mort… celui qui avait affronté Barack Obama était le symbole d’un parti républicain belliciste et aligné sur une vision du monde proche des néoconservateurs.Actualité en bref
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Peine de mort pour les pédophiles en Inde : deux violeurs d’une fillette de huit ans seront exécutés
Inde – Loin des convenances laxistes de l’Europe, deux hommes de 20 et 24 ans ont été condamnés a mort pour le viol collectif d’une fillette de 8 ans, qui a suscité une vive émotion dans le pays et entraîné des manifestations de colère.
Le jugement est l’un des premiers à être prononcé en vertu d’une nouvelle loi permettant l’accélération des procédures judiciaires et de la peine de mort pour les viols d’enfants. Au moment des faits il y a deux mois, des foules de manifestants avaient défilé aux cris de « mort aux violeurs ! » après l’agression de la fillette, qui est toujours à l’hôpital dans un état critique. Les violeurs l’avaient attendue devant son école à Mandsaur, dans l’État de Madhya Pradesh (centre), pour l’emmener dans un endroit isolé, la violer et lacérer son cou, la laissant pour morte. Elle a eu la vie sauve grâce à des habitants qui l’ont conduite d’urgence à l’hôpital.
Suite aux vives protestations autour de cas précédents, l’Inde a rendu le viol d’enfant jusqu’à l’âge de huit ans punissable de la peine de mort. La dernière exécution pour viol dans le pays date d’il y a 14 ans à Kolkata, dans l’est de l’Inde. Dhananjay Chatterjee, gardien d’un bâtiment, avait été pendu pour le viol et le meurtre d’une jeune fille de 18 ans en 1990.
Près de 40.000 plaintes pour violences sexuelles ont été déposées en 2016, certaines associations soupçonnant que ce chiffre ne soit que la partie émergée de l’iceberg. Le viol collectif et meurtre d’une étudiante dans un bus de Delhi en 2012 avait entraîné des manifestations dans tout le pays et mis en évidence l’omniprésence des violences sexuelles en Inde.
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Rennes (35) : les agressions se multiplient, ce phénomène de violences commises par des migrants mineurs inquiète les policiers
Deux jeunes hommes se disant mineurs ont été interpellés place de la République, à Rennes, suite à des vols à l’arraché. La police s’alarme de voir ces faits se multiplier et la violence monter d’un cran.
(…) Depuis le début de l’été, ce phénomène de violences commis par des mineurs non accompagnés inquiète les policiers. Ils occupent les places et les rues du centre, dans les endroits les plus peuplés. Tous les soirs, ils constituent des groupes imposants rue Leperdit, près de la place Saint-Michel. La journée, ils la passent fréquemment place de la République.
(…) « Après le service, je ne demande plus à mon personnel d’aller vider les poubelles place des Lices, explique un commerçant de la rue de Penhoët, excédé. Ils bloquent le passage, nous insultent et sont menaçants. C’est dur à vivre. »
(…) « Le phénomène devient très préoccupant, confirme le commandant Yannick Trotoux, chargé de la communication à la direction départementale de la sécurité publique d’Ille-et-Vilaine. Depuis le début de l’été, le nombre d’agressions par ces mineurs non accompagnés est en constante augmentation. »
Déclarant dans leurs dépositions être originaires du Maroc, de l’Algérie ou de la Tunisie et être mineurs (même si aucun document officiel ne peut prouver ces informations), ces jeunes gens « mobilisent énormément les effectifs de polices ».
(…) Autre problème pour les policiers, le taux de récidive important chez cette catégorie de délinquants : « L’arsenal juridique est impuissant dès lors qu’il s’agit de mineurs. Ils sont relâchés quelques heures après leur interpellation et on les retrouve un peu plus tard sur d’autres vols. Ils n’ont pas peur de nous et se montrent souvent violents lors des interpellations », déplore un policier.
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Les militaires de Sentinelle ouvrent le feu à Lille
Le 26 août : Ici :
"Des militaires motorisés de la force Sentinelle qui patrouillaient hier soir à Lille ont tiré sur un véhicule qui venait de leur faire une queue de poisson et qui a pris la fuite, a indiqué la préfecture confirmant une information d'Europe 1.
Aucun militaire n'a été blessé, a-t-on précisé de même source. Le véhicule était toujours recherché dimanche matin. Selon la préfecture, vers 21h20, une voiture aurait fait une queue de poisson au véhicule de la force Sentinelle en patrouille. Les militaires l'auraient rattrapée, seraient sortis et auraient ensuite encerclé le véhicule pour le contrôler.
C'est alors que le conducteur aurait redémarré pour fuir en fonçant sur les militaires, qui ont alors tiré à plusieurs reprises. Le véhicule a réussi à prendre la fuite et était toujours recherché ce matin".
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Immigration : danger toujours immédiat
Notre société part à la dérive. N’en déplaise aux cœurs sensibles, aux amoureux d’utopiques droits de l’homme, à la fausse générosité d’une gauche méprisante autant que meurtrière, d’une droite irresponsable, mais l’immigration est responsable de la désagrégation de la société française. Par ses dommages collatéraux sur l’ensemble des acteurs sociaux : éducation, santé, religion, justice. Une grande partie des immigrés refusent les lois de la République, plus encore la culture française qu’elle ignore superbement. Cette haine de la France s’exprime aussi dans les moquées qu’on laisse pousser dans toutes les métropoles. Le fossé entre la France gauloise et les immigrés est culturelle. On ne pourra jamais combler le fossé des imaginaires dont la langue est l’expression majeure. Or, dans cette France en voie de déstructuration, les minorités conservent leur langue car elle demeure le lien communautaire par excellence.
Il nous a paru révélateur de reproduire l’article suivant
Les policiers, premiers témoins de la brutalité et de la haine
Par Hugo Wintrebert
Il suffit d’un regard. Deux individus se croisent, se toisent et c’est tout. Un coup d’œil ou une simple cigarette refusée : un motif parfois suffisant pour que se déchaîne une haine hors de toute proportion. Une violence sans cause, mais aux conséquences parfois tragiques. À Paris, au petit matin du 8 août, un homme monte dans un bus avec son vélo. Un voyageur lui fait une remarque. Quelques secondes après, le voilà gisant sur le trottoir, le cou transpercé par un coup de clef.
Aux premières loges de ce spectacle sinistre, les policiers. Car derrière les chiffres démontrant la hausse des agressions, se cache un sentiment diffus au sein des forces de l’ordre : celui d’un recours toujours plus débridé à la violence par la population, d’une « radicalisation des rapports sociaux », voire d’un « ensauvagement de la société » pour reprendre les termes de Patrice Ribeiro, secrétaire général du syndicat Synergie police.
« L’utilisation de la violence ne fait que s’amplifier, relève Frédéric Lagache, secrétaire général adjoint du syndicat Alliance. La société ressemble de plus en plus à une rame de métro. C’est un monde du chacun pour soi, où les incivilités sont légion. Et en cas d’agression, les voyageurs préfèrent baisser les yeux, conscients que s’ils interviennent, ils seront forcément victimes. » Un constat partagé par Jérémie Dumont, secrétaire général adjoint du syndicat des commissaires de la police nationale, qui précise qu’« il ne s’agit pas nécessairement que d’individus venant de zones urbaines sensibles, mais d’un mouvement plus large de l’en- semble de la société ».
Pour les policiers, cette recrudescence des violences gratuites s’explique par l’impunité dont profiteraient les auteurs de ces actes. « Les magistrats sont désormais accoutumés. Ils ne condamnent jamais de manière ferme les personnes qui commettent ces violences », s’agace Patrice Ribeiro. « On retrouve les délinquants dans la rue le jour même de leur arrestation, abonde Frédéric Lagache. Seule, la police est impuissante face à une hausse des incivilités. Elle ne peut pas combler les lacunes de l’école, du manque de civisme et d’une justice laxiste. »
La banalisation des violences n’est pas nouvelle mais certains policiers notent un phénomène émergeant : l’exhibition de la haine. Sur les réseaux sociaux, certaines rixes sont désormais filmées et des compilations de bagarres deviennent virales. Témoins de ces violences, les forces de l’ordre en sont aussi parfois les victimes. Selon les intéressés, être policier en 2018, c’est avant tout être une cible. Le moindre contrôle d’identité est source de tension. « Il n’y a plus de routine. Quand il arrive au bureau, un agent ne sait pas ce qui va lui arriver dans la journée, s’inquiète Philippe Capon, secrétaire général Unsa police. Même un petit différend familial peut dégénérer. » Dernier exemple en date : le 10 août, des gendarmes landais interviennent pour une simple affaire de vol de vélo. Trois d’entre eux ont terminé leur mission blessés, deux par arme blanche et un au moyen d’une barre métallique.
Plus largement, les forces de l’ordre se plaignent de ne plus jouir d’une certaine forme de respect. « On ne relève même plus les insultes par exemple, sinon on passerait encore plus de temps derrière un ordinateur plutôt que sur le terrain », assure Frédéric Lagache. Avant de conclure : « Aux États-Unis, si vous frappez un policier, vous allez directement en prison. En France, les forces de l’ordre ne sont pas respectées. Alors pour les personnes lambda, c’est encore pire. »
(Source : Le Figaro 27/08/2018)
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Nicole Belloubet a le feu dans ses prisons, mais son souci, c’est la prise en charge des migrants !
En France, on ne compte plus les ras-le-bol : celui de l’armée, de la police, des pompiers, des enseignants, des personnels des hôpitaux, des ruraux, des automobilistes, des retraités, des cheminots, des maires des petites communes, des avocats, des notaires, des huissiers, des agriculteurs, des habitants des quartiers, des buralistes, des anti-migrants, etc. Plus ce gouvernement avance dans le temps, plus il se met à dos de nouveaux secteurs de la population.
« The last but not the least » est celui des prisons car, depuis les grèves de cet hiver, non seulement rien n’a été réglé, mais les incidents se multiplient. Un chiffre résume le comportement des prisonniers : plus de 40.000 téléphones portables ont été saisis dans les prisons françaises en 2017, un chiffre huit fois supérieur à celui de 2007. Cette somme s’explique, certes, par la hausse du nombre de mobiles en circulation, mais aussi par la pugnacité des « taulards ».
Dans un long article du Figaro, les surveillants pénitentiaires dépeignent leur quotidien de plus en plus violent et anxiogène. Nombreux sont les agents à avoir la boule au ventre en partant travailler. Aux crachats, menaces, invectives s’ajoutent les 4.000 agressions physiques par an dont sont victimes les gardiens de prison. Le 5 août, un détenu armé d’une lame de rasoir se jette sur un surveillant qui vient d’ouvrir la porte de sa cellule, à la maison d’arrêt de Nîmes ; une veine du cou est touchée, le gardien s’en tire avec onze points de suture. Cinq jours plus tard, un détenu de la prison de Liancourt (Oise), muni d’un bout tranchant découpé dans une canette, se jette au cou d’un surveillant qui parvient à esquiver le geste de justesse. À Nantes, dernièrement, cinq surveillants sont agressés en une semaine. Cela, sans compter les manifestations devant les prisons organisées par des proches ou des soutiens, comme ceux de Tariq Ramadan. Soyons clair : actuellement, ce ne sont plus les prisonniers qui ont peur des « matons » mais les « matons » qui ont peur des prisonniers.
Vu le manque d’effectifs, les gardiens font trente à quarante heures supplémentaires par mois, les dépressions, arrêts maladie et absentéisme record se succèdent. Les personnels ne croient plus en l’utilité de leur métier, nombreux sont les jeunes qui, venant de passer le concours de l’École nationale d’administration pénitentiaire, démissionnent juste avant de prendre leur poste. Avec un surveillant pour 2,46 détenus en 2017, la France possède l’un des pires taux d’encadrement d’Europe. De plus, la vétusté de certaines prisons, comme à Colmar, rend également incompatible le respect des exigences de sécurité. Enfin, la surpopulation carcérale explose : selon Le Figaro, « au 1er juillet, 70.710 personnes étaient détenues dans les prisons françaises, un record historique depuis la Libération. C’est 48 % de plus qu’en 2001, et ceci alors qu’aujourd’hui, ceux qui prennent moins de deux ans sont exemptés de prison. Résultat : le taux d’occupation des cellules atteint plus de 120 %. »
Mais surtout, derrière cette multitude, se cache un phénomène bien connu : la prolifération des racailles de quartiers, surreprésentées en prison. Le quotidien américain Washington Post, pourtant classé à gauche, estimait dans un article d’avril 2015 que « 60 % à 70 % » des détenus en France sont musulmans alors qu’ils représentent « à peine 12 % de la population totale du pays ». Déjà, en 2014, en sa qualité de président de l’Institut du monde arabe, Jack Lang, qui n’est pas lepéniste, avait écrit que « près de deux tiers des prisonniers en France étaient musulmans ».
Je vous laisse imaginer les chiffres actuels que, bien évidemment, l’administration ne communiquera jamais. On comprend mieux, alors, pourquoi les gardiens se sentent démunis et dépassés face aux détenus radicalisés !
Pendant ce temps, Nicole Belloubet, toujours en pointe, déclarait : « La France sera au côté de l’Espagne pour prendre en charge les migrants. » Car, évidemment, ceci n’a rien à voir avec cela.
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Poutine remet les pendules à l'heure : c'est l'OTAN qui se rapproche de la Russie et non l'inverse
La carte ci-contre se suffirait à elle-même si le mauvais esprit anti-russe n'était pas de mise :
Moscou n’avance pas ses contingents militaires vers les frontières des pays de l’Otan, bien au contraire, c’est infrastructure de l’Alliance qui se rapproche des frontières de la Russie, a souligné Vladimir Poutine.
Intervenant à l’issue de sa rencontre avec le Président finnois Sauli Niinistö, Vladimir Poutine a évalué le rapprochement de l’infrastructure de l’Otan et des boucliers antimissiles américains des frontières russes.
Nous n’avançons pas nos contingents militaires loin de nos frontières vers les pays de l'Otan, c’est l'infrastructure militaire de l'Otan qui approche nos frontières, le nombre d’effectifs et de matériels militaires à proximité de nos frontières augmente, des exercices militaires se tiennent de plus en plus fréquemment», a-t-il indiqué.
Ces actions de l’Alliance et des États-Unis obligent la Russie à réagir d’une manière adéquate et à renforcer ses frontières.
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Attentat de Trappes par un employé de la RATP : des langues se délient
L'anarchie règne aussi dans les transports en commun parisiens. On le sait, mais ça va mieux en le disant :
""J’ai été chauffeur de bus pendant 37 ans, dont 10 ans sur le N22, le Noctilien qui va de Juvisy, dans le 91, à Châtelet. Après avoir vu et subi trop d’agressions, j’ai pris ma retraite en août 2016. Les violences faisaient partie du quotidien, et allaient d’une simple insulte jusqu’à la tentative de viol. Lorsque je demandais aux usagers de valider leurs titres de transport, certains me répondaient que je n’avais qu’à 'fermer ma gueule'. Si j’insistais, ça se finissait mal.
L’agression de trop, qui m’a fait prendre ma retraite, s’est passée cet été, lorsque j’ai justement demandé à un voyageur de me présenter son titre de transport. Il m’a regardé, et avec sa main, il a mimé le geste de me tuer. J’ai voulu porter plainte pour menace de mort. Les policiers ont regardé la vidéo et ont bien vu la personne faire ce geste. Mais la direction n’a pas souhaité que j’aille au bout, elle préfère défendre le voyageur. Le manque de soutien envers le chauffeur de bus est un véritable problème. Quand on essaie de faire respecter les règles, on nous demande de nous taire".
L'islamisme rampant s'est infiltré par leur pseudo diversité dans le recrutement des agents de la régie :
"Kamel Salhi a tué par le couteau sa mère et sa sœur et grièvement blessé une passante, ce jeudi à Trappes, en hurlant « Allah akbar » avant de se retrancher dans la maison et d’être abattu par les forces de l’ordre.
L’attaque a été revendiquée par l’État islamique en ces termes : « L’auteur de l’attaque dans la ville de Trappes […] est l’un des combattants [du groupe] État islamique et a perpétré cette attaque à la faveur des appels à cibler des ressortissants des pays de la coalition ».
Bien évidemment, le sinistre de l’Intérieur, Gérard Collomb, préfère le qualifier de déséquilibré plutôt que de terroriste, évoquant des troubles psychologiques importants. On connaît la chanson…
Première surprise… condamné et connu des services de police pour apologie du terrorisme depuis 2016, fiché FSPRT pour radicalisation, j’apprends qu’il avait été chauffeur de bus de la RATP. Je me dis : « tiens ? comme Samy Amimour ! celui qui avait été, le 13 novembre 2015, un des assassins de masse du Bataclan. »
Deuxième surprise… j’apprends, à la lecture des différents articles des journaux mainstream, qu’il a été licencié par la RATP en 2016 pour avoir arrêté son bus d’une ligne de Puteaux et proféré en hurlant ces propos à des usagers : « Par Allah, vous allez tous mourir ».
Et tout d’un coup, je réalise" (suite).
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Fiché S car "lié aux groupes islamistes armés algériens", il est LREM et a participé à la campagne électorale
Expulsable maIs jamais expulsé, lié aux groupes islamistes armés algériens et faisant l'objet d'un arrêté de reconduite à la frontière mais devenu citoyen français, fiché S mais candidat aux législatives de 2012, il a finalement pris part en 2017 à la campagne législative du secrétaire d'État au numérique Mounir Mahjoubi, candidat dans le 19ème arrondissement de Paris.
Voici un homme du "nouveau monde".
"Plus tard, dans Le Journal du dimanche, une source présentée comme un haut fonctionnaire du ministère de l'Intérieur avait affirmé que la fiche S de ce militant avait été désactivée avant la campagne électorale.
En réalité, il n'en est rien. Ce militant fiché S fait régulièrement l'objet d'un contrôle minutieux lors de son passage au filtre police des aéroports. Néanmoins, sur le profil Facebook de cet homme, de nombreuses photos sont publiées où il apparaît aux côtés du secrétaire d'État en campagne. On le voit, par exemple, distribuer des tracts en faveur de son candidat".