insécurité - Page 630
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Robert Ménard agressé par des gauchistes dans la Gironde
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L'agression de Robert Ménard, passée sous silence
Les médias militants avaient été plus larmoyants avec NKM l'an dernier :
Ne pas évoquer l'agression contre le maire de Béziers, c'est finalement inciter la gauche fasciste à commettre des violences contre les patriotes...
A Angers, les tenanciers du bar associatif l'Alvarium ont été agressés par une vingtaine de personnes. L'un d'eux est à l'hôpital. Auparavant, le Courrier de l'Ouest avait fait un reportage sur cet établissement :
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Black Blocs, Antifas, No Borders… L’extrême-gauche violente au service du Système
Par Michel Geoffroy, auteur de La Super-classe mondiale contre les peuples ♦
Black Blocs, Antifas , Zadistes et No Borders rythment désormais notre quotidien. Ils sont partout : dans les rues, dans les facs, à Notre-Dame-des-Landes ou à Calais. A Paris à Rome ou à Berlin. Dans les manifs aussi. Le 1er mai dernier, Paris a ainsi été le théâtre de violents affrontements à l’initiative des Black Blocs. Des incidents à replacer dans la longue cohorte des violences et intimidations en tous genres auxquelles se livrent ces individus depuis des années au su et au vu de tout le monde et qui ne semblent guère émouvoir les pouvoirs publics.
Pourquoi donc ? Parce que ces violents groupuscules servent la Davocratie triomphante, tout simplement.Pour ce qui est contre
Les revendications et prises de position de ces extrémistes sont des plus floues, d’autant que leur production intellectuelle se réduit à quasiment rien.
Héritiers des autonomes et de ceux qui prônaient l’action directe et immédiate dans les années 60, ils semblent a priori contre tout : contre le capitalisme, le fâââchisme, le racisme, le nucléaire, les Mac Dos, les Forums internationaux, les voitures Mercedes, les abribus, les frontières ou contre les aéroports. Et surtout contre la police qu’ils appellent à affronter partout et si possible violemment.
Leur mode d’action repose principalement sur l’utilisation des réseaux sociaux transfrontières qui permettent de mobiliser très rapidement les individus tentés par la castagne partout en Europe. Tentés aussi par la constitution de zones autonomes où ils peuvent se rassembler pour essayer de donner un contenu à leurs rêveries.
Une masse de manœuvre pour le Système
L’absence de ligne politique et d’organisation qui les caractérise constitue évidemment une incitation pour tous les services spéciaux à les manipuler à des fins très différentes de celles qu’affichent ces mouvances.
Car, si on quitte la morale des intentions pour celle des résultats, force est de constater que toutes ces mouvances roulent avant tout pour l’oligarchie.Historiquement d’ailleurs, l’extrême-gauche fut encouragée par la classe politique occidentale à partir des années 60, comme moyen de réduire l’influence des partis communistes en Europe principalement auprès de la jeunesse. Car tous ces « gauchistes » imprégnés de trotskisme libertaire, vomissaient les partis communistes autant et sinon plus que le capitalisme. Aujourd’hui que le communisme a disparu, ils continuent de servir l’oligarchie, mais de façon différente.
Les Blacks Blocs et les Antifas constituent en effet le « service action » de l’oligarchie. Ils roulent pour elle et non pas pour la cause de la révolution anticapitaliste. Au contraire, ils servent en France la cause du néo-capitalisme mondialiste.
Les chiens de garde de l’antiracisme
Les Antifas sont avant tout les chiens de garde de l’antiracisme officiel c’est-à-dire qu’ils luttent en priorité et souvent violemment contre tous ceux qui refusent le Grand Remplacement européen, le sans-frontiérisme de nos élites et la déconstruction de notre civilisation. Leur cible principale reste par un heureux hasard chez nous le Front national, c’est-à-dire le seul parti politique paraissant en mesure de menacer l’hégémonie de la Davocratie jusqu’en 2017.
Les techniques d’action des Antifas sont variées mais reposent en général sur la violence et l’intimidation vis-à-vis des militants et sympathisants des mouvement identitaires et nationaux. Leur arme préférée est la menace de contre-manifestation violente qui sert alors de prétexte aux autorités préfectorales, afin de prévenir des « troubles à l’ordre public », pour interdire ou tout le moins restreindre fortement la liberté de réunion.
On a d’ailleurs vu lors des violences du 1er mai à Paris des manifestants arborer ironiquement un calicot sur lequel on pouvait lire « risque de trouble à l’ordre public », écrit en lettres d’or sur fond noir !Les chasseurs de dissidents
Les Antifas aiment aussi beaucoup la chasse à l’homme dissident : le dénoncer et le harceler sur les réseaux sociaux ou jusque chez lui, voire essayer d’obtenir à son encontre une mesure de licenciement, comme cela se pratique déjà aux Etats-Unis ou en Allemagne [1].
Les Antifas jouent donc le rôle des rabatteurs dans la chasse au gibier patriote, identitaire et européen qu’organise de plus en plus la Davocratie en Europe. Ils désignent les nouvelles sorcières avant de les remettre dans les mains du pouvoir temporel.Le but de ces opérations est bien sûr d’intimider et si possible de casser la dynamique de la dissidence identitaire et nationale en Europe et notamment dans notre pays, qui reste la clef de l’Europe pour la Davocratie.
Diaboliser l’opposition de Gauche
L’action des Blacks Blocs vise une manœuvre différente mais symétrique dans sa finalité : il s’agit cette fois de diaboliser l’opposition de gauche aux projets macroniens de déconstruction néo-libérale.
Par un heureux hasard, les autonomes se sont mis à saccager les universités qu’ils occupaient au moment où s’engageait la réforme de la SNCF. Et par ce même hasard fait décidément bien les choses, voilà que des « incidents » se mettent à émailler les manifestations des syndicats contre la réforme, incidents culminant avec les violences Black Bloc du traditionnel défilé du 1er mai. Sans oublier le fait que le gouvernement décide justement d’évacuer au même moment les zadistes de Notre Dame des Landes.
Tout cela n’est peut-être qu’un pur hasard.
Divertir et contaminer
Il semble pourtant difficile de ne pas voir que ces violences remplissent une double fonction au profit du Pouvoir :
- Une fonction de divertissement de l’opinion d’abord, puisque la mise en scène des violences permet de masquer en partie la grogne sociale qui s’installe dans notre pays. Pendant que les médias s’étendent à l’envi sur les Blacks Blocs , ils parlent moins des syndicats et de leurs revendications.
- Ensuite ces violences ont une fonction de contamination : elles visent à assimiler l’opposition sociale et syndicale aux projets du gouvernement, à l’agitation violente de l’extrême gauche radicale par un effet d’amalgame. Vous êtes contre la réforme de la SNCF ? N’êtes-vous finalement pas du côté des casseurs ?
Certains sondages semblent montrer que cette manœuvre remplit son office pour une partie de la vieille droite [2] : Macron doit avoir raison puisque les Blacks Blocs cassent contre lui !
Une étonnante passivité des pouvoirs publics vis-à-vis des casseurs autonomes
Il est également frappant de constater combien ces casseurs antifas, blackblocs ou autres noms d’oiseaux exotiques, bénéficient d’une étonnante passivité des pouvoirs publics, pour ne pas dire plus.
A la différence de ce qui s’est passé lors des Manifs pour Tous par exemple, on n’a pas connaissance d’interpellations préalables de jeunes casseurs par les services de police.
Ce qui est d’autant plus curieux que ces agitateurs, dont beaucoup utilisent les réseaux sociaux pour communiquer entre eux, ont souvent déjà eu maille à partir avec les forces de l’ordre de différents pays et que la perspective d’une action des Black Blocs semblait connue des services de renseignement [3]. Et qu’ils sont souvent reconnaissables à leur accoutrement.
Les arrestations et garde à vue restent aussi en nombre limité et de toute façon elles ne se traduisent pas forcément par l’ouverture de procédures judiciaires. Un traitement par conséquent très différent de celui qui est infligé par exemple aux militants de Génération Identitaire dont les actions n’ont en outre rien de violent la plupart du temps.
La voix de son maître
Ces mêmes casseurs bénéficient en outre de la complaisance des médias mainstream qui ne voient en eux la plupart du temps que des « militants » de la noble cause « antiraciste », « antifasciste », « écolo », « altermondialiste » ou « antinucléaire ». On ne les traite pas de hooligans ! Non on réserve ce terme aux manifestants identitaires…
Une complaisance pour le moins significative puisque ces mêmes médias sont la voix de la super classe mondiale.
Des « révolutionnaires »… financés par les oligarques
Non seulement il ne semble pas que ces extrémistes violents soient particulièrement pourchassés par les forces de l’ordre, y compris à l’heure de la menace terroriste, mais ils sont en outre souvent financés et aidés par certains oligarques. Ce qui n’est certainement pas innocent.
On sait par exemple depuis les « sorosleaks », que les fondations mondialistes de George Soros financent par exemple les No Borders. Le député Bernard Carayon a pour sa part relevé des financements par l’Union Européenne via le relais d’ONG immigrationnistes [4].
Certaines collectivités locales ne sont pas en reste. On apprend ainsi par exemple que la ville d’Angers louerait un local à une association qui répond au doux nom de « L’Etincelle » et qui correspond en réalité à des antifas. Des « révolutionnaires » financés… par le contribuable en quelque sorte. Il est probable que cette initiative étrange n’est pas la seule de son genre et un examen attentif des subventions publiques révélerait sans doute bien des surprises.
Il se peut bien sûr que certains adolescents des Blacks Blocs ou des Antifas qui jettent des pavés contre la police croient œuvrer ainsi pour l’avènement prochain de la société sans classe et du bonheur libertaire. Mais cela ne change rien au fond.
La Davocratie sait aussi se servir des idiots utiles pour faire avancer son projet mondialiste.
Michel Geoffroy 06/05/2018
[1] Voir par exemple l’action conduite récemment contre Romain Espino, de Génération Identitaire auprès de son employeur , le Crédit Agricole
[2] Voir sur ce plan lebaromètre Kantar Sofres OnePoint du mois de mai pour Le Figaro Magazine.
[3] Cf article du Figaro.fr du 2 mai 2018 :« 1er Mai : les services de renseignement avaient anticipé la venue des Black blocs »
[4] Atlantico du 12 mai 2016
Crédit photo : FEDRA Studio [CC BY 2.0], via Wikimedia Commons
https://www.polemia.com/black-blocs-antifas-no-borders-extreme-gauche-violente-systeme/
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Robert Ménard a été agressé en présence d'élus locaux
Suite à son agression, Robert Ménard a été interrogé sur Boulevard Voltaire.
"J’arrivais à cette réunion un quart d’heure avant pour préparer mon intervention. Il y avait quelques dizaines de ces personnes qui se définissent comme des antifas. Ce sont en réalité des fascistes de gauche. Ils ont commencé à m’insulter, à me donner des coups, des coups à la tête, me faire tomber, continuer à me taper dessus et taper sur les gens qui m’accompagnaient. Il s’agit de véritables comportements de voyous. De surcroît, tout cela s’est passé en présence d’élus locaux. Ils n’ont pas bronché. Ni eux, ni même les forces de l’ordre ne sont intervenus. Je suis pourtant un élu de la République. Au final, cet incident montre qu’un élu de la République peut se faire taper dessus, renverser, se faire rouer de coups sur la tête sans que ni les élus locaux, de la majorité locale, ni même les forces de l’ordre considèrent qu’il faut intervenir immédiatement. Qu’est-ce que ça veut dire ?
Avez-vous l’impression d’être un élu de seconde zone ?
Je ne sais pas. Je ne veux pas porter d’accusations, mais je constate les faits. Avant même ma venue, certaines personnes du PS local, du MoDem, des écologistes et de la République en marche avaient appelé à manifester. Ils avaient fait des déclarations prétendant que j’avais développé des milices à Béziers. Vous m’entendez, on me reproche d’avoir monté des milices ! Quelle folie ! Il n’y a évidemment rien de tout cela à Béziers. Ces gens-là portent aussi la responsabilité de ces actes de violence. J’espère que ces partis se rendront compte de la responsabilité qu’ils prennent en tenant des propos inadmissibles sur d’autres élus quand bien même ce sont des adversaires politiques. Nous sommes en République, en démocratie. On peut s’engueuler, mais pas se taper dessus. Or, c’est pourtant bien ce qui s’est passé.
Avez-vous été blessé et qu’avez-vous fait ?
Je sors à l’instant de la gendarmerie où j’ai déposé plainte, comme l’on fait d’ailleurs les élus qui m’accompagnaient et qui ont été tabassés. Évidemment, je vais de ce pas à la clinique voir ce qu’il en est des douleurs que je ressens. Quand vous êtes tapé et jeté à terre, ça laisse des traces. C’est ce que je vais faire constater par un médecin.
Vous sembliez accuser les gendarmes de passivité. Qu’en est-il exactement de leur réaction ?
Je constate qu’ils n’étaient pas là au moment où ils devaient y être. Quand on sait que des antifas vont manifester, avec la violence qui les caractérise, contre un élu qui vient faire une intervention, il me semble que leur devoir est de protéger cet élu. On m’a demandé si j’avais des gardes du corps. Évidemment que non ! J’attends que les forces de l’ordre me protègent en qualité d’élu, comme ils doivent protéger chaque citoyen.
Cela vous est-il arrivé depuis que vous êtes maire de Béziers ?
Jamais dans ma ville, quelqu’un ne m’a agressé. Jamais, lorsque je me promène dans une ville, qui que ce soit ne m’a agressé. C’est la première fois. C’est le fait de gens d’une violence extrême, par ailleurs encouragés de fait par une classe politique qui explique que telle ou telle personne ne serait pas le bienvenu dans tel ou tel endroit. Qu’est-ce que c’est que cette conception de la démocratie ?
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Analyse spectrale du marigot !
Le billet de Patrick Parment
Il regarde en haut, il regarde en bas.Il regarde à droite, il regarde à gauche et il ne voit que l’horreur. C’est le drame d’un peuple à un moment donné, il n’y a personne. Henry de Montherlant
Entre les défilés du 1er mai qui ont acté la mésentente des syndicats et la « fête à Macron » initiée par François Ruffin, thuriféraire des Insoumis vivement soutenu par Jean-Luc Mélenchon, on assiste à des manifs d’arrière-garde d’une France qui refuse que ça bouge, d’une France figée. La plupart des participants à ces deux manifs sont des nantis qui ont non seulement la sécurité de l’emploi mais de surcroît les avantages de leur profession qu’il s’agisse des cheminots, des électro-gaziers ou des fonctionnaires divers et variés. A une exception toutefois, les agents hospitaliers qui sont véritablement des laissés pour compte de la fonction publique. Ce qui est proprement scandaleux.
La France périphérique, autrement dit la France profonde qui est la grande victime ou plutôt la grande ignorée des pouvoirs et donc des bonheurs du système libéral, ne figurait pas au rang des manifestants. Pas plus que les immigrés que nos bonnes consciences de gauche s’évertuent pourtant à défendre et à faire descendre dans la rue quand ça sert leurs intérêts idéologiques. Marrant d’ailleurs comme la télévision ignore ces populations hormis les nègres qui parsèment les sujets d’actualité, histoire de montrer que la France est bien un réceptacle multiracial. A ce petit jeu, le pouvoir est bien évidemment complice vu que ça conforte la tambouille libérale.
Donc, il s’agit de marquer une opposition à Emmanuel Macron qui a entrepris de réformer, à sa manière, le pays et ses institutions au sens très large du terme. J’entends bien que quand on n’est pas macro-jupitérien-compatible on ait envie de manifester son opposition en criant au loup ! Mais que nous proposent toutes ces oppositions ? Rien. Que dalle !
A droite la mère Le Pen est en plein délire existentiel car peu remise de sa raclée présidentielle ! Le camarade Laurent Wauquiez s’escrime à asseoir son pouvoir face à une opposition de moins en moins feutrée. Il a remis entre les mains de Luc Ferry et Virginie Calmels le soin d’élaborer un programme ! Autant demander à Groucho Marx de réécrire Le Capital.
A gauche, même Bérézina. Le camarade Mélenchon s’est pris le melon mais n’a aucun programme sérieux et son anticapitalisme ne se manifeste guère en dehors de ses saillies oratoires. Côté Benoît Hamon, on est plein de bonne volonté mais y a personne pour exprimer cette volonté. Quant à Olivier Faure, il gît sur les ruines du socialisme à la sauce hollandaise.
Au final, tout ça donne quoi ? Rien.
Emmanuel Macron peut continuer peinard ses réformes, les Français ne moufteront pas, quitte à en prendre plein la figure. Et si, comme me le suggère un ami, Macron arrive à baisser les impôts d’ici la prochaine échéance présidentielle, il a en poche son ticket pour un deuxième mandat.
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1er mai : Face à la gauche radicale, les syndicats ne font plus le poids
Ce qui s'est passé à Paris le 1er mai - un terrorisme en action en plein centre-ville - ne nous renseigne pas seulement sur la virulence de l'ultragauche mais aussi sur la déchéance syndicale.
On se paye de mots, en effet, avec le syndicalisme français qui n'a de représentativité que celle qu'on lui reconnaît par habitude, facilité et lâcheté. (5% d'adhérents dans le secteur privé, 7% dans le secteur public !).
Les troupes ont fondu, vieilli, les militants sont partis au Front National ou chez Mélenchon, les ex-gros bras de la CGT d'antan sont de vieux messieurs démotivés. Comme le PCF somme toute, qui n'a pour ainsi dire plus d'électeurs ni d'organisations militantes dignes de ce nom. Et encore moins de capacité révolutionnaire comme jadis. Tout cela ce sont des souvenirs. Ne restent plus que des bureaux, des apparatchiks à hauts salaires et des services comptables pour gérer les subventions et les aides diverses. Des coquilles vides. Le décompte des manifestants des grandes démonstrations de force se faisait jadis pour Paris et quelques grandes villes. Pour produire des chiffres de participation un peu moins ridicules, les syndicats, la police et les médias donnent désormais des résultats nationaux. 250 000 ? 140 000 ? Pour toute la France, cela ne fait plus grand chose. Le mythe révolutionnaire du Grand soir a fait long feu et le syndicalisme français, divisé, discrédité et exsangue, est une immense faillite, même s'il conserve, par le jeu de quelques minorités, un pouvoir de nuisance résiduel dont Emmanuel Macron fait en ce moment l'expérience.
Place donc dans la rue aux terroristes de la gauche radicale face à laquelle, désormais, les appareils syndicaux ne font plus le poids. Finis, en effet, les grands services d'ordre musclés de la C.G.T. ou du P.C.F. qui, il fut un temps pas si lointain, les auraient expulsés sans coup férir, ce premier mai.
Nous n’avons plus affaire aujourd’hui à la révolution prolétarienne mais à la violence pure, aveugle et nihiliste.
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DISSOLUTION DE TOUTES LES BANDES GAUCHISTES ET DE LEURS COMPLICES : UN TRACT DE SYNTHÈSE NATIONALE À DIFFUSER
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L’extrême gauche doit rendre des comptes, par Ivan Rioufol
“Je vais toujours au conflit”, aime à rappeler le chef de l’Etat. A l’entendre, il refuse l’esquive. Mardi, néanmoins, c’est depuis Sydney (Australie) que le président a été tenu informé des prévisibles déferlements de violence qui ont submergé, à Paris, les défilés syndicaux du 1 er mai. Une extrême-gauche déchaînée, représentée par 1200 anarchistes encagoulés du black bloc, a mis à sac le quartier Austerlitz. 31 commerces ont été dégradés, dont deux incendiés. Des voitures ont été brûlées. Il n’y a eu cependant que quatre blessés légers, dont un CRS qui a reçu un pavé dans le dos. 109 personnes ont été placées en garde à vue. Emmanue Macron avait sûrement d’excellentes raisons de se rendre à Sydney. Reste les images, cette arme que chérit le président : elles ont montré la prise de possession d’un quartier par des milices fascistoïdes se moquant bien de l’autorité d’un Etat dont le chef était absent. Les forces de l’ordre sont apparues craintives face à ces jeunes déterminés à casser du flic.
Le choix préfectoral de laisser la horde briser librement tout ce qui lui tombait sous la main ne s’explique que par la peur de l’affrontement direct. Cette même crainte est à l’origine de l’évacuation très partielle de la ZAD de Notre Dame des Landes, défendue par des militants également déterminés. Bref, ce qui se laisse voir est un Etat pusillanime, qui recule devant des minorités se disant dominées et justifiant leur violence comme une réponse à la “violence sociale”. Parmi les slogans des black blocs : “A bas la hess”, mot venant de l’arabe et qui désigne la misère. Le scénario catastrophe serait bien sûr que les cités se joignent à cette insurrection de la haine.
Reste aussi cette autre évidence : c’est à l’extrême gauche que se trouve, pour la démocratie, la source des dangers. En son sein fermentent le nouvel antisémitisme et la violence politique. Pierre-André Tagueiff avait constaté, dès le début des années 2000 “de notables convergences, dans les thèmes idéologiques et dans les pratiques militantes, entre islamistes et néo-gauchistes” (1). Depuis, les exemples des black blocs, des antifas ou des zadistes, c’est-à-dire des mouvements alternatifs qui cousinent dans la lutte brutale (mais sans armes à feu pour l’instant) contre le capitalisme et la société libérale, sont venus compléter un tableau peu ragoûtant.
Pourtant, c’est le spectre de l’extrême droite qui continue d’être agité par ceux qui, à gauche, n’osent observer les monstres qu’ils couvent. En mars 2013, lors d’une forte mobilisation familiale organisée par la Manif pour tous, Manuel Valls, alors ministre de l’Intérieur, avait accusé “des militants d’extrême droite qui jetaient des boulons”. Samedi, Libération a fait sa une sous le titre : “Cette ultradroite qui inquiète les services secret”. Le quotidien, râclant les fonds de tiroir, est revenu sur l’arrestation de Logan N., en juin 2017, dont Gérard Collomb, ministre de l’Intérieur, avait dit : “Ce n’est franchement pas la bande la plus sérieuse qu’on ait arrêtée ces derniers temps >. Quant à Jean-Luc Mélenchon, il a tweeté mardi : “Insupportables violences contre la manifestation du 1 er mai. Sans doute des bandes d’extrême droite”. Les parrains de l’extrême gauche ont des comptes à rendre.
(1) Judéophobie, la dernière vague, Fayard
Ivan Rioufol
Texte daté du 2 mai 2018 et repris du blog d’Ivan Rioufol
https://fr.novopress.info/210697/lextreme-gauche-doit-rendre-des-comptes-par-ivan-rioufol/
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Manifestation : les enjeux de la “fête à Macron” - Journal du Vendredi 04 Mai 2018
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L’armée de l’air russe attaque les djihadistes le long de la frontière turque
Sans relâche, l’aviation russe traque les terroristes
BEYROUTH, LIBAN, 19h40 – Les forces aérospatiales russes ont repris leurs frappes aériennes sur le district de Jisr Al-Shughour, ce soir, en frappant plusieurs zones contrôlées par les djihadistes étrangers du Parti islamique du Turkestan TIP.
Selon un rapport militaire de Lattaquié, les forces aérospatiales russes ont ciblé spécifiquement les bases du Parti islamique du Turkestan dans la campagne de Jisr Al-Shughour.
Parmi les localités visées par les frappes aériennes des Forces aérospatiales russes se trouvaient les villes de Jisr Al-Shughour, d’Al-Shughur, d’Al-Ghassaniyeh, de Halouz et d’Ishtabraq.
Dans le même temps, cinq combattants de la TIP auraient été blessés vendredi soir lorsque leurs véhicules auraient été percutés par un engin explosif improvisé placé le long de la route menant à Tal Dahab, au nord de Jisr Al-Shughour.
La raison de l’augmentation de l’activité aérienne dans cette zone par les forces aérospatiales russes est due à la prochaine offensive de l’armée syrienne qui devrait avoir lieu après avoir terminé leur tâche dans le nord de Homs.
Cette après-midi, les Forces aérospatiales russes ont poursuivi leurs bombardements intensifs sur le nord de Hama, ciblant plusieurs zones contrôlées par Jaysh Al-Izza, à l’intérieur de leurs bastions d’Al-Lataminah et de Kafr Zita.
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