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insécurité - Page 630

  • Patricia Perez nous met en garde : son enfant n’est pas le premier, il ne sera pas le dernier

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    On peut décider de ne pas écouter ceux qui tirent la sonnette d’alarme : les politiques – ils instrumentalisent ! -, les journalistes – ils « fakenewsent » ! -, les intellectuels – ils échafaudent et théorisent ! -, mais les mères de famille ?

    Patricia Perez – son nom n’aurait jamais dû sortir de son heureux anonymat – n’instrumentalise pas, ne « fakenewse » pas, n’échafaude pas de grande théorie. Elle pleure. Son fils qu’elle enterre, comme dans L’Office pour l’enfant mort« l’enfant frêle qui [lui] était né », devenu grand jeune homme de 26 ans. Aujourd’hui, elle « attend le soir, attend le froid, attend le noir ». Et elle attend aussi des réponses à ses interrogations qui sonnent comme un grand cri : « Notre France ne fait rien pour ses enfants. »

    La question n’est pas de savoir s’ils auront sa haine ou pas. C’est de chagrin et de désespoir qu’il s’agit. Et surtout de vérité. Invitée de « Bourdin direct » en ce jour de marche blanche grenobloise, elle rétablit les faits, pour l’honneur de son petit : ce n’est pas d’une « rixe », d’une « embrouille » ou d’une « bagarre » qu’il s’agit, mais d’un assassinat. Son fils n’était pas armé. Les autres si. Ils l’ont poignardé au cœur et ont lacéré son visage, si violemment que même le maquillage mortuaire, dans le cercueil, n’a pu le camoufler. Ce n’était pas plus une querelle, bien sûr, qu’un viol n’est une dispute amoureuse.

    « Nos enfants se font assassiner sauvagement, et par toujours les mêmes. Toujours les mêmes ! » Qui ? Le journaliste ne pose pas la question. Peut-être parce que la réponse serait malséante, mais qu’il serait sans doute aussi malséant, en ces circonstances, de faire brutalement taire cette mère. Le journaliste est prudent. Mieux vaut changer de sujet gentiment.

    Patricia Perez nous met en garde : son enfant n’est pas le premier, il ne sera pas le dernier. Statistiquement, peu de chances qu’il s’agisse du mien ou du vôtre. Quoique.

    On ne devrait pas sous-estimer une mater dolorosa. Elle n’a rien à perdre. Cela s’appelle l’énergie du désespoir. L’histoire des soulèvements dans le monde est marquée par la détermination douloureuse de ces mères-là. « Nos gouvernants, nos pouvoirs publics ne font rien, Monsieur. Ils ne font rien, je suis révoltée. Combien de nos jeunes vont partir comme ça, dans la violence gratuite ? » Je serais Emmanuel Macron, je reviendrais de vacances et m’exprimerais fissa. La brûlante controverse piscine ou bord de mer attendra.

    Gabrielle Cluzel

    http://www.bvoltaire.fr/patricia-perez-nous-met-en-garde-son-enfant-nest-pas-le-premier-il-ne-sera-pas-le-dernier/

  • La République tchèque finance la police aux frontières de Bosnie-Herzégovine pour bloquer l’immigration

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    N1 HINA / Ambassade tchèque en Bosnie-Herzégovine. Les autorités de Bosnie-Herzégovine feront tout pour protéger leurs frontières de l’immigration illégale, a déclaré mardi à Sarajevo le Ministre de la Sécurité, en recevant une donation tchèque d’un million d’euros, destinée à renforcer la police aux frontières, avant d’ajouter que Sarajevo comptait sur l’aide des pays voisins et sur une participation plus décisive de l’Union Européenne.

    Le Ministre Dragan Mektic a fait cette déclaration suite à la signature d’un accord avec l’ambassadeur tchèque en Bosnie-Herzégovine, Jakub Skalnik. Ce don de la République Tchèque doit aider à l’acquisition d’équipements destinés à la Police des frontières de Bosnie-Herzégovine, qui fait face à une lourde tâche dans la surveillance de ses frontières avec la Serbie et le Monténégro, à travers lesquelles arrivent quotidiennement, depuis le début de l’année, des dizaines d’immigrés illégaux.

    Ce financement permettra l’achat d’équipement technique des policiers aux frontières, caméras thermiques sophistiquées, drones équipés de caméras et appareils de détection de présence à bord des véhicules, a précisé Mektic.

    10.000 immigrés illégaux ont franchi la frontière bosniaque depuis le début de l’année. Généralement, ils tentent de poursuivre leur route vers la Croatie et ensuite vers l’Europe de l’ouest.

    Aucun des immigrés illégaux n’a obtenu l’asile en Bosnie-Herzégovine, ni ne devrait l’obtenir, car il s’agit de personnes qui ont quitté leur pays pour des motifs exclusivement économiques, a affirmé le ministre.

    « Ceci est un problème européen qui nécessite une solution européenne. La Bosnie-Herzégovine ne peut pas la trouver seule, mais elle participera à une solution commune« , a déclaré Mektic en soulignant que 80% des migrations illégales sur la route depuis la Turquie étaient dans les mains du crime organisé.

    http://www.medias-presse.info/la-republique-tcheque-finance-la-police-aux-frontieres-de-bosnie-herzegovine-pour-bloquer-limmigration/96311/

  • Meurtre d’Adrien Perez : le grand silence des bien-pensants !

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    Jean-Pierre Fabre Bernadac

    Boulevard Voltaire cliquez ici

    Du sang, des larmes et le silence, ce silence assourdissant de la bien-pensance qui équivaut à un crachat sur la dépouille d’un jeune homme.

    Mais commençons par le début : Adrien Perez, pour son anniversaire, samedi soir 28 juillet, invite des amis à faire la fête au Phénix, une discothèque de Meylan (Isère). Dans l’établissement, trois « jeunes », issus des banlieues à risque qui foisonnent autour de Grenoble, se font remarquer en adressant à la jeune femme du groupe gestes et remarques déplacés. La réaction immédiate des copains provoque un premier incident sans gravité. Mais vers 5 h 30, à la sortie des fêtards, nos racailles remettent cela. Une rixe éclate sur le parking, les trois malfrats brandissent des armes blanches. Adrien, frappé en plein cœur, meurt sur le coup, un de ses amis est grièvement blessé d’un coup de couteau qui lui perfore un poumon. Heureusement pour les enquêteurs, la scène a été filmée par des caméras de vidéosurveillance. Le lendemain matin, deux frères, Younes et Yanis El Habib, se livrent à la gendarmerie. Un troisième individu, arrêté, est lui aussi mis en examen.

    Dans une interview accordée au Dauphiné libéré, les parents d’Adrien se disent révoltés par ce drame :

    « Le niveau de violence dans l’agglomération grenobloise est inadmissible… C’est en venant aider un couple d’amis qu’il a été tué. Il a fait preuve d’héroïsme. Ni lui ni ses copains n’étaient évidemment armés. Comment est-il possible que des gens puissent entrer dans une discothèque avec des couteaux ? »

    Effondré, le père conclura par ces mots : « En tuant notre fils, ils ont détruit notre vie, je ne pardonnerai jamais. »

    Voilà, dans toute sa barbarie, le récit de ce drame. Encore une fois, pour ce type de meurtriers, le relatif silence de la presse est de rigueur. Aujourd’hui, j’ai décidé d’exprimer ma colère contre la multitude de ces agressions commises par des bandes ethnicisées et aussi ma honte face à ce deux poids deux mesures.

    Honte à France 3 Rhône-Alpes, qui retient surtout que le papa ne veut pas être catalogué comme « raciste » et ne désire pas « que les politiques récupèrent cette affaire ».

    Honte au juge des libertés et de la détention qui, pour le troisième suspect mis en examen, n’a pas suivi les réquisitions du parquet et l’a laissé en liberté sous contrôle judiciaire.

    Honte à tous ces médias « mainstream » qui se répandent en écrits haineux contre les gendarmes dans l’affaire Adama Traoré, mort suite à son interpellation, mais qui refusent de consacrer une ligne au meurtre d’Adrien.

    Honte à cet ancien président de la République qui se rend au chevet de Théo Luhaka, un menteur et un délinquant, mais ne daigne pas envoyer un simple message à la famille de la jeune victime.

    Honte à ces artistes qui, comme le comédien Omar Sy, soutiennent les crapules si elles sont de couleur mais n’ont pas un mot pour un Perez.

    Honte au Figaro qui détaille le jet, en Italie, d’un œuf en voiture contre Daisy Osakue, athlète d’origine nigériane, en concluant que l’Italie est face à une série d’agressions racistes (ce qui serait faux) mais est resté muet jusqu’à ce matin sur le crime de Meylan.

    Honte, enfin, à Macron, qui a félicité à l’Élysée Mamoudou Gassama et l’a naturalisé mais n’a fait aucune allusion à la bravoure du jeune Grenoblois.

    Pour ma part, je vais mettre un mot sur le site Libra Memoria et envoyer une étoile.

  • HARCÈLEMENT DE RUE ET PROTECTION DES MINEURS : LA MASCARADE SCHIAPPA

  • Portés disparus à l'Elysée : 32 oeuvres et 625 meubles

    La Cour des comptes rend public aujourd'hui son rapport sur les comptes et la gestion des services de la présidence de la République. Une partie a tout particulièrement attiré notre attention : celle relative au patrimoine mobilier des résidences de la présidence. Intitulé relativement sobrement en jargon administratif, "des récolements très tardifs et l’absence de cadre juridique pour le patrimoine", les faits évoqués sont proprement hallucinants.
    On y apprend que 32 oeuvres appartenant aux musées nationaux et 625 meubles du Mobilier national ont "disparu", c'est-à-dire qu'ils ont été prêtés à la présidence et qu'aujourd'hui elles ont disparu des salons de l'Elysée.
    "L’absence de récolements disponibles à jour ne permet pas de savoir celles de ces « disparitions » qui sont récentes et celles qui sont plus (voire très) anciennes", précise la Cour des comptes.
    L'inventaire n'ayant pas été réalisé depuis plusieurs années (2012 pour être exact), le bilan pourrait être encore plus salé. D'autres oeuvres se sont peut-être "égarées" entre temps.
    La Rue Cambon regrette par ailleurs que le bilan des "récolements", c'est-à-dire des inventaires, ne soit publié que des années après leur réalisation.
    Par exemple, avant son départ de l'Elysée en 2012, Nicolas Sarkozy et son équipe ont fait un "état des lieux", mais les résultats de celui-ci ne seront disponibles ... qu'à l'automne 2014, soit plus de deux ans après sa réalisation.  
    Enfin, la Cour des comptes s'inquiète qu'aucun encadrement juridique n'existe sur le mobilier des résidences présidentielles.
    "Les objets dont elle demande à bénéficier ne constituent pas, comme c’est le cas pour tous les autres bénéficiaires publics, des « dépôts », mais des « envois », que le Président et ses collaborateurs peuvent en principe solliciter sans limite et sans conditions formalisées, selon un dispositif qui est l’héritier direct du Garde-meuble et du service de la Maison du roi", explique-t-elle. De vieux restes monarchiques somme toute. 
    Vous pouvez télécharger l'ensemble du rapport ici .

  • Immigration et trafic d'êtres humains : le nouvel esclavagisme

    Un vaste réseau d'esclavagisme moderne vient de tomber entre l'Espagne et la France : plus de 350 immigrés clandestins, en provenance d'Afrique de l'Ouest, ont été acheminés principalement en France ces derniers mois par l'intermédiaire d'une filière qui vient d'être démantelée par la police espagnole. Les enquêteurs ont ainsi fait tomber un réseau particulièrement bien organisé qui revendait ces migrants à d'autres organisations criminelles.

    Les trafiquants promettaient l'eldorado français à des hommes du Mali, du Sénégal, de Côte d'Ivoire ou de Guinée mais très vite, le piège se refermait sur les candidats au départ. Les trafiquants leur fournissaient de faux papiers, organisaient leur transfert jusqu'en Espagne par de petits bateaux, mais au moment d'arriver enfin en France, les clandestins étaient revendus à d'autres réseaux.

    Ensuite, des gens en France, en Grande-Bretagne, en Allemagne, vont acheter quatre, cinq, sept personnes africaines et ils les envoient devant les portes des églises, des supermarchés pour mendier ou bien ils les font travailler dans des écuries.

    Evidemment, les immigrationnistes, qu'ils soient politiciens, associations, clercs, se rendent complices de ces trafics d'être humains en appelant à l'accueil systématique de ces immigrés.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • La Démocratie et tout de suite !

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    Bernard Plouvier

    Il n’est pas de semaine, en France, sans qu’un immigré d’origine extra-européenne se croit autorisé à poignarder un « souchien », pas de jour où une Française de race européenne soit violentée par de merveilleux envahisseurs exotiques.

    Cela, c’est la réalité, d’ailleurs épicée presque chaque mois de manifestations djihadistes : profanations d’églises et de cimetières ; attentats meurtriers. Quant aux manifestations verbales de racisme antiblanc, elles sont pluriquotidiennes, pratiquement non-comptabilisables du fait de leur fréquence.

    Or, les statistiques ethniques sont interdites en France ! On ne peut savoir le nombre des citoyens d’origine extra-européenne, ni même celui des résidents étrangers. On ne peut être renseigné sur les composantes ethniques de la population carcérale. Le fait même de parler d’une évidence : la race, devient un délit s’il faut en croire les débats surréalistes de nos brillants députés. 

    Soit, l’on crie : Au fou ! Et l’on enferme en asile psychiatrique la quasi-totalité de nos excellences et autres élus de moindre importance. Soit, l’on se lance dans une véritable démarche citoyenne et l’on exige protection et information.

    Payer impôts et taxes à la consommation n’a de sens que si, en contrepartie, la sécurité des personnes et des biens est assurée. Ce n’est plus le cas en Macronie, où l’on assassine du Français de souche européenne avec une fréquence qui dépasse tout ce que l’on avait connu.

    La presse aux ordres poursuit sa noble tâche de désinformation, mais les réseaux sociaux sont là pour témoigner de l’insécurité grandissante en presque toutes les villes de France. Paris aussi bien que Nantes (entre bien d’autres exemples possibles) sont devenues des cités à la fois insalubres dans certains quartiers et infréquentables, non seulement la nuit, mais aussi de jour. Les déclarations d’autosatisfaction de leurs mairesses « de gauche » amusent peut-être les badauds, mais le quotidien est moins drôle : on est poignardé à Paris pour un oui pour un non, et à Nantes, les incendies criminels des voyous de l’immigration ont servi de féérie urbaine estivale.

    Si le « Pouvoir » est incapable d’assurer la protection des citoyens, que Génial Président Macron fasse appel à des Milices citoyennes, il sera exaucé. L’on comprend bien que le nettoyage de 2 000 cités de non-droit sera une affaire d’assez longue durée, mais nous ne manquons ni de chômeurs ni de retraités encore verts qui ne demandent qu’à être utiles à la Nation, en aidant une police surmenée à force de garder les immeubles des beaux quartiers et de verbaliser les automobilistes.

    Surtout, il est un point sur lequel l’on doit obtenir satisfaction immédiate : l’information exacte sur l’invasion migratoire qui est une évidence d’observation à qui circule dans n’importe quelle ville de France. Aucune restriction à l’information véridique ne peut être tolérée dans une Démocratie. Si Grand Président Macron l’ignore, qu’il relise ses manuels de Droit constitutionnel.

    Évidemment, il est plus simple de se pavaner au milieu de foules sélectionnées d’admirateurs, de sourire et de distribuer des baisers à de petits enfants dont la sécurité immédiate n’est pas plus assurée que l’avenir professionnel.

    Il serait bon pour notre Grand Timonier de se remuer, avant que la situation ne devienne explosive.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Éric Piolle, le maire « rouge-vert » de Grenoble, n’a pas eu un mot pour Adrien

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    Mercredi 8 août, une marche blanche pour Adrien Perez est prévue, organisée par ses amis place de Verdun, pour dénoncer son meurtre et l’insécurité de plus en plus présente dans l’agglomération grenobloise et en France.

    Pourquoi pas, plutôt, une manifestation de colère devant la mairie ? Car Grenoble, aujourd’hui, c’est le Chicago des années 30 : dans la nuit de samedi à dimanche, un adolescent âgé de 16 ans s’est involontairement brûlé en tentant d’incendier une voiture. France Bleu ajoutait naïvement dans son article : « La faute sans doute au liquide inflammable qui s’est répandu sur lui. » Non, messieurs de la radio d’État : la faute à lui-même. Cette radio indiquait que, la même nuit, un jeune homme de 27 ans avait été retrouvé gravement blessé à l’arme blanche dans le parc Mistral. Son pronostic vital était engagé. Un suspect s’est rendu à la police, il est actuellement en garde à vue, cela, juste une semaine après la mort d’Adrien.

    Disons-le, la dégradation progressive de la qualité de vie à Grenoble est patente. Comme l’expliquaient des Grenoblois sur un site de collectif citoyen :

    « La place Condorcet est devenue, depuis quelque temps déjà, le lieu de réunion favori d’un groupe de jeunes peu sympathiques qui, sous prétexte de ne rien avoir à faire et de s’ennuyer, empêchent tout le monde de dormir : scooter, musique, cris… jusque très tard dans la nuit. Les menaces sont courantes, on vous demande de descendre vous battre, on vous dit qu’on voit où vous habitez et que vous allez le payer. Les habitants terrorisés se plaignent à la police mais rien ne change. »

    « De même les façades et garages sont tagués, les vitrines des commerces ont été cassées, le quartier est jonché de détritus et, dans certains coins, les déchets et encombrants abandonnés s’entassent pendant des semaines. »

    Toujours sur le même site, on peut lire :

    « Place des Géants, excédé par le bruit la nuit, un habitant a répandu de l’huile partout où on pouvait s’asseoir, y compris sur les jeux d’enfants. Piscine Jean-Bron, les familles ont dû abandonner les bassins parce qu’une rixe avait éclaté entre une vingtaine de personnes. Quartier Hoche, un restaurateur a été dans l’obligation de fermer, ne pouvant plus faire face aux menaces. Rue de Strasbourg, un commerçant a donné sa caisse à un homme armé. Rue Dr-Mazet, pendant des semaines, une bande pénétrait dans les magasins pour voler de la marchandise. Grenoble bat des records de délinquance. Déjà, en 2014, le niveau était supérieur de 63 % à la moyenne nationale. »

    Le père d’Adrien Perez ne disait pas autre chose :

    « Le niveau de violence dans l’agglomération grenobloise est inadmissible. »

    Mais que fait alors la mairie ?

    Elle s’oppose… à la pose de caméras de vidéoprotection et refuse d’augmenter les effectifs policiers (103 agents pour 160.000 habitants) et de les armer. Même Jean-Yves Coquillat, le procureur de la République, a publiquement déclaré qu’il n’avait « jamais vu une ville aussi pourrie et gangrenée ». Par contre, « Piolle Pot », comme on appelle le maire ici, est prêt à accueillir tous les migrants et les « étrangers » du monde. Entre 2006 et 2014, il y a eu 2.243 Français de plus à Grenoble, contre 2.429 étrangers (aujourd’hui, c’est certainement plus d’étrangers).

    Le plus monstrueux est que notre Khmer vert, deux mois avant l’assassinat d’Adrien (qu’il n’a à notre connaissance, d’ailleurs, officiellement pas condamné, comme le montre son compte twitter qui ne parle que de pic de pollution et d’éco-mobilité…), remettait, contre l’avis du préfet, la médaille de la ville à Cédric Herrou, jugé pour passage illégal de migrants dans la vallée de la Roya : Tout un symbole !

    http://www.bvoltaire.fr/eric-piolle-le-maire-rouge-vert-de-grenoble-na-pas-eu-un-mot-pour-adrien/

  • Un cas d’école de la stupidité antifa : l’attaque contre les Brigandes du 4 août à La Salvetat

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    Source cliquez ici

    Ce samedi 4 août 2018 à La Salvetat sur Agoût, une trentaine d’antifas et autres gauchistes en manque d’identité se sont rassemblés pour protester contre Les Brigandes, qui devraient disparaître ou être envoyées au goulag.

    Ces bêtes de foire tentèrent de nous provoquer alors que nous étions devant notre local au cœur du village, et qu’une vingtaine de gendarmes en ordre surveillaient la scène à quelques mètres de là. Comme d’habitude, nous avons observé une attitude pacifique sans tomber dans le piège, laissant les gauchos faire leur numéro sur la voie publique avant de retourner à la finalisation de notre 7ealbum prévu pour la mi-septembre. (Rappelons que, contrairement à ce qu’affirment les antifas, aucun gaucho n’a jamais subi de violences physiques de notre part.)

    Bref, cette manifestation assez pitoyable mérite néanmoins d’être signalée pour deux raisons :

    - Sans aucune intelligence politique, les antifas ont réussi à faire peur à la moitié du village avec leur allure de casseurs zadistes (derrière laquelle se cachent des ados sortis de la cour de récréation), et à se mettre à dos l’autre moitié en tentant de prendre d’assaut non seulement la mairie mais aussi la charcuterie locale. Un habitant témoigne : « Le soir même dans les jardins de La Salvetat, tout le monde parlait avec exaspération de ces intrus venus emmerder le village. Ils collent leurs autocollants sur les maisons, laissent leurs tracts sur les voitures, mais on s’en fout de leurs idées. Ils ne se sont pas faits des amis… » En ce qui concerne l’opération « retourner la population contre les Brigandes », c’est zéro pointé, et le résultat est plutôt inverse… Probablement comptaient-ils sur notre prétendue « agressivité » pour que l’on réagisse et prenne le rôle des « méchants ».

    - Les antifas tentèrent ensuite de se diriger vers le Gazel, notre centre communautaire où se trouvaient les femmes et les enfants. Heureusement pour eux, les gendarmes arrivèrent suffisamment tôt, car s’approcher des familles leur aurait valu quelques hospitalisations que nous aurions accepté de payer sans broncher.

    En conclusion : un cas d’école parmi tant d’autres de la bêtise antifa, sur laquelle il est inutile de donner plus de détails. Nous devons aussi constater que la force publique a tendance à laisser les antifas aller très loin dans la provocation avant de s’interposer… et que les antifas semblent ne rien craindre des forces de l’ordre.

    Nous savons que le site La Horde, qui centralise toutes les actions et informations des antifas, est tenu par des professionnels du renseignement et est hébergé par le directeur artistique du quotidien Le Monde, lui-même à la solde des financiers Pigasse et Niel. Sur ce sujet, voir les très bonnes enquêtes suivantes : Nous sommes partout cliquez là et l'OJIM cliquez ici

    On sait que la mouvance antifasciste est l’idiot utile et inconscient du Capital et de son projet internationaliste, mais, plus loin encore, nous pouvons conclure qu’un service médiatico-gouvernemental soutient à l’arrière-plan cette mouvance violente.

    Nous profitons de l’occasion pour remercier le  fan-club Facebook « Les amis des Brigandes » cliquez icidont deux administrateurs étaient présents avec nous ce week-end.

    PS : Les Brigandes n’étant pas sur Facebook, ce fan-club n’est pas sous notre contrôle direct. Néanmoins, nous sommes assurés du soutien et de la droiture de son administrateur, qui tient avant tout à faire notre promotion.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Loi contre les violences sexuelles: forte avec les faibles, faible avec les forts

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    Marlène Schiappa a accouché d'un texte brouillon
    En ne voulant fâcher personne, la secrétaire d’Etat à l’égalité homme/femme Marlène Schiappa mécontente tout le monde. Malgré quelques rares avancées positives, sa loi contre les violences sexuelles risque de criminaliser la drague sans pour autant sanctionner la montée des agressions sexuelles. 
    Dans le contexte tragi-comique de cette fin de session parlementaire, sur fond d’affaire Benalla/Macron et de canicule propice à l’échauffement des esprits, le projet de loi renforçant la lutte contre les violences sexuelles ou sexistes porté par la très médiatique Marlène Schiappa a finalement été approuvé à l’Assemblée nationale.